Topic des crossovers entre auteurs

Faîtes-nous partager votre fibre littéraire en écrivant votre propre histoire mettant en scène les personnages de Dragon Ball et, pourquoi pas, de nouveaux ! Seules les fanfictions textes figurent ici.

Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar Paulemile le Ven Sep 09, 2011 2:48

Ce crossover m'était complètement sorti de la tête (me demandez pas pourquoi un tel sacrilège :cry: ). Merci à San de l'avoir remonté :mrgreen:

J'avais raté deux chapitres, et qu'est-ce que j'ai adoré ce que je viens de lire ! Le scénar me plaît énormément, et les personnages impliqués aussi (mais ça vous le saviez déjà :mrgreen: ).

Je rajoute donc ma couche pour réclamer une suite dans les plus bref délais :lol:
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar Black_Mass_Priest le Sam Jan 14, 2012 13:39

Lourd remontage de topic : en effet, j'annonce un cross-over.

Avec l'accord ( et l’intérêt ) de Paulemile, j'ai l'intention de faire un cross-over entre "Le Démon Immortel" et "Broly le Super Guerrier".

Pour l'instant, cela reste à l'état d'idée dans ma tête, car Paulemile n'a pas fini sa fic, et je n'ai pas non plus fini mon cross-over Saint Seiya/Broly, mais il s'agira surtout d'une sorte d'OAV de fic ( selon ses termes ).

Tout ce que je peux dire, c'est que Broly garde sa puissance dans ma fic ( SSJ1 plus fort que le SSJ2 et le LSSJ supérieur au SSJ3 et plus ), et vous verrez une ambiance glaçante directement inspirée de "Funny Games" (1997), avec quelques références à divers mangas. Ce sera assez régressif, brutal, précis, affiné et implacable. Voilà pour les contours de ce projet.
Je compte commencer à écrire d'ici peu, et même si Paulemile n'a toujours pas fini, tant pis. C'est annoncé, cela se fera.

voilà
"Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses." ( le bon, la brute et le truand )

Voici ma fic sur Broly : viewtopic.php?f=42&t=5769&start=75#p170875
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar kouki le Sam Jan 14, 2012 13:45

ouais bonne chance tous les deux :D , combat de titan :D :
garlic l'immortelle vs broly l'invincible
Image

Crédits AVS :

Spoiler
Merci à Anaunsa pour la superbe bannière !
Merci à Bushido et niic pour l'aide-scénaristique.
Merci à niic, Tiguor et goget pour l'aide au niveau des fautes.
Et un grand merci à tous les lecteurs !


News : koukishido ! La chaine DU duo d'LS !
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar sonluffy-z le Sam Jan 14, 2012 14:12

Verra-t-on un jour la dernière partie du cross-over entre L'Empereur Sayen et The Cold Family's Chronicles ?

De même le cross-over entre Versus et L'Empereur Sayen a disparu.
Fic Le tournoi ultime : viewtopic.php?f=42&t=5624 Fiction terminé
Ma seconde fic sur le commando Ginyu depuis sa création à sa fin : viewtopic.php?f=42&t=5702 dernier chapitre en date du 18/01/12
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar Black_Mass_Priest le Dim Jan 22, 2012 19:58

Allez, voici le premier chapitre du cross-over. Ce sera froid, précis et implacable, et ça ne finira pas bien. Vous voulez essayer ?


CHAPITRE 1 : Une zone morte.



Il restait quelques heures avant de pouvoir atterrir. Quand ce laps de temps sera écoulé, il pourra enfin faire ce qui serait nécessaire pour obtenir son vœu le plus cher. Le vaisseau avait trouvé la Terre très facilement, grâce à une carte spatiale capable de répertorier les quatre galaxies dans leur ensemble, sans aucune marge d'erreur, ni faute de repérage. Un plan vraiment parfait. Tout comme celui qui allait se mettre en place. Trois personnes, les seuls occupants, en étaient persuadés, vu ce qu'ils avaient vu, entendu et senti avant de voyager vers cette planète, autrefois, magnifique. En apprenant que tous les événements étaient dus à un Démon immortel, ils étaient déterminés à le retrouver et à l'abattre, surtout l'un d'entre eux. Tandis que l'homme à la chevelure lisse, longue et noire voyait cela comme un vulgaire travail, qui serait, hélas pour cette fois, gratuit, et que la femme ne faisait que suivre ce dernier, le troisième était de plus en plus stressé et énervé. Il rêvait déjà de tenir ce démon entre ses mains pour le supplicier. Il voyait déjà des visions « artistiques » : peut-être en dispersant ses entrailles et en les faisaient danser, il obtiendrait un magnifique effet, ou alors en l'enfermant dans un bloc de glace comme savait le faire un de ses compagnons de fortune.
Ces deux-là ne parlaient que très peu, et en dehors de sujets de conversations, le silence régnait en maitre absolu sur l'intérieur de la navette. En effet, un vaisseau plus grand encore les avait déjà accueilli, mais il n'est, désormais, bon qu'à dériver dan un cimetière d'appareils hors d'usage. Et puis il aurait fallu nettoyer, réparer, et pour cela, le temps n'était pas en leur faveur. Les deux autres personnes étaient des mercenaires : l'humanoïde était même un des plus célèbres, tandis que la femme était plus encline à tuer en toute discrétion, sans douleur, mécaniquement. Et elle allait le prouver puisque le vaisseau commençait à atterrir sur la Terre. Ils avaient vu auparavant une énorme planète rouge et assez menaçante, mais n'en eurent cure. Au pire, ils la détruiraient au passage, et en fait, cela les arrangerait, vu comment elle gâchait le magnifique panorama de l'espace. Suant à la planète, elle était ravagée, et il n'y avait presque plus personne, à part, d'après les ordinateurs, plusieurs centaines de milliers. Les trois ombres trouvaient cela très bien : ils n'auraient pas beaucoup de mondes sous les bras. En sortant, l'un des trois êtres se concentra, devant le regard amusé.


Douze ans. Tout un temps qu'il avait mis à devenir le Démon le plus puissant et à régner sur la Terre. Des milliers de soldats, de démons, d'alliés, de chausse-trappe, de coups tordus et d'attaques surprises le hissèrent vers de sommets. Il avait réussi à échapper à Dabra, le roi des Démons et maitre du Makai. Kaio, Kaio Shin, Goku, Piccolo, et tout les autres avaient été réduits à l'impuissance avec tous leurs interventions foireuses. Certains furent tués : il s'était tordu de rire en ayant vu la tête de ce misérable humain qui avait osé lui ravir son arme de guerre : Gohan. Pendant un moment, il avait dévoilé sa rage et sa frustration de s'être fait surprendre. Mais en fin de compte, il avait réglé ce contretemps fâcheux et intensif. Et enfin, ce qu'il convoitait était désormais sa propriété. Pourtant, malgré avoir asservi un puissant métis, rendu fort et docile par Makyo, la marque, la salle du Temps et de l'Esprit et tout le reste, ainsi qu'un puissant roi galactique il ne cachait pas un énervement. Certes, si ce n'était que le risque de voir Gohan repasser de l'autre côté avec une ruse de Goku et des Dieux, cela ne méritait pas sa colère. Mais autre chose le tourmentait depuis on arrivée. Et il ne le cachait pas :

" Après tant d'années à supprimer mes adversaires franchir les obstacles, j'ai assois ma domination sur l'Autre monde et sur la Terre. Je vous ais apporté le pouvoir absolu, et vous ais permis d'assouvir vos indistincts les plus destructeurs. J'ai passé un long moment à mettre tout cela en place et j'ai vaincu bien du monde, et tout cela grâce à vous. Alors peut-être il peut y avoir du stress et de l'ennui depuis que personne n'est venu ici depuis un moment. Mais je ne suis pas du genre à accepter n'importe quelle excuse, alors je suis obligé de demander quelque chose. Je suis désolé, mais...
VOUS N'ALLEZ QUAND MÊME PAS ME FAIRE CROIRE QUE J'AI FAIT TOUT CELA UNIQUMENT POUR RÉGNER SUR UN TAS DE RUINES, HABITÉES PAR DES ÊTRES TOTALEMENT EFFRAYÉS, ET POUR UNE RAISON QUE VOUS N'ÊTES MÊME PAS CAPABLES DE M'EXPLIQUER ???????????????????"

Il en était sûr, il fallait que cela sorte. Il était agacé de savoir qu'un nouveau mystère allait peut-être entraver sa marche de conquête future. En effet, alors qu'il était revenu, non sans avoir asservi le Paradis et l'Enfer, et avoir récupéré Gohan tout en humiliant ses ennemis de toujours. Et voilà qu'il devait régler un autre problème, dont il était persuadé que c'était l'œuvre d'un dieu ennemi. À chaque fois qu'il était sûr de remporter la victoire, toute la victoire, cela se compliquait . S'il ne se dépêchait pas de retrouver les Dieux et Goku, il allait devenir fou. Il se retrouvait devant un par-terre de terriens sur lesquels l'aquamist ne semblait plus fonctionner : ils étaient prostrés comme des zombies, refusant obstinément d'ouvrir la bouche. Certains étaient, d'après ce que Gohan lui avait rapporté, recroquevillés en fœtus, et émettant des râles ou des borborygmes incompréhensifs. En plus, certains étaient morts naturellement, d'une crise cardiaque. La bave aux lèvres, leurs yeux exorbités de frayeur ou avec des traces de larmes, ils semblaient avoir souffert le martyre. Avec sa puissance, Garlic avait compté : le nombre d'êtres humains démoniaques avait été réduit, de façon drastique, à une poignée de survivants, ou de morts-vivants. Déjà avant, il n'en restait que très peu après les batailles contre les ennemis, Dabra et les massacres perpétrés par les Cyborgs, Cell et Gohan. Là, c'était pire, dans la mesure où cela s'était fait en son absence, sans remarque, en toute discrétion. Grâce à sa nouvelle puissance, il était pourtant capable de repérer n'importe qui et de l'attaquer où qu'il était, et pourtant, rien. L'agresseur avait échappé à son pouvoir. Cette fois, c'en était trop : il devait intervenir lui-même, ou son immortalité allait devenir plus un supplice plutôt qu'une jouissance. Il devait d'abord faire parler au moins l'un d'entre eux, pour quelques informations qui pourraient se révéler utiles. Ensuite, il fallait, une fois la situation de nouveau réglée, il allait aller plus haut que le Royaume des Morts : il devait s'assurer à ce que ces Dieux ne puissent plus l'inquiéter. Ainsi, il pourrait aspirer au repos, un petit peu.

Décidément, il en avait marre : c'était le 545° humain/démon qu'il analysait, et il refusait de parler, ou ne le pouvait pas. Le métis se demandait bien pourquoi lui et son maitre perdaient leur temps à obliger des terriens à parler alors qu'ils suffiraient de scruter toue la planète pour trouver l'origine de ce problème. Enfin, de toute façons, il n'avait pas à discuter les ordres, même si, à plusieurs reprises il lui en voulait. En effet, il devait s'occuper de sales besognes, n'avait pas le droit à l'immortalité, et voilà qu'il rongeait ( mal ) son frein à faire des... interrogatoires !! N'importe quoi. Mais il se décida qu'il n'avait pas à se plaindre, car rien de pire ne pouvait lui arriver, depuis ce fameux jour.

Flashack, quelques années plus tôt :

« QUOIIIIIII !!!!!! Vous ne pouvez pas détruire cette foutue marque ???!! Et vous vous croyez au dessus de toute le monde ?? Quels genre de dieux êtes-vous ? »

Les êtres divins, cachés sous un voile de lumière, ne purent masquer leur irritation : ce type imaginait réellement que tout était simple ? Qu'il lui suffisait de ne rien voir ? Mais en voyant un regard noir, glacial, se poser sur eux, il durent passer aux explications :

« Hélas, c'est la vérité : Garlic le Démon immortel est devenu beaucoup trop puissant, même pour nous. Quand bien même nous pourrions le rendre incapable de faire du mal à quelqu'un, ou neutraliser sa capacité de se battre, ou de brimer ses émotions, cela se limitera à cela. Nous sommes incapables de purifier son âme, même en mettant en péril l'univers tout entier. Il semblerait que l'absorption effectuée sur cette créature, Majin Buu, l'ai renforcé à un point inimaginable. »

Pourtant, une chose de tout aussi inimaginable se produisit : Goku vit sa puissance augmenter à un niveau terrifiant. Dans son esprit, c'était la cacophonie absolue : après avoir vu Piccolo, ses amis, sa famille, s'effondrer morts pou entre les mains de Garlic, il ne veut pas croire que tout était perdu, et surtout par sa faute. Et pourtant, il devait s'en vouloir : il aurait tellement voulu remonter le temps, vers le moment où il quittait la maison pour aller chercher à manger, laissant son fils et sa femme seuls. Là, il serait resté et aurait repoussé un de ces sbires de Garlic. Ou mieux, au moment où le Makai avait été créé, les Dragon Balls avaient été créées... Cela le rendait plus fou et malheureux : si il avait fait son boulot de père, il n'en serait pas là.

« Chichi, pensa-t-il, au bord des larmes, tu avais raison : j'ai été un père indigne. Pardonnes-moi. »

À la place, quelque chose se produisit : il fut entouré de lumière, puis tout explosa dans un flash à bruler les yeux de n'importe quel être vivant. Les Dieux durent fermer les leurs, et lorsqu'ils purent voir quelque chose, devant eux se tenait... le même homme ? Pas exactement : Goku avait une chevelure plus longue, qui rappelait celle de Raditsu, mais dorée, et avec une aura très électrisée. Les muscles avaient doublés de volumes, et les arcanes sourcilières n'avaient plus de poils. Kibito et DaiKaioShin ( à qui il avait fallu faire appel en cassant la Z-Sword ), ne croyaient aucun de leurs cinq sens : Goku avait de nouveau repoussé les limites du Super Saiyajin. Sa puissance égalait presque celle de Majin Buu, et il était capable de mener la vie dure à Garlic. Il se retourna vers les Divinités, et :


« Si je ne parviens pas à rétablir l'ordre, vous avez intérêt à trouver un plan de secours. Dorénavant, je vais aller régler le compte de Garlic. Pour le reste...

( Tout le monde retint son souffle alors qu'il marqua une pause )

_... je m'en moques. Je pourrais même tout détruire pour le retrouver et ramener à la normale.

_ Pour l'instant, cela aussi, est impossible, car Garlic est retourné dans la Dead Zone. »

La seule chose qui empêcha le Saiyajin de sang de tout détruire sous le coup de la colère, c'était de dire que Gohan allait subir un traitement qui diminuerait au maximum ces capacités cérébrales, de sorte à ce qu'il ne fasse aucun mal.
Depuis, Gohan côtoyait son père et ne cessait de l'insulter, mais sans émotion, étant devenu un robot aseptisé.

Fin du Flashback.

Quand il se rappela tout cela, il ne cessait de trembler de rage : après tant de batailles et de sang versé à la gloire des Démons, on lui avait empêché de ressentir le plaisir de se battre, de tuer et de dominer. Il ne ressemblait à rien, sinon une loque qui marchait lentement et faisait des gestes mécaniques. Intérieurement, il vît un véritable enfer : il voulait le tuer, comme la dernière fois, mais il avait vu sa volonté totalement bloquée, contenue à l'extrême. Ça avait l'air, d'ailleurs, de l'arranger que son fils soit, après tout, un garçon sage, et obéissant. Et cela l'énerva encore plus : il se jura que lorsqu'ils se retrouveraient face à face, il deviendra bien admettre que son fils n'était plus depuis longtemps, et que pour l'empêcher de tuer et de détruire, il devra mettre fin à sa vie. Mais il se reprit en se disant que même mort, il continuerait de vouloir sa tête.
Au bout d'un moment, Garlic en eut marre et décida d'augmenter le procédé en efficacité : sa puissance entoura un des interrogés, qui se prit de convulsions, puis se calma. L'air sur son visage était apeuré, mais il pût enfin ouvrir la bouche et dire quelques chose de concret.

