L'Union Sacrée

Bonjour à tous,

après de longues années d'hésitation et de paresse, je me lance dans ma première fan-fiction. Je vais essayer de sortir au moins un chapitre de ~7.000 caractères toutes les deux semaines, avec l'espoir de tenir pour au moins 50 chapitres et de couvrir les points clef de mon histoire. Je sais globalement ce que je veux faire et où je veux aller, mais je ne sais pas du tout comment raconter.
Pour le style, je veux essayer de faire une narration et des dialogues "implicites", donc sans avoir à définir explicitement tous les mots utilisés et sans forcer les personnages à se présenter devant les gens qu'ils connaissent, mais tout en faisant en sorte à ce que les lecteurs comprennent autant que possible.
Pour cette fanfic, j'ai inventé/utilisé des noms de race mi-animales/mi-humaines comme "Chienmain" (chien+humain), "Chamain" (chat+humain), Elemain (éléphant+humain),... Le nom de race devrait indiquer à quoi ressemblent le personnage en questions.

Les critiques sont les bienvenues !


Référencement:
- Nom: Les champions de Geolia *[longue: 50 à 200 chapitres, en cours]*
- Type: Réinvention
- Auteur: Dr.642
- Genre: action, aventure
- Protagonistes: principalement la Z-team (Piccolo, Roshi, Goku, Yamcha, Krillin)
- Synopsis: La trame est similaire à celle Dragonball (+Z), mais les évènements sont ajustés, avec de nouveaux personnages secondaires. La personnalité des personnages et l'utilisation du Ki sont similaires au manga original, mais je me permets autant de divergences que je le souhaite.

Si tout se passe bien, il y aura 5 à 7 arcs. Pour rester uniforme en longueur, je vise les ~5.000 caractères pour les prologues et les ~7.000 caractères pour les chapitres. Cela semble un peu court à posteriori, on verra si je m'y tiendrait encore dans 10 chapitres. Sur ce, bonne lecture !

Arc 1 - Quêtes & Rencontres

1.0 - Prologue


Dans le plus grand laboratoire de la ville de West-City, le professeur Patrick Brief poursuivait ses recherches en pleine nuit. L’homme de 42 ans avait les cheveux courts de couleur lilas, une longue blouse blanche et d’immenses lunettes à bordure noire qui contrastaient avec sa relativement petite taille. Dans l’une de ses multiples machines se tenait l’un de ses plus sensationnels sujets de recherche. Un objet d’apparence assez banale mais émanant une énergie magique. Le professeur envoyait des signaux et notait la réaction de la sphère.

- «Papa, tu n’es pas encore couché ? »
- «Toi non plus apparemment, ma petite Bulma. Je suis actuellement en train d’étudier un objet pour le moins très intrigant. »

Une jeune fille de quinze ans venait d’arriver. Elle avait de long cheveux de la même couleur que son père et était vêtue d’une chemise de nuit mauve à étoiles. La demoiselle avait parfois du mal à s’endormir et avait pris l’habitude de rendre visite à son père dans son laboratoire. Car après tout, le laboratoire EST le domicile familial, les collègues du professeur travaillant dans une zone annexe à la maison. Elle s’approcha de son père et aperçut la boule orangée.

- «Qu’est ce que c’est ? »
- «Eh bien, pour être tout à fait honnête, je n’en sais trop rien. Il ne ressemble à rien que je ne connaisse, n’est fait d’aucun matériau répertorié et émet une aura magique. Je teste actuellement sa fréquence de résonance et les ondes qu’elle émet. C’est vraiment très excitant d’étudier ce genre d’aura », expliqua-t-il avec sa voix naturellement monotone.
- «Un objet magique ? Il doit avoir tellement de valeur que je doute qu’il n’ait pas de propriétaire. »
- «En fait, quelque chose me dit qu’il a été abandonné. Il a l’air assez vieux tout de même. Je l’ai trouvé la semaine dernière dans un désert près de la ville voisine, entre deux journées de conférence. La nature de l’aura qu’il émet et son rayonnement sont assez singuliers. J’ai repéré deux autres auras assez similaires, correspondant probablement à des artefacts similaires. Le plus étrange est que les signaux proviennent de lieux sauvages très distants les uns des autres. »
- «Mais les Extrolites sont regroupés en clans et ne s’éloignent jamais de leur zone
d’habitation... »
- «C’est exactement ce que je dis. Si ces objets magiques forment une collection, alors ils ne devraient pas être si loin les uns des autres. Mais si ces artefacts étaient vraiment importants, je crois bien que les Extrolites feraient entendre parler d’eux. »
- «Tu crois qu’ils viendraient jusqu’ici ? » demanda la fille.
- «Sans aucun doute. Ces créatures accordent une importance capitale aux artefacts anciens. Si il existe une telle collection d’objets magique, elle doit avoir été évoquée et utilisée pendant la guerre des races », expliqua le professeur en croisant les bras. «Je n’aime pas vraiment cela, mais je crois qu’il va falloir ouvrir des encyclopédies d’histoires pour avoir le fin mot de cette histoire. »

Le docteur soupira en s'assoyant sobrement dans son canapé. Il jugeait l’idée d’avoir à recourir à des écrits vieux de plus de trente ans pour acquérir un nouveau savoir contraire à la science et au progrès. De son côté, la jeune fille était plutôt excitée. Bien que partageant la même passion pour les mathématiques, la physique et autres sciences que son père, elle était passionnée d’histoires et d’aventures sur le monde de la magie.

- «Alors si je comprends bien, tu es arrivé à construire un détecteur d’objets magiques ? »
- «Pas exactement. En fait, ce n’est encore qu’un prototype, et je dois encore le terminer. Et il ne détecte en aucun cas tous les objets magiques. Sa portée est également limitée. »
- «Dis Papa, tu me donneras le détecteur quand il sera prêt ? J’irais voir pour toi qu’est ce qui émet ces signaux ! En plus c’est les vacances dans deux semaines et maman veut vraiment que je prenne l’air ! »
- «Euh, si tu veux. Enfin, vois avec Maman. Mais maintenant, va te coucher. »

Bulma sauta de joie et bondit au cou de son père pour le remercier. Après lui avoir souhaité bonne nuit, elle repartit et son esprit s’envola très vite au pays des mille merveilles. Pour ses vacances scolaires, elle reçu le radar et alla demander à sa mère la permission de sortir. La maman était l’opposée de son mari, leurs seuls points communs étaient probablement leur étourderies, leur côté ”sans souci” et leur amour l’un pour l’autre. La mère de famille était à peine plus grande que son mari, avait des cheveux blonds bouclés et des vêtements de dernière mode.

- «Maman, je peux partir pour quelques jours en randonnée ? Papa veut que j’aille voir quelque chose près de Yorsh-City, pas loin. »
- «Tiens donc, ton père t’a demandé de sortir ? Cette randonnée n’est pas dangereuse j’espère ? »
- «Bien sûr que non, c’est dans le no man’s land. Ce n’est pas comme si j’allais dans les terres sauvages. Je ne croiserai pas d’Extrolite ! Et c’est vraiment pas loin de la ville ! Allez, s’il te plaît ! »
- «D’accord, mon cœur. Mais ne traîne pas trop longtemps. Tiens, tu peux me faire une faveur ? Ton papa voulait tester la nouvelle moto-jet, mais je ne suis pas très doué avec les véhicules. Et ton père, tu sais à quel point il est distrait ? »
- «Compte sur moi, Maman ! »

La fille se rua dans sa chambre pour s’habiller, prendre son sac, puis alla chercher la moto et partit pour de nouvelles aventures ! Ou plutôt, sa toute première aventure.

