[Fanfic] Le chaos pour racines

Faîtes-nous partager votre fibre littéraire en écrivant votre propre histoire mettant en scène les personnages de Dragon Ball et, pourquoi pas, de nouveaux ! Seules les fanfictions textes figurent ici.

Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar Nimitz le Dim Nov 28, 2010 18:21

merci Kame-Boy ... je n'ai pas été assez clair apparement

mais il avait en partie raison, c'était a toi de décidé bien que je savais ce que tu allais dire au vue de ce qu'on se dit via mail concernant les perso ^^

TIM:

je comprend que tu sois décu,quand j'ai lu ce topic j'ai tt de suite eu envie d'etre de la partie ...
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar BlackYohko le Dim Nov 28, 2010 20:02

Dommage pour toi tim j'espère que tu commentera les chapitres avec nous pour aidé kame-boy dans sont histoire
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar tim le Dim Nov 28, 2010 20:13

evidemant que je commente encore
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar Kame-boy le Mar Nov 30, 2010 0:11

Chapitre VIII :


Alors que le soleil se levait timidement et n’osait encore envahir de sa lumière la grande citée endormie, deux saiyens marchaient d’un pas pressé. Ils se retournaient de temps en temps et privilégiaient les zones ombragées.

- Dépêche toi Baji, j’ai rendez-vous dans une heure avec l’équipe ! Si je suis en retard, ils feront vite le lien avec ton évasion !
- Je fais ce que je peux, je te rappelle que je suis blessé au mollet ! Et puis, pas de panique, on devrait arriver dans à peine 20 minutes ; ensuite, tu pourras rentrer en volant. Tu es largement dans les temps ! répondit l’évadé, sur un ton qui se voulait rassurant mais qui trahissait sa fébrilité.
- Bon, je te fais confiance… Mais t’auras intérêt à m’envoyer un colis pour me remercier. Fais pas de folie, tu sais que je suis quelqu’un de simple… Une capsule spatiale home-cinéma suffira, plaisanta Toumorokoshi, plus pour se mettre à l’aise que pour amuser la galerie.

Bajiri ne s’étaient pas trompé de beaucoup et, moins d’une demi-heure après, arriva avec son ami devant un gigantesque hangar, surmontée d’une tour de contrôle. À cette heure-ci, le coin était désert, seul le vent frappant avec insistance sur la taule se manifestait. Le membre de l’escouade officielle se dressa alors fièrement, bomba le torse et annonça l’œil pétillant de malice :

- Tala tata ! Mais qui voilà ?! C’est Toumo le sauveur ! Oh, mais que vois-je dans mon magnifique plastron ?

- Arrêtes de me faire marcher… De quoi tu parles ? demanda un Bajiri impatient mais ne pouvant dissimuler une pointe d’amusement.

Le saiyen d’élite se rendit compte qu’il n’avait plus le temps de faire le spectacle et sortit, sans tarder, une fine télécommande de son armure. Il y composa un code et la porte du spatiodrome s’ouvrit sèchement. Les deux complices entrèrent prudemment, allumant automatiquement le hall au passage.

- Où as-tu eu ça ? demanda le fuyard, surpris.
- Ca fait partie du paquetage saiyen, c’est la classe ! J’ai trouvé ça avec un petit manuel sur le lit de ma chambre. J’en ai tout de suite senti l’utilité pour ce soir.
- C’est bien beau tout ça, mais on va où maintenant ?
- Hum… Je sais pas exactement, j’ai pas eu le temps de potasser. Il me semble qu’on accède à la salle d’embarquement par un tapis roulant…
- Donc cesse un peu de parler et tendons l’oreille ! conseilla gentiment Bajiri.
- Euh… T’es sûr qu’ils l’actionnent aussi tôt ? En l’absence de personnel ?
- N… non… répondit le saiyen aux cheveux courts, gêné.
- Laisse faire mon gars, j’ai ma petite idée…
Toumo plongea la main dans sa tenue protectrice et en sortit, cette fois-ci, un scaouter flambant neuf.

- Et ben, tu vas nous sortir quoi la prochaine fois ? Une fusée ?
- Chut… Tu n’y comprends rien ! Je suis le Parker Lewis saiyen !
- Qui c’est celui là ?!
- Un gus d’une autre planète qui a l’air d’avoir la cote. J’ai vu ça sur Google Space…

Tout en parlant avec légèreté, le « sauveur » réglait son détecteur et observait les données avec une intense concentration. Il annonça :

- C’est bien ce que je pensais… Nous ne sommes pas seuls !

