Curieux, j'aurais aimé voir le Shonen genre dans les années 2000, sans Dragon Ball à la base, comment se comporterait l'ensemble des personnages et des mangakas).
Sans un catalyseur qui a complètement bouleversé son genre, au point que mal d'univers ont fonctionné dans la reprise la cause du succès du shonen d'ailleurs, il y'a eu une gestion plutôt pertinente en soi... Le consensus s'est crée, car le succès a été crée on reprend ce qui a fonctionné, un modèle, une couverture, une base qui va ensuite découler et partir sur une volonté de différer. On aime reprendre ce qui a brillé, c'est presque inconscient, on a naturellement envie de recopier celui qui nous a fait rêver.
Parce que là à moins que je trompe... ça en fait beaucoup des supers teams empli de stéréotypes (Pauvre Hokuto No Ken)... et puis les nombreux hommages à Toriyama lors des interviews...
mais non cela vient d'une influence autre... un manga des années 70 par ci, un manga des années 80 par là.
Astro boy: Allez Gon, on va être gentil
Ginji:
L'idée c'est qu'ils ne soient pas pareil, d'ailleurs ça serait intéressant ?... L'idée c'est qu'ils soient inspirateurs pour les autres, découlant d'un prototype ou stéréotype. Un peu comme Bruce Lee qui a été une source d'inspiration pour nombres d'acteurs martials qui ont suivi, pourtant quand on analyse Jackie Chan, il n'est pas Bruce Lee, il est le résultat d'un personnage s'inspirant volontairement de Bruce, avant de créer son propre mode de fonctionnement, et créant sa propre marque de fabrique, pourtant les "nouveau Bruce" apparaissait véritablement quand il commençait à se révéler...
Ensuite avec les années nous avons attendu le nouveau Jackie Chan...