Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Pour parler de tout et de rien : ça ratisse très large, tous les sujets qui ne vont pas dans les autres forums vont là.

Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar FilouZilla le Ven Fév 03, 2012 4:13

Bonsoir camarades! Merci à tous pour avoir apporté vos connaissances sur Satan, un monstre probablement pas super facile, que je connais peu d'ailleurs. Il est maintenant temps de s'attaquer au second monstre, une créature de notre cher Satan cette fois:

Vampire

Image

Description: Le vampire est donc une créature du Malin, devenue immortelle mais obligée de s'abreuver en sang afin de survivre. Le vampire possède plusieurs caractéristiques bien connues, tel le fait qu'il ne peut voir son reflet dans un miroir, il ne supporte pas la lumière du jour, dort dans un cercueil, a la faculté de se transformer en plusieurs animaux (la chauve-souris étant sa forme animale la plus souvent utilisée), ne supporte pas l'ail, meurt d'un pieux dans le coeur, etc.

Oeuvres de références:
Littérature: Dracula, de Bram Stoker, est probablement l'oeuvre la plus connue.

Cinéma: Nosferatu, film muet allemand, première adaptation de Dracula (20's).
Dracula, film de Universal, seconde adaptation (30's).
Dracula, film de la Hammer, troisième adaptation (50's).

Apparition historique: ??? (Dracula est apparu au 19e siècle)

Apparition géographique: ???

Mon interprétation: J'ai seulement une petite idée, j'expliquerai plus tard parce que je n'y ai pas assez réfléchi assez longtemps. Pour moi ça a probablement un lien de l'exploitation de l'humain par l'humain, mais il y a trop de facteurs à prendre en compte que je ne prononcerai pas tout de suite.

Voilà donc!

...et j'étripe le premier qui cite Twilight en référence :mrgreen:
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar SuperIdle le Ven Fév 03, 2012 10:02

Traditionellement associé aux carpates comme lieu d'apparition, j'ai personnelement vu des fouilles archéologiques sur du Xème siècle environ dans le coin, et ou les tombes contenaient des cadavres ligottés pour éviter qu'ils ressortent de leur tombe...
Le livre 2 est enfin achevé, Carnis attaque le livre 3.
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar San999 le Ven Fév 03, 2012 11:48

En fait, les vampires viennent de plusieurs endroits à la fois et ont plusieurs mythes très différents et très anciens. On Moyen-Âge, ils avaient l'apparence des zombies actuels. C'était des cadavres en décomposition.

Parmi les "vampires" célèbres, il y avait bien sûr Vlad III dit Tepes (l'empaleur) ou Dracul (le cruel). Un officier roumain, réputé pour sa cruauté et sur lequel il existe plusieurs légendes terrifiques, comme celle qui dit qu'il faisait empaler ses prisonniers au niveau de la nuque pour s'abreuver de leur sang. On peut aussi parler de la comtesse Erzsébet Báthory, qui aurait été une tueuse en série hongroise, ayant tué entre 36 et 200 victimes selon les témoignages. Et dont la légende a aussi exagéré les faits, disant qu'elle se serait baigné dans le sang de ses victimes pour garder sa jeunesse.
Dernière édition par San999 le Ven Fév 03, 2012 14:31, édité 1 fois.
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar SuperIdle le Ven Fév 03, 2012 11:51

Beaucoup de mythes viennent de la rage apr ailleurs: la polymorphie et la morsure notamment, puisque mordu par un animal tu attrapait toi aussi la rage, ce qui donnait un comportement pas très naturel, et des crises d'eppilepsie en cas d'exposition brusque à la lumière, donnant l'impression au braves gens que la lumière te fait souffrir.
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar FilouZilla le Ven Fév 03, 2012 14:12

San999 a écrit:Parmi les "vampires" célèbres, il y avait bien sûr Vlad III dit Tepes (l'empaleur) ou Dracul (le cruel). Un officier roumain, réputé pour sa cruauté et sur lequel il existe plusieurs légendes terrifiques, comme celle qui dit qu'il faisait empaler ses prisonniers au niveau de la nuque pour s'abreuver de leur sang.


