Baddack le sayan déchu

[kouki]

Superbe chapitre
Je sens que le vengeance de Baddack va fait très mal.

[Sniffle]

Bonsoir,

Merci Kouki, sa me fait toujours plaisir de voir tes postes .

J'ai été malade un moment, ça ma permis de réfléchir à la suite, mais pour lors je ne suis pas encore contents du résultat. Mais je sens que m'améliore, petit à petit. Bref, voici la suite.


Chapitre 11 : Le survivant


Cela faisait déjà trois semaines que j'avais poussé le vaisseau à pleine vitesse. Du jamais vu. Quand ce snobe de Zarbon m'avait donné les coordonnées à programmé j'avais d'abord cru à une blague. Cette foutu planète n'apparaissait pas sur ma carte spatiale ! Et pourtant elle couvrait quasi toute la galaxie. Le pire, c'est que je ne saurais dire combien de temps il faudrait encore pour arriver à destination, mon XP 2OOO n'ayant pas pu faire ce calcule. C'était d'ailleurs la première fois qu'il n'arrivait pas à m'indiquer la durée d'un voyage. Au moins, le vaisseau se déplaçait, tant bien même qu'il ne sache pas la distance, le principal était qu’il y aille. Il n'y avait plus cas attendre. Attendre. Ce n'était pas le point fort du maître. Etrange, d'habitude il m'aurait déjà menacé de mort. Mais là rien. Freezer serait-il devenu plus gentil ? Il est vrai que l'escale sur Sytrus l'avait surement mis de bonne humeur. Une nouvelle cape, plus belle et plus longue qu'à l'accoutumé, rien de telle pour rendre un Freezer jovial. Mais tout de même, le temps d'éliminer toute la population, réaliser la cape et s'admirer cela devait prendre tout au plus trois jours. Après trois semaines, impossible que Freezer soit encore joyeux. Et impossible non plus qu'il soit devenu patient. En fait j'aurai préféré mille fois être menacé de mort qu'un silence auquel je n'étais jamais habitué. Là il fallait avouer que j'avais peur...
Tout à l'ouest du vaisseau si trouvait le poste de communication. Une pièce circulaire comme chaque espace du vaisseau, dont les le mur clignotait constamment en rouge, vert et bleu. Au centre de la pièce si trouvait une tour imposante, tout aussi ronde que le vaisseau spatial, connecté à différent écrans orange transparent qui l'encerclait. Hormis les « bib » habituel, le silence régnait en maitre ici. Cependant, la quiétude de celle-ci était ébranlée par un guerrier à la longue natte verte.
_ Comment ça mort ?!
Zabon avait très vite perdu tout son charme. Il avait empoigné une petite créature habillée d'une armure basique blanche sans épaulettes. Celle-ci suffoquait et son visage tourna vite au bleu.
_ Réponds moi !! Hurla-t-il.
Voyant qu'aucun mot ne pouvait sortir de sa bouche, Zabon lâcha le chef de la communication. Le soldat s'effondra à genou, ses mains entourant son cou. Après un long moment, il réussit à reprendre son souffle. Zabon quant à lui, avait du mal à se contenir. Mais celui-ci se fit violence pour se calmer et fit son possible pour ne pas trop abimer son visage. Enfin, on parla.
_ Je...La capsule du seigneur Dodoria n'a pas envoyé de signal depuis la destruction de Végéta. Commença Peiffer, d'une voix étouffée.
_Maitre Freezer avait pourtant demandé qu'il confirme la réussite de la mission...Mais depuis tous ce temps nous n'avons rien reçus. Je ...
Il ne put en dire plus, la peur le paralysant. Zabon affichait une expression encore jamais vu sur son visage. Sa mâchoire était crispée et on pouvait même voir des veines palpiter sur son front. Un autre soldat, se dirigea vers la porte.
_ Il faut le dire au seigneur Fre...
_ NON !! Rugit Zabon. D'un revers de la main, il l'envoya s'écraser contre le mur. Le pauvre fut tué sur le coup.
_ Freezer ne doit pas le savoir, est-ce bien clair ?!
_ O-Ooui seigneur Zabon, répondirent d'une même voix les autres membres de la communication.
Si Dodoria n'avait pas confirmé sa mission, cela ne voulait dire qu'une seule chose. D'une manière ou d'une autre, cet incapable avait été tué. Si par malheur un sayan avait pu lui prendre sa capsule ...
_ Dite moi de quelle mission Dodoria devait s'acquitter, demanda Zabon toujours agressif.
L'un des soldats pianota quelque seconde avant de retrouver la conversation entre le seigneur Dodoria et un soldat du poste de communication de la planète vegeta.
La mâchoire toujours crispée, on ne put entendre qu'un faible murmure de la bouche de Zabon.
_ Bad-dack...


