
Bref, la suite, avec encore une fois un gros merci à l'équipe qui supporte mes états d'âme et ne ménage pas ses efforts pour rendre la fic la plus plaisante possible : Lamantin-furtif, Pensyves, Xela26, Tonay et ButterflyAway.
Partie VII : gravité
De toute manière, les images que Jim affichait désormais sur les écrans étaient parfaitement claires. Hébété, le jeune analyste observait sans y croire les tonnes de roches qui glissaient sur les écrans géants, pulvérisant leurs installations comme s'il s'était agi de constructions de sable. Des sections entières de la base étaient balayées sous leurs yeux et Jim sembla soudain prendre conscience du gigantisme du complexe dans lequel il vivait. C'était des centaines, peut-être des milliers de vies qui s'éteignaient sous leurs yeux. Ils avaient beau le voir, ils ne pouvaient rien y faire.
Marta !
Jim lança une séquence du secteur 12 sur un écran.
Toute la zone était sujette à de terribles éboulements qui emportaient des couloirs entiers, par saccades. Sa femme était là-bas. C'était là-bas qu'il devait être.
Un rapide coup d'œil lui confirma ce à quoi il s'attendait : Bulmà semblait occupée à vainement contacter Krilìn, et ses collègues étaient fascinés par les marées humaines emportées par la roche, que jouait un mur hypnotique d'écrans sanglants.
Sans un mot, le plus naturellement du monde, Jim Factor se leva et se dirigea vers la porte. Personne ne lui prêta la moindre attention quand il traversa la salle d'un pas décidé. N'eut été le retour inopiné de Gerò et C-12 qui lui barrèrent la route au dernier moment, il aurait pu s'échapper sans encombre.
Pour la première fois depuis plusieurs mois, Jim trouva la force de s'opposer au savant. Les cyborgs ne lui faisaient pas peur. Il devait retrouver Marta.
— Laissez-moi sortir !! ordonna-t-il.
— Ce n'est pas le moment, Factor. Nous sommes en train de décoller, lâcha Gero en passant devant l'analyste sans même lui accorder un regard.
— Attendez, intervint Bulmà. Vous voulez dire que nous sommes à l'intérieur…
Elle n'osa pas terminer sa phrase, tellement l'idée lui paraissait extravagante. Gerò s'en chargea :
— D'un vaisseau stationnaire, oui. Factor, activez les écrans extérieurs. Nous allons essayer de sauver tous ceux que nous pourrons.
Jim resta interdit. L'aplomb de Gerò dans cette situation tragique était impressionnant. Une seconde plus tôt, la salle de contrôle était en proie à la terreur, et désormais, sous l'impulsion du savant, tout le monde s'activait déjà comme si rien ne s'était produit.
— Retournez à votre poste, Factor, insista le savant sans méchanceté. C'est votre meilleure chance de la sauver. Chaque seconde compte.



Soudain, ses sens l'avertissent d'une opportunité. Un faible courant d'air est venu lécher son avant bras nu pour lui indiquer la voie à suivre.
Elle se faufile entre deux planches, et c'est là qu'elle l'aperçoit : la lumière du jour. Elle est toute proche, à quelque mètres en contre-haut, suintant d'un orifice de secours démembré qui mène de toute évidence à l'extérieur. Aussitôt, elle identifie la trajectoire idéale pour l'atteindre, composée de divers sauts et jeux d'escalade entre les différents blocs de pierre. Il faudrait accomplir un bond audacieux, mais ça lui paraît faisable.
La mélodie chante dans sa tête tandis qu'elle gravit les parois, griffe sa peau contre les aspérités et sollicite toujours un peu plus ses muscles pour qu'ils la hissent vers le haut. Elle sent d'abord la chaleur sur sa main lorsqu'elle agrippe la corniche lumineuse, puis c'est tout son corps qui profite des bienfaits du soleil quand, enfin, elle s'extirpe toute entière des décombres.
Mais elle n'a pas le temps d'être éblouie par la lumière.