Chapitre 1.1 - Une Rencontre Providentielle

Il était caché dans des buissons et tremblait. Tout était allé si vite. L’école avait été attaquée pendant la nuit, la plupart de ses camarades avait vaillamment engagé le combat, mais lui avait fuit. Mais c’est compréhensible, n’est ce pas ? Il n’avait que quatorze ans, et bien qu’il soit l’un des plus doués de l’école, il n’en restait pas moins un enfant sans
réelle expérience en combat. Si il était resté, il aurait juste gêné ses camarades. Mais ils forment une famille, peut-être devrait-il revenir et défendre l’école contre ces agresseurs. Mais son corps ne bougea pas. Seules ses dents claquaient. Il attendait encore en encore. Plus il attendait, plus il lui était clair qu’il devait revenir. Pour participer. Ou
alors il sera puni et exilé, après que son maître et ses camarades en aient finit avec les agresseurs. Il serait regardé comme un déserteur, quelqu’un sur qui on ne pouvait pas compter.Il se leva lentement. Lui-même n’en revenait pas, tandis qu’il marchait d’un pas lent et mécanique ver l’école. Lorsqu’il arriva, son cœur se mit a l’arrêt. Le jeune garçon ne
pouvait plus respirer. Devant lui s’étendaient les corps de ses camarades et ceux de ses ennemis. Il entendit alors un appel à l’aide. Son corps couru vers la voix alors que son esprit voulait fuir. Arrivé, il se figea : c’était son maître. Jonché au sol, la tête vers le haut. Le jeune homme s’agenouilla et prit le corps ensanglanté de son vieux mentor son
dans ses bras. Celui-ci marmonna:

- «Tu es revenu, mais c’est trop tard. Si tu n’avais pas fuit, nous aurions peut-être vaincu nos assaillants. Mais maintenant tu dois fuir. Puisque tu es le seul rescapé, tu dois survivre à tout cela. »

Le vieil homme sombra après avoir prononcé ses dernières paroles. Le garçon avait les yeux écarquillés. il peinait de plus en plus à respirer et son souffle devint encore plus lourd. Il leva alors la tête et vit le bourreau de son école, de dos. C’était un géant extrêmement musclé. Peut-être deux mètres cinquante de haut et un mètre cinquante de large. Même sa tête était d’une taille démesurée. Ce dernier prononça avec sa voix grave et satisfaite:

- «Alors, on est revenu ? Crois-tu peut-être pouvoir faire quelque chose ? Je ne vais pas te laisser partir. Tu es le prochain sur la liste, mon petit bonhomme. »

Le monstre se retourna, et le garçon se pétrifia. Le bourreau n’avait pas de visage ! Le jeune garçon hurla de toutes ses forces, et se retrouva en sueur, dans son lit. Il n’arrivait pas calmer sa respiration. Il entendit une petite voix à côté de lui :

- «Monsieur Yamcha, vous allez bien ? »

Un cauchemar. Encore et toujours le même cauchemar qui lui empêchait de dormir paisiblement depuis quatre ans déjà. Il avait fuit son école, et ne savait pas si il devait se féliciter d’être de ce fait en vie ou s’en voulait de n’avoir rien fait. Le jeune homme inspira profondément, et se leva de son lit.

- «Tout va bien Puerl. Je n’arrive juste pas à trouver le sommeil. Allons faire un tour dehors, cela me rafraîchira les idées. Et puis, qui sait, nous rencontrerons peut-être quelqu’un dehors ? »
- «Des voyageurs égarés, oui », ricana le compagnon de Yamcha.

Puerl était une Chamaine, la race de Normiens la moins humanoïde et la plus éloignée des Humains. La plupart des Normiens ont en effet la taille d’un adulte Humain de petite taille, et une anatomie proche de celle des Humains, mises à part quelques formes exagérées et poils supplémentaires. Les Chamains quant à eux mesurent quarante à soixante centimètres, leur mains sont à peine assez développés pour tenir un objet ; leur bras et jambes quasiment inexistants. Ils avaient la vie dure, tout particulièrement dans une société aussi axée sur la technologie. Et Puerl ne faisait pas exception. Le petit être au pelage bleu n’avait pu survivre que grâce à la bonne volonté de Yamcha, et elle avait depuis suivit ce dernier comme son ombre. Elle voulait être ses yeux et ses oreilles. Et cela tombait bien : la vue et l’ouïe des Chamain était justement leur point fort, comparé aux autres Normiens.
Les deux compères s’aventurèrent hors de leur demeure, qui se situait dans une zone aride, avec assez peu de végétation. Ils marchèrent aux milieu des hauts rochers dont le soleil de l’aube laissait entrevoir une couleur marron. La petite chamaine remarqua alors une ombre au loin :

- «On dirait bien que nous ne sommes pas les seuls à ne pas aimer faire la grasse matinée, monsieur Yamcha. »

Il était cinq heures de demie. Une jeune fille aux cheveux lilas s’était levée très tôt pour entamer un long voyage, et avait décidé de prendre un raccourcit à travers le désert des sables. Sa moto avalait les kilomètres malgré l’absence de route et le terrain saccadé. Soudain, un fracassement se fit entendre et une pluie de rochers s’abattit vers elle. Le cœur de Bulma s’arrêta brusquement, mais elle n’était pas au bout de ses surprises. Elle n’eut pas le temps d’hurler de peur qu’elle fut emportée de sa moto, tenue par la hanche.
Elle ne poussa pas de cri de atterrissant, et était déboussolée.

- «Comment allez-vous, mademoiselle ? »
- «Euh... Je... Oui... Bien... Enfin... »
- «Vous avez de la chance que je sois passé par là. C’est très imprudent de faire des voyages dans ce terrain aride. »
- «Oui, vous auriez bien pu y passer ! » ajouta une autre voix, plus aiguë.
- «Euh... Je... Merci... »

L’esprit de la petite fille commença à s’éclaircir. Elle réalisa à quel point elle était passé proche de la mort, et leva la tête vers ses sauveurs : un beau garçon et une chamaine bleue. Le garçon semblait avoir trois ou quatre ans de plus qu’elle, et était terriblement mignon. Il avait des yeux d’un noir brillant et une certaine musculature pour quelqu’un de son âge, sans pour autant être démesurée. Il portait un foulard rouge, une gilet sans manche vert foncé, un pantalon marron et des bottes. À sa ceinture était attachée un cimeterre, ce qui lui donnait un air de prince de royaume d’il y a quelques centaines d’années. En bref : le parfait amoureux !
Bulma fût réveillée par la voix du jeune homme :

- «Si ce n’est pas indiscret, puis-je savoir où vous comptiez vous rendre ? Si je puis me permettre, les chemins sont arpentés de serpents et araignées. Qui plus est, les oasis se font rare. Je connais bien cet endroit et serais ravi de vous aider à vous conduire où vous le désirer. »

- «M’accompagner ? Pour de vrai ? [...] AAHHHH ! Ma moto ! MA MOTO EST DÉTRUITE ! NOOOOOON ! ! ! PAPA NE ME LE PARDONNERA JAMAIS ! »

Yamcha attendit un instant que la fille se calme, puis lui tendit la main.

