Paternité - Baddack et Kakarotto [Terminé]

Faîtes-nous partager votre fibre littéraire en écrivant votre propre histoire mettant en scène les personnages de Dragon Ball et, pourquoi pas, de nouveaux ! Seules les fanfictions textes figurent ici.

Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar vicabouc le Lun Août 25, 2014 21:10

J'avais pas vu ce chapitre. J'ai aimé.

Le premier prix de la mauvaise foi revient à Bojack, incapable de reconnaître la dangerosité de ses ennemis qui sont quand même plus puissants que 99% des êtres vivants de l'univers.
Ma liste de fanfics :
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Bardock Le Sayan le Lun Août 25, 2014 21:55

Je me demande comment sa va se terminer.
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Mystic_Joh le Sam Sep 06, 2014 20:15

Vraiment une des meilleurs fanfictions , elle aurait pu être imaginé pour un univers dans DBM :D
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Slyver-Bejita le Mar Sep 09, 2014 0:05

Je suis nouveau je lu ta fic et franchement j'ai surkiffé!!! :D

Par contre je comprend pas si personne n'est mort pendant le combat contre Cell ça veut dire que on aura pas pas de Kakarotto ou Baddack en SSJ3 pour affronter Buu!! :O
"L'homme raisonable s'adapte au monde et l'homme deraisonable fait en sorte que le monde s'adapte à lui. Donc tout changement viens de l'homme déraisonable." À méditer...
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Rebel O'Conner le Dim Sep 14, 2014 23:06

Mystic_Gohan a écrit:Vraiment une des meilleurs fanfictions , elle aurait pu être imaginé pour un univers dans DBM :D


C'est un peu pour ça que j'ai fait DBM vs Fanfics :wink:

Slyver-Bejita a écrit:Je suis nouveau je lu ta fic et franchement j'ai surkiffé!!! :D

Par contre je comprend pas si personne n'est mort pendant le combat contre Cell ça veut dire que on aura pas pas de Kakarotto ou Baddack en SSJ3 pour affronter Buu!! :O


ah, ça, j'ai prévu quelque chose de très différent


Bien, voici la fin de l'arc Bojack. J'ai vraiment eu du mal pour celui là, mais je pense que pour Buu, j'aurais plus d'inspiration( j'au déjà les grandes lignes)



Chapitre 91: Les mercenaires de l'espace, dernière partie.

Raditz regardait Gokua et Bidoh s'approcher de lui. Il avait vu l'état de ses amis, et doutait de pouvoir vraiment faire quelque chose seul.
— Raditz ! » Cria Kakarotto. Mais ce n'était pas une mise en garde, ni un avertissement. Il regardait quelque chose de précis, que l'interpellé regarda aussi, avant que son frère ne rajoute. « La fille a une capsule, détruis-là !
— Compris  !
Il fonça sur Zangya, qui se mis en garde, mais fut intercepté pas Bidoh qui le dévia d'un coup de pied.
— N'y pense même pas.
Raditz toucha le sol de ses mains pour se donner une poussée qui l'envoya à une dizaine de mètres au dessus du sol. De là il envoya un kikoha vers la femme du groupe. Mais Bojack s'interposa et dévia l'attaque d'un simple revers.
— Donne-moi ça. Dit-il en prenant l'objet dans la main de sa complice, avant de la mettre dans sa poche.
Raditz esquivait désormais avec peine les attaque des deux autres. Il envoya deux sphères d'énergie sur eux, et profitant du fait qu'ils paraient, s'écarta et fonça sur Bojack en concentrant l'énergie dans ses deux mains.
Ce dernier eu un sourire narquois et se prépara à la riposte, mais juste avant d'arriver au contact, Raditz tira sur le côté, se propulsant droit sur Bujin, toujours assis en tailleur, et le percuta violemment. Le magicien perdit par là même sa concentration et les fils qui emprisonnaient les autres se dissipèrent.
Tous tombèrent au sol, et Kakarotto se releva en marmonnant, puis dit :
— Bien joué, grand frère.
Alors que Bujin et zangya achevaient Raditz au sol, son jeune frère se transforma et fonça sur Bojack.
— Tu perds ton temps, minable. Dit celui-ci en l'accueillant d'un coup de poing au visage. Bidoh et Gokua attrapèrent chacun un de ses bras et leur chef commença à le frapper au ventre.

Piccolo regardait la scène sans bouger, Kakarotto lui avait dit de faire quelque chose en toute discrétion. Il plaça sa paume sur le dos de Goku, toujours inconscient. Il ne pouvait pas le soigner comme Dendé pouvait le faire, mais en lui transmettant toute l'énergie qui lui restait, il lui assènerait un choc suffisant pour le réveiller.

