Fanfic : Toujours plus

EDIT 27/12/2014 !!
Bonjour tout le monde !
Cela fait longtemps, très longtemps ! Près de 4 ans que je n'ai pas posté la suite de cette fanfic, et pourtant j'aurais voulu ! Je vais passer les détails, juste dire que je suis revenu et que je compte bien, cette fois-ci continuer cette histoire et la finir !
J'ai pas mal remanié le scénario, et donc par conséquent le chapitre un est bien different de ce qu'il à pu être, voici tout de suite le nouveau chapitre !
Il s'agit donc d'une suite au manga, se déroulant quelques années après la fin du dernier chapitre et du départ de Goku pour aller entrainer Uub. Nous allons suivre les péripéties de Goten et Trunks agé de 23 et 24 ans, dans un monde qui leur réservent bien des surprises ! Au programme : Action/Aventure/Mystere et romance. Je n'annonce pas les couples, je vous laisserai les découvrir au fur et à mesure !
Je vous souhaite une bonne lecture !
_ _ _ _ _
Toujours plus.
Chapitre premier.
Rapide... Extrêmement rapide. Un homme qui passerait dans les environs ne remarquerait probablement rien. C'était d'ailleurs le cas pour ce paysan qui se rendait à son lieu de travail, marchant tranquillement sur le sentier il sifflotait une petite chansonnette. La vallée était calme, il faisait une douce chaleur malgré un début de saison plutôt fraîche, et le vent s'était calmé.
Pourtant, le paysan s'arrêta brusquement. Il venait de ressentir une légère secousse sous ses pieds.
- Un tremblement de terre ? se demanda-t-il abasourdi .
Il s'arrêta de siffloter, se concentrant sur le sol. Après quelques instants de silence, une nouvelle secousse le surprit. Allons bon ! Cette région n'était pas du tout connue pour être située proche d'une plaque lithosphérique. Il haussa ses épaules, jugeant qu'un micro séisme était bien le dernier de ses soucis.
De plus ces dernières années il avait vu bon nombre de choses bizarres ; Quid de ce monstre vert qui avait faillit conquérir la terre plus d'une trentaine d'années auparavant ?
Plus d'une fois, il avait vu le ciel s'assombrir en plein jour sans aucune raison apparente. Rien ne pouvait l'étonner, ni lui faire peur du moment que cela ne menaçait pas sa vie ou la sécurité de sa famille.
Pourtant, au dessus de lui, bien loin de ses pâles considération, se déroulait un phénomène tout bonnement extraordinaire. D'une puissance phénoménale pour un homme, deux personnes étaient en train de combattre. Leur vitesse était telle qu'ils semblaient avoir disparu, et quand un coup plus fort que les autres était porté, une légère secousse sismique pouvait se ressentir aux kilomètres alentours.
Si la scène était étudiée par des scientifiques, ils en déduiraient peut-être que la chaleur environnante était due aux mouvements des deux combattants qui, en frottant l'air, faisaient s'échauffer la zone de manière exponentielle. Encore fut-il que ces scientifiques puissent se rapprocher suffisamment pour pouvoir prendre des mesures.
Le paysan sursauta lorsqu'un éclair de lumière zébra le ciel et tonna dans un fracas assourdissant.
Voilà qui était bien singulier, de l'orage en plein jour et sans nuage noir.
- Qu'est-ce que... ? Murmura le paysan entre ses dents, la tête levé vers le ciel. Son chapeau tomba à terre et roula sur quelques mètres, mais il ne prit pas la peine de le ramasser, hypnotisé par le spectacle des cieux.
Des nuages noirs, il n'y en avait effectivement pas. Mais il y avait là une formation particulièrement intéressante de cumulus nimbus. Les nuages semblaient tourner dangereusement autour d'un point invisible, repoussés tel un aimant face à son pôle opposé.
Le paysan poussa un juron, il se passait vraiment des choses bizarres ici et il ne voulait surtout pas en faire les frais ! Encore quelques années et il pourra profiter d'une retraite amplement mérité.
Reprenant courage en se claquant les joues, il repartit en direction de son champ de travail à tout allure.
Les nuages étaient bien repoussés par une force invisible, mais pourtant bien connu : le vent.
Si, près du sol, celui si était quasiment nul mais à plusieurs centaines de mètre de là, près des formations nuageuses, la force du vent était titanesque.
Si un oiseau parvenait à rentrer dans la zone de turbulence, il n'aurait aucune chance d'en sortir vivant, il serait immédiatement coupé en morceau par des lames d'airs poussées à des vitesses extrêmes.
Quant au flash lumineux, si la chaleur et la tension électrique avait pût être calculé, alors on aurait constater que pendant un bref instant l'atmosphère s'était échauffé à une chaleur avoisinant la surface du soleil. Enfin, la tension électrique présente dans l'atmosphère aurait suffi à éclairer une ville moderne entière durant plus d'un an.
Les forces en jeux étaient tout bonnement extraordinaires. Pourtant, les deux jeunes hommes qui se battaient n'en avaient strictement rien à faire.
L'un était brun, les cheveux en bataille partant de tous les côtés. Il avait un immense sourire aux lèvres que même un coup de poing capable de percer la croûte terrestre reçue en plein ventre n'arrivait à érafler. Ce surhomme à la force prodigieuse était habillé de la façon la plus simple du monde : Un jean bleu clair et un t-shirt noir aux manches blanche.
