Dragon Ball Rebirth

Faîtes-nous partager votre fibre littéraire en écrivant votre propre histoire mettant en scène les personnages de Dragon Ball et, pourquoi pas, de nouveaux ! Seules les fanfictions textes figurent ici.

Messagepar return le Ven Oct 05, 2007 22:59

DGBT c'est juste une hérésie, mais bon, c'est pas le problème en soi. :lol:
Avatar de l’utilisateur
return
 
Messages: 1865
Inscription: Sam Juil 08, 2006 13:08

Messagepar RMR le Ven Oct 05, 2007 23:00

Keiran a écrit:Par contre tu fais une petite erreur, a peine arrivé en Enfer, Sangoku serait repéré et Cell et les autres voudront immediatement se venger.


Sauf si Piccolo les a explosés, comme c'est le cas dans votre histoire. Mais en un mois, ils ont le temps de se remettrent et de vouloir suivrent la même voie que Goku. D'ou Piccolo qui intervient pour les calmer, et Goku devient impréssionné de sa puissance. Enfin, c'est vous le scénariste, vous devez facilement pouvoir justifié un combat de Piccolo, et lui faire dire que de toutes façons, même en sachant comment fonctionnent les nuages, les méchants ne peuvent pas passer. En tout cas je trouve ça beaucoup plus classe que "ils sont tous en mille morceaux et ne peuvent rien entendre parce que certain n'arrêtent pas de se plaindre". Mais encore une fois, ici, ce n'est qu'un avis que je donne. Aprés vous pouvez faire comme ça vous chante, c'est votre histoire.

Le chapitre 6 donc. Le scénario qui nous est dévoilé est génialissime, tout simplement. La galaxie du centre et le kaïo du centre déchu! C'est super excitant! Au fait, qu'en est-il du Kaïoshin du centre? Il n'est pas dit que Boo l'a tué, alors...
Avatar de l’utilisateur
RMR
Légende de l'Union Sacrée
 
Messages: 15597
Inscription: Jeu Juin 28, 2007 19:58

Messagepar Keiran le Ven Oct 05, 2007 23:02

Ha ! les fameux anti-dbgt :lol:

J'admet qu'on puisse ne pas aimer dbgt mais cet anime existe et a été approuvée. Donc DBGT est la suite de dbz.

Simple question : pourquoi n'aimes-tu pas dbgt ?

Le chapitre 6 donc. Le scénario qui nous est dévoilé est génialissime, tout simplement. La galaxie du centre et le kaïo du centre déchu! C'est super excitant! Au fait, qu'en est-il du Kaïoshin du centre? Il n'est pas dit que Boo l'a tué, alors...


Merci ! ça me fait tres plaisir que tu approuves !

Alors pour le kaioshin du centre, il y a deux solutions. Soit c'est le doyen des dieux soit on s'appuie sur une parole du doyen dans dbgt qui insinue qu'il y aurait un grand conseil (si je me rapelle bien) et donc le kaioshin du centre en ferait partie. Mais j'admet que la premiere idée me tente plus :D

Pour le reste. Tu as tout as fait raison ! Un mois sans rien....c'est fade. Je vais voir ce que je peux faire ! Merci encore !
Je poste le dernier chapitre en date.
Je vous souhaite donc (encore) une bonne lecture !


Chapitre 7 : Retour sur Terre



La Terre ! Notre merveilleuse planète ! Avec ses immenses océans bleutés, ses hautes montagnes et ses plaines verdoyantes. Il y a cinq ans elle était en ruines, victime de la puissance des dragons noirs qui avaient tout dévasté sur leur passage. Mais grâce à Songoku, ce n’était plus qu’un lointain souvenir et sa famille et ses amis avaient joué un grand rôle dans la reconstruction des nombreuses villes détruites. Aujourd’hui les cicatrices du passé ont disparu et les terriens vivent des jours paisibles.

Loin de la ville, en pleine campagne, près d’une rivière, se trouvaient trois petites maisons en forme de dôme. C’était ici que résidait la famille de Songoku. Aujourd’hui, ils déjeunaient chez Chichi. Sur la table, un grand nombre de plats étaient posés et étaient remplis d’une quantité impressionnante de nourriture alors qu’ils n’étaient que six autour de ce repas si l’on n’exceptait le petit garçon aux cheveux sombres quasi-châtains et aux grands yeux noirs qui jouait non loin de ses parents. Son père, vêtu d’un pantalon en jean et d’un tee-shirt bleu, avait des cheveux assez courts dressés sur sa tête partant tous sur un côté. Ils étaient noirs, à l’instar de ses yeux et ses traits étaient semblables à ceux de Songoku. La mère du petit était assise à côté de son mari, elle était très belle et ses longs cheveux châtains cascadaient dans son dos. Elle portait une robe courte assez claire avec des bottes blanches. En face d’eux, un autre couple était attablé : l’homme semblait être une version plus âgée et plus sérieuse du père du petit. Hormis le costume, les lunettes et la coupe de cheveux plus ‘‘droite’’, ils se ressemblaient comme d’eux gouttes d’eau. Sa femme, Videl, fille du grand champion Hercule Satan, avait de grands yeux bleus et de longs cheveux noirs formant une tresse qui tombait dans son dos. A une extrémité de la table, une femme aux cheveux mi-longs grisonnants et à l’air quelque peu sévère se tenait les bras croisés et observait la jeune femme qui venait de se lever à l’autre bout. C’était la fille de Videl et de son mari, Songohan. Elle s’appelait Pan. De longs cheveux noirs et lisses, de profonds yeux sombres (d’ordinaire emplis de curiosités) aussi dur que le métal, elle portait une robe du même type que celle de la mère du petit mais de couleur rouge. C’en était fini du petit garçon manqué qui n’en faisait qu’à sa tête, elle était une femme désormais.