- «Mademoiselle, permettez moi de vous accompagner jusqu’à ma sobre demeure. Vous pourrez vous y ravitailler avant de poursuivre votre route. »

Bulma acquiesça et se releva avec l'aide du jeune homme. Puerl ricana intérieurement. Elle n’avait pas l’habitude de voir Yamcha aussi courtois. Il faut dire que leur vie ennuyeuse ne s’y prêtait guère. Bulma fut finalement emmenée par ses deux nouveaux compagnons pour discuter autour d'une tasse de thé.

Salut à toi. J'ignorais que tu étais en train d'écrire une fic aussi. Hormis 2-3 fautes, je trouve que c'est plutôt bien écrit de manière générale.

Je n'ai jamais été très fan de dragon ball, je parle bien de dragon ball et non dragon ball Z. Il y a des choses que j'aimais bien toutefois, mais sans plus.

Bon tout ça pour te dire que du coup je ne peux pas être vraiment emballé comme ça par ta fiction qui correspond à cette période. Ca ne vient donc pas de toi. Ca n'engage que moi bien sûr, mais je pense que tu aurais dû choisir un autre thème. Malgré tout, je continuerai à lire ta fiction comme tu lis la mienne car c'est la moindre des choses. Puis on ne sait pas, peut-être que j'apprécierai certaines choses au fil du temps.

Bon j'espère que tu ne m'en voudras pas pour ça lol. Les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas au fond car c'est bien de ça dont il s'agit là et encore une fois, tes chapitres sont bien rédigés dans l'ensemble.

Salut, et merci pour ton message.

Je comprends que tu n'apprécies pas trop le fond de l'histoire. Et je dois admettre ne pas m'être fait de faveur à ce sujet:
- c'est une réinvention: donc les lecteurs perdent leur repère du canon de l'histoire, puisque les évenements et les powerlevels ne sont pas les mêmes
- le début de l'histoire est sur une période où la plupart des combattants sont cloitrés sur Terre, et ne savent ni, ni mesurer les forces, et savent à peine lancer des boules d'énergie
- et pour couronner le tout, ça ressemble de près ou de loin à un "comment un random fan de DBZ aurait aimé que l'histoire soit", lieu prospice à la naissance de Mary Sue's / Gary Stu's.
Donc beaucoup d'ingrédients qui font penser à une fanfic ratée. Mais c'est une histoire pour laquelle je pense avoir assez de motivation et d'imagination pour publier régulièrement jusqu'à la fin. Et c'est pour moi le plus important.

J'avais d'autres fanfics en tête:
- une fanfic cohérente à Dragonball sur la jeunesse de Muten Roshi: après la mort de Mutaito, ses élèves combattent les derniers démons et entrainent leur premiers élèves (Son Gohan, Taopaipai, ..)
- une fanfic what-if post Namek: après la mort de Mecha-Freeza et Cold, Cooler combat des mutineries et rassemble l'empire pour continuer ses invasions et alliances, avant de finalement s'attaquer à la Terre.
Mais je pense que je ne les developperais pas aussi bien et finirais par les abandonner.


Pour la fanfic actuelle, à la base, j'avais prévu de faire durer certains passages sans que cela raconte trop, pour "meubler" un peu l'histoire et que cela ne soit pas juste une succession de moments clef du scénario. Mais là j'hésite un peu à sauter des "fillers" et les résumer en deux ou trois lignes. Je verrais bien ce que je ferais, je travaille actuellement aussi sur le découpage de l'histoire en chapitres.

Salut! De rien pour mon passage, c'st normal. Au niveau de l'histoire, j'aurais bien aimé déjà celle concernant Cooler. J'aime bien ce méchant...Bon c'est du dragon ball Z aussi. Après je comprends que tu ne savais pas trop où aller concernant ce thème.

Pour l'autre sujet, 'aurais peut-être mieux aimé que celui actuel, mais bon je suis pas super fan de dragon ball comme je te l'ai dit. Du coup, il aurait fallu voir.

Je continuerai à suivre cette fic de toi en tout cas avec plaisir.

Chapitre 1.2 - Changement de Plan

Bulma leur expliqua qu’elle était à la recherche d’objets magiques répondant au signal d’un radar. Elle était très fière de se présenter comme une aventurière, mais ne mentionna pas que son père était le créateur du radar : cela cacherait l’ambiance. Et puis, c’est son aventure, sa vie maintenant. De leur côté, les deux sauveurs étaient estomaqués.

- «Monsieur Yamcha, ça existe vraiment un détecteur d’objets magiques ? »
- «Évidemment, puis ce que je vous le dis ! » intervint Bulma, vexée.
- «C’est extraordinaire ! Nous n’avons pas l’habitude des objets magiques ! En as-tu déjà trouvé un ? » s’intéressa le jeune garçon.
- «Oui, le voilà. Je ne sais pas à quoi ressemblent les autres, mais ils se ressemblent peut-être. », dit la fille aux cheveux lilas en sortant la précieuse boule.
- «UN... UN DRAGONBALL ! ! Je n’en reviens pas ! » s’écria Yamcha.
- «Un quoi ? Alors tu sais ce que c’est ? »s’étonna Bulma, attendant impatiemment une réponse.
- «Eh bien, pour être honnête, je ne suis pas entièrement sûr. Mais j’ai entendu parler d’artefacts magiques, et je crois qu’ils ressemblent à ça... Il y en a plusieurs et elles étaient utilisées comme trophées il y a quelques centaines d’années. »
- «Moi aussi j’en ai entendu parler ! » ajouta la chamaine. «Alors ça ressemblerait à ça ? »
- «C’est décidé ! Nous partons, Puerl ! J’ai très envie de voir ces anciens artefacts ! »

Quelques instants plus tard. Les trois aventuriers sortirent du domicile du désert et suivirent le chemin indiqué par le détecteur. Bulma était très heureuse, elle était en tête d’une troupe diversifiée. D’abord, elle : le chef et le cerveau. Ensuite, le beau gosse très musclé. Enfin, une Chamaine sûrement capable de repérer de potentiels Extrolites et éviter les dangers.

Soudain, un craquement si fit entendre et Bulma glissa. La chute fût douloureuse quoique béguine bénigne et très longue. Elle roulait encore et encore pour arriver en bas d’une crevasse étroite. Elle leva la tête, peinée, et aperçu ses deux camarades affichant un sourire satisfait. Les deux individus éclatèrent de rire et le garçon annonça fièrement :

- «Désolé, mais nous nous en sortirons bien mieux à deux. Nous formons un duo épatant tu sais ? »
- «Mais qu’est ce que c’est que ces histoires ? Sortez moi de là ! »
- «Le problème, c’est que si tu sors, tu pourrais nous causer des problèmes. Te laisser en bas, c’est plus sûr pour nous. En temps normal, je te tuerai, histoire de ne pas prendre de risque. Mais je ne suis pas d’humeur à frapper une gamine. Vois plutôt cela comme un sursis que je te donne. »

La gamine en question était abasourdie, désenchantée. Alors ils s’étaient joué d’elle ? Elle s’écria :

- «Par pitié, laissez moi sortir ! Je ferais tout ce que vous voudrez ! »
- «Oh non, toi, tu restes ici jusqu’à nouvel ordre. Mais je suis bon prince, je te laisse la bouteille. Cela te donnera un peu plus de temps pour essayer de sortir. »

Par réflexe, Bulma mis sa main dans son sac pour sentir sa bouteille d’eau. Cependant, elle tiqua : le radar n’était plus là. Ni le Dragonball. Ce n’est pas comme cela que ça aurait dû se passer. La fille piégée s’écria :

- «Si vous me gardez avec vous, je ne vous gênerais pas et m’assurerais que le détecteur fonctionne correctement. »
- «Ne dis pas de bêtises, il marche très bien. » lui répondit la Chamaine.
- «C’est un risque que nous prenons », compléta Yamcha. «Ah, au fait. il faut vraiment que je te remercie. J’ai passé une très mauvaise nuit. Je savais que détruire une moto me mettrait de bonne humeur, mais je ne m’attendais pas à ce point. Merci ! »
- «Ouais, à plus ! » ajouta Puerl avant de partir avec son compère.

