par San999 le Ven Juin 14, 2013 10:32
Rêve que j'ai fait cette nuit:
Je me réveille dans une salle de taille moyenne, qui semble être une bibliothèque. Les étagères sont écroulées et les livres dispersés. Les deux murs donnant sur l'extérieur sont également effondrées (vers l'extérieur, il semblerait, vu que je ne vois pas de briques ou d'autres morceaux de murs à l'intérieur. Les deux autres murs en revanche ont chacun une porte que je devine donner sur d'autres parties du bâtiment dans lequel je suis. À l'extérieur, il y a une invasion de zombie. Avec moi, il y a un petit garçon de neuf ans que je ne connais pas, et qui reste silencieux, l'air timide. Je vais vers lui et essaie de lui parler, mais il réagit avec timidité en me tournant le dos.
Soudainement, je vois par la lucarne de la porte dont on est le plus proches, un énorme visage s'en approcher. Cela ressemble à un rhinocéros, mais dans ma tête, cela reste un zombie. Je prends le gamin et je lui dis de ne pas faire de bruit, et on se cache hors du champ de vision de la créature. Elle finit par disparaître. Le garçon semblant déjà s'être habitué à moi, je vais voir l'autre porte, et je l'ouvre tout doucement. Malheureusement, il y a au moins un zombie (je sais pas comment ça se fait qu'il ne m'ait pas vu, alors que je suis dans son champ de vision). Je referme doucement la porte.
Puis, alors qu'elle n'y était pas jusque-là, et sans que je ne trouve cela bizarre, il y a maintenant une porte non écroulée sur l''un des espaces qui contenaient auparavant les murs donnant sur l'extérieur. Je me dis que peut-être derrière celle-ci, il y aura quelque chose que je pourrais utiliser pour tuer le zombie qui se trouve derrière la porte que je viens d'ouvrir, vu que la pièce dans laquelle je suis ne contient que des livres. J'ouvre donc doucement la porte et encore une fois, il y a des zombies dans les escaliers qui descendent vers l'extérieur. Je referme la porte.
Je m'assois contre le mur et je prend le petit garçon dans mes bras, autant pour le rassurer que pour me rassurer moi-même. Puis, je me dis que peut-être le monstre-rhinocéros est partie. J'ouvre donc la porte que je n'avais pas encore ouverte et derrière laquelle j'avais vu le rhinocéros humanoïde à travers la lucarne. C'est complètement rempli de zombies. Je referme, mais je sens soudainement une créature tenter de l'ouvrir. Je retiens la poignée et vois de nouveau la tête de rhinocéros, j'essaie de cacher de la bête, tout en retenant la poignée. Elle finit par laisser tomber.
Je souffle et m'accroupis. Le petit garçon vient soudainement vers moi et cache son visage dans mon cou. Je regarde derrière nous. Il y a quelqu'un d'autre dans la pièce. Il ne bouge pas et est un peu grisâtre. Je pense à un zombie et me demande comment il est entré. J'ai l'air de penser que ces trucs réagissent aux mouvements, car je décide de rester immobile. Mais soudainement, le zombie se met à bouger, mais semble au final bien vivant. Il se met à me parler, et c'est là que ça devient vraiment psychédélique. Je me mets à avoir des visions de drapeaux pendant que le gars me raconte un truc soi-disant héroïque que le drapeau vietnamien aurait fait pour sauver le monde. WTF??? Et je vois soudainement une carte de l'Europe avec les pays colorés selon leurs drapeaux, sauf que ceux-ci ne correspondent pas, puisque la Suisse est rouge et bleu avec un emblème noir de panthère. WTF? On revient brièvement dans la salle où je suis toujours en conversation avec le Chinois (puisqu'il m'a dit qu'il l'était), et je me réveille. (En fait, il y a des tas d'autres délires sur les drapeaux durant ce passage, mais c'est trop compliqué à expliquer.)
PS: Ah! Oui, j'ai oublié. Il y a aussi eu un aspect jeu vidéo à un moment. Puisque quand je tenais le garçon dans mes bras, une espèce de barre d'énergie et un compteur de jours sont soudainement apparus. Un jour est passé (même si la nuit n'est pas tombée et que j'étais toujours dans la même position et le gamin aussi), et l'énergie est descendue, pendant que le gamin maigrissait. Apparemment, si le gamin mourrait de faim, c'était game-over et apparemment, j'avais dix jours pour trouver la solution.