Debout, sa chaise renversée, elle fixait la femme en bout de table. Les deux autres femmes observaient la scène, Videl, d’un air aussi sévère que la doyenne alors que sa belle-sœur, elle, ne semblait pas comprendre ce qu’il se passait.

Les bras le long de son corps, poings serrés, les dents grinçant, Pan paraissait vexée.

Ne pouvant plus se retenir, elle fit d’une voix forte :

- Je ne suis plus une gamine Grand-mère Chichi !

Pour appuyer ses propos, elle tapa du poing sur la table mais, n’ayant pas contrôlé sa force, la table se renversa et tous les plats s’envolèrent derrière elle sous le regard surpris des trois autres femmes alors que les deux hommes continuaient de manger dans leurs assiettes, tenues bien fermement dans leurs mains.

C’est à ce moment que Songoku choisit de faire son apparition…en plein dans la trajectoire des plats volants.

N’entendant pas de bruit de vaisselle cassée, les deux hommes levèrent la tête de leur assiette. Pan, elle, se retourna et se figea instantanément à la vue de son grand-père, debout, en train de manger le contenu des plats qu’il venait de rattraper. Une énorme pièce de viande dans la bouche, celui-ci leva la tête et prononça un ‘‘bonjour’’ quasiment incompréhensible.

Les larmes aux yeux, la jeune femme regardait son grand-père.

- Grand…Grand-père ? bégaya-t-elle très émue, ne pouvant faire un geste.

Le saiyen posa les plats par terre et s’avança en direction de sa petite fille.

- C’est toi Pan ? demanda-t-il. Tu as beaucoup changé ! Tu es une femme maintenant !

Enfin débarrassée de son blocage, elle sauta par-dessus la chaise renversée et s’agrippa au cou du guerrier, folle de joie.

- Grand-père ! Tu es enfin revenu !

Quand elle l’eu enfin lâché, Songoku se tourna vers les deux hommes et Chichi qui s’étaient levés.

- Vous avez l’air en forme.

Les deux hommes vinrent l’enlacer.

- Papa ! s’exclamèrent-ils en chœur. Tu nous as manqué.

- Songohan, Songoten, vous aussi vous m’avez manqué !

Il se retourna vers leurs femmes, toutes deux debout, côte à côte.

- Bonjour Videl, (celle-ci hocha la tête, un sourire aux lèvres). Bonjour, (il réfléchit une seconde)… Valese. La femme de Songoten eu un sourire franchement ravi.

- Eh bien tu en a mis du temps ; fit une voix sèche derrière lui.

Le saiyen se tourna pour voir sa femme approcher, bras croisés.

- Chichi ! fit-il, ravi. Tu m’as manqué.

La femme de Songoku se tint droite face à son mari et le fixa d’un regard froid. Songoku fut un peu surpris par cette attitude. Malheureusement pour elle, Chichi n’eut pas la force de tenir son petit rôle, elle éclata en sanglots et tomba dans le bras du guerrier qui la serra affectueusement.

- Toi aussi tu m’as manqué ! fit-elle, en pleurs.

- Calme toi Chichi ; dit-il d’un ton apaisant. Je suis là maintenant, tu n’as plus de raisons d’être triste.

Elle leva la tête, les yeux brillants de tristesse mais aussi d’amour. Songoku la fixa, plein de tendresse. Autour, tout le monde les regardait, touchés par cette scène.

Ce doux moment fut coupé lorsqu’une petite main agrippa le pantalon du saiyen. Le guerrier se baissa pour observer son petit fils. Le regardant d’un air curieux il fit :

- Bonjour toi ! (il leva la tête vers Songoten) Il est très mignon, mes félicitations !

- Merci ; répondit son fils. Il a deux ans. (il baissa la tête vers l’enfant) Rice dit bonjour à grand-père.

Le gamin lança un regard curieux en direction de Songoku.

- Bonjour Grand-père ; dit-il d’une voix encore maladroite.

Ce dernier eu un grand sourire ? Il prit son petit-fils dans ses bras et le souleva au dessus de sa tête ; le garçon éclata de rire sous le regard ravi de toute la famille.



Quelques heures et quinze plats plus tard, Songoku sortit de la maison en s’étirant. Dehors, le temps était magnifique, le ciel bleu ne comptait que quelques petits nuages, la nature était verdoyante et la rivière coulait paisiblement. Songoku avança et alla s’asseoir à l’ombre d’un arbre, non loin de sa maison. Assis en tailleur, il croisa les bras et ferma les yeux, sourcils froncés.

Ils sont si contents de me voir. Comment vais-je pouvoir leur annoncer qu’une nouvelle menace approche ?

Lorsqu’il ouvrit les yeux, Songohan se tenait debout devant lui, le regardant avec un regard étonné.

- Tiens Songohan ! fit-il l’air de rien mais ne pouvant cacher sa panique. J’ai vu Piccolo pendant mon séjour au Royaume des morts. Il t’embrasse.

Le demi-saiyen s’assit en face de son père.

- Ah oui ? Comment va-t-il ? demanda-t-il, curieux de savoir ce que son ancien mentor et ami faisait au Royaume de morts.

Songoku haussa les épaules.

- Bien. Il s’assure que tout se passe bien en enfer et d’après ce que j’ai vu je peux te dire que Cell et Freezer ont intérêt à se tenir à carreaux.

Son fils lâcha un rire bref.

- ça ne m’étonne pas de lui ! Il a trouvé le travail parfait ! (il s’interrompit) Papa, reprit-il après un silence pesant d’un ton plus sérieux et quelque peu inquiet. Que ce passe-t-il ? Ce n’est pas dans tes habitudes de méditer comme ça, surtout que tu viens à peine d’arriver.

