The Vegeta Dynasty [+16]

Faîtes-nous partager votre fibre littéraire en écrivant votre propre histoire mettant en scène les personnages de Dragon Ball et, pourquoi pas, de nouveaux ! Seules les fanfictions textes figurent ici.

The Vegeta Dynasty [+16]

Messagepar Gakin le Mar Avr 22, 2025 21:31

Image

Je me lance dans la publication d'une nouvelle histoire centrée sur la famille Vegeta, avec un peu de background sur les Saiyens en général.
Cette fiction est classée +16, car il y aura un chapitre érotique dans le lot (je mettrais une mise en garde le moment venu ^_^)


SYNOPSIS

Histoire sur les différents Vegeta ayant régné sur le peuple Saiyens. Rien de plus à ajouter, je crois.


Nombre de chapitres de prévu
Seulement 15 chapitres.

Rythme de parution
Un chapitre toutes les deux semaines.

Le canon
Comme pour l'autre fanfiction, je refais à ma sauce toutes les idées qui me plaisent dans l'univers Dragon Ball (manga, anime, films, oav, fanmangas, fanfictions, jeux vidéo, dessins, etc.).
Cette histoire est prise en compte dans mon autre fanfiction "Dragon Ball - Next Journey"

Bonne lecture à tous !!
Dernière édition par Gakin le Mer Avr 23, 2025 20:25, édité 1 fois.
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Re: The Vegeta Dynasty

Messagepar Gakin le Mar Avr 22, 2025 21:34

CHAPITRE 0 : L’ORIGINE DES SAIYENS


Sur la lointaine planète Sadala, une évolution étonnante définit les origines des Saiyens et des Sadaliens, deux peuples nés d’une même racine mais destinés à s’opposer pour le contrôle de leur monde. L’histoire de Sadala, marquée par des transformations physiques et sociétales, est un témoignage de lutte, de légendes et de survie.


L’Âge de Pierre : L’Évolution des Oozarus

Il y a des millions d’années, les premiers habitants de Sadala étaient des créatures titanesques connues sous le nom d’Oozarus. Ces singes géants possédaient une puissance brute inégalée, mais leur intelligence était primitive. Sous la lumière de la pleine lune, leur rage s’intensifiait, transformant ces bêtes en prédateurs incontrôlables.

Au fil des ères, les Oozarus évoluèrent. Leurs corps se rétrécirent, leurs traits devinrent plus humains, tout en conservant une queue de singe et la capacité de se transformer en Oozaru lors des nuits de pleine lune. Ce nouvel état intermédiaire donna naissance aux Saiyens au Sud et aux Sadaliens au Nord, deux peuples qui commencèrent à se distinguer dans leur évolution physique et culturelle.


L’Âge des Sadaliens

Dans les régions du Nord, les Sadaliens bénéficièrent d’un environnement fertile et clément, leur permettant de développer une société structurée et prospère. Ils construisirent des villages, cultivèrent la terre et mirent en place des systèmes de troc et de gouvernance primitive. Leur organisation leur donna une supériorité initiale sur leurs cousins du Sud.

Au Sud, les Saiyens luttaient pour survivre dans un environnement aride et hostile. Répartis en petites tribus, ils s’appuyaient sur leur force brute et leur résistance pour chasser les bêtes sauvages et trouver des ressources rares. Bien que moins avancés technologiquement, leur nature belliqueuse les rendait redoutables.


L’Âge des Chefs

Alors que les siècles passaient, les Saiyens commencèrent à s’organiser en clans sous la direction de chefs choisis pour leur force physique. Chez eux, la puissance individuelle était la seule mesure de valeur, et les chefs étaient défiés régulièrement pour leur position. Cette coutume devint la base de leur société, où seuls les plus forts survivaient.

Pendant ce temps, les Sadaliens continuaient à prospérer. Ils voyaient les Saiyens comme des sauvages indisciplinés, incapables de constituer une véritable menace. Mais cette perception changea lorsque les Saiyens commencèrent à adopter des stratégies collectives inspirées de leurs ennemis du Nord.


L’Âge Légendaire

En l’an -2 238, un Saiyen nommé Yamoshi bouleversa l’histoire de Sadala. Guerrier d’une force exceptionnelle, il était animé par un sens profond de la justice. Lorsque ses camarades furent tués, il libéra une puissance enfouie au plus profond de lui. Sa transformation en Super Saiyen, marquée par une aura dorée et une force décuplée, fut le point de départ d’une légende qui allait transcender les générations.
Yamoshi utilisa ce pouvoir pour vaincre ses ennemis, mais il fut rapidement submergé par son état. Sa transformation exigeait une énergie colossale et ne pouvait être maintenue longtemps. Bien qu’il unifiât temporairement les Saiyens, Yamoshi mourut peu après, laissant derrière lui une légende qui inspira de nombreux guerriers.

