Politique

Que l’on s’y connaisse ou pas, nous avons tous des idées politiques. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, nous avons - dés le plus jeune âge - un avis et des affinités politiques. Par exemple, si vous vous souciez d’avantage de la croissance d’un pays, vous êtes d’avantage de droite. Si, en revanche, vous êtes plus sensible au social, vous êtes d’avantage de gauche.
A partir de là, que pensez vous de la politique actuelle de la France ? Êtes-vous d’accord avec la politique du gouvernement et du Président Sarkozy ?
Que pensez-vous de la gauche actuelle ? Visionnaire ou antique ?
Que pensez-vous des grèves actuelles ? Êtes-vous d’accord avec les syndicats et leurs rôles dans ces crises ?
Pour ma part, j’ai du mal à faire le bilan de la politique sarkozienne. D’un côté, il respecte son programme présidentielle : que l’on soit d’accord ou non, ce qu’il fait a été annoncé depuis le début de l’année. Pour l’instant, je ne vois en revanche pas trop les résultats. Est-ce parce que ça foire ou que ça met du temps ? On risque de pas être avancé avant encore quelques mois.
Concernant la gauche, elle m’intrigue et m’inquiète. Je fais mon coming-out : je suis fan du modèle anglais, et en particulier de Tony Blair. Je regrette que notre gauche ne soit pas plus moderne. Les règles du jeu ont changé depuis quelques années : soit on les accepte, et on peut jouer notre carte ou bien on les refuse et on continue à se faire dépasser par les nouvelles puissances (Inde, Chine, etc.). Autant je ne me reconnais pas du tout dans cette gauche archaïque, plus proche de l’extrême gauche (Arlette, le facteur et le démonteur de Mcdo) que des parties modérés.
Bien que je considère Bayrou comme un grand gamin naïf un poil amitieux (cf : les Guignols de l’infos), j’ai bien aimé le fait que Ségoléne, Strauss Kahn ou encore Kouchner essai d’enlever le balais qui trône dans le fondement socialiste. Comme je l’ai dit, un rapprochement avec le Modem de Bayrou ne me parait guère habile. Par contre, si les modérés socialistes se débarrassaient de leurs boulets réactionnaires (Fabius, Emmanuelli, etc.) en créant leur propre partie, je pourrait être séduit.
Une « gauche socio libérale », le rêve de Khanard. (slogan à conserver, au cas où…)
Enfin, pour les grèves actuelles, je ne m’attarderai que sur la LRU, la loi concernant l’autonomie des universités. Pour ça, je m’appui sur un exemple simple et concret.
Imaginons un amphi tout dégradé (simple à imaginer). Si l’on doit le rénover, ou bien même simplement changer sa peinture, le président de l’université doit s’adresser au ministère pour avoir l’autorisation. En gros, il faut attendre avant de pouvoir changer quoi que ce soit (minimum 1 an !). De plus, un vice président sera élu pour pouvoir défendre la cause des étudiants (d’un point de vu social essentiellement). De plus, de l’autre côté, les grévistes se plaignent d’hypothétiques conséquences à cette loi. Attendons de voir le résultat, avant de brûler la peau de Pécresse.
A partir de là, que pensez vous de la politique actuelle de la France ? Êtes-vous d’accord avec la politique du gouvernement et du Président Sarkozy ?
Que pensez-vous de la gauche actuelle ? Visionnaire ou antique ?
Que pensez-vous des grèves actuelles ? Êtes-vous d’accord avec les syndicats et leurs rôles dans ces crises ?
Pour ma part, j’ai du mal à faire le bilan de la politique sarkozienne. D’un côté, il respecte son programme présidentielle : que l’on soit d’accord ou non, ce qu’il fait a été annoncé depuis le début de l’année. Pour l’instant, je ne vois en revanche pas trop les résultats. Est-ce parce que ça foire ou que ça met du temps ? On risque de pas être avancé avant encore quelques mois.
Concernant la gauche, elle m’intrigue et m’inquiète. Je fais mon coming-out : je suis fan du modèle anglais, et en particulier de Tony Blair. Je regrette que notre gauche ne soit pas plus moderne. Les règles du jeu ont changé depuis quelques années : soit on les accepte, et on peut jouer notre carte ou bien on les refuse et on continue à se faire dépasser par les nouvelles puissances (Inde, Chine, etc.). Autant je ne me reconnais pas du tout dans cette gauche archaïque, plus proche de l’extrême gauche (Arlette, le facteur et le démonteur de Mcdo) que des parties modérés.
Bien que je considère Bayrou comme un grand gamin naïf un poil amitieux (cf : les Guignols de l’infos), j’ai bien aimé le fait que Ségoléne, Strauss Kahn ou encore Kouchner essai d’enlever le balais qui trône dans le fondement socialiste. Comme je l’ai dit, un rapprochement avec le Modem de Bayrou ne me parait guère habile. Par contre, si les modérés socialistes se débarrassaient de leurs boulets réactionnaires (Fabius, Emmanuelli, etc.) en créant leur propre partie, je pourrait être séduit.
Une « gauche socio libérale », le rêve de Khanard. (slogan à conserver, au cas où…)
Enfin, pour les grèves actuelles, je ne m’attarderai que sur la LRU, la loi concernant l’autonomie des universités. Pour ça, je m’appui sur un exemple simple et concret.
Imaginons un amphi tout dégradé (simple à imaginer). Si l’on doit le rénover, ou bien même simplement changer sa peinture, le président de l’université doit s’adresser au ministère pour avoir l’autorisation. En gros, il faut attendre avant de pouvoir changer quoi que ce soit (minimum 1 an !). De plus, un vice président sera élu pour pouvoir défendre la cause des étudiants (d’un point de vu social essentiellement). De plus, de l’autre côté, les grévistes se plaignent d’hypothétiques conséquences à cette loi. Attendons de voir le résultat, avant de brûler la peau de Pécresse.