Le guerrier eu un léger sourire. Son fils avait deviné.

- Je ne peux rien te cacher n’est-ce pas ? (Songohan acquiesça) Très bien ; ajouta-t-il en se relevant. Allez au palais de Dendé. Je vous y rejoindrais avec nos amis et je vous expliquerais tout.

- D’accord. Quelque peu hésitant il fit : ‘‘Papa, c’est grave ? ’’

Il n’eut qu’un hochement de tête pour seule réponse avant que son père ne disparaisse

Seul, Songohan croisa les bras et fronça les sourcils.

Pour que papa veuille que nous nous rejoignions tous, c’est que la menace qui pèse doit être terrible !

Il se leva et prit la direction de sa maison.

Plus vite nous serons au palais, plus vite nous en saurons d’avantage.
j'écris une fanfic qui, je l'espere, sera un jour plus que cela....

http://www.lunionsacre.net/viewtopic.php?f=42&t=3503
Avatar de l’utilisateur
Keiran
 
Messages: 172
Inscription: Jeu Oct 04, 2007 20:10
Localisation: Loire

Messagepar Keiran le Ven Oct 05, 2007 23:10

La maison de Bulma. Immense dôme jaune, marqué ‘‘Capsule Corporation’’, situé au milieu de la capitale Ouest – à nouveau dotée de ses immeubles, de ses tours se terminant par une sphère et surtout de son activité débordante – où y logeaient également sa famille et certains de ses amis.

A l’intérieur, dans une grande salle d’entraînement totalement blanche, se battaient deux hommes. L’un avait des cheveux mi-longs couleur lavande et très clairs. L’air assez dur, les yeux bleus aux iris noirs, il était vêtu d’un pantalon de combat noir et d’un débardeur assorti laissant apparaître ses muscles développés. Son adversaire, Uub, avait la peau sombre et ses cheveux noirs ne formaient qu’une grande crête. Les yeux noirs, très sérieux pendant ce combat, il portait un pantalon de combat blanc et un gilet oriental noir dévoilant ses muscles saillants.

Songoku observait attentivement ce combat passionnant à travers une baie vitrée lorsqu’un homme passa devant lui, les bras croisés. Celui-ci se tourna vers notre héros.

- Alors ; fit-il d’une voix arrogante et très sûre de lui. Tu es est revenu. Et je suppose que cette visite et cet air sombre annoncent des ennuis ; ajouta Végéta, très perspicace.

Plus petit et plus vieux que Songoku, il avait le regard dur et le sourire arrogant. De son front fuyant prenaient racine ses cheveux, courts et dressés sur sa tête, de manière agressive. Il n’était pas un saiyen ordinaire. Il était le Prince Végéta, fils du souverain de ce peuple extraterrestre aujourd’hui presque éteint, Songoku, lui et leurs descendants étant les derniers représentants de ce peuple de guerriers.

Songoku fixa Végéta. Derrière, le garçon aux cheveux lavande, Trunk, était en difficulté. Les bras contre son corps afin de se protéger au maximum, la tête a l’intérieur, il encaissait les coups de poing sans pouvoir les parer ni contre-attaquer et sont adversaire ne semblait pas vouloir gâcher son avantage. Trunk réussit à se dégager suffisamment longtemps pour se cambrer et expulser son énergie, la maison vibra quelque peu pendant la transformation de Trunk en Super Saiyen. Toujours entouré d’une aura dorée il passa à l’attaque devant le sourire de Oub.

- C’est exact, affirma le mari de Chichi. La situation est grave et nous allons devoir nous battre. Venez tous au Palais de Dendé, Songohan doit déjà y être. Je vous rejoindrai avec Krilin et les autres.

Végéta eu un rictus en entendant les noms de leurs amis terriens.

- Je ne pense pas qu’ils soient très utiles ; déclara-t-il, moqueur.

- Peut-être. Mais ça les concerne eux aussi ; rétorqua calmement son rival. Ensuite, ils prendront leur décision.

Végéta lâcha un petit bruit dédaigneux mais ne dit rien ;

Songoku hocha la tête.

- Alors à tout de suite ; fit-il avant de disparaître après avoir fait quelques pas.

Végéta ouvrit la porte de la salle où les deux hommes se battaient.

- Trunk !

Celui-ci se retourna en reprenant son apparence normale, Oub s’arrêta également.

- Oui Papa ?

- Va chercher ta sœur et ta mère ; ordonna-t-il. On doit aller chez Dendé.

- Que ce passe-t-il ? Demanda son fils, curieux.

- Ne pose pas de question et obéit ; répondit le saiyen d’un ton sec.

Le demi-saiyen leva légèrement les bras en signe de protestation.

- Mais je ne peux pas y aller, je dois aller chercher Marron et Jil…

- Ils nous rejoindrons là-bas ; répondit Végéta avant même que son fils ait terminé sa phrase. (Trunk baissa les bras et abdiqua) Maintenant dépêche-toi.

- D’accord ! Oub tu viens avec moi ? demanda-t-il au jeune homme se tenant à côté de lui.

Celui-ci hocha la tête.

- Bien sûr.

Ils sortirent de la salle. Végéta, lui, s’adossa contre le mur et croisa les bras.

Il semble avoir fait des progrès depuis cinq ans. Mais mon entraînement a payé et nous sommes sur un pied d’égalité.

Le Prince des saiyens sourit férocement.

J’ai même un avantage. Et le défi qui nous attend me permettre de le prouver !



Le Palais de Dendé. Demie soucoupe perchée à plusieurs kilomètres au-dessus du sol, c’était un endroit paradisiaque d’une pureté et d’une architecture digne des plus grands temples où ses magnifiques rangs des palmiers ajoutaient un charme particulier à ce lieu.