En l’an -1 238, un second Super Saiyen émergea, réaffirmant l’existence de cette transformation mythique. Bien que moins marquant que Yamoshi, il prépara le terrain pour l’avenir.

En l’an -238, un troisième Super Saiyen fit son apparition, mais son cas était différent. Portant une mutation génétique rare, sa force augmentait continuellement, mais au prix de son humanité. Devenu une créature sauvage, il massacra Saiyens et Sadaliens sans distinction, semant la terreur sur toute la planète. Ce guerrier incontrôlable établit l’association du Super Saiyen à une menace destructrice et incontrôlable, renforçant l’idée que cette puissance était une arme à double tranchant.


L’Âge des Gladiateurs

En l’an 633, les tensions entre le Nord et le Sud atteignirent leur paroxysme. Les Saiyens, unifiés sous la bannière d’une reine redoutable, déclarèrent la guerre aux Sadaliens. Leur objectif : renverser la suprématie du Nord et conquérir les terres fertiles qui leur avaient été refusées pendant des siècles.


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Rendez-vous ce vendredi 25 pour le chapitre 1 !!
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Re: The Vegeta Dynasty [+16]

Messagepar Gakin le Ven Avr 25, 2025 18:36

CHAPITRE 1 – DÉCOUVERTE DE LA PATROUILLE GALACTIQUE


La planète Sadala était plongée dans le chaos. Au Sud, les Saiyens, guerriers féroces au corps endurci par des décennies de survie dans des terres arides, rassemblaient leurs forces pour une guerre totale. Au Nord, les Sadaliens, peuple plus avancé et prospérant dans des plaines verdoyantes, s’étaient préparés à repousser une invasion imminente. Depuis des siècles, les tensions entre les deux peuples avaient alimenté de petits conflits, mais en cette année 633, les escarmouches frontalières s’étaient transformées en une guerre ouverte.

Les Saiyens accusaient les Sadaliens de monopoliser les terres fertiles et de restreindre les échanges commerciaux, utilisant ces accusations pour justifier leurs pillages répétés. De leur côté, les Sadaliens, bien qu’en position de force grâce à leur organisation militaire et leurs armes sophistiquées, refusaient de se transformer en Oozaru – ces singes géants destructeurs qu’ils considéraient comme une régression barbare. Leur refus catégorique de perdre la raison dans un état bestial était une question d’honneur et de principe. Mais les Saiyens, eux, n’avaient pas de telles réserves. Lors de chaque pleine lune, les Oozarus Saiyens semaient la désolation dans les villages Sadaliens, rasant des fortifications entières et forçant l’ennemi à battre en retraite.

En dépit de leur supériorité militaire apparente, les Sadaliens commençaient à fléchir. Leurs stratégies étaient bien rodées. Leurs armes n’étaient pas suffisantes face à la brutalité imprévisible des Saiyens et à leur endurance surnaturelle. Cependant, les Saiyens n’étaient pas unifiés. Chaque clan menait ses propres combats, dispersant leurs forces et ralentissant leurs avancées. Cette désorganisation aurait pu coûter cher aux guerriers du Sud, mais un événement inattendu allait bouleverser le cours de la guerre.

Dans un camp reculé des montagnes du Sud, une jeune Saiyenne de seize ans observait en silence les préparatifs d’une attaque. Petite pour son âge, avec une silhouette élancée mais des muscles d’acier, Vegeta dégageait une aura redoutable. Orpheline depuis son enfance, elle avait survécu en se battant, grimpant les échelons des clans Saiyens à une vitesse fulgurante. Sa puissance, inexplicable pour quelqu’un d’aussi jeune, suscitait autant d’admiration que de peur.

Durant des semaines, Vegeta étudiait les échecs des siens. Le roi actuel, un colosse brutal mais sans vision, envoyait les guerriers dans des batailles inutiles, sacrifiant leurs vies sans réelle stratégie. Cette approche archaïque révoltait Vegeta qui voyait dans l’unité, la clé de leur victoire contre leurs voisins. Mais pour imposer cette vision, elle savait qu’elle devrait agir.

Par une nuit sans lune, elle lança son défi. Dans la tradition Saiyenne, le leadership se gagnait par la force. Vegeta affronta le roi devant des centaines de guerriers rassemblés, et le combat, bien qu’intense, ne dura pas longtemps. Elle était plus rapide, plus intelligente et, surtout, impitoyable. D’un coup de poing chargé de Ki, elle mit à genoux le souverain, avant de l’achever sans hésitation. A cet instant, Vegeta devint reine.

Sous son règne, les clans Saiyens furent unifiés pour la première fois depuis des générations. Elle instaura une discipline stricte, mettant fin aux querelles internes et réorganisant les troupes.

