Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Pour parler de tout et de rien : ça ratisse très large, tous les sujets qui ne vont pas dans les autres forums vont là.

Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Zhatan le Mer Déc 13, 2017 14:47

Argument 404 not found ? Si notre principal fonction n'était pas le reproduction alors c'est quoi ? Pourquoi est-on encore la d'ailleurs ? Partant de ce postula si, les mouvances féministe qui prône la working girl qui de fait encourage les femmes à ne pas avoir d'enfant (et donc les hommes), c'est contre nature.

Mais ce n'est pas notre fonction. Tu confonds la capacité de procréer avec l'obligation d'avoir des enfants. Mais j'ai aussi la capacité de tuer des gens, ça n'en fait pas une obligation. Si nous n'avons plus d'enfants du tout... l'espèce humaine disparaît. Mais personne ne va nous en faire le reproche. Il y a pas de finalité au niveau de l'espèce. Quant aux individus, je sais pas toi mais j'ai jamais eu de "désir de perpétrer l'espèce". A la limite je peux (ou pas) avoir un désir d'enfant, ce qui va contribuer à perpétrer l'espèce. Mais en tout cas, aucun de nos instincts (si nous en avons de ce type) ne nous pousse à perpétrer l'espèce. Ce n'est que l'effet de certains désirs.

D'ailleurs, il se peut très bien que la sexualité n'ait pas non plus pour but la reproduction. Il est suffisant pour l'espèce que les rapports sexuels soient de temps en temps procréatifs. Mais en fait, notre sexualité est largement décorrélée de la procréation, et elle sert à tout autre chose (le plaisir notamment).

Ce qui est rigolo c'est que tu assumes l'idée que travailler ne permet pas d'avoir des enfants. Mais si c'est vraiment ça qui te préoccupe, tu peux toujours demander à ce qu'il y ait suffisamment de place de crèches pour que les femmes ne sacrifient pas les enfants sur l'autel de leur carrière. Et tu peux militer pour une meilleure répartition des tâches domestiques, ce qui permet aux femmes qui en ont envie de travailler, et ce qui les soulagera de toute façon. Il semblerait que ce soit notre fonction de perpétrer l'espèce, mais que ce doivent être les femmes qui s'en chargent. Tu peux très bien être d'accord avec la prémisse, mais pas avec la conclusion.
Tu vois, il y a plein de manière d'être féministe, on n'est pas obligé de prendre un homme de paille.


Pour les équipements de plein air, c'est assez bien documenté mais ce n'est pas spécialement mon domaine. Si je retombe sur des articles, je vous le ferai passer. Mais l'article sur les terrains de foot est déjà très bien, je trouve.

Sinon, sur la question de la nature, de la domination et des femmes. J'ai écrit un article époustouflant ( :mrgreen: ) :
https://adroiteetagauche.wordpress.com/2017/12/11/des-sciences-sociales-pour-faire-de-la-biologie/
Dernière édition par Zhatan le Mer Déc 13, 2017 15:04, édité 1 fois.
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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Antarka le Mer Déc 13, 2017 15:01

Zhatan a écrit:Ce qui est rigolo c'est que tu assumes l'idée que travailler ne permet pas d'avoir des enfants. Mais si c'est vraiment ça qui te préoccupe, tu peux toujours demander à ce qu'il y ait suffisamment de place de crèches pour que les femmes ne sacrifient pas les enfants sur l'autel de leur carrière.


Je trouve ça plutôt interessant. Beaucoup en effet ont un discours du style "même si c'est bien que les femmes travaillent, c'était quand même bien d'avoir un des deux parents (bon la femme dans 98% des cas) pour s'occuper des gamins à la maison". Et ma foi, s'il était injuste que ce soit les femmes qui doivent le plus souvent renoncé à leurs carrières, c'est vrai que je trouve l'idée d'avoir un des deux parents à la maison plutôt cool.

Hors, dans une societé ou le plein-emploi est une utopie et ou on a déja crée des millions d'emplois improductifs juste pour faire bosser les gens... dans ce monde ou nous avons de la main d'oeuvre, des ressources renouvenables en abondance et une technologie efficace... dans ce monde ou on pourrait LARGEMENT nourrir et loger tout le monde et diminuer le tribut payé par la planète avec quelques décisions politiques... bah devrait pas y avoir besoin des deux parents qui bossent pour assurer des revenus suffisants ouais (d'autant qu'une partie de l'argent regagné est redirigé vers des crêches/nounous).


Bref, un roulement serait possible. Est-ce qu'il serait équitable ? Surement pas (les femmes resteraient probablement davantage à la maison). Est-ce que moi je serais ok ? Sans soucis. Est-ce que ça serait le cas de tout les gens de ma génération ? Sans doute pas, mais davantage que pour la génération plus agée, et moins (j'aime à le penser) que pour la génération suivante. Actuellement il est assez difficile de nier que l'éducation des enfants (et la prise en charge des malades et des personnes agées) revient largement aux femmes (y'a qu'a voir le nombre d'assistant maternel mec. Ou de babysitter mec). Je pense qu'il serait cool que les hommes s'y trempent davantage.

En tout cas, pour finir sur le "perpetuer l'espèce" me semble que ça passe maintenant davantage par des choix globaux raisonnés et pas par se reproduire. L'etre humain se reproduit de toute façons, et les quelques pays ou ça semble etre moins le cas (Japon) n'alarme leurs dirigeants que parce que ça va etre la merde d'un point de vue économique quand y'aura beaucoup moins d'actifs que de retraités, pas parce qu'ils vont s'éteindre.
Perso j'ai du mal à concevoir notre maitrise de notre procréation comme une chose négative (ou alors va vraiment falloir recommencer à s'entretuer à grande echelle pour réguler tout ça).
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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Zhatan le Mer Déc 13, 2017 15:14

Je suis assez d'accord sur la perpétration : notre plus grand souci n'est pas de nombre. Même si ça ne doit pas nous conduire à des politiques malthusiennes qui se feront forcément au détriment des plus faibles.

Par contre sur le travail : il faut faire attention parce que la plupart des gens s'ils pouvaient arrêter de travailler ne le feraient pas. Il y avait une étude de Marlène Benquet sur les caissières (Encaisser ! il y a un sociorama dessus) qui montrait comment le monde professionnel était une manière d'échapper au foyer, de gagner du poids dans les négociations au sein du couple et de se créer une socialité personnelle : bref de s'évader du foyer et de l'attachement à la domesticité. De ce point de vue, même si évidemment mère ou père au foyer ça peut être épanouissant et tout ce qu'on veut, il ne faut pas idéaliser ce rôle. Avoir des espaces à soi, autre, c'est aussi une aspiration et à mon avis une aspiration légitime.
Par contre tu as tout à fait raison, on pourrait travailler beaucoup moins et davantage répartir le travail.
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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Antarka le Mer Déc 13, 2017 16:01

Bah la fuite dans le travail que tu décris, elle concerne des gens (des femmes ici) qui en ont marre d'etre inactifs professionnellement. C'est comprehensible. Ce qui est anormal à la base c'est qu'il y ait besoin d'une fuite dans le travail alors que des compromis sont possibles. Ou plutôt que des femmes aient à ce point peu d'opportunité professionnelle. Après on est dans un monde ou les opportunités de boulot pour 7 milliards d'habitants me semblent utopiques, mais il est anormal que les femmes le subissent davantage oui.

A contrario, je connais des gens qui sont sont très pris dans leur boulot (déja ça concerne la majorité des personnes que je connais dans le soin, qui sont quand même limite burn-out pour la plupart) qui seraient ravis de prendre un congé parental. Pas parce que ça serait plus "facile" mais dans leur contexte ça serait plus épanouissant, ça serait juste changer d'air. L'herbe est pas forcement plus verte ailleurs, mais le moindre changement est déja bienvenu souvent. Bon les prises en charge financière d'un congé trop important sont hélas un obstacle, car insuffisantes.

Enfin perso j'ai que 32 ans, j'ai commencé à bosser à 19 ans, j'ai en 3 ans de chomage depuis mes 18 ans dont 6 mois de formation ambulancière et 2 ans de formation infirmier (j'ai eu 6 vrais mois d'inactivité). Souvent, la pression sociale et professionnelle était telle que j'étais loin de pouvoir poser tout mes congés et recups (1-2 semaine par an, et on me payait le reste). Et ma foi, quand j'ai des vrais congés, j'en profite pas tant que ça (car limité dans mes ressources financières), et je constate de plus en plus qu'une semaine ou deux de pause ne me requinquent pas suffisament.

Bref, si la on me propose une année sabatique (pas forcement ne rien faire, mais quelque chose qui m'éloigne du boulot) correctement remunerée (1200€ disons, ca fait 300 euros de moins que mon salaire actuel mais bref), avec l'assurance que ça ait pas de conséquences facheuses sur ma future reprise d'activité professionnelle, je prend de suite. Et ça sera le cas pour PLEIIIIIIIN de gens dans notre societé rempli de frustrés professionnels (preum's).

