Antarka a écrit:Bon a y es j'ai tout relu ^^ Et j'dirais rien, NA !
Ah si, la colo de Kakarotto, elle est superbe ! Mais il est pas orange son pantalon bouffant normalement ?
il était orange selon mon esprit sans imagination qui n'a pas vu le pantalon d'un goku autrement
en tout cas, nouveau chapitre, bonne lecture, j'espère

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Chapitre 34: Intrusion
À l’autre bout de la galaxie, sur Vegeta Prime, l’heure n’était pas non plus aux réjouissances. Dans le palais impérial, le CI était en alerte, un intrus se promenait librement quelque part. Tout les gardes étaient en alerte et des patrouilles parcouraient les couloirs. Chacun des quatre membres de l’élite avait pris en charge l’inspection d’un secteur spécifique. Depuis le balcon le plus élevé du hall d’entrée principale, Rahab parcourait la pièce immense du regard, son scaouter dernier modèle en alerte. Du haut de son mètre quatre vingt, il observait les aller et venu des patrouilles, ses cheveux longs descendant un peu sous les épaules se dandinant au rythme de ses mouvements. Il pressa l’interrupteur à son oreille et parla:
- Aucune trace, notre invité n’est plus là…
- Bien reçu, restes sur tes gardes. Lui répondit une voix bourrue à l’autre bout de la ligne. Au fait, c’est l’heure.
Le jeune homme soupira en portant la main à une poche de sa combinaison:
- Oui Chef, je sais… Rahab, terminé.
Achevant la conversation, ce dernier un petit objet rectangulaire pourvu d’un bouton et d’une petite ouverture en verre gradué, révélant l’intérieur, rempli d’un liquide vert clair. Il pressa alors sur le bouton, faisans sortir un petite aiguille de l’embout. Nonchalamment, d’un mouvement fruit d’une habitude bien rodée, Rahab appliqua l‘injecteur sur sa gorge, déclenchant le petit appareil. Il grimaça une demi seconde pendant que la substance passait dans son sang, puis rangea l’instrument. C’était reparti pour douze heures… Il avait intérêt à passer au labo une fois qu’ils l’auraient attrapé. Il allait enjamber la rambarde pour se laisser chuter jusqu’au sol quand un étourdissement soudain le saisit.
- Qu… Qu’est-ce que…?
Sa vision se troubla de plus en plus tandis qu’il prenait appui sur la rambarde. Un terrible doute lui vint et il concentra avec difficulté son regard sur son injecteur.
- M… Merde…
Ce n’était pas « son » injecteur. Et cette constatation fut sa dernière pensée avant qu’il ne s’effondre, sans un bruit, hors de vue de tout ses hommes en contrebas. Il vit vaguement une silhouette se pencher sur lui, et ce qui était probablement son vrai injecteur tomber devant son nez, puis le noir.
Dans la cour du palais, le nombre de garde était affolant, bien que difficilement évaluable du fait des nombreux bouquets d’arbres, empilements de roches esthétiquement placés et autres décorations qui donnaient un air extrêmement apaisant à ce magnifique jardin. Rey patrouillait le long du chemin central, menant au cœur du complexe. Il se situait plus précisément sur le grand espace circulaire pavé de marbre naturel qui constituait en quelque sorte le centre du « réseau routier » de la cour. De là partait les multiples chemins qui traversaient le jardin en tout sens. Comme son frère d’arme, le petit Shild écarlate observait attentivement les lieux, entouré de garde d’élite. Il était en grande conversation avec son scaouter:
- Je n’arrive plus à joindre Rahab, disait il. Un problème? Je vais vérifier?
- Non, répondit le chef. Garde ta position, notre priorité, c’est l’intrus, on s’occupera de Rahab en temps voulu. Fait attention, je pense qu’il ne doit pas être loin de ta position.
- Compris, terminé.