C’est entre ces rangées que patientaient Songohan, Chichi et le reste de la famille. Songohan attendait tranquillement, assis en tailleur, les yeux fermés. Videl était près de lui. Songoten et Valese s’émerveillaient devant le petit Rice en train d’observer un papillon. Pan patientait debout, bras croisés. Chichi…faisait les cent pas, visiblement courroucée.

- Il m’énerve ! fit-elle, hurlant presque. A peine est-il arrivé qu’il va déjà repartir affronter je ne sais quel monstre.

Son fils ouvrit les yeux et regarda sa mère.

- Calme toi maman, on ne sait pas encore ce qui ce passe.

Au lieu de la calmer, ses paroles eurent l’effet inverse. Elle le foudroya du regard.

- Mais bien sûr que si ! ça devient une habitude. Il y a encore un monstre qui s’est échappé de l’Enfer ou le fils d’un de ces monstres qui veux se venger ! spécula-t-elle. Ne me prend pas pour une idiote ! A chaque fois c’est pareil ! termina-t-elle, quasi hystérique.

Le demi-saiyen eu un mouvement de recul face à l’agressivité de sa mère.

- Ne t’énerve pas Chichi ; fit une voix paisible provenant de l’entrée du palais. Nous allons bientôt savoir ce qu’il se passe.

Tous se retournèrent, pour voir Dendé, dieu de la Terre, et son serviteur Mr Popo. Ils étaient exceptionnellement accompagnés de Maître Karine, un chat blanc tenant un bâton d’ermite, chef de la tour sacrée située en dessous du palais, et de Yajirobé, un homme hirsute messager et compagnon du maître. Dendé était un namek, plus jeune que Piccolo et d’allure moins guerrière, il portait une toge blanche. Mr Popo était un être très particulier. Petit et trapus, il avait la peau noire et des lèvres charnues. Ses grands yeux noirs ne clignaient jamais, le rendant effrayant pour beaucoup de personnes. Sa tenue était semblable à celle de Oub.

- Dendé ! s’exclama Songohan, content de revoir le dieu.

Le namek sourit.

- Nous sommes heureux de vous revoir, fit Dendé.

Ses compagnons hochèrent la tête.

Songohan se leva et s’approcha du Dieu.

- Dendé, sais-tu ce qui se passe ? demanda-t-il.

Celui-ci baissa la tête, l’air coupable.

- Je suis navré Songohan. Il faudra attendre Songoku.

- Ce n’est pas grave ; le rassura-t-il, nous pouvons encore attendre un peu.

Le namek hocha la tête avec un sourire rassuré.

- Quelqu’un arrive ! cria Songoten en se retournant.

Tous levèrent la tête.

- C’est Végéta ; informa son frère.

Trois silhouettes entourées d’un halo d’énergie blanchâtre apparurent au-dessus de leurs têtes. Végéta, Oub et Trunk se posèrent sur le sol du palais, faisant disparaître l’aura qui les entouraient. Un petit avion jaune arriva juste derrière eux et se posa à côté des trois hommes. Le cockpit s’ouvrit et deux femmes en sortirent. L’une, vêtue d’une longue robe jaune, devait avoir l’age de Chichi, peut-être plus. Elle avait des cheveux bleus assortis à ses grands yeux profonds. Elle restait très belle, malgré son age. L’autre était sa fille. Environ l’age de Pan, elle ressemblait beaucoup à sa mère hormis des cheveux plus longs virant un peu sur le vert et un air plus sévère. Elle portait un pantalon en jean et un tee-shirt rouge.

Songohan et ses compagnons les rejoignirent.

La femme aux cheveux bleus regarda tout autour d’elle. Une fois cette inspection terminée elle regarda le demi-saiyen.

- Mais où est Songoku ? Je croyais qu’il nous avait donné rendez-vous ici.

- Détend toi Bulma, il est allé chercher Krilin et les autres ; expliqua Gohan. Je pense qu’il ne devrait plus tarder maintenant.

A peine eut-il terminé sa phrase que Songoku apparut, plusieurs personnes lui tenant sa tunique. Il y avait Krilin, un petit homme âgé, les cheveux grisonnants ainsi que la moustache. Les yeux noirs constamment étonnés, il n’avait pas de nez. Derrière lui ce trouvait sa femme, C-18, cyborg autrefois ennemie de nos héros. Ses cheveux blonds coupés courts, ses habits stricts et son air sévère la rendait très intimidante. A leurs côtés, leur fille Marron portait un petit garçon aux cheveux lavande dans ses bras. Marron avait hérité des cheveux blonds (bien que plus longs) de sa mère ainsi que de son nez. Mais l’expression de son visage, à la fois amicale et toujours étonnée, était une particularité qu’elle tenait de son père. Elle portait une robe rose. Elle avança directement dans la direction de Trunk qui lui fit un grand sourire en la voyant s’approcher. Plus à l’écart on pouvait apercevoir Yamcha, Tenshinhan et Chaoz.

Yamcha était un homme aussi âgé que Bulma. Une cicatrice lui barrait l’œil droit et une autre la joue gauche. Il avait de longs cheveux noirs et portait un costume ocre. Il était accompagné de Plume, un petit chat volant. Tenshinhan et Chaoz portaient tous deux un pantalon de combat vert bandé de jaune aux chevilles et un débardeur blanc. Grand chauve très musclé, la mine sérieuse, Tenshinhan possédait un troisième œil au milieu du front améliorant grandement sa vue, chose utile lors d’un combat. Son compagnon était exactement l’inverse. Très petit, il ressemblait à un enfant. La peau légèrement bleutée, son visage aux pommettes rouges et aux grands yeux immobiles était indéchiffrable. Il portait un petit chapeau, cachant un unique cheveu sur son crâne. Le père de Videl était également présent. Pantalon blanc, veste marron tenue par une ceinture, il avait le crâne dégarni et sa moustache tombante rejoignait les vestiges de sa coupe afro. De petits yeux bleus, il avait un air ébahit sans doute dû au nombre de personnes présentes.