Donc ouais des compromis sont possibles. La dessus le frein principal c'est l'inégalité hommes/femmes au niveau des salaires dans pas mal de ménages (pour prendre un cliché, un couple medecin/infirmière aura 80% de ses revenus venant du medecin), mais les choses progressent à ce niveau et faut continuer dans cette direction. Bon globalement, je connais assez peu de couples qui s'en sortiraient avec seulement le meilleur salaire du couple... Ou alors ceux de l'age de mes parents, qui ont déja une certaine ancienneté et dont les gamins sont pu à charge.

Pour le troll, faire des gosses est quand même un frein à une carrière professionnelle épanouie, surtout quand fait trop tôt. Je connais pas mal de nanas qui ont dûe arreter leurs études le temps d'enfanter, et les ont jamais repris ensuite.

J'irais jusqu'a dire que ca me semble etre une cause très importante du renoncement aux études de pas mal de nanas que j'ai pu cotoyé dans ma scolarité (dont certaines ou vraiment, je me disais que c'était dommage). Même si la je vois pas trop comment lutter contre ça, j'en connais bien une ou deux qui se sont rendus compte de leur grossesse très tard, mais pour l'immense majorité c'était un choix raisonné suivi d'un fail.
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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Zhatan le Mer Déc 13, 2017 16:32

Bah les femmes qui ont un enfant pendant leur boulot, en admettant qu'elles perdent un an pourraient très bien reprendre les études si elles ne devaient pas s'occuper elles-mêmes de leur gamin et toutes seules, non ? Perdre une année n'est en principe pas dramatique. En tout cas, il n'y a rien d'impossible à résoudre (surtout que tu peux continuer à aller en cours les 3 ou 4 premiers mois en général, donc par exemple valider la moitié de l'année). Je veux dire, c'est un problème de structure d'accueil et de prévoir que ce genre d'événement peut arriver.

Par contre, je ne parle pas de fuite dans le travail. Ce qui est intéressant avec le travail de Benquet c'est qu'elle prend des caissières, dont le boulot est très dur et dévalorisant. Pourtant, la plupart n'arrêterait pas même si on leur donnait une compensation financière équivalente au revenu perdu. Tout au plus certaines se mettraient-elles à 80% ou peut-être à mi-temps.

Mais oui, évidemment, certains préféreront prendre un an d'un coup que de bosser à 80%. Pourquoi pas. Perso par exemple je préférerais le 80% qu'un an d'un coup tous les 5 ans. Mais p'têt que dans 10 ans ça changera. Et pis p'têt que j'aurais bien envie de faire 6 mois au Canada.
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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Antarka le Mer Déc 13, 2017 16:46

Je saurais pas dire, et on s'éloigne du sujet.

Mais y'a des boulots mentalement plus prenants que d'autres. Je sais pas trop ce qu'il en ait pour les caissières, mais ça me semble etre une tache assez simpliste qui necessite pas un grand % des facultés physiques et intellectuelles. Je veux dire qu'a la débauche, il est facile de faire la transition.

Je vais encore parler de ma crêmerie, le soin (ou à part dans les ambulances, c'est majoritairement féminin), et la plupart des gens (hommes ou femmes) n'arrivent absolument pas à laisser leurs soucis aux vestiaires, car ont trop encaissés dans leurs journées, et doivent en parler/se calmer pendant 1-2h voire davantage (quand elles en décrochent) avant d'etre vraiment en repos.

Je veux dire qu'il y a des boulots qui, au dela de leurs contraintes physiques et/ou intellectuels, sont invasifs. Beaucoup trop invasifs même (quand tu as 11 ou 12h entre ta debauche et ta rembauche et jamais le temps de rien faire en dehors), vraiment beaucoup trop invasifs (quand tu sais qu'on risque de te rappeler sur n'importe quel jour de repos hors CP parce qu'une collègue est malade). Surtout quand à coté ton salaire est minable, que ça t'use physiquement et que ta consideration professionnelle est inexistante.

Caissière, je juge ptetre vite, mais je pense pas que ce soit si invasif que ça. Ca serait plutôt l'inverse, c'est du travail à la chaîne qui n'a rien de très physique (elles soulèvent pas très lourd de nos jours). C'est un boulot repetitif et chiant que je voudrais pas faire, mais ça me semble objectivement pas usant sur le moyen/long terme, ça peut se faire en étant totalement dans la lune, et c'est un milieu ou les clients sont en général sympas (davantage que dans le soin). Et pi y'a aussi le fait que les nanas que tu décris ont en général la plupart de leurs potes au boulot. En tout cas la plupart de mes collegues, je pense, le prendraient comme des vacances.
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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Zhatan le Mer Déc 13, 2017 17:10

Bah en fait c'est un métier vraiment pourrave parce que les horaires sont très contrariants (tu peux faire l'ouverture à 7h/8h puis le midi puis le soir), le boulot est traumatisant à la longue pour les articulations du poignet notamment mais aussi pour le dos, et surtout tu as la tension d'être toujours sur le fil par rapport à ton manager, par rapport aux clients dont tu prends toute l'agressivité ou l'impatience, sans compter le dédain. Donc je sais pas par rapport aux métiers du soin, mais ce n'est pas spécialement un métier facile.

Sur la question il y a ce bon article de une heure de peine, justement sur l'idée qu'on pourrait avoir du salaire parental :
http://uneheuredepeine.blogspot.fr/2015/04/le-salaire-parental-mauvaise-question.html

Après pour les étudiantes ayant un enfant je ne sais pas. Je sais qu'il existe des études là-dessus. Mais j'ai jamais lu (par exemple, là : http://www.ove-national.education.fr/medias/Memoire_Clementine_Gaide.pdf, toutefois la table des matières donne déjà une idée)
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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Rammus le Jeu Déc 14, 2017 14:38

Zhatan a écrit:
Argument 404 not found ? Si notre principal fonction n'était pas le reproduction alors c'est quoi ? Pourquoi est-on encore la d'ailleurs ? Partant de ce postula si, les mouvances féministe qui prône la working girl qui de fait encourage les femmes à ne pas avoir d'enfant (et donc les hommes), c'est contre nature.

Mais ce n'est pas notre fonction. Tu confonds la capacité de procréer avec l'obligation d'avoir des enfants. Mais j'ai aussi la capacité de tuer des gens, ça n'en fait pas une obligation. Si nous n'avons plus d'enfants du tout... l'espèce humaine disparaît. Mais personne ne va nous en faire le reproche. Il y a pas de finalité au niveau de l'espèce. Quant aux individus, je sais pas toi mais j'ai jamais eu de "désir de perpétrer l'espèce". A la limite je peux (ou pas) avoir un désir d'enfant, ce qui va contribuer à perpétrer l'espèce. Mais en tout cas, aucun de nos instincts (si nous en avons de ce type) ne nous pousse à perpétrer l'espèce. Ce n'est que l'effet de certains désirs.


La sélection naturel écartes les individus faible qui pour survivre doivent procréer de manière plus abondante, de ce fait, l'envie de fonder une famille est inscrit dans nos gènes depuis que nous existons. Toi tu ne le perçoit pas comme un désire spécifique de perpétuer l’espèce, mais pourtant l'envie dêtre père ou mère en est l'expression même, ça n'est pas notre société qui nous l'impose, autrement nous ne nous serions pas assez développer pour faire cette réflexion.

Zhatan a écrit:D'ailleurs, il se peut très bien que la sexualité n'ait pas non plus pour but la reproduction. Il est suffisant pour l'espèce que les rapports sexuels soient de temps en temps procréatifs. Mais en fait, notre sexualité est largement décorrélée de la procréation, et elle sert à tout autre chose (le plaisir notamment).

Dans ce cas, pourquoi c'est par la que se passe la reproduction ? Le plaisir dans le sexe et la libération d'hormone qui en découle nous pousse à l'attachement en vue de rester ensemble pour élever l'enfant. Ce que tu appelles l'amour, sa fonction biologique est d'assurer un cadre de vie à junior, d'ailleurs l'amour que les différents sexe s'accorde n'est pas le même selon le genre, les différence au niveau de la selection du partenaire en est l'expression.

Zhatan a écrit:Ce qui est rigolo c'est que tu assumes l'idée que travailler ne permet pas d'avoir des enfants. Mais si c'est vraiment ça qui te préoccupe, tu peux toujours demander à ce qu'il y ait suffisamment de place de crèches pour que les femmes ne sacrifient pas les enfants sur l'autel de leur carrière. Et tu peux militer pour une meilleure répartition des tâches domestiques, ce qui permet aux femmes qui en ont envie de travailler, et ce qui les soulagera de toute façon. Il semblerait que ce soit notre fonction de perpétrer l'espèce, mais que ce doivent être les femmes qui s'en chargent. Tu peux très bien être d'accord avec la prémisse, mais pas avec la conclusion.
Tu vois, il y a plein de manière d'être féministe, on n'est pas obligé de prendre un homme de paille.