Mais personne à plusieurs kilomètres à la ronde, quelques centaines de milliers de kilomètres plus loin… Courga et Kyabetsu continuaient leur progression, les visages fermés et jambes lourdes. Ce marécage sans fin aux vapeurs nauséabondes n’étaient pas leur meilleur ami.

- Saleté de bouillasse ! lâcha le petit saiyen, extenué.
- On va le trouver, garde ton sang-froid !
- On tourne en rond ! J’en serais presque à parier qu’il joue avec nous…
- Dis pas de bêtise ! Il n’a pas ni télécommande ni d'allié, cette planète est dépourvue d’intelligence animale. Je l’ai visité il y a 8 mois, je sais de quoi je parle ! Il ne peut pas non plus être dans les airs ; il y a un étrange nuage là haut. Je m’en suis approché lors de ma première visite et l’expérience ne m’a pas plu du tout… Je ne lui recommande pas !
- En tout cas, il ne nous reste plus que 40 minutes, ça me semble compromis… On ne peut même pas voler à cause de cette maudite gravité, maugréait un Kyabetsu abattu.
- Mais non… Nous approchons forcement de sa cachette, notre chemin en cercles concentriques va obligatoirement finir par nous mener à lui. De toute façon, il sait que, s’il bouge, nous le repérerons immédiatement !
- T’es sûr que ta technique apprise chez les Yar… Yatar… Yarat… enfin tu m’as compris… marche à tout les coups et que l’on pourra rentrer ?
- Je ne cesse jamais de m’exercer ! Pendant que l’on discute, je n’en ai pas l’air mais je continue à aiguiser mes facultés ! D’ailleurs, tiens toi prêt, je sens que l’on va avoir de la visite…
- De notre homme ?!
- J'en doute, c'est un groupe !

De fines et grandes mains pâles étaient posées sur celle d’un homme à la peau légèrement halée. Cette dernière appartenait à Tamato, paisiblement endormi. Il ne portait plus son armure, son corps n’était recouvert que de multiples bandages teintés de diverses plantes. Un flacon transparent contenant un liquide vert et bouillonnant fut porté à son nez. Ses narines firent alors quelques bonds, obligèrent le saiyen à grimacer, jusqu’à ce qu’un violent éternuement lui fasse faire un bond. Tiré violemment de ses songes, l’exilé ne savait plus si ce qu’il voyait était réel ou pas. De son regard perdu, il fixait l’inconnu qui se tenait assis à côté de lui. Cette personne étrange, de par les traits de son visage, semblait avoir une vingtaine d’années mais sa duveteuse chevelure blanche immaculée pouvait faire penser le contraire. Ses iris bleus clairs fixaient Tamato, sans bouger d’un millimètre, et mettaient mal à l’aise ce dernier. Le maquillage sombre cerclant les yeux n’arrangeait rien. La touche finale était une larme de clown triste tatouée sous l’œil, créant une atmosphère de mélancolie contagieuse. Le saiyen blessé ne savait plus s’il devait avoir peur, éprouver de la colère, de la tristesse. Tout cela se mélangeait… Il ne se posa alors qu’une simple question…

- Je sais ce que tu vas me demander ! Je vais te répondre… enfin à moitié… Je suis le visage triste de Thalès, Ukero !
- Le vi… visage triste ?!
- Pour reformuler, disons que ton frère n’existe pas vraiment.

Tamato, sous le choc, resta sans voix. L’inconnu, quant à lui, savourait l’effet de sa mystérieuse révélation.

- Thalès est peut-être ton « petit frère », je l’ai fait naître quand j’avais une dizaine d’années, mais sache que je suis plus âgé que toi, donc pas de familiarité entre nous !

L’état psychologique du fils de Salsifi changea encore, pour passer à un stade de crainte et de renfrognement protecteur.

- Tu penses que je suis fou ?! Je ne crois pas, mais c’est possible, je suis sûrement resté trop longtemps sur cette planète boueuse, dit l’énigmatique Ukero, une lueur de nostalgie dans le regard.
- Qu’à tu… qu’à tu fais de Thalès ?!
- Je constate que tu n’as toujours pas compris, remarqua le jeune homme aux cheveux blancs. Tu es dur à la comprenette… Ouvre bien tes oreilles : Thalès est seulement l’une de mes facettes ! C’est sans conteste l’une de mes préférées, j’y suis attachée, mais elle n’apparaît qu’à vos yeux. Je ne cesse jamais d’être Ukero, celui que tu vois devant toi, ici et maintenant ! assena l’homme tatoué, appuyant bien chaque syllabe.
- Mais qui t’as donné ces pouvoirs ?! Tu n’es même pas saiyen je présume.
- Si, malheureusement… Regarde ça !

