[fanfic] L'empereur saiyen

Faîtes-nous partager votre fibre littéraire en écrivant votre propre histoire mettant en scène les personnages de Dragon Ball et, pourquoi pas, de nouveaux ! Seules les fanfictions textes figurent ici.

Re: [fanfic] L'empereur saiyen

Messagepar Majin-vegeto89 le Mer Jan 12, 2011 0:42

merci askelaad, content que ça te plaise^^

Chapitre 9: les synthétiques

La citadelle était immense, recouvrant une grande partie de la plaine de bâtiments High-tech. Parmi ses bâtiments, on trouvait des petits baraquements côtoyant d’énormes centre de recherches ou d’entrainement. Des hangars à vaisseaux à cotés d’armureries. Et quelques bâtiments clés. L’un d’eux, situait environ à mi-distance de la citadelle et du mur d’enceinte, ressemblait à un grand octogone gris, couronné d’antennes et possédant une ligne d’énorme baie vitrée de trois étages de haut au sommet de l‘édifice, soixante mètres au dessus du sol. À ce niveau là justement, d’énormes portes, celées pour l’instant, s’étalaient à intervalle de cent mètres environ, permettant lorsque le besoin se faisait sentir de débarquer son dangereux contenu. Tout autour de cette structure et sur le toit, des gardes extrêmement nerveux patrouillaient, écoutant avec angoisse les explosions ténus de l’autre coté de la cité fortifiés. À leurs cotés se tenaient également de grandes créatures argentés, parfaitement stoïque, dépourvues de la moindre pilosité. Une de ses patrouilles approchaient justement de l’un des angles du monumentale édifice. Elle étaient composées de deux créatures à l’aspect reptilien, un scaouter intégré à un casque vissé sur leur têtes de lézard. Derrière suivait un synthétique faisant près de deux mètres dix, soit presque deux tête de plus que le duo. Lui avançait à pas mesurés, sans la moindre expression, observant les environs de ses yeux gris brillant, tandis que les deux autres semblaient en pleine querelle:
- J’te dit qu’on devrait se tirer avant de se faire hacher menu, disait l’un.
- Tais toi un peu froussard, et avance.
- Froussard? Parce que Mossieur à hâte de se faire écraser par l’armée du saiyen peut être?
L’autre frissonna, prenant un instant de réflexion devant un argument de ce poids. Puis il sembla reprendre quelque peu courage en regardant le mur de l’entrepôt sur son flanc, ou se détachait la silhouette de leur soldat d’argent:
- Il y a peu de chance que l’armée entière traverse la ville pour nous tomber dessus. Et on a bien Mech avec nous.
- Arrête de lui donner un nom, à s’t’engin. En plus c’est un type Zeta, il a à peu près l’intelligence d’une ration militaire et je suis même pas sur de pas pouvoir lui mettre une raclée de mes propres mains, alors si on tombe sur un commando entrainé… ou pire, le CI…
Nouveau frisson chez le collègue écailleux qui tenta néanmoins son dernier atout:
- Dans ce cas là, je déclencherais l’alarme qui ouvrira grand les portes d’un entrepôt plein à craquer de synthétiques derniers modèles qui se feront une joie de réduire en charpie tout ce qu’ils identifierons comme des ennemis. Je te le dis, aucun problème. Et comme je ne vois pas la moitié du quartier sauter autour de nous, j’en déduis que le CI n’est pas dans le périmètre non?
- Mouais… Et si on tombe sur autre chose de pire? Qui serait discret en plus?
- Pff… Pire que le CI? T’as un exemple ou t’es à court de conneries plus grosses que toi?
Une série de bips agressa alors les oreilles creuses des deux soldats tandis que « Mech » se raidissait, détectant une énergie inconnu.