Le peuple d'Asares était unique dans l'univers. Tout d'abord de par leur moyen de communiquer. Comme ils ne possédaient pas d'organe auditif, leur bouche ne leur servaient cas se nourrir. Depuis l'époque des premiers Asares, tous portaient à leur coup une chaine munis d'un cristal triangulaire transparent. Cet objet de la taille d'une main canalisait leurs émotions, leurs pensées et les retranscrivait sous forme de lumière. L'inverse étant également possible. Quand deux habitants se parlaient, leur cristal respectif clignotait rapidement en de multiple couleur. Si un sujet A saluait un sujet B, le cristal du premier émettait un signal lumineux qui était reçu par le second. Celui-ci retranscrivait alors ce message dans la tête de son porteur, le tout fait très rapidement. Il n'y avait pas ici notion de lettre ou mot. Ce peuple n'était donc pas limité comme les autres espèces de l'univers qui possédait un vocabulaire moyen de 200 000 mots. Leurs discutions étaient plus rapide, plus fluide que n'importe quel autre dialecte. Dix villageois pouvaient se parler entre eux en même temps sans problème.
On pourrait les trouver assez primitif, un peuple de 4OO habitants, un mode de vie simple. Leur petite planète bénéficiait pourtant de nombreux élément propice à la construction de bâtiments futuristes. Le fait donc que l'on ne trouve pas de mini villes High Tech pouvait signifier que ce peuple n'avait pas la connaissance suffisante pour en créer. Visuellement, il était vrai que ça pouvait prêter à confusion, mais en fait, les créations des Asares étaient très sophistiquées. Leurs maisons par exemple paraîtraient pour de vulgaires champignons géants pour quiconque serait habitué aux technologies de Freezer. Mais c'était en réalité c'était un trésor de technologie. Tout était fait de nano éléments autonome avec diverses fonctions. Le chapeau de la maison absorbait les rayons du soleil et les transformait en énergie afin de nourrir ces petites puces intelligentes. Les quelques 108 maisons du village étaient toutes interconnectés grâce à des sortes de racines transparentes enfouit dans le sol. C'est ainsi que l'on pouvait voyager de structure en structure sans à avoir à sortir de chez soi et le tout instantanément.
C’était ce qu'utilisa une nouvelle fois Artemis. Depuis trois semaines, il avait pris l'habitude d'aller à l'hôpital pour voir l'homme qui était venu de l'espace. Son état était critique lorsque le jeune Artemis l'avait trouvé. Du sang couvrait son corps, il y avait même des traces de brûlures. Par miracle cet inconnu avait survécu. Malheureusement il était dans un état comateux, même après guérison des blessures mais les Asares étaient confient. Jamais ils n'avaient vu une personne aussi robuste que cet homme. Tous étaient curieux, fasciné même par le fait de voir une nouvelle espèce venant d'une autre planète. Bizarrement, aucun d’eux n’eut un jour le désir de voyager dans l'espace, se contentant de le regarder avec de puissants télescopes.
Le jeune homme au collier arriva au chevet du sayan. Comme chaque jour, il communiquait avec lui, dans l'espoir qu'il se réveil. Son cristal s'illumina un bref instant, envoyant des signaux dans la tête de Baddack. Voici ce qu'on pouvait traduire.
_ Bonjour, c'est Artemis.
Il continua de lui parler, relatant sa journée, ou lui posant toujours les mêmes quêtions comme "d'où viens-tu" ou "comment t'appelle tu".
Baddack était dans le coma depuis l'explosion de sa planète. Depuis, il n'avait cessé de rêver. Il courait. Encore et encore, sans s'arrêter, sans être essouffler. Il ne savait pas où il était. D'ailleurs rien n'était reconnaissable. Tout n'était que blanc autour de lui. Mais il s'en fichait, il fallait courir, plus vite toujours plus vite. Là enfin il le retrouva. Au loin, un bébé pleurait. Kakarotto. Il était allongé sur le dos, sans rien. Ses cheveux ressemblaient à si méprendre à ceux de son père. Celui-ci s'approcha le plus vite possible. Vite il fallait le sauver. Trop tard. Le monstre apparut une nouvelle fois. Il était grand, violet et possédait de longue corne noire en forme de U. Des yeux rouges regardaient l'enfant. Cette fois cependant, le monstre ne parvint pas à ses fins. Son corps s'illumina d'une multitude de couleurs. La lumière s'amplifia et Baddack reçut une vague de lumières rouges qui le plaqua au sol. Il se releva tant bien que mal, mais une vague bleue le percuta de plein fouet. Il n'en reçut aucun dommage, mais chaque vague l'éloignait de son fils. Enfin il ne resta plus que lui. Le sayan hurla de colère et fit exploser son aura. Là une dernière vague encore plus puissante le frappa. Sous le choc, deux yeux s'ouvrir.