De l’autre côté, Songoku tenait un vieillard aux barbe et moustache blanches. Vêtu d’un short jaune et d’un tee-shirt vert, il portait des lunettes de soleil. Le guerrier le tenait à bout de bras et Tortue Géniale – c’était son nom – se débattait, faisant preuve d’une vivacité peu commune pour son age, ce qui étonna Oolong, un petit cochon vêtu d’un pantalon tenu par des brettelles, qui se tenait proche de Songoku.

- Non pas question ! criait le vieil homme. Je ne veux pas y aller c’est l’heure de mon émission préférée, laisse moi tranquille. Je ne veux pas y aller, je ne veux pas y aller !

Comme ils étaient arrivés, Songoku le lâcha et le vieux maître rebondit sur le sol du palais. Il atterrit aux pieds de Pan qui resta impassible. Mais le vieillard changea complètement d’attitude et pris un air intéressé. Toujours couché par terre, il croisa les bras et regarda au-dessus de lui, sous la jupe de la jeune femme.

Avec un grand sourire il fit :

- Oh ! Mais je vois que la vue n’est pas mal du tout ici.

Pan baissa les yeux et aperçu le vieil homme. Enervée, elle serra les dents et le frappa d’un coup de pied fulgurant en criant ‘‘Dégage ! ‘‘. Tortue Géniale fit un vol plané et finit sa course en percutant le tronc d’un palmier et en poussant des gémissements de douleur.

- Et ne t’avise plus de recommencer ; lui conseilla la fille de Gohan.

Il y eut plusieurs rires. Songoku fit un pas en avant et tous s’approchèrent – Tortue géniale en se tenant le dos – et formèrent un cercle.

- Mes amis, merci d’être tous venus ; fit-il d’un ton grave et sérieux. Ceci vous concerne tous.

A ces mots, il inspira à fond et leur raconta mots pour mots ce que lui avait révélé Kaioh.

Quand il eut fini, un silence glacial régna dans le palais et sels C-18 et Végéta restaient impassibles. Les autres, la bouche ouverte, tremblant de tous leurs membres, étaient horrifiés.
j'écris une fanfic qui, je l'espere, sera un jour plus que cela....

http://www.lunionsacre.net/viewtopic.php?f=42&t=3503
Avatar de l’utilisateur
Keiran
 
Messages: 172
Inscription: Jeu Oct 04, 2007 20:10
Localisation: Loire

Messagepar return le Ven Oct 05, 2007 23:15

Keiran a écrit:Ha ! les fameux anti-dbgt :lol:

J'admet qu'on puisse ne pas aimer dbgt mais cet anime existe et a été approuvée. Donc DBGT est la suite de dbz.

Simple question : pourquoi n'aimes-tu pas dbgt ?


DBGT N'a jamais été approuvé. Toriyama, marre de sa série qu'il voulait clore depuis longtemps, a laisser définitivement tout pouvoir à la Toei.
Elle n'est en aucun cas la suite officielle de Dragon Ball (le support de DB, c'est le manga, pas l'animé)

Quand à savoir pourquoi je n'aime pas DBGT, c'est plutot évident:
absence totale de scénario (ta fic est meilleure que la leur)
non respect de l'univers original (Pilaf censé etre mort, dragons surpuissants, planète explosant sans raison, ....)
une répétition totale de la fin de la série (fusion, transformation SSJ, Genkidama, etc....)
des bons de puissances à faire palir un ZPU de Vegeta...

Bref, cette série n'est rien d'autre qu'un foutage de gueule intégral de la Toei, sur une oeuvre qui dénature complètement DB)

m'enfin, je vais m'arreter là, je n'ai aps envie de te polluer ta fic. Il y a d'autre topic pour parler de DBGT.
Avatar de l’utilisateur
return
 
Messages: 1865
Inscription: Sam Juil 08, 2006 13:08

Messagepar RMR le Ven Oct 05, 2007 23:17

Faut dire ce qui est. Dragon ball GT n'a pas était scénarisé par Toriyama. Résultat, des méchants fade (le lion tué par un rocher qui tombe, Rild qui soi-disant surpasse Boo mais qui n'en jette pas plus que ça...) et des erreurs en pagaille:

-Des dragon balls sorties de nulle part (qui auraient dû disparaître avec la scission d'un certain namek en Dieu et Piccolo il y a de cela fort longtemps)

-Une recherche dans l'espace inutile, il suffisait de demander au dragon de Dende de rassembler les dragon balls du namek à l'origine de Dieu et Piccolo.

-Des dragon balls qui doivent être réunies en moins d'un an, alors qu'elles sont censées être en pierre pendant cette période et indétéctables...

-Rild, sorti de nulle part, qui surpasse Boo, celui qui terrorise jusqu'aux Kaïoshin et ce depuis des millions d'années!

-Les dragon balls qui créent des monstres bien au delà du niveau de leur créateur (ce qui est quelque peu impossible), parce qu'on leur à demander des trucs trop gentil (votre propre scénario vaux mille fois mieux que ça!).

-Le super saïyen 4, affreux, on montre Goku sous cette forme à un gars qui connaît pas dragon ball GT, il le reconnaît pas.

-Sous cette forme, Goku devient adulte. Pourquoi? Comme si on allait vous le dire...

