Kaamelott

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Re: Kaamelott

Messagepar Magma Sacré le Jeu Juil 22, 2021 12:33

Spoiler
Qu’il refuse de toucher Mevanwi, ça colle avec la nature de Méléagant, qui n’est pas le genre à s’intéresser aux plaisirs de la chair. Pour Guenièvre, j’y ai pensé et c’est un peu plus délicat à justifier, mais on peut supposer que Lancelot était encore là et qu’il n’était simplement plus "le pilote du vaisseau". Méléagant agirait à travers lui en décidant quelle place lui accorder, un peu comme un interrupteur qu’il pourrait allumer et éteindre à sa guise.

Après, il se peut très bien que je me plante complètement, surtout que Méléagant avait déjà fait allusion à l’idée d’un cycle de mort/renaissance dans le livre V, expliquant qu’il devient un cadavre sous un tas de feuilles quand il a fini ce qu’il avait à faire. Il a même parlé du fait qu’il mangeait de la neige quand il revenait à la vie, comme il le fait dans la scène post-générique… Donc il y a de fortes chances pour qu’il vienne simplement de "renaître" dans le but de faire à nouveau tomber Arthur suite à son retour sur le trône. Mais ça explique pas le comportement très étrange de Lancelot, cela dit.

De manière plus globale, j’ai déjà ma petite théorie perso qui me travaille depuis longtemps, à propos de Méléagant et son véritable rôle. On verra si ça se confirme dans la suite.

Père Blaise qui s’avère être un trouduc d’un seul coup, c’est vrai que c’est bizarre, tout comme pour le jurisconsulte, mais c’est pas spécialement en contradiction avec ce qu’on a vu dans la série. Le Père Blaise n’a jamais montré un attachement particulier ou une quelconque loyauté à Arthur, il était juste là pour faire son boulot (qu’il faisait mal). Et je suppose que si on revoit la séquence où il parle à Arthur sur son lit de mort à la fin du livre VI, on peut y trouver une deuxième lecture : il se soucie davantage de l’histoire épique qu’il va écrire sur sa tentative de suicide et son sauvetage par Lancelot que de son état. Après je pense qu’Astier a voulu nous surprendre avec le positionnement de Blaise ou celui d’Elias (ou même celui de Sting à la fin du film), c’est un peu une manière de dire qu’il faut pas se fier aux apparences et que les traîtres ne sont pas toujours là où on le pense.

Ce qui m’a semblé plus bizarre que ça, c’est l’état d’esprit d’Arthur pendant une bonne partie du film. Il en a rien à carrer de Lancelot et sa dictature, il est toujours découragé au point de refuser le combat et n’est amené à participer que par un concours de circonstances qui le force à agir. C’est pas très raccord avec ce qu’on voit à la fin du livre VI, quand il se traîne hors de son lit à Rome pour s’entraîner à l’épée alors qu’il est à moitié crevé. S’il avait pas encore changé d’avis à ce moment-là, comment s’explique cette motivation qu’il semblait afficher ?
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Re: Kaamelott

Messagepar goten-kun le Ven Juil 23, 2021 12:12

Spoiler
On peut imaginer qu'il s'entraînait pour reprendre du poil de la bête sans pour autant vouloir reprendre la Bretagne.
Mais le fait que Venec l'ait ensuite vendu comme esclave, c'est assez étrange.


EDIT
Pour répondre à Saga, la servante de Guenièvre qu'on voit dans le film n'est pas Angharad mais la seconde qui débarque dans le livre 5. L'actrice s'était brouillée avec Astier et n'est pas revenue pour le film.
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Re: Kaamelott

Messagepar Saga le Sam Juil 24, 2021 5:07

Merci. Elle avait le même (mauvais) caractère, d'où la confusion.
Pour le père Blaise et le jurisconsulte :

Spoiler
Vu qu'ils ont tous les deux un rôle de bureaucrate, on peut supposer qu'ils ont tous deux suivi le pouvoir par fidélité au régime, quel qu'il soit. Mais ce qui ne me gêne pas un jurisconsulte relou (Clavier oblige) et apparu tardivement me dérange plus avec un père Blaise apparu à la première saison qui, au-delà de sa nullité comme archiviste, semblait loyal à Arthur et était même allé le chercher à Rome, où il avait validé son premier mariage.
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Re: Kaamelott

Messagepar Hone Dake No Brook le Ven Juil 30, 2021 18:23

Saga a écrit:
Spoiler
et, en sens inverse, de l'absence de trahison d'Elias le fourbe.


