Axaca a écrit:Rammus a écrit:
Pour les crèches, je me permet de te poser une question, y as-tu déjà mi les pied en temps que Parent ? Si oui, quel vision cela t'en à laissé par rapport à une éducation dite "traditionnel" ou chez une assistante maternel ? C'est pas 1 parent, mais les 2 qui élève les enfants. Un qui éveille et l'autre qui prépare au monde, regardez votre éducation et vous y verrez très certainement ce schéma, ça n'est pas pour rien qu'on dit que passer un certain âge on quitte les jupons de l'un des parents pour embêter l'autre ^^
Tu as surement raison, des professionnels formé à l'éducation et l'éveil d'enfant sont surement moins préparés et moins bons dans ce rôle que la plupart des parents en France. Et puis tout le monde le sait, les parents élevés "traditionnellement" (aka, la mère au foyer, et le père qui bosse) sont forcément plus éveillés que les autres, c'est bien connu.
Je n'aime pas ce genre de raisonnement surtout que j'ai bien précisé que j'incluais les assistants maternels comme moyen d'éveiller convenablement des petits et tu semble l'avoir volontairement oublié pour je ne sais quelle raison... essaie plutôt de m'expliquer en quoi j'ai tord plutôt que de me faire passer pour je ne sais quoi. Déjà c'est mal connaitre les métiers de la petite enfance, je suis issu d'une mère assistante maternelle, des petits en bas âge j'en ai vu défiler un paquet et oui je l'affirme, la crèche éveille moins les enfants que chez un assistant maternel ou ses parents. Surveiller 10 gamins par personne ça n'est pas la même chose que d'en surveiller 3 ou son propre enfant. Les activités sont bien plus ludiques étant donné que notre temps n'est pas consacré à la surveillance de tant d'enfants, je ne parle pas de la compétence même des professionnels (dont 80% n'ont eu que 5 jours de formation étant donné que c'était la loi il y a pas si longtemps, pareil pour les assistants maternels).
Zhatan a écrit:La sélection naturel écartes les individus faible qui pour survivre doivent procréer de manière plus abondante, de ce fait, l'envie de fonder une famille est inscrit dans nos gènes depuis que nous existons. Toi tu ne le perçoit pas comme un désire spécifique de perpétuer l’espèce, mais pourtant l'envie dêtre père ou mère en est l'expression même, ça n'est pas notre société qui nous l'impose, autrement nous ne nous serions pas assez développer pour faire cette réflexion.
Tu confonds pas mal de chose : d'abord ce ne sont pas les individus "faibles" qui sont écartés, ce sont les individus ayant un avantage (dans un environnement donné ! savoir grimper aux arbres ça sert à rien sur la banquise) qui sont sélectionnés. Il n'y a probablement pas de gène donnant "envie de fonder une famille" : la famille telle que nous la connaissons n'existe presque nulle part. Quand bien même cela serait inscrit dans nos gènes, cela n'oblige certainement pas à agir dans le même sens que nos gènes : sinon c'est pas la peine de soigner le diabète de type I par exemple.
