Ce que j'aimais bien dans ma proposition, c'est qu'elle ré-aborde la thématique déjà proposée de la négation (quand les autres refusent de croire ce qu'il voit ; c'était déjà abordé chez Maupassant dans ce contexte, ici on a une version hyper condensée du texte) ; dans le etxte, tout porte à croire que le mec va se faire bouffer, mais le moment venu, en désespoir de cause, il s'accroche à cette idée folle. Une manière d ene pas vouloir voir l'inéluctabilité de la mort prochaine, ça me semble assez dans l'air du temps et ça rejoint une des idées fondamentales de l'œuvre de Pratchett. Bref.
À noter que rien dans le texte ne dit que le protagoniste est enfermé.
Histoire d'être de mauvaise foi :
La chambre est noire.
Tout laisse entendre que le mec est dans une chambre (par définition close), ce qui induit une notion d'enfermement (le fameux cliché du film d'horreur où le con s'enferme à l'étage à la place de sortir de chez lui
).
En étant moins de mauvaise foi, c'est vrai que le thème est intéressant et bien amené, parce qu'effectivement, l'idée qu'il s'enferme lui-même et provoque sa propre chute est sympa. Surtout s'il est incapable de voir les solutions, qui seraient pourtant présentes. Ce qui serait marrant, ce pourrait être de proposer une "suite" du point de vue de la créature qui mettrait ça en évidence. La métaphore serait sans doute percutante.