« De la brume... du brouillard, et une voix. Elle disait, de venir vers le ciel. Mes congénères furent attirés, les larmes aux yeux, et il fait de plus en plus froid. Les voix les appelaient encore, le brouillard les enveloppait, et plus rien. »

Tout deux étaient agacés à le regarder vagir des paroles totalement décousues. Il semblait parler d'une force qui générait du brouillard, attirait ses victimes et qui les emporterait dans ce brouillard ? Garlic savait qu'il pouvait exister toutes sortes de phénomènes invraisemblables, pour un simple motel, mais il ignorait à quel point cela atteindrait les limites du grotesque et du ridicule. Cette fois, il allait lui-même sur le combat pour régler cette histoire le plus vite possible, avant d'établir le règne des démons sur les mondes, sur l'univers même. Le démon bleu se mit à se concentrer, puis repéra une forte concentration d'énergie dans une rive, près d'un archipel, dans le Sud-Ouest de la planète. Tous deux, l'ancien fils de Goku et le dieu de la terre, prirent leur envol, pour y être en quelques instants. Gohan fut le premier à atterrir sur la plage, menant aux îles. Sans savoir pourquoi, il se mit soudainement à frissonner : tout était mort, et il y régnait un froid assez inhabituel. Le sable était dur, des couches de givres étaient visibles ça et là, et le brume était dispersée autour des îles à peines visibles. En inspectant les environs, le nombre de cadavres se mit à augmenter, au fil de leur progression jusqu'à ce que la plage en soit saturée. Ils étaient soit allongés par terre, soit enfermés dans des blocs de glace. Le demi-Saiyajin maudit scruta l'un de cadavres, qui avait les yeux exorbités et des traces de larme sous les yeux. La main gauche était sur le cœur, et du sang coulait encore un peu sous la bouche. D'autres, étaient en train de... prier dans leurs cercueils de glace ?? mais qu'est ce que cela voulait dire, à la fin ? Et en plus, on aurait dit que, que...

« Gohan, tu as senti la même chose que moi ?

_ Oui, et c'est le comble du bizarre : ils sont morts de... peur. »

La pensée suivante, il préféra la garder pour lui : son, cœur, à supposer qu'il l'avait encore, battait de plus en plus fort dans sa poitrine à mesure qu'il examinait les visages de certains morts. L'air serein et souriant, ils étaient étendus dans des blocs de glace, ou étaient tordus dans tous les sens. L'ambiance était réellement glaçante, car il n'y avait rien autour. Ni d'énergie, ni guerrier, ni trace de lutte, ou très peu : ils avaient vu des traces de cendres sur le sol. Tout avait du se dérouler par surprise, sans violence, avec ou sans douleur. Aucun vent violent dans les parages, tout était très silencieux, calme, froid et... mort. Pourquoi ce mot revenait-il, à la fin ? Même Garlic était surpris par cette pensée : il était pourtant immortel capable de se régénérer, et de se remettre de n'importe quelle blessure, aussi mortelle était-elle. Et pourtant, elle était là, tout proche d'eux, cette sensation.
Soudain, ils entendirent un bruit, et aussitôt, ils se mirent en garde, comme pour se prévenir d'un danger. Cette réaction fut automatique, ce qui le surprit un peu. Leurs yeux tournaient et fixaient chaque point dans la zone. Et pourtant, impossible de déterminer la source de ce... bruit. La sueur, en coulant, se mît à produire du givre, comme pour se glacer au contact de l'environnement. Les deux êtres démoniaques commencèrent à trembler et à sentir leur muscles leur faire mal lorsqu'au bout d'un moment, rien ne se produisait. Leur vie, enfin la nouvelle, pour le garçon, était constituée de batailles, de tromperie et de violence, et là, rien. Rien que le calme et la sincérité, car ils virent enfin la source du bruit : une masse de feuillages, se formant dans le vent. Mais cela ne les rassurait pas pour autant, car le vent était présent : tout s'enchainait, presque normalement, et cela agaçait Garlic de plus en plus. Il se sentait piégé par une mécanique qui allait le torturer, tout en ne lui faisant rien. Soudain, le brouillard, qui se maintenait autour de l'archipel invisible, commença à se mettre en mouvement, à devenir de plus en plus volumineux et menaçant. Et le comble de la surprise arriva sans prévenir : la brume, celle dont avait parlé le terrien possédé et apeuré, se mit à briller, comme si une lumière en constituait le cœur. Cette lumière disparaissait, puis revenait, à une seconde d'intervalles, au fur et à mesure qu'il s'avançait vers eux. Garlic entendit un bruit qu'il n'espéra plus, au bout d'un moment : un horde de terriens arriva en courant, pour s'arrêter faire la révérence à Garlic. Mais alors que les Démons allaient se former en ordre de bataille, le brouillard se mît à changer de direction et à envelopper un groupe resté en retrait. Les yeux de autres en furent exorbités : la brume devint plus compacte et plus uniforme, avant de montrer des silhouettes lever les bras. Au même moment, comme en synchronisation, des hurlements étouffés s'élevèrent, pour retomber et faire place au silence absolu, lorsque le voile fumeux se leva. Il ne resta plus rien, tandis que la masse nuageuse et très froide se déplaçait vers le groupe autour de Garlic. Absolument incapables de se repérer, les terriens sous aquamist se dispersèrent, et virent une silhouette se déplacer devant eux : une femme, de enfants, des hommes, droits comme des I, le regard vitreux et décharnés. Paralysés, ils attendirent la mort, qui arriva.

« Mais c'est pas vrai ??!!! Vous les avez reniés !!! Battez-vous, réagissez, merde !! Vous n'allez quand même pas vous laissez tuer par moins fort que vous ?!! »

Garlic avait toutes les peines du monde à se faire entendre, mai rien à faire : l'aquamist ne fonctionnait plus ici, ni même sa marque, pour certains. En plus, les rares qui frappaient, cela se passait dans le vide : les silhouettes étaient des êtres morts. Soudain, Gohan VÎT quelque chose de terrifiant : une silhouette frappa des terriens à distance, puis en extirpait tout le sang, avant de congeler le tout, puis de construire un cercueil de glace. Une autre silhouette s'avança d'un pas mécanique autour de la cohue, devant Gohan et Garlic. Tandis que le brouillard se levait de plus en plus, la silhouette devint plus nette, laissant place à un homme et à un petit groupe de personnes. Il était assez musclé, et semblait avoir des caractéristiques proches de celles des Saiyajijns. À la différence qu'il ne portait pas d'armure, mais des bijoux or et avec des saphirs incrustés. Un pantalon blanc bouffi, une ceinture et une sorte de drap rouge complétaient le tout. Cet être les regardait avec mélancolie, un demi-sourire aux lèvres, ou presque sans émotions. Se trouvaient des boucles d'oreilles, et une chevelure blonde. En fait, c'était cela, le caractère Saiyen. Puis, derrière lui, le brouillard s'éloignait, avant de reprendre sa place. Autour des deux Démons, de nouveau, le silence était remonté sur son trône. Il régnait, aidé par l'inconnu qui scrutait ses interlocuteurs, puis regardait derrière lui. Les humains qui l'accompagnaient étaient entourés d'une aura d'un vert émeraude, et glaçante. Ils regardaient avec mépris et tristesse l'adolescent démoniaque.

« Allez-vous en ( une femme venait de parler ). Laissez-nous tranquille : jamais nous ne vous pardonnerons pour avoir détruits nos vies, alors qu'on avait rien demandé à personne. Nous avons à peine été sauvés, et vous revenez nous hanter, nous maudire ?? Partez ! »

Cette phrase, curieusement, faisait impression, sur Gohan : il se sentait visé, comme si ce qu'elle disait le concernait directement. Mais sa vie de démon était devenu était devenu son habitude : pourquoi revenir à ce qu'on avait à peine vécu ? Le passé était derrière.

« Détrompe-toi, mon enfant, intervint la voix de l'homme, douce et extrêmement sombre, dépressive, à faire froid dans le dos. Le passé n'est pas derrière toi, mais à tes côtés : c'est cette créature, et tout ce qu'elle représente, qui doit relever du passé. »

Soudain, les humains qui servaient de compagnie se soulevèrent de terre puis se sentirent transportés vers l'archipel, toujours impossible à voir à l'œil nu. Puis une explosion d'énergie retentit, puis plus rien.

« Mmm. Il doit être temps de rendre aux dieux ce qui leur appartient... ou presque. »

Gohan, sans autre forme de procès, fonça sur l'individu qui eut le temps de retourner la tête et de se concentrer. Un cercle vert l'entoura et il décolla du sol. Un flash vert émeraude illumina l'endroit.

******

« Ha ha ha ha !!!! Je ne pensais pas qu'on pouvait avoir une conception du paradis !! Je me surprends moi-même, ces temps-ci. »

Cold jubilait : depuis la prise de contrôle de l'Au-delà par Garlic, tout lui était permis. Les ennemis de Garlic, les élus du paradis et autres subissaient les brimades et les tortures des Démons dans les grottes, dans un immense champ de ruines. Le démon bleu avait décrété que son royaume ne privilégiait que les démons, le mal, la souffrance. Alors à ce que certains se bousculent pour être corrompu , devenir un démon, et savourer le mal, pour échapper à l'enfer. Les sbires de Dabra avaient droit aux taches les plus viles, des taches d'esclaves, d'outils. L'espace d'un instant, il redevait un roi, un tyran.
Mais cela allait, peut-être, durer l'espace d'un instant, en effectivité. Sans crier gare, une violente explosion retentit vers l'ancien emplacement du poste-frontière. De centaines de démons disparurent ou furent emprisonner dans la glace. Les humains/démons furent glacés d'effroi ou virent du givre sur leur corps. Trois silhouettes firent leur apparition, fixant leurs adversaire d'un air sombre. Une femme, dans une armure noire, avec des jambières aux bords tranchants, et un homme, avec également une armure et un poignard entouré de lumière blanche, entouraient un autre homme, à la longue chevelure, avec une aura électrique. Sans sourcils, il scrutait l'autre monde tombé sous la coupe de Garlic.

« Sans question, ni compromis, vous allez devoir choisir : élevez-vous vers les dieux et soyez illuminés, ou disparaissez dans le néant ou soyez condamnés à l'ennui éternel sur Terre. »

Fin du chapitre.

Ben voilà, c'est parti pour le cross « Démon immortel » et « Broly le Super Guerrier ». Ça se passe dans le futur, et vous verrez Garlic se battre et faire des étincelles ( ou pas ).
Au début, je voulais appeler ce chapitre « Sur des Ruines ? », mais j'ai changé en référance avec un mot qui se rapporte à Garlic. Et ce cross-over aura un peu des faiblesse au niveau du scénario, mais je mises sur des aspects psychologiques et de la baston.

À vos commentaires et à plus.

Voilà

ps : Essayez de deviner quel manga m'a inspiré pour les deux personnages qui accompagnent Broly au début du chapitre. Allez-y, ce n'est pas difficile. Et pour ceux qui se demandent ce qu'ils font avec Goku, réponse au prochain chapitre.
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Voici ma fic sur Broly : viewtopic.php?f=42&t=5769&start=75#p170875
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar Paulemile le Dim Jan 22, 2012 20:26

En effet, c'est froid ! :mrgreen:

Bon je précise que c'est un crossover auquel je participe pas vraiment, vu que j'ai simplement donné le feu vert à Black Mass Priest pour écrire la fic. On peut appeler ça une OAV puisque le scénario diverge à partir de là où j'en suis dans ma fic sur Garlic.

J'ai pas reconnu les nouveaux personnages, mais c'est aussi parce que ma culture des mangas est relativement limitée. En tous cas, s'ils ont la force de se mesurer à Gohan et Garlic, c'est pas n'importe qui !
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar sonluffy-z le Dim Jan 22, 2012 22:09

Idem j'ai pas reconnu les personnages inédits.
En tout cas, ta vision du futur de la fic de Garlic ne me déplait pas.

Et Broly face à un être immortel, il va pouvoir faire éclater toute sa rage face à quelqu'un qui refuse de mourrir. Ho et Garlic ayant "absorbé" Buu il est devenu vraiment très fort.
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar Black_Mass_Priest le Ven Fév 10, 2012 22:06

Je suis reparti. Désolé du retard.

CHAPITRE 2 : Unité, rapidité, efficacité.


Deux jambes étaient accroupies, comme pour une méditation. Mais une différence était notable entre la méditation, capable d'apaiser un esprit, et l'observation, avec la peur au ventre. Le corps en question tremblait, des pieds à la tête. Deux yeux étaient rivés sur une sphère de cristal, reposant sur une herbe fraiche, pure. Comme si le Paradis était resté inaccessible pour ce pourrait le souiller. Le cerveau de Goku repassait chaque pensée : son enfant, né de son union avec une terrienne, était entre les mains d'un esprit maléfique, une dérive mystique de la création et de l'évolution. À chaque fois, la situation s'était empirée, et d'autres paramètres étaient à prendre en considération, et en priorité. Le problème du départ, celui qui avait engendré ces catastrophes, et la conquête du monde céleste et souterrain, était considérés comme un point de détail. Son cœur avait cessé à deux reprises de fonctionner, par un rayon , puis par une main tranchante. De nombreuses gouttes de sang, de larmes et de sueur avaient coulées. Puis vint une autre solution stratégique. Il fut le seul à, se méfier :ces trois êtres ne lui inspirait pis confiance, et un d'entre eux déclencha une vive réaction à la moelle épinière, comme une répulsion. Et pourtant, il avait beau faire fonctionner son cortex, chaque fonction de réflexion, mais rein n'y faisait : il avait accepté que cette tactique serait celle de la dernière chance. Et il devait aussi accepter... qu'il était impossible de faire des omelettes sans casser des œufs.