Goku pris une grosse inspiration. Encore à moitié groggy, il se leva, la main sur le visage.
— Nappa, espèce d'idiot.
Puis il vit ce qui se passait. Son père immobilisé et en train d'être frappé, son oncle massacré au sol, Végéta la figure en sang, Piccolo inconscient à ses côtés, et ses amis tout autour, eux aussi sans connaissance.
Sans prendre le temps d'essayer de comprendre, il se transforma au maximum et fonça sur Bojack, lui assénant un uppercut qui l'envoya à travers l'immeuble proche. Puis il écarta les bras et, profitant de la stupéfaction des deux qui maintenant son père, les éjecta violemment grâce à son ki.
L'immeuble d'en face s'effondra que Bojack en sorti, hors de lui.
— Capturez ce morveux, je vais l'étriper avant de tuer les autres et de pulvériser cette putain de planète!
Quatre faisceaux de fils partirent simultanément pour enserrer le métis.
Le garçon regarda les fils de lumière dorée qui sortaient des doigts des quatre sbires puis écarta les bras, les brisant sans effort. Il attrapa ceux de Bidoh et Gokua et tira avec force, les attirant vers lui, mais avant le choc, il attrapa les fils de Bujin et recula rapidement.
Les deux guerriers percutèrent le magicien dont le corps se disloqua dans un craquement ignoble.
— C’était censé faire quoi ?
Bujin tomba au sol et, étrangement, se vaporisa en une brume colorée.
Les deux autres, pris dan le nuage, l’inhalèrent. Ils devinrent fous furieux quand leurs muscles augmentèrent et la couleur de leur peau changea.
Puis ils attaquèrent.
Mais Goku para sans difficulté leurs assauts mais s'éloigna quand même de ses compagnons, pour ne pas mettre leurs vies plus en danger qu’elles ne l’étaient déjà.
Bojack et Zangya partirent eux aussi à sa poursuite.
Le métis estima quand même plus prudent d'en finir vite avec ses deux premiers adversaires. Il enfonça son poing dans le ventre de Gokua et cueillit Bidoh d'un coup de pied au menton. Il évita le poing de Bojack qui creusa un cratère et fonça sur la femme et la frappa du plat de la main au visage, avec assez de violence pour la sonner.
Mais il reçut un coup de Bidoh, et para de justesse un coup en traître de Gokua. La brume que leur complice était devenu en mourant semblait les avoir mis dans un état de folie qui les rendait insensible à la douleur.
— Dans ce cas...
Le garçon n'aimait pas ça, mais vu la menace qui pesait sur le monde, il préféra mettre ses scrupules de côté.
Il sauta au-dessus de Gokua et attrapa son cou en descendant et tira vers le bas, lui brisant la colonne.
Puis il se tourna vers Bidoh.
— Burning phalanx !
L'attaque perfora le buste de l'extra-terrestre.
Goku recula alors que les corps se dissolvaient, préférant ne pas se retrouver dans cette brume étrange.
Mais Zangya était, elle aux premières loges, et absorba l'essence des deux autres.
Elle hurla puis se mis à rire.
— Ha ha ha ha ! C'est génial, chef, j'ai l'impression que ma force a décuplé ! Je vais le pulvériser, tu vas voir !
Goku se mis en garde. La situation commençait à sentir mauvais.
— Attends ! Dit Bojack en se plaçant à ses côtés.
— Quoi ?
— Une seconde.
Il posa une main sur son épaule passa l'autre dans ses cheveux.
— Mais ! Qu’est-ce qu…
Et avant qu'elle ait pu finir sa phrase, il lui arracha la tête sous le regard horrifié du jeune garçon.
Les muscles du dernier membre du gang gonflèrent, déchirant sa chemise, alors que sa peau virait au vert.
Bojack regarda Goku qui tremblait.
— T'as raison d'avoir peur.
— Tu... tu es un monstre !
La rage du métis monta à son paroxysme devant la barbarie et l’absence de tout sentiment de son adversaire.
Il attaqua, visant le visage, mais Bojack bloqua et riposta d'un coup de genou aux côtes. Puis il attaqua, enchaînant les coups de poing que Goku paraît, les bras en croix. Bojack cassa la garde du garçon d'un coup de genou, et l'envoya au sol.
Puis le bandit frappa vers le garçon de toutes ses forces et creusa un cratère à l'impact. Mais il ne frappa personne et reçu à la place un coup de genou au menton. Goku enchaîna par un coup des deux poings sur le crane suivit d'un coup de pied qui envoya Bojack au sol, plus loin.
Ce dernier hurla de rage et envoya une bordée de kikoha vers son jeune adversaire.
Mais le garçon les intercepta tous par ses propres décharges d'énergie.
Bojack commença une nouvelle attaque, mais il n’eut pas le temps de la finir, car Goku fonça sur lui à pleine vitesse, les pieds en avant, qu'il enfonça dans le ventre de son adversaire qui se plia en deux. Il tenta un revers, mais le métis l'évita sans problème.
— Tu n'es pas devenu plus fort, juste plus violent.
Bojack écumait.
— Tais-toi ! Je suis le plus fort, il me l'a promis !
— Qui ça, il ?
Mais pour toute réponse, l'irulien s'envola et concentra de l'énergie verte dans ses mains, les bras écartés.
— Je vais pulvériser cette planète !
Sentant la puissance de la future attaque, Goku mit l'index et le majeur sur son front et se concentra.

Satan tremblait de tout son corps, caché dans un cagibi des vestiaires. Il hurla de terreur quand un rayon d'énergie traversa le sol et le plafond.

La sphère d'énergie fonça sur Goku, malgré le makankôsappô. Le garçon concentra toute son énergie dans ses mains et attrapa l'attaque. Sa puissance était monstrueuse. Si elle explosait, s'en serait fini de la Terre.
Il augmenta son énergie à son paroxysme, emprisonnant le kikoha vert dans sa propre aura.
La chaleur était intense, la peau de ses paumes le brûlait. Serrant les dent et fermant les yeux, Il mit toute son énergie pour contenir l'explosion imminente, qui se produisit dans une lumière aveuglante.
Goku tomba au sol, perdant sa transformation, épuisé, mais en ayant évité la destruction de la planète.
Il se releva, difficilement, prêt à continuer le combat, coûte que coûte, Bojack étant encore une menace.
Mais il se trompait. Le criminel était au sol à dix mètres de lui, percé de part en part. Le rayon l'avait atteint au flan gauche, sous les côtes, et était ressorti par l'épaule droite.
Il se leva, crachant du sang, et avança vers le garçon.
— J'aurais du... Pas normal… Je…
Puis son corps se désagrégea., sans aucune trace, cette fois, mais en laissant un objet au sol.
Machinalement, Goku le ramassa et parti s'occuper des autres.

