content que ça vous ai plu^^. c'est tot, très tot, mais je ne pense pas que ça va vous déplaire, nouveau chapitre!
Chapitre 40: Un remède pire que le mal
La salle devenait instable. Vegeta le sentait parfaitement. L’air lui-même pulsait, tremblait et lui fouettait le visage comme s’il avait été au milieu d’une tempête. Il explorait à présent son avenir. Il venait de se voir converser avec Bob et entrer dans la salle. Et depuis cet instant, tout semblait voler en éclat autour de lui. Il ne percevait que des fragments, la salle se refusait de toute ses forces à lui montrer cet avenir paradoxal, n’existant que par le viol des règles de l’univers. La mort le décapitait à sa sortie du temple… non, elle détruisait la navette dans l’espace… non, il retournait sur Vegeta Prime pour y mourir lors d’un dernier combat… non, il s’éteignait paisiblement dans son lit, ses cheveux blanc éclairant son visage atrocement amaigri. Rien, rien ne semblait définitif, il se voyait survivre, mourir, à des vitesses folles. Et ce qui l’inquiétait, c’est qu’il mourrait bien plus souvent qu’il ne survivait. il lui fallait reprendre le contrôle. Il devait… Imposer sa volonté à la salle… Il devait y arriver, maintenant!
Son aura explosa quand il devint super saiyen. Il ne savait pas comment se faire obéir d’une salle, mais son autorité avait toujours était un de ses plus grand talent:
- Ça suffit! Tonna-t-il dans le vacarme alentour. Je ne serais pas défait par une simple pièce, fut-elle contrôlée par l’univers lui-même! En cet instant, je suis ton seul maitre! Ma loi est la tienne! Je t’ordonne de me révéler mon avenir, OBEIS!!
Sa puissance ne cessait de grimper alors qu’il hurlait, et la salle finit par réagir. L’horrible cacophonie sembla s’estomper quelque peu et il eut alors des flashs, très flous, mais bien plus explicite.
La galaxie en guerre sous ses yeux… L’armée impériale, il reconnaissait le blason… Elle envahissait chaque planète une à une… Plus aucune paix, plus aucun traité… Les alliés de l’empereur comme ses citoyens, tous subissait l’assaut d’une armée à la puissance dévastatrice. Le pillage était devenu un art… Toutes les ressources étaient prélevés, par les soldats ou des esclaves. Il semblait même qu’il n’existe plus que ces deux catégories d’êtres à présent. Sur toutes les planètes annexés, de grandes trombes de fumées flottaient dans l’atmosphère, et l’exilé fut révulsé de voir qu’il s’agissait de montagne de cadavre en pleine crémation. Les ennemis du nouveau commandant…
- Ce n’est pas possible… Et moi? Pourquoi je n’ai pas empêché ça?? Le faucheur m’a-t-il rattrapé dans cette avenir? MONTRE MOI!!
La vision se modifia. Vegeta maudissait la salle d’être aussi récalcitrante, il ne voyait que des formes, parfois une image net, une seconde, mais il n’arrivait pas à comprendre une chose particulière, seul le sens global lui était clair. Il reconnut néanmoins le palais royal… En flamme. D’immenses explosions retentissaient sur le toit de la flèche centrale et les flash de lumières des attaques énergétiques se voyaient de loin. Vegeta voulu se retrouver sur le toit, mais la salle n’obéis pas. De rage, il bondit en avant et s’envola à toute vitesse. Il avait l’impression d’être ivre, rien n’était stable autour de lui, tout était déformé. Il allait arriver au toit quand un hurlement atroce creva le crépuscule. Vegeta dépassa le bord et stoppa sa course instantanément, médusé. Dans le flou et le mouvement perpétuel, un être entouré de flamme titubait vers lui. Il était de solide constitution, mais son visage aux cheveux dorés restait non identifiable. Mais l’exilé savait de qui il s’agissait. Le Vegeta du futur fit quelques pas de plus, les mains enserrées sur quelque chose dans sa poitrine. Une lame peut être. Le plus jeune remarqua alors que chaque pas contribuait à couvrir de sang le sol. Le liquide vermeil coulait à flot entre les mains de l’empereur qui ne semblait même plus savoir ou aller. Ses muscles épais étaient entièrement écarlate tant il était blessé, sa tenue n’était plus qu’un souvenir. Il traversa son jeune lui intangible et continua tout droit, incapable de penser ou de respirer. Sous les yeux pétrifiés de son cadet, il dérapa et tomba, lentement… Majestueusement tandis qu’il rendait son dernier souffle avant l’effroyable conclusion de sa chute, des kilomètres plus bas. L’exilé détourna le regard pour ne pas voir cette horreur, et entendit une voix, un hurlement de bonheur, mais si distordu qu’il ne savait pas si elle lui était familière. Le sens de la phrase fut lui, parfaitement clair toutefois:
- J’ai réussi!! Le trône est à moi!!!