Entre l’instant de la détection et le déclenchement du mode de combat actif d’un synthétique de classe Zeta, il a été enregistré un temps de réaction d’une demi seconde en moyenne, ridicule pour un modèle plus récent, mais tout de même très respectable. Le temps de cette demi seconde fut cependant suffisant pour l’assassin de la patrouille. En presque moitié moins de temps, trois têtes roulaient sur le sol, coupées proprement par un disque d’énergie jaunâtre qui traversa la zone dans un léger vrombissement avant d’entailler un immeuble voisin et de se perdre dans les rues adjacentes, désertes. Avant que les corps décapités n’heurtent le sol, une dizaine de guerrier en armure de combat apparurent au pied du mur, ne prêtant pas la moindre attention au cadavre. La consigne était le silence total, mais l’un des commandos ne put s’empêcher de laisser échapper un léger sifflement:
- Joli coup général, sacrée technique que vous avez là.
Le complimenté lança un regard de très mauvais augure au briseur d’ordre qui sembla soudainement devenir muet, et un peu plus pale aussi. Cependant, le général à la coiffure pas très réglementaire sembla se radoucir très légèrement lorsqu’il inspecta la zone déserte. Il se permit même de répondre à voix basse au compliment:
- Efficace, oui. Je la tiens d’un vieil « ami » pas très agréable qui avait voulu s’en servir contre moi il y a quelques années. Maintenant silence, j’aimerai éviter qu’on soit repéré.
L’imprudent soldat ne s’arrêta cependant pas là, enchainant sur une question qui lui brulait son bec jaune depuis qu’il avait été désigné volontaire pour cette mission:
- Sauf votre respect général, pourquoi prendre la peine d’utiliser le système de brouillage des scaouter pour se cacher et infiltrer le bâtiment? Vous ne pouvez pas juste… Vous savez… Boum?
Le général Kakarotto soupira devant la remarque stupide mais consenti une fois de plus à répondre (nombre de soldats de l’armée aurait qualifié leur collègue volatile d’extrêmement chanceux):
- Pff… Nous n’avons aucune idée du nombre de synthétiques contenus dans cet hangar. Je n’ai pas envie de me battre à un contre mille, surtout mille tas de ferrailles. Sachant que les systèmes de défenses desdits tas de ferrailles n’est actif que lorsqu’il sont en marche, entrer dans le bâtiment et faire sauter toute la machinerie les réduira à coup sur en poudre pour une minuscule perte de temps. D’autres questions, sergent Balco?
Sergent? Et zut, il y a quelques instant encore, le Lieutenant Balco avait rassemblé ses hommes devant le hangar adverses sur ordre de son général. Le prix de la stupidité, ses anciens hommes (qui lui était maintenant presque tous supérieur en grade) lui jetaient à présent un regard amusé avec l’ombre d’un sourire pour certains.
- En avant, lança le saiyen en partant en courant le long du mur, bientôt suivit de son commando.
Le groupe arriva bientôt à la porte non gardée (depuis le coup d’éclats du général). Après environ trente secondes de manipulation du tableau de contrôle par le spécialiste en électronique du groupe, celle-ci coulissa sans bruit, juste assez pour laisser passer les hommes sans éveiller l’attention. Les dix soldats passèrent alors au peigne fin le hangar, voyant défiler des centaines de caissons de conservation de synthétiques, aussi discret que des ombres, ou des esprits frappeur quand une patrouille apercevait ce qu’il ne devait pas voir. Une quinzaine de minutes suffirent à trouver les emplacements névralgiques de la structure et à les piéger au moyen de charges explosives simples. Enfin, l’heure était venu, lorsque le communicateur de Kakarotto bipa sauvagement. Étonné que quelqu’un ose passer outre ses ordres une fois de plus, il déclencha la communication:
- J’espère que vous avez une très, très bonne raison de nous faire repérer dans les cinq prochaines minutes.
Un fracas d’explosions retentis dans l’oreille du général et une voix déformée par la douleur et… la crainte?
- Kakarotto… Taris m’a coincé, j’ai besoin d’aide, je…
La voix féminine disparue dans un grésillement, remplacé par une voix grave et très familière:
- Kakarotto, je sais que tu as entendu ça, ne t’en occupe pas, poursuis la mission, je répète poursuis la mission.
- Styx s’est fait coincé par Taris, Raditz…
- On s’en tape, elle a désobéi aux ordres de Vegeta, fini la mission!! Fini la mi…
Le reste de la phrase fut noyé dans l’explosion d’une aura, suivi du fracas de plusieurs étages défoncés à la verticale par un saiyen furieux, laissant sur place neufs commandos aux yeux exorbités, qui entendirent soudain toutes les alarmes de l’entrepôt hurler, et une marée d’argent se redresser devant eux.
Comment Dragon Ball aurait pu tourner si Nekomajin avait été présent? la réponse:
[fanfic] Nekomajin Z

Lors du combat final contre Boo, ce dernier prend une autre décision, qui devait tout changer:
[fanfic]Boo: la quête de la perfection

Sur Namek, le prince Vegeta découvre le super saiyen et élimine Freezer avant de prendre sa place:
[fanfic] L'empereur saiyen

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Re: [fanfic] L'empereur saiyen

Messagepar RMR le Mer Jan 12, 2011 1:30

Oh putain ! Quoi qu'il arrive, Cacarrot est mal barré, je doute que Vegeta apprécie un tel coup d'éclat... Très bon chapitre !
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Re: [fanfic] L'empereur saiyen

Messagepar Askelaad le Mer Jan 12, 2011 12:54

Beau retournement de situation ! Kakarotto est un homme mort ! J'aime beaucoup la référence à Krilin avec le Kienzan ! Vous êtes sadique de couper pile au meilleur moment. Raaaah, j'ai trop hâte du prochain, maintenant ! J'ai relevé quelques fautes, sinon : L’un d’eux, situé environ à mi-distance, scellées pour l'instant.
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Re: [fanfic] L'empereur saiyen

Messagepar Axaca le Mer Jan 12, 2011 14:24

très agréable à lire. Une ou deux fautes d'orthographe pas plus c'est tout de même très bien. Continu comme ça, c'est du bon boulot :).
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Re: [fanfic] L'empereur saiyen