Malgré tout, Vegeta comprit l’importance de l’Oozaru comme une arme décisive. Là où les Sadaliens voyaient cette transformation comme une faiblesse, elle y voyait une force.

Elle proclama ceci :

« Ce que les Sadaliens considèrent comme une régression, nous le transformerons en victoire. Ils craignent leur propre pouvoir. Nous n’avons pas ce luxe. Chaque pleine lune, nous leur rappellerons qu’ils ont choisi d’être faibles. »

Parallèlement aux transformations en Oozaru, les Saiyens se perfectionnèrent également dans les arts martiaux. Bien que la discipline ne fût pas leur fort dans les entraînements, leur instinct naturel pour le combat et leur brutalité compensèrent largement cette faiblesse. Les Sadaliens, de leur côté, excellaient également dans les arts martiaux, combinant leur technique raffinée à leurs armes et attaques de Ki, mais ils restaient inférieurs en termes de pure endurance face à leurs adversaires du Nord.

Mais les Sadaliens ne se laissèrent pas submerger sans riposter. Leurs généraux élaborèrent des tactiques visant à exploiter les failles des Saiyens. Utilisant des armes d’énergie concentrée, des pièges sophistiqués et des formations de combat martiales précises, ils infligèrent plusieurs défaites aux Saiyens, ralentissant leur avancée. Cependant, ces victoires furent de courte durée. Vegeta, stratège accomplie, ajustait rapidement ses plans, apprenant de chaque défaite pour perfectionner ses attaques.

En l’an 634, sous le règne de Vegeta, les Saiyens remportèrent plusieurs victoires décisives. Sous son commandement, leurs forces assiégèrent les principales villes Sadaliennes, coupant leurs lignes de ravitaillement et affaiblissant leur moral. Chaque bataille rapprochait un peu plus les Saiyens de leur objectif ultime : la domination totale.

La guerre atteignit son paroxysme l’année suivante, lorsque les Saiyens lancèrent une offensive massive contre la capitale Sadalienne. Le siège dura plusieurs mois, mais l’issue était inévitable. Les Sadaliens, épuisés et dépassés, furent incapables de résister à la furie de leurs ennemis. Lorsque la capitale tomba, ce fut un massacre.

Les survivants Sadaliens furent traqués et éliminés sans pitié. Quelques-uns, dans un ultime acte de survie, se déguisèrent en Saiyens, coupant leur queue et adoptant les coutumes de leurs ennemis pour échapper à la purge. Ces réfugiés, rares et dispersés, disparurent dans l’anonymat, leur culture et leur peuple anéantis.

La guerre prit fin.

Vegeta, désormais reine incontestée, célébra la victoire des Saiyens. Le Nord et le Sud de Sadala étaient enfin unifiés sous une seule bannière, marquant le début d’une nouvelle ère. Les terres fertiles du Nord, autrefois le cœur de la prospérité Sadalienne, devinrent le symbole de la domination Saiyenne.

Cependant, cette victoire n’était pas sans conséquences. La planète Sadala, ravagée par des années de guerre, était en ruines. Les Saiyens, bien qu’excellents pour détruire, éprouvaient des difficultés à reconstruire. Même avec l’aide de quelques artisans et personnes formées par les Sadaliens, leur aptitude naturelle pour la destruction surpassait de loin leurs compétences en création et organisation. Sadala, bien que conquise, portait encore les stigmates de la guerre, reflétant la dualité d’un peuple forgé dans le chaos et la violence.

* * * * * * *

Des semaines s’étaient écoulées depuis la fin de la grande guerre qui avait déchirée la planète Sadala. La victoire des Saiyens avait laissé la planète en ruines, et le peuple, épuisé par des années de conflits, peinait à se relever. Les bâtiments effondrés jonchaient les plaines, les terres autrefois fertiles étaient brûlées ou stériles, et les Saiyens eux-mêmes semblaient perdus dans ce monde qu’ils avaient conquis mais qu’ils ne savaient pas reconstruire.

La reine Vegeta, cependant, restait une figure imposante. Assise sur un trône endommagé dans une salle presque en ruines, elle fixait d’un regard perçant les rares Saiyens assez téméraires pour la défier. Depuis sa montée au pouvoir, plusieurs guerriers avaient tenté de prendre sa place, croyant pouvoir profiter de la faiblesse temporaire du peuple. Mais leur arrogance leur avait coûté cher. À chaque tentative de renversement, Vegeta les éliminait avec une facilité déconcertante, renforçant sa position de leader incontestée.

Un jour, alors que la reine était seule dans la salle du trône, un léger bourdonnement brisa le silence. Un robot minuscule, de la taille d’une abeille, passa par un trou béant dans le plafond et vola jusqu’à se poser devant Vegeta. Elle fronça les sourcils, intriguée.

La machine s’activa et une voix claire, presque humaine, émana d’elle :

— Salutations. Je suis une unité envoyée par la Patrouille Galactique.