La jeune fille éclata en sanglot. Pourquoi le destin était-il si cruel ? En plus, il avait détruit sa moto et fait mine de la sauver d’un accident. Tout ça dans le but de l’amadouer. Et cela avait marché, et très bien.

Elle fronça les sourcils, les yeux rouges de colères. «Yamcha» et «Dragonball» étaient les deux mots qui occupaient son esprit. Au vu de leur façon de parler entre eux, le garçon s’appelle bien Yamcha, ce n’est pas un pseudonyme pour masquer son identité. Et il a bien identifié l’artefact comme étant un de ces Dragonball. Fichtre ! Aucune chance qu’elle meure ici ! Elle a encore quelques vivres, et cela devrait être suffisant pour tenir jusqu’à trouver un moyen de sortir d’ici. Elle se rappellait d’où ils étaient venus vient et avait vu une carte avec les oasis dans la maison des bandits.

De leur côté, Yamcha et Puerl marchaient en direction du signal le plus proche. Cela ne pouvait doit être qu’un Dragonball. Il y avait sept signaux et leur Dragonball était l’un des sept. Si tout se passait bien, ils pourraient les utiliser pour avoir tout ce qu’ils désirent.
Ils vivaient dans le désert de roches depuis plus d’un an déjà, et connaissaient bien l’endroit. Autour d’eux, que des rochers rouges. Des grands, des moins grands, de la terre rouge et du sable. Quelques cactus ici et là. Bref rien de bien passionnant.

Il leur faudrait encore quelques jours pour atteindre l’emplacement du signal. Yamcha avait assez de nourriture pour au moins quinze jours. Et il n’y avait rien de dangereux dans les parages, juste des créatures venimeuses. Les bandits ordinaires restaient habituellement toujours près des routes. Il ne leur fallut que huit jours.

- «Monsieur Yamcha, on y est. Vers la crevasse là-bas. Quelque chose brille ! »
- «Oui ! C’en est bien une ! Haha ! C’était une partie de plaisir de la trouver ! »
- «Ne crions pas victoire trop tôt quand même. Il faut espérer qu’il n’y en a pas en possession d’Extrolites. Ah tiens, celui là contient plusieurs étoiles ! »
- «Je m’en moque bien des Extrolites. Rien ne nous arrêtera. Je suis plus fort que pas mal de ces créatures. Et on peut aussi ruser si l’on tombe contre plus fort que nous. »

La nuit tombante, nos deux compères s’allongèrent près d’une oasis et discutèrent de leur plan sous le ciel étoilé.

- «Dis, Monsieur Yamcha, quand tu auras tous ces Dragonballs, qu’est ce que tu voudras obtenir ? »
- «Je n’en suis pas encore sûr. Il y a tellement de choses dont je rêve. Tout d’abord, je voudrais bien devenir plus fort que je ne le suis. Et faire que mon nom soit connu de tous. »
- «Tu pourrais être le nouveau roi, et avoir beaucoup de servants ! Oh, cela serait bien ! »
- «Cela serait nul, oui ! Je n’ai pas envie de rester assis toute la journée à attendre que des servant fassent tout pour moi. À manger d’accord. Mais je tiens à bouger, moi ! Et de toutes façons, je ne me sentirais pas à l’aise dans une vie de roi. Puis j’ai horreur de la politique ! »

Yamcha inspira profondément et regarda vers les étoiles :

- «Ce que je voudrais, cela serait être une sorte de super guerrier et stratège. Une sorte de carte maîtresse pour un pays. On viendrait m’informer de ce qui se passe, et je déciderais quand et comment j’interviendrais. Je ferais des plans et donnerais quelques ordres, puis irais sur le champ de bataille pour faire une opération top-secrète qui donnera la victoire. »
- «Et il y aura une place pour moi dans ce monde ? »
- «Bien sûr ! Tu y serais mon porte parole et tu pourrais m’accompagner dans mes missions. »

Les yeux de la Chamaine brillèrent de mille feux, et son bonheur était presque palpable.
Le duo s'endormit finalement, comme de coutume, sous le ciel étoilé.

Sympa ce chapitre au sujet de récolter les dragons balls pour faire un beau souhait. La pauvre Bulma. Sinon, une petite faute de frappe je pense ou d'orthographe :

C'est ''bénigne''.

whiswhis a écrit:Sympa ce chapitre au sujet de récolter les dragons balls pour faire un beau souhait. La pauvre Bulma. Sinon, une petite faute de frappe je pense ou d'orthographe :

C'est ''bénigne''.

Bonjour ! Et merci pour la correction

Alors Bulma, y'a des moments, elle merite de s'en prendre une. Pas de chance pour elle, j'ai fortement réduit la gêne de Yamcha en compagnie de femmes

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Le nouveau chapitre a pris un peu plus de temps, et je ne suis pas super satisfait de la manière auquel il est raconté, mais tant pis:

Chapitre 1.3 - Le Petit Tyran

À quelques centaines de kilomètres du désert de roches, dans une immense demeure isolée de tout :

- «Maître, maître ! Réveillez vous s’il vous plaît ! »

C’était Shu, un petit petit bipède à apparence de renard portant le même genre de vêtements bleu sombres que les ninjas d’autrefois. Ce Renain portait un de sa taille katana dans son dos. Son maître, une créature bleu claire un peu plus petite, d’un mètre vingt, portait un bonnet à rayures bleu et rouge avec une étoile jaune au niveau du front qui dépassait de sa couette.
Ce dernier s'assit frénétiquement, irrité.

- «Tais toi un peu ! Tu ne vois pas que j’essaye de dormir ! Combien de fois t’ai-je répété de ne pas me déranger pendant mon sommeil ? »
- «Mais je ... »
- «Tais toi ! Couché ! »
- «Oui maître », répondit le serviteur, résigné.
- «Tu seras bonnement et dûment puni. Qu’est ce que tu voulais d’abord ? »
- «Eh bien, d’après Mai, il semblerait qu’un Dragonball ... »

Je petit Renain n’eut pas le temps de finir sa phrase que son maître de maison se leva brusquement sur son lit et s’exclama :

- «QUOI ! UN DRAGONBALL ! TU N’AURAIS PAS PU ME LE DIRE PLUS TÔT, CRÉTIN ? ? ALLEZ, À QUATRE PATTES ! »

Le pauvre servant se tut et s’exécuta, permettant à son interlocuteur de se servir de lui comme d'un marche-pied et de descendre de son lit.