Il reprit sa garde, silencieux. Rien ne se passa pendant quelques minutes, le vent secouant doucement les branches des arbres dans un bruit léger et continu. Une série de bips déclencha tout à coup les scaouters de tout les hommes présents. Rey se tourna aussitôt dans cette direction:
- Dans les arbres, là bas. Vous trois, allez y.
Les trois soldats saluèrent rapidement et partirent vers le point indiqué juste avant que tout les scaouters ne perdent la trace. Il restait encore quatre combattant en plus du Shild. Ils attendirent un moment, mais plus rien. Enfin, Rey parla:
- Je pense qu’ils ne reviendront pas. Tout le monde reste là, ne vous éloignez pas.
Il bougea la main et une bulle d’énergie se matérialisa autour du groupe, les mettant hors d’atteinte.
- Essai un peu de traverser ça.
Il pouvait tenir des jours entier avec un bouclier de cette puissance. Au moins, il ne serrait pas pris par surprise, ce serait totalement stupide d’attaquer maint…
Une boule d’énergie jaillit soudain d’un bosquet droit sur le bouclier contre lequel elle explosa violemment dans un flash et un nuage de poussière.
- Imbécile. laissa tomber Rey en souriant. Je te tiens!
Il lança sa main droit vers l’endroit d’où était parti l’attaque et n’engloba pas l’arbre, mais tout le bouquet d’un coup. Il referma férocement son poing, provoquant la compression soudaine de tout le contenu de son bouclier secondaire. Presque fini. Ça avait été plus simple qu’il ne l’aurait pensé… Sauf si…?
Si l’attaquant venait soudain percer le sol à l’intérieur de la bulle dans le dos du Shild, l’attrapait à la gorge et commençait à le mettre hors de combat tout en assommant les soldats effarés avec ses pieds. Ce qui se passa en l’espace de quelques secondes.
La salle de contrôle de la sécurité était grande et rectangulaire. Chaque mur était littéralement couvert d’instrument de surveillances permettant de surveiller tout le palais. Yron, tout seul, observait les caméras une par une, cherchant trace de l’intrus. Figé sur un autre écran, l’image de Rey évanoui au milieu de ses hommes. Aucune trace visible… Fait chié!
- Allez… Montre toi, saleté.
Il était absorbé par sa tache, ce qui ne l’empêcha pas d’entendre la porte coulisser. Il ne laissa cependant rien paraitre et continua à fixer les écrans. Le scaouter n’avait toujours pas réagi… Bon… Tant pis, ça couterait un peu de nouveau matériel, mais au moins…
- Le résultat y sera!! Ice wave!!
Il pivota à une vitesse effarante, paume grande ouverte et projeta un puissant jet d’énergie bleu cristallin qui semblait plus de matière solide que d’énergie brute. Quand le jet toucha les murs couverts d‘appareils, ces derniers se couvrirent instantanément d’une épaisse pellicule de glace qui se répandit à toutes vitesses jusqu’à ce que presque toute la salle ne soit givrée. Mais aucun ennemi…
- Merde, ou es tu…
Il tenta de repérer quoi que ce soit de bizarre quand les lumières de la salle et toutes celles des écrans flanchèrent en même temps, plongeant la pièce dans le noir total. Surpris, le géant fit quelques pas très prudent dans la pièce. Il s’arrêta au centre et se teint immobile. C’est alors qu’une pointe acéré se posa sur la nuque du géant qui n’eut pas un geste. Une voix féminine retentit alors, rempli de joie contenue:
- Vous êtes mort, chef! J’ai gagné!
La génératrice de secours prit le relais du réseau coupé et une vive lumière jaillit soudain dans la pièce, provoquant un glapissement stupéfait de la part de l’attaquante:
- QUOI??
La lame semblait dans la pénombre pointer vers le coup du chef du CI, mais ce dernier était en fait une représentation quasi parfaite en glace du Yiti.
La demoiselle fut encore plus surprise par la gifle qui lui attrapa la joue par l’arrière.
- Que tu crois, moucheronne!