Satan osa finalement risquer un œil. Tout était calme, les chocs avaient cessé. C'était le moment pour lui de filer à l'anglaise.
Il se faufila dans le couloir du vestiaire et gagna la porte de derrière.
— Mister Satan ?
— Hiiiiiiiii !
Le champion se retourna, et vit qu'heureusement, ce n'était qu'un des membres du staff.
— Nous vous cherchions partout, où étiez-vous ?
— Où j’étais ? Hé bien, Heu, en fait...
— Ah, j'ai compris, vous vous occupiez des problèmes avec les criminels. C'est pour ça que tout semble rentré dans l'ordre, maintenant.
— Les crim... Oui, oui, c'est ça, bien entendu.
— Venez, monsieur Money voudrait vous parler.
— Ah ? je... oui, je vous suis.
— Tiens, vous avez changé de pantalon ?
— Oui, j'ai, heu, renversé mon café. Voilà, c’est ça.
Satan suivit, à contrecœur, l'employé du milliardaire jusqu'à un attroupement sur l'esplanade principale de l’île où Giosan Money parlait à quelques journalistes.
— … et croyez-moi, toute la lumière sera faite sur ces lâches assassinats.
— Monsieur le directeur, excusez-moi, j'ai retrouvé mister Satan, et il a réglé le problème.
— Vraiment ? C’est parfait, je me doutais bien que l'on pouvait compter sur le grand champion, le vainqueur de Cell.
Il alla à la rencontre du lutteur et lui serra la main, fixant les journalistes dont les flashs fusèrent.
— Ha ! Ha ha ha ! C'est tout naturel, voyons.
— Et comme les autres participants ont disparus, le prix vous revient de droit. Les cent milles zénis sont à vous.
— Ah, Merci, heu... Oui, merci, vraiment.
— En fait, monsieur, ça ne sera sans doute pas aussi simple.
Money se retourna vers son secrétaire qui venait de parler.
— Qu’insinuez-vous ?
— Simple. Pendant que vous vous occupiez du tournoi, Bulma Brief a effectué une OPA hostile sur vos sociétés. Je crains que vous n'ayez perdu 90% de votre empire financier.
— Quoi ! Mais, ce n'est pas possible.
— Hélas, ça l'est. Vous conservez vos usines de meubles de bureau, ainsi que votre fabrique de sabots de décoration.
— Ça ne se passera pas comme ça ! Appelez mes avocats !
— Votre cabinet d'avocat a été acheté aussi.
— Je... Mais j'ai encore ma fortune personnelle, n'est-ce pas ? Engagez d'autres avocats. Les meilleurs !
— Le problème, c'est que cette île est toujours à vous, et que vous n'avez pas encore finit de payer les travaux d'aménagement. Un demi-milliard reste en suspend, ce qui correspond à ce qui vous reste, en fait.
— Ça ne fait rien, trouvez le meilleur avocat du monde, cette …» Money regarda les journalistes qui buvaient chacune de ses paroles.« ...Bulma paiera, alors cherchez...»
— En fait, monsieur, Mademoiselle Brief m'a approché pour m'engager et me charger de reconvertir vos usines d'armement en fabriques de biens de consommation, et au triple de mon salaire actuel. Je vous présente donc ma démission. Et voici pour vous.» L'ancien secrétaire donna à son ex-employeur deux lettres. « Mais il vous reste de quoi vivre confortablement, ne vous inquiétez pas. » Puis il s'en alla.
Money resta bouche bée un instant, puis regarda Satan.
— Écoutez, je n'ai pas besoin de ce prix, je vous laisse l'argent, je ne vais pas vous ennuyer plus longtemps.
— Attendez. Vous, tout le monde vous écoutera. Si vous accusez la société de la Capsule, elle sera discréditée.
Satan se tortilla, gêné.
— Écoutez... La division médicale de la Capsule Corp a soigné ma femme, dont le cancer était déclaré incurable par la médecine. Désolé, je ne peux pas faire ça. Bonne chance. Et adieu.
Puis le champion fila sans demander son reste.
Les journalistes partirent aussi, pressés de transmettre le scoop à leurs médias respectifs.
Money resta sel et abasordit de longues minutess avant de regarder les lettres. La première était la lettre de démission de son secrétaire. La deuxième portait le logo de la Capsule.
Money l'ouvrit et lu : « De la part de la fille à papa bricoleuse du dimanche. »


Dendé finissait de soigner Végéta. Le prince des saiyans était furieux de ne pas avoir pu se venger.
— Calme-toi ! » dit Baddack. « Aucun d'entre nous ne faisait le poids.
— Parle pour toi.
— Ça va, c'est moi qui les ai sous-estimés. » commença Kakarotto. « Je vais dire à maître Kaio que tout est réglé.
Après quelques secondes de concentration, la liaison télépathique fut établie entre le dieu et tous les combattants présents dans le sanctuaire.
— Kakarotto, je m'inquiétais. Alors, vous les avez capturés ?
— En fait, non, c'est eux qui nous ont capturés. Mais Goku leur a réglé leur compte.
— Réglé, réglé ? C'est ennuyeux ?
— Ah bon, pourquoi ?
— Ils avaient vendu leurs âmes à un démon. C'est pour ça qu'il ne fallait pas les tuer.
— Je vois. » intervint Piccolo. « Maintenant qu'ils sont morts, leur puissance est retournée vers ce démon, et il risque de poser des problèmes.
— Donc on aura un adversaire encore plus puissant ? Demanda Végéta, un sourire aux lèvres ?
— Non. C'est là le problème. Les démons, nous savons comment les gérer. Mais celui-là est mort il y'a quelques mois.
— Mort comment ?
— Tué par un démon plus puissant. Mais ça n'est pas ça qui importe. Cette force, ce fléau qui animait Bojack et sa bande existe encore. Et Nous ne savons pas où elle est passée.
— Vous m'aviez parlé d'un magicien qui les avait libérés, c'est ça ?
— Oui, c'était sûrement quelque chose de planifié. Il faut retrouver cet homme, mais pour ça, il nous faudra du temps, et c'est ce qui peut causer notre perte.
Baddack intervint.
— J'ai peut-être une solution. Je suis déjà allé sur leur planète d'origine, j’y connais quelqu'un qui pourra nous aider.
— Tu es allé sur Héra ?
— Héra ? Je croyais qu'ils venaient d'Irul.
— C'est ça. Cette bande était tellement abjecte, et a commis tellement de crimes qu'ils ont changé le nom de leur planète pour ne plus être associés à eux.
— Raison de plus pour leur dire qu'ils n'ont plus à s'en soucier.
— Ça vaut le coup d'essayer. Nous allons chercher de notre côté. Je vous tiens au courant.
La liaison prit fin.
— Végéta, tu peux me prêter ton vaisseau ?
— Je ne l'ai plus, ces vermines me l'ont pris.
— Est-ce que c'est ça ? » Demanda Goku en lui tendant une capsule.  « C’est tombé quand Bojack est mort.
Végéta la pris et l'activa.
— C'est ça. Il faut remplir la réserve de nourriture, mais à part ça, il semble intact.
— Je m'en occupe. Dit Popo pendant que Baddack, à l’intérieur, cherchait les coordonnées de la planète.
— La planète est à un mois de voyage.
— C'est long. Tu ne peux pas utiliser le transfert instantané ? Demanda Kakarotto ?
— Non, je savais pas encore détecter les auras, à l'époque, je saurais pas les retrouver comme ça. Mais je le ferais pour le retour, si y'a un communicateur dans le vaisseau.
— Il y'a. Et tu ferais bien de passer ce mois à t’entraîner, tu m'a vraiment fait pitié, tout à l'heure. Railla Végéta.
— Pff ! J'ai pas besoin de tes conseils.