Ah oui, j'ai oublié d'en parler! Mais en fait, son surnom était bien Dracula, c'est son père qui était surnommé Dracul. Dracul signifiait "dragon", puisqu'il faisait partie de l'ordre du dragon ou je ne sais quoi, et donc Dracula signifiait "petit dragon", puisqu'il était le fils de l'autre. Ru moins c'est ce que j'avais lu quelque part.
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar kouki le Ven Fév 03, 2012 18:24

les vampires peuvent infecter d’autre personne en les mordants , qui infecte le sang ( ou ce qui reste du sang ) d'un virus qui fait muter la victime , les vampire possède plusieurs faiblesse : crucifix, eau bénite, rayon du soleil ( ce qui explique leur pâleur) ect ...

les vampire meurent tous si le maitre des vampires meurent donc leur vie est lier a celui de leur maitre mais l'inverse n'est pas le cas mais parfois leur maitre sens quand l'un des vampire meurent et parfois il souffre littéralement quand c'est un vampire puissant
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar thejoy le Dim Fév 05, 2012 6:19

Les vampires restent quand même une grosse métaphore sexuelle. Les premiers bouquins de vampire arrivent a une époque ou c'est totalement prohibé de parler de sexe en littérature. Le rapport vampire/victime est un moyen détourner d'écrire sur le sujet. Les mentalités se sont débridés du coup on a beaucoup plus vu le coté effrayant du truc (sort que la nuit donc obscurité, inconnu, toussa toussa), et c'est surtout une façon de parler d'un autre grand tabou (qui lui l'est toujours aujourd'hui), la mort. L'accès a l'immortalité reste un fantasme universel, le vampire par sa condition nous renvoie a notre propre mort. Derrière la crainte du vampire il y a quand même un désir d'en savoir plus, une excitation.
Enfin tout tourne autour du caractère sexuel quand même, d'ailleurs le vampire contemporain abandonne un peu son coté monstre pour le coté objet de désir (Twilight, True blood, Vampire Diaries...)
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar FilouZilla le Sam Fév 25, 2012 0:39

Merde, j'avais complètement oublié ce topic moi! Bon allez tant pis, nous aurons sauté trois semaines. Pour relancer, je propose donc de parler du zombie, étant donné que vous semblez en savoir beaucoup là-dessus:

Zombie

Image

Description: Le zombie est un mort-vivant, donc un être qui était déjà mort, mais qui est revenu à la vie pour x raison (malédiction, virus, magie noire, etc.). Avec le temps, plusieurs caractéristiques de base se sont collées au zombie, telles que le fait qu'il est généralement stupide, qu'il est lent, qu'il se nourrit de cerveaux... Malgré tout, les caractéristiques du zombie changent facilement d'une histoire à l'autre. Le zombie est inspiré du zombie vaudou, mais n'a que très peu de lien avec celui-ci.

Oeuvres de références:
 Cinéma: La série des "...of the Dead" de Romero (Night of the Living Dead, Dawn of the DeadDay of the Dead...)
Les films de Romero ont déclenché un déferlement de films de zombie, tous les nommer serait trop long.
Pour ce qui est du "pré-Romero", il y a White Zombie qui semble être considéré comme le tout premier film de zombie. À noter que Le Cabinet du Dr. Caligari est le premier film à introduire un zombie.

Comics: Un culte semble voué à The Walking Dead, que je n'ai toujours pas lu. La BD a d'ailleurs eu droit à une adaptation télévisée.

Jeux vidéo:
Je m'y connais mal, mais je sais que la série Resident Evil semble être de référence.

Apparition historique: Je sais pas. Il a gagné en popularité au 19e siècle, paraît-il.

Apparition géographique: Pour le zombie vaudou, c'est l'Afrique/Haïti. Ensuite, le zombie s'est développé en Amérique et en Europe.

Mon interprétation: Pour le zombie vaudou je n'ai aucune idée. Mais le zombie "Romero" est sans contredit une métaphore de la société vide, où le peuple subit une sorte de "lavage de cerveau". Ça inclut la société de consommation, comme l'exprime Dawn of the Dead, avec tous les zombies marchant dans le centre commercial. Le zombie sert à démontrer les travers de notre monde, les zombies représentant le peuple lobotomisé et les "survivants" ceux qui résistent aux rouages du système. Du moins c'est comme ça que je le voies ^^

Voilà donc! À vous maintenant :)
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar San999 le Sam Fév 25, 2012 1:07

Le zombie actuel est souvent aussi une critique des dérives de la science, avec souvent les notions d'armes bactériologiques, qui sont à l'origine de la contamination.
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar FilouZilla le Mer Fév 29, 2012 14:29

Ah oui, d'accord avec toi San!