Le mécanisme avait de nouveau fonctionné : la cible avait foncé pour la troisième fois sur lui, et à nouveau, et il fut violemment repoussé. Ses yeux scrutaient chaque détail pour constater les dégâts : les égratignures se faisaient de plus en plus nombreuses, et le sang entamait sa fuite en sortant de blessures, sans parler des brulures. Ce devait être la méthode la plus adéquate pour neutraliser le sujet fâcheux et impulsif, pour le moment. Le regard clinique et froid observa, analysa l'autre cible, plus puissante. C'était donc ça, l'homme à abattre, ou plutôt, à soumettre ? C'était une chose insignifiante et au physique offensant. En plus, il voyait en lui tout les caractéristiques d'un démon : il était énorme, le regard traduisait les émotions négatives de la colère, du malice et de la violence. Les dents étaient pointues et les bras puissants. Il sentait une aura d'une grande intensité, concentrant plusieurs force à la fois. Quant à l'autre, il était moins caricatural : jeune, une morphologie d'un humain. Ou plutôt... il était un humanoïde, il le ressentait. Son regard était haineux, les pupilles sombres et le blanc de l'œil ne l'était plus trop. L'énergie utilisée pour se battre était aussi noire, mais moins prononcée. En effet, autre chose gênait chez ce garçon, comme si il ne devait pas être destiné à devenir ainsi. Ce fût là qu'il comprît : ces voix qui lui avaient parlé, ainsi qu'à ses deux compagnons, désignaient cet enfant. C'était bien lui qu'il devait sauver, et emporter au ciel pour le rendre heureux à jamais.
Mais pour l'heure, il devait attendre que les trois PAL soient enclenchés, les trois étapes atteintes. Il vît alors le brouillard changer de taille, devenir un peu plus étendu, puis se diriger vers la plage. Gohan et Garlic ne mirent pas longtemps avant d'être enveloppé, puis d'entendre des pas dans leur direction. Les ombres s'accumulaient autour d'eux, puis disparaissaient au fur et à mesure que des nappes de brumes se mettaient en mouvement. Le métis chercha à faire un pas en avant, et il dût son salut à ses réflexes afin d'éviter un coup de lame. Il chercha à se demander qui pouvait utiliser un sabre ou une épée. Ce fut alors qu'il vit une silhouette tenir une épée, et il semblait le connaitre : les vêtements déchirés, se réduisant à un pantalon militaire, une veste de jean cachant un marcel noir, soulevaient une tête décharnée sans émotions et avec des cheveux de lavandes cassés. À peine il le vît que la brume glaçante commença à le recouvrir, puis le faire disparaître. Plus le jeune démon avança, et plus il vît des silhouettes de ceux qu'il avait vu et côtoyé l'agresser de toutes parts. Cela allait du type chauve avec les points sur le crane, jusqu'à... Piccolo, l'ancien démon. Garlic aussi était face à des êtres pourtant décédés : il y avait ses anciens alliés, puis Cold, Freezer, Dabra. Des silhouettes fantômes ne cessaient de disparaître, de réapparaitre, de frapper un coup avant de céder leur place à un autre. Curieusement, regardé par un danseur, cela avait l'air d'une chorégraphie parfaitement millimétrée. Oui, c'était le but de leur ennemi : les soumettre à un mouvement noble et beau parce que contraint. Soudain :

« RAAAAAHHHH !!!!!!!! Toi, enfin !!!!!!! ON VA VOIR SI TU ME TROUVES TOUJOURS AUSSI SAGE !!!!!!!!!!!!!!!! »

Gohan avait hurlé ses paroles devant un fantôme : son mère, qui passa d'un air triste. Contrairement aux autres silhouettes du passé, le père du démon eut une expression sur le visage. Avec la même, il ne cessa de se trouver à divers endroits pour frapper le garçon qui avait toutes les peines à se tenir debout. Et puis, pire, quelque chose se produisit : le doute. Ce poison commença le dévorer lorsqu'il vit Garlic ne cesser de repousser les ombres du passé. Il se demandait pourquoi ces êtres ne cessaient de le poursuivre, et comment ce faisait-il que, même mort, cet être qui était, d'après certains, son père, continuait de le traquer. Et les autres, ils ne cessaient de revenir à la charge, même sous formes d'hallucinations, ou de fantômes. Il les avait renié, il était un démon, maintenant. Alors pourquoi s'entêtaient-ils ? C'était à devenir fou.
De surcroit lorsque la scène suivante se produisît : son cerveau enregistra une image de silhouette inamovible déplier le bras et le tendre vers lui, comme un ton accusateur. Leur regard, impitoyable, pesaient sur le garçon, dont les dents claquaient, les jambes tremblaient et dont les idées troubles s'entrechoquaient violemment dans son cerveau. Il fonça alors vers les formes mortes qui disparurent de nouveau et attaquèrent dans son dos. Ne cherchant pas à répliquer, Gohan courait devant lui. Il ne cessait de sprinter pour échapper à ce qu'il ne pouvait détruire, courrait pour fuis un passé qui commençait le torturer. Mais la brume continuait de l'emprisonner, impassible, avec le supplice continu. Il vit Garlic aux prises avec Tigeru, ou son ombre, et continua à fuir, à tourner le dos. Mais il aperçut alors cet être qui les avait accueilli ici, le regarder avec dépit. Ce bonhomme n'avait donc toujours pas compris. Alors les ombres se multiplièrent, et une d'entre elles l'interloqua : sa mère. Elle avança, puis u,ne chape de brouillard la rendit invisible, avant que les fantômes ne se ruent sur l'adolescent infernal. Un petit guerrier le frappa avec une violence sans émotion. Les gestes étaient mécaniques, aucune intention ne se reflétait. Puis de nouveau, les doigts, tendus par un, puis deux fantômes. Il faisait d'ailleurs, de plus en plus froid, et le métis se sentait de plus en plus perdu. Où était Garlic, son seigneur ? Où était-il ? Personne n'allait le sauver, le sortir de ce pétrin, et il allait mourir lentement, mécaniquement. Il n'aura pas eu l'occasion de monter sa puissance, comme contre Dabra et ses sbires. Puis, devant les regards de plus en plus oppressants, il se mit à sentir quelques chose dans son œil droit. C'était impossible pour lui, son cerveau avait chassé cette probabilité. Mais son corps le faisait : des larmes se mirent à couler, d'abord sur l'œil droit, puis l'autre organe oculaire. Les ombres commencèrent par changer d'expression, passant de l'absence d'émotions, à la tristesse, puis à un regards plus compatissant. Le garçon cherchait à se débarrasser de ses larmes, mais la paniquer le gagna en voyant que son corps refusait de lui obéir. A lui, ou à son maitre, Garlic. L'homme ne cessait de s'avancer vers eux, et Gohan s'en aperçut. Et soudainement, tout disparut : le brouillard s'était retiré, laissant Gohan blessé légèrement, et Garlic avec deux ou trois égratignures.

« PAL 1 confirmé. ».

******************

Les chairs de plusieurs centaines de démons, autrefois terriens, avaient explosé en morceaux sous l'impact. Les corps, ensuite, furent enveloppés de lumière avant d'être emportés ailleurs. L'épée utilisée était redoutable : son tranchant était tel, et sa taille si importante, que rien ni personne ne pouvait y résister. En fait, cette arme était la plus efficace pour détruire une armée entière de démons, avant le processus de reconversion. Cet homme, bien bâti et avec une longue crinière noire, regardait autour de lui, et surtout les dégâts que faisaient sa compagne, et ce Béjita. Les démons volaient en éclats, avec une précision terrifiante. Les terriens sous aquamist et les sbires de Dabra explosaient puis disparaissaient. Puis, au fur et à mesure que les armées se vidaient, la terre tremblait. Sa compagne utilisait une balance géante qui aplatissait les ennemis aux alentours, tout en renvoyant les attaques grâce à un puissant coup de pied latéral. Face à ces trois exterminateurs de démons, Cold et Dabra comprirent le but et ce qui allait se passer quand ils allaient tous disparaître : le royaume des morts sera de nouveau séparé entre le Paradis et l'Enfer, et ils chercheraient à anéantir le Makai. Mais ce qui restait un mystère, c'était la spirale que trimbalait l'homme en cape noire, et le liquide qui y tourbillonnait à une vitesse hallucinante, et avec des formes spectrales qui devenaient blanches au fil du temps qui passait. Mais pour l'heure, il s'agissait de s'unir pour maintenir le règne des démons.

« Hé hé. Je retrouve enfin le plaisir de la guerre !! des combats, des tactiques, et de la trahison, et autres alliances par centaines.

_ C'est sûr !! Je me souviens m'être allié avec ces êtres envoyés par Kaioshin. Je ne pensais pas qu'il finirait par se soucier de ce point de détails ( à ce mot, Cold exprima des frissons, et une crispation du visage ). Mais saches-le : si nous somme unis, c'est parce que ces trois types n'épargnent personne. Qu'importe si nos êtres étaient dans mon camp, le tien, ou même le leur. Ils frappent tout le monde. Enfin, je pense qu'on devra attraper ces trois-là, et les interroger sur comment ils ont reçus de tels pouvoirs. Ils semblent, comme... immunisés, hermétiquement fermés à l'atmosphère du Makai et de notre nouveau monde des morts. Et surtout, si Garlic pouvait venir ici, je crois que cela m'arrangerait. »

Mais ils furent interrompus par l'arrivée fracassante de cet homme à la cape noire. Il les toisa grossièrement, avant de frapper. Et ensuite, ils VIRENT quelque chose qui ne les avait pas rassurés. Non pas par peur, mais ils se demandaient si c'était réel ! La lame se mît à changer de forme, pour se changer en... énorme faux. Le tranchant fît de nouveau mouche, mais l'épaisseur était telle qu'elle eut plus d'effet d'écraser que de découper. Mais du sang jaillit, et un autre phénomène se produisit : l'énergie de Dabra le quitta aussi, en même temps que le sang. Cette épée avait le pouvoir de tout trancher, chair, sang, corps, énergie, et même esprit. Et il remarqua que les environs se recouvrirent.... de glace ??!! Mais il n'eut le temps que pour s'en rendre compte, car il vit Sancho et Nikki se faire aspirer leur énergie, et Ginger se tordre de douleur, puis à voir son sang sortir de se veines. Quelques secondes plus tôt, le guerrier divin avait disséminé des jets de lumières grâce à deux poignards.

« AUGE HYDOR... grâce à ce pouvoir, j'ai le contrôle absolu sur l'eau et ce qui s'y apparente. C'est la technique la plus efficace pour vous abattre, à distance, pour gagner du temps, leur expliqua-t-il, ironique. Et maintenant, ASTER HOREJA !!!!!!!!!!!!!!!!

Tandis que les corps se vidèrent de leur sang, et que leurs âmes, souvenir et énergies rejoignirent l'épée. Les éléments se mirent à tourbillonner jusqu'à avoir l'éclat du cristal le plus pur. Ce phénomène étonna tous les démons : l'âme de Ginger et des autres anciens sbires de Garlic se mirent à tournoyer dans une auréole géante, semblant grandir de plus en plus. Puis la forme spectrale prit une forme plus gracieuse, des cheveux longs, une apparence frêle et humanoïde, remplaça les corps, au physique ingrat ,de ces démons. Puis à leur tour, ils disparurent, et Cold vit une chose : une lumière gigantesque,n concentrée d'énergie, l'écraser, puis Végéta tira une boule de feu.

« ASTER KYKLOS !!!!!!!!!!!!!!! »

*************************

« PAL 2 confirmé. »

Le Super Saiyajin confirma ce qui était préparé : le garçon avait réussi à éviter les boules de feu, non sans mal. Curieusement, il ne se préoccupait guère de Garlic, qui utilisa son immortalité afin de résister aux tirs. C'était donc cela sa technique : les boules de feu étaient contrôlées à distances, puis se transformaient, l'espace d'un instant, en barrage de lasers qui percutait la victime. Gohan avait trouvé la parade : avec son maitre, ils détruisirent toutes les bombes, et Garlic servait de bouclier vivant. En effet, il arrivait à ce que certaines boules de réunissent, pour former un déluge plus puissant encore. En fait, c'était la première fois que le dieu de la terre était intervenu : il devait absolument jauger cette puissance et se demander s'il faudrait utiliser toute sa puissance pour le tuer. Apparemment, non, car il devait être juste fort pour neutraliser son esclave. D'ailleurs, cela le titilla : ce monstre avait l'intention, donc, de se focaliser sur lui, comme pour... Merde ! C'était cela : il voulait lui retirer la marque, mais il ne lui laissera pas l'occasion. Et puis Gohan avait accepté cet état, car ayant été trop jeune à l'époque. Il jubilait : son pouvoir pouvait soumettre les victimes sans possibilité de libération, devant s'y prendre assez tôt. Mais le mieux était de se concentrer, car leur adversaire ne cessait de recréer d'autres boules de feu et rendre de nouveau le terrain miné. Il décida que c'en était trop : il augmenta sa puissance qu'il savait très grande, et largua un puissant laser pour détruire toutes les bombes aux alentours. Mais le Saiyajin fou était capable de créer des bombes à des distances très éloignées, et pouvait les projeter à toutes vitesses sur sa cible. Ou les bombes bougeaient d'elles-même avant de se réunir en pluie de rayons. Même si aucune d'entre elles ne pouvaient le tuer, ils lui causait certains dommages, en entrant presque dans les plis de sa peau. Mais l'effet de surprise était réussi : il s'agissait de permettre à Gohan d'attaquer la sphère verte qui entourait le colosse placide. Les premières vagues ne faisaient rien au bouclier, mais le démon divin intervint et un laser enveloppa le corps, puis un violent fracas retentit. Lorsque la fumée se dissipa, Garlic ne put que se maudire en voyant que leur ennemi n'était pas mort, mais au moins, cela faisait un obstacle de moins. Alors qu'il voulut ouvrir la bouche pour ordonner d'attaquer, l'ennemi les distança et prononça les derniers mots avant un silence de plomb :

« PAL 3 confirmé... code de mise à feu activé. Engagement du programme d'extermination et de conversion. Activation d'hypertrophie des cinq sens. Puissance maximale jusqu'à neutralisation de la cible. »

Alors qu'il prononçait ces mots, sa puissance augmenta à une cadence accélérée, et ses traits se mirent à durcir légèrement. Garlic avait compris que cet être allait passer à l'offensive et qu'il fallait se tenir prêt. Mais ce type allait comprendre qu'il n'aurait pas du se laisser faire, il en était certains. Mais il ignorait, et Kaio Shin en tait persuadé en observant du Kaio Shin Kai, qu'il venait de signer son arrêt de mort ou de non-existence. En effet, à peine voulait-il bouger un muscle, que le Super Saiyajin disparut dans un vent violent, en creusant un énorme cratère. Le même vent souffla dans son dos, il vît une silhouette sur sa droite, avec d'étranges motifs sur le corps.

« ATTEN... »

Mais Gohan ne put finir sa phrase : la masse de muscles bleues se fit brutalement projeter en avant, puis se reprendre plusieurs centaines de mètres plus loin. Il voulut attaquer cet homme, mais il était déjà devant lui, un doigt tendu, replié sur un autre. Puis il se déplia, pour rejeter le démon en arrière, d'une pichenette. Cela laissa suffisamment de temps au maitre de la Terre de revenir à la charge, mais encore plus au Saiyajin pour le frapper de nouveau, puis le métis. Cela les effraya : en quelques secondes, ils étaient pris dans un puissant maelström de coupe de pieds, de poings et de deux doigts tendus et les autres repliés, tandis que ce monstre ne cessait de tourner autour d'eux à une vitesse ahurissante. Le Dieu n'avait même pas le temps de ne penser à autre chose qu'à esquiver, tellement il était submergé. Leur adversaire les avait, l'espace d'un instant, surpassé en vitesse, alors qu'il était moins fort, et probablement pas immortel. À peine il s'effondrait sur le sol, le mitraillage reprit de plus belle, sans temps mort, sans baisse de rythme. C'était même l'inverse : cela allait de plus en plus vite, de plus en plus fort. Et le sol se transforma en surface lunaire, à force de montrer des cratères, et des rochers exploser sous l'impact. Garlic aurait tellement aimé que son immortalité supprime la sensation de douleur, mais même cela, il ne pouvait pas y rêver, car maintenant, la flèche infernale allait s'attaquer à Gohan, qui, bien sûr, avait encore moins de facilité à suivre. Non, en fait, il était totalement largué par un monstre aussi rapide. Les coups étaient moins forts, mais faisant horriblement mal, et les jambes étaient le plus visées. Enfin, cela s'arrêtait, et ils purent le voir bien nettement. Garlic dut se rassurer, mais non : il n'avait pas la berlue, et il voyait bien ce qui semblait être des veines être gonflées sous la peau. Ou plutôt, ce qu'il avait dis tout à l'heure... des nerfs ? Non, impossible : nul n'était capable d'entrainer la moelle épinière, à moins de canaliser et emmagasiner une émotion particulière. Et à l'inverse de Gohan lorsqu'il avait subi les pouvoirs de Babidi et de Dabra, les coups étaient d'une précision meurtrière, parfaitement ajustés, comme une véritable machine de guerre. Il ne savait pas comment quelqu'un avait pu l'entrainer et lui donner une telle puissance, mais c'était rudement efficace. D'autant qu'il ne changeait pas d'expression, même pour attaquer. Mais il s'envola soudainement, et il se mot à hurler, alors que l'environnement se colora de vert foncé :

« SPREAD THE MAYHEM !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »

La pluie de rayons lasers ravagea tout, creusant toujours plus de cratères, détruisant les montagnes aux alentours. Gohan vit l'ombre de Garlic fondre sur lui pour toit prendre à sa place. Mais un imprévu apparut : la sphère d'où partaient les lasers ne rétrécissait pas, et était rechargé par le tueur, qui ne cessait de varier les assauts. Si cela continuait comme cela, ils allaient finir en morceaux, et le Dieu se retrouvait seul face au démon. Il décida de foncer sur le monstre et réussit à l'atteindre en dépit de averses de lasers. Mais à cause de ces rafales, sa force diminua, et le coup de poings fit juste l'effet... de dresser la tête vers l'arrière, puis elle revint, avec juste une trace sanglante, qui disparut aussitôt. Garlic en fut estomaquée, et le Saiyen parla :