Messagepar Majin-vegeto89 le Sam Jan 22, 2011 22:23

merci encore à vous tous pour vos commentaires, et à mes lecteurs pour me suivre. Crakower, tes dessins sont toujours aussi réussi, et je suis ravi que ma fic te donne envie de les faire.

sur ce nouveau chapitre:

Chapitre 10: Assassinat

Quelques temps plus tôt, à quelques distances de l’unité scientifiques de la forteresse. Un silence lourd régnait sur la zone. On trouvait à cette endroit une longue rue presque totalement droite, entouré de petits immeubles de quelques étages. Le détail amusant était que les deux cotés de la rue avait tendance à se rapprocher au fur et à mesure que l’on approché du cœur de la citadelle. Un civil aurait pensé à un architecte légèrement éméché. Un militaire quand à lui voyait le génie du constructeur. La cité s’organisait telle une roue, muni de très nombreuses rues de ce type telle autant de rayons. Tout dans cette construction était bâti pour la guerre. Ainsi, si au point le plus éloigné du centre, la rue devait faire facilement dans les trente mètres de large, elles allaient en rétrécissant de plus en plus, finissant par ne faire qu’a peine trois mètres au final. Le terme goulot d’étranglement correspondait parfaitement à cette organisation. Et comble du bonheur, la gravité décourageait les unités aériennes. À l’inverse, les bâtiments le long de ces goulots étaient tous reliés au besoin par des ponts rétractables permettant aux soldats alliés de progresser à couvert depuis les entrées de proche de la citadelle, et de tendre des embuscades aux escouades imprudentes. Et dans cette rue en particulier, les préparatifs battaient leur plein pour accueillir les saiyens et leur armée. Une cinquantaine de soldats aguerris se répartissaient dans les bâtiments, arme aux poings ou programmant des canons lasers automatiques. C’était justement le cas du capitaine Virk, 25ème division de l’armée régulière du seigneur Cold, en cet instant supervisant la pose d’un canon magnétique DCA, chargé de décourager les assaillants volants pour les encourager à bien vouloir aller se faire hacher dans la rue, comme toute bonne chair à canon qui se respecte. Son teint prit une magnifique teinte bleu marine quand incapable numéro 1 laissa pour la troisième fois échapper le lourd outil de mort juste avant d’avoir pu le fixer à son support:
- Bordel, mais foutus putains d’incapables! Vous pouvez même pas lever un saloperie de canon du sol??? Bandes de mauviettes, vous m’dégoutez!!!
Les soldats, après avoir écouté le langage fleuri de leur supérieur, sans souligner le fait qu’un canon de ce calibre pesait environ cent cinquante kilos par gravité normale et qu’ils n’étaient que trois sur ce toit, dont un passant plus de temps à hurler des injures qu’a utiliser sa musculature pour les aider, empoignèrent une fois de plus l’attirail de guerre, sous l’œil mauvais de leur capitaine qui se détourna vers la rue en continuant de marmonner:
- Foutu bleusaille… De mon temps… Pas des muscles qui z’ont…
Il regarda un instant les soldats s’agiter dans les bâtiments en face. Bon… Au moins, eux avaient l’air à peu prêt dégourdis, ils allaient en avoir besoin quand les autres malades débarqueraient. Bien sur, il espérait de tout cœur que le mec doré ne s’approcherait pas trop d’ici, se qu’il avait vu des remparts l’avait convaincu qu’il ne voudrait pas le voir de plus prêt. Un nouveau « Blonk! » Résonna dans son dos, et le bleu marine de son visage se raviva un peu tandis qu’un nouveau torrent d’injures se formait dans son cerveau habitué à cet exercice. Il n’attendit même pas de s’être tourné pour entamer sa tirade:
- Foutu bordel de saleté de… Nom de dieu!!
Ça gorge se serra lorsqu’il tomba sur la raison de la nouvelle chute. Incapable numéro 1 et 2 flottaient maintenant dans une flaque de sang de plus en plus large, un trou béant au centre du cou, par lequel on voyait l‘autre coté.
- Qu’est-ce que..?? ALER…
Le cri d’alarme mourut dans sa gorge quand une main invisible se referma sur sa trachée. Incapable de respirer, il vit alors une main blanche apparaitre, bientôt suivit d’un bras dans une combinaison noire. Le voile se leva au fur et à mesure, révélant un corps gracieux, puis un visage exceptionnel. La peau était d’une blancheur de craie, mais il était absolument magnifique à tout point de vue, même si les yeux de la créature révélaient des pupilles de chat d’un rouge brulant, presque lumineux. Une voix claire et aguichante sortie alors de la bouche sans défauts, laissant transparaitre deux canines pointues sur une rangée de dents sans doute blanche d’ordinaire, mais teintées de bleu à présent.
- Bonsoir, mon capitaine. Dit la déesse d’un ton moqueur. Belle soirée n’est-ce pas?
En réponse aux gargouillis du gradé, la jeune femme, serrant toujours vigoureusement sa main, contourna avec un sourire mutin le corps de sa proie pour se placer dans son dos, tel une amante se lovant contre le dos de son homme. Elle lui souffla à l’oreille:
- Je vous ai observé pendant que vous parliez à vos hommes… vous n’êtes pas quelqu’un de très poli, mon capitaine… Ces pauvres hommes faisaient de leur mieux pourtant… Vous avez été injuste envers eux, vous ne trouvez pas?
Elle serra juste un peu plus fort, faisant grogner plus fort le soldat à demi asphyxié.
- Je me doutais que vous seriez d’accord… vous méritez bien une petite punition, pour faire bonne mesure, vous ne croyez pas? Par ailleurs, depuis que j’ai étreint votre cou, la circulation du sang à votre cerveau est plus difficile, et le cœur en envoi plus en réponse à cela. Je vois vos veines prêtes à éclater sous mes doigts. Et devinez quoi? J’ai une petite faim. Vous permettez?
Autres gargouillis d’un homme au bord de l’évanouissement.
- Je vous remercie.