Cette dernière rebondi contre le mur gelé qui se craquela. Le choc la déconcentra à tel point qu’elle en perdit son camouflage et apparut aux yeux du géant qui souriait d’un air féroce.
Vixen se releva avec difficulté, se frottant le crane là ou elle avait cogné le mur.
- Aïe. Ça fait mal!
- C’est normal, tu ne croyais quand même pas que j’allais retenir mes coups non?
- Evidemment que non, mais un peu de douceur avec une femme ne fait jamais de mal!
- Une femme? Je ne vois qu’une gamine casse pied ici, moi.
Cette déclaration n’était pas tout à fait exacte en réalité. Ce que voyait Yron en regardant cette fille, c’était une Styx miniature. Pour ses cinq ans, elle mesurait déjà près d’un mètre vingt. Un corps athlétique en combinaison noire surmonté d’un visage d’ange. Les seules différences avec sa mère venaient de son teint plus mat, quoi que moins qu’un humain ou un saiyen, ses yeux noires profonds et sa chevelure, noire également, en contraste total avec le blanc de neige de ceux de sa mère. Mis à part ces quelques détails, elle était aussi belle que sa génitrice, et deviendrait surement une des plus jolie créature de la galaxie une fois adulte. Enfin… Quand on aimait le genre sans poils et minuscule bien sur. Il sortit de sa réflexion à temps pour bloquer le coup de pied de ladite minuscule sans poils qu’elle destinait à sa tête.
- Je ne suis pas une gamine!
Elle commença à enchainer les attaques, vite et fort, mais sans le moindre effet sur le colossal chef du CI. Ce dernier semblait presque se balader tranquillement en esquivant et parant avec un sourire. Il se permit même un petit mot supplémentaire:
- Oh, pardon, je voulais dire moucheronne, pas gamine…
Cela eut pour effet de déclencher la colère de la petite qui accéléra soudain cadence et en force. Le combat continua quelques petites minutes pendant lesquels l’enfant voltigea autour de son monumental adversaire, prenant appui sur les murs, le sol et le plafond, tournant et frappant en tout sens pour essayer d’atteindre la cible, peine perdue. Cela aurait pu durer encore bien plus longtemps si la porte n’avait fini par dégeler sous l’effet des puissances dégagées, laissant la place à une grande silhouette fine qui lança:
- Ça suffit maintenant Vixen, je crois que le chef en a assez vu.
Aussitôt, la fille stoppa toute attaque pour atterrir et répondre, essoufflée:
- Oui maman.
Styx avança dans la pièce en examinant les appareils détruits et les résidus de glace, et elle s’adressa à Yron:
- Tu as voulu congeler ma fille?
- Hé, si jamais je voulais voir ce qu’elle avait dans le ventre, il fallait bien que je j’attaque sans retenue pour voir sa réaction.
- Et… Ta conclusion?
Le géant passa un moment son regard de la mère impassible à la fille qui le fixait, les yeux remplit d’espoir et d’attente, avant qu’il ne lâche avec un demi sourire:
- Pas mal du tout… Pour une moucheronne.
Le visage de l’enfant s’éclaira discrètement, bien qu’elle garda son calme. Venant de ce vieux grincheux, c’était un sacré compliment! celui-ci reprit:
- Bon, en tout les cas: fin de l’exercice, reprenez vos postes et amenez les éventuelles blessés à l’infirmerie. Dit-il dans son scaouter pour tout les gardes du palais.
Vixen parla alors à sa mère, ravi:
- Tu as vu maman? Je me suis bien débrouillé hein? Regarde.
Elle sorti devant les yeux des deux élites deux cartes marqués du cigle du commando qu’elle leur montra:
- J’ai récolté les deux cartes comme prévus et j’ai presque eu le chef cette fois!