« Attends... vous serez sauvés. »

Puis lui aussi disparut, car les rayons se dirigèrent vers lui, puis firent mouche. Et de nouveau, il fut, croulant sous les projectiles, jeté au sol, s'écrasant. Et les deux démons furent de nouveau assaillis avant d'être repoussés par la sphère jetée sur eux. Mais ce n'était que pour les séparer, car le tueur se focalisa de nouveau sur Gohan. La fumée empêchait de voir, et la torpille humaine en profita pour traverser les lasers qui continuaient de tomber par centaines, pour recommencer le massacre. Garlic fut épuisé de devoir anticiper les coups, et se laissa emporter par le torrent déchainé de coups. Gohan voulut le repousser, mais l'ennemi le repéra et rejeta la victime qu'il massacra de coups de pieds, pour maintenir une bonne distance. Un coup latéral le jeta vers l'île où il s'écrasa contre le volcan vide. Garlic voulut le rejoindre, mais le mur de coups le stoppa net et le crash fut toujours plus brutal.
Gohan, à peine remis, eut un mal de chien à se diriger vers le centre de la plus grande île de l'archipel ceinturé du brouillard froid et chargé de mort. Il s'attendait à voir débarquer un ennemi, un terrien qui le guiderait, ou même son maitre qui avait fini par terrasser cette machine à tuer. Mais au lieu de ça, une pancarte se présenta à lui, sur une plage. On pouvait lire ceci :

« Toi qui a atterri ici, laisses en ces lieux toute violence, toute envie, tout remord et tout ce qui entrave la raison. En attendant l'illumination, tu devras transcender ton âme et toutes tes émotions. Si tes pensées sont hostiles, tu ne trouveras que la mort. »

Au lieu d'y prêter plus d'attention, le fils de Goku se contenta de faire le tour de l'île. En y entrant, il aperçut une petite fille en train de jouer avec... un fauve ?? Il trouva la scène ridicule et surréaliste : un fauve était gais pour tuer, et ce gosse risquait de mourir. Mais, curieusement, non seulement cet animal ne semblait faire aucun mal à ce garçon, mais tout deux n'avaient même pas remarqué sa présence. Il eut envie de frapper le sol pour voir comment ils réagiraient, mais à sa surprise, ses muscles refusèrent d'obéir, comme un réflexe. Mais il préféra assimiler cet élément à son épreuve contre cette brume de mort, et continua un peu plus au centre. Ce fût alors qu'il vit quelque chose d'hallucinatoire : dans un gigantesque bassin, des hommes, femmes et enfants s'amusaient et étaient côte à côte, libres, instruments de musique à la main. Il entendait des discussions, des gloussements et des rires. Ces humains, ayant apparemment retrouvé leur apparence normale, semblaient se tutoyer, aller ça et là, ou étaient aussi assis en tailleur. De plus, ils étaient nus ou vêtus de Sari blanc. C'était impossible : la Makyo Star était pourtant active, et Garlic aurait pu maintenir son emprise. Il imagina d'abord que le brouillard coupait tout contact avec l'extérieur, mais il entendait ce qui se passait sur la terre ferme. D'ailleurs, à ce propos, il sentait que son maitre était toujours malmené. Un bâtiment s'ouvrait à lui, et il pouvait sentir que de terriens sous aquamist s'y trouvaient, en analysant leur énergie. Mais curieusement, les énergies étaient comme anesthésiées, et commençaient à perdre leur caractère maléfique. Il fut soudainement tiré de ses pensées par une femme :

« Bonjour, lui adressa-t-elle. Qui êtes vous ? Soyez le bienvenu, en tout cas. »

Le métis fut gêné par le ton suave, sincère, comme si cet humain n 'avait absolument pas peur de lui. Il était pourtant un démon, capable d'écraser ces terriens comme de vulgaires cafards. Et pourtant, elle fut juste interloquée, mais pas effrayé. Se rapprochant de lui, elle provoqua chez lui la réaction qu'il avait en tant que démon :

« Ne t'approches pas !!! Tu as affaire à un démon !!!

_ C'est un démon, intervint un autre humain ? Je me demande s'il a lu la pancarte, mais on devrait l'amener au centre. »

De plus en plus énervé de voir ces types qui faisaient comme s'il était comme eux, commença à concentrer sa puissance. Soudain, il fut interrompu par une puissante vibration sonore, puis un éclair. Il vît alors une déchirure dans la réalité, et un homme et une femme en sortir.

« Pfff... tu effraies ces élus et c'est agaçant. Mais rassures-toi, petit garçon : tu seras bientôt heureux. Le processus sera de nouveau efficace. »

Alors que le métis voulut répliquer, il vît son maitre s'effondrer à terre, et en haut, une énorme masse de muscles, avec des cheveux verts et des yeux vides, et le teint d'un mort. Puis cette forme disparut, pour céder la place à celle de tout à l'heure. Gohan commit alors l'erreur de tourner la tête, car les deux guerriers étaient sur lui. Le combat se déplaça vers une île déserte, où il tournait à l'avantage des adversaires. Gohan lança un puissant rayon, mais la femme lança un violent coup de pied :

« BRABEUS BLADE !!!!!!!!!!!! »

Le coup bloqua l'énergie, qui se mit à gonfler puis à revenir sur le démon qui ne put résister à une telle contre-attaque. À terre, et à peine se releva-t-il, qu'il fut déjà assailli par... des bras gigantesques ? Ils sortaient de failles dimensionnelles pour le maintenir au sol. Alors qu'ils allaient le broyer, elle fît un geste :


« Du calme, Hildegarne !!! Il ne doit pas mourir... à moins que ce ne soit nécessaire. Pour l'instant, on va le ramener au centre pour reconversion. »

Une fois ceci fait, les trois tueurs se mirent devant les prisonniers, et un écran géant était visible. Les dieux, Goku et Végéta allaient assister aux séances, comme convenu avec les tueurs.

"Justice... Source... Mort.

_ Nous allons vous raconter une histoire, puis ensuite, nous vous emmènerons au Paradis. Vous serez simples et innocents, comme lors de premiers jours d'un enfant. »

Soudain, un mystérieux sourire, apparut sur les lèvres du Saiyajin : Kaio Shin avait enlevé le système d'inhibition.

FIN.


Voilà, enfin le 2nd chapitre. Le coup des trois PAL, c'est une référence dans un jeu-vidéo. Sinon, pour les deux autres personnages, vous devriez avoir deviné, maintenant, non ? Le délire avec le brouillard vient du film "Fog" de John Carpenter. Prochain chapitre bientôt, et je modifierais celui-là plus tard. À vos commentaires et à plus.

Voilà

ps : un de vous, lecteurs de "Démon Immortel", sera partagé entre la joie et l'indignation. :twisted: :twisted: :twisted:
"Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses." ( le bon, la brute et le truand )

Voici ma fic sur Broly : viewtopic.php?f=42&t=5769&start=75#p170875
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar Paulemile le Sam Fév 11, 2012 0:31

Le style de narration et les personnages inconnus font que j'ai eu un peu de mal à suivre parfois. Mais c'est violent, Garlic et Gohan prennent cher :mrgreen:

Quand tu écris fin, c'est pas la fin du crossover quand même, si ?
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar Black_Mass_Priest le Mar Fév 21, 2012 22:10

Je suis comme ça : il arrive à ce que je fasse des fancfic expérimentales. Mon cross-over entre Saint Seiya et Broly est un seul chapitre très long. D'ailleurs, je comptes, éventuellement, reprendre "Innommable!" et en faire une fic à très court chapitres, qui seront de concentrés de folie furieuses, de situations improbables et absurdes et de débilité.

Mais non, ce n'est pas la fin ( où vas-t-u chercher ça ? ), pas de leur calvaire, en tout cas. :twisted: :twisted: Mais au prochain chapitre, on aura des révélations( et je dirais de quoi je me suis inspiré ). C'est tout ce que je peux dire.

voilà

EDIT

Bon, ben, je lève le voile : la femme cumule les pouvoirs de Japet et de Thémis, issus de Saint Seiya G. Tandis que l'homme cumule ceux de Crios et de Oceanos ( même manga ), avec le pouvoir de tout geler issu de Camus et de Hyoga. Bon, c'est parti.

CHAPITRE 4 : Deus Ex Machina ?


Flashback, quatre ans plus tôt.

Le cap était maintenu depuis leur départ. De toute façon, rien ne pressait dans leur quête, vu le peu d'ennemis qui risqueraient de leur bloquer la route. Le vaisseau, malgré son cruel manque de discrétion, et les pannes récurrentes du système d'invisibilité, était assez maniable. De toute façon, il fut décidé que des pilotes d'élite guideraient ce navire de forme ovale, et que peur de matériel militaire serait utile. Juste pour ratisser les champs de batailles et pour divers interrogatoires, et encore. Dans une cabine avec vue sur l'espace, entièrement en verre, un homme regardait calmement l'horizon, une tasse à la main. La peau mate, très brune, en tout cas, il portait une curieuse armure et une cape. Elle rappelait les armures que portaient les membres d'un certain peuple, mais elle était jaune, rouge, verte, et puis n'était pas conçue pour le combat. Cela arrangeait bien les affaires de cet homme, car il avait du se résigner à devoir donner d e ordres. À chaque fois qu'il se regardait dans le verre, ou une matière où il pouvait se voir dedans, il voyait cette balafre qui le rendait borgne. Elle lui rappelait de bien mauvais souvenir.
Il y avait bien une vingtaine d'années, ses rapports entre lui et son fils étaient extrêmement tendus : ce garçon était devenu un Super Saiyajin très tôt, vers l'âge de,neuf ans. Et cette puissance ne cessait de grandir, et sa santé mentale de s'aggraver. Lorsqu'il l'avait reçu, en le voyant dans sa couveuse, il était déjà inquiet.


« Comment ? Et vous êtes sûr que votre machine de mesure est en marche ?

_ Absolument, monsieur Paragas. On vient de le sortir de la cuve génétique et de le mettre dans son landau. Les appareils affichent 10000 unités. Bien entendu, j'ai essayé de faire réviser les paramètres, fais appel à des techniciens pour voir s'il n'y avait pas un bug. Je me rend compte que je les ai dérange pour rien : il a réellement cette force de combat. Comme vous le voyez, vous n'êtes pas le seul à ne croire aucun de vos cinq sens, si cela peut vous rassurer, ajouta-t-il avec un sourire. »

Cette remarque fît sourire le père de cet enfant à son tour. Il devait bien rester positif, ou sinon, il risquait de mourir de vieillesse et de fatigue prématurément. Car en réalité, il avait bien du souci à se faire : Paragas était très mal vu de l'entourage du roi Végéta. Lors du putsch destiné à renverser et exterminer les Tsufurujins, il avait objecté de trouver des arrangements, d'épargner certains d'entre eux, ou alors de conserver le potentiel économique intact. Mais rien n 'y faisait, personne ne daignait l'écouter, car ce qu'expliquait le roi était, après tout, bien plus simple : il fallait éradiquer cette race, ce qu'elle possédait et ce qu'elle représentait. Oui, c'était bien mieux que se donner la peine de trouver des arguments afin de convaincre les moins nombreux, et les plus lucides. Les relations entre les deux Saiyens ne se normalisèrent presque jamais. L'un ne cessait de l'humilier en public, et l'autre manquait beaucoup de respect, lui envoyant des remarques désobligeantes, lui coupant la parole. Et pourtant, il ne savait que trop bien que cela lui risquerait de lui couter cher. Et avec cet enfant sous le bras, il risquait de s'attirer des ennuis, et même de se faire tuer. Il décida alors de dissimuler son existence, car ce qu'il entendît le convainquit :

« Tiens, il joue avec lui.... Ils sont mignons tout les deux. »

Surpris, le père se retourna et vît un autre enfant réveillé par le sien. Il avait une coupe de cheveux en désordre, et moins longue que l'autre. Il se tourna vers le bébé aux 10000 unités de puissance, puis lui chatouilla le visage. Tout deux se touchèrent le bout des doigts en riant, puis le petit garçon appuyait sur le ventre, et sur la langue, comme pour vouloir faire entendre de petits cris. Ils lui étaient curieusement agréables aux oreilles. Ce garçon... il n'affichait que deux unités, et il attirait l'intérêt de son fils. Misérable Baddack... toujours à la ramener devant lui. Et dire que sa mère avait affirmé que les chiffres ne voulaient rien dire. Là, il y avait une grosse différence.

« Vous voyez cela de bon augure ?

_ Si cela peut faire office de thérapie, je ne dis pas non, à les laisser côte à côte.

_ Que voulez-vous dire ? Qu'il est... psychologiquement fragile ? Vous êtes capable de mesurer cela dès la naissance ? Je croyais que cela ne faisait pas avant les premières années ?

_ Et bien... l'instrument en question n'en est qu'au stade expérimental, et certain Saiyajins, devenus pères, ont eu à se plaindre de troubles du comportements. Mais rassurez-vous : celui-ci ne sera pas en danger à cause de la machine. En fait, il semblerait que certaines sensations soient déformées. Un exemple : je lui avais fais écouter des gémissements assez forts d'une jeune Saiyajin, et des craquements d'os, et son visage rayonnait. De plus ( il marqua une pause ), il semble que son cerveau révèle aussi des images assez tordues. Je ne saurais les décrire, car il est né il y a deux heures. Mais le simple fait qu'il soit capable d'éprouver certaines sensations, aussi glaçantes, cela me dépasse.

_ Bon... surtout, ne parlez pas de ces détails à vos collaborateurs. Personne ne doit savoir que Broly a 10000 unités dès sa naissance.

_ Pas même au roi ? »

Cette réplique interrogative fît sursauter Paragas. Il était évident que ce scientifique ne voulait rien risquer, et surtout pas être compromis dans une quelconque histoire. Et étant donné que ce garçon était prédestiné à, devenir un tueur sanguinaire et une machine de mort, mieux valait prendre toutes les précautions nécessaires. Et il n'était pas certain qu'il embrasse le code d'honneur de son peupler : il voudrait s'amuser à torturer, trahir, massacrer, juste pour le plaisir. Alors il finît par répondre.

« Surtout pas le roi. Débrouillez-vous comme vous voulez, mais s'il veut qu'il reste roi d'au moins quelque chose, il vaudrait mieux qu'il en sache rien.

_ Je ne vous garantis rien, même si vous estimez faire ça pour le bien de votre peuple. Vraiment rien. »

Pourtant, il fallait que Broly soit mis au secret. Mais en même temps, il risquait de commettre une erreur encore plis grande. Il pensait encourager son enfant à aller vers les autres, créer des réseaux, entretenir une confiance absolue avec des amis. Mais à présent qu'il savait que la puissance et l'instabilité mentale iraient de pair chez lui, c'était peine perdue. Il fallait absolument faire preuve de prudence et de sagesse pour éviter au peuple l'extermination, comme une malédiction.


Mais même lui ne pût faire confiance : il fut dénoncé, et le roi ordonna de les rejeter pour de bon. Broly avait failli mourir, mais tout deux avaient survécus, et voyagèrent dans l'espace. La force du jeune Saiyajin augmentait toute seule, et ses idées malsaines se développaient. Nécrophilie, massacres, « esthétisme » sanglant, viols à répétitions. Il avait tenté de le dissuader de continuer à semer la mort, la violence, mais cela lui couta un œil. Il fut obligé d'utiliser un système qui musellerait sa puissance, afin de l'empêcher de tuer sur un coup de tête. Cela s'améliora de plus en plus au bout de quelques années : Broly étai devenu très humble et gentil avec son père, et enfin ils mangeaient ensemble. Paragas n'avait pourtant jamais oublié. Le roi l'avait écrasé, humilié, et avait une fois de plus fais preuve de stupidité, comme si cela ne suffisait pas. Alors il décida de faire de Broly une machine de mort, un tueur, à défaut d'être peu violent, très efficace, capable de s'adapter aux caractéristiques de sa proie et de pouvoir la tuer d'une façon méthodique.
Jusqu'ici, il n'eut jamais à se plaindre. Mais il avait fini par négliger la sécurité autour de son fils. Qu'elle fut physique... ou mentale.