[Max]

J'avais même pas vu le précédant ...
Bref, pas mal, quoique un peu court. Je me demande ce que va faire Zabon... Attention aux fautes( enfin, je suis mal Place ) et bon rétablissement !!

[Sniffle]

Max44a5 merci.

Je pense qu'avant d'augmenter la longueur, je devrais d'avantage pofiner le texte. Comme dans ta fic, c'est cours mais très sympathique. Les fautes je veille à en faire de moins en moins ( bon exeption ce soir je reprends le boulot après mon mal du week end, je n'ai relus que très brièvement)

Je commence à toucher totalement à de l'invention, j'éspère que les Asares seront vous intéresser.

[kouki]

Superbe chapitre !
Baddack va tenter de retrouver Kakarotto !

[Sniffle]

Bonsoir,

Merci Kouki En effet c'est le but de Baddack.

Voici la suite.

Chapitre 12 : Un nouveau départ

Il faisait souvent beau sur Asares. Comme il n'y avait pas de saison, les trois quarts du temps il n’y avait que du soleil. Quelque nuage pouvait cependant être annonciateur de pluie. C’était le cas aujourd’hui. Un dernier rayon de lumière parvint tout de même à se faufiler au travers d’une mer de nuages gris et vint réchauffer le visage d'un homme aux cheveux noir et aux yeux sombre. Celui-ci était d'ailleurs le seul individu de cette planète à les avoir de cette couleur. Quant aux autres, ils étaient tous châtains clair, avec d'habitude des yeux verts, mais certain faisait exception comme Artemis, qui avait des yeux aussi bleu que son soleil.

L'homme à la queue de singe était tout aussi surpris que l'enfant qu'il le regardait. Le sayan ne darda cependant aucun regard à ce jeune homme, ne l’ayant même pas remarqué. Il relata plutôt dans sa tête les derniers événements passé. Végéta avait explosé, ses amis et son fils avaient été tués. Mais lui était vivant. Quelque flash sanglant resurgirent dans sa tête et provoquèrent une migraine au rescapé. Merde, rien ne s’était passé comme prévu, pensa Baddack. Maintenant je suis seul. Un autre flash surgit alors dans son esprit. C’était un bébé. Kakarotto. Le sayan se rappela quelque chose. Les coordonnées. Celles qui l'amèneront vers son fils. Il y avait donc encore de l'espoir. De plus, Freezer devait penser qu'il n'y avait pas eu de survivant. C'était un avantage à ne pas négliger, même si le prix à payer fut chère.

Les pensées un peu plus claire, Baddack posa son regard sur son corps. Il se rappelait avoir été gravement blessé, à l'article de la mort même. Cependant, il ne ressentait plus aucune douleur. Ses bras, son torse, toutes blessures avaient été soignés. Il y avait même quelque chose de changé en lui. Il se sentait fort, plus fort qu'auparavant. Un zenkai ? Pensa-t-il. Les sages de sa race disaient donc vrai … S’il on avait frôlé la mort, notre force se voyait augmenter de manière prodigieuse. Sa race était vraiment faite pour les combats. Cette sensation de pouvoir il l’a sentait dans tout son corps. C’était jouissif. Sa force avait au moins doublé. Ce n’était certes rien face à Freezer, mais c’était un bon début.

Après en qu'il était de nouveau opérationnel, il fallait vite partir d'ici et rejoindre Kakarotto. Le sayan leva la tête et vu enfin qu'il n'était pas seul. Trop surpris de la situation, il n'avait pas fait attention à l'endroit où il se trouvait, ni qui était ce jeune personnage qui le fixait. Le gamin en question se tenait près de lui. Il était assez grand et portait des cheveux châtains mi-long. Son regard bleu ciel semblait vous traverser le corps. En tout cas, il n'avait pas l'air bien fort. Le sayan, peu courtois, demanda au garçon.
_ T'es qui toi ?
Comme il n'y eut pas de réponse, il perdit patience et relança avec la même familiarité.
_ T'es bouché ou quoi ? Qui es-tu et où est ce que je suis ?
Nouveau silence.
C'est là qu'une chose le frappa aux yeux. Ou plutôt l''absence d'une chose. Le gamin n'avait pas d'oreille. Une race bien étrange et pourtant Baddack en avait vu beaucoup.
_ D'accord... Bon je dois partir. J'espère au moins qu'ils ont des vaisseaux.
Sur ces mots, le sayan se leva et ce precipita en direction d'une porte, mais une main le retint à un reste d'armure. Baddack se retourna.
_ J’ai pas le temps l'avorton.