On va se refaire le coup de verre à moitié pleins/vides, on dit plus ou moins la même chose mais sous un angle de vue différent. On parle tous les deux de sélection naturelle, là où toi tu vois dans mes propos la domination de la force, je parle comme toi d'adaptabilité et j'en fais mention avec les espèces ayant beaucoup de prédateur qui font plus de petit (pour perpétuer l'espèce, cf le besoin primaire instinctif) que les prédateurs n'ayant pas besoin de s'encombrer de masse d'enfant pour ce faire. Donc là où toi tu entends "envie de fonder une famille" essaie de me comprendre comme quoi le désir d'être parent est l'expression de cet instinct primaire. D'ailleurs tu admets que cela pourrait être inscrit dans nos gènes, mais ne trouves-tu pas paradoxale le fait de vouloir aller contre une de nos lois qui s'est inscrite depuis des millions d'années ? Pourtant une habitude qui se transmet depuis plusieurs générations est considéré comme essentiel à la survit autrement nous ne l'aurions pas transmis à nos enfants, donc fatalement cela nous y oblige et ta manière de penser me permet même de me faire la réflexion suivante : Ne sommes-nous pas justement privilégié de pouvoir ainsi chambouler ce qui nous a permis d'en arriver là par rapport aux autres espèces ? En ce qui concerne le diabète du type 1 c'est un tout autre débat, il n'est pas réellement naturel, je t'invite à regarder l'étiquette d'une boîte de lait maternisé et à le comparer avec un lait maternel, tu y verras l'immense concentration de lactose (sucre à Ig très élevé), gluten (perméabilité de l'estomac) et acide gras (augmentation de l'Ig des sucres déjà très haut) et à leurs conséquences sur le pancréas qui est un système qui nous permet justement de gérer notre insuline en fonction des sucres qu'on ingurgite. Fatalement si à un âge où tout est en développement tu salopes tout ce système, il ne faut pas s'étonner de transmettre des gènes imparfaits à ce niveau étant donné qu'ils n'ont pas put aller au bout de leur développement sans embûche (le diabète de type 1 apparaissant chez les jeunes sujets le plus fréquemment).
Zhatan a écrit:Dans ce cas, pourquoi c'est par la que se passe la reproduction ? Le plaisir dans le sexe et la libération d'hormone qui en découle nous pousse à l'attachement en vue de rester ensemble pour élever l'enfant. Ce que tu appelles l'amour, sa fonction biologique est d'assurer un cadre de vie à junior, d'ailleurs l'amour que les différents sexe s'accorde n'est pas le même selon le genre, les différence au niveau de la selection du partenaire en est l'expression.
Bah déjà il y a des tas de sexualités qui sont non procréatives (homosexuelle, anale, orale, masturbatoire, pendant les règles... etc) et qui donnent quand même du plaisir. Donc ok la cause lointaine de l'apparition de la sexualité plaisante est la reproduction, mais ça ne signifie certainement pas que toute sexualité doit être procréative. Le sexe ne pousse pas à l'attachement, je suis désolé. Quant à l'amour même chose, il est probable que la cause lointaine soit la nécessité de s'occuper des petits, mais l'amour est relativement détachée de l'existence d'un enfant (et une mère peut tout à fait ne pas aimer son enfant d'ailleurs). Je n'ai pas compris la dernière partie de ta phrase.
Dans ce cas pourquoi notre corps libère les hormones liées à l'attachement après un coït ? Ça rejoint la réflexion que je me suis permise juste au-dessus concernant notre position d'espèce privilégier dans l'évolution nous permettant ce genre de loisir sympa, d'ailleurs si l'on s'attache au point de vue scientifique de la chose, le fait de tromper son partenaire va dans ce sens car malgré un fort attachement à en mourir envers son/sa partenaire, il arrive qu'un des deux trompes l'autre, ce que la science explique par le besoin primaire de procréation et de diversifier les gènes en vue d'avoir une descendance plus robuste et diverse, même si d'un point de vue personnel ça ne me plait pas trop de me servir de ce genre d'argument. Pour la fin de ma phrase, je disais que les hommes et les femmes ne s'aiment pas de la même manière tout comme leurs critères de sélection sont également très différents.
Zhatan a écrit:Tu peux travailler et avoir des enfants, mais progresser au travail et bien élever ses enfants c'est plus dur que tu sois femme ou homme et c'est la que le féminisme tel qu'il est représenté dans les médias me dégoute, désolé mais l'image de la célibataire de 35 ans+ sans enfants et sans homme, sous directrice d'une société ne m'attire pas surtout si au passage il faut faire passer la majorité des autres femmes pour des paumés soumises car elles ont eu l'envie de faire des enfants et de les éduquer au détriment de leur progression au travail. D'ailleurs parlons en de leur travail ou elles seront remplaçable comme l'immense majorité des autres (homme ou femme), pour moi ça n'est pas synonyme de réussite social au contraire même. D'ailleurs c'est à ce moment la qu'on se rend compte que le féminisme est une cause économique et non une revendication social.
