Kurama_Senju a écrit:Là, on risque de revenir sur Lucy, Natsu (qu'on ne verra jamais E.N.D.) ou sur les sentiments de la guilde, .
Pour E.N.D, nous avons eu un aperçu, décevant, oui lors du combat contre Gray.
Toutefois, ce désir de vouloir tout voir, c'est pour moi une des grandes erreurs de Naruto. À la fin, l'auteur nous a tout, mais pas mal tout montré. Aucune once de mystère.
Alors, que nous n'ayons jamais vraiment vu dans sa forme complète (si elle existe E.N.D), ça me va. Contrairement à des Bankais que nous aurions dû voir (Genre, Aizen qui ne le sort jamais... ça devait être nul faut croire), ce n'est pas si incohérent.
Pour la victoire de Natsu sur Zeref.
C'est limite.
Mais Lucy offre un boost en récrivant le livre.
Et on a déjà vu les flames de Natsu pouvaient brûler la magie. Ici, elle brûle le temps. Donc, oui, son pouvoir bat l'infinie. Similaire à un Gokû contre Hit si puissant qu'il bouge trop rapidement pour même un arrêt de temps le stoppe.
En plus, le fait que Acnologia entre en contact avec la... distorsion du temps doit affecter son pouvoir possiblement.
Je rejoins Broly97.
Les deux fins sont vraiment pas extra, mais à différent niveaux.
Naruto, c'était long et lourd.
Madara qui est soudainement trop fort (quand il reprend son corps) et nous refait le coup du Juubi.
Obito, le mec mourrant... qui prend vraiment son temps pour mourir... Faut même le tuer deux fois pour que ça arrive finalement.
J'ai quand même aimé Fairy Tail pour son rythme.
Le dernier arc de Fairy Tail, c'est environ 110 chapitres.
Pour Naruto, c'était 200. Le tout augmenté par le retour d'anciens personnages. Fairy Tail nous fait brièvement le coup, mais justement brièvement.
Mais bon, je peux comprendre que justement, le rythme pouvait paraître rushé, mais en même temps, Naruto, ce ne l'était pas et je trouvais que c'est probablement aussi... déplorable, mais c'était encore plus long.
Toutefois, je suis bien d'accord.
Eillen et August, c'était vraiment du foutage de gueule. Surtout pour Erza qui défonce tout. C'était vraiment pathétique à ce niveau-là.