Artemis était surpris et heureux de voir l'inconnu réveiller. Cet homme ouvrait sa bouche et semblait faire des signes avec, mais c'était incompréhensible. Il ne communiquait pas comme lui. Le jeune Asares essaya tout de même quelque chose. Son cristal émit une faible lumière. Baddack eut alors un choc, il avait vu une sorte de flash dans sa tête et cela le déstabilisa un moment. La sensation était plutôt douloureuse. Pensent à une attaque il voulut repousser le jeune homme mais celui lui montra quelque chose. Après tout ce gamin n'avait rien d'un guerrier et puis seul, le sayan ne pourrait surement pas se débrouiller ici. Artemis pris une boite et la tendit à l'homme aux cheveux noirs. Celui-ci l'ouvrit. Il y avait un pendentif avec un artefact en forme de triangle. Là, l'Asares lui montra son propre pendentif. Une nouvelle fois, l'objet triangulaire s'illumina. Baddack ressentit encore un malaise et vit une succession de flash dans sa tête. C'était vraiment désagréable et il ne voulait pas que l'enfant recommence. Le jeune homme lui montra son collier avec insistance. Le sayan comprit et se décida de mettre ce foutu collier autour du cou. Artemis ressentit une grande joie et sourit. Son cristal prit une tinte oranger et celui de Baddack le devint également. C'est là que se produisit une chose étrange. Le sayan se sentit enlacer dans un cocon de chaleur. On aurait dit que le cristal permettait de ressentir le bonheur du gamin. Baddack cependant s'en moquait royalement. Il se fichait de cette babiole. Cela ne l'aidait en rien à communiquer avec le garçon aux yeux bleu. Sa frustration se fit ressentir. Son artefact devint noir, comme celui d'Atemis. L'Asares décida alors une nouvelle approche. Il lui suffisait de toucher l'esprit de cet homme pour comprendre son dialecte. C'est comme cela qu'il avait pu si bien s'entendre avec Celo, son lion blanc. Artemis s'approcha doucement de Baddack, celui-ci le laissa faire.
Une main tout frêle toucha la tête du sayan. Au début il ne se passa rien puis les deux cristaux triangulaires brillèrent alors de mille feux. Baddack eut l’impression qu’on lui ouvrait le crâne. La sensation ne dura qu’un court moment, mais fut très douloureuse. Des que les lumières des cristaux s’éteignirent, le sayan se sentit mieux. L’enfant par contre ne bougeait plus. Il avait l’air absent. Après une minute, le jeune Asares cligna des yeux. Enfin il regarda Baddack et lui sourit. Une nouvelle fois, son cristal brilla. Cette fois cependant le guerrier ne reçut pas l’habituel flash éblouissant dans sa tête. A la place, il entendit une voix.
_ Salut, moi c’est Artemis.