Le mouvement de tête d’Ukero permis à Tamato de voir la blanche queue de son interlocuteur. Elle s’enroula, prenant tout son temps, autour de la taille de son saiyen de propriétaire.

- Mais, on a déjà trop blablaté, il y a d’autres priorités que de parler de nos vies. En plus ça me fatigue ce genre de discussions, on tourne vite en rond… Suis moi !
- Que comptes tu faire ?! J’ai encore pleins de questions ! demanda un Tamato à l’excitation anormale.
- Tu es bien curieux petit frère, répondit Ukero, insistant avec malice sur ces deux derniers mots.

Le saiyen aux longues mèches et grands yeux sentait qu’il était désormais une véritable girouette de sentiments, il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait. Il s’efforça de baisser son rythme cardiaque, puis assura :

- Si tu imagines que je vais t’accompagner je ne sais où sans broncher, tu te met le doigt dans l’œil !
- Parce que tu imagines avoir le choix ?!
"L'histoire de Mr Satan", fanfic de 2010 à présent terminée (et reconstituée suite à un hackage en 2011), espère vous plaire et n'aurait rien contre quelques commentaires ;)
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"Le Chaos pour racines" est une fanfic qui met en scène 10 "avatars" créés par des membres du forum. J'espère qu'elle plaira aussi aux autres forumeurs ^^
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar BlackYohko le Mar Nov 30, 2010 22:13

excellent chapitre j'ai hâte de savoir certaines chose sur Ukero
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar Rusk le Jeu Déc 02, 2010 21:13

Alors là pour de l'intrigue il y en a!
J'aime beaucoup la façon dont tu as intégré mon personnage, même si je l'ai déjà dit par email :mrgreen:

Continu comme ça, c'est de plus en plus passionnant!
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar Nimitz le Ven Déc 03, 2010 19:00

désolé soucis avec ma boite mail ^^

je viens de lire le chapitre et encore une fois tu m'impressionnes :D

je ne vais rien dire sur mon personnage, vu qu'il n'y a rien a dire ^^

si non pour l'intrigue tu places encore quelques questions désormais avec l'entrée en scène de Ukéro(HAAAA notre Rusk national est enfin laa ^^)
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar Kame-boy le Dim Déc 05, 2010 1:19

Merci les gars pour vos commentaires et suggestions ;) Place au chapitre IX, qui j'espère vous plaira (ainsi qu'aux lecteurs n'ayant pas de personnage dans la fic ^^) :

Chapitre IX :


Sur sa nuque, le duo saiyen sentait des dizaines de regards perfides. Des ricanements vinrent ajouter leur poids. Puis des bruits de grattement peu francs se firent entendre, se précisèrent, indiquant que l’ennemi approchait. Dos à dos, Kyabetsu et Courga formaient un être aux quatre yeux, capable de voir tout autour de lui. Une défense à priori sans faille. Comme des guirlandes lumineuses sur un sapin de noël, des fentes rouges clignotaient et semblaient de plus en plus nombreuses… Les regards de créatures étranges les fixaient-ils ? La réponse ne tarda pas à arriver. Un sifflement… Puis un deuxième… et ainsi de suite jusqu’à ce que les deux acolytes soient cernés par une colonie d’hideux personnages. Ils gloussaient de contentement ces petits monstres verts, au buste de sauterelle et membres nervurés. Leurs cerveaux n’étaient couverts par aucun crâne et exhibaient leurs palpitantes veines. Pour compléter ce charmant tableau, un visage sans nez et des oreilles pointues s’imposaient à la vue des combattants d’élite. Ceux-ci chuchotaient nerveusement :

- Kyabetsu, qu’est-ce qu’on fait ?!
- J’aurais bien une idée… mais…
- Ce n’est pas le moment de douter ! Ne réfléchis pas et agis !
- O… OK !

Le plus âgé des combattants, hésitant, tendit les bras joints vers les démons miniatures mais ne les impressionna pas le moins du monde. Au contraire, ils narguaient les saiyens en s’approchant d’eux pas à pas, sans se presser. Légèrement vexé, Kyabetsu se renfrogna et, d’un coup sec, dirigea ses membres supérieurs vers le sol. L’assemblée grouillante s’arrêta net. Un kikoha sortit alors sèchement des paumes du guerrier et plongea dans la terre boueuse, aveuglant de par ses éclaboussures visqueuses les êtres les plus proches. Les plus éloignés étaient plutôt relâchés, hors de portée de l’attaque. Enfin, c’est ce qu’ils croyaient… La sphère de ki fit irruption sous leurs pieds et désintégra deux de leurs congénères, trop collés l’un à l’autre. Le jeune homme aux cheveux désordonnés cria, déterminé :

- Kikoha chika !!!

