L'Union Sacrée

Voilà, je me décide à écrire cette fic qui me trotte dans la tête depuis un moment ! Voilà donc le prologue de "Continuité"

Prologue

Nous nous étions assis tout au fond avec ma mère, elle ne voulait pas qu'on la voit. Elle était fâchée avec le reste de sa famille depuis ma naissance. Nous étions arrivés arrivés en retard après de longues tergiversations de la part de ma mère. Et la cérémonie était déjà commencée. Je jetai un coup d'oeil furtif sur la salle, tout le monde pleurait, après tout c'était toujours comme ça les enterrements. Je me sentais gêné car moi, je ne ressentais aucune tristesse, après tout, je ne connaissais même pas la personne que l'on allait enterrer aujourd'hui. Ma mère m'en avait juste dit quelques mots dans la navette. C'était un proche du sauveur du monde, il était mort très très vieux, et il était mon arrière-arrière grand père ! C'était même presque pas humain de vivre si vieux !
Je m'attardais sur quelques visages, une vieille femme au visage simple et aux contours doux qui contrastaient avec son regard dur et triste. J'entendis une bribe de phrase de la discussion qu'elle avait avec une autre femme à coté d'elle :
"[...]a eu une belle vie... Ne sois pas si triste Pan..."
La dénommée Pan tomba bruyamment en larmes sur l'épaule de l'autre femme. Cette dernière était très âgée également, elle avait de longs cheveux violets, et un visage dur. Elle était habillée en noir, signe du deuil, mais était tout de même à la pointe de la mode. Elle se détourna de la femme nommée Pan, et reporta son attention vers L'homme qui parlait, devant le cercueil. Il devait être au moins aussi vieux que le défunt et avait les mêmes cheveux violets que celle qui le regardait... Je n'avais apporté qu'une attention distraite à son récit, et je décidais d'y prêter plus attention : "[...] était un homme très courageux, et accessoirement mon meilleur ami. Il a eu une belle et longue vie, et je pense que nous nous souviendrons tous de ses exploits, dans sa jeunesse comme dans sa vie adulte. Je le connais depuis ma naissance ou presque, ce qui doit faire plus d'un siècle . Dès son plus jeune age, il montrait des talents plus qu'ordinaires pour les arts martiaux, et a été en finale de plusieurs tournois de cet art." L'homme eut un petit sourire en disant ça. Il reprit :"Il rencontra bien plus tard une femme merveilleuse, avec qui il eut 2 enfants, une fille et plus tard un garçon, 5 petits enfants, 12 arrières petits-enfants et 22 arrières-arrières petits-enfants... Ces nombres peuvent sembler impressionnants, mais ce ne sont que le résultat normal d'une vie longue de 122 années..." L'homme aux cheveux violets continuait son discours, mais je n'écoutais plus, je m'imaginais la vie passionnante que cet homme avait eu... Celà me laissait une impression assez étrange de savoir que j'étais le descendant d'un expert en arts martiaux...
Le moment de regarder l'être aimé une dernière fois arriva, et beaucoup se bousculèrent pour lui dire adieu. Il devait vraiment être vraiment adoré. Je m'approchais à mon tour du cercueil et je regardais celui qui avait animé mes pensées pendant de longues minutes. Il était assez grand et avait d'épais cheveux noirs, comme moi. Je me penchais pour regarder le flanc du cercueil, pour mettre un nom sur ce visage. Il était gravé sur le bois, le nom "SonGoten"...

Voilà, c'est un peu court, mais ce n'est qu'un prologue, j'espère que ça vous aura plu !

J'adhère, j'adore

Désolée de ne pas faire une critique plus approfondie, mais j'ai sommeil et pour l'instant ça frise la perfection.
Intéressant, surprenant, original, bien écrit, c'est du tout bon quoi.

Merci beaucoup pour ce commentaire ! La suite arrive !

On part loin dans le futur! Intéressant! Je suppose que toute une panoplie de personnage va faire son apparition, ça ne va pas être facile! Bonne chance!