Vegeta haussa un sourcil.

— La quoi ?

Le robot continua, imperturbable.

— La Patrouille Galactique est une organisation chargée de maintenir la paix et l’ordre dans l’univers. Nous surveillons les conflits et intervenons lorsque cela est nécessaire. Nous avons observé le récent conflit sur cette planète depuis notre quartier général.

La reine resta silencieuse un instant, digérant ces informations.

— L’univers ? Explique-toi.

Le robot, comme s’il avait prévu la question, projeta une image holographique montrant des étoiles, des galaxies et des planètes.

— Votre monde, Sadala, fait partie d’un vaste univers composé de milliards de galaxies. Chaque galaxie contient des milliers de planètes, certaines habitées, d’autres non. La Patrouille Galactique opère dans de nombreuses régions pour protéger ces mondes.

Vegeta croisa les bras, une lueur d’intérêt dans les yeux.

— Et pourquoi êtes-vous ici ?
— Nous avons observé le conflit de votre planète. Nous arriverons dans trois jours pour vous apporter notre aide à la reconstruction.

Un sourire fin se dessina sur les lèvres de la reine.

— Puis-je demander combien de personnes vous pouvez envoyer pour nous aider ? Nous avons besoin de main-d’œuvre.
— Autant que nécessaire, répondit le robot avant de s’envoler dans le ciel, disparaissant aussi vite qu’il était arrivé.

Vegeta se tourna alors vers son conseiller, un Saiyen vieillissant aux traits marqués par les batailles. Elle afficha un sourire maléfique.

— Nous venons de trouver une solution. Prépare les autres.

Trois jours plus tard, une flotte de vaisseaux de la Patrouille Galactique atterrit sur Sadala. Les Saiyens, sur ordre de la reine, accueillirent les étrangers avec des sourires forcés et des salutations respectueuses. Vegeta elle-même se présenta avec une courtoisie feinte, serrant la main des officiers et exprimant sa gratitude pour leur aide.

Pendant plusieurs jours, les Saiyens jouèrent leur rôle à la perfection. Ils aidèrent les patrouilleurs à déblayer les débris, reconstruire des bâtiments et distribuer des ressources. Mais derrière cette façade de coopération, Vegeta avait un plan. Tandis que certains Saiyens travaillaient aux côtés des patrouilleurs, d’autres infiltraient leurs rangs, posant des questions innocentes sur leurs vaisseaux, leurs technologies, et les mystères de l’univers. Ils apprirent l’existence des Kaiō, des Kaioshins, et des races capables de survivre dans le vide spatial.

Un jour, Vegeta aborda un patrouilleur avec une demande spécifique.

— Nous avons repéré un étrange animal à la peau très dure entre la forêt et le désert. Il s’agit peut-être d’une « navette » comme vous l’appelez.

Intrigué, le patrouilleur accepta de l’accompagner pour vérifier l’objet. Il avait une peau orange et une moustache plus foncée en plus de son uniforme officielle de la fameuse Patrouille. La reine mena l’officier dans une région à l’écart, où les plaines desséchées s’étendaient à perte de vue, bordées par une forêt dense d’un côté et des dunes de sable de l’autre. Cette zone, autrefois riche en ressources naturelles, portait encore les cicatrices de la guerre : des cratères de Ki, des carcasses de bêtes calcinées et des vestiges de campements abandonnés.

Au centre de cette désolation, une sphère métallique reposait sur ses pattes, à moitié ensevelie sous le sable.

— Cela ressemble à une sonde Tsufule, déclara le patrouilleur après avoir examiné l’appareil.
— Et leur planète ? Où se trouve-t-elle ? demanda Vegeta, feignant l’ignorance.

Le patrouilleur consulta un gadget dans sa main, semblable à un galet, cherchant la localisation exacte. Après un moment, il réussi à trouver les coordonnées de cette dernière.

Elle hocha la tête avec un sourire, puis, levant la main vers le ciel, tira une vague de Ki lumineuse.

Le patrouilleur recula, surpris.

— Pourquoi avez-vous fait ça ?
— Un scorpion volant. Il allait vous attaquer, répondit-elle d’un ton convaincant. Mais en réalité, ce tir était un signal.

À la capitale, les Saiyens se mirent à l’attaque. En un instant, ce qui avait semblé être une collaboration harmonieuse se transforma en un bain de sang. Les guerriers Saiyens, déchaînés, utilisèrent leur force brute et leurs vagues de Ki pour submerger les patrouilleurs, volant leurs vaisseaux et capturant quelques otages pour les piloter.

Dans la zone isolée, le patrouilleur avec Vegeta reçut un appel urgent.

— Nous sommes attaqués ! Les bombes à extinction ne fonctionnent pas sur eux !