Une salve de boules lumineuses suivi alors la voie tracée par la première attaque, qui avait fait ses preuves. Les cibles sautillantes décidèrent pour la plupart d’emprunter la voie des airs mais…

- Supâ ten’pa kioko !

Courga les prenait en sandwich d’une impressionnante vague d’énergie bleue. Pris entre deux feux, les monstres couleur chlorophylle ne savaient plus ou donner de la tête et, en proie à la panique, piaillaient. Les plus courageux ne voulaient pas mourir d’une pathétique passivité et se lancèrent donc à l’assaut du terrible duo. La plupart tombèrent comme des mouches mais l’un d’eux réussi à slalomer jusqu’à Kyabetsu. À la grande surprise de ce dernier, la créature s’agrippa à lui et le serra de ses frêles mais non moins résistants membres. Malgré sa puissance supérieure, le saiyen ne pouvait se libérer, son ennemi semblait fait d’une sorte de chardon collant. L’œil du parasite pétilla alors, annonçant une surprise de bien mauvais goût. Son corps devint rouge et, aussitôt après… explosa en un feu d’artifice d’organes internes et de membres déchiquetés ! À des dizaines de mètres à la ronde, la planète marécageuse était désormais plongée dans une épaisse fumée.

La brume voilait les pensées de Bajirisuku. Toutes sortes de scenarii se bousculaient, s’entrechoquaient. Si fort qu’ils s’annihilaient les uns les autres et ne formaient qu’une soupe d’idées confuse et de stress accru. Toumorokoshi, d’habitude détaché malgré les imprévus et dangers potentiels, était cette fois-ci crispé, enfermé dans les données indiquées par son détecteur. Il ne voyait plus rien d’autre… Il fallait pourtant avancer, le temps n’avait pas de scrupule et ne les attendait pas. Ils furent sortis brutalement de leur torpeur, réveillés par la mise en route du tapis roulant. Toumo sourit de façon tout aussi surprenante, fiévreusement, et dit :

- Tiens, tiens ! Si ce n’est pas une invitation, ça y ressemble beaucoup ! Baji, tu ne sens pas tes cellules de saiyen frémirent de curiosité ? Quitte à mourir, autant que ça soit après une flamboyante surprise-party ! Non ?

- Euh… Je ne l’aurais pas dit comme ça mais, de toute façon, on a pas le choix… pensa le saiyen boiteux, suivant timidement son compère.

Concentrés, ils se fièrent à leur ouïe pour trouver le fameux mécanisme grinçant, qui allait leur permettre d’accéder à la salle d’embarquement et, par la même occasion, à leur bien aimable visiteur. Bien décidés à affronter le danger, ils ne se laissèrent pas porter par les rouleaux de fer chaînés mais, au contraire, y ajoutèrent la vitesse de leurs foulées. Ils serpentèrent ainsi, durant leur ascension, entre cadavres de fer, vaisseaux balafrés et gigantesques fils électriques provenant du plafond. Ils traversèrent celui-ci, par une petite ouverture et, sans transition, arrivèrent à destination. Bajiri sursauta. Un subalterne était là, dressé face à lui. Il le fixait ! Mais son regard était étrange, vide… sans vie. Il s’écroula alors, le dos fumant.

- Mais… mais… qui a bien pu faire ça ?! Il n’y a personne ! s’exclama Bajiri
- Personne ?! Tu en es sûr ? lui répondit une voix suave mais non moins glaçante.

Un visage bleuté, venu de nulle part, venait de s’immiscer entre celui de Toumo et son ami. Ce fut si brusque et délicat à la fois que le duo, décontenancé, ne trouve plus la force de bouger un oeil. L’atmosphère lourde empêchait le moindre mouvement ; seule la sueur se promenait librement dans le dos des frères d’arme. Les bruits de pas de l’intrus raisonnèrent alors dans leurs têtes. Il se dévoila progressivement à eux. De souples chaussures brune, de larges bas mauves, une tunique courte de même couleur et, surtout, une natte verte qui se balançait librement. Comme pour mieux hypnotiser les deux pauvres saiyens impuissants. L’homme quelque peu efféminé les toisa de ses yeux fins, un sourire mauvais au bord des lèvres. D’une voix mielleuse, il daigna leur adresser la parole :

- Si je comprends bien vos coutumes de sauvages, les êtres inférieurs sont envoyés sur d’autres planètes. N’est-ce pas ?
- …
- Je vois, vous êtes timides… En tout cas, vous n’avez pas été contraints à partir, je suppose que vous valez un peu mieux que les autres…
- T… tais-toi ! osa Toumo
- Oh oh ! Mais dis donc, c’est que ces singes là ont la parole ! Et du caractère en plus !