Intéressant, pressé d'en savoir plus ^^

Par contre si tu dois avoir des blocs plus gros pour la suite, essaie de plus espacer histoire que ça soit moins compressé

RMR a écrit:On part loin dans le futur! Intéressant! Je suppose que toute une panoplie de personnage va faire son apparition, ça ne va pas être facile! Bonne chance!

Effectivement, c'est vraiment pas facile de créer des personnages de toute pièce En fait, je galère surtout pour les noms ! (je les veux japonais è_é)

Pour les noms, n'essaie pas forcément de leur donner un sens japonais, c'est un écueil dans lequel on tombe souvent au début Les premiers personnages de ma fic Kuroki ont des noms japonais (Kyōjō, Nezumaru, Junkoku, Jinei (Jin'ei)) mais par la suite j'ai dérogé à ce principe (Marina, Lyendith, Hevi, Ciana)… bref cherche de bonnes sonorités avant tout, pas forcément japonaises Après tout, les personnages de Dragon Ball n'ont pas des noms japonais, à part les Son, les dieux et quelques autres.

Pour l'histoire il est un peu tôt pour se prononcer, mais le prologue donne déjà une idée du style d'écriture et ma foi il me plaît bien, sobre tout en étant appliqué ^^ Cette introduction met bien l'eau à la bouche, j'attends d'en voir plus Petite note :

Je jetais un coup d'œil furtif sur la salle

Vu l'action ça serait plutôt «je jetai» Voilà voilà…

Merci beaucoup pour tous ces commentaires ! Et merci à Le Chauve pour ses conseils pour les noms J'ai fait un compromis, seul le héros a un prénom japonais, les autres personnages ont des noms que je trouve parfois à consonance japonaise mais pas toujours ! Donc voila la suite !

Chapitre 1

Je claquais la porte de ma chambre avec violence, faisant trembler les murs de la maison. Tiens ? Les fondations de la maison faiblissaient ces temps-ci...
J'étais fou de rage, je m'étais gravement disputé avec ma mère sur le chemin du retour de l'enterrement. Nous étions partis juste après la mise en terre de notre aïeul, alors que tout le monde avait la mine grave, ma mère était partie d'un air pressé, après avoir pris une figure faussement triste devant les quelques journalistes venus pour l'occasion, en n'oubliant pas de l'accompagner d'une petite pub pour son travail.
Lorsque ma mère avait décidé d'aller à cette cérémonie, je m'étais dit qu'elle avait peut-être décidé de pardonner à sa famille le tort qu'ils lui avaient fait... Tort totalement inconnu d'ailleurs...
Alors que je m'étais résigné, dans la navette, il avait fallu que ma mère critique chacune des personnes présentes à l'enterrement, j'avais eu droit à du "Oh, je suis sur que celui là n'était là que pour l'argent" ou encore "Tu as vu sa dégaine à celui là ?"
Ma mère haïssait sa famille pour une raison obscure, mais ça ne lui laissait pas le droit de m'empêcher de découvrir mes origines ! Je n'avais pas le droit non plus de voir la famille de mon père... Pas fréquentable d'après ma mère...
Les gens que j'avais vu aujourd'hui m'intriguaient, ils dégageaient... une sorte d'aura... C'était difficile à expliquer, mais j'avais senti qu'ils n'étaient pas ordinaires...
Raaah ! Et dire que je ne les reverrai peut-être jamais ! C'était trop bête !
De désespoir, je balançai violemment mon poing contre le mur, laissant, à mon plus grand étonnement une énorme marque.