Zabon fulminait. Il tournait en rond. Par mégarde il piétina sur le soldat qu'il avait envoyé valser tout à l'heure, sans y prêter aucune attention. Il essaya de faire le point sur tous les éléments. Le fait d'y penser et de voir comment avait pu se passer les choses le calmait.
Il ne restait plus de capsules. Donc pour quitter végéta il fallait obligatoirement en voler une. Hors hormis celle de Dodoria, aucunes autres capsules ne manquaient à l'appel. A priori, si Baddack avait survécu, il devait être le seul. C'était un des plus puissants sayans, mais comparé à lui il ne faisait pas le poids. Bien sur, la vermine pouvait se transformer en Oosaru, mais cela ne perturbait en rien l’homme à la natte verte. Ce que craignait le plus Zabon était plutôt la réaction du seigneur Freezer en découvrant qu'un sayan avait survécu. Non il ne fallait pas qu'il sache.
Zabon reprit le fil de ses pensées.
Ce macaque avait dû s'enfuir le plus loin possible. Le chercher à l'aveuglette ne servirai à rien. Tout d'abord, il fallait repérer le signal de la capsule de Dodoria, cela pouvait donner une piste.
_Toi là, désigna le beau guerrier avec force. Cherche moi la trace de la capsule de Dodoria.
Aussitôt, on pianota à un clavier. La recherche ne dura que quelque seconde.
_ Négatif monsieur, elle a dû être détruite.
Évidemment, Baddack avait dû penser à cela. Mais cela voulait dire qu'il s'était arrêté. Les vaisseaux n’appartenant pas à Freezer étant très rare dans l'espace, si le sayan voulait parti avec un autre engin spatial, il serait découvert assez rapidement. Envoyer des soldats fouiller les planètes éveillerai des soupçons chez le maitre. Alors que faire songea Zabon.
_Monseigneur ? Puis je me permettre de suggéré quelque chose ? Demanda un homme en blouse blanche qui avait remarqué l’ai songeur de son seigneur. Zabon se stoppa nette et fixa le malheureux qui l’avait perturbé.
_ Quoi, répondit le guerrier qui avait perdu toute ses manières depuis la fâcheuse nouvelle.
_ Et bien si votre souhait est de retrouver quelqu'un, nous avons mis au point une version plus puissante des détecteur beta. Un prototype a d'ailleurs été installé sur une navette espion.
_ Tu pourrais retrouver le fugitif ?
_ Oui dans un rayon de 100 Jils. Vos scouters ne sont rien en comparaisons. Il suffirait de voyager dans l'espace, le rayon étant assez grand il serait plus facile à retrouver votre homme.
Tous les traits de Zabon se détendirent, c'était parfait. Même si cela mettrait un peu de temps, à lui seul ce vaisseau était largement plus efficace qu'une armée munis de scouters.
_ Très bien. Envoyé un soldat espion fouiller tous les astres proches de la position de végéta au plus vite. Je veux être informé de tout ce qui se passe. Cependant, n'oublier pas que Freezer doit être tenu à l'écart. Personne n'aimerait subir sa colère.
_ Bien seigneur.
Cette fois, Zabon retrouva son beau sourire et son charisme redevint au plus haut. Le singe n'allait pas s'en tirer comme ça. Il allait payer pour ce qu'il avait fait.


Après quelques jours d'adaptation, Baddack maîtrisait parfaitement son cristal. C'était un véritable bijou de technologie, tout comme le reste de cette planète. Etant donner qu’il n'existait pas de vaisseau sur Asares, il fallait impérativement que le sayan sache communiquer avec eux pour en crée un. Il eut malheureusement du mal à communiquer avec les villageois. Mais une fois fait, Baddack fut surpris de leur savoir. Ces êtres étaient doués. Même la planète était intéressante. Elle possédait beaucoup de matières premières.
Après cette période d'apprentissage, Baddack s'était peu à peu habituer à la vie des Asares. Comme il était coincé ici il n'avait pas vraiment le choix. La nourriture était assez bonne, même s'il aurait rêvé de mordre dans un bon steak saignant.
Tout était paisible ici, un peu trop même. Ce n'était pas vraiment ce qu'aimait le sayan. C'est pendant un entrainement non loin du village que l'homme à la queue de singe pensa à quelque chose. Ses exercices n'étant pas assez efficaces, il alla demander l'élément le plus lourd de cette planète en but d'obtenir de meilleurs résultats. Il reçut son dut en ce début de journée, le soleil bleu diffusant sa lumière sans nuages lui barrant la route.
Baddack reçut en main des bracelets noirs. En effet il était lourd, mais pas assez pour un entrainement digne de ce nom. Son cristal envoya automatiquement ses impressions aux Asares les plus proches. Le sayan avait presque oublié que toute émotion ici n'était pas secret. Il n'aimait pas cela, mais il fallait dire que c'était très utile.
Artemis esquissa un sourire. Celui-ci regarda Xéres, le scientifique du village. Xéres était plus grand que le jeune homme aux yeux bleus. Il avait des cheveux également plus longs qui lui descendaient à la taille. On reconnaissait le scientifique grâce à ses vêtements plus sophistiqué que les simples tuniques jaunes des villageois. Sa main droite portait un gant métallique noir. Sur la paume de celle-ci s'y trouvait un rond lumineux bleu. Xéres visa les bracelets de Baddack et un rayon bleu les frappa. Aussitôt, le sayan chuta ne pouvant supporter un poids trop lourd aussi rapidement. Des cristaux clignotèrent. Voici ce qu'on pouvait entendre dans leur tête.
_ Efficace...Merci, réussit à dire Baddack. Il utilisa sa force et parvint à se relever. Alors c'est avec ce procéder que cette planète a une attraction aussi forte ? J'ai été étonné par sa petite taille en faisant le tour un jour.
_ En effet. Vous êtes plus malin qu'il n'y parait.
Le sayan se contenta de dessiner un léger sourire sur ses lèvres.
_ Est-il possible de le faire sur nos corps ? Demanda-t-il.
_ Bien sûr, répondit le scientifique, presque instantanément.
Celui-ci montra un autre gant, mais avec un rond de couleur jaune sur la paume.
_ Celui-ci fait l'effet inverse. Il sera utile quand vous aurez terminé vos exercices.
_ Ok, mais comment on règle tout ça ?
_ Par la pensée bien sûr, répondit Xéres comme si c'était l'évidence même.
_ Merci encore, maintenant je vais pourvoir m'entraîner à fond. J'ai vu une zone rocheuse sans vie pas loin d'ici.
_ Parfait et bien vous n'avez plus besoin de moi.
En moins de deux Baddack décolla du sol et fonça vers le sud. Ce tour ne laissa pas indifférent nos deux amis qui ne cessaient d'être émerveiller faces aux prouesses de cet individu extraordinaire.