Sinon, en relisant le début du topic, j'ai remarqué que vous aviez déjà pas mal parlé du zombie :lol: Bon ben je copie ça ici, parce qu'y a quand même des trucs assez intéressants là-dedans:

Tenshirock a écrit:Les zombie viennent du vaudou, c'est le cinéma qui en a dicté les codes par la suite, comme, les premiers au cinéma qui mangeaient des cerveaux! Mais dans le vaudou, le zombie, ce n'est pas ça, en fait si on a peur des zombie c'est à cause du cinéma! Sinon, c'est pas mal de voir le sujet zombie dans le vaudou, où en fait, c'est une punition qu'on infligeait à quelqu'un qui avait plus que mal agit, et on lui donne une dose d'un produit, qu'ils fabriquent, et les font passer pour mort, et il se réveille dans un cercueil, et devient l'esclave de celui qui lui a fait ça, certain qu'il a perdu son âme!


SuperIdle a écrit:Après la culture populaire a pas mal changé la vision du zombie, et c'est plutôt le zombie cliché qui mériterait une analyse,

Les points récurrents de tels zombies sont peu nombreux au final:
-Les zombies sont contagieux
- Les zombies tentent de répandre la contagion


Dessus sont placées plusieurs trames, origine biologique, origine magique, agressivité différente, intelligence différente, problèmes financiers(south park :mrgreen: ),tout ça est variable.

Un bon graphique qui traine sur le net montre bien que rien que la vitesse et l'intellect diffèrent énormément d'un film à l'autre:
Image


Tenshirock a écrit:Sinon dans planete terreur, ils sont couvert de pustules, ils sont véloces, et élaborent des stratégies! Mais ça ne se prend pas au sérieux, comme pour zombieland! Sinon, dans le clip de Michael Jackson, ceux sont de très bon danseurs! Sinon, le fait de se faire dévorer vivant est plus effrayant que la contamination elle même, dès fois, ils ne laissent vraiment que les os!


Abysse a écrit:Au cinéma fantastique, c'est le thème du zombie, le plus exploré (pas moins de 600 films), largement devant les invasions extraterrestres, les vampires, les loups garous etc.
Ce thème rayonne a travers une foule d'interprétations différentes du personnage, qu'il s'agisse de robots humains manipulés par quelque savant fou, de cadavres habités par une intelligence venue d'ailleurs ou réveillés par une contamination inattendue, de victimes du culte vaudou, sans parler des enterrés quittant leur tombe pour venir se venger de leurs assassins. 
Le zombie, plus que la momie ou la créature de Frankenstein, représente l'horreur totale, le dégoût profond, le cauchemar absolu.
Il se contente de figurer en témoin muet et sans conscience reliant le monde des vivants à cet au-delà qui nous fait si peur. Il traduit une aberration inconcevable a l'esprit humain, une impossibilité physique et mentale, un défi aux lois communes régissant nos modes de vie.
Dans l'imaginaire collectif le plus répandu, non seulement il se conduit en monstre aux instincts meurtriers, voire anthropophage, mais en plus il nous renvoie aux peurs ancestrales. A ces légendes contant l'histoire des morts sortis de leur tombe pour ravir le souffle des vivants.
De tous temps, l'homme a respecté ses morts, soigné ses lieux de repos éternels, ordonné des messes à leur endroit, mais en priant surtout pour que ceux-ci restent bien sagement aux tombeaux. C'est tout ce qu'on leur demande a nos chers disparus.

La véritable origine du mythe, outre les récits légendaires, remonte aux cérémonies vaudous où, croit-on, les sorciers détenaient le pouvoir de réveiller les morts et d'en faire leurs esclaves.

(White Zombie, 1932), (Revolt of the Zombies, 1936), (Vaudou, 1943), (The Voodoo Woman, 1956)...

Puis vint George Romero. 
A partir de "Night of the Living Dead", le zombie devient cannibale. Il chasse l'homme pour le tuer, mais aussi pour se repaître de sa chair.  
Auparavant, il obéissait a son maître, un rite codifié ou a une science manipulant ses actes. Désormais, il suit ses propres instincts anthropophages et peut aussi contaminer ses victimes par sa morsure, lesquelles deviennent des zombies a leur tour.
Dès lors, l'argument narratif tient en une ligne pour l'incroyable raz de marée du genre qui s'en est ensuivi :
Un mal contagieux, l'agression des gens demeurés sains par les individus contaminés, leur encerclement dans un huis-clos infernal et enfin l'extermination des monstres avant le retour aux normes... Ou pas.


...Voilà! ^^
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar SuperIdle le Mer Fév 29, 2012 14:33

Merci Filou, ça résume assez bien ce qu'on en a dit au début.

