Le paradis des super saïyans

Cette fanfiction se passe juste après la défaite de Cell, plus précisément elle suit directement la "saga du tournoi de l'au-delà". On y suit les aventures de Son Gokû dans le monde des morts, en particulier comment il a maîtrisé les différents niveaux du SSJ...
Concernant le canon de la fanfic, il est composé de :
- Dragon Ball (le manga)
- La "saga du tournoi de l'au-delà" (épisodes 195-199 de l'anime DBZ)
- Dragon Ball Multiverse
Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture...
Chapitre 1 - Retrouvailles
Quelques jours avaient passé depuis la fin du tournoi de l’autre monde. Son Gokû et Païkuhan avaient bien entendu repris l’entraînement, chacun de son côté, avec leurs maîtres Kaïo respectifs. Parfois, Olibu se joignait à Son Gokû pour un sparring amical, mais il s’occupait aussi beaucoup de l’entraînement des autres disciples du Kaïo du Nord. Cette fois là, Son Gokû s’entraînait seul avec maître Kaïo, qui lui avait concocté un programme de renforcement musculaire infernal. Il suait à grosses gouttes, alors qu’il entamait sa centième série de dix-mille pompes sur un doigt, en poirier, avec des bottes lestées au maximum et interdiction de se transformer en super saïyan. Bubbles et Gregory l’encourageaient en espérant secrètement qu’il finirait par flancher. C’est le moment que choisit Olibu pour interrompre le martyre du saïyan ; il était porteur d’un message qui lui était destiné :
« Désolé d’interrompre ton entraînement, Son Gokû, mais apparemment une de tes connaissances voudrait discuter avec toi, il t’attend dans le salon principal de nos quartiers, dit le colosse.
- Une de mes connaissances ? Tu veux dire qu’un de mes amis terriens vient de mourir ? interrogea le guerrier, inquiet.
- Hein ? Non, non, ce n’est pas un nouvel arrivant. En fait ça fait un moment qu’il attend l’occasion de pouvoir te rendre visite.
- Qui ça peut bien être ? » fit Gokû en se levant, impatient de savoir qui il pouvait bien connaître de longue date dans l’autre monde.
Les deux guerriers se rendirent donc ensemble aux quartiers du Kaïo du Nord, où les attendait le mystérieux visiteur. Gokû n’avait aucune idée de qui il pouvait s’agir, il était curieux de rencontrer cette personne qui disait le connaître. Arrivés au salon principal, ils virent une silhouette de petite taille, qui se tenait devant la baie vitrée, observant l’extérieur. L’individu portait des vêtements amples de style traditionnel, et gardait les poings joints dans son dos. Son Gokû reconnût enfin son visiteur et poussa une exclamation de surprise, ému aux larmes, tandis que le vieux Son Gohan faisait volte-face pour se tourner vers son petit-fils adoptif. Ils tombèrent dans les bras l’un de l’autre.
« Grand-père, c’est bien toi ! Dit Son Gokû, la voix tremblante d’émotion.
- Eh oui, c’est moi… Ça me fait plaisir de te revoir enfin, mon garçon.
- À moi aussi… ! Ça fait longtemps, au moins dix ans non ?
- Dix-sept ans, pour être exact… La dernière fois que je t’ai vu, c’était chez Mamie Voyante, à l’époque tu m’avais combattu pour qu’elle accepte de te révéler où se trouvaient les Dragon Ball. J’avais été très impressionné par tes progrès. Aujourd’hui, je ne sais même plus quoi dire tant je suis fier de toi. Regarde toi ! conclût-il, admiratif.
- Ah oui, je m’en souviens, tu avais été autorisé à revenir sur Terre pour une journée… C’était un combat super sympa, et j’étais vraiment content de te revoir ! C’est vrai qu’il s’en est passé des choses depuis, et j’ai pas mal gagné en force.
- J’ai vu ça… J’étais dans le public lors du tournoi de l’autre monde, j’ai pu voir tes exploits face à Païkuhan ! C’était admirable de combiner comme tu l’as fait le super saïyan et le kaïôken. Maintenant tu évolues dans les sphères intergalactiques, tu es presque le guerrier le plus fort de l’univers !
- Merci grand-père ! Dommage que ça n’ait pas suffi à battre Païkuhan…
- Hahaha, c’est vrai que le Grand Kaïo vous a déclarés perdants ex-aequo à cause de cette histoire de hors limites ! Ne t’en fais pas trop pour ça, je crois deviner qu’il a fait ça seulement pour éviter d’avoir à t’entraîner… Mais tu as clairement surpassé Païkuhan, à la fin du match, c’est bien toi qui menais. Si tu veux mon avis, tu es tellement fort que même le Grand Kaïo n’a pas grand-chose à t’enseigner ! Mais il ne l’aurait jamais admis publiquement… Il me fait penser à Muten Roshi senseï parfois. Quoi que vu ton niveau je suppose que notre Kame Sennin a renoncé à faire illusion il y a bien longtemps… Comment va-t-il d’ailleurs ? Toujours retiré sur son île paradisiaque ? interrogea le vieillard.