Il y eut deux bib sonores et un écran holographique apparut devant ses yeux.
_ Maitre Freezer, nous arrivons.
_ Parfait. Préparer ma cape. Ah oui une chose. N’essayer pas d’envoyer des soldats en guise d’escorte. Il n’y a que moi qui puisse survire sur cette planète.
_ Très bien maître.
La communication prit fin et l’hologramme disparut.
Le seigneur de l'univers se leva lentement, s'approcha du hublot violet de son bureau et attendit d'apercevoir Aegaon, la planète blanche.

[Sniffle]

Bonjour,


Chapitre 13 : Conspiration

Tous attendaient la sortit de leur seigneur droit comme un I. Les élites avaient formé une haie d’honneur avec Zabon à sa tête, s’apprêtant à tout moment à mettre genou à terre. Immobiles comme des statues, la respiration lente, les battements de cœur quasi inexistant, les guerriers avaient belle allure. Rien ne pouvait les perturber, pas même l’événement étrange qui s‘était produit quelques instants auparavant dans le bureau du seigneur Freezer. Bien évidement personne n’avaient pu se douter de ce qui s’était passé. Hormis peut-être Zabon, qui pour l’occasion affichait son plus beau sourire.
La porte s’éventra laissant passez le maître des lieux. Pendant un instant ce fut le choc. Les fiers guerriers ne surent quoi faire, trop surpris de par ce qu’ils voyaient. Ils reprirent cependant leurs esprits et posèrent genou à terre. Freezer était impressionnant, même pour Zabon. Bien que la surprise ne fût pas au rendez-vous pour celui-ci, il restait toujours en admiration à la vue de cette transformation. Le bras droit de l’empereur inclina légèrement le haut du corps, tout en gardant les yeux rivé sur son maître.
Celui-ci s’avança, lentement, sa cape frôlant à peine le sol. Zabon se décala vers la gauche et ouvrit un sas se situant au bout du couloir à l’aide d’une télécommande incruster dans son armure. Une fois que Freezer l’eut franchi, la porte se ferma aussitôt, tandis qu’une autre s’ouvrait la seconde d’après, laissant le seigneur de l’univers seul dans l’espace. Là, Freezer se dirigea à pleine vitesse sur la planète blanche.


