Max a écrit:Tonay a écrit:Inikisha a écrit:L'amour c'est de la merde.
Bon, je vais faire mon chieur/cynique qui ne fait rien comme tout le monde mais bon
Désolé de casser ton délire mais je suis d'accord avec toi
Y en a au moins un x)
Zhatan a écrit:Ce sont pas un peu des propos de demi-habiles ça ? L'amour c'est rien que du chimique. Oui bah la vue c'est jamais que de la lumière sur des cônes et des bâtonnets et pourtant un tableau de Poussin c'est vachement joli. Et vous aurez du mal à me faire croire que si des peintres existent c'est pour que l'espèce se reproduise.
Et bah, je te croise à nouveau.
J'ai défini la fonction première de l'amour (ou pas, peut-être la secondaire ou autre) et ce qui le provoque d'un point de vue biologique, rien de plus. Alors oui je la résume PERSONNELLEMENT à du chimique (remarque, tout peut être résumé à du chimique), mais je nie pas son intensité. Je n'ai pas défini la fonction des peintres, c'est un peu hors sujet comme comparaison, entre une émotion et un métier/statut (dépend de l'époque). J'ai juste cherché à écarter toute dimension mystique de l'amour, pas à détruire son importance ou son utilité.
Lamantin_Furtif a écrit:Ouais, sinon Tonay, on est bien d'accord que la dimension spirituellle se limite à l'imagination des humains. Que c'est un comportement conservé parce qu'il facilite la reproduction... Et ?
Rien, je ne donnais que mon avis en ne cherchant qu'à diviser ''amour'' et ''mystique''. Peut-être que mon commentaire arrive comme un cheveux sur la soupe mais j'en ai juste assez de voir des gens parler d'amour avec les yeux brillants (je ne vise personne hein !). Je suis peut-être un vieux con avant l'heure.
Ton message est très paradoxal. Tout d'abord tu dénigres le mystique, puis tu émets un jugement de valeur... Chose nécessitant une force supérieure pour se justifier.
Mon opinion, rien de plus
Alors pour le jugement de valeur tu veux parler du moment où je dis que l'amour rend con ? Pour ça c'était plutôt un constat basé sur l'expérience personnel et l'observation. Beaucoup d'observation. Après je n'ai pas tellement eu l'impression de le juger, de dire si c'est ''bien ou pas bien''. C'est pas la question. Mais c'est vrai que mon message porte à confusion et qu'il peut être interpréter comme une attaque à l'encontre de l'amour. C'est vrai que je fais vieux râleur dessus.
Quant à la notion d'intelligence... C'est très difficile dde la quantifier, encore une fois. Disons que ce sentiment concentre les capacités intellectielles sur autre chose. (imagination, émotivité...) Décider de quelles capacités intellectuelles comptent et desquelles ne comptent pas, ça me parait assez prétentieux.
J'ai juste la sensation que l'amour a tendance à fortement altérer, ou obscurcir le jugement. Je ne parle que de la réflexion en elle même qui se retrouve entravé. Après je ne fais qu'une généralité, rien de plus.
Bref, on dirait juste que tu as eu une histoire qui s'est mal passée et que tu as pris beaucoup (trop ?) de recul vis à vis de tout ça.
Oui...et non. Disons que je ne suis pas le seul concerné. Je suis sûrement devenu froid et distant avec le temps, ça ne m'aide pas à voir les bons côtés de l'amour (parce qu'il y en a) où à m'en rappeler, contrairement à la désillusion. Je ne considère plus l'amour que comme une succession de pulsions.
Attention, je ne dis pas que j'ai eu l'illumination et que je suis immunisé contre ça. J'y suis soumis, comme tout le monde.
J'ai la sensation d'avoir créé un nouveau débat sans vraiment le chercher. En même temps avec mon commentaire, je ne pouvais qu'en créer un, pas malin de ma part. Je ne souhaite, et n'aurait, pas la patience de m'éterniser dans un looooong débat. Je ne fais qu'exprimer mon avis, analysez-le si ça vous plaît, moi je continuerai à observer discrètement sans promettre une réaction
Foenidis a écrit:Je pense surtout que beaucoup de personnes confondent amour et désir.
La pulsion animale, c'est le désir, par l'amour. L'amour vient ensuite... quand l'emprise du désir aura permis de découvrir la personne derrière le physique.
Il y a d'ailleurs fort à parier qu'une grande majorité de séparations est due à cette confusion. Le désir ne dure jamais qu'un temps, le véritable amour, lui, parce qu'il n'est pas dépendant ni réactions chimiques ni de critères précis, sait pardonner et donc, durer.
Il y a de ça. Le ''vrai amour'', qui apparaît après un certain temps, vient plus de l'attachement que du désir. Mais même lui peut prendre fin.
...
Ouai, remarque creuse, rien n'est immuable de toute façon. Finalement, tu as en quelque sorte résumé ma pensée.