Spoiler
Il a trahi... tes attentes.
Image
C'est pas pour rien qu'on l'appelle Le Fourbe.
C'est plus compliqué que ça
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Re: Kaamelott

Messagepar RMR le Jeu Août 19, 2021 17:47

Bon, a y est, je l'ai vu... deux fois. Bah oui, faut bien satisfaire les amis de-ci et les amis de-là ! Mais pas de regrets, ça m'a été bien utile de le voir deux fois, j'ai pas du tout eu la même impression sur pas mal de choses. La première fois, j'essayais d'anticiper la suite, j'ai peut-être trop réfléchi, trop comparé à la série, et si j'ai trouvé le film très intéressant d'office, je n'ai pas su déterminer si je l'avais aimé ou pas pour autant. Par contre, la deuxième fois, sachant déjà où j'allais, je me suis laissé aller à apprécier le rythme, les rendus, les personnages, et j'ai a-do-ré !

SPOILERSSSSSSSS !!!



Je vais commencer par y aller par personnages, parce qu'ils sont au cœur du film. Passé Arthur, nous avons une galerie de personnages plus ou moins exploité et, face à un Arthur démissionnaire, ce sont eux qui animent le film.

D'abord, l'ouverture sur Alzagar, chasseur de trésor/de prime, met tout de suite dans l'ambiance de la série. On est pas sur un personnage épique, mais cynique et le contraste qu'il créé entre sa cruauté et son côté désinvolte limite sympathique, c'est excellent, c'est exactement les décalages de tons qui ont fait la popularité de cette série. Ses interactions avec les marins, avec Quarto le marchand d'esclave, avec le péager (avec les conneries d'Arthur et surtout Venec derrière), 12 ans ont passés, mais dès les premières minutes, on est dans la série, c'est magique ! J'espère qu'il n'aura pas servi qu'à ça et qu'il réapparaîtra par la suite !

Ensuite, j'ai envie de parler du duc d'Aquitaine. Il est... merveilleux ! Resplendissant ! Quand on le retrouve, c'est tout de suite la bonne crème qu'on a découvert au livre V, une sorte de philosophe humaniste au cœur d'or. Mais pour autant, Astier n'a pas oublié qu'il a changé au cours du livre V, qu'il a évolué. Et on le voit, ce duc qui s'impose ! Une fois, Arthur lui dit "non, je reviens pas". Deux fois. Trois fois. Et alors, cette scène où le duc abandonne les apparats, il rentre tout habillé dans le bain d'Arthur, plante son regard dans ses yeux et lui met un coup de pression, c'est superbe ! "J'ai payé 2000 solidi pour vous éviter une exécution publique à Kaamelott, la moindre des choses serait de venir à mon goûter." S'il ne s'était pas agi d'Arthur ("Je vous rembourserai les 2000 solidi, le reste ne me concerne pas."), presque tout le monde aurait plié sous un coup pareil, comment tu peux soutenir un tel aplomb ?! Et même en échec, il se débrouille encore pour lui faire prendre conscience de la débâcle du royaume de Bretagne avant de l'amener à la "Table Ronde", là où l'intérêt d'Arthur va s'éveiller pour la première fois. Le duc d'Aquitaine est simplement magnifique !

Lancelot. Je pressens que c'est le personnage qui va le plus provoquer la critique. Il semble, tout comme ses hommes, très commodément pour le scénario, d'une passivité absolue. Deux hommes partent donner l'alerte lors de l'assaut de la tour de Ban, les renforts ne viendront jamais. Arthur est enfermé en bas dans les geôles de Kaamelott, seule Mevanwi prend la peine de se déplacer immédiatement. J'ai d'abord pensé "il est nul" avant de me rendre compte que c'était trop gros pour être une négligence d'écriture. Astier nous le souligne en gros et en gras que Lancelot est mou, passif, même ses alliés le lui balancent à la gueule sans aucune retenue (le jurisconsulte qui lui envoie du "vieux lézard moisi"). Je pense que peu de monde va comprendre Lancelot. Je ne sais même pas si moi, je l'ai compris, mais j'ai une interprétation sur ce qui arrive avec lui. Je crois que dès la fin du livre VI, à partir du moment où il obtient le pouvoir d'Arthur, la quête de Lancelot est accomplie. Il a les rênes, l'ordre est établi, les "incapables" ne sont plus aux manettes. C'est fini au moment où ça commence. Dès ce moment-là, Lancelot se retrouve désœuvré, carapace vide. C'est pour ça qu'il se laisse si facilement recorrompre par Méléagan fin livre VI, et qu'il semble avoir complétement délaissé la quête du Graal. Je crois que Lancelot souhaite être tué par Arthur, raison pour laquelle il met tous ses efforts pour le chercher mais ne s'empresse pas de l'éliminer quand il le tient. Raison pour laquelle un Arthur qui ne l'achève pas est "un incapable" d'après ses propres mots. Il veut le combattre, et il veut être défait par celui qui est juste et ouvert, "souple". Alors que lui, engoncé dans se tenue rigide, frigorifié, presque déjà mort, est incapable d'évoluer, de se rapprocher du Graal quoi qu'il puisse être. J'ai de la peine pour ce "noble chevalier" trop attaché à l'ordre et à la droiture qui en obtenant tout semble avoir tout perdu, jusqu'au désir de vivre. Nous n'avons dans ce film plus qu'un spectre du Lancelot volontaire, désireux d'accomplir des quêtes qu'on a connu. Je ne crois même pas que ce soit un tyran. Les enfants mis à mort, je crois que c'est une exagération humoristique du duc, à la "et il mange des chatons". L'ancêtre paysan exécuté dont les cendres sont dans un vase, tout comme la ruine du pays, je pense que c'est imputable à son cortège, Jurisconsulte, roi Loth et compagnie, qui sont à cran sur le fric. Je doute que Lancelot ait activement tyrannisé le peuple Breton, en personne ou par ses ordres. Lancelot, tout ce qu'il reste de son sens de la chevalerie, c'est l'apparence de vouloir entretenir un amour courtois avec Guenièvre, perverti en une séquestration pure et simple. Moi, je trouve ça intéressant de se rendre compte qu'alors qu'on s'attend à voir Lancelot à son apogée, c'est sa longue et lente déchéance qui nous est donnée.