Déjà sous ses pieds, le sol s'enfuit.
Elle agrippe une corniche à l'instinct et dans un dernier effort, elle se tracte sur ce qui paraît être un plateau encore stable. Après s'être accordé quelques secondes pour retrouver son souffle, elle se redresse en cherchant à s'orienter. Autour d'elle, le panorama est rendu flou tant par les vibrations prolongées du séisme que par ses yeux encore mal habitués au jour, mais il lui semble qu'elle est dans une zone relativement sûre. Soudain, les tremblements cessent instantanément durant un court instant.
De ce qui avait été le secteur 7 s'échappe tout-à-coup un énorme nuage de fumée grise qui recouvre toute la montagne d'une brume spectrale, pendant qu'un semblant de calme reprend possession des vallées dévastées.
C'est là, dans ce décors fantasmagorique, alors qu'elle vient de tromper la mort plus de cent fois, qu'elle assiste au plus improbable des spectacles.
Une énorme surface de la montagne se soulève, poussée par le dessous comme une bulle de gaz qui cherche à exploser, jusqu'à ce qu'un craquèlement violent ne vienne fissurer la demi-sphère. La roche cède de toute part, et dans un déluge d'explosions violentes et d'arcs électriques colorés, une immense structure métallique articulée perce la pierre, comme pour se déplier. On aurait dit un rapace de métal géant qui se préparerait à l'envol.
Puis l'incroyable se produit.
Dans le vacarme infernal de milliers de réacteurs qui se mettent en route en même temps, l'imposante structure s'extirpe de la montagne vorace jusqu'à flotter à plusieurs dizaines de mètres au-dessus d'elle. On aurait dit une ville volante, dont les quartiers aux architectures verticales auraient été reliés par des tubes de métal, le tout soutenu par le souffle brûlant des innombrables propulseurs.
Il est là-bas. Elle peut le sentir.
Elle sait ce qu'elle avait à faire et entreprend de dévaler une pente dangereuse, à peine moins raide que les autres, poursuivie par un flot de graviers libérés par son mouvement.



Le prince profita de la confusion pour enfin concentrer l'alterki correctement. Sans l'intervention de l'alièn, ses pouvoirs réagirent au quart de tour. Il était temps de bien enfoncer le clou pour que ces insectes comprennent l'énorme différence de puissance entre eux et lui.
Fini de rire.
En un instant, il fut sur C-17 et asséna trois coups puissants qui sonnèrent le cybòrg avant qu'il n'eût pu esquisser le moindre geste. Un quatrième, encore plus chargé, s'enfonça dans son abdomen dans un flash d'explosions mécaniques et une lancée de sang très clair.
— Non !! hurla C-18. NOOOOOOOOON !!
Elle se précipita tête baissée sur leur ennemi, mais Vegeta la repoussa négligemment d'une sphère de gravité qu'il relâcha sans même prendre la peine d'un regard. Ses yeux fixaient cruellement son frère, tandis que le poing qu'il tenait toujours dans son ventre se mettait à briller de manière inquiétante.
— À la prochaine ! siffla Vegeta en relâchant son attaque.
L'énergie que dégagea le saiyan détruisit le cybòrg en un instant. C'est à peine s'il eut le temps d'échanger un regard affolé avec sa sœur avant que la puissante déflagration ne le fasse disparaître à jamais dans un déluge de lumière bleue.
Quand on put y voir à nouveau, Vegeta se tenait toujours au même endroit, occupé à masser son poignet, entouré par une masse de débris électroniques aux reflets carmins. Un foulard orange ensanglanté retomba mollement au sol non loin de lui.
— Pour quelqu'un incapable de les tuer, je ne m'en sors pas si mal, pas vrai ? railla-t-il à l'adresse de son doùble. Bon ! À qui le tour, maintenant ?
La réponse arriva sur lui sous la forme d'une furie blonde lancée à pleine vitesse, le deux poings en avant.
