Re: Les liens du sang
Publié:
Dim Jan 09, 2011 13:33
par Sasori
Pourquoi un modo?
Je trouve leur post très bien construit moi, et fort intéressant, il n'y a aucun débordement ou de commentaire déplacé non? Et puis ce n'est pas comme si on avait atteint la centaine de Post comme dans celui de Broly pour justifier un verrouillage =)
Re: Les liens du sang
Publié:
Dim Jan 09, 2011 14:01
par Piccolo Daimao
Dr Leon Soldier a dit cela, car hier il y avait un compte bot qui polluait un peu partout le forum, dont ce topic, avec des messages de flood.
Re: Les liens du sang
Publié:
Dim Jan 09, 2011 21:24
par Axaca
Petite question: C'est bien la mère qui a trompé le père pas le fils, non? Le fils n'était au courant de rien, non? Alors pourquoi ne pas en avoir terminé avec un simple divorce? A la limite si le père avait laissé le fils a sa mère sans renié le lien de parenté, ce serait "normal" puisque ce n'est pas réellement son fils. Mais de là à renié tout lien de parenté, c'est horrible!
Re: Les liens du sang
Publié:
Dim Jan 09, 2011 22:25
par Antarka
J'ai lu que le premier post je précise.
Et je ramène ma science de suite avec une statistique à la con que j'ai du lire dans un magazine à la con (nouvel obs, paris match, figaro enfin j'en sais rien). J'y avait lu que dans le monde occidental, 10 à 15% (me rapelle pu le nombre exact) des papas élevaient un gosse qui n'étaient pas le leur alors qu'ils le pensaient bien.
Bref, 10 à 15% des enfants auraient été produit non par le mari ou compagnon/papa officiel mais par l'amant (comprendre, si on admet que y'a quand même des femmes infidèles qui utilisent la capote, voire même qui tombent pas enceinte, ça en fait un paquet d'infidèle).
Bref pour la réaction du père du gamin...
Mes arguments "d'accord avec toi" (je parle surtout à San). Je pense que le vécu est plus important que l'inné. Je pense que si je découvrais demain que j'étais le fils du facteur en fait, oui ça me mettrait un coup, mais mon père resterait l'homme qui m'a élevé et pas le facteur.
Mes arguments "nuancons quand même" : Plus haut me suis mis dans la tête du fils. Maintenant si j'essaie de m'identifier au faux-papa (le dindon cocu de la farce) c'est juste horrible je trouve, je pense sincèrement que je le vivrais vraiment très mal, que j'en voudrais à mort à la maman, et que je serais tout simplement réduit en petits morceaux à ramasser au buvard.
Dans ce contexte de desespoir aveugle... Comment je réagirais face à un fils qui, par sa simple vue, me rapellera immanquablement que quelque part, les dernières années de ma vie (depuis la naissance) étaient une farce ? Et me renverra l'image même de ce desespoir qui me tue à petits feu ?
Franchement... Le papa cocu de l'histoire je le connais pas. Je juge qu'il a fait une erreur à mon sens, une grande injustice. Mais à sa place je suis bien incapable de dire comment j'aurais réagi (bon en fait je suis quasi persuadé que j'aurais prit mes distances, mais genre "je te renie pas, mais laisse moi du temps"). On est parfois odieux avec tout le monde juste parce qu'on est contrarié, alors après ça...
Le père a mal réagi. C'est injuste pour le gosse, immature, dénote une incapacité à se remettre en cause. Un salopard pourrait on dire.
L'erreur est humaine.