Plus rapide que l’éclair, elle planta ses dents dans la chair tendre, gorgée d’un épais sang bleu. Pas fameux… Peu oxygéné, mais elle devait admettre que c’était sa faute. Elle voulait discuter un instant avec ce grossier personnage avant d’en finir. Son petit plaisir à elle, voir la terreur agiter son repas, sentir son cœur accélérer et envoyer tant de ce précieux fluide partout. Sans compter qu’un cœur battant la chamade lui permettait de bénéficier de premières gorgées conséquentes avant qu’elle doivent aspirer d’elle-même. À peine le temps de cette mini-réflexion que le capitaine pendait déjà, flasque, dans ses bras, la couleur disparaissant peu à peu de ses traits. Moins de vingt secondes. Elle relâcha le corps, revigorée mais peu satisfaite. Aussi bizarre que cela puisse paraitre, malgré les millions d’espèces vivantes dans la galaxie, elle avaient fini par s’apercevoir que la couleur du sang était presque à coup sur gage de sa qualité, peu importait le possesseur. Le jaune était immonde, le vert lui donnait presque la nausée. L’orange était saumâtre mais consommable. Bleu, c’était déjà plus agréable, un petit gout sucré plutôt sympa. Le violet, rare, mais tellement appréciable. Mais son préféré, c’était le rouge, un délice. Et dans cette catégorie, le sang saiyen. Rien de meilleur dans l’univers, elle ne savait pas de quoi ces mecs étaient fait, mais une gorgée de ce sang lui procurait une pèche monstrueuse et la rendait très… Joueuse… Si elle avait pu, elle aurait rougi en repensant au saiyen, non, « son » saiyen. C’est lui qui l’avait trouvé sur sa planète d’origine, lui qu’elle avait chassé pendant des jours, lui qui l’avait battu, lui qui s’était attiré ses faveurs. Il avait montré une supériorité écrasante sur elle, l’avait complètement dominé au combat. Et au moment de l’achever, il lui avait donné une nouvelle chance auprès du seigneur Vegeta. Depuis lors, une étrange relation s’était tissé entre eux, que Styx avait parfois du mal à comprendre. Mais elle était attaché à lui, elle devait bien l’admettre. Elle y réfléchi encore alors que, réutilisant sa faculté à dévier les rayons du soleil, elle redevint invisible, reprenant sa route dans les bâtiments bordant la rue. Elle était faites pour ça… Chasser. Elle adorait ça. Lorsqu’elle aperçut un soldat, à l’écart, elle dégaina la lame biologique qui sortit de son poignet, faisant parti intégrante de son corps. En un mouvement silencieux, une nouvelle tête roula au sol. Un autre soldat mourus égorgés, deux autres d’un coup de lame dans le cœur. Elle crut à un moment avoir gaffé quand un jeune officier aperçut la chute d’une de ses victimes, mais l’imbécile choisit de foncer voir ce qu’il se passait au lieu de prendre la fuite, finissant une lame enfoncée dans un œil. Toujours plus de sang, toujours plus de nourriture… elle se répétait cette litanie en avançant vers le centre de la cité. Enfin, elle émergea sur le cercle plat entourant la citadelle telle une Grand-Place. Des dizaines de soldats et de synthétiques courait en tout sens, préparant la défense finale. Prêt de l’une des immenses portes de la tour, Styx aperçut un alien de taille moyenne, dénotant de la troupe alentour de par son armure spéciale, ses yeux parfaitement bleus et sa corne frontale facilement reconnaissable. Le cœur de la belle tueuse fit un bond et elle se retrancha dans le bâtiment d’où elle venait d’émerger. Activant son communicateur, elle programma la fréquence du générale Raditz, le frère de son saiyen:
- Ici commandement des troupes.
- Ici CI 3. Mission d’infiltration en bonne voie, voie d’entrée numéro 7 fortement affaiblie et désorganisée, recommande frappe immédiate.
- Bien compris CI 3. Autre chose?
- j’ai localisé Taris.
Silence.
- Je peux l’avoir, demande permission d’attaquer.
- Négatif CI 3, il est trop fort pour vous, j’averti le général Nappa.
- C’est stupide, je peux l’avoir en une fraction de seconde et le saigner avant qu’il ait réagis, laissez moi faire!
- Négatif CI 3, quittez la zone, poursuivez votre tache, interdiction d’attaquer Taris, je répète, interdic…