Vegeta, impassible, répondit avec un calme glacé :

— Les scorpions volants sont nombreux cette saison. Vous devriez rejoindre vos camarades.

Le patrouilleur, confus mais obéissant, suivit Vegeta vers la capitale. Mais lorsqu’ils arrivèrent, il fut horrifié par ce qu’il vit. Des corps jonchaient le sol : quelques Saiyens, mais surtout des patrouilleurs galactiques, massacrés dans une violence indescriptible. En arrière-plan, des batailles faisaient encore rage, des tirs de pistolets lasers se mêlant aux explosions de Ki.

Le patrouilleur se tourna vers elle, cherchant une explication. Mais avant qu’il ne puisse dire un mot, elle arracha le gadget de sa paume, le tenant dans sa main comme un trophée.

— J’ai besoin de ça, déclara-t-elle froidement.

Il tenta de réagir, mais elle était plus rapide. En une fraction de seconde, elle planta une lame de Ki dans sa poitrine, l’abattant sans une once de remords.

— En revanche, je n’ai plus besoin de toi. Murmura-elle alors qu’il tombait à genoux, son regard rempli de confusion et de douleur

Vegeta tourna les talons, le gadget en main, alors que les cris des derniers patrouilleurs se mêlaient au rugissement triomphal de ses guerriers. Les Saiyens, bien que brisée, avaient trouvé un moyen de les propulser bien au-delà des limites de leur monde.

* * * * * * *

Des jours après avoir exterminé les derniers vestiges de la Patrouille Galactique sur Sadala, le peuple Saiyen entreprit un nouveau chapitre de son histoire : l’exode. Leur planète, en ruines, ne pouvait plus les soutenir.

Dans les immenses étendues de Sadala, les Saiyens s’affairaient à préparer les vaisseaux volés. Ces engins, bien plus avancés que tout ce qu’ils avaient connu, étaient à peine compris par leurs nouveaux propriétaires. Heureusement, les otages capturés — une femme à la peau jaune au visage délicat et un homme à la peau épaisse et hérissée de piques — avaient été contraints de leur enseigner les bases du pilotage.

Alors qu’ils s’apprêtaient à embarquer, Vegeta rassembla son peuple et ordonna un dernier changement.

— Abandonnez vos armures, déclara-t-elle, sa voix résonnant comme un ordre incontestable.

Un guerrier Saiyen, perplexe, s’avança.

— Pourquoi s’en débarrasser ? Elles sont le symbole de notre force.

La reine sourit légèrement.

— Parce que nous ne voulons pas montrer notre force, du moins pas encore. Enfilez ces peaux de bêtes. Nous devons paraître primitifs, faibles et insignifiants. Cela fera baisser la garde de nos ennemis et leur donnera un faux sentiment de supériorité.

Les Saiyens, bien qu’intrigués, s’exécutèrent. Ils troquèrent leurs armures imposantes contre des vêtements grossiers faits de peaux de bêtes, donnant l’apparence d’un peuple sauvage et rudimentaire.

Une fois les préparatifs terminés, les Saiyens montèrent à bord des vaisseaux. Les otages furent répartis dans le vaisseau principal où se trouvait Vegeta. La femme à la peau jaune semblait inquiète, tandis que l’homme hérissé, malgré ses blessures, regardait autour de lui avec défiance.

Les moteurs des vaisseaux grondèrent, et les Saiyens quittèrent leur planète natale, leurs regards tournés vers l’horizon cosmique.

* * * * * * *

Pendant deux jours, Vegeta passa la majeure partie de son temps avec ses otages, les interrogeant avec une précision glaçante.

— Quelle est la nature de cette planète Plant ? demanda-t-elle en fixant l’homme.
— C’est une planète verdoyante, riche en ressources. Elle est gouvernée par un système complexe, répondit-il, la voix tremblante mais digne.

La reine leva un sourcil.

— Complexe ? Précisez.

L’homme déglutit avant de répondre.

— Plant est dirigée par trois rois, une reine, et un grand roi qui sert de figure centrale pour maintenir l’équilibre. Ils n’ont pas d’armée proprement dite mais s’appuient sur une technologie avancée pour leur défense.

Vegeta nota mentalement chaque détail, un sourire satisfait sur les lèvres. À chaque question, elle réaffirmait son contrôle, promettant aux otages qu’ils seraient libérés une fois leur mission accomplie.

Une fois que les vaisseaux approchaient de l’orbite de Plant, Vegeta rassembla les Saiyens par communication interne.

— Préparez-vous, déclara-t-elle avec une voix autoritaire.

L’homme hérissé fronça les sourcils.

— Se préparer à quoi ? demanda-t-il, méfiant.

La reine se tourna lentement vers lui, un sourire glacé étirant ses lèvres.

— Au crash.

Les otages protestèrent immédiatement.