Tu peux travailler et avoir des enfants, mais progresser au travail et bien élever ses enfants c'est plus dur que tu sois femme ou homme et c'est la que le féminisme tel qu'il est représenté dans les médias me dégoute, désolé mais l'image de la célibataire de 35 ans+ sans enfants et sans homme, sous directrice d'une société ne m'attire pas surtout si au passage il faut faire passer la majorité des autres femmes pour des paumés soumises car elles ont eu l'envie de faire des enfants et de les éduquer au détriment de leur progression au travail. D'ailleurs parlons en de leur travail ou elles seront remplaçable comme l'immense majorité des autres (homme ou femme), pour moi ça n'est pas synonyme de réussite social au contraire même. D'ailleurs c'est à ce moment la qu'on se rend compte que le féminisme est une cause économique et non une revendication social.

Mon avis en tant qu'Homme par contre ne vas certainement pas plaire, mais je me sens moins capable que ma femme d'éveiller notre enfant. Ca n'est pas que j'en sois incapable ou que je n'en ai pas le désire, mais je suis confronté à mes propres peurs et appréhensions communes à tout les pères. Maintenant notre société le permettrait et il est probable que ça se fera, mais on ne renie pas si facilement des milliers d'année d'expériences. Je prend simplement le fait d'avoir une fille, je me voit mal la changer ou lui donner le bain de manière quotidienne et lui éduquer la valeur de son intimité, ça me terrifierai qu'elle prenne le contact d'un homme à cet endroit normal "car Papa me touche à cet endroit, papa est un homme, etc...) dans notre société tel quel est actuellement, alors que ma Femme en a l'expérience et les capacités, en revanche, je me sens tout à fait capable de lui inculquer "l'appréhension" (je n'ai pas d'autre mot, je pense que vous avez compris ou je veux en venir) nécessaire pour la préparer à sa vie de femme car je suis un homme plus ou moins saint d'esprit et je sais comment réfléchit un homme vis à vis d'une femme. Bref tout ça pour dire que c'est la synergie des deux qui feront un enfant parfaitement adapter à attaquer sa vie de jeune adulte et pas seulement 1 qui l'élève et l'autre apporte l'argent.

Pour les crèches, je me permet de te poser une question, y as-tu déjà mi les pied en temps que Parent ? Si oui, quel vision cela t'en à laissé par rapport à une éducation dite "traditionnel" ou chez une assistante maternel ? C'est pas 1 parent, mais les 2 qui élève les enfants. Un qui éveille et l'autre qui prépare au monde, regardez votre éducation et vous y verrez très certainement ce schéma, ça n'est pas pour rien qu'on dit que passer un certain âge on quitte les jupons de l'un des parents pour embêter l'autre ^^

Je pense surtout que la mouvance féministe oublis qu'actuellement, nous sommes dans une société de privilégié par rapport à nos lointain ancêtre et cherches des excuses à leur propre méconnaissance de notre histoire ou tout simplement faire ce qui nous est de plus naturel, avoir un sentiment d'appartenance et d'importance dans notre groupe. Dire que les femmes sont plus petite que les hommes à cause de la privation par l'homme de nourriture est une hérésie sans nom doublé d'une méconnaissance abyssale de son propre corps (pour des féministes, c'est un comble). Exiger la parité hommes/femmes est une stupidité qui vas accroitre les différences de revenue et surtout l'importance des hommes dans notre société. Parler des différences d'évolutions de salaire entre homme et femme ou de promotion de poste en défendant parallèlement la working girl sans enfant accroit la perception de la femme comme étant inférieur aux homme. "La libération du corps de la femme" tel qu'il est prôné entraîne la perversion de notre société qui maintenant voit le mal jusque dans une femme qui allaite en publique. Il faudrait rappeler aux féministe que si nous sommes la c'est car des couples se sont formés et surtout à part créer des tensions et débat inutiles au sein du couple leur débat ne mènera à rien de bon d'autant que l'homme comme la femme est le garant émotionnel de son partenaire et c'est un secret pour personne que l'état d'esprit d'un individus reflète sa réussite sociale. Je vais pas citer tout les combats en vogue mené par les féministes, mais à ma connaissance, il y aucun qui n'opprime pas la femme par sa simple question.
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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Foenidis le Ven Déc 15, 2017 12:22

D'accord avec beaucoup de choses dans ce post.

Concernant l'idée que la femme serait plus petite à cause d'une confiscation de nourriture, c'est ignorer que cet écart de taille est visible chez une grande majorité de mammifères. En plus, si cette histoire de confiscation de nourriture peut ou a pu exister dans certains cas, elle est loin d'être universelle. Et puis, il faudrait qu'elle le soit pendant toute la croissance, je vois mal une mère donner plus à manger aux enfant d'un sexe plutôt qu'à l'autre... et surtout, comment expliquer que cette privation n'entraîne un déficit de croissance que sur les descendants d'un seul sexe ? Ça n'a aucun sens biologique. À environnement à ressources réduites, individus plus petits pour les deux sexes... avec le même écart entre hommes et femmes que dans ceux où tout le monde mange pareil !

Il a été scientifiquement vérifié que pour toutes les ethnies du globe, les grandes comme les petites, la différence de taille entre hommes et femmes est comprise entre 10 et 15 centimètres. Difficile de croire que tous les peuples du monde aient privé leurs femmes de nourriture de la même façon !

Bon en plus, quand on voit la silhouette des vénus paléolithiques, pardon !

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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Axaca le Ven Déc 15, 2017 14:22

Rammus a écrit:
Pour les crèches, je me permet de te poser une question, y as-tu déjà mi les pied en temps que Parent ? Si oui, quel vision cela t'en à laissé par rapport à une éducation dite "traditionnel" ou chez une assistante maternel ? C'est pas 1 parent, mais les 2 qui élève les enfants. Un qui éveille et l'autre qui prépare au monde, regardez votre éducation et vous y verrez très certainement ce schéma, ça n'est pas pour rien qu'on dit que passer un certain âge on quitte les jupons de l'un des parents pour embêter l'autre ^^


Tu as surement raison, des professionnels formé à l'éducation et l'éveil d'enfant sont surement moins préparés et moins bons dans ce rôle que la plupart des parents en France. Et puis tout le monde le sait, les parents élevés "traditionnellement" (aka, la mère au foyer, et le père qui bosse) sont forcément plus éveillés que les autres, c'est bien connu.
"Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Zhatan le Ven Déc 15, 2017 16:16

La sélection naturel écartes les individus faible qui pour survivre doivent procréer de manière plus abondante, de ce fait, l'envie de fonder une famille est inscrit dans nos gènes depuis que nous existons. Toi tu ne le perçoit pas comme un désire spécifique de perpétuer l’espèce, mais pourtant l'envie dêtre père ou mère en est l'expression même, ça n'est pas notre société qui nous l'impose, autrement nous ne nous serions pas assez développer pour faire cette réflexion.

Tu confonds pas mal de chose : d'abord ce ne sont pas les individus "faibles" qui sont écartés, ce sont les individus ayant un avantage (dans un environnement donné ! savoir grimper aux arbres ça sert à rien sur la banquise) qui sont sélectionnés. Il n'y a probablement pas de gène donnant "envie de fonder une famille" : la famille telle que nous la connaissons n'existe presque nulle part. Quand bien même cela serait inscrit dans nos gènes, cela n'oblige certainement pas à agir dans le même sens que nos gènes : sinon c'est pas la peine de soigner le diabète de type I par exemple.

Dans ce cas, pourquoi c'est par la que se passe la reproduction ? Le plaisir dans le sexe et la libération d'hormone qui en découle nous pousse à l'attachement en vue de rester ensemble pour élever l'enfant. Ce que tu appelles l'amour, sa fonction biologique est d'assurer un cadre de vie à junior, d'ailleurs l'amour que les différents sexe s'accorde n'est pas le même selon le genre, les différence au niveau de la selection du partenaire en est l'expression.

Bah déjà il y a des tas de sexualités qui sont non procréatives (homosexuelle, anale, orale, masturbatoire, pendant les règles... etc) et qui donnent quand même du plaisir. Donc ok la cause lointaine de l'apparition de la sexualité plaisante est la reproduction, mais ça ne signifie certainement pas que toute sexualité doit être procréative. Le sexe ne pousse pas à l'attachement, je suis désolé. Quant à l'amour même chose, il est probable que la cause lointaine soit la nécessité de s'occuper des petits, mais l'amour est relativement détachée de l'existence d'un enfant (et une mère peut tout à fait ne pas aimer son enfant d'ailleurs). Je n'ai pas compris la dernière partie de ta phrase.

Tu peux travailler et avoir des enfants, mais progresser au travail et bien élever ses enfants c'est plus dur que tu sois femme ou homme et c'est la que le féminisme tel qu'il est représenté dans les médias me dégoute, désolé mais l'image de la célibataire de 35 ans+ sans enfants et sans homme, sous directrice d'une société ne m'attire pas surtout si au passage il faut faire passer la majorité des autres femmes pour des paumés soumises car elles ont eu l'envie de faire des enfants et de les éduquer au détriment de leur progression au travail. D'ailleurs parlons en de leur travail ou elles seront remplaçable comme l'immense majorité des autres (homme ou femme), pour moi ça n'est pas synonyme de réussite social au contraire même. D'ailleurs c'est à ce moment la qu'on se rend compte que le féminisme est une cause économique et non une revendication social.