Les lèvres de l’être bleuté n’eut, l’espace d’un instant, plus le loisir de déverser des moqueries, le poing du saiyen d’élite venait de s’y planter. Le temps de cligner des yeux, ses phalanges étaient à nouveau dans le vide. Par contre, une bouche ensanglantée était désormais collée à l’oreille de Toumorokoshi. Elle y susurra :

- Pas mal pour un minus de ton espèce ! Finalement, mon maître pourrait être intéressé…

L’inconnu androgine s’écarta de quelques mètres, puis passa sensuellement la langue sur sa blessure fraiche. Il plissa de malice ses yeux violets et salua les deux saiyens.

- À bientôt !

À peine eut-il prononcé ses mots qu’il n’était déjà plus qu’un point lumineux dans le ciel. Visiblement, cette créature n’avait pas besoin de vaisseau pour visiter d’autres mondes…

Dans l’un d’eux, aux bas immeubles cylindriques apaisés par la verdure environnante, un homme sifflotait. Au bord d’un lac, bordé étrangement par des tours de bitume, Coco lisait un épais livre relié. La tranche rouge de celui-ci était assorti à la tunique flamboyante du saiyen. Ainsi habillé, même un myope par temps de brouillard ne pouvait le rater… Mais aucun danger à l’horizon, les pensées du lecteur flânaient à leur guise. Elles passèrent du papier au ciel, lorsqu’il s’allongea dans la courte herbe. L’esprit et le corps se laissèrent alors bercer par le chant des oiseaux, la poitrine se soulevait régulièrement ; il n’y avait pas de rythme plus serein. L’exilé semblait avoir trouvé sa place. Pourtant, ses doigts ne restèrent pas longtemps immobiles, ils coururent sur le sol à la recherche… d’une dague ! Coco s’en saisit promptement et envoya l’objet immédiatement vers le point d’eau. Aussi surprenant que cela puisse paraître, l’arme revint vers son propriétaire, tel un boomerang. Elle rapportait un poisson embroché et encore tout frétillant, qui ne tarda pas à être cuit par un kikoha d’école, avant d’être porté à la bouche impatiente du dormeur affamé.

- « Une maison n'est pas un chez-soi à moins qu'il n'y aie de la nourriture et du feu pour l'esprit aussi bien que pour le corps », cita le saiyen.
- Je crains que tu ne doives pourtant encore changer de logis ! répondit un poisson se tortillant dans l’herbe.

Coco, à peine surpris, ouvrit un œil. Il avait sentit une présence et avait préparé son imagination à toute éventualité, mais était tout de même légèrement interloqué. Il s’appuya sur son avant-bras droit et demanda :

- Réponds-tu aux supplications muettes d’une solitude que je ne ressens plus ? Es-tu l’illusion qui arrive trop tard et vient me narguer ?
- Non, rien de tout cela ! Je suis un être de chair et de sang et je viens te chercher ! répondit l’animal, qui s’avérait être... Ukero !
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar Kame-boy le Jeu Déc 09, 2010 0:06

J'espère que ce passage plaira aussi à Pigeta, Machemont et Ao-Tora, dont je n'ai pas de nouvelles depuis quelques chapitres :wink:

Chapitre X :

La fumée se dissipait peu à peu, laissant le champs de bataille retrouver son aspect initial, fait de boue et de végétation inhospitalière. Le duo d’élite ne bougeait plus. Blessés, superficiellement, Courga et Kyabetsu restaient jambes fléchies, prêts à bondir à la moindre manifestation hostile. Pourtant, il n’y avait plus aucune trace de l’ennemi ; les rires sadiques et craquements de pattes semblaient avoir été engloutis par les marécages environnants. Le monstre kamikaze avait creusé la tombe de ses propres congénères.

- Ouf… Ils n’étaient pas bien puissants mais quand même du genre coriace ces petits machins ! Je suis content de ne plus voir leur sale tronche ! souffla un Kyabetsu soulagé.