-Gohan qui se remet à être super saïyen alors que ça sert à rien.

Ne parlons plus de cette série s'il vous plaît. Il s'agit ici de votre fic. Dragon ball GT est officiel certe, mais on préfère l'oublier. Même Toriyama n'en voulait pas, mais il n'avait plus les droits.
Dernière édition par RMR le Jeu Oct 18, 2007 22:23, édité 3 fois.
Avatar de l’utilisateur
RMR
Légende de l'Union Sacrée
 
Messages: 15597
Inscription: Jeu Juin 28, 2007 19:58

Messagepar San999 le Ven Oct 05, 2007 23:30

Je suis au regret de vous révéler que Toriyama a eu à peu près le même rôle dans DBGT que dans les fillers de Dragonball et Dragonball Z... (Pas mal de designs (notamment l'affreux ssj4) et certaines idées scénaristiques.)

Il existe un bouquin avec les dessins qu'il a fait pour DBGT. Mais là, j'ai la flemme de vous chercher les références... Je suis pas sympa, je sais... Mais pour ma défense, j'ai un rhume... (Comment ça, "rien à voir"??)
Avatar de l’utilisateur
San999
Phœnix Violet
 
Messages: 12124
Inscription: Sam Mars 10, 2007 18:06
Localisation: À côté de la plaque... Toujours à côté... -_-'

Messagepar RMR le Ven Oct 05, 2007 23:59

Ce n'est pas une révélation. Mais perdu pour perdu, Toriyama a accepté de faire des designs. Mais, comme pour les fillers, sa participation est quasi inexistante.
Avatar de l’utilisateur
RMR
Légende de l'Union Sacrée
 
Messages: 15597
Inscription: Jeu Juin 28, 2007 19:58

Messagepar return le Sam Oct 06, 2007 9:48

Il est aussi à l'origine du voyage dans l'espace de Goku, Pan et Trunk. Tout comme l'idée du tournoi de l'autre monde entre Cell et Buu.
Avatar de l’utilisateur
return
 
Messages: 1865
Inscription: Sam Juil 08, 2006 13:08

Messagepar Keiran le Mer Oct 17, 2007 19:21

voici un nouveau chapitre !

il se situe entre les chapitres 4 et 5

bonne lecture !


Chapitre 4’ : L’offensive du namek :

Deux semaines passèrent rapidement. Songoku s’acharnait à essayer de traverser la couche nuageuse mais rien n’y faisait, à chaque fois c’était la même chose : il n’arrivait pas à se concentrer suffisamment longtemps pour franchir entièrement l’obstacle. Piccolo l’observait d’un œil attentif afin de lui faire part des défauts qu’il constatait dans la manière d’agir du saiyen.
De nouveau au sol, Songoku fit soudain éclater son énergie. Une aura blanche l’entourait ; son regard était aussi dur que de l’acier et plus intimidant que jamais rivé sur la barrière.
A la vue de son ami, le namek eut un mouvement de recul :
- Mais que fait-il ? s’interrogea-t-il, inquiet.
Jambes légèrement fléchies, le saiyen tendit ses bras et joignit ses mains au niveau des poignets, en position verticale.
- KA…. commença-t-il à énoncer d’une voix forte.
Il rabattit ses bras au niveau de sa hanche droite. Il avait rapproché ses mains, les plaçant face à face, un petit écart les séparant.
- ME…
Une lueur bleutée se forma entre ses paumes, formant progressivement une boule d’énergie.
- HA…ME…
La boule d’énergie grossit, semblant vouloir déborder. Il rabattit ses mains grandes ouvertes devant lui.
- HA !!! termina-t-il en poussant un hurlement suraigu.
Ce cri symbolisait la libération de son énergie, la boule au creux de ses mains se déchaîna en un rayon destructeur : une vague déferlante. Le saiyen venait de la lancer en direction de la barrière. Il s’élança à sa suite.
Piccolo resta sans voix face à la manœuvre du guerrier :
Mais qu’essayait-il de faire ?
A peine une fraction de seconde plus tard la vague d’énergie vint s’abattre sur les nuages, enfin d’après ce que vit Piccolo. Le rayon bleuté traversa les nuages devant ses yeux ébahis. Le barrage s’était ouvert !
- Comment est-ce possib… commença-t-il à balbutier.
Mais il s’arrêta, son regard se plaça sur la silhouette qui talonnait la Kamehameha : Songoku.
Filant à toute vitesse, il avait suivi son attaque de très près. Devant lui se présentait l’ouverture produite par cette même attaque.
Piccolo réalisa soudain ce que le guerrier s’apprêtait à faire.
- Il va passer ! s’écria-t-il d’un ton à la fois surpris et rageur.
Songoku commençait lui aussi à y croire, un sourire se dessina sur ses lèvres… pour s’effacer aussitôt, remplacé par un air paniqué sur sa mine déconfite : l’ouverture se rebouchait.
Paniqué, gesticulant dans tous les sens, Songoku essaya de s’arrêter tant bien que mal.
- Non, non, non ! hurla-t-il, bras devant lui en voyant la barrière s’approcher inexorablement.
Un bruit fracassant se fit entendre. La silhouette du saiyen tomba comme une feuille morte de la frontière entre les deux mondes. L’empreinte du choc s’étalait sur tout son corps. Le guerrier, langue pendante, les yeux dans le vague, voyait de petits nuages tourner autour de sa tête. Il s’écrasa sur le sol rocailleux de l’Enfer.
Piccolo accourut à son secours en parcourant les quelques mètres qui les séparaient en quelques habiles bonds sur les plus gros rochers qui saillaient ça et là.
- Ça va Songoku ? demanda-t-il penché au dessus de lui sans paraître réellement inquiet.
Le saiyen secoua la tête et s’assit en tailleur. Il croisa les bras, tête baissée.
- Je pensais tellement que ça allait réussir cette fois ! dit-il, une pointe de désespoir dans la voix.
- Calme-toi, tu es trop tendu ; conseilla le namek d’un ton apaisant à son ami qui tremblait de frustration. Reste dans cette position et profites-en pour méditer et te concentrer sur ta tache. Tu dois réussir.
- Je…Je crois que tu as raison, finit-il par lâcher après un long moment.