Bah si tu veux que l'image de la célibataire de 35 ans ne t'attire pas, c'est ton problème, pas le mien et pas celui des femmes. Quant à l'image de "paumées soumises", je ne sais pas où tu as vu ça. Perso ce n'est pas ce que je dis en tout cas. De même, peut-être que pour toi ce n'est pas synonyme de réussite sociale, en attendant les femmes qui travaillent ont en général envie de travailler (ce qui ne veut pas dire qu'elles ne sont pas critiques de leurs conditions de travail).

Mon avis en tant qu'Homme par contre ne vas certainement pas plaire, mais je me sens moins capable que ma femme d'éveiller notre enfant.
Ca n'est pas que j'en sois incapable ou que je n'en ai pas le désire, mais je suis confronté à mes propres peurs et appréhensions communes à tout les pères.

Les mères n'ont pas d'appréhension ?
Pour le reste, je ne vois pas pourquoi il faudrait "un père qui apporte l'argent" et "une mère qui apporte l'affection". Les deux parents peuvent travailler et apporter de l'affection, éventuellement différemment. Mais je ne crois pas du tout en ce partage des rôles automatique entre les deux parents (qui peuvent être du même sexe, d'ailleurs).

Sur la parité j'ai déjà répondu. Et sur le féminisme, on ne peut pas faire comme s'il n'y avait qu'un seul féminisme. Enfin, le fait de pouvoir allaiter en public est aussi une revendication féministe, donc je crois que tu te trompes. Je ne vois pas en quoi le fait d'avoir des femmes qui travaillent accroitrait l'infériorité des femmes.


Bon maintenant sur la nutrition, je suis désolé mais vous n'avez pas compris de quoi il s'agissait :
Concernant l'idée que la femme serait plus petite à cause d'une confiscation de nourriture, c'est ignorer que cet écart de taille est visible chez une grande majorité de mammifères.

Mince, faire une thèse de 600 pages et ne pas s'en être rendu compte ! :mrgreen:
C'est oublier qu'il y a des mammifères ou des primates chez lesquels la femelle et le mâle n'ont pas de différence de taille (voire, cas assez rare, où la femelle est plus grande que le mâle). Comme il n'y a pas de loi générale mais seulement une tendance, il faut rendre compte pour chaque espèce de ce qui a poussé à un dimorphisme sexuel de stature, il faut donc rendre compte des relations entre la physiologie de l'espèce, son comportement social et son environnement (notamment l'accès à la nourriture).

En plus, si cette histoire de confiscation de nourriture peut ou a pu exister dans certains cas, elle est loin d'être universelle.

Bah c'est pourtant assez général. Surtout qu'en dehors de nos sociétés de maîtrise de la procréation et de la fécondité, une femme adulte a en moyenne besoin de plus de calories qu'un homme. Donc même si les portions sont les mêmes, les femmes sont sous-nourries.
Et puis, il faudrait qu'elle le soit pendant toute la croissance

Pas forcément.
, je vois mal une mère donner plus à manger aux enfant d'un sexe plutôt qu'à l'autre...

Bah pourtant si. Et surtout, les enfants et ados se régulent eux-mêmes. Notamment les filles qui font beaucoup plus attention à leurs corps.

et surtout, comment expliquer que cette privation n'entraîne un déficit de croissance que sur les descendants d'un seul sexe ? Ça n'a aucun sens biologique. À environnement à ressources réduites, individus plus petits pour les deux sexes... avec le même écart entre hommes et femmes que dans ceux où tout le monde mange pareil !

C'est toi qui ne comprend pas le sens biologique que ça fait.
Il y a des traits, la taille notamment, qui sont liés au sexe, cela veut dire qu'être d'un sexe permet de prédire (en partie) quelle taille tu feras. Cela veut dire que toute chose égale par ailleurs, les femmes sont plus petites que les hommes. Mais justement, d'une part les choses ne sont pas égales par ailleurs et d'autre part, il faut prendre en compte le temps long de l'évolution : si le caractère "taille" s'exprime différemment selon le sexe, il est possible que ce gène soit sélectionné différemment dans les deux sexes. Comment comprendre le plumage du paon mâle sinon ? Il est apparu d'un coup d'un seul ?

Il a été scientifiquement vérifié que pour toutes les ethnies du globe, les grandes comme les petites, la différence de taille entre hommes et femmes est comprise entre 10 et 15 centimètres. Difficile de croire que tous les peuples du monde aient privé leurs femmes de nourriture de la même façon !

En fait entre 6 et 15 cm, ça fait du simple à deux fois et demi !!! (et même, 10 à 15 cm, ça fait une grosse différence). Donc non, tous les peuples du monde n'ont pas privé leurs femmes de nourriture de la même façon.

Bon en plus, quand on voit la silhouette des vénus paléolithiques, pardon !

Et du coup quand on regarde les statues à tête de chacal des égyptiens, qu'est-ce qu'on doit en déduire ? :mrgreen:
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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Rammus le Sam Déc 16, 2017 23:12

Axaca a écrit:
Rammus a écrit:
Pour les crèches, je me permet de te poser une question, y as-tu déjà mi les pied en temps que Parent ? Si oui, quel vision cela t'en à laissé par rapport à une éducation dite "traditionnel" ou chez une assistante maternel ? C'est pas 1 parent, mais les 2 qui élève les enfants. Un qui éveille et l'autre qui prépare au monde, regardez votre éducation et vous y verrez très certainement ce schéma, ça n'est pas pour rien qu'on dit que passer un certain âge on quitte les jupons de l'un des parents pour embêter l'autre ^^


Tu as surement raison, des professionnels formé à l'éducation et l'éveil d'enfant sont surement moins préparés et moins bons dans ce rôle que la plupart des parents en France. Et puis tout le monde le sait, les parents élevés "traditionnellement" (aka, la mère au foyer, et le père qui bosse) sont forcément plus éveillés que les autres, c'est bien connu.


Je n'aime pas ce genre de raisonnement surtout que j'ai bien précisé que j'incluais les assistants maternels comme moyen d'éveiller convenablement des petits et tu semble l'avoir volontairement oublié pour je ne sais quelle raison... essaie plutôt de m'expliquer en quoi j'ai tord plutôt que de me faire passer pour je ne sais quoi. Déjà c'est mal connaitre les métiers de la petite enfance, je suis issu d'une mère assistante maternelle, des petits en bas âge j'en ai vu défiler un paquet et oui je l'affirme, la crèche éveille moins les enfants que chez un assistant maternel ou ses parents. Surveiller 10 gamins par personne ça n'est pas la même chose que d'en surveiller 3 ou son propre enfant. Les activités sont bien plus ludiques étant donné que notre temps n'est pas consacré à la surveillance de tant d'enfants, je ne parle pas de la compétence même des professionnels (dont 80% n'ont eu que 5 jours de formation étant donné que c'était la loi il y a pas si longtemps, pareil pour les assistants maternels).

Zhatan a écrit:
La sélection naturel écartes les individus faible qui pour survivre doivent procréer de manière plus abondante, de ce fait, l'envie de fonder une famille est inscrit dans nos gènes depuis que nous existons. Toi tu ne le perçoit pas comme un désire spécifique de perpétuer l’espèce, mais pourtant l'envie dêtre père ou mère en est l'expression même, ça n'est pas notre société qui nous l'impose, autrement nous ne nous serions pas assez développer pour faire cette réflexion.

Tu confonds pas mal de chose : d'abord ce ne sont pas les individus "faibles" qui sont écartés, ce sont les individus ayant un avantage (dans un environnement donné ! savoir grimper aux arbres ça sert à rien sur la banquise) qui sont sélectionnés. Il n'y a probablement pas de gène donnant "envie de fonder une famille" : la famille telle que nous la connaissons n'existe presque nulle part. Quand bien même cela serait inscrit dans nos gènes, cela n'oblige certainement pas à agir dans le même sens que nos gènes : sinon c'est pas la peine de soigner le diabète de type I par exemple.


On va se refaire le coup de verre à moitié pleins/vides, on dit plus ou moins la même chose mais sous un angle de vue différent. On parle tous les deux de sélection naturelle, là où toi tu vois dans mes propos la domination de la force, je parle comme toi d'adaptabilité et j'en fais mention avec les espèces ayant beaucoup de prédateur qui font plus de petit (pour perpétuer l'espèce, cf le besoin primaire instinctif) que les prédateurs n'ayant pas besoin de s'encombrer de masse d'enfant pour ce faire. Donc là où toi tu entends "envie de fonder une famille" essaie de me comprendre comme quoi le désir d'être parent est l'expression de cet instinct primaire. D'ailleurs tu admets que cela pourrait être inscrit dans nos gènes, mais ne trouves-tu pas paradoxale le fait de vouloir aller contre une de nos lois qui s'est inscrite depuis des millions d'années ? Pourtant une habitude qui se transmet depuis plusieurs générations est considéré comme essentiel à la survit autrement nous ne l'aurions pas transmis à nos enfants, donc fatalement cela nous y oblige et ta manière de penser me permet même de me faire la réflexion suivante : Ne sommes-nous pas justement privilégié de pouvoir ainsi chambouler ce qui nous a permis d'en arriver là par rapport aux autres espèces ? En ce qui concerne le diabète du type 1 c'est un tout autre débat, il n'est pas réellement naturel, je t'invite à regarder l'étiquette d'une boîte de lait maternisé et à le comparer avec un lait maternel, tu y verras l'immense concentration de lactose (sucre à Ig très élevé), gluten (perméabilité de l'estomac) et acide gras (augmentation de l'Ig des sucres déjà très haut) et à leurs conséquences sur le pancréas qui est un système qui nous permet justement de gérer notre insuline en fonction des sucres qu'on ingurgite. Fatalement si à un âge où tout est en développement tu salopes tout ce système, il ne faut pas s'étonner de transmettre des gènes imparfaits à ce niveau étant donné qu'ils n'ont pas put aller au bout de leur développement sans embûche (le diabète de type 1 apparaissant chez les jeunes sujets le plus fréquemment).