Courga ne répondit pas. Il sentait une présence… animale ! Ses jugulaires se contractaient nerveusement, à intervalles réguliers. Elles accompagnaient le rythme cardiaque de l’adolescent, ainsi que celui de foulées raisonnantes. Un être approchait, se trouvait peut-être même déjà en face d’eux mais, étrangement, n’était pas visible. Un regard de pierre apparu alors dans les têtes du duo, tout d’abord flou. Puis net. Pour finir par être bien trop présent, encombrant, provoquant des vertiges. Les combattants se tinrent l’un à l’autre pour ne pas flancher, réussirent à tenir en équilibre, engagèrent ensemble un combat psychique contre cette vision envahissante. Ce bras de fer intérieur déboucha sur une apparition plus externe : en face d’eux se tenait désormais un corps translucide, aux allures de spectre. Le neveu du roi expédia quelques vagues d’énergie vers cette apparition, obligeant celle-ci à se mouvoir. Chaque attaque rendait l’être plus palpable et concret. Progressivement, on pu se rendre compte de sa masse musculaire, digne d’une sculpture grec, ainsi que de la texture nervurée de sa veste. Celle-ci était verte, courte mais ample et, de sa capuche, cachait le visage de l’humanoïde. Ce dernier, tout en évitant les tirs avec une souplesse de chat, semait des graines par poignées entières, semait la mort !

- Saibaimen ! cria t-il d’une voix profonde, gutturale.

Il baptisait ainsi le fruit de sa récolte, ses plantes aux oreilles pointus et gloussements cruels. Visiblement, le duo saiyen n’était pas ravi de les revoir, c’est le moins que l’on puisse dire…

Irrité par cette visite impromptue, Coco écoutait tout de même le saiyen aux cheveux blancs. Concentré, il accompagnait chaque phrase intéressante par une inclinaison de tête.

- Il n’est pas nécessaire d’avoir des pouvoirs magiques lorsqu’on sait utiliser les plantes ! Les chamans de la planète Hira m’ont tout appris, m’ont accueilli dès que j’ai posé un pied sur leurs terres. Ils ne m’ont pas regardé de travers à tout bout de champs, comme c’était le cas sur cette foutue Végéta ! J’ai d’ailleurs quitté celle-ci à l’âge de 6 ans, à l’aide de tsufuls compréhensifs, sans aucun regret… Mais quand ce Courga est venu explorer le territoire de mon peuple d’adoption, j’ai sentit qu’il ce tramait une histoire pas nette, j’ai dû faire quelques allers-retours… Il m’est alors apparu clairement que le roi mettait en place des plans de colonisation et qu’Hira était en tête de liste. Ta nouvelle planète aussi, sinon ils ne t’y auraient pas envoyé ! Tu n’es pas à l’abris ici !
- Je te remercie de cette mise en garde, mais en quelle honneur te suivrai-je ? Je suis tout à fait capable de me défendre et de trouver des alliés, rétorqua Coco.
- Tu sais, mon mécène n’est pas un enfant de cœur. Moi non plus d’ailleurs… Il pourrait très bien faire sauter ta chère planète, si tu ne coopères pas !
- La liberté vaut bien qu’on lui sacrifie sa vie !
- Je ne suis pas sûr que tout le monde partage cet avis, répondit Ukero, balayant malicieusement du regard les immeubles alentours. Ne sois pas égoïste !
- Je vais te suivre… mais ne prends pas cela pour une réponse affirmative. Je me garde le loisir de te fausser compagnie si l’envie m’en prend. Je reste indépendant.
- Ca me convient… pour l’instant…

La situation n’était pas tenable ! Mille contre deux, on avait déjà vu plus équitable… Courga, un genou à terre, n’évitait plus qu’une minorité de coups. Son collègue, lui, tuait des dizaines d’ennemis à chaque boule de feu envoyée, mais au prix de terribles efforts. L’inconnu à la capuche observait la scène froidement, avec détachement. Parfois, il regardait ailleurs, comme si un autre spectacle attirait soudainement son attention. Ses absences furent de plus en plus fréquentes, à mesure que le duo d’élite disparaissait sous une nuée de monstres verts. Il finit par s’en désintéresser totalement et leva même la tête au ciel. Il avait une bonne raison… un point lumineux y grossissait à vue d’œil, un engin approchait. Ce dernier semblait destiné à atterrir en ce lieu, puisque l’homme masqué était à quelques centimètres près sur sa trajectoire. Il n’eu pourtant pas besoin de bouger, ses pieds ne furent que caressés par la bordure du cratère, formé après percussion entre l’appareil et le sol. La crevasse boueuse accueillait un petit vaisseau spatial de forme ronde, argenté. En un chuintement, la porte du cockpit s’ouvrit, laissant apparaître une légère botte blanche, typiquement saiyenne. Elle était tachetée de sang, sur le dessus.