Les saxons (les deux indifféremment). De la même façon, je les trouve intéressant pour la surprise de leur rôle. Ils apparaissent comme de simples mercenaires asservis par l'argent ou la possession de terres, mais la scène finale nous les montre sous un jour très différent. Ce qu'ils exigent d'Arthur, c'est qu'Horsa (Sting) soit de la Table Ronde. Qu'est-ce qu'ils ont à y gagner en terme d'argent ou de possession ? Moi, je crois que ces personnages sont profondément bons, qu'ils ont des valeurs proches de celles d'Arthur, surtout le sens de l'honneur et du prestige. On notera que quand le jurisconsulte leur parle de prestige et qu'Horsa doit traduire le mot en saxon, ils se marrent comme si c'était un concept risible. Mais derrière, Horsa précise "on ne nous a pas demandé de chercher le Graal". Moi, je crois qu'ils rient jaune et qu'ils sont très amer d'être de simples mercenaires. On voit aussi lors de leur interaction avec les paysans qu'ils sont pas bien méchants. Wulfstan, la fille, présente sincèrement les condoléances de Kaamelott et du peuple saxon (la réplique n'est pas humoristique ni menaçante) et elle n'est vraiment pas véhémente avec eux. La seule scène plus borderline c'est quand ils semblent encourager Lancelot à mettre à mort Arthur qui est détenu plus bas. Ce que je crois, c'est que soit ils voulaient se débarrasser de leur mission de mercenaire en espérant pouvoir passer à de plus nobles tâches, soit, plutôt, ils espéraient que même emprisonné Arthur ne puisse pas perdre, surtout s'ils avaient conscience que Lancelot était en quête de sa propre chute. Et Horsa qui, quand on dit de lui qu'il n'est pas quelqu'un de bien, le renvoit sur toute la cohorte Lancelot, je ne pense pas que ce soit anodin. Il est "mauvais" parce qu'il n'a personne de "bon" à servir, aucun idéal à défendre dans la position qu'il tient à Kaamelott. Mais s'il pouvait être aux ordres de ce roi Arthur qui, "lui, n'aurait jamais cédé de terres", alors là...

Quant à Arthur, je n'ai pas grand chose à en dire, il s'éveille à son rôle premier, le guide vers la lumière, l'élément soudant la communauté de la Table Ronde (qui s'étend bien au-delà des seuls chevaliers). Le premier véritable impact, c'est quand il voit la Table Ronde d'amateur dont il décrit les qualités comme il l'avait fait à la fin du livre V à propos de la sienne (avant le fameux "mais faut pas nous écouter, vous savez qu'on est des cons" de Perceval). Après, on ne nous présente plus les étapes de son évolution. Il envisage tout de suite de récupérer Guenièvre dès qu'il apprend pour elle, puis tout de suite après d'aller chercher Excalibur, puis tout de suite après d'aider la Carmélide et les Burgondes, puis il admet devant Horsa d'être prêt à reformer la Table Ronde. Arthur, en fait, subit ce film en première partie puis suit la trame en seconde partie sans être véritablement acteur confronté à des obstacles qu'il résout comme dans un film d'action classique.

Le personnage de la scène post-générique, je l'ai reconnu avant de voir son visage (que je n'aurais peut-être pas forcément reconnu sinon, à part le côté cagoulé). Ce qu'il fait, il en parle dans le livre V, à Lancelot. "Je suis un petit cadavre rabougri sous un tas de feuille. Puis je rampe, je mange la neige. Et de me voir boire, mes ennemis tremblent car ils savent que je suis de retour."