Un peu surpris, Vegeta tenta de riposter en la frappant au vol, mais C-18 réussit à prendre appui sur le poing pour se glisser sous son allonge. Durant un très bref instant, le regard du prince saiyan croisa celui de la cybòrg. Il vit ces deux yeux déformés par la haine, la souffrance et l'envie de vengeance.
Il y avait quelque chose de profondément dérangeant à cette expression, songea Vegeta, comme si elle était exagérée. Ses yeux dégageaient quelque chose de vrai, quelque chose qu'il cherchait lui-même sans le trouver ; comment un cyborg pouvait-il simuler une émotion de manière si réaliste ?
Complètement déconcentré, le saiyan perdit le rythme du combat.
L'andròïde vit une ouverture et en profita. Elle assaillit son ennemi de coups de poing au ventre extrêmement rapides. Ses forces décuplées par le désespoir et la rage s'abattaient à chaque nouveau contact sur les défenses du Super Saiyan et C-18 sentit qu'elle pouvait les percer, qu'elle pouvait le faire plier.
Alors elle concentra une ultime frappe et d'un puissant direct du droit, elle envoya Vegeta voler en vrille en direction d'un épais mur de roche.
Mais il ne s'y écrasa pas.
Le prince reprit le contrôle de son vol sans problème et se stabilisa en position de tir, le bras droit en avant, le majeur et l'index tendus en direction de C-18. Ses doigts brillaient déjà. Le coup était prêt à partir.
— Tu n'es qu'une boîte de conserve ! asséna le prince en lâchant son attaque.
C-18 vit son frère lui sourire dans la lumière qui déferlait vers elle bien trop vite pour qu'elle puisse l'éviter, comme s'il l'invitait à la rejoindre.
Yamchà sentit immédiatement que Vegeta n'était pas vraiment atteint et qu'il allait riposter. Il attrapa la cyborg in extremis, l'arrachant à une mort certaine. Encore une fois, le léger temps d'avance dont il disposait permit d'éviter la catastrophe. Mais le Super Saiyan était trop rapide. S'ils ne tentaient pas quelque chose de plus audacieux, ils allaient tous y rester, il pouvait le sentir, maintenant.
Piccolò sut que la scène à laquelle ils venaient d'assister suffirait à convaincre ses compagnons.
• Tèn Shin Han !! Il faut agir maintenant ! Prépare-toi !
Tèn ne répondit pas. Un vent de mort venait de s'abattre sur l'assemblée, figeant tous les guerriers sur place. Ils portèrent tous un regard inquiet vers le nord, en direction de la force qui venait d'apparaître. Et celui sur lequel se lisait le trouble le plus profond était Vegeta, dont l'arrogance avait laissé place à une complète stupéfaction.
Il aurait reconnu cette énergie si particulière entre mille.
Il n'y avait pas d'erreur.
C'était lui.



Car c'était bien de cela qu'il s'agissait. Quand il avait réalisé que c'était l'équivalent de deux secteurs de la base qui venaient de prendre leur envol, Jim était resté pantois. La quantité d'énergie nécessaire à la mise en suspension atmosphérique d'un tel vaisseau défiait la raison, et l'analyste ne put s'empêcher de frémir à l'idée que le même type de ressources puisse alimenter les cyborgs conçus par Gerò et Bulmà.
Il avait évidemment commencé par scanner le secteur 12, mais les appareils n'y avaient détecté aucune forme de vie. Alors, il poursuivait son activité sur les secteurs adjacents, mû par le mince espoir qui demeurait que sa femme fût parvenue à y trouver refuge, tout en fournissant des images qu'il n'avait pas le temps de traiter à des collègues. Pour chaque localisation extérieure d'un être vivant, il faisait parvenir un ordre concis aux drones de sauvetage, et lorsqu'une situation réclamait d'avantage d'attention, il transmettait à l'un des cyborgs.