À l’autre bout du toit, ce qui n’était pour le spectateur qu’une vague ombre s’approcha du rebord le plus proche de lui et leva les bras au ciel en hurlant pour que tous entendent:
- J’AI TUE VEGETAAAAA!!!!!!!!
Ce dernier sauta droit sur l’ombre, il devait savoir qui il était!
Il faillit heurter le mur de pierre massif de la pièce monumentale et stoppa net. À deux doigt de la folie furieuse, il regarda de tout coté la salle vide.
- NOOOOON!! NON!! NOOOOOOOOON!!!!!!
Sa puissance éclata librement autour de lui, déchainée, tandis qu’il hurlait à plein poumon. La salle ne lui obéirait plus maintenant, il le savait. Elle lui avait offert une dernière vision incomplète en guise de raillerie finale, et l’avait rejeté. Ses mains se remplirent soudainement d’énergie et il tira droit devant lui. Une rage folle envahissait chacune de ses cellules et il déchargeait tout sur les murs lisse. Il se mit à tourner sur lui-même, arrosant de puissance chaque centimètre de mur qu’il pouvait apercevoir à travers le nuage de poussière de plus en plus dense. Il lui fallut s’épuiser pour que finalement la crise cesse. Il retomba à genou, redevenu un simple saiyen et haleta, calmé. La poussière retombait peu à peu, et comme s’y attendait l’esprit réfléchi qui revenait de son voyage à l’autre bout de l’univers, les murs blanc n’avait pas la moindre trace du traitement que leur avait infligé l’empereur. Bien sur… Un endroit capable d’envoyer physiquement une personne modifier l’avenir de l’univers à sa convenance était-il affecté par quoi que ce soit? Non, assurément. La respiration du saiyen se calma rapidement. Il mourait de faim à présent. Il n’avait pas mangé dans le vaisseau, ni avant… Son dernier repas devait dater de deux jours au moins… Il s’était habitué aux privations, mais pas en y ajoutant une dépense d’énergie aussi futile qu’idiote. Le prince des saiyen n’était pas si loin que ça semblait-il, si l’empereur, maitre des stratèges, n’ometant jamais le moindre détail, s’emportait comme un gamin de huit ans…
Cependant, il se releva et marcha vers la porte géante. Tout n’était pas perdu. Cet avenir démontrait au moins que le faucheur ne le poursuivait plus. Il avait du trouver un moyen de le vaincre même si cette … de salle n’avait pas daigné lui montrer. Mais il y avait encore une personne qui connaissait cet avenir… Une personne qui peut être l’aiderai une fois de plus… Et finalement, il accepterait bien une pomme ou deux… Ou du « porc au caramel » , quoi que ça puisse être.
- J’irai revoir mon Eliandiiiieuh! C’est la planète qui m’a donné le jour…
C’est ainsi que l’empereur retrouva le gardien du temple, assis sur une chaise très simple en train de lancer quelques accords de guitare en chantant avec bonne humeur. Le saiyen sourit à moitié. Ce type respirait la joie de vivre. En comparaison de ses fréquentations des dernières années, c’était un agréable changement, malgré l’excentrisme du personnage. Il fit quelque pas et se racla la gorge. Bob se retourna immédiatement et l’accueillit avec un grand sourire:
- Ah! Votre majesté! Alors, comment s’est passé ton expérience dans le temps?
Vegeta réagit en lançant avec un demi sourire:
- Tu as toujours su ce qu’il y avait derrière, n’est-ce pas?
- Je plaide coupable. Tu as l’air crevé…
- Je meurs de faim… Et si ton offre de repas tiens toujours…
- Et comment! Hurla soudain le gardien en sautant de sa chaise. Ça tombe bien, j’ai un creux, doit bien faire dix minutes que j’ai pas mangé!
