D@ny a écrit:Ah, bah pote m'a informé que cette prime d'attractivité est récente et qu'il a commencée la percevoir sur ses derniers mois de travail. Il m'a également précisé qu'elle serait toujours en vigueur en 2023 pour les professeurs stagiaires. Sinon, question comme ça (ça enrichi ma culture sur le sujet), mais le système suisse, je me demande s'il fonctionne de la même manière avec un concours comme le CAPES en France (je sais qu'il y a des Suisses sur le forum) ou la procédure de recrutement est totalement différente ? Par exemple, est-ce qu'un enseignant qui a obtenu le CAPES en France peut obtenir un poste d'enseignant dans un établissement suisse ?
En Suisse c'est très différent. Pour commencer, chaque canton (département) gère l'éducation à peu près comme il veut. Ce n'est pas réglé sur le plan national.
Ensuite, l'engagement ne se fait jamais sur concours. Ça varie entre les cantons, mais globalement les exigences font qu'on a à peu près le bon nombre de candidats pour le nombre de postes à pourvoir. La formation est ouverte à tous ceux qui remplissent les exigences (ça peut être bac +3, +5...) et le poste revient souvent à celui qui a pu se former en emploi sur place. Je généralise encore, vu que c'est différent un peu partout. Souvent il y a un système de priorité (enseignant déjà diplômé qui veut venir dans l'établissement, jeune diplômé, personne en formation, personne qui n'a pas fini la formation...).
Est-ce qu'un Français peut travailler en Suisse? Je suppose que oui dans la plupart des cantons, mais il arrive probablement en bas des priorités (car pas considéré comme possédant le bon diplôme de formation).
)))
).Avant d'avoir la direction, en tant qu'instit à plein temps j'étais plutot à 60h/semaine large. On verra pour l'an prochain, c'est effectivement un temps qui décroît en général avec les années, quand tu gagnes de l'xp et que tu ressens moins le besoin de tout préparer à l'avance. 
).