Kaio Shin Kai.


Les Dieux en avaient terminés avec leur réunion urgente, il était temps de passer à l'action. Il serait décidé de guider cet être si puissant et si cruel vers une mission, afin de retirer l'immortalité à Garlic, puis libérer Gohan définitivement. Goku et Béjita avaient émis leur réserve et décidèrent qu'ils ne participeraient que s'ils le jugeaient opportun. Ce fût accepté dans problème dans la mesure où ce deux-là faisaient un peu trop n'importe quoi, ces derniers temps. Ensuite, il faudrait absolument l'immuniser contre tout sortilège qu'utiliserait Garlic. Hors de question que des changements ne camps surviennent davantage.

« Que ferons-nous du Makai, et de l'Au-delà, si Garlic viendrait à en prendre le contrôle ?

_ C'est bien simple : il faudra les détruire, et reconstituer l'Autre monde sur une base différente. »

Aussi, le dieux violet et à la coupe blanche s'avança et émit des ondes télépathiques afin de briser le système de contrôle maintenu sur Broly.

Vaisseau.

Broly regardait encore la tête qu'il avait ramené de la dernière attaque. Il l'avait peinte en blanc, en or et en noir, puis avait clos les yeux et brisé les os de la mâchoire afin de faire apparaître un éternel et large sourire. Une peinture avec des restes de cadavres était exposée sur un de murs de sa chambre, qui était aussi grande que la salle principale de pilotage du vaisseau. Au fur et à mesure des expéditions, il ne cessait d'agrandir cette peinture, quand il avait du temps. Mais cela le surprenait : il devrait être en train de travailler, de faire plaisir à son cher père. Mais au lieu, de ça, il s’appesantissait sur une peinture inutile, comme une perte de temps. En fait, il voyait cela comme un besoin, une en,vie immédiate de retrouver quelque chose, quelqu'un. À chaque fois, il cherchait à se souvenir, mais quelque chose le bloquait, et il ne semblait plus y faire attention.
Mais cette fois, il ne savait comment, mais il avait réussi à s'accrocher à ce besoin. Puis les images, toujours plus exquises lui revinrent : le visage des morts, le sang qui s'écoulait doucement, les montagnes de cadavres, le regard apeuré de son père. Le respect et la dévotion qui le régulait, l'irriguait doucement, se changeait en amour et en perversité. Il s'imaginait en train de repeindre les murs du vaisseau, avec du sang. Il espérait repartir avec un souvenir. Il s'avança vers la porte d'entrée, où devait apparaître des docteurs pour des examens quotidiens. Alors que les bruits de pas se firent plus oppressants, Broly entendait son cœur battre violemment dans sa poitrine, et les yeux briller d ejoie. Il tremblait de la tête aux pieds, et finît par s'avancer par l'entrée. À peine le premier médecin entra, qu'il s'élança.

« Monsieur Broly, veuillez vous déshabiller, nous sommes...

Mais Broly enfonça la porte vers le pauvre docteur, qui vît son bras éclater sous la pression du coup. Et lorsque la chose percuta les autres médecins, le Saiyajin fou s'était déjà changé en guerrier doré, mais pas pour faire la paix.

_ Pressés ? Et bien moi aussi... je dois aller voir quelqu'un. »

**************************

Paragas fût réveillé assez brutalement : son appareil avait sonné très fort, puis plus rien. Ce signal strident très court laissait deviner un très mauvais présage : le système de contrôle devait être défectueux, ou avait subi un court-circuit. En tout cas, il devait se dépêcher de faire fonctionner son dispositif d'urgence avant que son fils ne détruise le vaisseau et ne soit relâché dans la nature. Partout dans le vaisseau, des scènes de panique, d'alarmes hurlantes et semblables à des chanteuses hystériques, devenaient le rythme dans les couloirs de la forteresse volante. Se précipitant vers les quartiers des mercenaires, il tomba sur ses deux meilleurs éléments.

« Aéris !!! Jäger !! Venez avec moi : il faut arrêter Broly au plus vite !!! »

Obtempérant, les deux soldats enfilèrent leur tenue de combat, et se dirigèrent vers la chambre du Super Saiyen. Plus ils avançaient, plus du sang, des corps étaient entassés dans les couloirs. Arrivés enfin dans un hangar, ils s'arrêtèrent aussitôt : des bruits de pas se faisaient entendre, légers, semblant claquer sur le sol. Le bruit se rapprocha d'eux, de plis en plus pesant. Mais ces pas n'étaient pas massifs et lourds : Broly, à vue d'oreille, semblait marcher sur la pointe des pieds. Soudain, on entendit une voix roucoulante, toute mielleuse :

« L'apprenti roi et dresseur Paragas est prié de se rendre dans la salle de contrôle du hangar. Il a trente minutes avant de mourir. »

A peine avaient-ils entendu le message sinistre, que les trois personnage se retrouvèrent sous le feu de canons laser dirigés sur eux. Broly pilotait les tirs de défense du hangar pour les diriger sur ses victimes, et il trouvait cela génial. Ces trois imbéciles étaient en train de courir dans tous les sens pour échapper aux lasers. Évidemment, il aurait du commencer par les abattre tour les trois avec ses attaques, cela aurait eu le même effet. Mais il était plutôt curieux de savoir jusqu'où un être vivant résidant dans l'univers est prêt à aller au nom de la survie, pour pouvoir conserver son calme, ses émotion. Il avait de quoi briser la conscience de ses victimes, qui devenaient vides de toute conviction. De toute façon, Broly n'en avait aucune, ayant passé une bonne partie de sa vie à être un esclave. Il préféra se concentrer sur les trois cobayes de ses jeux amusants. Ces derniers savaient se cacher et aller plus vite, et repoussaient les tirs pour protéger Paragas. Le Saiyajin fou, tout en ricanant, décida de changer de méthode : il brisa la vitre et apparut, déployant son aura verte et fixant les proies de ses yeux profonds, lançant des éclairs perçants. L'appareil était encore en place, mais il n'y avait aucun douter possible : il ne marchait pas. Ce regard... Il ne semblait pas être menaçant, mais il glaçait le sang de quiconque le croisait, étant à mi-chemin entre la douceur et la cruauté. Puis, il descendit vers le hangar, et se remit à parler :

« Cela fait un moment que je vous fais danser, tout les danser, et je me rends compte qu'il n'y a personne pour regarder, commenter. Je me demande où est passé l'équipage et les soldats. »

La réponse allait venir de l'espace : des vaisseaux se rassemblèrent autour de la forteresse spatiale, canons pointés vers eux. c'était la consigne qu'avait donné le maitre des lieux : détruire le vaisseau en cas d'intrusion massive, de dysfonctionnement irréparable ou de crise de folie de Broly. Chargés au maximum, les salves allaient projeter Broly dans l'espace, et il mourrait d' asphyxie.

« Chef, il reste immobile, on est prêt à tirer.

_ Pff, allez-y. C'est bien la première fois que l'on doit faire du sabordage, mais si ce dégénéré rentre dans les vaisseaux, on est foutus. »

Mais le monstre avait deviné la manœuvre.

« Mmmmm... Les chiens errants ne passent pas par eux-même. Quand ils deviennent méchants et goutent au sang, il faut les abattre. Je dois reconnaitre que vous avez un indéniable sens de la logique, père. Mais vous avez négligé un détail, ce qui fait que votre plan était voué à l'échec : je ne suis pas un chien. »

Aussitôt, le colosse cruel s'élança vers les vaisseaux qu'il explosa ou qu'il attrapa de ses mains. Il les renvoyait vers les hangars, ou les détruisait, de l'extérieur comme de l'intérieur. La tactique était la même : il attaquait par le circuit de ventilation, qu'il refermait grâce à sa puissance. Ensuite, comme un soldat devait forcément se trouver devant une ouverture, il ne restait qu'à l'agripper et lui écraser la tête contre le mur. Et il vît juste, de nouveau. Alors le carnage allait en se peaufinant : il ne cessait de lancer les rayons lasers, qui transperçaient, qui tranchaient net les membres. Il ne fallait pas que les atomes soient brisés entre eux et n'importe comment : il devait être ensuite possible de rassembler les parties coupées, ou de recoller des morceaux. Mais de toute façon, Broly n'avait pas vraiment l'intention de reconstituer ces soldats : ce n'était que de la chair à canon. Les guerriers tentaient de faire barrage de leur corps et de leur puissance, mais elles faisaient pâle figure face au pouvoir démesuré de Broly, qui ne cessait de les exploser en morceau. Par moment, il utilisait des lasers perforateurs, comme pour augmenter l'effet douloureux de « l'équarrissage » en cours. Puis, il eut une idée : il attira tous les vaisseaux vers le hangar principal, puis les fît s'écraser sur les plateformes.

« Rentre au bercail, ou je fais tout sauter. »

Obéissant, le pilote conduit la navette de main de maitre, puis se posa de façon la plus délicate possible. Les soldats de Paragas sortirent un par un, en désordre, puis attendaient. Leur chef et ses deux gardes du corps arrivèrent dans la salle... pour regarder la même chose. À peine la porte sortit, du brouillard en sortit : il était glacial, très étiré. Broly en sortit, un morceau de chair à la main droite, et la tête du pilote à la main gauche. Jetant le second objet vers un morceau de fer pointu, il leva sa main droite, et avala immédiatement, le morceau de viande. Il sentait quelque chose de désagréable dans sa bouche, et s'aperçut que c'était un os. Il le recracha, puis léchait ses mains, pleines de sang. Tout ses vêtements en étaient maculés, et derrière son dos, les cadavres étaient visibles. Les protagonistes ne purent que reculer devant cette vision d'horreur, et les paroles du maniaque ne se firent pas attendre.

« Messieurs, vous avez bien servi mon père. Alors... au revoir, à bientôt. »

Dans la seconde qui suivit, il fonça sur les soldats qui venaient déjà de s'enfoncer dans l'intérieur du vaisseau pour se cacher. Mais le jeu de piste tourna court : où qu'ils allaient, le prédateur ne cessait de les rattraper, et les massacrait allègrement. Par moments, c'étaient les proies qui faisaient le sale boulot : certains servants se faisaient écraser dans les cohues, d'autres, sous le pouvoirs de l'énergie de Broly, s'entretuaient, avant d'être achevés, dans une once de bonté, par le fou. Ce dernier s'en donnait à cœur joie : il se mît de plus en plus à s'arrêter sur les cadavres pour boire le sang. Les mutilations s'affinaient, et Paragas, impuissant, devait assister à ces atrocités, qui lui rappelaient la nuit où son fils avait failli le tuer, en commençant par lui arracher un œil.
Gokju et Végéta revenaient d'un coin où ils avaient du vomir, malgré les protestations de Kibito. Ils n'avaient pas supporté ce spectacle sordide qui s'ouvrait à leurs eux : ils ne pouvaient pas croire que ce psychopathe serait leur dernier espoir pour réprimer mes démons et créer un ordre nouveau. Freezer, les cyborgs, Garlic... rien ne pouvait surpasser une telle cruauté. Quant au prince des Saiyajins, il tomba à genoux, pris de nausée. Il avait beau avoir commis des crimes dans le passé, cela était bien pire. Il avait été élevé dans le combat et la violence, alors que Broly y était né et que la fierté lui passait au dessus de la tête. Forts ou faibles, peu importe : il fallait satisfaire le besoin de détruire, répandre la mort, et offrir à celle-ci l'univers en guise de royaume. Un monde de plaisirs, de liberté, une orgie sans fin, sans idéologies, ni contradictions. Tout le monde serait heureux... à tuer et faire répandre le sang. Mais pas comme de grosses brutes, car il fallait faire preuve d'esthétisme.
Les horreurs continuaient de s'accumuler : plus le monstre avançait, plus il s'attardait sur les cadavres. Mais cela ne l'empêcha pas de stopper un ascenseur qui se dirigeait vers une autre zone d'évacuation. Il réussît à entrer dans la soute, et s'adressa à ses victimes avec un ton doucereux.

« Et maintenant, une fresque sur un espace réduit. C'est parti. »

Il se mît, sur ces mots, à les écraser contre les parois, puis à tirer des lasers dans leurs corps. Le bruit atroce de cris mêlés aux éclaboussures de sang. Arrivé en bas, Broly laissait derrière lui des corps enlacés entre eux, dans une flaque de rouge, de rouge, de rouge. Il revint devant Paragas, et les deux autres, pétrifiés de peur. La réaction ne se fît pas attendre :

« Tu en as assez fait pour aujourd'hui !!! Alors arrêtes tout de suite !! »

L'appareil se mît à briller sur la tête de Broly, qui ne cessait d'avancer avec un rictus sadique sur le visage. Le sourire se mît à n'élargir qu'un coin de la bouche, et les yeux se déformèrent sous le coup de la folie. Puis, il s'arrêta, le visage fermé, sombre, sans émotions. Le père du monstre s'approcha, et soudain, tomba à genoux. Il avait compris que son geste était commandé par le désespoir, et que son fils avait sombré de manière irrémédiable dans ses pires pulsions et obsessions. Les larmes se mirent à couler de ses yeux, ce qui fît réagir son enfant.

« Bro...ly... Je voulais seulement, te protéger de toi-même, et jamais je n'ai pu pardonner au roi Végéta d'avoir brisé notre avenir. Je devais... tu as failli, me tuer.

_ L'instinct de survie ? Je ne peux pas vous en vouloir, après tout, il est tellement facile de céder à la vengeance. Et puis le prince ne peut qu'être hanté par son père. Je veux bien vous accorder une mort sans douleur... histoire de vous remercier pour ne pas être devenu prisonnier de ma puissance. »

Aussitôt, le fou dangereux se mît à faire entrer doucement un rayon dans le cœur de son père, puis reposa délicatement le corps sir le sol. Il resta debout, sans bouger, les bras pendants, puis sans crier gare, décapita le corps sans vie. La tête fût déposée sur une pointe en métal mise à l'avance. Puis :

« Pourquoi j'ai dis «au revoir» ? Décidément, je ne me rends pas compte de ce que je dis. HYA HA HA HA HA HA !!!!!!!!! »

Son rire strident se perdit dans les couloirs, puis dans l'espace. C'était l'heure de la révélation du Super Saiyajin légendaire, le guerrier le plus immoral, le plus violent, et le moins fier. Il en riait, et l'univers ricanait avec lui, se réjouissant du spectacle sordide qui s'annonçait. Il se tourna vers les deux soldats qui n'avaient pas bougé d'un pouce, puis, à une vitesse folle, plaqua Aeris au sol, puis s'empara d'une aiguille.

« On va voir jusqu'où je peux aller dans les réactions d'un être vivant : cela va être une expérience amusante. En douceur... »

Pendant cet instant, au Kaioshin Kai, les deux Saiyajin n'en supportèrent pas davantage.

« Ça suffit !!! Qu'il épargne ces deux-là, cela fera deux anges de plus, ils ne seraient pas trop de trois contre Garlic.

Après un moment d'hésitation, Kaio Shin et Kibito acceptèrent : ce massacre n'avait que trop duré.

Au vaisseau, Broly était de plus en plus excité : son expérience montrait la résistance. L'aiguille implacable se rapprochait de la pupille, millimètre par millimètre. Plus proche, elle avait terminé de faire la trajectoire entre l'œil et le cil. Si l'œil se refermait, il aurait souffert, mais il n'en devait être rien. Mais sous l'organe, les larmes coulèrent, et le nerf optique était plus qu'à vif. le cœur se mît à battre comme sous le point de se détacher de la poitrine, et la salive se mit à couler abondamment. Les sourcils montraient la détresse, le basculement dans la folie. Ce moment leur d'eau, où l'aiguille fut stoppée, à moins d'un millimètre de l'œil, prêt à le percer, ou à faire saigner, au moindre mouvement de trop.
Ce moment, d'ailleurs, n'arriva jamais, alors que l'homme était à terre, lez corps fumant suite à une rafale de lasers. La pièce gigantesque s'inonda de lumière. Puis, une voix majestueuse, autoritaire et pleine de sagesse, s'éleva.