Styx coupa la communication en murmurant un glorieux « oh ta gueule, rabat joie. » et ré émergea du bâtiment. Elle rêvait de gouter au sang d’une de ces fameuses élites depuis des mois, elle n’allait pas partir alors qu’elle en avait une à sa portée. Elle avança donc prudemment, esquivant les patrouilles, se rapprochant peu à peu de son objectif. Enfin elle fut à moins de vingt mètres. Tel un fantôme elle s’avança. C’était parfait, personne ne regardait vers eux, elle pourrait sans risque le saigner et partir avant même que l’on se rende compte de sa présence. Exécution sans sommation cette fois, elle n’était pas de taille contre lui à la loyale. Sa lame sortie de son poignet. Cinq mètres… Trois mètres… Elle arma son geste. Droit dans la gorge, mort instantanée. Enfin se fut le moment. Elle propulsa de toute ses forces sont bras en avant. Une demi seconde plus tard, les yeux rouges de la tueuse s’agrandirent de surprise quand une main gantée se referma apparemment dans le vide, en réalité sur sa lame invisible. Taris avait fait demi tour et tenait à présent fermement l’arme dans son poing, et le pire, c’est qu’il la fixait directement dans les yeux, alors qu’il ne pouvait pas la voir!
- Tu fais beaucoup de bruit ma petite… Et tu aurais du consulter mon dossier… Rien ne m’échappe, à moi.
Un furieux revers de son autre main attrapa la jeune femme en pleine mâchoire, l’envoyant voler contre un mur à dix mètres de là, contre lequel elle rebondit violemment avant de toucher le sol, sonnée. Elle perdit son camouflage devant les soldats médusés qui ne firent pourtant pas un geste. Le chef des forces spéciales du seigneur Cold Taris s’était trouvé une adversaire, tout intervenant serait tué sur le champ. Styx se remit sur ses jambes, légèrement chancelante, et fit face au commando. Elle avait perdu son avantage principal… elle n’avait plus qu’a se battre, ou mourir. Elle se mit en position de combat, ses deux lames dégainées en défense devant elle. Taris s’approcha d’elle, un sourire franc au lèvres:
- Allons ma jolie, tu crois vraiment que c’est nécessaire? Je peux t’achever rapidement si tu veux, ce ne sera pas long.
Styx bondit sur son adversaire, lames prêtes à tuer. Elle touchèrent le vide juste avant qu’un coup de coude de haut en bas sur la nuque ne l’aplatissent au sol, fracturant la pierre.
- Couchée!!
Elle tenta de se relever et reçu un fantastique coup de pied dans les cotes, la soulevant du sol. Dans le même mouvement, Taris bondit en avant, lui plaqua la main sur la figure qu’il agrippa sauvagement avant de se propulser, bras en avant dans un mur de l’autre coté de la place, détruisant le mur avec la tête de la meurtrière blanche. Styx avait distinctement entendu un craquement inquiétant quand l’arrière de sa tête avait heurté le métal, mais elle avait du mal à faire le point, hormis pour savoir qu’elle avait mal. Ah! Si! Ce taré lui faisait un discours:
- Ah là là, pas brillant tout ça… Remarque, toi tu es un assassin… Pas une combattante. J’ai bien étudié vos dossiers, à toi et aux limaces qui te servent de collègues… Petite Styx, espèce inconnu, putain de l’ordure saiyenne Kakarotto… D’ailleurs à ce sujet, j’aurais un petit service à te demander. Vois tu, j’ai une petite surprise pour ton maitre, ton éleveur peu importe le nom que tu lui donne. Et j’apprécierai que tu veuilles bien le faire venir.
Le soldat d’élite attrapa la jeune femme à la gorge, la dégageant des décombres avant de faire demi tour, la jeter en l’air sur place et de lui administrer un énorme coup de pied tournoyant alors qu’elle retombait, la projetant au sol ou elle creusa un sillon dans la pierre et le métal. Sa course fut arrêter par un Taris tombant du ciel pour lui enfoncer violemment son pied dans la cage thoracique, l’enfonçant de cinq bons centimètres dans le parterre.
- S’il te plait?
- V… Vas au diable!
Elle avait utilisé ses quelques forces restantes pour prononcer cette dernière raillerie. Mais cela sembla enchanter le commando.
- Enfin tu te décides à parler, c’est tout ce dont j’avais besoin!
Il se pencha pour saisir le communicateur de la tueuse qu’il examina un moment, cherchant la bonne fréquence. Enfin il sourit et se pencha sur la mourante:
- Ah, bien, prévenons ton ami. Tu vas voir, on va s’amuser. Savez-tu que ma race communique d’ordinaire par des chants excessivement complexes? De ce fait, nous avons la capacité de moduler notre voix à des degrés que tu n’imagines même pas. Une démonstration?
Portant l’appareil à ses lèvres, il prit un instant de concentration, puis lança, d’une voix pleine de terreur, et extrêmement familière à Styx, car c’était la sienne:
- Kakarotto… Taris m’a coincé, j’ai besoin d’aide, je…
Et il coupa la communication en écrasant l‘engin. Il lança alors un sourire cruel à la mourante:
- Bien sur, il me fallait entendre ta voix au moins une fois pour la copier. Merci ma chère, tu viens de tuer Kakarotto.
Comment Dragon Ball aurait pu tourner si Nekomajin avait été présent? la réponse:
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Re: [fanfic] L'empereur saiyen