Je rappelle que pour le zombie old school, il est recommandé de voir "l'emprise des ténèbres" de Wes Craven qui résume assez bien les croyances originelles associées aux zombis (et non pas les croyances populaires issues du cinéma par ailleurs)
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar FilouZilla le Ven Mars 02, 2012 14:31

Allez, passons au prochain monstre:

Le croque-mitaine

Image

Je vais changer un peu la formule ce coup-ci; je donnerai pas tout plein d'infos comme d'habitude. La raison principale est que je ne connais que très peu le croque-mitaine en général :lol: Bref, c'est un peu à vous de donner toutes les infos de base cette fois.

Voilà!

(ah oui, j'ai mis une photo de Freddy Krueger, mais ça concerne tous les croque-mitaines hein (même Freddy))
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar SuperIdle le Ven Mars 02, 2012 15:31

Vaste question,

Wikipedia définit assez bien le sujet:

Spoiler
Le croque-mitaine (variante croquemitaine) est un personnage maléfique dont on parle aux enfants pour leur faire peur et ainsi les rendre plus sages.

Son rôle sert souvent à marquer les interdits sur des moments ou des lieux considérés comme dangereux : en premier, la nuit, traditionnellement dévolue aux démons et aux mauvais esprits. Un croque-mitaine peut se dissimuler aux abords d'un cours d'eau ou d'un étang, afin de noyer les imprudents. Dans les régions où l'hiver peut être rigoureux, un croque-mitaine (Jan del Gel, en Val d'Aran) mange le nez et les doigts de l'enfant (les parties du corps les plus exposées aux gelures). La crainte provoquée par la menace de tels personnages crée une peur qui n'a plus besoin d'être motivée. Les croque-mitaines existent dans l'imaginaire de tous les pays. Leurs noms sont extrêmement variables et, sauf quelques particularités qui permettent de les identifier, leur aspect est assez mal défini, ce qui, dans une transmission orale, permet à chacun de s'imaginer un être d'autant plus effrayant : homme, femme, animal (le loup joue parfois le rôle de croque-mitaine), ou même une créature fantasmatique comme la came-cruse (camba crusa, ou camo cruso, « jambe crue »)Note 1 en Gascogne, qui est une jambe nue avec un œil au genou.

Des personnes réelles et vivantes (âgées, au physique inquiétant, ou vivant en retrait de la communauté) endossent souvent, involontairement ou pas, la personnalité du croque-mitaine pour menacer les enfants. L'essentiel étant d'y croire. À cet égard, le croque-mitaine, supposé être une réalité pour être efficace, entre peu dans les contes de la tradition orale, qui sont en principe acceptés comme des fictions par les auditeurs, ni les légendes, considérées comme vraies mais constituées d'un récit plus ou moins précis. Le croquemitaine se situe à la lisière, les uns (les parents) ne croyant pas à sa réalité, les autres (les enfants) étant persuadés de son existence.

En revanche, c'est devenu un sujet pour la littérature écrite, la télévision, le cinéma.


à cet égard, presque toutes les créatures "d'épouvante" peuvent rentrer dans la case croque mitaine.

Celui dont j'ai le plus entendu parler c'est le monstre sans nom qui vit sous ton lit et attends que tes pieds dépassent pour te dévorer, tu sais qu'il vit sous ton lit parce qu'il te vole des chaussettes de temps en temps parce qu'elles sentent comme tes pieds.

Ma femme a vécu toute son enfance a craindre les malicornes en folie, desgenre d'insectes que l'on voit s'enfuir du coin de l'oeil sur les chemins et qui vous sautent dessus en visant les yeux, mais comme ils ne sont pas assez forts, ils n'atteignent que la gorge :FEAR:
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar FilouZilla le Dim Mars 04, 2012 16:48

Hum, belle description SuperIdle 8) Le croque-mitaine représenterais donc la peur de l'interdit, et fut créé dans notre imaginaire afin de nous infliger nous-mêmes cette peur de l'interdit... Intéressant ^^
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Re: Analyse de l'épouvante, reflet de nos peurs

Messagepar SuperIdle le Dim Mars 04, 2012 18:07

FilouZilla a écrit:Hum, belle description SuperIdle 8) Le croque-mitaine représenterais donc la peur de l'interdit, et fut créé dans notre imaginaire afin de nous infliger nous-mêmes cette peur de l'interdit... Intéressant ^^


C'est plus que ça, de ce que j'ai compris, il est question de faire peur aux enfants soit pour les calmer soit pour les éloigner d'un danger. On est plus dans la peur qui génère l'interdit que dans la peur de l'interdit en elle même.
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