Après quelques préparatifs rapides, le vaisseau décolla Et le reste du groupe quitta le sanctuaire divin.
Alors que le système solaire était déjà loin, Baddack s’approcha de la console.
— Bon, 100 G, ça devrait le faire pour l'échauffement.


À suivre...>>>
Dernière édition par Rebel O'Conner le Sam Jan 14, 2017 10:16, édité 2 fois.
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar broly97 le Mar Sep 16, 2014 19:55

Chapitre bien sympa, j'ai apprécié cet épilogue de l'arc Bojack. Surtout le moment avec Money.
Comme je l'avais prévu Bulma a fait l'OPA du siècle en lui subtilisant presque toutes ses entreprises :lol: . Toutefois, tu m'as bien fait plaisir au niveau de Satan. C cool que sa femme soit toujours vivante :), j'ai hâte de voir les répercussions que ça aura dans l'arc Buu.
Mais pour l'heure il semble que tu veuilles nous faire un Arc Irul. Je me demandes si les iruliens sont toujours vivants ? Si non Baddack aura une sacrée surprise.
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Bushido le Mar Sep 16, 2014 20:08

Sa sent la coopération avec vicabouc !
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Slyver-Bejita le Ven Oct 10, 2014 20:47

J'ai une autre question dans ta fic. il y aura pas de fusion metamol si j'ai bien compris??
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Rebel O'Conner le Dim Oct 12, 2014 11:59

Slyver-Bejita a écrit:J'ai une autre question dans ta fic. il y aura pas de fusion metamol si j'ai bien compris??


ça fait un peu spoiler, si je répond, non?

mais en effet, Kakarotto n'est pas mort contre Cell, donc la fusion ne sera pas connue. d'ailleurs il y'a des indices là dessus dans DBM vs Paternité

Edit: voici la suite, un petit intermède en deux parties.

Chapitre 92 : Cyborg !

— Bon, les gars, c’est l’heure, on a assez bossé, pas question de faire des heures sup’. À lundi.
— Bon Week-end !
Sur le chantier de construction d’un immeuble dans le village de Shûgyô, sur l’île du même nom, les ouvriers avaient fini pour la semaine.
Will, le contremaître, fermait la cabane de chantier.
— Hé ! Personne n’a accroché la caisse à outils à la grue.
— Lông était pas là, cet aprem’. On a pas le droit de conduire la grue, nous. C’est à toi de le faire, chef.
La mort dans l’âme, le contremaître alla vers la grue. Il aurait voulu partir le plus vite possible. Puis il vit quelqu’un qui partait.
— Krilin, tu as une minute ?
Le petit homme avait rangé ses affaires et s’apprêtait à partir.
— Oui ?
— Est-ce que... tu pourrais accrocher la caisse des outils à la grue, s’il te plait ?
— Je croyais que tu ne voulais pas que j’utilise trop mes capacités.
— Oui mais... là, si je le fais moi, ça va me prendre du temps.
Krilin éclata de rire.
— Oui, on est tous pressé.
Il attrapa la caisse et s’envola avec pour l’accrocher à la grue.
— Bon, ben, merci.
— Bon week-end.
Will le regarda partir. Il était jaloux de sa force, mais il se souvenait de la première fois ou il l’avait vu, il y a des années, quand son maître le faisait travailler avec son ami. Il savait qu’il ne devait sa force qu’à son travail.
Mais ce n’était pas ce qui le rendait le plus jaloux.
Il murmura.
— Comment il fait pour avoir une copine aussi mignonne ?

Krilin atterrit devant l’épicerie et y entra.
— Bonjour madame.
— Bonjour Krilin.
— Mary n’est pas là ?
— Ben, elle faisait du rangement et elle est venue tout d’un coup me d’mander le reste de sa journée. Elle avait pas l’air bien mais elle a pas voulu me dire c’qui allait pas.
Le petit homme commença à s’inquiéter.
— Je vais voir chez elle.