Son adversaire quant à lui ressemblait à s'y méprendre à un fonctionnaire de bureau. Il était vêtu d'un pantalon kaki plus ou moins seyant, d'une veste de la même couleur et d'une chemise blanche entre-ouverte. Seuls ses cheveux mauves le faisaient sortir de l'ordinaire.
Une légère aura s'échappait des deux combattants. C'était là l'effet visuel d'un surplus de puissances qui s'évacuait par les pores de leur peau.
C'était d'ailleurs grâce à cette aura que leur vêtement n'était pas déchiré par les forces naturelles qui les entouraient ; celle-ci fonctionnait comme une sorte de protection, une limite entre le corps et le défoulement des éléments extérieur.
Le regard des deux jeunes homme se croisèrent. Le brun élargit encore son sourire alors que le fonctionnaire retira sa veste et la jeta dans les airs.
Le vêtement effectua une longue chute de plus trente seconde, avant de tomber en plein sur la tête du paysan. Celui-ci attrapa la veste et la regarda sans comprendre. Il cligna des yeux plusieurs fois et regarda autour de lui.
Il poussa un soupir. Encore un nouveau phénomène bizarrement bizarre qu'il rajouterai à sa liste... M'enfin, il avait gagner une veste, c'était déjà ça. A y regarder de plus près, le logo de la célèbre Capsule Corp. était brodé sur l'une des manches. Une veste de valeur qui plus est !
Bien plus haut dans le ciel, le sort du vêtement abandonné semblait être la dernière des préoccupation de son propriétaire.
Les deux combattants reprirent le combat.
L'échauffement semblait terminé, les coups s'échangeaient de plus en plus vite, l'air tremblait autour d'eux.
D'un coup de pied bien placé, le brun propulsa son adversaire plus haut encore dans l'atmosphère. Continuant son mouvement, il arma son bras droit et balança une gerbe d'énergie en direction de son partenaire. Celui-ci se redressa du choc du premier coup d'un salto aérien, puis, jaugeant en une fraction de seconde la puissance énergétique qui se dirigeait vers lui, il arma son coude et envoya le rayon hors de sa portée.
Le mouvement avait à peine été effectué que l'autre était déjà sur lui, tentant un crochet du droit, rapidement paré par un souple mouvement de genou avant d’enchaîner sur une série de coups de pied qui avaient plus but de déstabiliser que de toucher.
Si le combat était d'une violence rare pour un être humain normalement constitué, il était étonnant, voir miraculeux, de constater qu'aucun des deux combattants n'étaient blessés.
L'homme aux cheveux mauve encaissa tant qu'il pouvait le nouvel assaut de son adversaire, cherchant la moindre petite ouverture. La chance lui sourit enfin une fraction de seconde plus tard : le flanc droit du brun était sans protection. Cette millionième seconde d'inattention lui suffit pour placer un coup de pied dévastateur. Il entendit des côtes craquer sous l'impact avant que le jeune homme ne fut propulsé des centaines de mètres plus loin.
Sonné par l'impact, le garçon au jean bleu mis quelques instants à reprendre ses esprit et stopper sa chute. Il se stabilisa dans les airs, la tête vers le sol et légèrement essoufflé.
Ils se toisèrent. Chacun savait pertinemment ce que l'autre avait en tête. Lorsque deux maîtres en art martiaux s'affrontait, il n'était pas rare qu'ils arrivent à lire dans les pensées de chacun. Il ne faisait plus qu'un dans la danse du combat.
Dans un accord qui semblait commun, ils augmentèrent de façon drastique leurs énergies. Les auras flamboyèrent autour d'eux, leurs cheveux s'hérissèrent brutalement et ce tintèrent d'une magnifique couleur dorée. Leurs yeux perçants étaient maintenant d'une couleur verte, presque émeraude.
Toute la puissance bridé par leur corps jusqu'à maintenant se libéra grâce à cette soudaine transformation physique.
Et en un clignement, le combat repris. Le vrai combat, beaucoup plus violent, beaucoup plus dangereux, beaucoup plus jouissif.
La terre menaçait de se craqueler sous eux, chaque assaut était une souffrance pour les éléments alentours. Une rage de vaincre animait les deux combattants, et aucun ne voulait céder la victoire à l'adversaire.
Le combat durait maintenant depuis plus d'une heure sans qu'ils ne puissent se départager malgré la variété de leur arsenal de techniques.
La force pure ne suffisait pas à battre son adversaire, il fallait être inventif, trouver des ruses pour surprendre et ne pas bêtement foncer dans le tas sans réfléchir.
C'était dans cette optique que le faux fonctionnaire lança deux boules d'énergies. Celles-ci se dirigèrent à toute vitesse vers le brun devenu blond qui décolla vers le ciel pour les esquiver. Mais les boules le poursuivirent dans son mouvement, piquant elles aussi vers le ciel.
Souriant, le jeune homme en jean plaça ses mains devant lui et balança une gerbe d'énergie, juste plus puissante que celle de son adversaire pour détruire l'attaque énergétique qui fonçait droit sur lui.
Mais déjà deux nouvelles boules venu du ciel tombaient dans sa direction. Il rejoignit le sol, et balança encore une fois un rayon afin de détruire ses poursuivantes.
Il flaira le piège trop tard.