Zhatan a écrit:
Dans ce cas, pourquoi c'est par la que se passe la reproduction ? Le plaisir dans le sexe et la libération d'hormone qui en découle nous pousse à l'attachement en vue de rester ensemble pour élever l'enfant. Ce que tu appelles l'amour, sa fonction biologique est d'assurer un cadre de vie à junior, d'ailleurs l'amour que les différents sexe s'accorde n'est pas le même selon le genre, les différence au niveau de la selection du partenaire en est l'expression.

Bah déjà il y a des tas de sexualités qui sont non procréatives (homosexuelle, anale, orale, masturbatoire, pendant les règles... etc) et qui donnent quand même du plaisir. Donc ok la cause lointaine de l'apparition de la sexualité plaisante est la reproduction, mais ça ne signifie certainement pas que toute sexualité doit être procréative. Le sexe ne pousse pas à l'attachement, je suis désolé. Quant à l'amour même chose, il est probable que la cause lointaine soit la nécessité de s'occuper des petits, mais l'amour est relativement détachée de l'existence d'un enfant (et une mère peut tout à fait ne pas aimer son enfant d'ailleurs). Je n'ai pas compris la dernière partie de ta phrase.

Dans ce cas pourquoi notre corps libère les hormones liées à l'attachement après un coït ? Ça rejoint la réflexion que je me suis permise juste au-dessus concernant notre position d'espèce privilégier dans l'évolution nous permettant ce genre de loisir sympa, d'ailleurs si l'on s'attache au point de vue scientifique de la chose, le fait de tromper son partenaire va dans ce sens car malgré un fort attachement à en mourir envers son/sa partenaire, il arrive qu'un des deux trompes l'autre, ce que la science explique par le besoin primaire de procréation et de diversifier les gènes en vue d'avoir une descendance plus robuste et diverse, même si d'un point de vue personnel ça ne me plait pas trop de me servir de ce genre d'argument. Pour la fin de ma phrase, je disais que les hommes et les femmes ne s'aiment pas de la même manière tout comme leurs critères de sélection sont également très différents.

Zhatan a écrit:
Tu peux travailler et avoir des enfants, mais progresser au travail et bien élever ses enfants c'est plus dur que tu sois femme ou homme et c'est la que le féminisme tel qu'il est représenté dans les médias me dégoute, désolé mais l'image de la célibataire de 35 ans+ sans enfants et sans homme, sous directrice d'une société ne m'attire pas surtout si au passage il faut faire passer la majorité des autres femmes pour des paumés soumises car elles ont eu l'envie de faire des enfants et de les éduquer au détriment de leur progression au travail. D'ailleurs parlons en de leur travail ou elles seront remplaçable comme l'immense majorité des autres (homme ou femme), pour moi ça n'est pas synonyme de réussite social au contraire même. D'ailleurs c'est à ce moment la qu'on se rend compte que le féminisme est une cause économique et non une revendication social.

Bah si tu veux que l'image de la célibataire de 35 ans ne t'attire pas, c'est ton problème, pas le mien et pas celui des femmes. Quant à l'image de "paumées soumises", je ne sais pas où tu as vu ça. Perso ce n'est pas ce que je dis en tout cas. De même, peut-être que pour toi ce n'est pas synonyme de réussite sociale, en attendant les femmes qui travaillent ont en général envie de travailler (ce qui ne veut pas dire qu'elles ne sont pas critiques de leurs conditions de travail).

J'ai bien compris ce que toi tu voulais dire, je parlais de l'image véhiculée par le groupuscule féministe. Que les femmes aient envie de travailler de cette manière est une chose, mais de là à se revendiquer Femme par rapport aux femmes en est une autre. D'autant que ces discours semblent oublier que la condition sociale des femmes est acceptée par les femmes elles-mêmes. À les croire, ce sont les hommes qui abusent des femmes, mais les patronnes ça existe et je ne les penses pas plus généreuse que les patrons. D'autant qu'une Femme étant passé sa vie à travailler dans une société sera toujours aussi remplaçable qu'un homme à la différence près que celle-ci passés 35 ans à de plus fortes chances de ne plus pouvoir avoir d'enfant, ou difficilement, alors qu'un Homme, ça peut procréer jusqu'à un âge avancé du coup je trouve les femmes doublement arnaquées par les ces discours. Puis partant du postula admis plus haut, si la reproduction est inscrite dans nos gènes, on cherche fatalement la meilleure mère (ou porteuse si tu veux) afin d'assurer un bon junior et cette femme ne sera probablement plus la meilleure pour assurer cela...

Zhatan a écrit:Mon avis en tant qu'Homme par contre ne vas certainement pas plaire, mais je me sens moins capable que ma femme d'éveiller notre enfant.
Ca n'est pas que j'en sois incapable ou que je n'en ai pas le désire, mais je suis confronté à mes propres peurs et appréhensions communes à tout les pères.

Les mères n'ont pas d'appréhension ?
Pour le reste, je ne vois pas pourquoi il faudrait "un père qui apporte l'argent" et "une mère qui apporte l'affection". Les deux parents peuvent travailler et apporter de l'affection, éventuellement différemment. Mais je ne crois pas du tout en ce partage des rôles automatique entre les deux parents (qui peuvent être du même sexe, d'ailleurs).

Je n'ai pas dit qu'il fallait, j'ai dit qu'à titre personnel je m'en sentais moins capable. Je ne suis pas dans le cliché du père qui apporte l'argent et de la mère qui élève l'enfant, je me pose simplement des questions. Si tu conçois que l'on peut apporter de l'affection de manière différente, pourquoi ne pas concevoir que l'une est faite pour éveiller et l'autre plus tailler à forger ? Encore une fois j'en reviens à ma réflexion fait plus haut et je me permets cette autre réflexion, plutôt que nous attarder sur ce qui ne va pas de l'égalité homme-femme, pourquoi ne pas nous attardés sur ce que nous avons de plus que les autres ? Je nous trouve bien présomptueux à renier ainsi ce qui nous a permis de survivre. Si cela a été pratiqué par le groupe pendant des milliers d'années, pourquoi tout renier sous couvert de la bien pensante plutôt que d'admettre que c'est effectivement le cas et au contraire revendiquer le fait de pouvoir maintenant grâce à nos conditions d'espèce privilégier d'inverser les rôles ?

D'ailleurs ne serait-il pas socialement plus valorisant pour le parent qui décide d'arrêter sa carrière pour élever ses enfants de se voir attribuer un véritable salaire ainsi qu'un formation en VAE de part sa propre fonction de Parent ? Arrêter un emploi de cassier/ère à mi-temps pour élever des enfants et revenir dans le monde actif en temps qu'assistant social, maitresse/maitre d'école ou accompagnateur de jeune parents/enfant serait une réel avancé social

Zhatan a écrit:Sur la parité j'ai déjà répondu. Et sur le féminisme, on ne peut pas faire comme s'il n'y avait qu'un seul féminisme. Enfin, le fait de pouvoir allaiter en public est aussi une revendication féministe, donc je crois que tu te trompes. Je ne vois pas en quoi le fait d'avoir des femmes qui travaillent accroitrait l'infériorité des femmes.

L'allaitement en public n'a jamais été interdit il me semble, c'est bien pour cela que je dit que la libération du corps tel que pratiqué par les groupuscules féministes ou les médias mène à avoir un regard pervers sur cette pratique naturelle. Je n'ai pas dit avoir des femmes qui travaillent accroîtrait infériorité des femmes, j'ai dit la parité accroîtrait l'infériorité des femmes. Je te prends mon exemple, je travaille dans le sport et je projette de me développer. Le hasard des choses fait que mes collaborateurs sont des hommes. Demain si je devais subir cette parité homme-femme obligatoirement, je donnerai les tâches les moins importantes aux femmes car pour respecter cette parité, je ferai des sous-catégories aux besoins de ma société pour conserver justement mes meilleurs éléments à des postes clés, devine qui se retrouverait donc encore une fois moins bien payé et avec moins d'opportunité d'évolution ? J'ai une société à gérer et je ne fais pas dans le social ni dans la démocratie, c'est dégueulasse à dire, mais c'est la vérité. Tu me diras que ça pourrait très bien marcher dans l'autre sens, c'est vrai mais étant donné que le problème est posé par les féministes je pars dû postulas que le souci vient dans ce sens. D'ailleurs un droit de parité demandé par des femmes à une majorité d'homme légiféré par eux-mêmes... Ce n'est pas un vrai droit, un droit tu le prends, tu ne le quémande pas.