- Toujours… répondit le saïyan en souriant avec nostalgie. Kulilin lui rend visite régulièrement, il se porte toujours aussi bien. Il enchaîna, soudain l’air grave : Au fait grand-père… Je crois que j’ai des excuses à te faire. Vegeta m’a fait comprendre la vérité sur ta mort… Tout est ma faute. J’aurais dû t’écouter et ne pas regarder la lune. Je suis sincèrement désolé… termina-t-il, la voix brisée.
- Bah, ne t’en fais pas pour moi, répondit le vieil homme. C’était un accident, je sais que tu ne l’as pas fait exprès. Et puis, je suis tout aussi fautif, j’aurais dû faire le lien avec ta queue de singe, et te la couper. De toute façon, quand bien même ça ne serait pas arrivé, je n’ai jamais eu le don de longévité de Kame Sennin, aujourd’hui je serais probablement mort quand même, d’une manière ou d’une autre ! conclût-il en riant.
- … Merci de me pardonner. C’est important pour moi… La première fois que je me suis transformé en super saïyan, j’ai eu peur de perdre à nouveau le contrôle de moi-même et de blesser mon fils, à qui j’ai donné ton nom. J’aimerais tellement te le présenter ! Lui aussi est devenu un super saïyan, même s’il n’aime pas se battre. J’ai énormément de choses à te raconter… ! s’exclama Son Gokû, que cette rencontre impromptue faisait retomber en enfance.
- J’imagine, j’imagine, répondit son grand-père avec bienveillance. Mais j’ai cru comprendre que tu sortais tout juste d’entraînement… Que dirais-tu de me raconter ce qui t’est arrivé ces dix-sept dernières années autour d’un bon repas ? Proposa-t-il avec un clin d’oeil.
- Oh oui, je meurs de faim ! avoua le saïyan avec enthousiasme. »
Le vieil homme s’en doutait bien, il n’avait rien oublié de l’appétit gargantuesque de son petit-fils… Ils partirent donc pour le réfectoire du Kaïo du Nord, après avoir remercié Olibu d’avoir permis ces retrouvailles.
Concernant le canon de la fanfic, il est composé de :
- Dragon Ball (le manga)
- La "saga du tournoi de l'au-delà" (épisodes 195-199 de l'anime DBZ)
- Dragon Ball Multiverse
Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture...
Chapitre 1 - Retrouvailles
Quelques jours avaient passé depuis la fin du tournoi de l’autre monde. Son Gokû et Païkuhan avaient bien entendu repris l’entraînement, chacun de son côté, avec leurs maîtres Kaïo respectifs. Parfois, Olibu se joignait à Son Gokû pour un sparring amical, mais il s’occupait aussi beaucoup de l’entraînement des autres disciples du Kaïo du Nord. Cette fois là, Son Gokû s’entraînait seul avec maître Kaïo, qui lui avait concocté un programme de renforcement musculaire infernal. Il suait à grosses gouttes, alors qu’il entamait sa centième série de dix-mille pompes sur un doigt, en poirier, avec des bottes lestées au maximum et interdiction de se transformer en super saïyan. Bubbles et Gregory l’encourageaient en espérant secrètement qu’il finirait par flancher. C’est le moment que choisit Olibu pour interrompre le martyre du saïyan ; il était porteur d’un message qui lui était destiné :
« Désolé d’interrompre ton entraînement, Son Gokû, mais apparemment une de tes connaissances voudrait discuter avec toi, il t’attend dans le salon principal de nos quartiers, dit le colosse.
- Une de mes connaissances ? Tu veux dire qu’un de mes amis terriens vient de mourir ? interrogea le guerrier, inquiet.
- Hein ? Non, non, ce n’est pas un nouvel arrivant. En fait ça fait un moment qu’il attend l’occasion de pouvoir te rendre visite.
- Qui ça peut bien être ? » fit Gokû en se levant, impatient de savoir qui il pouvait bien connaître de longue date dans l’autre monde.