Bah si tu veux que l'image de la célibataire de 35 ans ne t'attire pas, c'est ton problème, pas le mien et pas celui des femmes. Quant à l'image de "paumées soumises", je ne sais pas où tu as vu ça. Perso ce n'est pas ce que je dis en tout cas. De même, peut-être que pour toi ce n'est pas synonyme de réussite sociale, en attendant les femmes qui travaillent ont en général envie de travailler (ce qui ne veut pas dire qu'elles ne sont pas critiques de leurs conditions de travail).
J'ai bien compris ce que toi tu voulais dire, je parlais de l'image véhiculée par le groupuscule féministe. Que les femmes aient envie de travailler de cette manière est une chose, mais de là à se revendiquer Femme par rapport aux femmes en est une autre. D'autant que ces discours semblent oublier que la condition sociale des femmes est acceptée par les femmes elles-mêmes. À les croire, ce sont les hommes qui abusent des femmes, mais les patronnes ça existe et je ne les penses pas plus généreuse que les patrons. D'autant qu'une Femme étant passé sa vie à travailler dans une société sera toujours aussi remplaçable qu'un homme à la différence près que celle-ci passés 35 ans à de plus fortes chances de ne plus pouvoir avoir d'enfant, ou difficilement, alors qu'un Homme, ça peut procréer jusqu'à un âge avancé du coup je trouve les femmes doublement arnaquées par les ces discours. Puis partant du postula admis plus haut, si la reproduction est inscrite dans nos gènes, on cherche fatalement la meilleure mère (ou porteuse si tu veux) afin d'assurer un bon junior et cette femme ne sera probablement plus la meilleure pour assurer cela...
Zhatan a écrit:Mon avis en tant qu'Homme par contre ne vas certainement pas plaire, mais je me sens moins capable que ma femme d'éveiller notre enfant.
Ca n'est pas que j'en sois incapable ou que je n'en ai pas le désire, mais je suis confronté à mes propres peurs et appréhensions communes à tout les pères.
Les mères n'ont pas d'appréhension ?
Pour le reste, je ne vois pas pourquoi il faudrait "un père qui apporte l'argent" et "une mère qui apporte l'affection". Les deux parents peuvent travailler et apporter de l'affection, éventuellement différemment. Mais je ne crois pas du tout en ce partage des rôles automatique entre les deux parents (qui peuvent être du même sexe, d'ailleurs).
Je n'ai pas dit qu'il fallait, j'ai dit qu'à titre personnel je m'en sentais moins capable. Je ne suis pas dans le cliché du père qui apporte l'argent et de la mère qui élève l'enfant, je me pose simplement des questions. Si tu conçois que l'on peut apporter de l'affection de manière différente, pourquoi ne pas concevoir que l'une est faite pour éveiller et l'autre plus tailler à forger ? Encore une fois j'en reviens à ma réflexion fait plus haut et je me permets cette autre réflexion, plutôt que nous attarder sur ce qui ne va pas de l'égalité homme-femme, pourquoi ne pas nous attardés sur ce que nous avons de plus que les autres ? Je nous trouve bien présomptueux à renier ainsi ce qui nous a permis de survivre. Si cela a été pratiqué par le groupe pendant des milliers d'années, pourquoi tout renier sous couvert de la bien pensante plutôt que d'admettre que c'est effectivement le cas et au contraire revendiquer le fait de pouvoir maintenant grâce à nos conditions d'espèce privilégier d'inverser les rôles ?