- «Allez ! Au galop ! », ordonna la créature bleue, avant de demander « Alors vous avez enfin trouvé un autre Dragonball ? »
- «Eh bien, pas exactement. En fait, le radar a détecté un déplacement de Dragonball vers nous. », répondit le petit serviteur.
- «Ah ! Alors, tu vois bien qu’il marche, mon artefact. Qui avait raison, hein ? »
- «Mais il détecte à peine les signaux, et ne pourrait même pas dire où un Dragonball se trouverait dans la maison. », grommela le petit Renain.
- «Tais-toi insolent ! Il n’existe aucun artefact d’une telle précision. Cela a toujours été ainsi. Le radar dit dans quelle région un Dragonball est, et c’est à nous de le trouver. La seule raison pour laquelle nous n’avançons pas a toujours été votre incompétence à tous !»
- «... »
- «... Et que nos têtes sont mises à prix, aussi... », ajouta finalement le maître de maison.

Les deux petits êtres arrivèrent dans une salle où attendaient trois jeunes filles et un homme d'âge mature, tous vêtus d’un uniforme militaire gris. La première femme se tenait devant un écran, et son visage blanc contrastait avec ses long cheveux noirs et son rouge à lèvres. Les deux autres filles, blondes aux cheveux bouclés, étaient plus en retrait. L’homme quand à lui, était petit, rabougri, et bricolait dans son coin des machineries, caché sous son casque.
- «Bonjour maître Pilaf», fit la femme aux cheveux noir.
- «Mai ! Le Dragonball ! Où est le Dragonball ? »
- «Ceux qui l’ont se déplacent vers nous. Ils arriveront ici d’ici environ une demi heure.»
- «Si nous le récupérons, cela nous en fera trois », continua Elsa, l’aînée des deux sœurs.
- «Bon, Elsa et Katie, ramenez moi le Dragonball ! Et ceux qui le possèdent ! On pourra les questionner au cas où ils auraient d'autres Dragonballs chez eux. Et faites attention, ils sont peut être dangereux !»

L’aînée, arborant une expression neutre, fit un signe du doigt à sa sœur, l'invitant à de mettre en route. Après un petit quart d'heure de marche, L'aînée des deux demoiselles aperçu leurs cibles:
- «Je les vois, là bas ! (...) Mais ils ne sont que deux ? »
- «Passe les jumelles ! ! (...) Non, je ne vois qu’un gamin. »
- «Un gamin et un Chamain. Ça sent le piège ! »
- «Mais non ! Il n’y a rien aux alentours ! Et ils sont même pas armés. », rétorqua Katie, tout en ignorant volontairement le cimeterre du garçon. «Aller, On y va et on leur rentre dedans !», rouspéta la cadette.
L'aînée soupira. Elle avait toujours eu du mal à canaliser l'énergie et l’agressivité de sa sœur. Si bien qu'il était parfois difficile de discerner laquelle des deux filles dirigeait le duo.
- «Bon, d’accord Katie, très bien. Mais pas de violence gratuite, hein ! » finit Elsa.

De l'autre côté, le duo observé continuait son expédition en regardant régulièrement leur radar.
- «Nous ne sommes plus qu’à quelques kilomètres des deux prochains Dragonballs, monsieur Yamcha. »
- «De toute évidence, elles sont déjà en possession de quelqu’un. Et je crois même savoir de qui il s'agirait. Je me demande si il est capable de les localiser, lui aussi. En tout cas, nous avons un comité d’accueil. Je vois deux personnes sur la route. »
- «Ce sont deux Humaines. Elles ont des armes à feu. Qu’est ce qu’on fait ? »
- «Je crois qu’on peut parlementer, j’ai un petit plan. », finit Yamcha en souriant.

Il ne fallut que peu de temps pour que les deux groupes se rejoignent. Elsa fut la première à prendre la parole:
- «Halte là ! »
- «Bonjour, mesdemoiselles. Quel accueil. Je suis charmé ! »
- «Je suis sûr que tu vas adorer mon poing dans ta gueule aussi ! » dit Katie en s’avançant et retroussant sa manche droite. Sa sœur lui barra le passage de son bras.
- «Vous voyagez sur un terrain privé. Nous vous arrêtons. » dit Elsa sur un ton autoritaire.
- «Qu’attendez vous de nous ? »
- «On vous ramène chez le boss. »
- «C’est parfait, c’est là où nous voulions nous rendre. Nous vous suivons. »

Elsa haussa un sourcil avant de montrer à ses deux prisonniers la direction à suivre. Le trajet se finit sans encombre et le groupe arriva vite à destination.
- «Maitre Pilaf, nous vous ramenons les intrus. »
- «Tiens donc, Pilaf le hors-la-loi ! C'est un honneur de vous rencontrer ! »
- «Tais-toi de donne-moi ton Dragonball ! Je sais que tu en as un. »
- «Un quoi ? Serait-ce ceci ? » demanda Yamcha en sortant l'un de ses deux artefacts.
- «Oui ! C'est bien ça, un Dragonball. Donne le moi. »
- «Mais comment avez-vous deviné que je vous en rapportais un ? »
- «Rapporté ? Que veux tu dire ? », questionna Mai.
- «J'ai actuellement des problèmes avec le grand royaume, et je suis à la recherche de sécurité et d'un employeur. J'ai entendu dire que Pilaf m'accepterait sûrement dans ses rangs si je lui apportais cet artefact. »
- «Fort bien », s'enjoua le concerné. « Alors pour ta question, sache que mon père m'a légué un artefact démoniaque permettant de localiser la présence de Dragonballs dans un rayon de plusieurs kilomètres. Mon objectif est de les récupérer tous les sept. Mon objectif final est de devenir afin de devenir le maître du monde. Nous sommes actuellement en grand manque de personnel, une recrue supplémentaire nous ferait le plus grand bien. »
- «Parfait ! », s'enjoua Yamcha, «Quitte à se mettre au service de quelqu'un, je suis content d'être tombé sur une personne ambitieuse ! Je suis tout de même étonné d'apprendre que de si petits artefacts posséderaient un pouvoir aussi grand. Je vous offre donc mon Dragonball. »
- «Bienvenue dans l'ordre de Pilaf ! Avec toi, nous sommes donc six. Ne te préoccupe pas des Dragonballs ou de leur utilisation. J'en fais mon affaire. Contente toi de suivre mes ordres et tu seras grassement récompensé ! »

Puerl était gênée de ne pas être considérée comme une personne à part entière, mais à quoi bon. Ce genre de situation n'était pas si inhabituelle, et elle avait fini pas accepter cette triste condition pour se concentrer sur des choses qu'elle jugeait plus importante à sa survie et à celle de son compagnon. Shu, le petit Renain, reçut l'ordre d'amener les deux nouveaux invités à ce qui sera leur chambre. Yamcha se félicitait de l'issue de la discussion. Pilaf ne lui faisait pas totalement confiance et ne lui montrerait pas toutes ses cartes, il en était certain. Mais le fait que ce dernier ne dispose pas d'un radar aussi perfectionné que le sien allait lui faciliter grandement la tâche.