Tandis qu'il attendait anxieusement la fin d'un nouveau chargement d'images, Jim laissa son regard parcourir la salle de contrôle. Il ne mit pas longtemps à réaliser à quel point le rôle de chaque personne présente dans la pièce complétait celui des autres pour un maximum d'efficacité. Personne n'était vraiment inactif.
Ce n'est pas normal.
Gerò n'avait pas pu mettre ça sur pied en quelques minutes, l'organisation était trop optimale. Le vieux savant avait prévu ce qui allait se passer. Tout était méticuleusement organisé pour parer à la situation présente. Les programmes de l'opération avaient été pré-installés dans les drones et les cyborgs. Ce n'était pas une adaptation de dernière minute.
Le vieux savant était-il à l'origine de ce désastre ? L'avait-il lui-même provoqué ?
Il en est capable.
Jim récupéra les données et se prépara à charger le secteur quand une voix bien connue se fit entendre dans son dos.
— Factor, arrêtez ce que vous faites et lancez un ordre de récupération prioritaire.
L'analyste se retourna pour faire face à Gerò. Le savant était seul. Jim réalisa soudain que tous les cyborgs avaient été envoyés dehors, ce qui laissait leur maître sans protection. L'idée de resserrer ses main autour du cou de cette ordure prenait de plus en plus de place dans son esprit et en moins d'une seconde, il l'envisagea sérieusement, prêt à céder à ses pulsions les plus viscérales, à laisser parler la rage qu'il avait si longtemps refoulée pour sauver Marta. Le docteur dut en percevoir quelque chose car il ajouta rapidement :
— Je suis ici pour vous aider à retrouver votre femme.
— Qu'est-ce que vous dites ? Vous savez où elle est ? l'invectiva Jim en se levant précipitamment
— Non, j'ai dit que je savais comment la retrouver. Comme tous les prisonniers, elle dispose d'un traceur hypodermique. Ceci vous donnera un accès aux données, expliqua Gerò en lui tendant un support numérique. Vous devriez pouvoir la localiser sans problème.
— Et vous ne pouviez pas me le dire avant ?! rugit Jim.
— Nous avions besoin de vous ailleurs, Factor. Maintenant, votre rôle est rempli. Cessez de discuter et allez sauver votre femme ! C-12 prendra votre ordre en priorité, conclut le savant sur un ton de moins en moins coléreux et de plus plus las.



Il se dégagea des décombres en lançant quelques kiaï ciblés et bondit à l'extérieur, où il put constater ce qui provoquait le vacarme assourdissant qui lui battait les tympans.
Un immense vaisseau surplombait l'endroit, et de multiples appareils s'agitaient dans ce que le conseiller de Freezèr identifia immédiatement comme une opération de sauvetage.
Monsieur Freezèr !
Zabòn ne connaissait pas ce model primitif de station d'assaut, mais d'après ses informations, les humains ne disposaient pas de la technologie pour produire ce genre de vaisseau. Il ne pouvait s'agir que d'une opération de son maître afin de le sauver.
Un mouvement d'air fit alors bouger ses longs cheveux décoiffés.
Quel gâchis ! songea l'alièn quand il prit conscience de son apparence. Je leur ferai payer !
Alors, une nouvelle bourrasque, un peu plus forte, balaya le plateau où il se trouvait, puis une autre, et encore une, toujours un peu plus violentes. Enfin, c'est un véritable tourbillon qui se leva autour de Zabòn.
Il en identifia rapidement l'épicentre : une sorte de sphère organique à l'apparence étrange, dont il s'approcha pour l'observer.
Soudain, la tempête tomba comme elle s'était levée. Et un silence de mort envahit l'endroit.
Les drones de sauvetage ne s'activaient plus.
Bien malgré lui, Zabòn était inquiet ; il se produisait ici quelque chose de profondément anormal et en son for intérieur, son instinct de survie l'incitait à la fuite. Il valait mieux regagner le vaisseau au plus vite ! Mais alors qu'il s'apprêtait à décoller une ombre inquiétante recouvrit son épaule depuis l'arrière, tandis qu'une voix effrayante murmurait faiblement à son oreille :
— Buu ?