Sur Asares, le scientifique du village allait travailler sur une nouvelle invention. Cela faisait des lustres qu’il n’avait plus rien crée. Comme ses frères de sang ne manquaient plus de rien, Xérès avait jugé bon de ne pas tenter le diable en inventant d’autres outils toujours plus performants les uns que les autres. Il eut confirmation de ses dirent en fouillant discrètement la mémoire de ce Baddack lorsque celui-ci fit la connaissance de tout le village. Plus cette espèce guerrière possédait une technologie avancé et plus elle était destructrice. Ce n’était qu’un exemple, mais il est très aisé de tombé dans ce cercle vicieux du pouvoir. Aucune race ne pouvait y échapper.
Le plus grand des Asares lâcha un bâillement. Xérès n’avait pas dormit depuis que le nouvel arrivant avait commencé ses entraînements physiques. Le sayan ne le laissait jamais tranquille. Par chance, il eut pour la première fois du répit aujourd’hui. Qui aurai pu croire que ses vieux gants modifiants la gravité étaient la solution pour avoir la paix ?
Profitant de l’absence de Baddack, Xérès était partit vers son labo. Il aurait pu s’y téléporter, mais il voulait prendre son temps cette fois. Normalement le sayan ne devait pas revenir de sitôt donc il n’y avait pas de quoi se presser. Si tout se passait comme prévu, l’esprit guerrier de cet homme le pousserait à utiliser une gravité bien trop grande pour lui-même. Il faudra peut être envoyé les guérisseurs. Mais pas avant la nuit. Maintenant que l’Asares avait la paix il fallait la garder le plus longtemps possible.
Petit à petit, Xérès s’approchait de son sanctuaire. Il marchait tout en repensent au passé. C’était agréable. Il avait vécu la plus part de sa jeunesse enfermé dans sa petite salle blanche à la forme exigüe. Ne sortant que pour donner ses créations aux autres. C’était le bon temps. Le temps où il fallait se creuser la tête pour un bête calcul, où il fallait passer des nuits blanches à chercher des solutions. De temps à autres, le scientifique pouvait tout balancer et se jurer de ne plus rien créer, mais le lendemain il se jetait à la tâche avec plus de hargne. Ses moments préférer restait les tests. Plusieurs fois il avait failli être tué, désintégré ou même envoyer dans une autre dimension, mais son génie le sauvait toujours in extremis. Quand on est sur le point de mourir ou de disparaitre, on réfléchit nettement plus vite. Malgré tout ça, le grand Asares aimait bien la retraite. Il fallait avouer que c’était moins dangereux. Le choix entre la folie et la raison avait été vite décidé. Cependant aujourd’hui il allait faire une entorse. On faisait appel à son génie. Il fallait redevenir le scientifique inventeur dentant. La curiosité l’avait vaincu, une fois de plus.
Dès qu’il entra dans son labo, un miroir auto-éclairant s’alluma. Il entourait toute la pièce. Le scientifique revit avec émerveillement la forme spéciale de la pièce, qui était fait de manière à ce que son reflet ne soit jamais le même en fonction de l’endroit où il se situait. C’était perturbant pour tous ceux qui était normal, mais pas pour Xérès. Pour lui, cela l’aidait à faire ressortir sa créativité. L’inspiration apparaissait comme par magie. Tient un module de soin ultra régénérant ? Le scientifique d’Asares afficha un sourire. Cette idée venait de germée en lui à l’instant même. Il venait de se rappeler les blessures graves qu’avait subit le corps de Baddack, le soir de sa venue. Un flash de la mémoire du sayan lui montra une sorte de cuve verte. Xérès avait vite fait le lien. Il aurait largement le temps de crée cette machine entre deux poses, il suffisait juste d’un accélérateur cellulaire et d’une enzyme copiant les cellules souches de n’importes quelle espèce vivantes. Comme les deux existaient déjà ici, le fait de les réunir était un jeu d’enfant.
En revenant à son projet principal, Xérès se mit en position de lotus, au centre de son labo. Il ferma les yeux, imaginant mentalement sa future création. Le guerrier voulait un appareil permettant de voyager dans l’espace à grande vitesse. Malheureusement il n’existait rien de tel sur la planète. Pourquoi partir loin quand on est bien chez soi ? A la rigueur il y avait bien le terme grande vitesse qui pouvait faire référence à quelque chose. Serasa. C’était ce qu’il y avait de plus puissant sur Asares. La dernière invention du scientifique. Celle-là même qui le força à arrêter ses créations. Peut-être qu’en faisant quelques modifications…


Kowal vira à droite pour la seconde fois. Il y était presque. Le petit homme était serein, il marchait normalement. Personne ne pouvait se doutait de ce qu’il faisait en cachette. Kowal arriva au fond d’un couloir. Il y avait une porte violette qui donnait accès aux pièces de rechanges du vaisseau. Le soldat entra et ferma la porte. Personne ne viendrait le déranger ici. Il pouvait faire son travail sans problème. Kowal sortit un petit cube de sa poche. Il le posa au sol et pressa un bouton situé sur la face supérieur de l’appareil. L’objet émit une faible lumière bleue, puis une forme grise sortit du cube.
_ Je t’écoute, ordonna une ombre grisonnante.
_ Nous somme arriver à destination. Freezer vient de quitter le vaisseau et vole vers la planète. Il…Il n’a plus la même apparence. Qu’est-ce que ça signifie maitre ?
Il y eut un silence.
_ Que fait-on ? Demanda Kowal après un instant.
_ Absolument rien, répondit l’ombre. Pour le moment on se contentera d’observer. Tant que Zabon est là pour tout organiser, tu ne pourras rien faire.
Cooler lâcha un soupire.
_ Mon petit frère ne cesse de faire des gamineries. D’abord tuer les sayans puis venir sur Aegaon. Si père apprenait ça…
Le soldat acquiesça pour les sayans, mais il ne comprit pas en quoi une planète pouvait causer un tort. C’est ce qu’il demanda.
_ Qui a-t-il sur Aegaon ?
_ C’est une prison géante. Mon père…Mon digne père, réserve à certains ennemis un sort pire que la mort. Il n’y a rien là ba. Pas de nourriture ni d’eau.
Cooler disait cela calmement.
_ Rien, continua-t-il. Ce n’est qu’un sol plat et blanc, un sol indestructible. Même mes attaques non pu déformer un centimètre de cette matière.
_ Mais alors comment peut-on survivre ?
_ C’est là que ça devient intéressent, répondit Cooler en souriant. On ne peut pas mourir. Absurde non ? Le temps est comme figé. On ne vieillit pas…murmura le frère de Freezer. On ne peut pas dormir. La chaleur est insoutenable, la faim nous ronge l’estomac. Un an, dix ans, cent ans. On on ne sait plus. On ne fait qu’attendre la mort qui ne vient jamais…
Cooler parlait plus à lui-même à présent. Il semblait être dans un état second.
_ On ne peut bien évidement pas s’enfuir, pas sans une aide extérieur en tout cas. Hein papa…
Kowal était gênée, il se savait plus quoi dire. Le soldat ne s’attendait pas à un monologue de la part de son maitre. Heureusement celui-ci se reprit.
_ Père finira par regretter d’avoir choisi mon petit frère. Kowal, celui-ci sursauta presque, tient moi au courant dès qu’il y aura du nouveau.
_ Très bien
Tous deux mirent fin à la communication.