Sympa le chapitre encore. Bon ben c'est la guerre des dragon ball lol entre Yamcha et puerh et la bande à Pilaf, ça promet.

whiswhis a écrit:Sympa le chapitre encore. Bon ben c'est la guerre des dragon ball lol entre Yamcha et puerh et la bande à Pilaf, ça promet.

Salut ! Content que cela te plaise !


Chapitre 1.4 - Le cinquième Dragonball

Dès le lendemain, épaulé de sa nouvelle recrue, Pilaf annonça la position des prochains deux Dragonballs à récupérer. L’un se trouvait dans une zone montagneuse à 2.000 kilomètre au sud-ouest, le suivant à 5.000 kilomètres plus à l’ouest, au bord de l’océan du sud. Devant eux se trouvaient Puerl, Mai, Shu, Elsa, Katie, ainsi qu’Octan le bricoleur.

Le groupe quitta la salle de meetings et entra dans un sombre tunnel pour enfin arriver devant une immense porte ronde, ancrée dans la roche. Pilaf sorti une petite télécommande et appuya sur un bouton. La parte s’ouvrit d’un sourd grincement pour voir apparaître un immense vaisseau spatial. Non insatisfait de lui, Pilaf présenta son vaisseau devant le regard ébahi des deux nouveaux membres du groupe. C’était un engin circulaire d’une trentaine de mètres de diamètre, soutenu au sol par six ramifications. Son propriétaire annonça fièrement :
- «Voici mon principal vaisseau pour les missions : le "Pilaf II". »
- «Wow ! C'est vraiment très impressionnant ! (...) Et ... il y a un "Pilaf I" aussi ? »
- «Ce n’est pas important ! mettons nous en route ! »répondit le môme bleu sur un ton irrité.»

Une fois le groupe dans le vaisseau, la demeure de Pilaf s'ouvrit pour laisser décoller le Pilaf II, qui s'envola jusque dans les nuages.
Pendant le trajet, Yamcha et Mai étudiaient la carte de la montagne. Au milieu se trouvait un volcan éteint depuis des centaines d'années, qui était devenu un repère à dinosaures. Au sud et à l'est se trouvait une jungle, et au nord un désert. À l'ouest se trouvait un petit village sous la juridiction de East City, l'une des cinq principales villes du grand royaume.

Mai commenta:

- «D'après le radar de maître Pilaf, le Dragonball serait soit dans le volcan, soit dans la jungle. Probablement quelque part au milieu. Si la faune n'a pas changé, il devrait y avoir de nombreuse bêtes sauvages et voraces dans la région. »
- «Avec une bonne rafale de mon pistolet-mitrailleur, l'affaire est réglée», s'insurgea Katie.
- «La plupart des dinosaures, dragons, et autres Extrolites sont et résistantes aux armes à feu classiques, et n’apprécient pas les intrus. Il vaudrait mieux rester discret et éviter les conflits inutiles», rétorqua Yamcha.
- «Bien», intervint Pilaf, «Inutile d'endommager mon vaisseau tout neuf ! Nous nous poserons vers l'entrée de leur repère et balayeront la zone petit à petit. Nous ferons trois groupes: le groupe 1 sera composé de Mai et Shu, le second groupe des deux blondes, et le troisième groupe des deux nouveaux. Je resterai ici avec Octan pour m'occuper du vaisseau.»

Après l'atterrissage, chaque groupe partit de son côté. À peine éloigné, Puerl engagea la conversation avec son compagnon:

- «Nous sommes observés monsieur Yamcha, nous devrions retarder l'utilisation du radar... »
- «Cela va compliquer un peu la tâche, mais ce n'est pas un problème. Nous avons tout le temps qu'il nous faut. Il nous faut à présent surtout rester sur notre garde, les Extrolites ici sont très dangereux. Surtout les dinosaures. Même en temps normal, je ne pense pas pouvoir battre plus de 2 ou 3 adultes à la fois. »
- «Entendu.»

Maintenant qu'ils étaient seuls dans la nature, la petite Chamaine se sentait dans son élément, et pouvait montrer l'étendue de ses capacités. Elle avait immédiatement remarqué les jumelles de Pilaf, et son ouïe lui permettait de prévenir des rencontres indésirées. Et grâce aux aptitudes martiales de Yamcha, ils n'avaient pas à éviter toutes les créatures.

Une fois arrivé dans un endroit plus reculé où il ne pouvaient plus être observés, le jeune homme sorti son radar et la Chamaine commença le tour guidé. «Meute de Ptérodactyles à deux heures, passons par la gauche», «4 ou 5 Tigres à dix heures, rabattons nous vers la droite», «Un jeune Tyrannosaure droit devant»

- «Allons À sa rencontre !»
- «Tu veux te faire les griffes ?»
- «Oui, ce n'est pas tous les jours que j'ai l'occasion de faire des combats tendus. Si le T-rex est jeune et seul, je vais m'en donner À cœur joie. Reste en retrait. »
- «Entendu, je te regarde. Fais attention À toi !»

Yamcha s'arrêta et commença à s'étirer. Dès que le dinosaure apparut en traversant le dernier buisson, Yamcha s'élança sur lui, et lui assena un puissant coup de pied sur la patte droite. L'animal, surpris pas la manœuvre tomba sur le genou, avant de rugir. Son assaillant se jeta sur le côté pour éviter la morsure qui lui était destinée, se retrouvant ainsi derrière sa queue. Le bandit sortit son cimeterre et repartit à l'attaque.
L'arme acérée entailla le bras de la créature. Sa douleur fut d'autant plus vive qu'il avait contre attaqué avec ce même bras, envoyant ainsi Yamcha à terre. Fier de son attaque quoique sous l'emprise de la douleur, le Tyrannosaure rugit vers son assaillant et se jeta sur lui. Mais Yamcha était le plus rapide des deux. Il eut le temps de rebondir pour se retrouver derrière sa proie, encore une fois, et lui donna un spectaculaire coup de coude sur la nuque. Le dinosaure s'effondra au sol, tout aussi en colère que surpris: il ne s'attendait pas à ce qu'une créature aussi frêle qu'un Humain pouvait puisse avoir le dessus sur lui.
Il fut momentanément diverti par la présence au loin d'une petite Chamaine qui observait le spectacle. Le Tyrannosaure avait trouvé une nouvelle cible, sûrement moins coriace. Puerl déglutit mais ne bougea pas, elle avait confiance en son compagnon, et connaissait déjà le sort funeste qui attendait son prédateur. Et elle ne voulait pour rien au monde rater cela.
Dans son élancée, le dinosaure entendit un son sourd de plus en plus fort. À la fin du crescendo sonore, n'étant plus qu'à quelques mètres de celle qui devait être sa future victime, il fut projeté au sol par une force inouïe. Son dos était brûlé et il ne pouvait plus bouger, il était vaincu. Yamcha arriva, regarda brièvement le Tyrannosaure gravement blessé, et s'en alla avec Puerl.

- «J'adore assister à ton rayon d'énergie, Monsieur Yamcha ! Je ne m'en lasserai jamais ! »
- «Je suis moi aussi très fier de cette attaque, rares sont ceux qui peuvent en faire autant. Je n'ai malheureusement pas le luxe de la pratiquer très souvent.»
- «Le radar indique que le Dragonball est tout prêt, probablement dans le nids là haut.»
- «Très bien! je m'en occupe.»