- J’ai vu, oui… Et j’ai aussi vu que tu avais fait pas mal d’erreurs grossières… Indiqua Styx d’une voix dure. Tes stratagèmes étaient cousus de fil blancs… Je suis assez surpris qu’ils aient fonctionnés d’ailleurs…
Plus dure fut la chute pour Vixen lorsqu’elle entendit ça. Son visage se décomposa et elle bredouilla:
- Mais maman, je…
- Tu ne passes pas un test pour entrer dans l’armée régulière, Vixen. C’est du Commando Impérial que l’on parle. Tu dois être au top, infaillible, ou tu te fera tuer.
La fille baissa les yeux devant le regard de sa mère. Cette dernière s’approcha et d’une main, lui caressa de façon très douce les cheveux jusqu’à ce qu’elle la regarde de nouveau. Sa voix n’avait plus rien à voir avec auparavant:
- Et il est hors de question qu’il t’arrive quoi que ce soit. Je ne le permettrais jamais.
Un sourire ému revint sur le visage angélique de l’enfant, qui perdura même lorsque Styx reprit, nettement plus cassante:
- Donc, tu ne foutra pas un pied dans ce commando tant que tu ne sera pas parfaitement prête! C’est bien clair?
- Oui maman! Acquiesça-t-elle avec vigueur, ramenant le sourire chez sa mère:
- Bon, très bien. Laisses nous maintenant, va faire un tour ou tu veux, on se retrouve dans nos appartements dans une heure.
- D’accord!
Et elle sortit rapidement, laissant les deux adultes seuls.
Yron ramassa une chaise renversé qui n’avait pas était détruite et se laissa tomber dessus en grognant.
- Elle grandit de jour en jour, on dirait.
- Ça fait parti de notre race. Sur notre planète, la vie est hostile, et nous sommes une espèce de chasseur. Nous grandissons et atteignons notre maturité tôt pour survivre. Mais elle grandit moins vite que je ne l’aurais cru… Ça doit être une partie de l’héritage de son père…
Une note de tristesse passa dans la voix de la vampire quand elle prononça le dernier mot, ce qui n’échappa pas à Yron qui décida d’orienter la conversation ailleurs:
- Ce n’est pas la seule chose dont elle a hérité de lui…
Styx se tourna vers lui d’un air interrogateur, le poussant à poursuivre:
- Elle est forte. Vraiment très forte.
- C’est vrai…
- Elle m’a presque fait mal tout à l’heure…
La surprise de la mère ne passa pas inaperçu:
- À ce point là?
- Ça n’a duré que quelques secondes. En s’énervant, elle est devenue plus rapide et plus puissante. Elle a réussi à maintenir le rythme pendant tout le reste du combat, mais elle n’était déjà plus au même niveau qu’au tout début de son coup de nerf.
Styx réfléchit un moment:
- Kakarotto m’avait dit autrefois que la colère était le moteur de la puissance saiyenne, c’est certainement encore un héritage de son sang.
- Sans aucun doute.
Le silence s’installa un temps avant que Styx ne demande:
- Que penses tu de son potentiel?
Yron prit quelques secondes, puis:
- Elle est déjà plus puissante que Rey et Rahab, et sans vouloir te rabaisser, je ne pense pas qu‘elle soit bien loin de ton niveau actuel. Son pouvoir latent est gigantesque, je pense qu’une fois adulte, si on continu de l’entrainer sérieusement, elle pourrait bien dépasser tout le monde sur cette planète… Je pense que même le Seigneur Vegeta en sera impressionné.
- S’il est encore en vie…
- Il l’est…
- …
- J’en suis persuadé.
- Ça fait cinq ans, Yron…
- Ça pourrait bien en faire vingt cinq, je m’en moque. L’empereur Vegeta est vivant, Raditz et Nappa en sont aussi persuadés. Il reviendra quand il aura vaincu cette chose qui à attaquer le palais il y a cinq ans.
- Je l’espère… Tout part à vau l’eau depuis qu’il a disparu… L’empire est presque ruiné à cause de l’incompétence des saiyens…
- Je ne pense pas que l’incompétence ait quoi que ce soit à voir la dedans… Répondit Yron d’un air sombre.
- Comment ça?