Messagepar RMR le Sam Jan 22, 2011 23:32

Intéressant ! Voilà un pouvoir bien inédit pour une élite, la modulation de la voix ! Taris, le chanteur à la corne frontale...
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Re: [fanfic] L'empereur saiyen

Messagepar Majin-vegeto89 le Sam Jan 22, 2011 23:37

j'admets que c'est surprenant... mais bon, après tout, il est né comme ça... il aurait pu être chanteur d'opéra mais il a quelques petites capacités qui l'ont guidé vers les forces spéciales, vous en saurez plus bientôt^^. et merci pour le commentaire
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Re: [fanfic] L'empereur saiyen

Messagepar Askelaad le Sam Jan 22, 2011 23:48

Pas mal comme chapitre, mais il est plutôt pauvre en événements nouveaux. Je veux dire, on le sait que Styx s'est fait chopper, alors ça ressemble à du remplissage. La seule vraie surprise, c'est le coup du Taris ventriloque.
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Re: [fanfic] L'empereur saiyen

Messagepar Majin-vegeto89 le Sam Jan 22, 2011 23:54

il n'y a pas beaucoup de surprise certes, mais je prévois en fait de donner à chaque perso important son chapitre d'intro, styx risque d'être assez importante, et tu vois dans quel état elle fini se chapitre. difficile d'introduire la grande tueuse dans cette état là^^
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Re: [fanfic] L'empereur saiyen

Messagepar Majin-vegeto89 le Sam Fév 12, 2011 18:42

j'aimerais une fois de plus te féliciter pour tes dessins magnifiques Crakower, en particulier le général Kakarotto que je trouve sublime. j'ai prévu de te rendre hommage dans la fic bientôt, je ne t'en dis pas plus. par contre, comptes tu coloriser tes dessins? simple question pour savoir.

et maintenant nouveau chapitre, j'espère que ça vous plaira:

Chapitre 11: Piège

Le vent sifflait aux oreilles de Kakarotto alors qu’il fonçait vers le pied de la citadelle. Styx n’avait pas eu le temps de signaler sa position mais ce n’était pas un problème. Le saiyen sentait parfaitement cette aura qu’il connaissait si bien. Elle était tellement faible… Et le cadet des généraux n’avait pas de senzus. Il devait se dépêcher, arriver avant qu’il ne soit trop tard. Il ressentait de la colère, de la rage même. Nombre aurait pensés que c’était la rage conférée par l’amour. Mais l’amour ne faisait pas partie des émotions saiyennes. La possessivité, en revanche… Styx était à lui, depuis le jour ou il l’avait trouvé sur cette planète miteuse et l’avait vaincu. C’était sa propriété, et aucune raclure de l’armée de Cold ou de quiconque ne lui volerait tant qu’il en aurait l’utilité. Du moins, il s’efforçait de s’en convaincre tandis qu’il accélérait encore plus.