Il releva la tête vers son ami avec un air désolé :

- Mais cela fait deux semaines que je suis ici, Freezer et les autres se sont sûrement rétablis depuis…
Le namek ferma les yeux et sourit, plein de confiance.
- Ne t’en fais pas, je m’en charge. Maintenant concentre-toi sur toi-même et non sur ce qui t’entoure.
Le saiyen hocha la tête.
- Bien !
A ces mots, il ferma les yeux, croisa les bras, et se concentra.

Plusieurs minutes s’étaient écoulées, Piccolo observait son ami du haut du rocher où il était assis. La respiration du saiyen était désormais régulière mais son visage restait toujours crispé.
Très bien. Il est enfin concentré sur lui-même.
Soudain, il sentit quelque chose se rapprocher de sa position. C’était l’énergie de Freezer ainsi que celle de plusieurs autres ennemis qu’il avait combattus aux côtés de Songoku.
Ils arrivent.
Il jeta un regard sur le saiyen.
Si je les combats ici, il sera sans défense, je dois les empêcher d’arriver.
Il se leva. Serrant les poings, il fit éclater son énergie en un halo blanc similaire à celui qui avait entouré son ami quelques minutes auparavant
Il prit son envol. Quelques seconds plus tard, estimant qu’il était assez loin, il atterrit, fit disparaître l’aura qui l’entourait et alla s'installer sur un rocher. Tout était calme, il patienta calmement au milieu du site qu’il avait choisi pour combattre : un terrain accidenté situé entre deux sombres volcans aux allures agressives qui laissaient s’échapper leur dangereux magma le long de leurs flancs.
Les voilà !
Il releva la tête pour suivre du regard l’arrivée de la dizaine de halos colorés qui s’approchaient à toute vitesse.
Piccolo, pas impressionné le moins du monde, attendit que ces êtres atterrissent devant lui en gardant son air impassible.
En tête, le tyran Freezer, petit extraterrestre imberbe, violet et blanc, à la queue musclée et redoutable, avança vers le namek, ses yeux semblant lancer des éclairs.
Derrière lui, un dragon ressemblant à une énorme taupe et un autre vert, petit et trapu inspectaient les alentours d’un regard inquiet. Un monstre vert ressemblant à une cigale, un homme à la peau bleue et portant une armure jaune et quatre extraterrestres aux armures immaculées et aux larges épaulettes se placèrent derrière Freezer afin de le soutenir.
- Freezer, je ne vois Songoku nulle part, remarqua le plus petit des dragons. C’est peut-être un piège !
Ce fut Piccolo qui répondit :
- Songoku n’est pas là mais je suis tout à vous messieurs, dit-il en se mettant en positon de combat, présentant son profil, bien campé sur ses jambes légèrement fléchies, une main devant lui afin de parer toute attaque, l’autre en retrait pour contre-attaquer. Si vous arrivez à me battre je vous dirai où il se trouve ; ajouta-t-il avec un fin sourire.
Freezer baissa les yeux, baissa la tête et sourit à son tour :
- Très bien, c’est comme tu voudras Piccolo, fit-il d’une voix sereine mais menaçante.
Puis il releva la tête, ouvrit les yeux et ajouta :
- Mais tu ne nous auras pas aussi facilement que la dernière fois !
Ce fut au tour du namek d’arborer un sourire de prédateur. Apparemment, il n’était pas de l’avis du tyran. Il se redressa et porta une main à son turban, l’autre à sa cape :
- C’est ce que nous verrons.
D’un geste à la fois rapide et habile, il retira simultanément ces deux vêtements qui vinrent se poser sur un rocher ; celui-ci se brisa en morceaux sous l’impact.
Au même instant, Freezer chargea, poing brandi. Piccolo se baissa, passa sous sa garde et enfonça son poing dans l’estomac du tyran qui cracha un peu de salive.
Freezer recula de quelques pas malhabiles en se tenant le ventre. Il serra les dents, rageur.
- Tu me le paieras, cracha-t-il
Puis il se tourna vers ses camarades et ordonna :
- Allons-y ! Ecrasez-le !
Ils chargèrent. Cell, la cigale, arriva le premier sur Piccolo. D’un coup de pied salvateur, le guerrier à la peau verte le renvoya d’où il venait, percutant Freezer au passage. Les Forces Spéciales du tyran, aux armures blanches, dépassèrent le namek et firent immédiatement demi-tour pour l’attaquer par surprise. Piccolo fit éclater son énergie, la puissance dégagée balaya les membres du commando, les envoyant voler dans la rivière de lave située derrière eux.
- Pathétique, commenta Piccolo d’une voix pleine de mépris.
- Ce ne sera pas aussi facile avec moi, intervint une voix grave.
Le namek releva la tête pour apercevoir Rild dans son armure jaune. Le général descendit vite et atterrit brutalement, fissurant le sol sous ses pieds.
Piccolo se remit en garde. Rild, lui, resta droit comme un « i », poings serrés, bras le long du corps.
Leurs regards se croisèrent. Un geyser de lave surgit des fissures. Les deux guerriers s’élancèrent. En suspension à plus de dix mètres au-dessus du sol, le combat faisait rage. Piccolo pris rapidement l’avantage, coups de pied, de poings, feintes, Piccolo gagnait rapidement du terrain devant un Rild qui ne pouvait contenir l’offensive du namek. D’un uppercut au menton, il envoya son vis-à-vis voler à plusieurs mètres au dessus de lui. A une vitesse fulgurante, devenu invisible au commun des mortels, il se déplaça dans la trajectoire de son adversaire. Mains jointes, il les abattit sur son ennemi , l’envoyant s’écraser sur la paroi d’un volcan qui entra en éruption.
Piccolo se posa en douceur, impassible puis sourit.
Joignant ses mains, il en fit craquer les os. Il agit de même avec son cou. La tête encore inclinée sur le côté il s’interrompit soudain :
- N’essayez même pas, dit-il au deux dragons qui tentaient de l’attaquer discrètement pas derrière.
Ceux-ci stoppèrent leur mouvement. Abandonnant toute subtilité, ils se ruèrent sur le namek. Celui-ci fit volte face et, de chacune de ses mains, envoya une boule d’énergie dorée atteignant le binôme de pleine face. Une fois la fumée dissipée, les deux dragons se secouèrent vigoureusement la tête. Il se retournèrent, l’un face à l’autre et se fixèrent avec des yeux surpris. Ils levèrent doucement la tête et ouvrirent grand leurs yeux apeurés, de la sueur perlant sur leurs fronts.
Au dessus d’eux, Piccolo avait porté ses mains croisées devant son front, une boule d’énergie formée à l’intérieur. Il rabattit ses paumes devant lui en direction de ses adversaires pétrifiés.
- Masenko ! hurla-t-il.
Une vague d’énergie dorée se dégagea et fut propulsée en direction des dragons aux yeux exorbités devant l’approche inévitable du gigantesque rayon destructeur.
Le choc fut terrible et le sol se fracassa, la roche en fusion jaillissant de partout.
Quelques minutes plus tard, à quelques mètres de là sur un sol stable, Piccolo, de nouveau paré de sa cape et son turban, finissait d’entasser les corps inertes de ses adversaires. Le dragon verdâtre sur le dos, il le fit basculer sur un Freezer à la langue pendante et aux yeux vitreux.
Le namek s’épousseta les mains.
- Bien, voilà une bonne chose de faite. Ils ne devraient plus nous ennuyer avant quelques temps.
Il se retourna et murmura pour lui-même :
- Je n’ai plus qu’à rejoindre Songoku maintenant.
Son aura blanche apparut et il s’envola en direction de son ami.
Dernière édition par Keiran le Mer Oct 17, 2007 19:51, édité 1 fois.
j'écris une fanfic qui, je l'espere, sera un jour plus que cela....

