Bah les compis sont pas sorti de l'île. Et le film les aborde même pas. Les bouquins non plus d'ailleurs, a part le chapitre d'intro et celui de la mort d'Hammond. (Enfin si y'a des bouquins Jurassic World je les ait pas lu).
Les Compis sont sortis de l'île, ils ont plusieurs scènes rien que pour eux.
Ils bouffent littéralement les restes de Macron alors que Roberta est encore en train de le bouffer... Eli Mills, pardon.
Ensuite, commencer son roman sur ces "dinos" en particulier et que Hammond meurt par leur faute, ça montre justement leur dangerosité. Parce qu'ils sont né à l'état sauvage et qu'il n'avait pas l'emprunte. Les films adaptent bien leur dangerosité en cela.
Quand a l'impact des espèces invasives, quand il s'agit de bestioles carnivores de plusieurs tonnes, non j'y crois pas. Une mission commando et c'est plié, a pu d'espèce d'invasive.
Je te parle des Compis.
Quand au propos de Malcolm, ils n'ont aucun sens si il parle pas d'une population de dinosaures/monstres capable de menacer l'hégémonie humaine. Il est manifeste qu'il parle pas de quelques dinosaures dans d'autres parcs, ou servant de sujets d'expérimentations dans un labo quelque part. Il parle d'une cohabitation forcée avec des bestioles capables de concurrencer la suprématie humaine sur notre planète a court terme, et même de nous supplanter (Jurassic World quoi). Et je dis lol.
Ce qui est manifeste c'est que tu as raté les messages que transmettent les Jurassik Park et les Jurassik World, et ceux de Ian Malcom du coup.
Jurassik Park ont toujours été des films moralisateurs. Le premier (se prendre pour dieu, c'pas bien), le second (exploiter des animaux pour le plaisir, c'est pas bien) et le troisième (faire des safaris, c'est pas bien).
Le premier Jurassik World (les OGM, c'est pas bien), le deuxième (l’ingénierie génétique abusive, c'est pas bien) et le troisième (l'introduction d'espèces exotiques dans un environnement, c'est pas bien).
Et la scène de fin avec le T-Rex tranquille au zoo de San Diego enfonce le clou de la connerie (avec le lézard de la Meuse qui s'apprête à bouffer du surfeur), on présente les gros trucs plein de dents comme des menaces, pas les petits trucs débrouillards qui se reproduisent très vite.
On te montre les gros bestiaux pour faire peur aux spectateurs. Tu vas me faire croire que le message serait passé si on nous avait des compis japper après un lion qui fait cinq fois leurs poids.
Première fois qu'on les voit : 27:26 pendant 38 secondes.
Deuxième fois qu'on les voit : 31:02 pendant 33 secondes.
Troisième fois qu'on les voit : 32:41 pendant 18 secondes
Je signale qu'à ce moment là, on n'a toujours pas vu Roberta ou Blue. Blue apparaît d'ailleurs, chassant des Compis, nous sous entendant qu'elle s'en est nourrit. ça donne une idée d'à quel point ils se reproduisent vite.
Quatrième fois qu'on les voit : 41:03 pendant...longtemps. Je montre pas tout les screen shots mais dis-toi qu'à chaque fois qu'un dinosaure est présent, il y au moins cinq ou six compis à leurs pieds.
La dernière apparition d'un Compis sur l'île est à 43:44. Donc. Sur l'île, ils apparaissent en continu pendant un quart d'heure. Et ce sont des petits machins. C'est CHIANT a faire en CGI. S'ils prennent la peine de le faire, c'est qu'il y a une raison.
Autre chose : à aucun moment, ils n'en capturent. Ils ne cherchent que les gros dinosaures. Pourtant ces saloperies sont quand même arrivé sur le continent. Elles se sont faufilés comme des rats.
Ils réapparaissent à 1:53:33
ainsi qu'à des moments trop rapide pour être pris en screen.
1:54:14 & 1:54:18
En comparaison, Roberta (Rexy, au cas où t'aurais pas compris... Le t-rex), apparaît 3 fois, et y a toujours un Compy qui partage l'écran (sauf pour le lion). Ils partagent l'écran avec les dinos & les acteurs vedettes.
Même les compys, face a des Coyotes (même niche écologique), je les vois pas s'imposer une seconde. On aurait même pas besoin de s'y mettre.
Ils ont une morsure empoisonnée et chassent en meute. C'est dit & montré. Les Coyotes tiendraient pas une seconde, ils arrivent déjà pas à s'imposer face à des chats.