Vegeta hésita.
Instinctivement, il pensa à sa femme et à son fils. Il ne couraient aucun danger, mais si les choses tournaient mal, il risquait de ne jamais les revoir. La solution prudente consistait à fuir.
Le prince saiyan sourit. La prudence… Était-il devenu faible au point de s'embarrasser de tels concepts ?
L'occasion de tester vraiment ses nouvelles capacités était trop belle. Ça tombait presque à pic, à vrai dire. Vegeta jaugea la puissance de son ennemi; il était prenable. Il fallait courir le risque…
Quelques flashs épars le firent douter à nouveau. Son corps malmené pour faire gagner du temps à Kakarotto, ou immobilisé par cette matière immonde pendant qu'il était roué de coups, impuissant.
Son regard parcourut une fois de plus l'assemblée encore médusée par la puissance inattendue qui venait d'apparaître. Ici, personne ne le ressusciterait s'il devait échouer…
Mais il n'échouerait pas. Pas cette fois.
Alors Vegeta laissa exploser sa véritable puissance. Le Ki satura son corps et équilibra sa force dans un tourbillon cosmique qui balaya tout le paysage alentours. Les tèrriens durent raffermir leurs appuis pour ne pas être emportés par la déflagration qu'il produisit en concentrant ses pouvoirs .
Encore une fois, le visiteur du futur les toisa d'un regard supérieur. Son aura était violente, ample, prédatrice ; elle les écrasait de sa simple présence.
Il les avertit :
— Ne me suivez pas si vous voulez vivre.
Puis le saiyan porta deux doigts à son front et disparut.
— Quoi ?! hurla Vegetà, les yeux exorbités. Pourquoi s'est-il enfui, ce lâche ?
— Où… Où est-ce qu'il est passé ? compléta C-18, toujours hors d'elle et prête à en découdre.
— On se calme, intervint Tèn Shin Han. Visiblement, c'est l'apparition de ce… de cette chose qui l'a fait partir.
Vegetà lui lança un regard noir.
— Cette “chose”, comme tu l'appelles, est risible par rapport à nous. Qu'un faible comme toi soit inquiet, ça se comprend, mais ce n'était pas une raison pour interrompre notre combat !
— De toute manière, ça nous arrange bien, précisa Krilìn. Bulmà m'a envoyé un appel de détresse tout-à-l'heure, et maintenant, elle ne répond plus. C'est là-bas qu'est apparue la chose, le mieux à faire, c'est d'aller voir ce qui se passe. Elle est sûrement en danger.
— C'est exclu !! tonna Vegetà. La seule chose qui compte, c'est d'abattre le Super Saiyan !!
— Mais tu es idiot ou quoi ? se moqua Piccolò. Et où crois-tu qu'il soit allé ?



Pas mal pour des humains, songea-t-il.
Évidemment, ça n'avait rien à voir avec la magnificence de Divetia, la mythique planète artificielle, joyau de l'Ancien Empire et capitale de la Fédération, mais il fallait avouer qu'il ne s'attendait pas à voir pareille construction sur Tèrre.
Vegeta fut tiraillé pas l'envie de tester les défenses de l'installation, mais il remit son projet à plus tard ; il n'était pas venu pour ça. Un plus gros morceau l'attendait. Une fois la boîte à capsules extraite de son bras, il ouvrit celle qui contenait les senzus et les dénombra. Il lui en restait quatre.
Il hésita quelques secondes, en saisit un et le glissa dans sa poche.
Ça devrait suffire. De toute façon, c'est juste au cas où. Je n'en aurai pas besoin.
…
Bulma…
Trunks…
Vegeta saisit un second senzu qu'il cacha dans son gant, puis il rangea les deux derniers et fit glisser la boîte dans son bras. Enfin, il lança une attaque faible mais impressionnante pour s'assurer que Buù prenne bien conscience de sa présence et le repère.
C'est parti. Amène-toi, saloperie !!
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