Zhatan a écrit:Bon maintenant sur la nutrition, je suis désolé mais vous n'avez pas compris de quoi il s'agissait :
Concernant l'idée que la femme serait plus petite à cause d'une confiscation de nourriture, c'est ignorer que cet écart de taille est visible chez une grande majorité de mammifères.

Mince, faire une thèse de 600 pages et ne pas s'en être rendu compte ! :mrgreen:
C'est oublier qu'il y a des mammifères ou des primates chez lesquels la femelle et le mâle n'ont pas de différence de taille (voire, cas assez rare, où la femelle est plus grande que le mâle). Comme il n'y a pas de loi générale mais seulement une tendance, il faut rendre compte pour chaque espèce de ce qui a poussé à un dimorphisme sexuel de stature, il faut donc rendre compte des relations entre la physiologie de l'espèce, son comportement social et son environnement (notamment l'accès à la nourriture).


J'aimerai biens que tu me cites les mammifères et primates justement, car je ne vois que très peu d'exceptions mises à part au niveau marin et de du petit faune (insectes, arachnide, etc.) donc à moins que l'étude pense que ces espèces sont aussi des mammifères... C'est aussi totalement occulté les différences fondamentales au niveau métabolique entre un homme et une femme. SI mon métabolisme est plus élevé de base que celui d'une femme, c'est essentiellement dû à mes testicules qui de par leurs sécrétions de testo influent grandement sur les autres systèmes tels que la tyroïde plus prononcé chez nous, deux des facteurs les plus importants du métabolisme basal (et donc calorique). À moins que là sur abondance de nourriture nous ait fait pousser des testicules, je ne vois pas en quoi votre plus petite taille et faiblesse physique sont d'eux à une supposée privation de nourriture par l'homme....

Zhatan a écrit:
En plus, si cette histoire de confiscation de nourriture peut ou a pu exister dans certains cas, elle est loin d'être universelle.

Bah c'est pourtant assez général. Surtout qu'en dehors de nos sociétés de maîtrise de la procréation et de la fécondité, une femme adulte a en moyenne besoin de plus de calories qu'un homme. Donc même si les portions sont les mêmes, les femmes sont sous-nourries.


J'aimerais que tu me cites cette source qui indique qu'une femme à plus de besoin calorique qu'un homme j'ai déjà ma petite idée sur son contenu et sur quoi elle se base, mais je ne vais pas parler sur une supposition... Déjà c'est faire une erreur de penser que les Hommes sont égaux entre eux en matière de besoin métabolique, un homme moyen aura des besoins différents selon l'endroit du globe d'où il tient ses racines, il n'assimilera pas les nutriments de la même manière et n'aura pas les mêmes besoins. C'est pareil chez la femme, sauf que cette différence est aussi marquée entre les hommes et femme de même région du globe. Déjà que c'est faux car à nourriture égale la femme serait sur nourrit, mais c'est également erroné car nous ne répondons pas de la même manière aux nutriments

Zhatan a écrit:
Et puis, il faudrait qu'elle le soit pendant toute la croissance

Pas forcément.



Zhatan a écrit:
, je vois mal une mère donner plus à manger aux enfant d'un sexe plutôt qu'à l'autre...

Bah pourtant si. Et surtout, les enfants et ados se régulent eux-mêmes. Notamment les filles qui font beaucoup plus attention à leurs corps.
[/quote]

La tu confonds la dénutrition avec une volonté de nuire de la dénutrition avec une volonté de correspondre à des standards erronés. Une mère ne nourrira pas moins sa fille que son fils, je pense que si une mère ayant eu des jumeaux fille et garçon pourras te le dire, c'est la tambouille commune avec une cuillère sur deux chacun et le suisse en dessert. Pour les ados, le phénomène est entrain de passer, mais les critères de beauté tel que relayé dans les médias à coups de mannequins au corps infantile ne reflète pas ceux avec quoi les hommes finissent leurs vie. D'ailleurs c'est assez étrange de voir que les femmes considérés comme hors des standard sont adulées par la majorité des hommes sur cette planète. Beyoncé est grosse par rapport à ce à quoi ces filles essaie de ressembler, pourtant elle est considéré comme l'une des plus belle femme de la planète...

Zhatan a écrit:
et surtout, comment expliquer que cette privation n'entraîne un déficit de croissance que sur les descendants d'un seul sexe ? Ça n'a aucun sens biologique. À environnement à ressources réduites, individus plus petits pour les deux sexes... avec le même écart entre hommes et femmes que dans ceux où tout le monde mange pareil !

C'est toi qui ne comprend pas le sens biologique que ça fait.
Il y a des traits, la taille notamment, qui sont liés au sexe, cela veut dire qu'être d'un sexe permet de prédire (en partie) quelle taille tu feras. Cela veut dire que toute chose égale par ailleurs, les femmes sont plus petites que les hommes. Mais justement, d'une part les choses ne sont pas égales par ailleurs et d'autre part, il faut prendre en compte le temps long de l'évolution : si le caractère "taille" s'exprime différemment selon le sexe, il est possible que ce gène soit sélectionné différemment dans les deux sexes. Comment comprendre le plumage du paon mâle sinon ? Il est apparu d'un coup d'un seul ?

Je pense que ce que Foenidis à essayé de dire en gros c'est comment cette tare peut ne pas se transmettre à un descendant homme sachant qu'il se répercuterait dès le départ chez les enfants femmes. Tu dis toi même que les femmes sont plus petites que les hommes à part égale, mais tu dit ensuite que les choses ne sont pas égale ? Pourquoi ? Tu parles d'évolutions, mais tiens tu réellement compte de l'histoire qui l'entour ? La place de l'homme (chasseur) à entraîné une mortalité plus fréquente chez lui et donc un système immunitaire moins performant que celui de sa femme qui en s'occupant des petit aurait développé une ouie plus propice à l'attention des sons de ses enfants ainsi que des connections nerveuse la démontrant clairement une une bien meilleur capacité à gérer plusieurs tâche à la fois la ou l'homme est plus à la concentration et à l'anticipation comment ne pas en déduire une certaine prédisposition de chacun ? Concernant le paon, je ne sais pas spécialement, mais il me semble que chez les espèces faibles physiquement avec beaucoup de prédateur, notamment chez les oiseaux, le plumage vif et voyant est synonyme de puissance. Plus il sont visible, plus ils prouve leur capacité de survit et donc leurs gènes.

Zhatan a écrit:
Il a été scientifiquement vérifié que pour toutes les ethnies du globe, les grandes comme les petites, la différence de taille entre hommes et femmes est comprise entre 10 et 15 centimètres. Difficile de croire que tous les peuples du monde aient privé leurs femmes de nourriture de la même façon !

En fait entre 6 et 15 cm, ça fait du simple à deux fois et demi !!! (et même, 10 à 15 cm, ça fait une grosse différence). Donc non, tous les peuples du monde n'ont pas privé leurs femmes de nourriture de la même façon.

La encore c'est oublier le fait qu'en dépit du fait que nous n'avons pas les même besoins selon les différents éthnie du globe, il y à aussi des différence en matière de accessibilité à la nourriture (qui d'ailleurs à entraîne nos différence d'assimilation des macronutriments par region), la ou la calorie est très rare, il ne devrait plus y avoir d'ethnie étant donné la privation supposé des femmes. Si un homme gardien de la calorie à déjà du mal à sa propre survit, je voit mal comment ils auraient survécu en partant du principe que cette théorie est vrai.


D'ailleurs, je pense que le principal défaut de cette théorie est qu'elle ne se considère justement pas comme tel. Toute étude scientifique sérieuse s'impose avec la question "En quoi ma théorie est fausse" et même si nous ne parvenons pas à le prouver, nous considérons nos écrit s'y raccrochant comme cohérent dans la logique de cette théorie et non comme absolut. L'Obs (qui à relayé en premier cette étude il me semble), l'a imposé non pas comme une théorie, mais une vérité ou la question n'était pas "En quoi j'ai tords", mais plutôt "Pourquoi j'ai raison". On ne se demande plus pourquoi quand on sais posé la question dans le sens inverse étant donné qu'elle se démonte assez rapidement en s'appuyant sur des faits scientifique et non d'autres théories.