Il frappa à la porte de son appartement et attendit.
— Mary, tu es là ? C’est Krilin.
Il n’avait aucun moyen de savoir si elle était chez elle car elle ne dégageait aucune énergie.
Il frappa à nouveau.
— Mary ?
Il hésita à rentrer mais se dit que ce n’était pas une bonne idée et fit demi tour.
— Entre.
Il ouvrit la porte et avança doucement dans l’appartement plongé dans l’obscurité. Ça ne l’étonnait pas, car il savait qu’elle voyait parfaitement dans le noir, mais...
— Tu vas bien ?
— Non.
— Qu’est... qu’est-ce qu’il y a ?
Mary alluma la lampe. Elle était assise sur le fauteuil. Elle montra une feuille de journal posé sur la table basse.
— Regarde ça !
Krilin la prit. C’était la une d’un vieux journal qui avait sûrement été utilisé pour emballer quelque chose.
Il tressaillit en voyant la photo qui prenait la moitié de la page.
On y voyait deux personnes, un garçon et une fille, lui brun, elle blonde, entourés de corps inertes. Ils semblaient poser fièrement devant le massacre, regardant l’objectif.
Le titre disait : « Nouvelles sur la destruction de la capitale du nord. » et la légende :« Une photo des auteurs du carnage de la capitale du nord pris par une caméra de surveillance. »
Le journal datait de plus d’un an.
Sans bouger, il regarda Mary dans les yeux, et elle soutint son regard.
—C’est moi, pas vrai ?
Krilin déglutit.
— Oui.
— Et tu le savais.
— Oui. Répondit Krilin, même si ce n’était pas une question.
Elle se leva.
— Alors dis-le-moi ! Dis-moi qui je suis vraiment !



Krilin avait fini de raconter les événements. Il n’avait rien caché, rien oublié. Il avait, en un sens, imaginé cette scène depuis des mois.
Mary tremblait de tous son corps.
— Alors je suis un monstre...
— Mais... mais non.
— Et toi, c’est quoi, ton rôle, de me surveiller ? Pour être sûr que je ne recommence pas ?
— Mais pas du tout, écoute...
— ALORS POURQUOI JE SUIS ICI ?
Elle frappa des poings sur la table qui se brisa sous le choc. Ça la calma, cependant.
Elle s’assit sur le sofa et se posa la tête dans les mains.
— Je fais des rêves. Je vois des gens, des lieux, des situations dont je ne me souviens pas.
— Tu ne m’en as jamais parlé.
— Je pensais que ça m’aiderait à retrouver la mémoire, mais là, j’ai peur.
Krilin alla à ses côtés pour la réconforter. Elle le regarda, les larmes aux yeux.
— Krilin, est-ce que je suis un monstre ?
Il secoua la tête.
— Non, pas plus que moi ou que mes amis. Moins que certains d’entre eux, même.
Mary le regarda sans comprendre, mais ne demanda pas de précision.
— Est-ce que tu sais qui j’étais?
— non, désolé. » Mary baissa la tête d’un air dépité. « Mais je pense que je connais quelqu’un qui pourrait t’aider.

L’aéronef approchait du siège de Capsule Corp.
L’inquiétude de Krilin augmenta quand il sentit la présence de Végéta. Il aurait préféré que celui-ci s’entraîne comme à son habitude.
— Tu peux attendre un peu avant de sortir, s’il te plait ?
— Pourquoi ?
— Tu te rappelles quand je t’ai dit que je connais des personnes plus monstrueuses que toi ? Hé bien il y en a un là-bas.
Bulma et Végéta se trouvaient à côté d’un poteau, à l’entré de la demeure. Ils regardèrent le véhicule se poser et Krilin en sortir.
— Bulma. Végéta. Ça va ?
— Salut Krilin. Oui, et toi ? Dit Bulma alors que Végéta se contentait d’un grognement.
— Ça va. j’aurais besoin de ton aide, Bulma, mais si je vous dérange...
— Non, non, je viens de finir. Tu tombes bien, d’ailleurs. Dis-moi ce que tu en penses.
La présidente de la société appuya sur ce qui ressemblait à un interphone.
— Qu’est-ce que c’est que ça ? Fit Krilin stupéfait. Le poteau s’était mis à diffuser du ki.
— Tu le sens ? Parfait.
— Je pouvais te le dire. Fit Végéta.
— Oui, mais deux avis valent mieux qu’un.
— C’est quoi ?
— Une balise à bio-énergie. Ça produit une énergie que vous pouvez ressentir.
— Impressionnant. Mais, ça sert à quoi ?
— Ça sert à ce que ce crétin de Kakarotto arrête d’arriver à l’improviste. Dit Végéta avec humeur.
Devant le regard interloqué du petit homme, Bulma tenta de répondre.
— Il y a deux jours, il est venu pour s’entraîner avec Végéta, mais on était en train de ... » Elle rougit violemment. « Il est arrivé au mauvais moment, quoi.
Krilin ouvrit grand les yeux en imaginant la scène.
— OK. Pas besoin de me faire un dessin.
— J’en donnerai à tout le monde, ça simplifiera les chose. Mais dis-moi, qu’est-ce que je peux faire pour toi ?
Krilin regarda le prince des saiyans. Il n’avait pas l’air de trop mauvaise humeur. Autant y aller carrément.
— Avant tout, j’aimerais vous présenter quelqu’un. Mais Végéta, s’il te plait, promet moi de ne pas t’énerver.
— Et pourquoi je ferais ça ? Je m’énerve si je veux.
— C’est important.
— Ça va, tu peux bien promettre ça. Dit Bulma.
Végéta la regarda avant de de parler.
— Très bien, je resterais calme. Ça te va ?
Krilin acquiesça. C’était déjà plus que ce qu’il pouvait espérer. Il fit signe à Mary de descendre.
Elle fit quelques pas avant que Végéta ne se transforme.
— Je vais te pulvériser, salope !
Krilin s’interposa de justesse, kaïoken au maximum.
— Végéta, tu as promis !
Mais le saiyan repoussa l’humain sur le côté, un rictus de haine sur son visage, et avança vers Mary, qui était terrifiée.
Mais Bulma s’interposa elle aussi.
— Non mais tu es fou ! Qu’est-ce qui te prend ?
Le prince des saiyans hésita et Krilin en profita pour se mettre devant lui.
— Végéta, réfléchis juste une seconde. Je sais ce que tu ressens, mais elle a droit à une seconde chance, tout comme toi tu y as eu droit. Et Nappa, et Raditz aussi. Et Piccolo, et Ten Shin Han. Et même moi.
Le saiyan respirait fort en regarda l’humain, qui continua.
— Baddack l’a dit quand il l’a rencontré, tout le monde à droit à une seconde chance.
— RAHHHHH !
Végéta attrapa Krilin par le col.
— Mais foutez-moi la paix avec Baddack ! Tu crois qu’il est meilleur que moi ? Il a tué autant de monde, si tu veux savoir. Lui aussi il a rasé des planètes entières, alors arrêtez de le brandir comme modèle.
Il repoussa Krilin qui percuta Mary. Tout deux tombèrent à la renverse.
— Je vais dans la salle d’entraînement.
— Mais... Elle n’est pas encore au point. Dit Bulma.
— Je m’en moque. J’ai besoin de me défouler. Dit le prince en s’envolant.
Krilin soupira en se relevant et aida Mary.
— Ça s’est mieux passé que ce que je craignais.
Bulma approcha d’eux.
— Vraiment, je ne comprends pas pourquoi il a fait ça. Mademoiselle ?
— Mary. Dit la jeune femme en serrant la main que lui tendait Bulma.
— Mais tu as entendu parler d’elle sous un autre nom. C 18.
Bulma poussa un petit cri en retirant sa main, avant de réaliser à quel point c’était idiot.
— Dé...désolé.
— Krilin m’avait dit que ça ne serait pas facile. Dit Mary d’un air triste.