Concentré sur les boules d’énergie, il n'avait pas détecté son adversaire enfoui juste en dessous de lui, sous la croûte terrestre. Une main qui sortie de terre lui agrippa le col, de l'autre main une lueur bleutée, un concentré d’énergie pure, menaçait d'exploser à bout portant contre son flanc.
La scène semblait s'être figée. Alors que le combat se déroulait depuis plusieurs minute à vitesse supersonique, voilà que les deux jeunes hommes étaient maintenant à l'arrêt. La tension changea brutalement, le sol cessa complètement de trembler, les nuages reprirent petit à petit leur place dans le ciel.
- J'abandonne, tu as gagné Trunks, articula rageusement le vaincu, essoufflé,
Il rendit à ses cheveux leur aspect d'origine.
Le dénommé Trunks le lâcha et fit de même pour son apparence. Il éclata de rire avant de s'effondrer au sol, rapidement suivi par l'autre.
- La patée que je t'ai mise Goten ! Tu n'as rien pu faire, je suis bien plus fort que toi !
- Pardon ! s'étrangla Goten en releva la tête, qui a gagné le précédent match ? Hein ? Rappelle-moi ?
- Tu avais triché ! C'était pas juste de balancer ta chaussure pour me surprendre en pleine partie de puissance 4 !
- Tous les coups sont permis dans un combat, tous !
Ils éclatèrent d'un rire franc. Trunks et Goten se connaissaient depuis leurs petites enfances. Amis pour la vie, Ils aiment se retrouver de temps en temps à l'écart de leur vie quotidienne pour se livrer à leur passe-temps favoris : la compétition.
La rivalité des deux garçons ne datait pas d'hier, ni même d'avant hier. Celle-ci avait été inauguré par leur pères des années auparavant, c'était dans leur sang, dans leurs chairs.
Pourtant, contrairement à leurs paternels, ils ne résolvait pas toujours leurs différents par le combat, et préféraient par dessus tout passer leur temps à discuter de tout et de rien. Pour ne rien cacher, niveau capacité physique, on pouvait dire qu'ils étaient complètement rouillés.
- Ce n'était pas ce que tu disais, Goten, lorsque lors de ton dernier combat avec Pan, celle-ci à malencontreusement frapper ton précieux entre-jambe ?
Goten grimaça en se remémorant ce douloureux souvenir.
- Rappel moi de ne plus jamais me battre contre cette garce.... Jamais ! Dire qu'elle n'a que 11 ans, elle va devenir un véritable monstre !
Trunks ne pu se retenir de rire devant le regard suplicieux de Goten. Pour en rajouter une couche, il mima de manière exacerbé la tête qu'avait Goten en se prenant le coup de pied tout en sautillant sur place, les mains protégeant ses parties intimes.
- Rigole si tu veux, mais je t'y aurais bien vu, à ma place ! enchaina Goten en riant de son propre embarras. Je n'ai jamais été aussi heureux de recevoir un Senzu que ce jour là !
Trunks se laissa de nouveau tomber sur le sol, expulsant tout l'air de ses poumons. Il regarda un instant les nuages dérivés dans le ciel, savoureux cet instant de silence.
- Hey Goten... dit-il en se tournant vers son ami. Ca te fait quel âge déjà ?
Goten fronça ses sourcils devant cette question aussi incongru que suprenante. Trunks savait très bien quel âge il avait.
- T'es con ou quoi ? J'ai 23 ans tu le sais bien.
Trunks ricana et lui donna une tape sur l'épaule.
- Merde, ça veut dire que j'ai 24 ans... On devient des adultes mec, et moi qui pensait que j'allais rester un gamin toute ma vie.
Goten cligna des paupières comme s'il ne comprenait pas où il venait en venir. Il s'assit plus confortablement en s'appuyant sur la paume de ses mains pour se maintenir droit. Au loin, un oiseau qui semblait particulièrement gros piailla dans le ciel, captant leur attention.
Un nouveau silence s'installa entre eux.
- Tu reprends la boite de ta mère bientôt ? demanda Goten au bout de plusieurs minutes.
Les deux garçons ne se regardaient pas, laissant leur regard vagabonder vers l'horizon.
- Ouais, bientôt la paperasse, les rendez-vous urgent et les réunion ennuyeuses seront mon quotidien... répondit-il sans la moindre émotion dans sa voix.
Goten se risqua un coup d'oeil vers Trunks. C'était son ami de toujours, il le connaissait pas cœur. Le plus souvent, il le voyait enjoué, sûr de lui. Lorsqu'il le rejoignait à son travail, il trouvait un Trunks sérieux, travailleur, ambitieux et concentré.
Aujourd'hui, il sentait qu'il était fébrile.
- Dire que ya pas 6 mois que tu me cassait les oreilles en me disant que tu n'attendais que ça, de pouvoir diriger la Capsule Corp. à ta guise ! Une vrai girouette en faite le Briefs !
Trunks haussa ses épaules.
- C'est sûr que vous, les Son, vous ne pouvez avoir qu'une seule idée en tête en même temps, ça facilite la vie !
Goten réagit au quart de tour.
- Hey tu te trompe ! Gohan peut sans problème te tenir la dragée haute en maths !
Trunks éclata de rire.
- C'est l'exception qui confirme la règle, justement ! Il en faut bien un pour relever le niveau de toute la famille !
Goten croisa les bras, bouguon.
- Peut-être, mais au moins nous sommes sociables contrairement à la famille Brief. Qui sont vos amis déjà ? Ah oui, il n'y a que les Son ! Heureusement qu'on vous à accepter dans notre cercle d'amis !