Cette fois, on peut dire que l’empereur fit honneur au repas, engloutissant tout les plats qui apparaissait sous son nez a une vitesse presque indécente. Bob avait raison, tout ces plats inconnus étaient délicieux… Mais quand la situation finit par ressurgir du gouffre de la faim, Vegeta demanda entre deux bouchée:
- J’ai besoin de ton aide.
- Oh…
Le gardien semblait quelque peu hésitant.
- Qu’y a-t-il?
- Ben… Je te l’ai dit Vegeta, je suis neutre en temps normal.
- S’il te plait, ne me fait pas croire ça. Tu as déjà enfreint ta règle en me montrant la salle. Je n’ai pas besoin que tu me montre mon avenir, je n’ai qu’une simple question à te poser.
- Le faucheur ne peut pas être détruit…
- Je sais tout ça! Ma question est différente. Accepte tu de me donner une réponse clair et franche?
- Je ne te promet rien…
- Connais tu un moyen de me débarrasser du Faucheur d’une façon ou d’une autre, et peux tu me la donner?
Bob pivota sur son siège pour ne plus faire face au saiyen et se mura dans une intense réflexion. Tandis qu’il pensait, Vegeta continuait d’argumenter:
- J’ai bien compris que je ne dois ma situation qu’a moi-même, mais la galaxie va droit dans le mur si je n’intervient pas. J’ai vu ce qui allait se passer, et je sais que toi aussi. Aide moi. S’il te plait.
Bob soupira profondément avant de se lever et lança:
- Bon, que l’univers aille se faire cuire un œuf avec ses règles! Je t’aide mais je te préviens, c’est la dernière fois. Ne compte plus sur moi à partir de là! Sauf si je change d’avis.
Vegeta sourit et acquiesça.
- Bien. alors...
Il indiqua une ouverture dans le mur de la salle.
- Tu passes cette porte et tu descends l’escalier. Là tu prends à droite, puis tu suis le couloir et tu prends deux fois à gauche. Là, tu prends la deuxième sortie, la plus à l’Est, et tu continues vers la gauche. Tu arriveras à un croisement avec dix huit voies différentes, c’est très simple. Tu fais en sorte de prendre celle qui est à 128 degrés en partant de la gauche de ta position en entrant. Tout droit ensuite à droite puis…
- Bob…
Le gardien fixa son regard sur l’air contrarié de l’empereur et soupira une fois de plus:
- Pff… Bon, très bien… Sinon, tu prend CETTE porte et tu descends l’escalier. C’est tout droit…
- Merci.
- Ouais, ouais… Tu vas arriver devant une porte grise veinée de noir. Derrière, tu trouvera… Autre chose. Je t’ai déjà trop aidé, alors je ne dirais qu’une chose: Le maitre de cet endroit pourra surement t’aider pour ton problème, mais c’est peut être encore pire que d’affronter le faucheur directement.
- Si c’est la seule solution…
Vegeta se tourna et partit vers la porte que Bob lui avait indiqué. Juste avant de s’engager dans le boyau, il se retourna et dit:
- Merci, Bob.
- Oooh, attends de voir le merdier dans lequel je t’envoi avant de dire merci. Fais en sorte de survivre, ça sera déjà pas mal.
Avec un dernier sourire, Vegeta pris l’escalier.
Une porte grise et noire, en effet, il l’a trouva facilement après un très long moment de descente. Pas de poignée visible, il alla donc directement s’appuyer dessus. Elle était chaude au touché… Très chaude. Mais ce n’était qu’un détail pour le saiyen déterminé qui pressa fermement sa paume sur la pierre. Il passa soudainement au travers et tomba dans le néant.