- Te voilà enfin ! fit une voix grave, grinçante de satisfaction.

En effet, le semeur de plantes mortelles savait parfaitement qui était ce voyageur blessé. Celui-ci se leva avec peine, ne pouvant s’appuyer sur sa jambe gauche. Il avait les cheveux courts, un « v » sur le front, une tunique noire… Il s’agissait de Bajiri. L’évadé fit quelques pas, puis s’arrêta net. Il venait de sentir un regard de fauve posé sur lui. Le regard sauvage de :

- Ginseng !
- C’est… c’est votre nom ? demanda le voyageur, intimidé.
- Oui, j’ai été baptisé ainsi sur Vegeta. Il faut croire que j’étais destiné à être recherché…

Bajirisuku, décontenancé, tourna nerveusement la tête en tous sens. Son cœur s’arrêta de battre l’espace d’un seconde lorsqu’il vit le duo d’élite allongé, corps recouverts de plaies et de pois noirs.

- Qu’est-ce qui leur est arrivé ?!
- Oh, ce n’est rien… C’est juste une petite bagarre qui a mal tournée.
- J’espère qu’ils ne sont pas morts.
- Ne t’inquiètes pas, mes saibaimen savent se contrôler. Tu remarqueras d’ailleurs qu’ils sont retournés à l’état de graine.
- Des graines ? Mais vous parliez de combattants, n’est-ce pas ?!
- Je comprends que tu sois perdu… Je vais tout t’expliquer, sois patient, répondit calmement Ginseng
- Vous êtes le seul habitant de cette planète ?
- Je vais répondre à tes questions… mais avant je dois faire une vérification importante !
- Hein ?!

Le maître des plantes sur pattes pointa alors vivement son doigt vers Kyabetsu et Courga. Un rayon d’énergie en sortit, sifflant toute son impatience de toucher la cible. Bajiri n’eu pas le temps de réfléchir et s’interposa instinctivement. Mais il ne fut pas touché. Son fameux bouclier protecteur s’était formé, de son dôme veillait sur trois saiyens. L’attaque, pourtant fine, s’obstinait malgré tout et creusait sans relâche la paroi de ki. L’évadé serrait les dents. Il sentait ses cellules de guerrier singe bouillir en lui. Cependant, rien n’y faisait, le rayon continuait sa lente mais inexorable progression. Bajiri tenta alors le tout pour le tout… en désactivant son bouclier ! Cette action eu pour effet de changer brutalement la trajectoire de l’attaque, qui avait adaptée le sens de sa pression aux bords incurvés. Le pied gauche de Bajiri fut touché ; il n’avait pas besoin de cela… Mais, étrangement, la technique de Ginseng s’éteignit, ne chercha pas à transpercer la peau du combattant. Celui-ci souffrait mais fut soulagé de voir que ses congénères n’avaient rien. Après avoir vérifié qu’ils respiraient, il s’approcha de l’ennemi en boitant gravement, genoux fléchis et mains hautes. Hors de question de se laisser surprendre.

- Du calme le héros, tu as passé le test…

Bajiri, surpris, ne su quoi répondre. Il ne relâcha pourtant pas sa garde.

- Je n’avais pas l’attention de les tuer… Je voulais voir ce que tu avais dans le cœur et dans le ventre. Me voilà fixé !
- Soyez plus clair ! Qu’est ce que vous me voulez ?!
- Suis moi !

L’homme mystérieux plongea la main dans sa large veste et jeta une poignée de poudre brune en direction des guerriers inconscients. Puis, sans transition, se saisit de l’avant-bras du fuyard et l’entraîna dans son sillage. Derrière lui, il laissait des traînées de mixtures et graines multicolores, au rythme des changements de cadre. En effet, les deux saiyens semblaient passer d’une dimension à une autre, passer à travers les contours floues de réalités menant à des voisines tout aussi trompeuses. Dans un contexte fait d’arbres tordus et d’herbe à la pousse hésitante, ils croisèrent un homme en tailleur, pointes des cheveux sensibles à la moindre manifestation venteuse. Tamato s’entraînait. Il reconnu Ginseng et, promptement, se décida à le suivre. Après quelques minutes, ou bien quelques heures, tant la notion de temps était obsolète dans une situation pareil, ils arrivèrent au sommet d’une plaine verte, bien familière. Elle portait encore les stigmates de la colère céleste. Cette haine électrique qui avait fraternellement accompagnée celle d’un exilé déchiré, abandonné. La vue n’était pourtant plus tout à fait la même, une imposante carcasse métallique y avait trouvé sa place. Le vaisseau en question était une sphère argentée, parcourue de-ci de-là par de légères encoches et formes cunéiformes. Une écriture ? En tout les cas, en conséquence, l’objet avait une quasi infinité d’apparences, autant qu’il y avait d’angles pour le regarder. Deux hommes attendaient à proximité, l’un d’eux portait une tunique rouge flamboyante et attira ainsi immédiatement le regard de Bajiri.