Trunks eut un sourire narquois. Il leva son index, l’œil brillant.
- Tu oublies Bra. Notre princesse est la fille la plus populaire de son école, répondit-il un brin de fierté dans la voix.
Le sourire de Goten s'élargit tellement qu'il lui montait presque jusqu'aux oreilles.
- L'exception qui confirme la règle, je ne sais pas si tu connais ? Enchaina-t-il.
Trunks réalisa un peu trop tard qu'il venait de se faire piéger par son ami. Pour se donner contenance, il repoussa une de ses mèches qui lui tombait sur le front.
- Un partout, monsieur Son.
- A charge de revanche, monsieur le président, répondit Goten en se levant.
Il étira ses bras et effectua quelques mouvements de bassin pour assouplir ses muscles engourdies.
Le regard de Trunks se perdit vers l'horizon, plongé dans ses pensées. La zone était desserte, calme, uniquement perturbé par les assouplissement de Goten. Du moins, jusqu'à ce que Trunks ne réalise quelque chose et qu'il ne pousse un cri à s'en casser les oreilles.
- Ma veste ! Tu l'a vu Goten ?
Le garçon répondit par la négative.
- Nop, t'as voulu te la jouer cool et l'enlever... T'as pas regardé où elle est tombé bien sûr ?
Trunks gromela. Il vérifia rapidement sa poche de pantalon et soupira de soulagement lorsqu'il y senti son prote-feuille et son téléphone portatif.
- 'Me reste plus qu'à repasser par la maison pour me changer avant d'aller au bureau...
- On décolle ?
Trunks aquiesca et en un instant les deux saiyens se retrouvèrent dans les airs. Volant au dessus des nuages pour ne pas se faire remarquer, ils augmentèrent leur vitesse sans le moindre effort. Les paysages défilait à vive allure au dessous de la couche nuageuse, traversant océans et montagnes.
Au bout de quelques minutes de vol, Goten fit un signe de mains vers Trunks. Celui-ci lui répondit pas un mouvement de tête et un clin d'oeil. L'instant d'après, les deux garçon prirent des directions différentes : L'un vers le Nord, l'autre vers l'Est.
Goten accéléra encore son rythme. Une bonne douche bien mérité l'attendait lorsqu'il arrivera chez lui, mais il allait profiter d'être de passage pour faire ses salutation journalière.
Il amorça sa descente alors qu'il n'était plus qu'à une centaine de mètres de la petite bourgade paysanne peuplé d'une dizaine de maisons ronde, petites mais tout a fait charmantes.
Il effectua un atterrissage en douceur, ne laissant s'échapper qu'un petit « toc » lorsqu'il toucha le sol et s'approcha de la première maison à sa droite.
Il frappa trois coups à la porte de la demeur et n'attendit pas qu'on lui réponde pour entrer.
- C'est moi ! s'exclama-t-il joyeusement en pénétrant dans le salon.
La pièce était étrangement vide, bien qu'il y régnait comme toujours une ambiance chaleureuse. Pourtant, Goten remarqua tout de suite que quelque chose n'allait pas. Il ne savait pas d’où venait cette impression. La place des meubles avaient changé ? Les photos sur les mûr était-elles toujours les même ? L'odeur de la maison était différentes ?
Non, ce n'était rien de tout cela, il y avait autre chose.
Comme pour répondre à ses réflexion, des pas dévalèrent à tout allure l'escalier, et une jeune femme débarqua dans le salon.
Goten se raidit.
Il n'avait jamais vu la personne qui se tenait face à lui. Brune, les cheveux en queue de cheval qui lui arrivait jusqu'aux épaules, la jeune fille devait avoir son âge. Où peut-être était-elle un peu plus jeune.
Elle portait un haut rouge, presque orangé, qui mettait en valeur sa poitrine sans aucune vulgarité et un jean délavé.
Les yeux noir profond de la jeune femme s’élargirent de surprises alors que sa bouche aux lèvres rosées s'entrouvrit.
Goten banda ses muscles, prêt à tout éventualité. Il capta l’énergie de l'intruse. Elle lui était pourtant familière, mais impossible de l'identifier. Il balaya de la première personne qui lui venait à l'esprit, c'était impossible.
L'inconnu parla et ses paroles glacèrent le sang de Goten.
- Ton... Tonton ?
La glace se brisa et les doute du jeune homme s'envolèrent. C'était bien l'energie de Pan qu'il ressentait, l’énergie de sa petite nièce de 11 ans.
- Pan... c'est toi ? articula-t-il difficilement.
Les iris de la jeune fille brillèrent légèrement, et des larmes perlèrent au coin des ses yeux. Elle amorça un pas en avant, puis se ravissa. Elle porta une main contre sa poitrine. Ses larmes coulaient maintenant sans retenu contre ses joues.
Goten était perdu. Comment diable cela pouvait-il être possible ?
- Pour... pourquoi...
La voix de Pan sortait difficilement de sa gorge. Elle avala sa salive et retint un sanglot.
- Pourquoi es-tu revenu après 10 ans... Goten ?
- - - -
Chapitre 01 fin.
- - - -
Le rythme de parution sera de un chapitre tout les deux semaines ! Je précise que je suis a la recherche d'un beta/lecteur, correcteur, pour m'aider à rendre cette fic la plus lisible possible !