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Hanna Lief était très contrariée, elle s'était disputée avec son fils hier à propos de sa famille. Encore. Ne comprenait-il donc pas qu'elle faisait ça pour lui ? Elle soupira, et elle fit ce qu'elle faisait toujours lorsqu'elle était contrariée, elle s'assit et elle ouvrit son courrier. Elle passa sur la première lettre, qui venait de la prison, elle ne voulait pas encore lire la même chose ! Elle ouvrit la deuxième lettre, qui venait du lycée de son fils. Au fur et à mesure de sa lecture, elle sentit sa main se crisper .
"Mme Hanna Lief,
j'ai dans l'obligation de vous informer de l'absence de votre fils Kenji Lief ce matin dans notre établissent. Il me semple, sauf erreur de ma part que je n'ai pas enregistré de justificatif. Une deuxième absence de ce type entrainera l'exclusion de votre fils au casier déjà chargé"
La main de la mère aimante s'abattit avec un cri de rage sur la table, la brisant en deux.

___________
Je marchais tout droit, sans savoir réellement où aller, redoutant de rentrer chez moi, imaginant la colère de ma mère... Qu-espérais-je en réalité ? de tomber sur une de ces personnes, par hasard dans la rue ? C'était stupide, vraiment stupide...
Je continuais à marcher, en scrutant les visages des passants, espérant reconnaitre le vieil homme aux cheveux violets, la dénommée Pan, ou même n'importe qui de sa famille, ils dégageaient tous cette impression "d'aura".
La nuit commençait à tomber, et pourtant je continuais à avancer, conduit par une envie incroyable de revoir ces gens là. Peu à peu, les bruits rassurants de la ville s'effacèrent, et les visages interrogatifs des passants que je scrutais avec attention devinrent agressifs, sombres et dangereux... Je commençais à prendre peur lorsque je me rendis compte qu'il était vraiment très tard, que j'étais seul, jeune, au milieu de toutes ces personnes au intentions pas toujours honnêtes... Je m'arrêtai net. Un groupe de personnes s'était formé en ligne, et me bloquait le chemin sur la totalité de la rue, ils me regardaient fixement en chuchotant, et en riant d'un rire malade, pas vraiment rassurant... Je décidais qu'il était temps que je rentre, je poursuivrai les recherches un autre jour; Il suffisait que je fasse demi-tour, et ma maison était tout droit, à quelques heures de marche... Je me tournai donc, et ne fus pas tellement surpris de voir une autre rangée de personnes en face, je l'avais senti, j'étais encerclé. Ils se rapprochaient. Je les regardais, ils étaient tous saouls ou même quelque chose d'encore plus illicite, et leurs parôles ne tardèrent pas à me le confirmer :
"Hey toi !" "Tu t'es perdu ?" "Tu as de l'argent ? tu peux passer la nuit chez nous si tu veux..."
Ils n'étaient plus qu'à quelques mètres, je pris vraiment peur cette fois ci. Je n'avais rien pour me défendre et ils étaient au moins une bonne vingtaine !
Ils étaient maintenant tout proches, à quelques centimètres de moi. L'un d'eux me dit :
"Alors ! on t'a demandé si t'avais de l'argent !"
Je ne réponds rien, j'ai une sensation bizarre...
"Je te conseille de répondre si tu ne veux pas que..." Je ne lui laisses pas le temps de finir, instinctivement, je lui donne un coup de poing qui le fait se tordre de douleur, il gémit : "Faites lui la peau !"
Les autres sont un peu déroutés, et j'en profite . Je saute, haut, très haut. Mais ils ont à peine levé les yeux que je suis déjà derrière eux. Je mets quelques coups bien placés, sans m'en rendre compte, et alors que plus personne ne me saute dessus, je reprends mes esprits, et profite de l'opportunité pour fuir.

Je cours très vite, j'ai fait en à peine 10 minutes ce qui m'avait pris toute une après-midi. j'arrivais devant chez moi, tout éssouflé, et pas très conscient de ce qu'il venait de se passer. J'ouvre la porte du salon, et je trouve ma mère agenouillée, en larmes, au milieu de débris de meubles. Lorsqu'elle me voit, elle se précipite, me sert dans ses bras, et pleure.

Voilà ! C'est tout pour le premier chapitre ! Dans ce chapitre, j'ai essayé de développer aussi bien Kenji que Hanna. J'espère que ça vous a plu !