- Qui est-ce ? demanda t-il, quelque peu inquiet.
- Tes futurs collègues ?
- Comment ça ?!
- Rassures toi, nous avons tout notre temps. Tu comprendras bien assez vite… glissa un Ginseng serein.
- Comment peux-tu dire cela alors que tu es recherché ?! L’équipe spéciale du roi doit déjà être à la recherche de leurs équipiers vaincus et ils ne vont pas tarder à suivre ta trace.
- Ma trace ? Tu vois une trace, se moqua le guide, l’air de rien.
- Ne les sous-estime pas. Ca pourrait te coûter cher.
- Tu sais combien de temps nous avons mis pour arriver jusqu’ici ?
- Je dirais 1 mois, répondit Tamato.

Bajiri, qui ne l’avait ni vu ni sentit, sursauta. L’information surprenante qu’il venait d’entendre amplifia sa réaction.

- Un… un mois ?! répéta l’évadé, incrédule.
- Tu sais, les plantes peuvent faire des miracles. Avec de bons dosages, une année peut paraître une journée, et vice-verca ! déclara Ginseng.
- Lorsqu’on est du côté de la nature, que l’on sait collaborer avec elle, les barrières temporelles sont bien minces.
- Tu apprends vite Tamato, Ukero a bien fait de te recruter.
- Merci professeur ! lâcha l’exilé aux grand yeux.
- En tout cas, j’en connais quelques uns qui, à l’heure actuelle, doivent en baver…

En effet, pendant ce temps (si l’on peut se permettre cette expression), l’équipe spéciale au complet errait dans un environnement boueux.

- Mais où sont donc passés ces foutues capsules ?! s’exclamaient Potatoes et Kyabetsu en chœur.
"L'histoire de Mr Satan", fanfic de 2010 à présent terminée (et reconstituée suite à un hackage en 2011), espère vous plaire et n'aurait rien contre quelques commentaires ;)
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"Le Chaos pour racines" est une fanfic qui met en scène 10 "avatars" créés par des membres du forum. J'espère qu'elle plaira aussi aux autres forumeurs ^^
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar Nimitz le Jeu Déc 09, 2010 0:22

les équipes commencent a se former on dirait =D

haaa j'aime de plus en plus,l'action prend de la vitesse et ca me plait ^^
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar BlackYohko le Jeu Déc 09, 2010 11:33

Chapitre 10 en force :D pardon pour le chapitre précédent j'ai oublier de poste :oops: sinon comme la dit nimitz les équipe se forme et tous et presque mis en place la guerre va pouvoir commençai :twisted:
Lorsque la mort sonne à ta porte ouvre lui avec le sourire car on ne voie la mort qu'une fois.
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar Axaca le Sam Déc 11, 2010 14:19

toujours aussi agréable a lire bien que je ne mis retrouve plus avec ces noms...
"Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !"
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar Kame-boy le Sam Déc 11, 2010 14:37

Peut-être qu'en relisant tout depuis le début, d'une traite, ça permettrait de mieux imaginer les persos. Sinon, je pensais à quelques illustrations nous montrant les personnages. L'un d'entre vous a t-il un bon niveau en dessin ? ;)
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar Rusk le Sam Déc 11, 2010 14:54

C'est ce que j'ai fait, et sans coupure de lecture on s'y retrouve bien plus facilement avec tous ces nouveaux noms ^^

En tout cas j'adore de plus en plus, les équipes sont maintenant au complet il me semble, on va voir comment tu gères la suite de l'histoire maintenant que les présentations sont faites :D
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Re: L'histoire dont vous serez les héros

Messagepar Kame-boy le Mar Déc 14, 2010 14:53

J'espère gérer convenablement ^^ En tout cas, la fic étant destinée à être courte, ça va être dense. Accrochez vous ! :mrgreen:
Au fait, je vous ai envoyé le chapitre XI il y a 2 jours, vous l'avez reçu ?
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