D'ailleurs ne serait-il pas socialement plus valorisant pour le parent qui décide d'arrêter sa carrière pour élever ses enfants de se voir attribuer un véritable salaire ainsi qu'un formation en VAE de part sa propre fonction de Parent ? Arrêter un emploi de cassier/ère à mi-temps pour élever des enfants et revenir dans le monde actif en temps qu'assistant social, maitresse/maitre d'école ou accompagnateur de jeune parents/enfant serait une réel avancé social
Zhatan a écrit:Sur la parité j'ai déjà répondu. Et sur le féminisme, on ne peut pas faire comme s'il n'y avait qu'un seul féminisme. Enfin, le fait de pouvoir allaiter en public est aussi une revendication féministe, donc je crois que tu te trompes. Je ne vois pas en quoi le fait d'avoir des femmes qui travaillent accroitrait l'infériorité des femmes.
L'allaitement en public n'a jamais été interdit il me semble, c'est bien pour cela que je dit que la libération du corps tel que pratiqué par les groupuscules féministes ou les médias mène à avoir un regard pervers sur cette pratique naturelle. Je n'ai pas dit avoir des femmes qui travaillent accroîtrait infériorité des femmes, j'ai dit la parité accroîtrait l'infériorité des femmes. Je te prends mon exemple, je travaille dans le sport et je projette de me développer. Le hasard des choses fait que mes collaborateurs sont des hommes. Demain si je devais subir cette parité homme-femme obligatoirement, je donnerai les tâches les moins importantes aux femmes car pour respecter cette parité, je ferai des sous-catégories aux besoins de ma société pour conserver justement mes meilleurs éléments à des postes clés, devine qui se retrouverait donc encore une fois moins bien payé et avec moins d'opportunité d'évolution ? J'ai une société à gérer et je ne fais pas dans le social ni dans la démocratie, c'est dégueulasse à dire, mais c'est la vérité. Tu me diras que ça pourrait très bien marcher dans l'autre sens, c'est vrai mais étant donné que le problème est posé par les féministes je pars dû postulas que le souci vient dans ce sens. D'ailleurs un droit de parité demandé par des femmes à une majorité d'homme légiféré par eux-mêmes... Ce n'est pas un vrai droit, un droit tu le prends, tu ne le quémande pas.
Zhatan a écrit:Bon maintenant sur la nutrition, je suis désolé mais vous n'avez pas compris de quoi il s'agissait :
Concernant l'idée que la femme serait plus petite à cause d'une confiscation de nourriture, c'est ignorer que cet écart de taille est visible chez une grande majorité de mammifères.
Mince, faire une thèse de 600 pages et ne pas s'en être rendu compte !
C'est oublier qu'il y a des mammifères ou des primates chez lesquels la femelle et le mâle n'ont pas de différence de taille (voire, cas assez rare, où la femelle est plus grande que le mâle). Comme il n'y a pas de loi générale mais seulement une tendance, il faut rendre compte pour chaque espèce de ce qui a poussé à un dimorphisme sexuel de stature, il faut donc rendre compte des relations entre la physiologie de l'espèce, son comportement social et son environnement (notamment l'accès à la nourriture).
J'aimerai biens que tu me cites les mammifères et primates justement, car je ne vois que très peu d'exceptions mises à part au niveau marin et de du petit faune (insectes, arachnide, etc.) donc à moins que l'étude pense que ces espèces sont aussi des mammifères... C'est aussi totalement occulté les différences fondamentales au niveau métabolique entre un homme et une femme. SI mon métabolisme est plus élevé de base que celui d'une femme, c'est essentiellement dû à mes testicules qui de par leurs sécrétions de testo influent grandement sur les autres systèmes tels que la tyroïde plus prononcé chez nous, deux des facteurs les plus importants du métabolisme basal (et donc calorique). À moins que là sur abondance de nourriture nous ait fait pousser des testicules, je ne vois pas en quoi votre plus petite taille et faiblesse physique sont d'eux à une supposée privation de nourriture par l'homme....
Zhatan a écrit: En plus, si cette histoire de confiscation de nourriture peut ou a pu exister dans certains cas, elle est loin d'être universelle.
Bah c'est pourtant assez général. Surtout qu'en dehors de nos sociétés de maîtrise de la procréation et de la fécondité, une femme adulte a en moyenne besoin de plus de calories qu'un homme. Donc même si les portions sont les mêmes, les femmes sont sous-nourries.