À suivre...>>>
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Slyver-Bejita le Lun Nov 03, 2014 2:49

*Quel dommage on aura donc pas de Gotenks.. :(
Mais bon on aura normalement Végétto donc ça va!! :D
*Et j'ai aimé ce petit chapitre de transition Végéta a réagit beaucoup plus calmement que je ne l'aurai cru.. :3
"L'homme raisonable s'adapte au monde et l'homme deraisonable fait en sorte que le monde s'adapte à lui. Donc tout changement viens de l'homme déraisonable." À méditer...
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Rebel O'Conner le Mar Nov 11, 2014 22:13

Slyver-Bejita a écrit:*Quel dommage on aura donc pas de Gotenks.. :(
Mais bon on aura normalement Végétto donc ça va!! :D
*Et j'ai aimé ce petit chapitre de transition Végéta a réagit beaucoup plus calmement que je ne l'aurai cru.. :3


pour Gotenks et Végétto, rien n'est dit, attention.

voici la suite et fin de l'interlude sur C18.

Chapitre 93 : Humaine !


Dans un salon de la maison, les trois parlaient autour d’un café. L’explication de Krilin avait été assez longue.
— Je ne comprends pas comment tu peux être en vie. Tous les cyborgs sont morts, et Cell aussi.
— J’y ai réfléchi. Comme vœu, on avait demandé que toutes les victimes de Gero et de ses créations ressuscitent. C 18 - Mary, donc - a été tuée par Cell quand il s’est fait exploser, mais tous les autres, c’est nous qui les avons tués.
— Ça se tient. Mais je ne sais pas si je peux vraiment t’aider. » Dit Bulma. « Je ne sais pas comment tu fonctionnes. Je pourrais t’étudier, mais ça prendrait des mois, peut-être même des années avant de pouvoir faire quelque chose pour toi.
Mary regarda Krilin, qui semblait dépité.
— Et cet homme, mon créateur, si on peut l’appeler ainsi. Il avait un laboratoire, d’après ce que Krilin a dit. Il doit bien avoir quelque chose dedans.
— Mais on a jamais trouvé le labo de Gero. Dit Krilin.
— Parce qu’on l’a jamais vraiment cherché. » Répliqua Bulma. « Ça vaut le coup d’essayer. Donnez-moi quelques minutes, le temps de rassembler des affaires.

Le vaisseau dans lequel ils étaient montés avait attend les montagnes du nord que quelques secondes à peine. Bulma avait mis une combinaison ressemblant à celle que portait constamment Végéta et en avait donné une aux deux autres.
— Ça vous protégera du froid, c'est un dérivé de la technologie de Freezer. Avait-elle expliqué en mettant une veste bizarre.
Ils volaient maintenant à vitesse réduite au-dessus d’un champ de gravats.
— C’est là qu’on s’était battu. Ça te dit quelque chose ?
Mary secoua la tête négativement.
— Bon, je vais voir. » Dit Bulma. Et elle enclencha des appareils sur le tableau de bord. « Voilà un écho. Une masse métallique importante.
— Il est bizarre, ton avion.
— Ce n’est pas un avion, c’est un vaisseau spatial conçu pour l’exploration interplanétaire. Un prototype, pour l’instant. Nous y voilà.
Le vaisseau se posa au fond d’une ravine.
Krilin sortit et, suivant les indications de Bulma, déterra quelque chose.
— C’est une sorte de porte blindée. Mais il n’y a rien dessous.
— Zut !
— Il y a quelque chose en haut, Comme une cicatrice dans la roche. Dit Mary en montrant la falaise au-dessus.
Krilin alla voir.
— Quelque chose à percuté la pierre avec beaucoup de force.
Le vaisseau arriva à sa hauteur et Bulma parla par le hublot ouvert.
— Si c’est la porte, alors elle doit venir d’en face.
— Il y-a une grotte, là-bas, assez loin. Dit Mary après avoir cherché quelques instants.
— Alors on y va. Dit Bulma.