Les deux guerriers se rendirent donc ensemble aux quartiers du Kaïo du Nord, où les attendait le mystérieux visiteur. Gokû n’avait aucune idée de qui il pouvait s’agir, il était curieux de rencontrer cette personne qui disait le connaître. Arrivés au salon principal, ils virent une silhouette de petite taille, qui se tenait devant la baie vitrée, observant l’extérieur. L’individu portait des vêtements amples de style traditionnel, et gardait les poings joints dans son dos. Son Gokû reconnût enfin son visiteur et poussa une exclamation de surprise, ému aux larmes, tandis que le vieux Son Gohan faisait volte-face pour se tourner vers son petit-fils adoptif. Ils tombèrent dans les bras l’un de l’autre.
« Grand-père, c’est bien toi ! Dit Son Gokû, la voix tremblante d’émotion.
- Eh oui, c’est moi… Ça me fait plaisir de te revoir enfin, mon garçon.
- À moi aussi… ! Ça fait longtemps, au moins dix ans non ?
- Dix-sept ans, pour être exact… La dernière fois que je t’ai vu, c’était chez Mamie Voyante, à l’époque tu m’avais combattu pour qu’elle accepte de te révéler où se trouvaient les Dragon Ball. J’avais été très impressionné par tes progrès. Aujourd’hui, je ne sais même plus quoi dire tant je suis fier de toi. Regarde toi ! conclût-il, admiratif.
- Ah oui, je m’en souviens, tu avais été autorisé à revenir sur Terre pour une journée… C’était un combat super sympa, et j’étais vraiment content de te revoir ! C’est vrai qu’il s’en est passé des choses depuis, et j’ai pas mal gagné en force.
- J’ai vu ça… J’étais dans le public lors du tournoi de l’autre monde, j’ai pu voir tes exploits face à Païkuhan ! C’était admirable de combiner comme tu l’as fait le super saïyan et le kaïôken. Maintenant tu évolues dans les sphères intergalactiques, tu es presque le guerrier le plus fort de l’univers !
- Merci grand-père ! Dommage que ça n’ait pas suffi à battre Païkuhan…
- Hahaha, c’est vrai que le Grand Kaïo vous a déclarés perdants ex-aequo à cause de cette histoire de hors limites ! Ne t’en fais pas trop pour ça, je crois deviner qu’il a fait ça seulement pour éviter d’avoir à t’entraîner… Mais tu as clairement surpassé Païkuhan, à la fin du match, c’est bien toi qui menais. Si tu veux mon avis, tu es tellement fort que même le Grand Kaïo n’a pas grand-chose à t’enseigner ! Mais il ne l’aurait jamais admis publiquement… Il me fait penser à Muten Roshi senseï parfois. Quoi que vu ton niveau je suppose que notre Kame Sennin a renoncé à faire illusion il y a bien longtemps… Comment va-t-il d’ailleurs ? Toujours retiré sur son île paradisiaque ? interrogea le vieillard.
- Toujours… répondit le saïyan en souriant avec nostalgie. Kulilin lui rend visite régulièrement, il se porte toujours aussi bien. Il enchaîna, soudain l’air grave : Au fait grand-père… Je crois que j’ai des excuses à te faire. Vegeta m’a fait comprendre la vérité sur ta mort… Tout est ma faute. J’aurais dû t’écouter et ne pas regarder la lune. Je suis sincèrement désolé… termina-t-il, la voix brisée.
- Bah, ne t’en fais pas pour moi, répondit le vieil homme. C’était un accident, je sais que tu ne l’as pas fait exprès. Et puis, je suis tout aussi fautif, j’aurais dû faire le lien avec ta queue de singe, et te la couper. De toute façon, quand bien même ça ne serait pas arrivé, je n’ai jamais eu le don de longévité de Kame Sennin, aujourd’hui je serais probablement mort quand même, d’une manière ou d’une autre ! conclût-il en riant.
- … Merci de me pardonner. C’est important pour moi… La première fois que je me suis transformé en super saïyan, j’ai eu peur de perdre à nouveau le contrôle de moi-même et de blesser mon fils, à qui j’ai donné ton nom. J’aimerais tellement te le présenter ! Lui aussi est devenu un super saïyan, même s’il n’aime pas se battre. J’ai énormément de choses à te raconter… ! s’exclama Son Gokû, que cette rencontre impromptue faisait retomber en enfance.
- J’imagine, j’imagine, répondit son grand-père avec bienveillance. Mais j’ai cru comprendre que tu sortais tout juste d’entraînement… Que dirais-tu de me raconter ce qui t’est arrivé ces dix-sept dernières années autour d’un bon repas ? Proposa-t-il avec un clin d’oeil.
- Oh oui, je meurs de faim ! avoua le saïyan avec enthousiasme. »
Le vieil homme s’en doutait bien, il n’avait rien oublié de l’appétit gargantuesque de son petit-fils… Ils partirent donc pour le réfectoire du Kaïo du Nord, après avoir remercié Olibu d’avoir permis ces retrouvailles.