J'aimerais que tu me cites cette source qui indique qu'une femme à plus de besoin calorique qu'un homme j'ai déjà ma petite idée sur son contenu et sur quoi elle se base, mais je ne vais pas parler sur une supposition... Déjà c'est faire une erreur de penser que les Hommes sont égaux entre eux en matière de besoin métabolique, un homme moyen aura des besoins différents selon l'endroit du globe d'où il tient ses racines, il n'assimilera pas les nutriments de la même manière et n'aura pas les mêmes besoins. C'est pareil chez la femme, sauf que cette différence est aussi marquée entre les hommes et femme de même région du globe. Déjà que c'est faux car à nourriture égale la femme serait sur nourrit, mais c'est également erroné car nous ne répondons pas de la même manière aux nutriments
Zhatan a écrit:Et puis, il faudrait qu'elle le soit pendant toute la croissance
Pas forcément.
Zhatan a écrit:, je vois mal une mère donner plus à manger aux enfant d'un sexe plutôt qu'à l'autre...
Bah pourtant si. Et surtout, les enfants et ados se régulent eux-mêmes. Notamment les filles qui font beaucoup plus attention à leurs corps.
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La tu confonds la dénutrition avec une volonté de nuire de la dénutrition avec une volonté de correspondre à des standards erronés. Une mère ne nourrira pas moins sa fille que son fils, je pense que si une mère ayant eu des jumeaux fille et garçon pourras te le dire, c'est la tambouille commune avec une cuillère sur deux chacun et le suisse en dessert. Pour les ados, le phénomène est entrain de passer, mais les critères de beauté tel que relayé dans les médias à coups de mannequins au corps infantile ne reflète pas ceux avec quoi les hommes finissent leurs vie. D'ailleurs c'est assez étrange de voir que les femmes considérés comme hors des standard sont adulées par la majorité des hommes sur cette planète. Beyoncé est grosse par rapport à ce à quoi ces filles essaie de ressembler, pourtant elle est considéré comme l'une des plus belle femme de la planète...
Zhatan a écrit: et surtout, comment expliquer que cette privation n'entraîne un déficit de croissance que sur les descendants d'un seul sexe ? Ça n'a aucun sens biologique. À environnement à ressources réduites, individus plus petits pour les deux sexes... avec le même écart entre hommes et femmes que dans ceux où tout le monde mange pareil !
C'est toi qui ne comprend pas le sens biologique que ça fait.
Il y a des traits, la taille notamment, qui sont liés au sexe, cela veut dire qu'être d'un sexe permet de prédire (en partie) quelle taille tu feras. Cela veut dire que toute chose égale par ailleurs, les femmes sont plus petites que les hommes. Mais justement, d'une part les choses ne sont pas égales par ailleurs et d'autre part, il faut prendre en compte le temps long de l'évolution : si le caractère "taille" s'exprime différemment selon le sexe, il est possible que ce gène soit sélectionné différemment dans les deux sexes. Comment comprendre le plumage du paon mâle sinon ? Il est apparu d'un coup d'un seul ?
Je pense que ce que Foenidis à essayé de dire en gros c'est comment cette tare peut ne pas se transmettre à un descendant homme sachant qu'il se répercuterait dès le départ chez les enfants femmes. Tu dis toi même que les femmes sont plus petites que les hommes à part égale, mais tu dit ensuite que les choses ne sont pas égale ? Pourquoi ? Tu parles d'évolutions, mais tiens tu réellement compte de l'histoire qui l'entour ? La place de l'homme (chasseur) à entraîné une mortalité plus fréquente chez lui et donc un système immunitaire moins performant que celui de sa femme qui en s'occupant des petit aurait développé une ouie plus propice à l'attention des sons de ses enfants ainsi que des connections nerveuse la démontrant clairement une une bien meilleur capacité à gérer plusieurs tâche à la fois la ou l'homme est plus à la concentration et à l'anticipation comment ne pas en déduire une certaine prédisposition de chacun ? Concernant le paon, je ne sais pas spécialement, mais il me semble que chez les espèces faibles physiquement avec beaucoup de prédateur, notamment chez les oiseaux, le plumage vif et voyant est synonyme de puissance. Plus il sont visible, plus ils prouve leur capacité de survit et donc leurs gènes.