Bulma avait programmé le vaisseau pour qu’il reste en vol stationnaire après que Krilin ait confirmé que c’était bien là.
Elle sauta sur le parvis, suivit de Mary.
— Tu es sûr que c’est ici ?
— Oui, regarde. Dit Krilin en montrant quelque chose au sol.
Les deux femmes s’approchèrent. Un corps mutilé, bras arrachés, crane défoncé, était au sol, recouvert de terre et de poussière.
— Gero. » Dit Bulma. « Son corps cybernétique. Qui l’a tué ?
— C 17 avait dit qu’il l’avait fait.
— Alors pourquoi n’a-t-il pas ressuscité ?
— J’en sais autant que toi.
Bulma haussa les épaules et commença à fouiller la pièce.
Un vieillard l'observait pendant qu'elle se débattait, maintenue par deux hommes grands et musclés, en vain. Il eu un sourire sadique.
— Je le connais. Murmura Mary.
Malheureusement, le labo était resté ouvert trop longtemps. Les caissons qui s’alignaient contre le mur, numéroté de 17 à 25, mais sans le 20, était grippés, et des animaux avaient rongé fils et doublure.
De nombreux appareils étaient présents, mais rouillés et inutilisables.
— Je ne suis pas sûre qu’on trouve quelque chose.
— Et là ? Dit Krilin en montrant une sorte d’écoutille dans le fond de la pièce.
Bulma approcha et essaya de l'ouvrir, mais la charnière était grippée elle aussi.
— Krilin ?
— Je m'en occupe.
Le petit homme avança et tira l'ouverture qui céda. Il se figea immédiatement avant de filer vers la sortie pour vomir au bord de la falaise.
Bulma le suivit rapidement, les mains sur le visage, et Mary arriva juste après, en se pinçant le nez.
— Quelle horreur. S'écria Bulma. L'odeur qui s’échappait du sous-sol était horrible.
— Comment on va faire pour descendre ? Demanda Krilin en s'essuyant la bouche.
— J'ai ce qu'il faut. Dit la directrice de la société de la capsule en fouillant dans la poche de sa veste.

Équipé d'un masque à gaz, Krilin ouvrit finalement l'écoutille.
— On voit pas grand-chose.
— J'ai une lampe. Je descends. Dit Bulma.
— Besoin d'aide ?
— Merci, ça ira. Dit Bulma en touchant la manche de sa veste, un sourire aux lèvres.
Puis elle sauta par l'écoutille et, à la grande surprise de Krilin, descendit doucement.
— Mais ! Comment ?
— Antigravité. J'ai fait ça pour entrer dans la salle quand Végéta s’entraîne, entre autre. » Elle arriva au fond et balaya la salle avec sa torche. « Ça a l'air en meilleur état, ici. Venez, on va fouiller.
— Euh, Bulma. Tu marches sur... Comment dire ? Commença Mary.
— Mmh ? AAAAAAH !
Krilin Sauta par l'écoutille et créa une petite sphère d'énergie pour éclairer, Bulma ayant lâché sa lampe.
Il resta tétanisé en voyant ce qui était sans doute la source de l'odeur infecte. Un cadavre putréfié. Mais ce n'était pas le corps en lui-même qui le choquait mais plutôt ses habits, qui le rendaient reconnaissable malgré son état de décomposition avancé.
— Gero ? Mais... Comment ?
— Je n'en sait rien. Je n'en sais rien. » Dit Bulma en se relevant. « Je vais remettre le courant. Tu peux... S'il te plaît ?
Krilin comprit facilement ce qu'elle voulait. Il s'approcha du cadavre et le désintégra d'un kikoha.

Dix minutes après, Bulma avait installé tout un tas d'appareils, et l'air était purifié dans la salle éclairée.
La scientifique s'activait pour remettre en marche l'ordinateur central.
Mary, de son côté, regardait une table en tremblant.
Elle ne pouvait pas bouger, ni crier, ni même fermer les yeux pendant que le vieil homme entaillait sa peau avec un scalpel. Mais elle ressentait l'intégralité de la douleur.
— Ça ne va pas ? Demanda Krilin.
Elle secoua la tête mais ne dit rien.
— Dites, vous pouvez m'aider un peu ? Dit Bulma.
— C'est que... j'y connais rien, à tout ça. Fit remarquer Krilin.
— Pas besoin, cherche si tu vois quelque chose d'interessant.
Krilin voulu protester qu'il ne saurait pas différencier ce qui était intéressant de ce qui ne l'était pas mais se ravisa. Il valait mieux occuper Mary. Il la prit pas le bras et, ensemble, commencèrent à fouiller la pièce.

Quelques minutes après, Bulma avait fini de relancer l'ordinateur central. Elle commença à télécharger les données.
Krilin et Mary étaient à côté d'elle.
— Vous avez trouvé quelque chose ?
— Deux choses. » Dit Krilin. « D'abord, ça. Il lui tendit un rouleau de papier que Bulma ouvrit.
— Des plans de … C17 ?
—Ça peut aider ? Demanda Mary.
— Et comment ! Si vous avez été conçus à l'identique, je pourrais comprendre comme tu es faite. Et la deuxième chose ?
— Viens voir. » Krilin lui montra un caisson ressemblant à un sarcophage.  « Regarde par le hublot.
Bulma s'exécuta et eu un hoquet de surprise.
— Il y a quelqu'un dedans ! Je vais rebrancher le courant.
Quelque minutes plus tard, elle tenta d'ouvrir le caisson, mais la porte était grippée.
Krilin l'arracha et l'homme de grande taille qui était dedans s'effondra.
— Est-ce qu'il est encore en vie ? S'inquiéta Mary.
Bulma l'ausculta à l'aide de différent appareils. Krilin le mis sur le dos, et il était très lourd.
— Non, il ne l'a jamais été. C'est un simple robot qui n'a plus d'énergie. Ce n'est pas une victime de Gero, contrairement à toi.


Quand Bulma eu fini de télécharger le contenu de l'ordinateur, elle récupéra ses appareils et ils repartirent. Alors que l'avion redécollait, Krilin arrêta Bulma.
— Tu as encore quelque chose à faire, là dedans ?
— Heu, non.
— Alors autant en finir définitivement.
Il sortit et pulvérisa la montagne, ne laissant qu'un cratère fumant.
Il retourna dans le cockpit et vit une Bulma particulièrement surprise.
— C'est mieux ainsi, crois-moi.