Ça m’ennuie un peu de l'admettre car j'adore Perceval, mais lui et Karadoc sont pas géniaux, je trouve. Enfin, leur apparition derrière la roche du tunnel qui s'éboule, l'un puis l'autre, ça pétait la classe, surtout qu'on les attendait. Mais après, ils sont dans leur humour "semi-croustillant" que je n'aime pas, et ce depuis le livre V. Le gag des incompétents qui gueulent à l'incompétence sur d'autres incompétents, ça a marché une fois, mais en running gag, ça m'a saoulé, et c'était déjà le cas il y a 14 ans. Ce que j'aime, chez eux, c'est quand ils mettent en œuvre leur propre incompétence, comme la scène des deux-cent pas sur le chemin et monte de la garde, ça a marché. Et bien sûr, la mise en scène de la tendresse de Perceval pour son roi, comme quand il le découvre dans la cage, ça, ça marche.

Au deuxième visionnage, j'ai fini de reconnaître et retrouver qui était qui. Par exemple, Galessin d'Orcanie sur les remparts de Kaamelott avec le garde du corps (ce dernier demandant à envoyer les lanciers contre les Burgondes). Le seul personnage pour lequel il m'a fallu l'aide d'internet, c'est le troisième larron bêcheur avec Léodagan et Calogrenant. Et pourtant, je me suis creusé la tête pour retrouver qui ça pouvait être. Je pouvais toujours chercher. "Maclou", fils supposé de Calogrenant (qu'il appelle une fois "Papa" dans le film, mais entre les vannes, l'argot et les familiarités, ça m'a pas convaincu en cours de visionnage qu'il fallait le prendre au sens propre, et je suis toujours pas sûr vu comme il a l'air vieux pour être un fils de Calogrenant), personnage inédit de ce film. Eh ben, très, trèèès mal introduit. Léodagan qui l’inclut l'air de rien dans les gens à qui il "ne parle pas de lui parce qu'ils sont chiants et qu'il faut qu'ils arrêtent de s'en étonner", j'étais persuadé que c'était un vieux de la vieille de la série... Alors que la sœur de Léodagan, elle, elle est proprement présentée. "Fraganan" qu'elle s'appelle, et plutôt chouette personnage, il se dégage d'elle une sorte de douceur tranquille que j'aime bien. Maclou, par contre, c'est Calogrenant bis (et j'ai toujours considéré Hervé de Linel comme étant déjà un Calogrenant bis, juste en infiniment plus con, ça en fait des cons d'arrière-plan). Sa meilleure scène, c'est quand il dit des Burgondes qu'ils sont cons mais bon musiciens, c'est dire...

Le flashback... Je ne crois pas qu'il soit capital. Je pense que c'est simplement un autre tour de manche. L'apparence d'une romance (le "Arthuros, on voit ta bite" à l'adresse d'un Arthur hypnotisé à la vue de l'esclave et ne répondant plus à ses compères, le cliché de scène romantique, et cette rupture, c'est énorme), mais en fait l'histoire d'un meurtre. La mise en relation d'un Arthur qui possédé par la fougue de la jeunesse se montre radical avec un Arthur âgé, expérimenté, qui épargne son adversaire (Lancelot). C'est tellement pas l'histoire d'une romance qu'on ne sait même pas s'il libère la gamine. On nous raconte ce qui est certainement le premier meurtre d'un Arthur qui a une longue route a faire avant d'épargner Lancelot. Voilà tout.

J'ai eu du mal avec la scène de la tour et du baiser. Et pour être honnête, j'ai toujours du mal. Je conçois mal qu'Arthur s’amourache d'une "cruche qu'il n'a jamais pu encadrer". Oui, il y a le livre cinq où ils partagent quelques instants de tendresse. Mais c'est plus mignon que charmant. Alors, je me dis que la magie de l'instant, l'ambiance, la tour, la nuit, la romance et la poésie... Mais je souhaite à Arthur de trouver quelqu'un qui lui offre plus d'épanouissement personnel. Et à Guenièvre de trouver quelqu'un qui ait autant de gentillesse et de bon cœur qu'elle (Arthur est juste, noble et bon, mais pas gentil).

Je vais finir sur le robobrole. Je n'ai pas du tout aimé au premier visionnage. J'essayais de comprendre comment ils allaient bien pouvoir se départager, ça a rendu l'exercice long et peu intéressant. Au deuxième visionnage, en connaissant la finalité, j'ai pu lâcher prise et apprécier le partage en couille total du truc. Mention spéciale aux chiens qui débarquent sur le terrain !

Bref, j'ai adoré, et si je peux, on m'y reverra pour les suites !!!
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