Sitôt dit, sitôt fait. Les oiseaux s'étaient enfuis, effrayés par le combat récent, laissant au jeune homme tout le loisir d'escalader, de récupérer l'artefact désiré, et de redescendre: une vraie promenade de santé! Et à vrai dire, il ne s'en plaignait pas. Son combat et son attaque de Ki l'avait quelques peu essoufflé. Comme prévu, un ou deux gros dinosaures n'est pas un problème, mais cela ne va pas plus loin.

Le duo rentra lentement en direction du Pilaf II. Il suffira de dire qu'ils ont trouvé le Dragonball par chance, et aller chercher les deux autres groupes.
Quelques instants plus tard, le petit tyran observait le nouveau Dragonball, satisfait.
- «Formidable ! Le Dragonball à cinq étoiles. Il ne nous manque plus que ceux aux trois, quatre, et sept étoiles !»
- «Ah oui ! Je n'avais pas remarqué que chaque boule a un nombre d'étoiles différent !», s'exclama Yamcha.
- «Comme je vous ai déjà dis, je connais tous leurs secrets !», ricana Pilaf. «Bien, nous allons rentrer à la maison pour nous reposer, et recharger mon vaisseau. Nous repartirons dans deux jours pour le prochain Dragonball ! Ensuite il n'en restera plus que deux à localiser ! »
- «C'est génial d'avoir une grande équipe ! », s'enjouait Shu. « La recherche va super vite. En plus on peut laisser le vaisseau en retrait et éviter les dégâts »
- «QUELS DÉGÂTS ON A ÉVITÉ ? CRÉTIN ! TU AS *ENCORE* BOUSILLÉ UN DE MES ROBOTS ! »
- «Mais c'est pas moi c'est le Ptérodactyle qui ... »
- «ÇA NE M'INTÉRESSE PAS ! VA AU COIN ! »
- « Qu'est ce que c'est que cette histoire de robot ? » questionna Elsa.
- « Rien du tout, rien du tout. » s'empressa de répondre Mai.

Yamcha s'amusa de cette cachotterie. Puerl lui avait déjà indiqué que Mai et Shu s'étaient installés dans des robots géants pour chercher le Dragonball. Si ce genre d'informations était également caché des deux sœurs, cette petite quête promettait d'être encore plus intéressante que prévu.

Sympa encore. Si Pilaf pense que Yamcha et Puerl ont trouvé la dragon ball au hasard, c'est qu'il réfléchit pas plus loin que le bout de son nez.

Sympa le combat de Yamcha contre le dinosaure.

J'ai relevé cette faute sinon :

''Le dinosaure s'effondra au sol, tout aussi en colère que surpris: il ne s'attendait pas à ce qu'une créature aussi frêle qu'un Humain pouvait avoir le dessus sur lui.''

C'est ''puisse'', plutôt que ''pouvait'' là lol

whiswhis a écrit:Sympa encore. Si Pilaf pense que Yamcha et Puerl ont trouvé la dragon ball au hasard, c'est qu'il réfléchit pas plus loin que le bout de son nez.

Sympa le combat de Yamcha contre le dinosaure.

J'ai relevé cette faute sinon :

''Le dinosaure s'effondra au sol, tout aussi en colère que surpris: il ne s'attendait pas à ce qu'une créature aussi frêle qu'un Humain pouvait avoir le dessus sur lui.''

C'est ''puisse'', plutôt que ''pouvait'' là lol

Salut et merci pour ton message !

Alors pour Pilaf, il y a plusieurs raisons. Déjà, je pars du principe qu'il n'est pas super malin. Dans ma fanfic, il traite Shu et Mai d'incompétents. Là il est content que quelqu'un arrive enfin à trouver les Dragonballs et ne cherche pas plus loin: c'est un peu l'enfant gâté qui a eu ce qu'il voulait et ne cherche pas beaucoup plus loin. J'ai aussi essayé de faire passer la chose un peu mieux en insistant plusieurs fois que les gens comme Puerl ont des sens très développés, ce qui aide pour trouver des trucs brillants. Et j'ai essayé d'expliquer que Yamcha et Puerl ont quand même pris leur temps pour ne pas arriver trop tôt. Et puis, dans l'esprit de Pilaf, il n'est pas concevable que quelqu'un d'autre ait un radar magique comme le sien.
Et Pilaf fait confiance aux cartes qu'il a encore dans sa manche. Je suis peut être allé trop vite dans l'histoire, pour ne pas que ce la soit trop chiant, mais j'essayerai de justifier plus tard comment un gamin tel que Pilaf, qui semble sans défense, est relativement connu et a autant de moyens. Et puis, la tentative de Mai de cacher l'existence de robots de Pilaf est aussi très maladroite.

Content que le combat de Yamcha te plaise. À vrai dire, je n'ai encore jamais vraiment raconté de combat, et espère que je m'améliorerai avec le temps.

Et merci pour la faute ! je corrige ça !

De rien pour mon passage comme toujours! Oui pour Pilaf, on sait qu'il est pas super fûté de base, donc c'est bien d'avoir fait ce que t'as fait là le concernant.

Chapitre 1.5 - À chacun son chemin

Cela faisait déjà deux jours que le gang de Pilaf était rentré dans son repère. Chacun avait essayé de s'occuper à sa manière, à part Pilaf et Octan qui se chargeaient de réparations et de ravitaillement. Ou du moins c'est ce que le môme avait annoncé. Yamcha, Puerl, Mai, Shu, Elsa, et Katie avait finalement décidé de rester ensemble après le dîner pour faire plus ample connaissance.

Mai avait commencé en évoquant sa vie d'esclave mal traitée, dans un village reculé à l'est du continent. Elle avait été sauvée de sa misérable vie par le père de Pilaf, et était restée à son service puis à celui de Pilaf depuis lors. C'était un passé qu'elle ne mentionnait guère, aussi elle ne voulait pas trop détailler son histoire. Elle avait cependant révélé que, ayant aussi servi le père, le fils se montrait plus courtois à son égard, et bien moins agressif qu'envers Shu.

Shu avait évoqué la mort de ses proches pendant la guerre des races, il y a de cela 5 ans. Bien que la guerre se soit conclue avec une cohabitation entre les Aminaliens et les Humains et une réunification de la quasi totalité des pays pour former le grand royaume, le petit Renain n'avait pas réussi à trouver de place dans cette nouvelle société. À vrai dire, il se sentait lui aussi bon à rien. Shu avait alors erré sans but jusqu'à rencontrer Pilaf, Mai, et Octan. Avec eux, il avait enfin trouver des compagnons et un but dans la vie. Et, bien que le traitement que lui donne Pilaf soit plus souvent que non loin d'être agréable, il pouvait ressentir la confiance que lui accordait son chef. Son histoire, que son auteur avait très bien raconté, avait laissé une gêne dans la salle, et tout particulièrement pour Puerl. La vie actuelle du Renain ne semblait pas bien meilleure qu'elle avait dû être avant la guerre des races. Et cette guerre avait justement commencé en raison du traitement déplorable des Humains envers les différentes races Animaliennes.