Intéressant! On se demande ce qui a bien pu se passer dans cette branche des descendants saïyens! L'aspect psychologique est bien travaillé. Attention à des fautes d'étourderies.

+1
Vraiment intéressant et intriguant, on a rarement droit à une fic du futur avec un descendant qui ne connait ni les arts martiaux ni ses origines.
D'ailleurs nous non plus on ne sait pas, ce qui rend tout ça encore plus intéressant

Quand le récit passe au présent pendant la rixe et revient au passé à la fin, c'est volontaire de ta part ? Si c'est le cas, et même si ça ne l'est pas l'effet produit est étrangement intéressant Comme si on rentrait un peu plus profondément dans l'esprit du personnage l'espace d'un instant…

Pas mal du tout en tout cas

PS : paroles, pas parôles

Le Chauve a écrit:Quand le récit passe au présent pendant la rixe et revient au passé à la fin, c'est volontaire de ta part ? Si c'est le cas, et même si ça ne l'est pas l'effet produit est étrangement intéressant Comme si on rentrait un peu plus profondément dans l'esprit du personnage l'espace d'un instant

Oui, c'est volontaire. C'est une façon d'écrire assez couramment utilisée, c'est du présent de narration (utilisation du présent dans un texte au passé pour rendre l'action plus vivante)

Et sinon, merci à tous pour vos commentaires ! Voilà donc le 2eme chapitre, dans un thème plutôt dragon ball sans z. Le z arrivera dans le prochain chapitre !

Chapitre 2 :

Alors que ma mère séchait ses larmes, je regardais mes pieds d'un air coupable. J'attendais la vague de colère qui suivait celle de la tristesse. Je m'attendais à des "Mais où étais tu passé ? Montes dans ta chambre ! Et tu n'en sortiras que pour aller à l'école !"
La vague ne vint pas. Ma mère me regardait d'un regard plein de tristesse, et... de compréhension... Elle parla, avec la voix encore vibrante d'émotion :
-Kenji... Tu sais, et je pense que tu as du t'en rendre compte, Ma mère montra les débris de meuble d'un mouvement de la main, Nous ne sommes pas une famille ordinaire.
Je la regardais sans comprendre puis je compris ce qu'elle voulait dire :
-Tu veux dire que c'est toi qui a fait ça ?
elle me jeta un regard qui voulait dire "C'est évident non ?"
-Nous avons des origines, Kenji, qui ne sont pas celles de tout le monde. Nous ne sommes pas ordinaires, nous avons des capacités et des sens accrus largement au delà du potentiel humain.
Tout à coup, je me rendis compte que ce qui m'était arrivé dans la rue il y a quelques minutes n'était pas ordinaire, je n'aurais pas du m'en sotitr !
-Tu veux dire que...
Elle me regarda droit dans les yeux.
-Ecoutes moi Kenji ! J'ai choisi un autre chemin que mes racines pour des raisons qu'il vaut mieux que tu ignores, et j'ai longtemps cru qu'il vallait mieux pour toi que tu fasses de même. Mais j'ai eu tort ! Personne ne doit te dicter tes actes et c'est à toi seul de choisir ta voie.
Elle soutenut mon regard pendant encore quelques secondes, attendant certainement une réponse, mais j'étais bien trop étonné pour répondre. Elle alla chercher une petite boîte, sous une dalle de plancher. Elle posa la boîte sur le sol, s'agenouilla devant, et me fit signe de m'asseoir à mon tour.
-Regarde bien Ken', c'est l'héritage ancestral de notre famille, je la garde ici pour ne pas oublier qui je suis. Et elle ouvrit la boîte.
J'ouvris de grands yeux, essayant de tout dévorer de mon regard. Il y avait une grande carte, tassée dans un coin de la boîte, un sachet entrouvert où l'on pouvait voir des sortes de graines vertes... Mais l'objet qui retenait le plus mon attention était une petite boule, de couleur jaune-orrangée, avec trois étoiles gravée dessus... Ma mère prît la carte et le sachet, et refermit la boîte sur la petite boule scintillante...
-Ne sois pas trop gourmand, tu verras bien assez tôt ce que renferme réellement ce coffret...
Elle étala la carte devant moi, et désigna une montagne, indiquée "Mont Paozu"
-C'est ici que tu devras te rendre, Mon frère Meïlin devrait encore habiter là bas...
-Mais pourquoi dois-je aller là bas ? Tu ne peux pas simplement me dire ce que je dois savoir ?
-Ne discutes pas ! Tu dois le découcrir par toi même, tu partiras demain à l'aube. Est-ce que c'est compris ?
Je fis un signe de la tête d'un air dépité.
-Alors monte dans ta chambre et dors ! Le voyage sera long !