- L’argent de l’empire est investi quelque part… Pour ce qui est de savoir ou, aucune idée
- J’ai remarqué ça, c’est vrai…
Tout deux se turent longtemps, plongés dans leur pensées, jusqu’à ce qu’Yron ne lâche finalement:
- Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression qu’on fonce tout droit vers une période très sombre…
Le camouflage était un seconde nature pour Vixen. Elle n’y pensait même plus, et se rendait instinctivement invisible quand elle se promenait. Elle avait rapidement compris le pouvoir de l’invisibilité. Les gens parlaient plus librement quand vous n’étiez pas là, ils étaient plus naturels. Que de secrets à découvrir dans ces cas là. Elle adorait les secrets. Depuis un moment maintenant, elle vagabondait sans but, après être sorti de l’infirmerie ou elle avait vérifié l’état de ses « victimes ». Rassurés, elle avait erré sans vraiment faire attention au chemin qu’elle empruntait. C’est ainsi qu’il finit dans le couloir menant à la salle du trône. Quand elle en fut toute proche, la porte s’ouvrit brusquement. Vixen eut juste le temps de sauter hors de la trajectoire de celui qui venait de sortir, son oncle, Raditz. Ce dernier était tel qu’elle l’avait toujours connu, des cheveux incroyablement long, un éternel dédain sur le visage, avec comme un soupçon de colère perpétuel. Il portait sa tenue honorifique de régent de l’empire, élégante, de rouge, brun et fils d’or. Une large cape descendait le long de son flanc droit, dissimulant à tous l’absence de son bras, arraché il y a longtemps selon sa mère. Vixen trouvait idiot de ne pas avoir fait remplacé ça avec une prothèse, mais apparemment, son oncle était un véritable phobique des implants cybernétiques… Sa mère lui avait tout de même dit qu’elle-même pensait plutôt qu’il avait une autre bonne raison à cela, un hommage à son frère défunt peut être? Néanmoins, on remarquait tout de suite l’autre bras, pas vraiment trop gros, mais excessivement musclé du saiyen. En bonne future chasseresse, Vixen analysait toujours tout le monde, comme sa mère lui avait apprise. Nul doute que Raditz compensait son membre manquant par une puissance redoutable sur les trois restants, il ne valait mieux pas en prendre un coup. L’air étrange sur le visage du saiyen poussa la métis à le suivre, comme un fantôme.
La filature dura un moment jusqu’à ce que le régent s’arrête non loin d’un ascenseur que Vixen n’avait jamais utilisé, et qui ne semblait servir à rien. Peu après, un grand Phasm sorti d’un couloir adjacent et rejoint le saiyen qui l’apostropha:
- Il était temps!
- Je suis désolé mon seigneur, des complications inattendu. Certaines commandes ne correspondait pas aux attentes, j’ai du aller régler ça moi-même et…
- Peu m’importe tes excuses, Serax, venons en au fait. Ou en sommes nous?
Le professeur Serax réfléchit longuement en choisissant bien ses mots avant de dire:
- Eh bien… Il semblerait que cela soit plus long que prévu mon seigneur mais…
- Pardon? Tu veux bien me redire ça?
- Je suis désolé mon seigneur mais…
- Ça va faire quatre ans que nous sommes sur ce projet, projet qui pompe littéralement tout le trésor de l’empire, et tu m’annonces qu’il faudra encore du temps??
- Je suis vraiment désolé mon seigneur, mais vous devez comprendre que ce que nous sommes en train de réalisé dépasse de loin tout ce que nous avons fait jusque là. Nous touchons à quelque chose de tout nouveau et de dangereux. Orion n‘est pas encore prêt mais…
- Tais toi imbécile! tu tiens à crier ce nom sur tout les toits? Nous allons continuer cette conversation au laboratoire. Plus un mot.
Ainsi, les deux hommes se dirigèrent vers l’ascenseur qu’ils activèrent avec un code que Vixen ne put apercevoir. Peu après il disparaissait derrière les portes, laissant une métis fort perplexe seul dans le couloir. Orion?