« Attends, Broly !! N'empêches pas ces élus de recevoir la lumière des Dieux. Sachez, tout les trois, que vous avez été choisi pour rapporter l'équilibre absolu, un nouvel ordre.

_ Qui es-t-u ? Pourquoi m'empêche-t-us de réaliser mes œuvres.

_ Un meilleur destin t'attends : je sais que tu as envie que l'univers rende le culte des morts et dise adieu à l'immortalité. Tu peux, si tu acceptes, sauver des peuples, voir l'autre monde, et peut-être le recréer comme bon te sembles. Quelle est ta réponse, et celle des deux autres ? »

Broly, sentant que ce serait une opportunité, secoua la tête en guise d'acceptation. Un « oui » puissant retentit dans la salle. Aussitôt, la lumière se fit plus intense, puis le vaisseau, vide, dériva dans l'espace. L'arme qui devait transporter l'instrument de la victoire d'un Saiyen fou, était réduit à un déchet de métal, vers le cimetière des vieilleries de la technologie.

Quelque mois plus tard.


Son Goku, fils de Baddack, et Béjita, fils du roi Saiyen, regardèrent la navette des trois messagers se diriger vers la Terre. Autrefois hostiles à confier leur avenir entre les mains grasses de ce malade mental, ils durent se résigner devant la montée en puissance inexorable de Garlic. D'autant qu'ils avaient prévu de s'entrainer afin de surpasser quiconque, y compris les trois anges salvateurs... ou exterminateurs. Ils avaient reçu le pouvoir de terrasser les ennemis en fonction de leurs péchés, contrôler le mouvement perpétuel, comme de rendre la mort inévitable. Apprivoiser le démon Hildegarne, qui gisait sure une planète où régnait le Zéro Absolu fuit le plus difficile, mais il fut confié à Aeris qui eut peu de difficulté. Et aucun maléfice ne marcherait contre eux. Tout cela était résumé ainsi par Kaio Shinq.

« Dorénavant, ça passera ou ça cassera : nous avons encore un moyen de réprimer Garlic, comme de libérer Gohan, mais l'univers sera en péril. Même prier ne servirait à rien. »

Fin du flashback et du chapitre.

Il fallait bien que je fasse des révélations : la suite, ce sera le présent/futur.

Prochain chapitre dans une ou deux semaines. À vos commentaires et à plus.

Voilà
"Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses." ( le bon, la brute et le truand )

Voici ma fic sur Broly : viewtopic.php?f=42&t=5769&start=75#p170875
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Black_Mass_Priest
 
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar Black_Mass_Priest le Lun Fév 27, 2012 23:04

Nouveau chapitre. Attention, âmes sensibles : regardez autre chose.

Spoiler
CHAPITRE 4 : Tout un programme.


Une pièce grande, entièrement inondée d'une lumière crue était le cœur d'un bâtiment, qui trônait sur une morceau de terre, sur le globe. S'y trouvaient des hommes, des femmes, et des enfants, en train de lire, parler, jouer de la musique, danser, boire, dormir, et bien d'autre choses. Mais ils ignoraient ce qui se passait, en détail, dans la pièce pleine de lumière. Trois personnes, deux hommes et une femme, étaient en train de revêtir des gants blancs, avec des tables bourrées d'instruments métalliques divers. Leurs gestes étaient lents, soucieux, comme le commandaient les neurones. Le premier sujet masculin était un homme au corps dur, et presque, pourtant, androgyne. Il n'était ni lourd, ni frêle, mais entre les deux, comme pour titrer le meilleur des deux états. Ses longs cheveux noirs en crinière, comme une fusion entre des cheveux longs et droits, et une chevelure courte et en désordre. Des yeux rouges, sans émotions, sans crispation, et avec un demi-sourire aux lèvres, formaient le visage. La fusion était la même pour la jeune femme : un corps d'homme et une tête très féminine, et des cheveux lisses et peu longs. De grands yeux verts étaient posés sur le doux et froid visage. Celui-ci, en revanche, n'affichait strictement rien. Ils se contentaient de transmettre des images au cerveau qui entreprenait de les stocker dans le coin de la mémoire.
Et si ces deux personnes avaient besoin de puissantes armures, armes, et monstres à leur service pour exécuter leur mission, il en était autrement pour le troisième homme. Ses cheveux étaient noirs, longs, comme séparés par une raie invisible. Il fallait un corps massif et musclé pour soutenir ce visage assez allongé, des boucles d'oreilles, et un sourire assez réconfortant. Habillé de blanc, de rouge, et de bijoux d'or et comprenant des saphirs, il se tenait au milieux de ses « collègues ». ses yeux, noirs et insondables, scrutaient avec une persistance qui lui étaient peu coutumière depuis certain nombre d'années, environ... une vingtaine ? Oui, c'était bien cela, aucun doute ne fut recensé à ce sujet.

« Voilà ce qui va se passer : nous trois, nous parions que tout le monde, dans cette pièce, va mourir. Vous, vous pariez que vous deux serez les seuls à vous en sortir. Ensuite, il s'agira de se repérer, de subir diverses expériences, de participer à des jeux. Nous discuterons entre-temps, et il faudra laisser chacun parler et le laisser finir. »

Celui qui venait de parler, sans signe d'une capacité émotionnelle, n'était autre que l'homme de gauche, tenant un poignard très long, brillant de feux bleu clair. Des cristaux de glace et des étincelles dansaient autour de la lame longue. Se rapprochant lentement d'un groupe de personnes, ils tournèrent autour d'eux, leur tête se rapprochant des oreilles. Le souffle dans le système auditif, ils scrutaient, analysaient chaque visage, et cherchaient à trouver quelles émotions s'y trouvaient. À chaque tentative, la même sensation avait été répertorié : la peur, la panique. Sauf chez deux personnes : un garçon à l'air menaçant,, et un gros monstre violet qui était en peine réflexion. Il était, de toute façon, un monstre, tant son comportement, son apparence, et son état d'esprit le démontraient. Le jeune homme, par contre, aux cheveux noirs, au physique d'athlète mais au regard noir, sombre et agressif, laissait davantage dubitatif un observateur lambda. Il ne soupçonnerait pas que cet enfant soit un démon, lui aussi. Mais la mission était là : s'assurer à ce que plus rien ne soit soupçonnable, suspect, et dangereux dans ce corps musclés et empoisonné. Par un procédé qualifié de magique, son aura était devenu maléfique, au sens du diable.

« Et que comptez-vous faire pour accomplir la vengeance divine, demanda, en ouverture, le garçon ? Nous torturer et nous tuer ensuite, ou autres chose avant de bien nettoyer et bruler nos corps ? Je suis sûr que non : quelqu'un ne veut pas encore admettre de me voir mourir, même s'il a essayé une fois.

_ Et bien, il ne s'agit pas d'abord de violence, ou presque. Et puis vous tuer n'apporterait rien, car c'est la purification, et non la punition. Quant à la personne dont tu parles, il doit être en train de regarder, et je pense que son esprit a privilégié ce qui s'appelle le pragmatisme. Et maintenant, première étape. »

Après avoir répondu sans détour, le regard planté dans celui du Saiyajin métissé, l'escrimeur se tourna vers un des terriens angoissés, malgré les muscles saillants, et marqué d'un gros « G ». Un poignard était sorti, puis il frappa : tandis que le poignet faisait tourner le couteau, le flot du sang toucha le sol, puis soudain, se mît à s'élever, se détachant totalement des vêtements de la victime. Soudain, le saignement s'arrêta : une aura glaciale envahissait l'endroit et le sang était suspendu en l'air. Il semblait flotter, tandis que le corps vira peu à peu au blanc. Enfin, le sang retourna dans la poitrine, par où il s'était échappé. La blessure se referma, et un temps s'écoula.
Entre-temps, la tueuse se tourna vers le gros violet puis fît apparaître une grande balance en cristal bleu. Un des plateaux s'écrasa sur le monstre, puis s'enfonça doucement dans le sol. Garlic ( car tel était le nom du monstre ) avait énormément de mal à soulever et dégager la masse en cristal, à sa surprise. Il finît par la repousser non sans mal, puis elle se stabilisa, comme si rien ne s'était passé dans cette interlude.
Le terrien supplicié pensait que c'était fini, mais quelques minutes plus tard, le liquide rouge, composé d'eau à 80% comme tout bon expert le savait, allait être soumis à une autre expérience : la circulation se mît à tourner à plein régime. Accélérant, les veines se mirent à être saturé, puis le torse, les jambes et les bras se mirent à être pris de convulsions. Les trois êtres semblaient prendre des notes, et parlaient entre eux.

« Mmmmh. Ce pouvoir est vraiment intéressant : il permet de contrôler l'eau, et tout ce qui s'y apparente.

_ À coup sûr, et il est certain que ce rouge n'en sera que plus resplendissant une fois purgé. »

Puis le corps s'éleva à son tout, puis plus rien : tout le processus s'arrêta, un moment assez court, comme si, au moindre mouvement déplacé, il se passerait de nouveau quelque chose. Et il fallut attendre quelques secondes, exactement une quinzaine, mais qui donnaient la sensation qu'un quart d'heure s'était écoulé. Le sang se mit à geler de l'intérieur, puis se mît à tourner de nouveau dans un halo blanc apparut comme par enchantement. À l'intérieur, le sang vit s'échapper une étrange fumée noire, puis prît une teinte rouge un peu plus claire. Alors que l'aura augmenta de volume, le corps fut happé à son tour, puis il perdit tout : le tatouage, les caractéristiques qui le rendaient agressif et monstrueux. Le visage se détendit, les muscles se détendirent, puis le corps se mût à rajeunir. Puis l'humain disparut dans une faille dimensionnelle.

« Tout à l'heure, tu as repoussé la balance, et c'était très intense, remarqua le guerrier aux vêtements rouges et blancs, d'une voix doucereuse. Il était merveilleux car nous t'y avons contraint, et nous même avons été contraint. Mais ensuite, ce sera la liberté.

_ Pff, j'ai agi parce que je savais que ma force ne pourrait pas encaisser, et le fait de me régénérer risquerait d'aggraver mon cas. »

Les trois tortionnaires durent acquiescer, et c'était la bonne réponse. La femme, elle, dut se tourner vers le garçon pour le faire participer. Elle s'approcha, de lui, et à chaque pas, un vêtement tomba, retiré d'un geste millimétré. Puis Aeris se mît en tailleur devant le prisonnier. Ce dernier n'avait qu'à étendre le bras pour lui broyer le crâne, par un mouvement compresseur des cinq doigts, mais curieusement, il n'y parvint pas. Il se demandait bien ce qui le retenait, car la pièce était vide, et il pouvait s'échapper, de surcroit quand il n'était pas attaché. Aucune entrave ne le retenait, mais une autre, plus subtile, le dissuada de faire quoi que ce soit : le regard froid de Broly, puis une faille dimensionnelle d'où sortit un énorme doigt qui fît frissonner les autres prisonniers. Se résignant, le métis se pencha vers la jeune femme.

Kaio Shin kai...

Deux hommes se donnaient des coups de pied, de poing, paraient ou lançaient des projectiles de lumière. Le décor explosait par endroits, puis se reconstituait. Les deux combattants avaient la particularité d'avoir des longs cheveux dorés et de dégager de l'électricité, et un sourire se dessinait.

« Tu crois que Kaio Shin va gueuler à cause du bruit qu'on fait ? À travailler sur un moyen de contrer Broly au cas où il perdrait les pédales, il va finit par perdre l'habitude du sommeil.

_ Ne t'inquiètes pas, Végéta. De toute façon, on verra où en sont ces trois « anges ». »

Une boule de feu traversa un rocher, puis explosa. Mais cela n'avait pas échappé à un insecte, qui s'énerva.

« Oh !!!!! cela vous dérangerait de faire un peu moins de boucan ??!!!! Ce n'est pas parce que le décor se reconstruit automatiquement qu'il fait vous permettre de faire un pataquès pas possible, alors mettez-là en, sourdine !!!! »

Le prince des Saiyajins ne cachait pas son agacement : il avait beau obéir à certains ordres, mais aussi subtils, il n'en était pas question. Goku, quant à lui, se tournait vers des êtres à la peau violette, qui regardaient une télévision, l'air songeur. Il savait de quoi il retournait, et il espérait que son fils lui reviendrait, au moins guéri, sinon, en parfaite santé. Comme si rien de tout de cela ne s'était produit, comme si Garlic n'existait pas dans cette histoire.

*****************

( musique : http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=m_qoOhostpg )

Alors que s'élevait une musique lugubre et pourtant inconnue des humains, les deux êtres, l'ange et le démon, s'unirent. Le jeune monstre sentait, alors qu'il écoutait chaque note au piano et qu'il comptait le temps, de gouttes de sueur perler. Il sentait aussi son entrejambe était violemment secouée, tandis qu'il se sentait vidé de son énergie. Puis, curieusement, il ressentait autre chose : son corps était tremblant, et ses sensations se changèrent en quelque chose de plis intense. Puis il avait l'impression de ne pas avoir l'habitude de la violence. Ou plutôt, de l'âge, et la musique lui semblait plus imposante, et écrasante. Il comprît immédiatement ce qui lui arrivait : il ignorait comment un tel pouvoir était possible, mais son horloge biologique était en train de tourner en sens inverse des aiguilles d'une monstre. Toute sa morphologie ne changeait pas, ce qui faisait que sa puissance diminuait très peu, mais le développement du cerveau repartit en arrière. Il voyait quelques heures, jours, mois, puis deux ans être perdues au niveau de ses capacités cérébrales. Son conscient commençait alors à être embrumé, mais il avait assez « d'esprit » pour comprendre ce qui se déroulait devant ses yeux : Broly et Jagër se mirent à soumettre les femmes à des jeux sadiques, puis à des débauches particulièrement malsaines. De gloussements de plaisirs, Gohan en,tendit en,suite des gémissements ou de petits hurlements glaçants. Des bruits sordides se faisaient entendre, puis l'écoulement de quelque chose.

« Quand on a tous les pouvoirs, il est facile de vouloir faire compliqué. PAS nous : étant donné que tu as été marqué à l'âge de 4 ans, il fait revenir à cet âge.

_ Pas question !! Et puis vous n'y arriverez pas : même les dieux ont essayé, et ils s'y sont cassés les dents. Je suis un démon, et je refuse de redevenir un garçon faible !!!! »

Au fur et à mesure que Aeris pénétrait en lui, ses yeux s'injectèrent de sang, et le blanc de l'œil vira au noir. Au bout d'un moment, l'apparence de l'adolescent prit celle d'un homme habité par les sensations de rage, de folie, et d'hypertension. Mais le flot de la régression continuait son œuvre, et il descendit à 10 ans. À cet âge, il était contre Cell et les cyborgs. Au fur et à mesure qu'il s'en souvenait, il regardait les scènes crues, morbides et surtout... désespérément lentes. Il s'attendait à regarder des viols vraiment sauvages, mais non. Tout était fait en douceur, de manière mécanique. En plus, c'était accompagné de diverses mutilations avec les fameux instruments. Mais le sang versé revenait aussitôt dans les corps sous l'influence de Jagër, puis les supplices recommençaient. Gohan sentît alors sa haine diminuer, puis les centres nerveux enregistrèrent les informations de douleur et d'inconfort. Il n'avait pas remarqué que la femme s'était mis au dessus de lui, et que la balance, impitoyable, allait le supplanter.