___________
Je n'avais pas dormi de la nuit, je ne l'avais pas montré à ma mère hier, mais j'étais fou de joie de revoir ma famille. C'était comme si mon corps en avait besoin, je les sentais, c'était comme si quelque chose émanait d'eux. Je descendais les marches à toute vitesse, engloutis mon petit déjeuner, et je rejoignais ma mère qui attendait sur le pallier. Je lui souris, lui faisant signe que j'étais prêt à partir, elle me sourit en retard et me dit :
-Tiens, tu auras besoin de ça sur ta route, le Mont Paozu est difficile d'accès, et assez dangereux. Il y a des bêtes sauvages. Les haricots sont appelés senzus, ils te redonneront tes forces, mais il n'y en a que deux, fais attention. La carte est là pour te guider, prends en-soin également, c'est mon père qui l'a dessinée.
Elle me tendit le sachet d'étranges haricots, les senzus, ainsi qu'une vieille carte, qui donnait tout de même une assez bonne image du lieu. Je dis une dernière fois au revoir à ma mère en la serrant dans mes bras, puis je partis dans la direction que m'indiquait la carte.

Je courrais à toute vitesse, sautant de rocher en rocher, avançant toujours plus vite. j'étais euphorique et mon rire résonnait dans la plaine rocailleuse. Je regardais la carte de temps en temps, mais je me laissais guider par mon instinct, qui me menait tout droit vers le mont Paozu, comme si j'étais destiné à cet endroit que je n'aurai jamais du quitter.
Je courrais depuis plusieurs heures déjà sans me fatiguer, et le décor avait évolué laissant sa place à un désert sec et chaud, quand quelqu'un m'interpella d'un air agressif :
"Hey toi, arrête de bouger !
-Je suis préssé, qu'est ce que tu veux, répondis-je d'un air agressif, décidé à ne pas me laisser démonter.
-Ce que je veux ? Tout. tout ce que tu as. tes capsules, ton argent, tes objets de valeurs... Même ton pantalon, j'ai besoin d'un nouveau chiffon."
Je soupire et je me remets à courir, mais le voleur ne semble pas d'accord avec mes projets, la preuve en est que le sabre de l'agresseur alla se ficher dans l'un des uniques rochers du désert. Je me retourne, me décidant à porter un peu plus d'attention à ce danger potentiel. devant moi se dressait une impressionnante masse de muscle, un Homme-Tigre. D'après ce que je savais sur les hommes-Tigres, ils volaient, mais ils tuaient aussi. L'animal se rapproche doucement, et retire son arme du rocher, laissant deviner une force titanesque.
"Alors, tu te depeches ?
-Oui, tout de suite."
Et d'un violet coup de pied sur ses molets, je le fait tomber en arrière. Il se relève difficilement, et dit d'une voix bouillante de rage : " Petit morveux ! Tu vas me le payer" Il fonce à toute vitesse sur moi, m'assénant un magistral coup d'épée que j'évite aisément, il en enchaine plusieurs, jusque au moment ou j'arrête l'épée avec mon bras, serrant légèrement lev dents sous le coup de la douleur. Je lui confisque son épée, et lui enfonce violemment dans la jambe, le faisant s'écrouler. Je me penche et lui souffle à l'oreille : "J'espère que ça te servira de leçon...", et tranquillement je me remettai à courir.