A très bientôt !
Bonjour tout le monde !
Cela fait longtemps, très longtemps ! Près de 4 ans que je n'ai pas posté la suite de cette fanfic, et pourtant j'aurais voulu ! Je vais passer les détails, juste dire que je suis revenu et que je compte bien, cette fois-ci continuer cette histoire et la finir !
J'ai pas mal remanié le scénario, et donc par conséquent le chapitre un est bien different de ce qu'il à pu être, voici tout de suite le nouveau chapitre !
Il s'agit donc d'une suite au manga, se déroulant quelques années après la fin du dernier chapitre et du départ de Goku pour aller entrainer Uub. Nous allons suivre les péripéties de Goten et Trunks agé de 23 et 24 ans, dans un monde qui leur réservent bien des surprises ! Au programme : Action/Aventure/Mystere et romance. Je n'annonce pas les couples, je vous laisserai les découvrir au fur et à mesure !
Je vous souhaite une bonne lecture !
_ _ _ _ _
Toujours plus.
Chapitre premier.
Rapide... Extrêmement rapide. Un homme qui passerait dans les environs ne remarquerait probablement rien. C'était d'ailleurs le cas pour ce paysan qui se rendait à son lieu de travail, marchant tranquillement sur le sentier il sifflotait une petite chansonnette. La vallée était calme, il faisait une douce chaleur malgré un début de saison plutôt fraîche, et le vent s'était calmé.
Pourtant, le paysan s'arrêta brusquement. Il venait de ressentir une légère secousse sous ses pieds.
- Un tremblement de terre ? se demanda-t-il abasourdi .
Il s'arrêta de siffloter, se concentrant sur le sol. Après quelques instants de silence, une nouvelle secousse le surprit. Allons bon ! Cette région n'était pas du tout connue pour être située proche d'une plaque lithosphérique. Il haussa ses épaules, jugeant qu'un micro séisme était bien le dernier de ses soucis.
De plus ces dernières années il avait vu bon nombre de choses bizarres ; Quid de ce monstre vert qui avait faillit conquérir la terre plus d'une trentaine d'années auparavant ?
Plus d'une fois, il avait vu le ciel s'assombrir en plein jour sans aucune raison apparente. Rien ne pouvait l'étonner, ni lui faire peur du moment que cela ne menaçait pas sa vie ou la sécurité de sa famille.
Pourtant, au dessus de lui, bien loin de ses pâles considération, se déroulait un phénomène tout bonnement extraordinaire. D'une puissance phénoménale pour un homme, deux personnes étaient en train de combattre. Leur vitesse était telle qu'ils semblaient avoir disparu, et quand un coup plus fort que les autres était porté, une légère secousse sismique pouvait se ressentir aux kilomètres alentours.
Si la scène était étudiée par des scientifiques, ils en déduiraient peut-être que la chaleur environnante était due aux mouvements des deux combattants qui, en frottant l'air, faisaient s'échauffer la zone de manière exponentielle. Encore fut-il que ces scientifiques puissent se rapprocher suffisamment pour pouvoir prendre des mesures.
Le paysan sursauta lorsqu'un éclair de lumière zébra le ciel et tonna dans un fracas assourdissant.
Voilà qui était bien singulier, de l'orage en plein jour et sans nuage noir.
- Qu'est-ce que... ? Murmura le paysan entre ses dents, la tête levé vers le ciel. Son chapeau tomba à terre et roula sur quelques mètres, mais il ne prit pas la peine de le ramasser, hypnotisé par le spectacle des cieux.
Des nuages noirs, il n'y en avait effectivement pas. Mais il y avait là une formation particulièrement intéressante de cumulus nimbus. Les nuages semblaient tourner dangereusement autour d'un point invisible, repoussés tel un aimant face à son pôle opposé.
Le paysan poussa un juron, il se passait vraiment des choses bizarres ici et il ne voulait surtout pas en faire les frais ! Encore quelques années et il pourra profiter d'une retraite amplement mérité.
Reprenant courage en se claquant les joues, il repartit en direction de son champ de travail à tout allure.
Les nuages étaient bien repoussés par une force invisible, mais pourtant bien connu : le vent.
Si, près du sol, celui si était quasiment nul mais à plusieurs centaines de mètre de là, près des formations nuageuses, la force du vent était titanesque.
Si un oiseau parvenait à rentrer dans la zone de turbulence, il n'aurait aucune chance d'en sortir vivant, il serait immédiatement coupé en morceau par des lames d'airs poussées à des vitesses extrêmes.
Quant au flash lumineux, si la chaleur et la tension électrique avait pût être calculé, alors on aurait constater que pendant un bref instant l'atmosphère s'était échauffé à une chaleur avoisinant la surface du soleil. Enfin, la tension électrique présente dans l'atmosphère aurait suffi à éclairer une ville moderne entière durant plus d'un an.
Les forces en jeux étaient tout bonnement extraordinaires. Pourtant, les deux jeunes hommes qui se battaient n'en avaient strictement rien à faire.
L'un était brun, les cheveux en bataille partant de tous les côtés. Il avait un immense sourire aux lèvres que même un coup de poing capable de percer la croûte terrestre reçue en plein ventre n'arrivait à érafler. Ce surhomme à la force prodigieuse était habillé de la façon la plus simple du monde : Un jean bleu clair et un t-shirt noir aux manches blanche.