Un dixième de seconde suffit aux canons DCA pour repérer leur cible et ouvrir un feu nourri. Le saiyen ne ralentit même pas. Ces engins stupides étaient conçus pour abattre des cibles rendues lentes par la gravité élevée, elles privilégiaient la puissance des charges à leurs vitesses. Pour un combattant du niveau de Kakarotto, cela revenait à essayer d’abattre un avion de chasse avec le lance pierre d’un enfant. Il fila sans encombre à travers le barrage de tirs et se retrouva finalement en vu de son objectif. Et il la vit. Allongée sur le sol, entouré d’une vingtaine de soldats lourdement armés. Sans même réfléchir à une stratégie, le général tendit un doigt devant lui, qui se mit aussitôt à scintiller. Alors, tel un enfant s’amusant à « saisir » entre ses doigts des objets situés au loin grâce à l’effet d’optique produit par la distance, il traça dans l’air un cercle lumineux sur le groupe de soldats. Quelques secondes plus tard, une explosion circulaire déchiqueta les infortunés, emportant une partie du sol avec eux, sans toucher la précieuse prisonnière au centre du chaos. Kakarotto tomba comme une pierre au milieu du nuage de poussières et de débris, ses pieds s’enfonçant dans les ruines du sol. Il ne réalisa même pas que ses membres fumaient légèrement et que son armure avait un peu noircie pendant le vol preuve de l‘exceptionnelle vitesse dont il avait fait montre. il n’y voyait pas grand-chose mais savait ou se trouvait sa cible, il avança donc de quelques pas et s’agenouilla devant la tueuse mourante. Portant une main à sa gorge, il fut rassuré de sentir encore de faibles pulsations. Elle était vivante. Précautionneusement, il entreprit de la prendre dans ses bras pour la soulever du sol. Elle toussa en entrouvrant les yeux:
- Kff, Kak… Kakarotto…?
- Oui. Répondit ce dernier sur un ton dur.
- Je… Je suis désolée…
- On en reparlera plus tard, tais toi maintenant, j’ai pas envie que tu me claque dans les bras, je vais te sortir de là.
- N… Non… Écoutes-moi… C’est… Un piège…
- Je sais.
Et en effet, tandis que la poussière commençait à retomber, le saiyen et la tueuse dans ses bras se retrouvèrent totalement cerné par une quantité conséquente d’ennemis. Calmement, le soldat à la coiffure ébouriffée examina la situation. La place était couverte de soldats pointant qui leurs armes, qui leurs mains brillantes d’énergie vers lui. Sur les toits proches, il voyait encore d’autres hommes le tenir en joug. Ajouté à cela les créatures argentés dominant la foule d’une tête et vous obteniez une bien belle galerie de tableaux… Kakarotto en aurait été ravie d’ordinaire, mais aujourd’hui il n’avait pas le temps.
- Je m’en vais avec elle maintenant, c’est votre jour de chance. Je reviendrais m’amuser avec vous dès que possible, vous avez une belle occasion de survivre, ne la gâchez pas.
De nombreux rires répondirent à l’offre généreuse que peu de gens avaient eu l’occasion de se voir offrir de la part du saiyen au cours de sa vie. Un capitaine à la silhouette massive émergea dans le cercle découvert autour du général ennemi. Il était hilare et profita du calme qui retombait pour hurler à ses hommes:
- S’qui faut pas entendre, hein les gars? V’là que le grand méchant singe se croit capable de nous faire peur. Et le pire, c’est qu’on dirait qu’il y croit en plus! Il doit être un peu…
La tête du plaisantin fut désintégrée soudain par une petite vague d’énergie qui fila dans les airs tandis que le corps décapité s’écroulait. Tout les rires se turent et tout les regards cherchèrent l’origine du tir. Le saiyen avait encore le bras tendu devant lui, le centre de la paume fumant un peu. Il avait apparemment laissé le soin à sa protégée de s’agripper fermement à son cou, lui laissant le bras droit libre pour attaquer. Tournant sur lui-même, toujours le bras levé, il lança:
- Dernière chance…
La peur des biologiques et la programmation des mécaniques déclencha un déluge d’énergie sur l’assassin qui disparu sous le feu, englouti par la masse d’énergie qui commença a enfler au centre du cercle de soldats. La décharge dura un long moment avant qu’un ordre de cessez le feu ne soit lancé. Tout les tireurs interrompirent l’assaut et commencèrent à regarder avec une légère angoisse la fumée noire qui, ils l’espéraient bien, révèlerai bientôt un charpie ignoble du saiyen et de sa partenaire. Espoir déçu.

Un disque jaune d’un mètre cinquante de diamètre jaillit du nuage, tranchant au niveau du torse tout ce qui se trouvait sur son passage. Dans le même temps, derrière l’attroupement, un grésillement se fit entendre par un soldat qui fut immédiatement fauché par un coup de pied en pleine tête qui la fit exploser tandis que le reste du corps renversait toutes les troupes présentent sur son passage sous l’effet de propulsion. Avant même que qu’il ne reprenne appui sur le sol, Kakarotto tira une large vague d’énergie jaune dans le tas, tuant ou emportant toute créature sur son chemin. Il disparu à nouveau pour réapparaitre vingt mètres au dessus de la troupe hurlante de terreur ou de douleur, et traça dans l’air un large X lumineux, qui se manifesta dans une explosion de la même forme, mais d’environ dix mètres de hauteur. Le saiyen conclut son œuvre macabre par un chapelet de boules d’énergie qu’il jeta à la ronde telle une poignée de piécettes jetées à des mendiants par un bon samaritain… à ceci prêt que ces piécettes là eurent l’effet d’une pluie de grenades, déchiquetant tout sur leurs passages dans un bel exemple de massacre généralisé. Puis le calme revint.