Dans le petit laboratoire on souriait. Xères avait mentit tout à l’heure. Le gant au cercle bleu qu’il avait donné à Baddack augmentait bien la gravité. Mais celui-ci était un vieux prototype, qui augmentait au maximum par vingt la gravité qu’exerce la planète sur un corps. L’autre gant cependant était en fait, la version finale… Baddack, trop sûr de lui, avait poussé au max le pouvoir du gant bleu. Ce fut un peu trop difficile à son gout. Il arrivait tout juste à ne pas s’écrouler au sol. Ses déplacements étant devenus trop lent, le sayan avait utilisé alors l’autre gant pour diminuer un peu cette trop grande pression et pouvoir ainsi s’entrainer convenablement. C’est alors qu’au lieu de diminuer l’intensité de moitié, Baddack s’était sentit encore plus lourd. Ses pieds s'étaient enfoncés de dix centimètres et il peinait à bouger le moindre de ses membres. Il avait cru d’abord s’être trompé et recommença en pensant à mieux reformuler sa demande dans son esprit. Une nouvelle fois il se sentit plus lourd, si bien que son corps fut encastré dans le sol. Une force invisible lui écrasait chaque centimètre carré de son être. Le sayan avait donc utilisé son pendentif et visionner Xérès dans sa tête pour pouvoir lui parler. Malheureusement le cristal ne put se connecter à celui du scientifique, celui-ci étant coupé du monde dans son labo. Le génie avait tout prévu pour être tranquille dans son travail.
_ Chier… il m’a…bien eut…

[xela26]

j'avais pas lu tes deux derniers chapitres, très bon.

La planète blanche ressemble étrangement au monde de la salle de l'esprit du temps....

[Sniffle]

Merci xela26 .

La planète blanche ressemble étrangement au monde de la salle de l'esprit du temps....

Ce fut ma base pour crée cette planète, mais j’espère rester dans l'originalité avec les modifications apportées.

[kouki]

Très bon chapitre comme le précédent !
Elle ma bien fait rire la phrase de baddack XD !
Bonne chance pour la suite ^^ !
*Sent que Baddack va faire beaucoup de rencontre qui vont l'aider*
huhuhuhuhu !

[Jiruresu]

Bon chapitre, j'ai adoré comme Badack c'est fait berné ^^

j'attends de voir la suite avec impatience ^^

[Sniffle]

Bonsoir,

Merci beaucoup kouki.

*Sent que Baddack va faire beaucoup de rencontre qui vont l'aider*

Je reste muet :p


Jiruresu

Bon chapitre, j'ai adoré comme Badack c'est fait berné ^^
j'attends de voir la suite avec impatience ^^

Je suis contents de voir un nouveau lecteur !
Contents que ça t’ai plu

Vous ne savez pas a quel point ça me fait plaisir de lire vos posts, c'est juste super, merci beaucoup !

[Max]

Le dernier chapitre m'a bien fait marrer, à la fin. je suis toujours très intrigué par cette fiction. Bonne chance.

[Sniffle]

Merci beaucoup Max44a5

Je ne sais pas ce que tu attends de cette fic, mais j’espère garder ton intérêt pour celle-ci.
( J'attends ta suite chez Dragon ball heroes et je me suis mis à temps sombre )

J’écrirai la suite dans les jours a venir, après avoir passer mon dernière examen lundi. Bon weekend !

[kouki]

Bonne chance pour ton exam' ^^ !