Batroux a écrit:Pour Pensyves c'est encore différent, il nous parlait de ses fourmis tous les jours et dans n'importe quelle situation.
Quand on aime, on ne compte pas !

Et les gens passionnés ont quelquefois du mal à réaliser que le sujet qui les transporte n'a aucun intérêt pour leurs interlocuteurs.