Au bout de plusieurs heures de course, après avoir vu défiler de nombreux paysages, alors que la nuit était tombée depuis de nombreuses heures déjà, j'aperçus enfin la petite cabane, à coté d'une très vieille maison capsule-corp telles que ma mère me les avait décrite. J'étais soulagé et épuisé, je me mis donc à la recherche de mon oncle :
"Oncle meïlin ? C'est votre neveu, le fils de Hanna, Kenji !" Personne ne répondit; Je reaissayais à plusieurs reprises, mais n'obtenant pas plus de réponse, alors je décidais de passer la nuit ici. Je voulus me rendre dans la maison, mais elle était fermée à clé... Je tournais donc avec dépit vers la petite cabane en ruine à l'autre bout du terrain. je rentrais dedans, décidé à seulement dormir là, et partir le lendemain à l'aube. La cabane était en ruine, et de nombreuses planches jonchaient le sol. Un coussin était néammoins intact, posé sur une table. Je me mis en tête de ramasser des planches, afin de bloquer l'entrée de cabane, vulnérable aux bêtes sauvages.C'est alors que je découvris, sous une planche un magnifique bâton rouge; Je le ramassai, complètement fasciné. Tout à coup, par la simple action de ma pensée, le bâton avait grandi, jusqu'à se ficher dans un arbre, à l'extérieur. Je sortais, afin d'examiner cet étrange objet, qui se rétrécissait au moment ou je me demandais comment j'allais bien pourvoir le ramener dans la cabane.
Au loin, j'aperçus un point doré, qui se rapprochait de plus en plus; Avant que je me rendis compte qu'il s'agissait d'un nuage, il m'avait déjà emené, avec le bâton, trop haut pour que je puisse sauter.

___________

Je m'étais résigné depuis longtemps à ne pas pouvoir contrôler le nuage doré, quand je vis apparaître au loin, un palais. Un palais dans les cieux ! Est-ce possible ?

Voilà, j'espère que ce chapitre vous aura plu ! Le prochain sera posté dès que j'aurai quelques précisions qui me manquent pour l'idée générale du chapitre.

Et bien, toutes mes attentes sont comblées! Je n'espérais pas mieux comme suite!

On rentre assez vite dans une aventure prenante. Le héros à un but, il recherche la vérité sur ses origines. Il fait un genre de parcours initiatique (genre DBnonZ, comme vous le dites) et justement,j'aimerais que ça dure, qu'on ne passe pas tout de suite au "Z". Le voyage initiatique ne fais que commencer! Il y a tant de choses à découvrir et à explorer, dans le monde, il faut que le héros s'y frotte un peu!

Bonne continuation, je suis avec attention cette histoire!

J'aime beaucoup aussi mais avec un plus de retenu que les autre membres, j'ai l'impression de revivre 100 ans plus tard en déformé mais bon je pense que ca s'en démarquera bien plus dans l'avenir.

Par contre ce qui gêne c'est le fait que le personnage se rend compte de sa force du jour au lendemain comme ça, qu'ils soit naturellement plus fort je veux bien mais qu'il ne s'en rende compte que si tard, je trouve cela vraiment louche quoi, qu'il ne connaisse pas la notion de ki parce qu'on ne lui à pas enseigné c'est normal mais qu'il se rend compte du jour au lendemain de sa supériorité physique par rapport au commun des mortel j'ai un peu de mal, il a forcement eu bon nombres d'occasion de le voir, par exemple en sport à l'école ou dans bien des situations. La seule explication que je peut donner c'est qu'il à toujours été comme un Terrien normal et que ce jour là son pouvoir est venu à lui alors qu'il avait toujours été inutilisable avant cela, ce qui est plutôt bizarre je trouve.

Cela étant en y repensant ca fait un peu penser à Uub aussi donc bon c'est pas très grave, mais j'avoue que j'aurai pas vu ça comme ça personnellement.