— Et votre promesse de nous libérer ? hurla l’homme, la colère brûlant dans ses yeux.
— Ah, c’est vrai, j’avais oublié… dit Vegeta en roulant des yeux, le geste exagéré pour ridiculiser son captif.

Sans attendre, elle leva une main et tira un rayon d’énergie qui traversa la tête du patrouilleur. Il s’effondra, inerte, son corps hérissé de piques tombant lourdement au sol.

— La mort est une forme de liberté, murmura Vegeta avec une voix douce.

La patrouilleuse, paralysée par la peur, fixa la Saiyenne avec des yeux écarquillés. La reine s’approcha lentement d’elle, s’accroupissant à son niveau.

Un long silence passa, seulement rompu par les tremblements de cette dernière. La proximité de la reine était oppressante.

La patrouilleuse détourna légèrement la tête, son corps raidi par un mélange de peur et de colère. Ses joues étaient encore trempées de larmes qu’elle ne parvenait pas à retenir, mais l’idée que cette femme sadique puisse s’en amuser la révoltait. Vegeta, impassible, saisit doucement son menton d’une main ferme et le ramena en place, obligeant leur regard à se croiser.

— Ne détourne pas les yeux, ordonna la reine d’un ton bas, presque murmuré, mais chargé d’une autorité implacable.

La patrouilleuse, frémissante, n’eut d’autre choix que d’obéir. Vegeta inclina légèrement la tête, observant chaque trait de son visage avec une intensité troublante. Puis, lentement, elle passa sa langue sur une larme qui roulait sur la joue de sa victime, un sourire ambigu naissant sur ses lèvres.

—Même dans la douleur, tu restes belle, murmura-t-elle, sa voix douce mais empreinte d’une ironie mordante.

La patrouilleuse recula instinctivement, son estomac se nouant de dégoût et d’impuissance, mais elle était clouée sur place par la peur viscérale qu’inspirait cette femme. Ses émotions tourbillonnaient : la honte d’être réduite à un tel état, la rage de ne pouvoir réagir, et une terreur sourde face à l’imprévisibilité de Vegeta.

La reine se redressa avec une lenteur calculée, laissant planer un silence insupportable, comme si elle savourait l’effet qu’elle avait sur la patrouilleuse. Elle se détourna finalement, s’éloignant de quelques pas, puis s’immobilisa brusquement.

— Dommage que ce monde n’ait pas de place pour toi, souffla-t-elle sans se retourner.

Sa queue, jusqu’alors enroulée autour de sa taille, se déroula lentement, s’éleva avec une grâce mortelle, et avant que la patrouilleuse ne puisse comprendre, un rayon de Ki jaillit, transperçant son cœur. Le corps s’effondra sans un bruit, et Vegeta, indifférente, continua son chemin, ses pas résonnant dans la pièce silencieuse.

— Il est temps pour moi de goûter à autre chose : la victoire, conclut-elle, un sourire narquois sur les lèvres, avant de quitter la pièce.

La reine des Saiyens se dirigea alors vers les commandes du vaisseau principal. Elle activa le système de communication interne, sa voix résonnant dans tous les autres vaisseaux.

— Guerriers, levez les yeux vers votre avenir, déclara-t-elle, nous avons quitté notre monde en ruines pour en conquérir un nouveau. Mais avant de le faire nôtre, nous devons montrer à ses habitants ce qu’il en coûte de nous sous-estimer.

Elle marqua une pause, savourant l’anticipation palpable de son peuple. Puis, avec un éclat de triomphe dans la voix, elle cria :

— Écrasez-vous !

Tous les vaisseaux Saiyens obéirent à l’unisson, plongeant en piqué à toute vitesse vers la surface de Plant. L’atmosphère s’enflamma autour des engins, les transformant en météores menaçants, annonciateurs d’une invasion dévastatrice.

Dans le cockpit, Vegeta observa les flammes qui léchaient les hublots avec un sourire satisfait.

— Plant… prépare-toi à rencontrer tes nouveaux maîtres, se murmura-t-elle.
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Re: The Vegeta Dynasty [+16]

Messagepar Gakin le Ven Mai 09, 2025 18:47

CHAPITRE 2 – UN ATTERRISSAGE PRESQUE EN DOUCEUR


La matinée était encore fraîche sur la planète Plant. La lumière du jour baignait déjà la surface rugueuse, révélant ses montagnes imposantes et ses vastes forêts. Soudain, des vaisseaux de la Patrouille Galactique déchirèrent le ciel et s’écrasèrent violemment, faisant trembler le sol dans un vacarme assourdissant. Des bâtiments s’effondrèrent sous l’impact, des habitants furent balayés par l’explosion. La planète semblait vivre un cauchemar silencieux, le paysage désolé n’était plus qu’un champ de ruines, de carcasses fumantes et de débris métalliques.