Un tourbillon de couleur dans la palette des rouges, ce fut ça qu’il vit. Il se sentait bouger, agitait comme une feuille au vent. La porte était un passage, mais vers ou? La réponse fut abrupte quand une lumière l’entoura soudain et qu’il se sentit expulsé du tourbillon vers un endroit bigrement chaud. Il était désorienté, mais reprit de justesse ses esprits quand il s’aperçut qu’il chutait. Immédiatement, il reprit le contrôle de son vol et s’immobilisa dans l’air. Il avait la tête en bas et rectifia immédiatement ça pour analyser son environnement. Le tableau n’était pas réjouissant…
D’où il était, il voyait une vaste étendu de terre écarlate à perte de vue. Ça et là, des forêts, parfois très vastes, aux feuillages bleu nuit. Il voyait aussi de grandes étendues liquides, mais il avait l’impression qu’elles avaient plutôt une consistance de goudron, d’un vert-marron ignoble. Le ciel était d’un noir d’encre, éclairai par une boule d’où émanait une lueur mi rouge mi mauve, clair mais désagréable. Deux éléments sortaient du lot: le tourbillon blanc d’où il venait très probablement, qui partait du sol pour se perdre dans la noirceur de l’atmosphère, et le palais immense, à quelques kilomètres de là. celui-ci semblait tailler dans une pierre obscur, mais veiné d’or, de pierres précieuse et de tout le tape-à-l’œil possible et imaginable. Les paroles de Bob refirent surface et Vegeta afficha un sourire carnassier. Le « maitre » ne devait pas être loin de cet édifice au gout douteux.
Des portes majestueusement atroce se présentèrent à l’exilé qui atterrit devant. Il repéra alors deux créatures tout à fait singulière. L’une était de haute taille, verte, avec trois bras, deux gauches, un droit. Il ne semblait pas avoir de bouche et ne possédait qu’un unique œil sur un nez plat. Dans son bras unique, il tenait fermement une lance grise ridiculement surchargé de pierreries. À en juger par cet… accessoire et la tenue ridiculement opulente du garde, le maitre des lieux aimait plus que tout faire l’étalage de ses richesses… Son collègue était au diapason pour la tenue, sauf que c’était une masse de muscles plus large que haute, avec une tête intégré au milieu des pectoraux. Quand il virent le saiyen approcher, le grand lança:
- S’quoi s’truc?
- Aucune idée, jamais vu une bestiole comme ça.
Vegeta ne les écouta même pas et leur dit d’une voix impérieuse:
- Je veux voir votre maitre.
Deux rires nasillards lui répondit avant que le grand n’enchaine:
- T’passe pas. On voit pas l’Roi comm’ça.
- Ouais, surtout les trucs comme toi, avec tes poils sur la tête.
- S’vrai qu’l’est poilu ha! Ha! Ha!
Ils ne s’en rendirent pas compte dans leur hilarité, mais les poings de l’exilé venait de se refermer lentement.
- Vous ne m’avez pas compris… J’entre pour voir votre maitre. Vous pouvez m’ouvrir si vous voulez, ou je passerai tout seul.
Le ton se fit plus colérique:
- J’crois pas! S’fout d’nous? ‘broch’le Dav’
Le dénommé Dav’ bougea à une vitesse étonnante et envoya sa lance dans l’estomac du saiyen. celui-ci fit un tranquille pas de coté et saisi l’arme d’une main. Avant que l’autre ne revienne de sa surprise, il avança de trois pas en emportant l’arme et son porteur droit vers leur collègue. celui-ci ne réagit pas quand le bout non pointu de la lance ami lu transperça le crane comme du beurre avant qu’il soit projeté contre la porte.
- Connard!
Le tas de muscle envoya un énorme poing sur l’assassin qui l’attrapa au vol. d’un mouvement sec, il cassa net le poignet et faucha immédiatement la créature du pied pour l’envoyer s’écraser dans le mur à droite de la porte. Il ne s’y incrusta pas mais y resta… Collé… Vegeta avança avec le sourire au lèvres, cela faisait très, très longtemps qu’il n’avait combattu de créatures mortelles, et sa nature saiyenne revenait au grand galop. Il leur avait laissé le choix, ils avaient refusé, la suite était logique. Ces créatures, dont l’espèce ne disait absolument rien au saiyen étaient tout de même très forte, même si à son niveau, elles n’étaient rien. Sans s’attarder davantage, il pointa sa main vers la porte.