Son adversaire quant à lui ressemblait à s'y méprendre à un fonctionnaire de bureau. Il était vêtu d'un pantalon kaki plus ou moins seyant, d'une veste de la même couleur et d'une chemise blanche entre-ouverte. Seuls ses cheveux mauves le faisaient sortir de l'ordinaire.
Une légère aura s'échappait des deux combattants. C'était là l'effet visuel d'un surplus de puissances qui s'évacuait par les pores de leur peau.
C'était d'ailleurs grâce à cette aura que leur vêtement n'était pas déchiré par les forces naturelles qui les entouraient ; celle-ci fonctionnait comme une sorte de protection, une limite entre le corps et le défoulement des éléments extérieur.
Le regard des deux jeunes homme se croisèrent. Le brun élargit encore son sourire alors que le fonctionnaire retira sa veste et la jeta dans les airs.
Le vêtement effectua une longue chute de plus trente seconde, avant de tomber en plein sur la tête du paysan. Celui-ci attrapa la veste et la regarda sans comprendre. Il cligna des yeux plusieurs fois et regarda autour de lui.
Il poussa un soupir. Encore un nouveau phénomène bizarrement bizarre qu'il rajouterai à sa liste... M'enfin, il avait gagner une veste, c'était déjà ça. A y regarder de plus près, le logo de la célèbre Capsule Corp. était brodé sur l'une des manches. Une veste de valeur qui plus est !
Bien plus haut dans le ciel, le sort du vêtement abandonné semblait être la dernière des préoccupation de son propriétaire.
Les deux combattants reprirent le combat.
L'échauffement semblait terminé, les coups s'échangeaient de plus en plus vite, l'air tremblait autour d'eux.
D'un coup de pied bien placé, le brun propulsa son adversaire plus haut encore dans l'atmosphère. Continuant son mouvement, il arma son bras droit et balança une gerbe d'énergie en direction de son partenaire. Celui-ci se redressa du choc du premier coup d'un salto aérien, puis, jaugeant en une fraction de seconde la puissance énergétique qui se dirigeait vers lui, il arma son coude et envoya le rayon hors de sa portée.
Le mouvement avait à peine été effectué que l'autre était déjà sur lui, tentant un crochet du droit, rapidement paré par un souple mouvement de genou avant d’enchaîner sur une série de coups de pied qui avaient plus but de déstabiliser que de toucher.
Si le combat était d'une violence rare pour un être humain normalement constitué, il était étonnant, voir miraculeux, de constater qu'aucun des deux combattants n'étaient blessés.
L'homme aux cheveux mauve encaissa tant qu'il pouvait le nouvel assaut de son adversaire, cherchant la moindre petite ouverture. La chance lui sourit enfin une fraction de seconde plus tard : le flanc droit du brun était sans protection. Cette millionième seconde d'inattention lui suffit pour placer un coup de pied dévastateur. Il entendit des côtes craquer sous l'impact avant que le jeune homme ne fut propulsé des centaines de mètres plus loin.
Sonné par l'impact, le garçon au jean bleu mis quelques instants à reprendre ses esprit et stopper sa chute. Il se stabilisa dans les airs, la tête vers le sol et légèrement essoufflé.
Ils se toisèrent. Chacun savait pertinemment ce que l'autre avait en tête. Lorsque deux maîtres en art martiaux s'affrontait, il n'était pas rare qu'ils arrivent à lire dans les pensées de chacun. Il ne faisait plus qu'un dans la danse du combat.
Dans un accord qui semblait commun, ils augmentèrent de façon drastique leurs énergies. Les auras flamboyèrent autour d'eux, leurs cheveux s'hérissèrent brutalement et ce tintèrent d'une magnifique couleur dorée. Leurs yeux perçants étaient maintenant d'une couleur verte, presque émeraude.
Toute la puissance bridé par leur corps jusqu'à maintenant se libéra grâce à cette soudaine transformation physique.
Et en un clignement, le combat repris. Le vrai combat, beaucoup plus violent, beaucoup plus dangereux, beaucoup plus jouissif.
La terre menaçait de se craqueler sous eux, chaque assaut était une souffrance pour les éléments alentours. Une rage de vaincre animait les deux combattants, et aucun ne voulait céder la victoire à l'adversaire.
Le combat durait maintenant depuis plus d'une heure sans qu'ils ne puissent se départager malgré la variété de leur arsenal de techniques.
La force pure ne suffisait pas à battre son adversaire, il fallait être inventif, trouver des ruses pour surprendre et ne pas bêtement foncer dans le tas sans réfléchir.
C'était dans cette optique que le faux fonctionnaire lança deux boules d'énergies. Celles-ci se dirigèrent à toute vitesse vers le brun devenu blond qui décolla vers le ciel pour les esquiver. Mais les boules le poursuivirent dans son mouvement, piquant elles aussi vers le ciel.
Souriant, le jeune homme en jean plaça ses mains devant lui et balança une gerbe d'énergie, juste plus puissante que celle de son adversaire pour détruire l'attaque énergétique qui fonçait droit sur lui.
Mais déjà deux nouvelles boules venu du ciel tombaient dans sa direction. Il rejoignit le sol, et balança encore une fois un rayon afin de détruire ses poursuivantes.
Il flaira le piège trop tard.