Je trouve un peu dommage et perçoit assez mal le discours féministe sachant tout cela. Etre conscient des différence hommes femmes n'est pas forcément accepter la supériorité de l'un par rapport à l'autre, mais accepter l'idée même d'une complémentarité, une synergie. Je vais prendre encore mon cas personnel, mais je ne passerai pas le reste de ma vie avec une personne dont je n'ai pas besoin pour vivre, on ne cherche pas son égale, mais celle qui me permettra de viser plus haut, car quoi qu'on en dise, une femme au foyer qui n'a jamais travaillé de sa vie à autant de mérite dans la réussite de son mari que son mari lui même, c'est la dernière personne que tu vois avant de dormir et la première que tu vois le matin, ton conjoint c'est la majorité de ton état d'esprit. Personnellement, j' accomplis plus de chose en étant accompagné que seul ou j'ai tendance à prendre trop mon temps. Je déplore aujourd'hui que les couples se battent pour rester ensemble et dépense du temps et du mental à fixer le couple plutôt que de construire un avenir et évoluer socialement ensemble en se soutenant mutuellement, car dans cette optique la que ce soit toi ou ta femme qui ramène le plus d'argent personne n'a d'ascendance sur l'autre autre que celle lié au caractère et mise à part mon appréhension à l'idée d"avoir une fille (et encore, ça changera peut-être si j'en ai une et paradoxalement j'en désire une), je ne verrais pas d’inconvénient à rester élever nos enfants à la maison. Puis de toute façon si j'ai une fille, je la bourre de kitkat comme ça elle deviendras obèse avec des boutons, je l'entraîne dans l'haltérophilie des que possible ainsi qu'un sport de combat et personne la touchera ou s'en moquera :lol:
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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Foenidis le Dim Déc 17, 2017 4:21

> Zhatan

La débile de service, le retour. :mrgreen:

Tu prends comme argument le temps long de l'évolution en même temps que tu argumentes sur le fait que les adolescentes mangent moins pour faire attention à leur apparence. Sauf que la maigreur est un canon de beauté très récent. La plupart du temps au cours de l'histoire, les femmes girondes, pour ne pas dire obèses à certaines périodes, ont constitué l'idéal féminin.

Zhatan a écrit:Mince, faire une thèse de 600 pages et ne pas s'en être rendu compte !


Le nombre de pages n'a jamais été garant de la pertinence de leur contenu, il n'y a que les imbéciles pour croire que l'épaisseur d'un document fait sa qualité.
Et aussi incroyable que cela puisse paraître, il est aussi tout à fait possible d'argumenter et de convaincre à partir d'un postulat de départ complètement erroné (de bonne ou mauvaise foi, peu importe), l'histoire ne manque pas d'exemples en la matière.

Cette thèse peut avoir été pondue par des contemporains qui ont grandi en ville, complètement déconnectés des réalités naturelles et du bon sens qui en découle - ou peut-être issu d'une zone de climat chaud. Parce que pour ce qui concerne nos latitudes, n'importe quel paysan attardé sait depuis toujours que veiller à bien nourrir les reproductrices est essentiel pour pérenniser et récolter les fruits d'un bon cheptel. Il en est de même pour sa femme et les enfants sur lesquels il devait compter pour sa subsistance. Les auteurs de cette thèse auraient bien fait de réviser un peu leur histoire. Ils auraient compris que par exemple en Europe, avant la période moderne, en dehors de la noblesse (et encore, les femmes s'occupaient de la gestion des domaines pendant l'absence de leur époux parti au combat), le concept de femme au foyer n'existait pas, de un... et que de deux, en l'absence de système de retraite, la progéniture devait être en mesure d'assumer les vieux jours de leurs parents. Hommes et femmes travaillaient tout aussi durement l'un que l'autre. Croire que la femme se contentait de s'occuper des mioches est une idée complètement fausse. Dans ces conditions, sous-alimenter volontairement sa femme et affaiblir sa force de travail tout en prenant le risque d'une descendance médiocre, qu'il s'agisse des filles ou des garçons (qui bossaient aussi tous dès qu'ils en étaient capables), tient du dernier ridicule.

Je sais que dans certaines régions du monde, les hommes traitaient (traitent) leurs femmes comme des bêtes de somme pour se la couler douce, voire qu'en raison d'un régime polygame, ils puissent n'accorder que peu de valeur à ce qui est remplaçable... mais c'est un luxe que n'ont jamais pu se permettre les peuples européens, notamment en raison des conditions climatiques qui ont rendu la participation complémentaire de tous les membres d'une famille essentielle à sa survie. Il en va de même pour tous ceux vivant sous un climat similaire.

Zhatan a écrit:C'est oublier qu'il y a des mammifères ou des primates chez lesquels la femelle et le mâle n'ont pas de différence de taille


Je note donc que tu ne connais toujours pas la signification de l'expression "grande majorité".

Et puis, une vache a-t-elle moins d'herbe à sa disposition que le taureau ? Moins de temps ou de dents pour brouter ?
Non. Et pourtant, le taureau est plus grand et plus imposant.

(Pourquoi une telle différence chez les bovins et pas les équidés qui partagent le même habitat et quasi le même mode de vie ? Je répondrai s'il y en a que ça intéresse.)

Chez les loups, le dominant de la meute est toujours une louve. C'est elle qui a accès à la nourriture en priorité (et l'exclusivité de la reproduction - les autres louves doivent s'abstenir). Les louves sont-elles pour autant plus grosses que les loups ? Non. Les mâles sont plus grands, plus lourds que les femelles.

Idem pour les éléphants, animaux qui vivent aussi sous matriarcat, et pourtant les mâles sont beaucoup plus grands que les femelles.

Les races de poneys sont issues d'une sélection naturelle due à un environnement réduit en ressources nécessaires aux équidés ( souvent insulaire)... la réduction de taille concerne bien les deux sexes, pas seulement les femelles qui doivent pourtant davantage puiser dans leurs réserves pour procréer. Et c'est pareil pour toute race/espèce dont la taille a été réduite par sélection naturelle.
(minute culturelle : saviez-vous qu'on a retrouvé les fossiles d'un ancêtre des éléphants nain (pas plus grand qu'un cheval) dans le bassin méditerranéen ?)

Au sujet des espèces pour qui la femelle est plus grande que le mâle chez les mammifères, je sais que cela concerne quelques espèces de baleine.
Raisons de cette inversion :
1) ces espèces ne connaissent pas la notion de territoire et ce sont les femelles qui choisissent les reproducteurs (critère de sélection : le chant des mâles) = aucune compétition de taille/force n'est nécessaire entre les mâles pour s'imposer lors de combats ;
2) pour mettre bas, les femelles migrent vers des eaux beaucoup plus chaudes que celles où elles se nourrissent et se retrouvent privées de ressources alimentaires pendant les premières semaines de vie de leur baleineau (deux à trois mois me semble-t-il). L'allaitement pendant ces période nécessite de puiser dans de très importantes réserves de graisse, justifiant la grande taille des femelles pour supporter un amaigrissement qui se compte en tonnes.

Là encore, la différence de taille entre les sexes n'a absolument rien à voir avec un quelconque écart d'accès à la nourriture selon qu'il s'agisse d'individus mâles ou femelles. Pis, si on part de la théorie d'un accès réduit à la nourriture pour la femme pour justifier sa taille inférieure par rapport à celle de son mâle, la baleine femelle aussi devrait être plus petite, puisqu'elle doit subir de longues périodes de famine aggravée à chaque mise bas.

Représentation humaine à tête de chacal : Je pense que le mec qui a designé ce dieu avait un profonde connaissance de la nature humaine. :mrgreen:
Je note aussi que tu n'y connais rien en mythologie égyptienne puisque cette représentation ne concerne pas des êtres humains lambdas, mais bel et bien une seule entité bien précise : Anubis, dieu des morts (précision pour les nuls en zoologie, le chacal est volontiers charognard).

Ne perds pas de temps à me répondre que les vénus paléolithiques peuvent aussi représenter une divinité (ce qui peut effectivement être le cas - voir le concept de "déesse-mère"), parce que je vais rétorquer qu'il a bien fallu un modèle à ces sculpteurs (détails de l'évolution du corps impossibles à inventer, alors que pour changer une tête, il suffit d'un "couper/coller), et que donc, les femmes obèses ont bien existé à l'époque de ces figurines.

Bref, qu'importe la cohérence, tu détiens la vérité absolue et les autres sont des teubés. Gloire à toi ! (oupa)

Rammus a écrit:Puis de toute façon si j'ai une fille, je la bourre de kitkat comme ça elle deviendras obèse avec des boutons, je l'entraîne dans l'haltérophilie des que possible ainsi qu'un sport de combat et personne la touchera ou s'en moquera :lol:


Fais gaffe, les mecs qui kiffent les grosses (voire les très grosses) sont beaucoup plus nombreux que ce que tu crois.

Heureusement pour ceux et celles qui ne rentrent pas dans l'archétype du moment, tout le monde n'est pas attiré par le même type de personnes.

....

Je ne perds le temps de personne à revenir sur le reste de la conversation, puisque je ne ferais que répéter ce que j'ai déjà écrit. Ceux qui ont sauté des lignes peuvent relire, ceux qui ne sont pas d'accord avec mes arguments ne le seront pas plus, quant à ceux qui n'ont rien compris et n'ont pas envie d'essayer de comprendre, je ne peux rien de plus pour eux.

Youp la boum
Le futur me donne un peu trop souvent l'impression d'avoir les mots de Dante « Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance » gravés en lettres sombres sur son fronton.
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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Lalilalo le Dim Déc 17, 2017 10:00

J'ai tendance à ne pas vous modérer au moindre écart de langage pour ne pas trop vous brimer dans la discussion et car la majorité de ceux qui interviennent dans les sujets de la section "café" ne sont plus des enfants et peuvent encaisser certains propos.
Cela dit, la discussion vire doucement mais sûrement vers toujours plus d'agressivité. Je vous prie donc de rester courtois (ou au pire de ne pas répondre à un interlocuteur si c'est trop difficile). A défaut, on passera au Lock du sujet, ce qui serait dommage car j'aime beaucoup lire vos arguments.
Merci.