Lorsqu’elle explosa, s’arrachant de ses gonds pour s’écrouler, elle révéla aux yeux du guerrier un luxe totalement indécent, une surenchère ignoble. Tout n’était qu’or, pierre précieuses, draperies fines et soie délicate. Des vases luxueux, des bas reliefs finement ciselés, tout dans une opulence dégradante. Réprimant une grimace de dégout, Vegeta entra dans le hall géant. Il comportait deux étages, le deuxième étant en fait un balcon entourant toute la salle et permettant de desservir tout le palais. Un escalier centrale d’une sorte de marbre étrange au fond de la salle montait jusqu’à mi salle, formait un palier avec une haute porte, puis se séparait sur chaque coté pour aller au balcon. Alors que l’homme avançait, des dizaines de créatures se jetèrent sur lui, toutes plus difformes les unes que les autres. Vegeta se mit en mouvement, plein d’une assurance parfaitement justifiée. Il esquiva sans peine un coup d’épée et en grilla le détenteur tout en envoyant son pied dans la mâchoire d’une des deux têtes d’un autre attaquant, lui brisant le cou. La tête restante fut décapité d’un coup du tranchant de la main aussi vif que la meilleure des lames. Quatre créatures tombèrent sous le poing meurtrier du guerrier né, dix autres par son pied. On aurait juré que le combattant souhaitait rajouter sa touche à la décoration ambiante, car nombre d’ennemi finissait encastré dans un mur, ou au sol, rajoutant son bas relief corporel au reste. Un marteau de poing écrasa un crane cornu, un torse fut séparé en deux par un disque d’énergie. Une lance, subtilisé, transperça trois gardes d’un lancé pour aller atterrir à l’extérieur par la porte grande ouverte. Le jeu de massacre continua un moment, jusqu’à ce que le saiyen décide qu’il avait autre chose à faire. Il était certain que la salle du trône devait être derrière la porte à mi niveau. Restait plus qu’a l’ouvrir. Un garde atterrit dedans comme un boulet de canon et le battant frémit à peine. Deux, trois, quatre, cinq autre se joignirent au bélier. Cela émit un grincement. Trois nouveau bang entre le corps et le métal. Elle était tordue. Vegeta prit un élan final et shoota de toute ses forces dans l’estomac d’un colosse rouge. Ce dernier s’envola comme une fusée et éclata la porte, emportant avec lui une partie du tas de cadavre qui s’était empilé devant à l’intérieur. Les gardes revinrent finalement à la raison et s’enfuirent vers la salle du trône à grand renfort de « maitre! » « votre majesté! » « à l’aide! » etc. Vegeta les suivit.
Encore du luxe à vomir, mais le saiyen avait pris l’habitude maintenant. La salle était vide de mobilier, immense, avec deux rangées de colonnades de part et d’autre, formant un couloir menant au trône occupé. Cette salle était littéralement encerclée de créatures plus étranges les unes que les autres, la cour et les gardes du maitre certainement.
- Ne reste pas dans l’entrée, petit être. Rejoins moi.
Vegeta ne releva pas le "petit être" et avança, intrigué. Au fur et à mesure qu’il traversait la vaste distance, son impression se confirmait. Le maitre était… totalement différent de ses sous fifres. Il dégageait une intense sensation d’autorité… De force et de pouvoir… Il était véritablement royal… Entièrement vêtu de noir, fileté d’or fin, il regardait le saiyen de ses yeux noirs fendus dans des pupilles jaunes. Deux oreilles large s’étendaient de part et d’autres de son crane, sous deux petites cornes entourant une chevelure noire très courte allant de l’arrière du crane vers l’avant en s’affinant pour former une pointe. Ses lèvres étaient retroussées en un petit sourire découvrant une rangée de dents blanches aux canines pointues, le tout souligné par un bouc fin parfaitement entretenu. Quand Vegeta ne fut plus qu’a quelques mètres du charismatique personnage, celui-ci parla de sa voix de basse:
- Et bien, petit être, tu voulais une audience? Je te l’accorde. Et maintenant dis moi, que peut Dabra pour t‘être agréable?
par desa le Dim Sep 18, 2011 4:20 
. Engueulé Evana parce-qu'il ne se rappelle pas de lui alors que s’était a sa naissance et qu'il était invisible non mais franchement . 
.Mais on peut dire qu'il a des aventures de ouf cet empereur. Combien ont la chance de connaître le chaos en personne et d'avoir modifier l'avenir en plus d'avoir mis en échec la mort pendant 5 ans.
. quand au niveau de vegeta, vous allez très bientot le voir^^