Concentré sur les boules d’énergie, il n'avait pas détecté son adversaire enfoui juste en dessous de lui, sous la croûte terrestre. Une main qui sortie de terre lui agrippa le col, de l'autre main une lueur bleutée, un concentré d’énergie pure, menaçait d'exploser à bout portant contre son flanc.
La scène semblait s'être figée. Alors que le combat se déroulait depuis plusieurs minute à vitesse supersonique, voilà que les deux jeunes hommes étaient maintenant à l'arrêt. La tension changea brutalement, le sol cessa complètement de trembler, les nuages reprirent petit à petit leur place dans le ciel.
- J'abandonne, tu as gagné Trunks, articula rageusement le vaincu, essoufflé,
Il rendit à ses cheveux leur aspect d'origine.
Le dénommé Trunks le lâcha et fit de même pour son apparence. Il éclata de rire avant de s'effondrer au sol, rapidement suivi par l'autre.
- La patée que je t'ai mise Goten ! Tu n'as rien pu faire, je suis bien plus fort que toi !
- Pardon ! s'étrangla Goten en releva la tête, qui a gagné le précédent match ? Hein ? Rappelle-moi ?
- Tu avais triché ! C'était pas juste de balancer ta chaussure pour me surprendre en pleine partie de puissance 4 !
- Tous les coups sont permis dans un combat, tous !
Ils éclatèrent d'un rire franc. Trunks et Goten se connaissaient depuis leurs petites enfances. Amis pour la vie, Ils aiment se retrouver de temps en temps à l'écart de leur vie quotidienne pour se livrer à leur passe-temps favoris : la compétition.
La rivalité des deux garçons ne datait pas d'hier, ni même d'avant hier. Celle-ci avait été inauguré par leur pères des années auparavant, c'était dans leur sang, dans leurs chairs.
Pourtant, contrairement à leurs paternels, ils ne résolvait pas toujours leurs différents par le combat, et préféraient par dessus tout passer leur temps à discuter de tout et de rien. Pour ne rien cacher, niveau capacité physique, on pouvait dire qu'ils étaient complètement rouillés.
- Ce n'était pas ce que tu disais, Goten, lorsque lors de ton dernier combat avec Pan, celle-ci à malencontreusement frapper ton précieux entre-jambe ?
Goten grimaça en se remémorant ce douloureux souvenir.
- Rappel moi de ne plus jamais me battre contre cette garce.... Jamais ! Dire qu'elle n'a que 11 ans, elle va devenir un véritable monstre !
Trunks ne pu se retenir de rire devant le regard suplicieux de Goten. Pour en rajouter une couche, il mima de manière exacerbé la tête qu'avait Goten en se prenant le coup de pied tout en sautillant sur place, les mains protégeant ses parties intimes.
- Rigole si tu veux, mais je t'y aurais bien vu, à ma place ! enchaina Goten en riant de son propre embarras. Je n'ai jamais été aussi heureux de recevoir un Senzu que ce jour là !
Trunks se laissa de nouveau tomber sur le sol, expulsant tout l'air de ses poumons. Il regarda un instant les nuages dérivés dans le ciel, savoureux cet instant de silence.
- Hey Goten... dit-il en se tournant vers son ami. Ca te fait quel âge déjà ?
Goten fronça ses sourcils devant cette question aussi incongru que suprenante. Trunks savait très bien quel âge il avait.
- T'es con ou quoi ? J'ai 23 ans tu le sais bien.
Trunks ricana et lui donna une tape sur l'épaule.
- Merde, ça veut dire que j'ai 24 ans... On devient des adultes mec, et moi qui pensait que j'allais rester un gamin toute ma vie.
Goten cligna des paupières comme s'il ne comprenait pas où il venait en venir. Il s'assit plus confortablement en s'appuyant sur la paume de ses mains pour se maintenir droit. Au loin, un oiseau qui semblait particulièrement gros piailla dans le ciel, captant leur attention.
Un nouveau silence s'installa entre eux.
- Tu reprends la boite de ta mère bientôt ? demanda Goten au bout de plusieurs minutes.
Les deux garçons ne se regardaient pas, laissant leur regard vagabonder vers l'horizon.
- Ouais, bientôt la paperasse, les rendez-vous urgent et les réunion ennuyeuses seront mon quotidien... répondit-il sans la moindre émotion dans sa voix.
Goten se risqua un coup d'oeil vers Trunks. C'était son ami de toujours, il le connaissait pas cœur. Le plus souvent, il le voyait enjoué, sûr de lui. Lorsqu'il le rejoignait à son travail, il trouvait un Trunks sérieux, travailleur, ambitieux et concentré.
Aujourd'hui, il sentait qu'il était fébrile.
- Dire que ya pas 6 mois que tu me cassait les oreilles en me disant que tu n'attendais que ça, de pouvoir diriger la Capsule Corp. à ta guise ! Une vrai girouette en faite le Briefs !
Trunks haussa ses épaules.
- C'est sûr que vous, les Son, vous ne pouvez avoir qu'une seule idée en tête en même temps, ça facilite la vie !
Goten réagit au quart de tour.
- Hey tu te trompe ! Gohan peut sans problème te tenir la dragée haute en maths !
Trunks éclata de rire.
- C'est l'exception qui confirme la règle, justement ! Il en faut bien un pour relever le niveau de toute la famille !
Goten croisa les bras, bouguon.
- Peut-être, mais au moins nous sommes sociables contrairement à la famille Brief. Qui sont vos amis déjà ? Ah oui, il n'y a que les Son ! Heureusement qu'on vous à accepter dans notre cercle d'amis !
