L'Union Sacrée

C'est vendredi soir le machin, j'aurais ptetre du 3615mylife comique à raconter. Ou alors j'aurais péter les dents de la sous prefete parce qu'elle l'aura touché le cul.

Oh oui !! Et tu porteras plainte !! ça serait intéressant de voir comment le procès serait mené (et si seulement il serait mené)... "Mais enfin, Monsieur, c'était rien du tout! Affaire classée, je suis sure que vous avez aimé ça ! n'en profitez pas plus, hein! " ou "Au bûcher la violeuse!" ? J'espère que ça serait la deuxième solution ... Y'en a marre qu'on prenne la femme comme moins dangereuse qu'un homme (ou un homme moins "victimable" qu'une femme)

(ou bien ils vont retourner le bazar comme quoi tu as tout inventé pcq tu es complexé d'avoir une femme comme chef et que tu n'as fait que chercher la faute pour punir la bougresse )

Antarka a écrit:Et pour le vernissage en question, j'ai un super sweat à capuche acheté à Amsterdam avec Mickey dessus en train de se rouler un gros pétard, j'ai décidé que j'allais mettre ça.

Cette dcision reçoit le



créé pour l'occasion, parce qu'elle le mérite.

Ouiii !! Et si tu te fait pelotter malgré le pull, ils pourront se servir de ça : "Le pull était trop sexy... J'ai pas pu me retenir!" ouii !!

*délire inside*

Ouiii !! [...] ouii !!

Masenko qui semble déjà toute excitée par cette histoire.

Ben dsl en fait mais si cette soirée m'a dépité par bien des aspects, j'ai pas grand chose à dire en rapport avec le topic. Enfin me suis pas fait peloter quoi, ptetre la faute du sweet.

Quand même, je suis un peu énervé la. Pourquoi les femmes de pouvoir semblent obligée de se connardiser au sens masculin du terme pour s'imposer ?

Peut-être que les gens au pouvoir, hommes ou femmes, ont tendance à se "connardiser" de la même façon. Et que comme on a plus l'habitude des patrons que des patronnes, tu interprètes ça comme un comportement masculin, alors que c'est unisexe.

Je m’enthousiasme et alors ? XD

Je plussoie lenidem ! Le côté « vilain patronat » en moins : toute personne frustrée ou complexée risque de se conardiser ou de susciter le mépris ... sauf que dans le cas du patron y’a plus d’homme et dans la catégorie employé émotif plus de femmes qui se font remarqué... on trouve des excuses aux femmes cheffes et aux hommes qui se plaignent ...

J'en sais rien, j'ai l'impression... De les voir faire du zèle. Comme l'ouvrier du bâtiment tout fraîchement immigré qui doit bosser 2 fois plus pour la même reconnaissance quelque part.

Enfin bref j'ai essayé de faire prendre conscience des difficultés du soin à une bande de connasses insensibles pour la plupart encore plus jeunes que moi, que je m'attendais presque à voir partir en rire démoniaque au moment où j'ai dit que plutôt que de prendre en charge les burn-out, suffirait de donner aux soignants les moyens de bosser correctement.

Breeeef.

Masenko a écrit:Je plussoie lenidem ! Le côté « vilain patronat » en moins

Ah oui, c'était pas ce que je voulais dire. Je voulais dire que les gens pas sympas qui arrivent à une place de pouvoir auront probablement des traits de caractère semblables, et donc les penchants désagréables de ces personnes-là se manifesteront pareil. Y a des chouettes patrons/patronnes, bien sûr.

T'inquiète, je ne t'avais personnellement pas catégorisé d'office dans la catégorie anti-patron car rien dans ton message ne le spécifiait Mais j'ai précisé (en oubliant de souligner que ce n'était pas directement lié à ton message) parce qu'on est dans un monde où on catégorise très vite -_- Et le discours (parfois inconscient) "un patron est un conn*rd" est bien répandu... Alors une patronne je te laisse imaginer

Je sais pas si c'est trop trop le sujet mais cette vidéo m'a agacé :

https://m.youtube.com/watch?v=llbsLsXE2SI

En gros une réalisatrice qui a voulu sensibiliser au cancer du sein en montrant une photo d'une nana amputée (avec un bonnet sur le sein sain et l'autre qui serait flouté) et Facebook censure malgré une hypersexualisation omniprésente de la femme.

Lalilalo a écrit:[En France, cette aggravation existe déjà (par exemple, les violences commises "à raison du sexe, de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre vraie ou supposée de la victime". Tu observeras que le législateur n'a pas distinguer, que la victime soit homme ou femme. Ainsi, une violence exercée contre un homme, parce que homme sera également punie plus sévèrement.

Si je peux admettre le point pour les régions du monde où soit la religion, soit la culture font de la femme un sous-être humain, pour la France, c'est différent (quoi que la difficulté de l'égalité homme/femme soit pleinement consécutive à l'image de la femme instillée par le régime catholique. Bref... ) Toujours est-il que j'aimerais bien savoir comment le législateur peut bien faire pour déterminer que le type a cogné sa femme parce qu'elle est une femme, ou parce qu'elle est la personne qui vit avec lui.

Pour le conjoint, il n'y a pas d'élément moral. Le fait de taper sur le conjoint est en soi la circonstance aggravante.

Pour la violence commise en raison du sexe, c'est au juge (et non au législateur) qu'il revient d'en avoir la certitude.

Comme je te disais, je ne suis pas certain que ce soit le cas le plus facile à prouver, certes, mais tu sais, les délinquants sont parfois suffisamment débiles pour avouer bien volontiers avoir tapé parce que la victime est une femme/ un homo/ transgenre, etc...

PS: j'en suis partiellement responsable mais on dévie du sujet de base là, donc si tu veux continuer sur ce sujet, je t'invite à poster dans le sujet "égalité homme/femme" ou même dans le sujet "questions sur le droit".

Merci.

Homo et transgenre, oui, le motif est évident.

Mais une femme ? Je ne crois jamais avoir entendu en France qu'une femme ait été agressée pour cause de haine de la femme.

Agressées sexuellement ou dépouillées de leurs biens, oui, mais ça n'a rien à voir avec un crime de haine.

Expliquer une agression envers une femme parce qu'on hait les femmes, pas trop. Mais pour leur "apprendre à rester à leur place", ou parce qu'elles le "cherchaient" par le simple fait d'être à un endroit ou à cause de son habillement ou d'autres trucs éminemment sexistes, je pense qu'il y en a qui vont le dire, oui. Ça revient à la même chose que la haine, même si ce ne sera pas dit en ces termes par l'agresseur.