Kakarotto atterrit un peu à l’écart de la boucherie sur la place. Il regarda les agonisants et les fuyards avec un petit sourire cruel:
- Vous étiez prévenu… fut son seul commentaire.
Quand cela rentrerait il enfin dans le crane des gens? S’en prendre à un saiyen, c’est juste vouloir mourir jeune… le général se fit cette réflexion avant de reporter son attention sur Styx, toujours accrochée fermement à lui. Elle était de plus en plus mal en point, il devait la sortir de là vite. Un clappement sonore et répété le fit se retourner. Surgit de nulle part, un alien munit d’une unique corne avançait tranquillement avec un air réjoui tout en applaudissant lentement le tueur d’une division entière de ses hommes:
- Excellent! Excellent! Un massacre de très haute volée mon cher Kakarotto! Un pur régal pour les yeux!
- Taris…
Le poing libre du saiyen se serra violemment, et son regard aurait suffit à terrifié n’importe qui, sauf son interlocuteur du moment apparemment. Celui-ci se contenta de sourire de plus belle en s’arrêtant à une vingtaine de mètres de son nouvel opposant. Kakarotto reprit:
- Si j’avais les mains libres, j’applaudirais ton courage. Tes hommes ont du particulièrement apprécier ton aide précieuse alors que je les massacrais par groupes de dix.
- Pff… Ces minables n’avaient qu’a t’éliminer s’ils voulaient survivre, c’est tout simple. Moi, je voulais voir si tu méritais mon attention. Tu comprends, si tu n’avais même pas était capable de vaincre un groupe d’insectes, ça aurait été une vrai perte de temps de m’occuper de toi. Là, je sais à présent que tu n’es pas trop minable, ça nous promet un beau combat.
Un série d’explosions secoua alors un quartier de la citadelle, derrière le saiyen qui ne se retourna cependant pas pour en trouver l’origine. Il savait ce que c’était et un sourire naquit sur son visage:
- On dirait que Nappa et ses hommes arrivent. Tu devrais prendre tes jambes à ton cou comme toi et ton patron savez si bien faire.
Taris se crispa à cette remarque:
- N’insultes pas monseigneur Cold, vermine. Je ne crains pas cet attardé de Nappa, il est le suivant sur ma liste, bien sur, tu sera mon hors d’œuvre.
Styx toussa soudain violemment, crachant une pleine gorgée de sang sur l’armure de son amant qui la regarda avant de lancer:
- Je t’aurais étripé avec plaisir, Taris, mais j’ai d’autres affaires plus pressantes à régler, je vais laisser le soin à Nappa de prendre sa petite revanche, il en rêve depuis longtemps tu comprends.
Taris sourit soudain de toutes ses dents avant de répliquer:
- Ton cher frère de race risque d’avoir du mal à m’atteindre, et c’est grâce à toi d’ailleurs, je te remercie.
- Quoi?
Suivant le regard du chef des forces spéciales de Cold, Kakarotto aperçut alors une marée de points argentés fonçant tout droit vers le lieu ou les troupes de l’empire se battaient.
- C’est pas bien d’avoir laisser ta mission en plan pour une trainée, Kakarotto. Gronda Taris sur un ton de fausse réprimande.
- Merde!
Alors qu’il allait s’envoler, le saiyen fut soudain arrêté par l’apparition d’un dôme d’énergie étincelante d’une vingtaine de mètres de diamètres. Dans la seconde qui suivit, les bords du dôme semblèrent découper un cercle dans le sol qui commença à s’enfoncer dans la terre. Taris n’avait pas l’air inquiet et bientôt la plateforme, le bouclier et les trois combattants furent englouti sous terre. Un clapet de métal referma l’ouverture au dessus d’eux et le bouclier se dissipa tandis qu’un éclairage s’activait, révélant une vaste salle souterraine, sorte d’entrepôt ou de hangar à vaisseau circulaire large de cinquante bons mètres et haut d’environ la moitié. Il était vide. Et tandis que Kakarotto se tournait en montrant les dents vers son adversaire, ce dernier lança, jubilant:
- Ah, au fait, quand je t’ai dit que nous allions nous battre, ai-je oublié de préciser que tu n’avais pas le choix?
Comment Dragon Ball aurait pu tourner si Nekomajin avait été présent? la réponse:
[fanfic] Nekomajin Z

Lors du combat final contre Boo, ce dernier prend une autre décision, qui devait tout changer:
[fanfic]Boo: la quête de la perfection

Sur Namek, le prince Vegeta découvre le super saiyen et élimine Freezer avant de prendre sa place:
[fanfic] L'empereur saiyen

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Re: [fanfic] L'empereur saiyen

Messagepar Majin-vegeto89 le Sam Fév 12, 2011 23:45

Thib a écrit:C'est marrant, mais quand j'imagine Taris, je lui fait le corps du gars qui porte un costume de rhinocéros dans le dessin animé Spiderman :lol:


ah non hein! :evil:

Taris à une corne sur le front, mais il a un peu de charisme aussi. non, si je devais le décrire (je l'ai pas fait pour laisser une part d'imaginaire, mais on sort le rhino de spiderman, je réagis):

- taille moyenne, kakarotto on va dire.
- peau clair dans les ton de bleu style barta
- yeux parfaitement bleus (pas d'iris, pas de blanc)
- pas de cheveu, peau lisse (pas d'écailles ou autre)
- visage... comme vous le sentez, mais pas le visage à rhino! un visage de méchant type DBZ
- corpulence: pas un colosse ni une crevette, très musclé sans être exagéré.

voila, si un dessinateur se sent de tenter de lui donner forme...
Comment Dragon Ball aurait pu tourner si Nekomajin avait été présent? la réponse:
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Lors du combat final contre Boo, ce dernier prend une autre décision, qui devait tout changer:
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