Trunks eut un sourire narquois. Il leva son index, l’œil brillant.
- Tu oublies Bra. Notre princesse est la fille la plus populaire de son école, répondit-il un brin de fierté dans la voix.
Le sourire de Goten s'élargit tellement qu'il lui montait presque jusqu'aux oreilles.
- L'exception qui confirme la règle, je ne sais pas si tu connais ? Enchaina-t-il.
Trunks réalisa un peu trop tard qu'il venait de se faire piéger par son ami. Pour se donner contenance, il repoussa une de ses mèches qui lui tombait sur le front.
- Un partout, monsieur Son.
- A charge de revanche, monsieur le président, répondit Goten en se levant.
Il étira ses bras et effectua quelques mouvements de bassin pour assouplir ses muscles engourdies.
Le regard de Trunks se perdit vers l'horizon, plongé dans ses pensées. La zone était desserte, calme, uniquement perturbé par les assouplissement de Goten. Du moins, jusqu'à ce que Trunks ne réalise quelque chose et qu'il ne pousse un cri à s'en casser les oreilles.
- Ma veste ! Tu l'a vu Goten ?
Le garçon répondit par la négative.
- Nop, t'as voulu te la jouer cool et l'enlever... T'as pas regardé où elle est tombé bien sûr ?
Trunks gromela. Il vérifia rapidement sa poche de pantalon et soupira de soulagement lorsqu'il y senti son prote-feuille et son téléphone portatif.
- 'Me reste plus qu'à repasser par la maison pour me changer avant d'aller au bureau...
- On décolle ?
Trunks aquiesca et en un instant les deux saiyens se retrouvèrent dans les airs. Volant au dessus des nuages pour ne pas se faire remarquer, ils augmentèrent leur vitesse sans le moindre effort. Les paysages défilait à vive allure au dessous de la couche nuageuse, traversant océans et montagnes.
Au bout de quelques minutes de vol, Goten fit un signe de mains vers Trunks. Celui-ci lui répondit pas un mouvement de tête et un clin d'oeil. L'instant d'après, les deux garçon prirent des directions différentes : L'un vers le Nord, l'autre vers l'Est.
Goten accéléra encore son rythme. Une bonne douche bien mérité l'attendait lorsqu'il arrivera chez lui, mais il allait profiter d'être de passage pour faire ses salutation journalière.
Il amorça sa descente alors qu'il n'était plus qu'à une centaine de mètres de la petite bourgade paysanne peuplé d'une dizaine de maisons ronde, petites mais tout a fait charmantes.
Il effectua un atterrissage en douceur, ne laissant s'échapper qu'un petit « toc » lorsqu'il toucha le sol et s'approcha de la première maison à sa droite.
Il frappa trois coups à la porte de la demeur et n'attendit pas qu'on lui réponde pour entrer.
- C'est moi ! s'exclama-t-il joyeusement en pénétrant dans le salon.
La pièce était étrangement vide, bien qu'il y régnait comme toujours une ambiance chaleureuse. Pourtant, Goten remarqua tout de suite que quelque chose n'allait pas. Il ne savait pas d’où venait cette impression. La place des meubles avaient changé ? Les photos sur les mûr était-elles toujours les même ? L'odeur de la maison était différentes ?
Non, ce n'était rien de tout cela, il y avait autre chose.
Comme pour répondre à ses réflexion, des pas dévalèrent à tout allure l'escalier, et une jeune femme débarqua dans le salon.
Goten se raidit.
Il n'avait jamais vu la personne qui se tenait face à lui. Brune, les cheveux en queue de cheval qui lui arrivait jusqu'aux épaules, la jeune fille devait avoir son âge. Où peut-être était-elle un peu plus jeune.
Elle portait un haut rouge, presque orangé, qui mettait en valeur sa poitrine sans aucune vulgarité et un jean délavé.
Les yeux noir profond de la jeune femme s’élargirent de surprises alors que sa bouche aux lèvres rosées s'entrouvrit.
Goten banda ses muscles, prêt à tout éventualité. Il capta l’énergie de l'intruse. Elle lui était pourtant familière, mais impossible de l'identifier. Il balaya de la première personne qui lui venait à l'esprit, c'était impossible.
L'inconnu parla et ses paroles glacèrent le sang de Goten.
- Ton... Tonton ?
La glace se brisa et les doute du jeune homme s'envolèrent. C'était bien l'energie de Pan qu'il ressentait, l’énergie de sa petite nièce de 11 ans.
- Pan... c'est toi ? articula-t-il difficilement.
Les iris de la jeune fille brillèrent légèrement, et des larmes perlèrent au coin des ses yeux. Elle amorça un pas en avant, puis se ravissa. Elle porta une main contre sa poitrine. Ses larmes coulaient maintenant sans retenu contre ses joues.
Goten était perdu. Comment diable cela pouvait-il être possible ?
- Pour... pourquoi...
La voix de Pan sortait difficilement de sa gorge. Elle avala sa salive et retint un sanglot.
- Pourquoi es-tu revenu après 10 ans... Goten ?
- - - -
Chapitre 01 fin.
- - - -
Le rythme de parution sera de un chapitre tout les deux semaines ! Je précise que je suis a la recherche d'un beta/lecteur, correcteur, pour m'aider à rendre cette fic la plus lisible possible !
A très bientôt !