« BRABEUS TANTALON. »

Aussitôt, la balance activa le plateau droit pour l'écraser. Puis encore, puis encore. La même opération fut répétée, exactement cinq fois. Et pendant une fois, à deux minutes d'intervalles, le plateau était toujours plus lourd, son poids allait bientôt supplanter les muscles de la victime. Le squelette subissait déjà quelques craquements, et le cerveau subît une nouvelle régression. À ce moment, il était âgé de 8 ans et il était de moins en moins capable d'utiliser sa puissance acquise au court de ses années d'entrainement. D'ailleurs, il se demandait comment cette femme était capable de retourner es attaques contre lui, et d'utiliser cette balance comme une arme.

« Justice... Ma balance est proportionnée par rapport à tes crimes commis. Plus ils sont lourds, plus la balance le sera. Et d'après ce que je vois, je n'ai même pas besoin d'alourdir le poids de tes actions. Apparemment, tu as tué des milliers d'êtres vivants, abattus le père alors qu'il était à terre. Tu es donc un criminel de tout ce qu'il y a de plus simple. Et les information, à ton sujet, sont tout à fait exactes : il faudrait nous reprocher quelque chose lorsque ce seraient des information parfaitement fausses. N'est-ce pas ?

_ En effet : la véritable justice n'est pas celle qui réprime bêtement, mais celle qui prévient les crimes. C'est de la pure logique, ma chère Aeris.»

Devant lui, se trouvaient les terriens possédés subir diverses mutilations. Les organes étaient extraits au moyen de couteaux longs, puis le sang expulsé, enfermé dans le halo blanc, puis c'était au tour du corps. Le même procédé fut utilisé, et peu à peu, ses os lui faisaient de plus en plus mal. Dans quelques minutes, son squelette allait exploser en morceaux. Il avait beau se mettre en colère, tout jouait contre lui. Sa haine, si puissante, qui lui avait permis de devenir plus fort, sans s'embarrasser de quoi que ce soit, ne l'aidait pas. Ses cris n'étaient plus caverneux, ou alors de moins en moins. Non, ils redevenaient ceux d'un terrien ayant des gènes de Saiyajin en lui. Au plus profond de lui, il se remit à douter. Tous deux, lui net Garlic, étaient à la merci de ces trois fous furieux, et étrangement, malgré leur force, ils étaient impuissants. Le cerveau amena la réponse, qui se répandit dans le cortex : ses crimes étaient donc si importants que quelqu'un avait décidé de le punir. Ses fonctions vitales étaient en train de décliner, d'autant que le sang avait de plus en plus de mal à coaguler. Le sol se brisa, puis le sang, se remit à créer une petite rivière, que le Saiyajin fou remarqua, et il se précipité pour le récolter. Récipient à la main, il en vidé le contenu d'un trait, délicatement. Le plateau destructeur s'enfonçait très lentement dans le sol, ce qui augmentait la douleur. Le garçon démoniaque n 'eut pas la force de chasser les larmes de ses yeux, et émit un son très faible. Il y avait deux syllabes : « Pa... pa. ». La marque commençait à perdre, dans son cou, de sa présence.
Garlic, quant à lui, se faisait écarteler, puis les membres s'arrachait. Il espérait qu'ils reviendraient sur son buste, mais cela ne se produisit pas. Broly les attacha, les relâchait, puis les retenait. Au bout d'un certain temps, les bras revenaient vers leur lieu d'origine, mais Jagër le trancha de nouveau. Puis il laissait les veines se reconstituer, puis les étirer comme un élastique vieux et déjà très usagé. La douleur fut de plus en plus insupportable, les information nerveuses échappaient à son contrôle. Quant à sa puissance, elle ne lui était pas utile : le Super Saiyen avait tendu ses nerfs, au cas où. Au bout d'un certain temps, ils perdirent connaissance.

Autre Monde...

( musique : http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=Db51sw3rwV4 )

Trois êtres regardaient un horizon doré, rouge. Un énorme rideau de nuage tranchait le soleil en deux, et celui ci était un disque orange. Cette vision forma un était apprécié par le cerveau de ces trois personnes, dont un d'entre eux avait une peau lisse, turquoise, et de longs cheveux blancs. Mais il n'avait rien d'autre, si ce n'était qu'un bas rose pour masquer l'entrejambe. Les deux autres ressemblaient à peine à ce qu'il étaient autrefois : alors que les deux créatures étaient vertes et l'autre, grise, ils avaient désormais, une forme plus humanoïde. Des cheveux s'étaient formés sur leurs cranes, et les yeux avaient des pupilles. Vert, les cils et leur corps musclé et dur les rendaient pourtant assez gracieux. En effet, leur façon de se déplacer renforçait cette agilité délicate : ils marchaient sur la pointe des pieds, ou faisaient des petits sauts.
Cet endroit était merveilleux et bien étrange : il ne ressemblait pas au Paradis tel que l'imaginaient les humains : cela n'était pas un champ de fleur sans fin, des arbres pleins de fruits qui poussaient éternellement. Mais cela leur changeait aussi du Makai ou de leur repaire derrière la Dead Zone. En fait, le nouvel Au-delà accueillait tout le monde, car il était une sorte de chaine de montagne infinie. Des plaines de neige, d'herbe fraiche étaient visibles à perte de vue. Dans les montagnes et les habitations, l'eau coulait librement, et certaines maisons étaient coulés dans un verre uniforme. Et chacun pouvait baisser le rideau en argent, car des choses pouvaient être cachés. Certains endroit étaient d'ailleurs hostiles et il arrivait que de tempêtes secouent ce nouveau monde. Mais le plus curieux, c'était qu'elles n'étaient pas meurtrières, mais arrivaient toujours à surprendre, et le taux d'adrénaline ressenti était parfaitement contrôlé. Chaque jour s'écoulait paisiblement, mais ne ressemblait jamais aux autres. Se trouvaient aussi des palais dans des déserts, où de nombreux êtres vivants, humains ou non, étaient plongés dans une... torpeur ? Euh, non... plutôt une méditation.

« Nicky, réussit à parler celui qui était Ginger. Il est curieux ce monde : il a beau être extrêmement tempéré, nous arrivons à être surpris, jamais ennuyé, et pour tout dire, être bien. En plus, il m'arrive de faire des rêves où je tue des êtres humains, comme ça, sans raison. Et puis le lendemain, je me réveille, la tête vide et légère.

_ Mmmm... peut-être est-ce cela le salut. Ni paradis, ni enfer, et encore moins le purgatoire. Juste le monde des morts, où tous se côtoient, parlent entre eux. En plus, on dirait que cette harmonie n'est pas imposée : j'ai l'impression que, je m'envolerais, que je pourrais m'isoler quelque part, et puis finalement revenir en étant accueilli. Non, franchement, c'est assez bizarre. »

Ils furent soudainement rejoints par quatre autres êtres humanoïdes, mais un peu plus déformés. L'un d'eux était nain,n l'autre une masse de muscles. Le nouvel arrivant était à peu près comme Nicky, en un peu plus beau.

« Vous avez été au service de Garlic fils, je crois, intervint Gash. Je me demande s'il faut souhaiter la victoire de notre maitre. Apparemment, j'ai observé les autres résidents de ce monde, et ils s'en fichent un peu, tandis que d'autres pouvaient suivre ce qui se passait.

_ Moi, je ne m'y retrouves pas !! je devrais être en train de tout casser, et je n''arrives pas à me décider et me concentrer. J'ai l'impression que c'est inutile, que je devrais faire autre chose. Je me sens un peu... désœuvré.

_ Je ne sais pas combien de temps ces êtres divins ont pensé tout cela, mais je nh'ai d'autre choix que de les féliciter. On dirait qu'ils ont conservé l'équilibre entre le bien et le mal, car j'ai repéré des zones de guerre où l'on se bat, puis on rentre chez soi. Ou alors on le fait mentalement."

**************


En revenant à lui, Gohan voulut constater ses blessures éventuelles, au cas où ils l'auraient déchiquetés pendant son coma, mais rien ne subsistait : les cicatrices n'étaient pas présentes. Il avait l'impression que rien de tout de cela n'avait eu lieu. Soudain, Aeris se mit à aller ver lui, puis lui tendit une feuille.

« La première étape est maintenant terminée. En fait, après délibération (un regard lubrique fit jeté vers Broly, qui reprit )...

_... il fut décidé de revenir à quelque chose de plus classique. Tu vois ce texte ? C'est une légende, et tu vas la lire à voix haute. Pas de bégaiements, surtout !! N'hésites pas, et n'accroches sur aucun mot, sinon... la souffrance va recommencer. Allez, lis. »

Gohan, se rendant compte peu avant qu'il était nu, se mit à lire :

« Voici la description du Paradis, telle qu'il fut promis aux pieux. Il est un monde sans pareilles, où tout n'est que beauté et prospérité. Une belle vie douce et paisible, où tout s'y attends. Et alors que viendra le jugement, tout ce que nous avons connu disparaitra, et seule la lumière divine substituera. Elle libérera nos âmes, attendu par les plus croyants d'entre nous, et en... suite... il..... UUAAAARGHHHHH !!!!!! »

Gohan sentit alors une violente douleur à la jambe gauche : quelque chose s'enfonçait dedans, et ensuite, il sentit aussi une aura devenir de plus en plus imposante, envoyant des décharges électriques dans le corps. Puis une autre sensation l'envahit : la chaleur. Son sang se mit à bouillir, puis refroidir. Entre deux vers, alors que par endroits, c'était illisible, la circulation allait trop vite, et ses veines lui faisaient souffrir. Puis Broly se mit à varier sur les hurlements : l'organe montait dans les aigus, puis cela alternait entre les gémissements, les gloussements de plaisir. Mais l'enfant démoniaque devait continuer, ou ce serait pire.

«... soudain, au bout du tunnel, les voici : nos créateurs, nos dieux sont là, leurs bras paternels nous sont ouverts, comme nos pères. Puis viendra une éternelle sérénité...nité... AAAAAAAAAAAAAAAAArrrrrrrrggggghhhhh !!!!!!!!

_ Alors, on récite bien sa leçon, ricana Broly, l'ange de la Mort avec les deux autres ? Quant à toi, Garlic, si c'est ton nom, nous ne t'avons pas oublié. Il est temps de t'apprendre le cycle de la vie. Jagër. »


L'accélération du mouvement avait dépassé ce que son organisme pouvait supporter : sa main faisait apparaître les veines très saillantes, et le système circulatoire était maintenant à découvert. Tout était mieux visibles que sur une radiographie ou un IRM : poumons, veines, cœur, aorte. Et le sang aussi était là, circulant à plein régime, se mettant à être expulsé sous la puissance de Jagër. Pour laisser le sang en suspension, le procédé fur arrêté pendant quelques instant, ce qui faisait que le pauvre garçon était suspendu, semblant baigner dans son sang. Pourtant, malgré la congélation, le démon ne pouvait s'empêcher de réprimer la sensation dite de la peur : il sentait qu'au moindre mouvement déplacé de la part de l'ange du Changement, il se remettrait à voir son sang circuler trop vite, jusqu'à l'explosion du cœur.
Soudain, alors qu'il sentait à tout cela, le froid commençait à être remplacé par une autre sensation, ou plutôt, c'était elle qui se changeait. Puis il avait l'impression de flotter, d'être sur un fleuve calme, auprès de cygnes. La sensation devenait celle de la chaleur. Ce froid, l'éloignant de Garlic qui était en train de se faire découper puis se faire lacérer par la lame continuellement changeante de Jagër, semblait lui réchauffer le corps. Puis de ce fleuve brillant, inondé de lumière lui aussi, il se remémora un visage. Une femme souriante le regardait tendrement, auprès d'un homme dont il ne conservait que de mauvais souvenirs. Il comprit que c'était ses parents : son père éclatait de rire, avait un air insouciant. Le visage se détendit, et il ignorait que son âge mental était redescendu vers 11 ans.
Mais cela ne dura pas : la torture repartit de plus belle, et les images alternaient entre les visages, dans un espace coloré de vert, de rouge, d'orange, de ses parents, puis il se voyait en train de flotter dans le ciel, au dessus du Makai en train de geler, puis les démon mourir explosé d'un seul coup par un colosse totalement hilare et qui se mettait à chanter. Puis d'autres présentaient son maitre en train de se faire extraire ses veines, puis se faire boire le sang de force. La régénération et l'immortalité aidant, le sang revenait pour que le supplice recommence. La cadence, elle, était ralentie. Les images ne cessaient de se défiler dans sa tête, puis il était incapable de les comprendre au fuir et à mesure qu'il régressait. Il se rendit compte, mais sans crier gare, de quelque chose : dans la réalité, son sang bouillait lentement, et un procédé encore, lui donnait la sensation que sa circulation sanguine était accélérée. Il pensait qu'on lui avait injecté une drogue qui détruisait ses perceptions, ou lui faisait croire n'importe quoi. Déjà, lorsqu'on lui faisait voir viols, mutilations et massacres, ils étaient donc réalisés lentement et méthodiquement. Les yeux des anges étaient vides, froids et sans émotions. Alors que sous l'emprise d' Aeris, ils lui paraissaient sauvages et brutaux. Cette fois, il sentait la lenteur l'envahir, ce qui lui faisait davantage souffrir. En plus, chaque supplice rapprochait de la mort, aux limites extrêmes. Les larmes s'activèrent automatiquement, alors que la torture s'éternisait, et que le cœur commençait à lâcher. Au moment où celui commençait à battre trop fort, au bord de l'éclatement de la cage thoracique, tout fut noir.
Les images avaient disparu, mais un hurlement lui vont aux oreilles : Garlic ressentait sa déchéance peu à peu, et ses organes étaient délicatement arrachés, puis le corps se reformait. Mais les résurrections, de plus en plus nombreuses, ajoutaient une souffrance supplémentaire.

« Alors, c'est beau d'être immortel ? Résistes : tu n'es pas à quelques réanimation près, si ? Combien de fois es-tu mort, déjà ? Ah oui, c'est vrai : quand on aime, on ne comptes pas.

_ Noooon !!! mon père, ce misérable a accepté tout ÇA ???!!!!! Je lui ferais payer !!!!!

_ Au contraire : tu dois le remercier, d'avoir compris quel amour devait-on donner à un enfant. À présent, vous allez comprendre que les êtres vivants, démons, humains ou autres, doivent naitre, vivre et mourir. Ne pas naitre est peu important, ne pas vivre est une tragédie, mais ne pas mourir ( il se tourna vers le démon violet )... est un crime impardonnable. »

Fin du chapitre.


L'idée des deux interludes m'est venue en regardant « La Dernière Maison sur la Gauche ». et le texte que lit Gohan est inspiré d'une série MP3 que j'ai oublié. Suite et surprise dans cette séance de « confession » au prochain chapitre.
A vos commentaires et à plus.