http://www.lunionsacre.net/viewtopic.php?f=42&t=3503
Avatar de l’utilisateur
Keiran
 
Messages: 172
Inscription: Jeu Oct 04, 2007 20:10
Localisation: Loire

Messagepar RMR le Mer Oct 17, 2007 19:51

Comme promis, je suis en train de faire une analyse de votre fic. Donc je ne vais pas trop parler ici. Sachez juste que je suis trés agréablement surpris par votre changement de style. Vous venez de nous montrer que vous saviez également vous arrêter pour entrer dans un registre descriptif, ici décrire un combat.
Avatar de l’utilisateur
RMR
Légende de l'Union Sacrée
 
Messages: 15597
Inscription: Jeu Juin 28, 2007 19:58

Messagepar Keiran le Mer Oct 17, 2007 19:55

Merci !

Néanmoins j'ai fais appel a un correcteur cette fois et cette personne m'a beaucoup aidé au niveau du vocabulaire afin d'eviter les répétitions.

Pour les combatsn je me plait à les décrire et j'essaye de faire ressentir la rapidité et l'intensité des combats par la maniere dont je les écris.
j'écris une fanfic qui, je l'espere, sera un jour plus que cela....

http://www.lunionsacre.net/viewtopic.php?f=42&t=3503
Avatar de l’utilisateur
Keiran
 
Messages: 172
Inscription: Jeu Oct 04, 2007 20:10
Localisation: Loire

Messagepar asm75 le Sam Jan 19, 2008 21:58

Vraiment sympa ta fanfic! Meme moi qui suis un anti dbgt convaicu je dois admettre que ta suite me plais bien.
En revanche pour ce qui est de te faire publier ca me parait difficile voir irrealisable...
Mis a part ca,a quand des nouveaux chapitres?
Avatar de l’utilisateur
asm75
 
Messages: 4483
Inscription: Jeu Jan 17, 2008 22:52
Localisation: Paris

Messagepar Keiran le Mer Jan 23, 2008 17:56

merci ! oui j'essaye de faire mieux que GT et je suis ravi que ça te plaise.
Pour me faire publier, je verrais bien mais avant cela il faudrait avoir terminé le premier tome et c'est loin d'etre le cas !

J'ai écrit trois chapitres supplementaire et j'en ai un autre en cours mais seulement je n'ai pas le temps de les tapper ( mon rythme au clavier etant trèèès lent)
Je vais m'y mettre !!!! :D
j'écris une fanfic qui, je l'espere, sera un jour plus que cela....

http://www.lunionsacre.net/viewtopic.php?f=42&t=3503
Avatar de l’utilisateur
Keiran
 
Messages: 172
Inscription: Jeu Oct 04, 2007 20:10
Localisation: Loire

Messagepar asm75 le Mer Jan 23, 2008 18:15

Ok j'attends ca avec impatience!
Bon courage!
Avatar de l’utilisateur
asm75
 
Messages: 4483
Inscription: Jeu Jan 17, 2008 22:52
Localisation: Paris

PrécédentSuivant

Revenir vers Fanfictions

Qui est en ligne ?

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 32 invités