Zhatan a écrit:Il a été scientifiquement vérifié que pour toutes les ethnies du globe, les grandes comme les petites, la différence de taille entre hommes et femmes est comprise entre 10 et 15 centimètres. Difficile de croire que tous les peuples du monde aient privé leurs femmes de nourriture de la même façon !
En fait entre 6 et 15 cm, ça fait du simple à deux fois et demi !!! (et même, 10 à 15 cm, ça fait une grosse différence). Donc non, tous les peuples du monde n'ont pas privé leurs femmes de nourriture de la même façon.
La encore c'est oublier le fait qu'en dépit du fait que nous n'avons pas les même besoins selon les différents éthnie du globe, il y à aussi des différence en matière de accessibilité à la nourriture (qui d'ailleurs à entraîne nos différence d'assimilation des macronutriments par region), la ou la calorie est très rare, il ne devrait plus y avoir d'ethnie étant donné la privation supposé des femmes. Si un homme gardien de la calorie à déjà du mal à sa propre survit, je voit mal comment ils auraient survécu en partant du principe que cette théorie est vrai.
D'ailleurs, je pense que le principal défaut de cette théorie est qu'elle ne se considère justement pas comme tel. Toute étude scientifique sérieuse s'impose avec la question "En quoi ma théorie est fausse" et même si nous ne parvenons pas à le prouver, nous considérons nos écrit s'y raccrochant comme cohérent dans la logique de cette théorie et non comme absolut. L'Obs (qui à relayé en premier cette étude il me semble), l'a imposé non pas comme une théorie, mais une vérité ou la question n'était pas "En quoi j'ai tords", mais plutôt "Pourquoi j'ai raison". On ne se demande plus pourquoi quand on sais posé la question dans le sens inverse étant donné qu'elle se démonte assez rapidement en s'appuyant sur des faits scientifique et non d'autres théories.
Je trouve un peu dommage et perçoit assez mal le discours féministe sachant tout cela. Etre conscient des différence hommes femmes n'est pas forcément accepter la supériorité de l'un par rapport à l'autre, mais accepter l'idée même d'une complémentarité, une synergie. Je vais prendre encore mon cas personnel, mais je ne passerai pas le reste de ma vie avec une personne dont je n'ai pas besoin pour vivre, on ne cherche pas son égale, mais celle qui me permettra de viser plus haut, car quoi qu'on en dise, une femme au foyer qui n'a jamais travaillé de sa vie à autant de mérite dans la réussite de son mari que son mari lui même, c'est la dernière personne que tu vois avant de dormir et la première que tu vois le matin, ton conjoint c'est la majorité de ton état d'esprit. Personnellement, j' accomplis plus de chose en étant accompagné que seul ou j'ai tendance à prendre trop mon temps. Je déplore aujourd'hui que les couples se battent pour rester ensemble et dépense du temps et du mental à fixer le couple plutôt que de construire un avenir et évoluer socialement ensemble en se soutenant mutuellement, car dans cette optique la que ce soit toi ou ta femme qui ramène le plus d'argent personne n'a d'ascendance sur l'autre autre que celle lié au caractère et mise à part mon appréhension à l'idée d"avoir une fille (et encore, ça changera peut-être si j'en ai une et paradoxalement j'en désire une), je ne verrais pas d’inconvénient à rester élever nos enfants à la maison. Puis de toute façon si j'ai une fille, je la bourre de kitkat comme ça elle deviendras obèse avec des boutons, je l'entraîne dans l'haltérophilie des que possible ainsi qu'un sport de combat et personne la touchera ou s'en moquera