Voilà
"Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses." ( le bon, la brute et le truand )

Voici ma fic sur Broly : viewtopic.php?f=42&t=5769&start=75#p170875
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar Majin-vegeto89 le Sam Mars 24, 2012 20:31

et devinez qui est de retour?? le crossover entre moi et mon estimé collègue, j'ai nommé Tiert, qui n'est pas la moitié d'un imbécile et adore les quatres quarts! on a revu les quantités a la baisse, les chapitres seront plus petits et digestes.

partie 5:

Dans la grotte sombre, une éternité de silence semblait s’être abattue sur chacun des êtres présents. Seul le bruit de leurs respirations brisait cette chape de plomb. Les deux Empereurs d’univers parallèles n’avaient pas bougés, leurs mains tendues dans la direction du nouvel arrivant, leurs bras bougeant à peine au rythme de leurs inspirations et expirations. Enfin, l’Empereur Saiyen prit la parole.
-Et donc, qu’est-ce qui te fais dire ça ? De quel droit te permets-tu une telle intervention ?
La créature ne bougea pas, semblant toujours flotté au-dessus du sol, les six billes rouges qui lui servaient d’yeux se tournant alternativement vers Freezer, puis Végéta.
-Aucun droit, je me contente de vous dire ce qui est vrai. Si vous voulez partir d’ici, vous allez devoir vous battre et à un niveau un peu plus élevé que celui que vous avez montrez jusqu’à présent. Vous l’avez à peine distrait.
Personne ne releva le fait que cette chose inconnue venait manifestement d’insulter les capacités de combattants de chaque individu présent, mais tout le monde attendait la réaction des Seigneurs de l’univers.
-De qui tu parles ? Finit par demander Freezer.
-De notre Seigneur et Maître, le Grand voyageur des dimensions. C’est lui qui contrôle cette planète et c’est lui que vous devrez convaincre de vous ramener chez vous. Et pour cela, vous allez devoir lui prouver votre valeur. Et vu votre niveau, je vous conseillerais vivement d’y aller tous ensemble, enfin, je pense que ce sera nécessaire.
Instinctivement, Végéta et Freezer se tournèrent l’un vers l’autre, juste avant de se retourner vers leurs équipes respectives. Finalement, ils baissèrent à peine le bras, de concert.
-Il est si puissant que cela ? Interrogea le Saiyen.
Un bruit étrange sortit de la silhouette fantomatique, semblable à un rire venu d’outre-tombe.
-Oh, pas nécessairement. Mais le fait est que vous ne le vaincrez pas seul, encore moins dans cet état. Je pourrais vous indiquer où le trouver si vous voulez.
Cette fois, les deux Empereurs baissèrent définitivement la main, se tournant ensuite l’un vers l’autre. Ils se jaugèrent un long moment du regard, yeux rubis de Nihilien face à prunelles sombres de Saiyen.
-Ca me dégoûterait de coopérer avec un singe, finit par dire Freezer avec tout le mépris du monde.
-Et moi de t’aider en quoi que ce soit, répondit aussitôt le Saiyen visé. Mais il semble que nous n’ayons pas le choix.
Le fils de Cold grogna un moment avant de se tourner vers son équipe, les blessés puis son frère. Enfin, il revient vers la créature, la jaugeant à son tour, longuement.
-Très bien. De toute façon, ton univers ne m’intéresse pas, étant donné la manière dont il a tourné.
-De même pour moi, ricana le Saiyen. Yron, donnes des senzus à ceux qui en ont besoin … Même s’ils ne sont pas dans notre camp.
-Bien Seigneur.
-Tu es bien magnanime, remarqua Kakarotto, indifférent à tout cela.
-Ces choses nous ont forcés à nous replier, si nous devons à nouveau les affronter, autant que nous soyons tous en forme.
Le saiyen ne put qu’acquiescer face à la logique de son supérieur et entraîneur. Pendant que la distribution se faisait, Cooler se redressa soudain et vient faire face à leur informateur.
-Dis-moi … Shireshla, pourquoi nous aides-tu ?
La créature sembla se rapprocher de son interlocuteur, ce qui lui servait de tête se tourna vers le plafond de la grotte.
-Pourquoi … Mais parce je veux sortir d’ici. Je veux voir l’univers de mes yeux, je veux l’explorer. Et je ne peux le faire qu’en partant à bord d’un de vos vaisseaux. Alors … Si vous réussissez, vous m’emmènerez avec vous, d’accord ?
Il y eu un instant de silence, puis Cooler émit un léger ricanement.
-C’est d’accord, machin. Considères que tu es déjà loin d’ici.
Yron finit par arriver devant Freezer à qui il tendit une fève. D'abord méfiant, l'empereur Nihilien attendit de voir Vegeta lui même porter le Senzu à sa bouche avant d'ingurgiter le sien. L'effet fut immédiat et stupéfia totalement le sceptique. Sous ses yeux, chaque éraflure, blessure ou ecchymose se referma et disparue. Même s'il n'avait aucun besoin de se nourrir, il se sentit soudain parfaitement rassasié, en pleine forme comme au sortir d'une cuve régénérante, et tout cela instantanément sans passer des heures à tremper. Complètement bluffé, il ne put que demander:
- Extraordinaire... Comment? Ou as tu trouvé ça??
Vegeta sourit et répondit:
- Ne sois pas plus stupide que tu ne l'es, Freezer. Même si ton univers m’indiffère totalement, je n'ai aucune intention de te faciliter la vie. en d'autre terme, va te faire voir.
- Tsh...

Une fois que tout le monde fut remis debout, Freezer se tourna vers le seul Yardrat du petit groupe.
-Yod, vous arrivez à sentir l’énergie de ce soi-disant chef ? S’il est si puissant, vous devriez pouvoir vous téléporter sur lui, non ?
Le commando d’élite se concentra un bref instant, avant d’écarquiller les yeux de surprise.
-Je n’y arrive pas, monsieur. Je n’arrive même pas à sentir vos puissances à vous !
Ce fut Shireshla qui expliqua encore la situation.
-Il n’y aurait aucune distraction possible si vous arriviez aussi facilement vers lui. Il vous faut le rejoindre par des moyens plus conventionnels.
Freezer étouffa un soupir, s’apprêtant à parler quand Végéta posa la question qu’il voulait.
-Et où le trouve-t-on alors ?
Un bras fin et fantomatique se dressa lentement, désignant le font de la grotte, qui semblait maintenant se poursuivre et s’enfoncer à l’infini.
-Dans les profondeurs de la planète.

Le petit groupe s’était mis en route depuis à peine quelques minutes, l’obscurité des lieux les obligeant à avancer lentement, quand ils tombèrent face à un croisement de nombreux tunnels, qui semblaient tous partir vers le bas, mais dans des directions différentes.
-Shireshla, par où doit-on …
Végéta n’eut pas le temps de finir sa phrase que l’endroit se fit d’un seul coup beaucoup plus sombre, les parois se mirent à trembler et une voix grave et puissante s’éleva autour d’eux.
-Tu as bien travaillé Shireshla.
Des ombres venus des profondeurs s’agrandirent soudainement entourant le groupe en un rien de temps, des bras semblèrent se matérialiser et fondre sur les combattants. Végéta réagit en premier, son aura repoussant un de ses membres fait d’ombre. Des cris de surprise retentirent pendant quelques brefs instants puis le plafond leur tomba sur la tête.

Rahab se redressa lentement, le crâne douloureux. Il se souvenait vaguement des ombres qui étaient venus les saisir, puis des rochers qui s’étaient effondrés sur eux, mais ensuite, c’était comme le trou noir le plus complet. Un peu comme l’endroit où il se trouvait à présent, l’obscurité était complète. Il attendit un peu, autant pour reprendre ses esprits que pour s’habituer à la luminosité. C’est pourquoi il n’eut que peu de temps pour réagir quand une grande silhouette aux yeux de sang se matérialisa devant lui.
-Tiens gamin, ça fait plaisir de te voir, cracha Anik. J’attendais justement de me retrouver face à toi.
Rahab eu le réflexe de se jeter en arrière quand une griffe siffla à l’endroit où il s’était trouvé une seconde auparavant. Il tendit la main, prêt à reprendre l’énergie de ce grand crétin, quand une voix les interrompit.
-Je te le déconseille Anik, ça nous avancera à rien. Le Commandant ne sera pas content, et Freezer non plus.
Le petit être qui s’avança alors semblait avoir la peau rouge et était doté d’un calme assez impressionnant.
-Tu es un rabat joie, tu le sais, Palpi ?
-Je sais oui.
Sans tenir compte de la remarque de son partenaire, il se tourna vers le jeune homme aux cheveux verts.
-Rahab c’est ça ? Je te déconseille aussi de tenter de nous voler notre énergie, déjà parce qu’on est deux mais en plus tu risques de te trouver rapidement à sec au milieu de ce trou. Ce serait dangereux.
-Ouais, ouais, éluda l’adolescent avant de se mettre à avancer. On ferait mieux de se grouiller de les retrouver.
Aucun des deux autres êtres présents ne firent la moindre remarque sur le fait qu’il ait pris une direction au hasard, après tout personne ne savait où ils étaient.

-Hey, relèves-toi. Ça va ? … Obi, non ?
Le commandant de la main se redressa d’un bond, massant sa tempe endolorie avant de jeter un regard à la boule de poil qui lui parlait.
-Ouais, Yron, c’est cela ?
L’autre acquiesça, ils regardèrent autour d’eux, se trouvant dans une vaste caverne … vide.
-Merde, on est tous seuls ici ?
Le chef du CI se tourna vers un coin de la caverne semblable à tous les autres.
-Tu peux désactiver ton camouflage Styx, il n’y a pas de danger pour l’instant.
La guerrière apparut aussitôt, rejoignant rapidement son commandant.
-Pratique, commenta brièvement Obi.
-Je confirme, on y va ?
Le commandant de la main regarda autour de lui, il n’y avait apparemment que deux sorties à cet endroit, et il n’y avait aucun moyen de savoir d’où ils étaient venus.
-Tu sais où aller ?
-Non, mais faut bien avancer.

Quand Rey se réveilla, il se sentit immédiatement balloté et mit un moment à comprendre que quelqu’un qui marchait était en train de le porter.
-Ah ! S’exclama une voix féminine. Tu sors enfin du coma.
Wind, la grande guerrière du clan de Freezer, le reposa doucement au sol, il prit alors conscience de sa taille comparée à lui.
-Je vais pouvoir faire la conversation, parce que la boite de conserve ne dit pas grand-chose.
Elle désignait du doigt un des deux synthétiques de combat, étrangement séparé de son frère.
-C’est parce que je t’ai déconnecté tout à l’heure, c’est ça ?
Enfin, la machine ouvrit la bouche, mais ce fut pour dire.
-C’est Stria que tu as déconnecté, j’étais toujours en état de fonctionner.
-Où sont les autres, finit par demander le petit Shild.
Ses deux compagnons d’infortune se tournèrent vers lui, ils n’en avaient aucune idée.

-Et donc tu as du mal à te connecter avec ton autre toi, c’est ça ? Conclut Sauzer en fixant le synthétique du regard.
Ce dernier acquiesça simplement, soutenant toujours sur son dos le membre du commando de Freezer évanouïe.
-Donc il va falloir compter sur la chance pour les retrouver. En espérant que monsieur le Yardrat se montre utile même s’il se téléporte pas.

- De tout ceux avec qui j’aurais pu me réveiller, il fallait que ce soit toi que je retrouve! Grommela Kakarotto à l’adresse de Cooler qui inspectait la grotte ou ils étaient sans prêter attention au saiyen.
Le Nihilien lâcha cependant:
- Si tu crois que ça me fait plaisir de devoir supporter ta puanteur de primate.
Kakarotto serra les dents et leva la main dans le dos de son adversaire, prêt à tirer. Au dernier moment, il se ravisa. La première règle d’un bon combattant est de savoir contrôler ses émotions et manipuler celles des autres. C’était la première leçon de Vegeta. S’il n’était pas très doué pour la manipulation, il devait néanmoins arriver à se contrôler un minimum. Il poussa un profond soupir et dit en baissant la main:
- Il faut qu’on s’entraide si on veut sortir d’ici. On doit retrouver les autres.
Cooler se retourna pour le fixer:
- Et qui t’as nommé chef?
Le saiyen muta soudain et éclaira de son aura toute la zone. La voix plus cassante, il reprit:
- Le super saiyen. Ça te va comme réponse?
Cooler grogna. Avec n’importe qui d’autre, il aurait été libre de faire ce qu’il voulait, mais il se retrouvait avec l’un des seuls à être plus fort que lui dans le groupe adverse. Décidément, il avait de la veine…
- Et dans ce cas, on va ou, super saiyen?
Ce dernier reprit son apparence normal et ferma les yeux. Au bout de quelques instants, il les rouvrit et dit:
- Je ne sens ni Vegeta, ni Freezer, ni même toi qui est à dix mètres… Qui que soit ce Voyageur, il est sacrément balèze… C’est la première que quelqu’un peu bloquer ma perception…
- Oh oui, c’est sur, bloquer les tours de passe-passe d’un singe saiyen, c’est vraiment du grand art. ricana Cooler.
Le singe en question résista à l’envie d’envoyer le Nihilien en éclaireur dans les cavernes à coup de pieds, et dit en pointant une sortie:
- Ça descend par là on dirait… Shireshla a dit que son maitre était dans les profondeurs. Allons y.
Et il partit sans même accorder un regard à Cooler. Au bout de quelques instants, ce dernier lui emboita le pas en lévitant à quelques centimètres du sol, bras croisés.

Freezer explosa d’un rien le rocher qui l’avait recouvert, il sortit des décombres mais ce fut pour découvrir un terrain dévasté, on n’apercevait même plus les intersections de tout à l’heure. Son équipe avait disparue, enlevée par les étranges bras d’ombres. Même Cooler avait apparemment disparu.
-Merde, cracha-t-il entre ses dents.
-Je ne te le fais pas dire, approuva Végéta en arrivant dans son dos.
L’Empereur se retourna … et décocha une boule d’énergie qui passa à ras de l’épaule du Saiyen. Celui-ci n’avait d’ailleurs pas bougé, comprenant que cela ne le visait pas, il se tourna lentement et découvrit un Shireshla qui s’était contorsionné pour esquiver la technique.
-Je ne savais pas, je vous le promets, il s’est servi de moi. Je ne pensais pas qu’il vous aurait ainsi.
Freezer s’avançait déjà, le bras rayonnant d’énergie.
-Laisses, Freezer. Qu’il dise ou non la vérité, il pourra nous conduire à son chef.
Le Nihilien fixa longuement Végéta, avant de renifler brusquement et de changer de cible.
-Avançons alors.
Et sa boule d’énergie alla frapper le mur de rocher que l’effondrement avait créé. L’explosion fut incroyable mais les rochers ne dévoilèrent aucun passage. Une goutte de sueur dévala lentement le long du visage du tyran, jusqu’à ce que le Saiyen se positionne à côté de lui, le bras tendu.
-Laisses faire les professionnels, veux-tu ? … Big Bang Attack !
Une monstrueuse vague d’énergie bleutée jaillit de sa main et alla exploser les rochers qui barraient la route, les chemins qui descendaient vers les profondeurs de la planète se dévoilèrent à nouveau. Avec un sourire amusé, l’Empereur Saiyen s’y engagea. Freezer le suivit en grommelant.
-C’est ça primate, gaspilles ton énergie.
En son for intérieur, il se sentait tout de même vexé.
Comment Dragon Ball aurait pu tourner si Nekomajin avait été présent? la réponse:
[fanfic] Nekomajin Z

Lors du combat final contre Boo, ce dernier prend une autre décision, qui devait tout changer:
[fanfic]Boo: la quête de la perfection

Sur Namek, le prince Vegeta découvre le super saiyen et élimine Freezer avant de prendre sa place:
[fanfic] L'empereur saiyen

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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar Tendou Buu le Sam Mars 24, 2012 20:54

Et ben...c'est ta période revival de fic pas vues depuis longtemps Majin;pour notre plus grand plaisir a tous ici la suite de ce très bon cross over entre deux des(ou LES deux)meilleurs ficeurs de l'US;bref très bon chapitre;curieux de voir ce que Tierts et toi réservez à chaque groupe.
Celui qui excelle à résoudre les difficultés les résout avant qu'elles ne surgissent.

Celui qui excelle à vaincre ses ennemis triomphe avant que les menaces de ceux-ci ne se concrétisent.


Sun Tzu


La quête de savoir absolut d'un homme peut avoir des répercussions sur toute la réalité: viewtopic.php?f=42&t=6013
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar sonluffy-z le Sam Mars 24, 2012 22:02

Ah enfin la suite de ce super cross over. J"aime beaucoup les équipes formés.

C'est comme ça que Shiresla fut recruté c'est original.
Je me demande à quoi ressemble le grand voyageur, je vous laisse me surprendre.
Fic Le tournoi ultime : viewtopic.php?f=42&t=5624 Fiction terminé
Ma seconde fic sur le commando Ginyu depuis sa création à sa fin : viewtopic.php?f=42&t=5702 dernier chapitre en date du 18/01/12
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Re: Topic des crossovers entre auteurs

Messagepar desa le Lun Mars 26, 2012 21:23

La suite enfin. c'est intéressant de voir les groupes qui ont été formé. Je me demande ce qui va poussé Shiresla a choisir l'univers de Freezer.
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