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Re: Différence du rapport au genre entre hommes et femmes.

Messagepar Zhatan le Dim Déc 17, 2017 14:39

Fort juste remarque de Lalilalo.
Dans l'optique de faire baisser la température, je vais donc expliciter mon point de vue :
1/ Il existe dans de nombreuses sociétés - pas toutes - de la domination masculine. Ce qui signifie que dans de nombreuses sociétés ce sont les hommes qui, en tendance, possèdent le pouvoir et ce qui lui est attaché : contrôle des ressources, de l'espace, des outils ou des armes... etc. Il y a des exceptions notables, de plus en plus difficile à étudier du fait d'une certaine expansion du mode de vie occidental. Et donc de ses catégories (ex notable : Hutus et Tutsis).

2/ Je ne suis pas biologiste, je ne peux donc pas trancher mais : je montre simplement que la thèse de Priscille Touraille (puisque c'est d'elle dont il s'agit) est plausible. Quant à savoir si elle est juste, c'est une autre histoire. En tout cas elle est intéressante parce qu'elle permet de repenser certains états de fait qu'on a tendance à renvoyer (quant à leurs explications) du côté de la nature. Je résume la thèse de Priscille Touraille :
- Un mystère : Les femmes ont une mortalité extraordinairement élevée à l'accouchement. Beaucoup plus élevées que n'importe quel autre mammifère. Cela est dû à la conjonction de deux faits morphologiques : les bébés ont une très grosse tête et les bassins se sont rétrécis pour permettre la bipédie. Partant, les femmes petites devraient être contre-sélectionnées parce que plus susceptibles de mourir pendant l'accouchement ou des suites de l'accouchement. Il y a donc des raisons pour que les femmes soient plus grandes que les hommes (comme pour les baleines bleues, je ne vois donc pas pourquoi on n'irait pas chercher une explication au dimorphisme de taille ou à l'absence de dimorphisme alors qu'on va en chercher chez tous les mammifères)(et comme le note, Foenidis, les causes sont à chaque fois spécifiques, donc on ne voit pas en quoi le fait que la nutrition n'est pas un facteur de dimorphisme habituellement explique quoi que ce soit pour les humains)(sauf qu'en réalité, la nutrition est bien un facteur de dimorphisme notamment chez certains primates).
- Or, les femmes sont plus petites que les hommes. Et en tout cas plus petites que ce qui serait optimal à leur survie.
- Examiner les modèles explicatif du dimorphisme sexuel chez les mammifères et les primates (surtout) nous permet d'entrevoir des explications au dimorphisme chez les humains. Il est possible après analyse que ce soit le stress nutritif chronique qui ait sélectionné les femmes petites en dépit du fait qu'une grande taille leur aurait été favorable.
Quel stress me direz-vous ? Et bien une femme adulte moyenne pour une population donnée et dans une société qui n'a qu'un contrôle limité sur la procréation et l'avortement dépense énormément de ressource pour son enfant : un allaitement de 750g de lait par jour (c'est une moyenne) fait diriger 500kcalories pour l'enfant plutôt que vers la mère (sans compter les calories nécessaires pour produire ce lait). Dans de nombreuses sociétés, les femmes portent les enfants. Les femmes portent l'enfant lors de la grossesse, ce qui représente une charge considérable. Enfin, les femmes ne travaillent pas moins que les hommes (et souvent plus même). Tout cela permet de dire que les femmes adultes ont besoin de plus de calories (pour en rester à l'aspect purement énergétique) que les hommes. Une société "efficace", "performante" assurerait donc préférentiellement la nutrition des femmes. Or, ce n'est pas ce qui se passe dans la plupart des sociétés.

3/ Aucun fait biologique ou environnemental n'explique à lui seul une organisation sociale (et certainement pas le climat). Le simple fait qu'on puisse concevoir des sociétés ordonnées différemment avec les mêmes traits le prouve.

Tu prends comme argument le temps long de l'évolution en même temps que tu argumentes sur le fait que les adolescentes mangent moins pour faire attention à leur apparence. Sauf que la maigreur est un canon de beauté très récent. La plupart du temps au cours de l'histoire, les femmes girondes, pour ne pas dire obèses à certaines périodes, ont constitué l'idéal féminin.

Non. J'explique comment localement des systèmes sociaux font perdurer certains mécanismes. Sur les canons de beauté, je ne me prononce pas mais à mon avis c'est faux (dans des sociétés où il y a suspicion sur le corps, m'étonnerait qu'on mette en valeur les formes par exemple). Ensuite un canon c'est justement un idéal, ça ne dit absolument rien de la quantité de chair des individus lambdas. La preuve c'est que nos canons de beauté à nous sont relativement inatteignables.

Du coup c'est la même chose pour la "Vénus" néolithique : est-ce la représentation d'un canon de beauté, d'une femme idéale, d'une divinité (oui, comme Anubis, c'était ce à quoi je faisais allusion, je vois pas en quoi ça me rend nul en égyptologie mais bon, bref) ? Et en admettant même que l'on se soit inspiré d'une femme réellement existante (c'est un peu sous-estimer l'imagination des gens mais admettons) : qui était cette femme ? Si ça se trouve cette statuette était à la gloire de la femme d'un chef qui montrait sa valeur et sa richesse par la capacité à entretenir une épouse obèse. Mais cela ne signifie en rien que ce soit une figure répandue. Pour rester sur l'Egypte, c'est pas parce que les pharaons épousaient des membres de leur famille qu'on peut en tirer une généralité sur la société égyptienne tout entière. Alors là une seule statuette dont on ne sait pas à quoi elle sert, ce qu'elle représente et son contexte de création...
C'est d'ailleurs une question qu'on pourrait poser à la thèse de Priscille Touraille : dans les sociétés où les femmes sont dominantes, sont-elles moins petites que les hommes ?

Bref, qu'importe la cohérence, tu détiens la vérité absolue et les autres sont des teubés. Gloire à toi ! (oupa)

C'est toi qui daubes avec beaucoup d'assurance sur des thèses que tu ne connais pas, hein...
Notre conversation avec Rammus est cordiale, demande-toi pourquoi on ne peut pas discuter normalement toi et moi.

D'ailleurs tu admets que cela pourrait être inscrit dans nos gènes, mais ne trouves-tu pas paradoxale le fait de vouloir aller contre une de nos lois qui s'est inscrite depuis des millions d'années ?

Un gène est une "loi" (enfin c'est un peu plus compliqué mais bref) de développement, pas une loi d'organisation sociale !!


Dans ce cas pourquoi notre corps libère les hormones liées à l'attachement après un coït ?

On ne peut pas déduire un comportement social complexe de la présence ou non d'une hormone. Les hormones ont des fonctionnement trop complexes et médiatisés par trop de facteurs environnementaux pour qu'on puisse faire ça.

Je pense que c'est extrêmement réducteur de dire "la science explique par", en réalité, sur ces questions, il y a des tas de désaccord (gènes ? hormones ? social ?... etc) et pour l'instant, on n'est sûr de rien. Même si évidemment, chacun à ses préférences ^^


je parlais de l'image véhiculée par le groupuscule féministe

Perso j'ai déjà entendu des groupes féministes blâmer le fait qu'on ait toujours un truc à dire sur l'activité des femmes, y compris celle de mère au foyer.

À les croire, ce sont les hommes qui abusent des femmes, mais les patronnes ça existe et je ne les penses pas plus généreuse que les patrons.

Oui enfin les patrons exploitent (je caricature un peu) les ouvriers, les dominations peuvent se cumuler, ça n'empêche pas.

D'ailleurs ne serait-il pas socialement plus valorisant pour le parent qui décide d'arrêter sa carrière pour élever ses enfants de se voir attribuer un véritable salaire ainsi qu'un formation en VAE de part sa propre fonction de Parent ? Arrêter un emploi de cassier/ère à mi-temps pour élever des enfants et revenir dans le monde actif en temps qu'assistant social, maitresse/maitre d'école ou accompagnateur de jeune parents/enfant serait une réel avancé social

Ah bah peut-être, mais encore faut-il que ce ne soit pas toujours les mêmes qui élèvent les enfants et arrêtent leur carrière. Et encore faut-il qu'il y ait une vraie possibilité de reprise du travail. Mais sinon, oui pourquoi pas.


C'est aussi totalement occulté les différences fondamentales au niveau métabolique entre un homme et une femme.

Ça c'est la très vieille thèse (1889) de Geddes et Thompson. On a montré depuis que c'était faux, quand même.

J'aimerai biens que tu me cites les mammifères et primates justement, car je ne vois que très peu d'exceptions mises à part au niveau marin et de du petit faune (insectes, arachnide, etc.) donc à moins que l'étude pense que ces espèces sont aussi des mammifères...

Alors malheureusement j'oublie un peu tout le temps les noms : mais certains babouins ne sont pas dimorphes du point de vue de la taille, les ouistitis peut-être. Il y a une quarantaine de primates qui ne sont pas dimorphes sur environ 200 primates.


Je compléterai plus tard, j'ai un déménagement !
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