Yamcha essaya de détendre l'atmosphère en se remplissant son histoire de situations comiques et autres boutades. Il raconta comment il avait passé son enfance dans la capitale du sud, avant de faire l'école buissonnière pour partir à l'aventure et finalement atterrir dans le marché noir et y faire son petit business sans trop attirer l'attention. Rien de cela n'était vrai, bien sûr. Mais cela raccordait parfaitement avec ce qu'il avait précédemment raconté à Pilaf. Cette petit épopée qu'il avait préparé après être entré dans le gang n'étonna personne. Car après tout, c'était l'histoire classique de l'adolescent délinquant qui finit hors la loi. Il parvint à soutirer quelques sourires ici et là, ce qui le conforta dans sa qualité de bout-en-train.

Elsa fut la dernière à raconter leur histoire, à elle et à sa sœur cadette.
Issues d'une famille pauvre, d'une mère au foyer divorcée d'un homme travaillant dans le marché noir, elles avaient elles très tôt perdu leur droit de choisir leur vie. La mort de leur mère avait incité l'aînée à sortir des réseaux de contrebande. Les deux filles avaient alors 15 ans et 8 ans, respectivement. Elles avaient depuis lors été traquées par le marché noir et la police, jusqu'au moment où elles entrèrent au service de Pilaf, il y a de cela deux ans.

Katie avait écouté sa sœur sans dire un mot. Elle ne l'avait jamais entendu parler de leur vie, mais ne s'étonna pas que leur point de vue était très différent. À l'époque, elle était encore trop jeune pour comprendre se qu'il se passait autour d'elle et s'était toujours contentée de suivre Elsa. Elle n'avait pas approuvé l'idée de se mettre au service de quelqu'un, d'un salle gosse à la peau bleuâtre qui plus est. Mais c'était l'une des rares instances où Elsa s'était montré très têtue, insistant qu'elles étaient vraiment à court d'options.

Mai avait écouté attentivement chaque discours. Elle avait auparavant vaguement entendu l'histoire de Shu, mais n'avait jamais songé à demander aux deux blondes ce qui leur été exactement arrivé dans leur passé. D'une part parce qu'elle supposait que cela ne la regardait pas, et d'autre part parce que cela n'avait eu jusque là aucune importance, tant que les deux filles faisaient leur travail. Elle comprit maintenant que connaître le passé de quelqu'un aide à comprendre ses motivations et prédire ses décisions futures. Et personne dans cette assemblée se n'avait un devoir de loyauté à l'égard de Pilaf, tous recherchaient avant tout la protection. Et c'était également la principale raison pour laquelle les quatre recrues de ces dernières années n'avaient pas été mises au courant de la totalité des moyens que Pilaf avait à disposition. Le groupe manquait cruellement de solidarité. Et des discussions comme celle-ci, aussi banales soient elles, créent des liens. Une vérité évidente, mais qui ne l'avait jamais frappée jusqu'alors.

Quelques instants plus tard, Pilaf débarqua dans la salle le sourire aux lèvres.

- «Tout est prêt! Mai, nous partirons demain matin chercher le prochaine Dragonball ! ... Mais qu'est ce que vous foutez tous là ??»
- «Eh bien, nous discutons de notre passé a chacun», répondit simplement Mai.
- «Ouais, on s'emmerde quoi !», intervint Katie.
- «Et vous maître Pilaf ? », questionna Yamcha. «Comment s'est passée votre enfance? Hériter du business de votre père et devenir l'un des plus puissants de ce monde, cela a dû être une sacrée épopée !»
- «Et bien... », fit Pilaf en rougissant, «C'est à la fois très simple et très compliqué... »

Le petit être pausa un bref instant et rougit de colère:
- «EEEHHHH ! CE NE SONT PAS VOS OIGNONS ! ALLEZ VOUS COUCHER !! NOUS PARTIRONS DEMAIN À L'AUBE ! ROMPEZ !! »

Shu lâcha un petit rire, et chacun partit vers ses appartements. Sur le chemin vers sa chambre, Yamcha fut accosté par Elsa:
- «Eh toi ! Il va vraiment falloir que tu arrêtes de faire ton malin ! Je n'ai vraiment pas envie que tes bêtises finissent en conflit interne et démantèlement du groupe... »
- «Hein ? De quoi parles tu ? »
- «Depuis que je t'ai rencontré, tu passes ton temps à raconter n'importe quoi, à essayer d'entourlouper tout le monde. »

Yamcha senti son estomac le pincer. Jusque là tout avait marché sans problème pour lui, dans sa vie personne n'avait jamais vraiment douté de lui. Il ne savait pas comment réagir.

- «Tu m'insultes en me parlant comme ça ! Je n'aurais pas cru cela de toi. Cela me fait vraiment de la peine.»
- «Arrête un peu ta comédie, où je te balance. Et tu sais tout aussi bien que moi que Pilaf a des moyens militaires qui vont au delà de tes aptitudes personnelles, quelles qu'elles soient. J'ai passé toute ma vie avec des escrocs et des truands, et j'ai une petite sœur en plus de ça ! Je sais très bien reconnaître un mensonge quand j'en entends un. J'ai aussi très bien vu ce que tu caches dans ton sac-à-dos. Alors écoute: je me moque bien ce cette stupide quête, je me contente d'aller où on me demande et de faire ma part du travail. Alors si tu veux continuer tes magouilles, libre à toi, mais arrange toi pour que cela n'ai aucune conséquence néfaste sur moi ou sur ma sœur. Sinon, je t'assure que tu le regretteras. Je t'ai à l'œil ! Maintenant, fait de cela ce que tu veux, mais te voilà prévenu !»

Sur ces mots, la jeune femme repartit vers son appartement sans attendre de réponse, sous les regards médusés de Yamcha et Puerl.

- «Que faisons nous, Monsieur Yamcha ? Elle a l'air de savoir pour le Dragonball. Changement de plan ? »
- «Bonne question. Je crois que nous allons faire profil bas pour le moment. Si j'ai bien compris ses intentions, elle ne fera rien tant que nous nous tiendrons à carreau. Nous avons tout notre temps pour mettre notre plan à exécution, rien ne presse...»
- «En tout cas, il va falloir faire attention à cette femme. Et probablement à Mai aussi. »

Chapitre sympa encore. Elsa qui a vu ce que cache Yamcha dans son sac à dos...Intéressant. J'ai relevé sinon quelques fautes que voici :

''Yamcha essaya de détendre l'atmosphère en se remplissant son histoire de situations comiques et autres boutades. Il raconta comment il aurait passé son enfance dans la capitale du sud, avant de faire l'école buissonnière pour partir à l'aventure et finalement atterrir dans le marché noir et y faire son petit business sans trop attirer l'attention. Rien de cela n'était vrai, bien sûr. Mais cela raccordait parfaitement avec ce qu'il avait précédemment raconté à Pilaf. Cette petit épopée qu'il avait préparé après être entré dans le gang n'étonna personne. Car après tout, c'était l'histoire classique de l'adolescent délinquant qui finit hors la loi. Il parvint à soutirer quelques sourires ici et là, ce qui le conforta dans sa qualité de bout-en-train.''

Je pense que t'as voulu dire plutôt ''comment il avait passé son enfance dans la capitale du sud...'', non?

''Elle compris maintenant que connaître le passé de quelqu'un aide à comprendre ses motivations et prédire ses décisions futures.''

C'est ''comprit''.

''Je crois que nous allons faire profile bas pour le moment.''

C'est ''profil bas'' sans ''e'' à ''profil'' donc.

Juste des petites fautes donc, rien de dérangeant par conséquent car en soi ce chapitre reste bien écrit de manière générale comme les précédents.