Parmi les Saiyens, les survivants émergeaient difficilement des navettes fracassées. Plusieurs d’entre eux portaient des blessures visibles : des plaies ouvertes, des membres cassés, des visages couverts de sang et de poussière. Certains se soutenaient les uns les autres, titubants, tandis que d’autres, allongés sur le sol, ne se relèveraient plus jamais. Le crash avait été violent, coûtant la vie à plusieurs guerriers, et même les plus robustes n’en étaient pas sortis indemnes.

Des silhouettes massives, coiffées de crinières rebelles et vêtues de peaux de bêtes, se regroupèrent autour de leur reine. Vegeta s’avança avec assurance malgré de fines coupures sur l’ensemble du corps. Son regard perçant balayait les environs, jaugeant la situation avec la précision d’un prédateur.

Les Tsufuls, bien plus petits, fixaient ces étrangers d’un air inquiet. L’apparition soudaine et brutale des Saiyens avait suffi à semer la panique.

Vegeta leva lentement les mains, dans un geste de soumission calculé. Son port de tête, sa posture... Rien en elle ne respirait réellement l’humilité. Derrière elle, ses guerriers imitèrent son mouvement à contrecœur, bien conscient du rôle qu’ils devaient jouer.

Une voix tremblante fendit le silence.

— Arrêtez-vous là ! Qui êtes-vous ? Pourquoi êtes-vous ici ?

Une demi-douzaine de soldats Tsufuls apparut, armes levées, prêtes à tirer. Leurs détecteurs énergétiques affichaient des relevés affolants. Ils encerclèrent les Saiyens, adoptant la formation de chasseurs traquant une bête féroce. Les guerriers de Vegeta se contentèrent d’échanger des regards silencieux, nullement impressionnés.

D’un ton assuré, la reine déclara :

— Je suis Vegeta, souveraine des Saiyens. Nous venons en paix.

Un rire sans joie s’échappa du soldat qui semblait diriger le groupe.

— En paix ? Votre arrivée a détruit des bâtiments, causé des morts. Si c’est ainsi que vous définissez la paix, je n’ose imaginer ce qu’est votre guerre.

Vegeta ne cilla pas.

— Nous fuyons une menace qui a ravagé notre planète, dit-elle en posant brièvement les yeux sur ses propres blessés. La Patrouille Galactique nous a secourus et escortés ici, mais nos vaisseaux étaient trop endommagés… Nous nous sommes écrasés en catastrophe. Nous avons perdu beaucoup des nôtres.

Son ton était calme, posé, empreint d’une détresse feinte mais crédible.

Les soldats échangèrent des regards méfiants.

— Et où sont les patrouilleurs, alors ? lança l’un d’eux. Je n’en vois aucun.

Autour d’eux, les Tsufuls s’étaient rapprochés, murmurant entre eux. Leurs yeux ne quittaient pas les Saiyens, méfiants.

Vegeta poussa un soupir étudié, baissant légèrement la tête.

— Ils sont morts, répondit-elle avec gravité. Deux d’entre eux n’ont pas survécu au crash. Les autres se sont sacrifiés pour que nous puissions fuir.

Elle mentait avec une aisance déconcertante, fixant le soldat droit dans les yeux. Ce dernier hésita, son regard allant de la reine à ses hommes. Ses doigts se crispèrent sur son arme.

— Une attaque ennemie, hein ? fit-il, sceptique. Difficile à croire…

Les autres soldats hochèrent la tête. La méfiance transpirait de leur posture. Mais Vegeta perçut aussi une faille : l’incertitude.

— C’est la vérité, insista-t-elle. Regardez-nous, nous avons déjà payé le prix fort. Nous avons perdu des vies, nous ne cherchons qu’un endroit où survivre.

Sa voix était teintée d’un désespoir maîtrisé, jouant parfaitement le rôle de la souveraine exilée.

Le soldat la toisa encore un instant, puis lâcha finalement :

— Vous avez causé des dégâts considérables… Nous allons vous escorter jusqu’à la capitale centrale. Le Conseil décidera de votre sort. Mais ne tentez rien de suspect.

Vegeta esquissa un léger sourire avant d’acquiescer. Puis, pivotant légèrement, elle s’adressa à ses guerriers d’un ton ferme :

— Je veux que chacun de vous reste ici. Aucun mouvement sans autorisation.

Son regard appuya son ordre, et bien que contrariés, les Saiyens s’exécutèrent. Ils savaient que, pour l’instant, le jeu de la reine était leur meilleure chance de survie… et de conquête.

* * * * * * *

Dans la capitale centrale, le palais du Grand Roi Tarin se dressait avec majesté, imposante structure de pierre claire dont l’architecture ancienne reflétait les premières lueurs du jour. En son sein, les souverains Tsufuls prenaient place dans une vaste salle, leurs trônes alignés de part et d’autre de celui du Grand Roi, encore inoccupé.

Ils étaient tous là : Kashi, le roi de l’Est, au regard sombre et à la posture raide ; Naba, la reine du Sud, nonchalamment installée, son sourire en coin révélant un amusement constant ; Zak, le souverain de l’Ouest, dont l’attitude désinvolte tranchait avec l’atmosphère tendue ; et enfin Mika, le roi du Nord, observateur silencieux dont les yeux perçants captaient chaque détail.

Seul le Grand Roi Tarin manquait encore à l’appel. Il devait être informé de la situation avant de rejoindre le conseil.

— Ces Saiyens sont une menace ! grogna Kashi, les poings serrés. Ils ont détruit nos terres, tué nos hommes... Nous devrions les éliminer sur-le-champ !

Premier à exprimer son irritation, il fixait ses homologues d’un regard dur. Sa courte barbe blanche accentuait l’âpreté de ses traits, tandis que sa stature imposante dominait la salle.

— Oh, Kashi, cesse donc de faire l’enfant, rétorqua Naba en riant légèrement. Ce ne sont que des bêtes égarées. Laissons-les là et oublions-les, c’est tout.

Vêtue d’une robe émeraude aux reflets soyeux, elle croisa les jambes avec indolence. Ses cheveux blancs s’échappaient d’un chignon lâche, et son expression moqueuse ne la quittait jamais.

— Ou bien, ajouta Zak avec un sourire espiègle, nous pourrions les forcer à combattre dans des arènes. Après tout, quel meilleur usage pour du bétail ?

Son éclat de rire résonna dans la pièce. Paré d’habits richement brodés d’or et d’argent, il affichait son insouciance avec ostentation, ses yeux pétillants de malice. Sa chevelure blonde était toujours impeccablement coiffée. Zak était un provocateur né, cherchant toujours à provoquer les autres, même dans des moments graves comme celui-ci.

— Nous devrions éviter de nous précipiter, intervint enfin Mika, d’un ton mesuré. Oui, ils sont une menace... mais peut-être pas de la façon dont nous le pensons.

Les autres se tournèrent vers lui. Son visage impassible ne trahissait aucune émotion, mais son regard scrutait chacun de ses pairs, pesant leurs réactions.

Soudain, la grande porte s’ouvrit avec fracas.

Le Grand Roi Tarin fit son entrée, imposant dans sa longue cape aux tons sobres. Sa moustache blanche encadrait un sourire indulgent, bien que ses épaules voûtées trahissent une certaine fatigue. Il s’avança d’un pas assuré jusqu’à son trône, et d’un même mouvement, tous se levèrent en signe de respect.

— Mes amis, lança-t-il d’une voix chaleureuse, la journée commence bien, n’est-ce pas ?

Un léger rire accompagna ses paroles, dissipant un instant la tension.

— Vous trouvez cela amusant ? gronda Kashi, visiblement peu enclin à plaisanter. Ces envahisseurs ont massacré les nôtres et dévasté nos terres. Nous devons agir !
— Je comprends ta colère, Kashi, répondit Tarin avec calme. Mais nous précipiter dans un conflit pourrait être plus dangereux encore.

Sa voix était posée, chaque mot soigneusement choisi.

— Seriez-vous en train de les défendre, Grand Roi ? siffla Naba, son sourire toujours accroché à ses lèvres. Qui sait ce qu’ils nous cachent ?
— Peut-être, admit Tarin, son regard balayant l’assemblée. Ou peut-être sont-ils simplement des êtres perdus. Dans tous les cas, ils sont déjà ici.

Zak haussa un sourcil.

— Et si cette soi-disant menace qu’ils fuient, c’était nous ?
— Ou s’ils n’étaient que de simples sauvages, ajouta Naba, désinvolte. Nous pourrions tout aussi bien les laisser mourir dans leur propre misère.
— Ce que nous voyons n’est peut-être qu’une façade, fit remarquer Tarin. Ils peuvent cacher quelque chose... ou ne rien cacher du tout.

Mika, resté silencieux jusqu’alors, prit la parole d’un ton grave :

— Et s’ils étaient là pour nous espionner, nous observer avant de nous attaquer ?

Tarin hocha la tête, pensif.

— C’est une possibilité. Mais nous manquons d’informations. Tirer des conclusions hâtives serait une erreur. Nous devons les surveiller, les étudier.

Il marqua une pause, laissant ses paroles s’imprimer dans les esprits. Puis, après un dernier regard à l’assemblée, il ordonna d’une voix ferme :

— Faites-la entrer.



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=== Le coin information ===

Kashi [ カシ ] : provient de cassis

Naba [ ナバ ] : provient de banane

Zak [ ザク ] : provient de grenade en japonais

Mika [ みか ] : provient de mandarine en japonais

Tarin [ タリン ] : provient de nectarine
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