Tard dans la soirée, Krilin et Mary, dans un bureau chez Bulma, lisaient les données que la scientifique avait trouvé.
Elle les avait laissé seuls pendant qu'elle travaillait sur le reste.
Quand elle rentra dans la pièce, elle vit Mary s'essuyer les yeux.
— Ça va ?
— Oui ! Oui. Merci. Maintenant, je sais des choses sur moi, mais... ce ne sont pas des souvenirs, juste des connaissances.
— Je m'en doutais. Il te faudra du temps pour récupérer ta vraie mémoire.
— Si j'y arrive un jour.
— Ne dis pas ça. Dit Krilin.
— C'est mieux ainsi, crois-moi.
Krilin la regarda, surpris, puis ils éclatèrent de rire.
— oui, c'est ce que tu as dis, et tu as raison, autant repartir de zéro.
Bulma s'assit devant eux.
— Tu as raison, c'est la bonne attitude. Surtout que moi, j'ai plutôt des mauvaises nouvelles.
Il y eu un blanc.
— Lesquelles ?
Bulma déroula le plan sur la table.
— Je ne peux pas te rendre humaine à nouveau. Gero a utilisé la fusion par cellules, ce qui veut dire que tu n'es pas une humaine avec des parties cybernétiques, mais avec des cellules cybernétiques. » Devant les regards chargés d’incompréhension, elle simplifia. « Ça veut dire que tout corps est à la fois cybernétique et naturel. Impossible de séparer les deux parties.
— D'accord. C'est pas encore trop grave. Dit Krilin.
— Pas trop. Mais ça, ça l'est. » Elle désigna plusieurs emplacements sur le plan. « Ça, c'est un traceur. Il permet de dire ou tu es, si on a un récepteur. Ça, c'est un système de coupure. Avec la bonne fréquence, on peut te déconnecter. Et ça, c'est le pire. Une bombe.
— Quoi !
— Oui, Gero avait prévu de vous faire sauter en cas de problème. En fait, d'après les données récupérées, vous n'aviez été conçus que pour servir de nourriture à Cell.
Un silence glacial suivit ces paroles.
— Et... qu'est-ce que tu vas faire ?
— T'enlever tout ça.
— Tu es sûre ?
— Oui. Krilin a raison sur un point, je vie avec l'homme le plus dangereux de la galaxie, je ne vois pas de quel droit je t’empêcherais de vivre alors que lui, je l'aide. Ça prendra quelques jours, le temps de décortiquer les plans.
— Très bien. Alors, juste après, on te présentera à tout le monde, d'accord ? Proposa Krilin à sa compagne.
— Ça risque pas... ?
— Non, personne ne fera pire que Végéta.
Bulma ricana.
— C'est un assez vrai. Pourquoi ne pas faire ça quand je présenterai les dernières innovations de la salle d’entraînement ?
Le deux se regardèrent.
— OK, on fait comme ça. Avertis-nous quand c'est bon.
— Aucun problème.
Bulma les accompagna jusqu'à la porte puis rentra se mettre au travail.


— Attention ! Atterrissage dans trente minutes !
Baddack ouvrit les yeux et se leva.
« Parfait. Une douche, un casse-croûte et on y est. » Pensa-t-il.
Et même si sa venue était plus ou moins utile, il avait hâte de revoir son amie.

À suivre...>>>
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Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Rebel O'Conner le Sam Nov 15, 2014 23:28

— Chapitre spécial : Paternité X Lichti la cinquième survivante, première partie

Le vaisseau de la capsule Corp. se posa sur la planète Irul.
Baddack en sorti. Il s'était reposé pendant deux jours, mais se sentait en forme, le mois d’entraînement lui avait permis de se remettre à niveau.
Il s’étira. Il allait simplement attendre que des soldats arrivent, comme la fois d’avant. Le vaisseau avait atterri non loin de la capitale de la planète, ça n’allait pas être long.
Il marcha pour aller s’asseoir contre un arbre mort. Ses pas faisaient un bruit bizarre.
Il regarda. Il marchait sur, outre les feuilles mortes, un tapis de cadavres d'insectes et de différents animaux.
Autour, l'herbe était sèche, et tous les arbres semblaient mort, bien que rien n'indiquait que ça soit l'hiver, ou quoi que ce soit pour cette planète.
Le saiyan regarda vers la ville au loin. Il ne ressentait aucune énergie.
— Qu’est-ce que ça veut dire ?
Il rangea le vaisseau dans sa capsule et s’envola en direction des bâtiments.

Baddack arriva dans la banlieue de la ville. Des maisons simples, bien que d'architecture étrange.
Toutes les plantes semblaient mortes. Le saiyan alla au sol. Il y avait des corps partout.
Le saiyan en observa un de plus près. Il était sec, comme momifié. Aucune blessure, son expression était normale, aucune surprise, aucune peur, aucune douleur ne se lisait sur son visage. Il était mort sans s’en rendre compte.
Il y avait eu des accidents, il voyait un véhicule encastré dans le mur blanc d’une maison. Un autre se trouvait dans un des canaux de la ville. Certaines maisons semblaient avoir brûlé, leurs toits en dôme étant affaissés. Mais ça avait dû se passer après la mort de ces gens.
Ça ne semblait pas être la cause d’une attaque, ni même d’un gaz ou d’une maladie. D’ailleurs, tout indiquait que ce n’était pas seulement les gens qui étaient morts mais toutes les créatures vivantes, y compris les végétaux, et sans signe avant-coureur.
Il n’avait plus rien à faire ici mais ne pouvait pas partir comme ça, il fallait qu’il sache ce qui était arrivé.
Il partit vers le centre de la ville. Et alors qu’il approchait des plus gros bâtiments, il sentit une odeur de fumée, acre et désagréable.
Il en chercha la source et la trouva.
Au milieu d'une grande place trônait un grand appareil.
Baddack s'en approcha. C'était une sorte de four crématoire mobile, et bien qu’éteins, il était encore chaud. La place était remplie de corps soigneusement empilés. Quelqu'un brûlait les cadavres.
Il vit un sac posé au sol et le prit. Dedans, une bouteille à moitié vide, un demi gâteau à l'odeur sucrée et quelques fruits frais.
Il y avait quelqu'un ici, aucun doute.
Il se concentra pour sentir des auras.
Aucune énergie.
Il utilisa sa prescience.
Rien.
— Il y a quelqu'un ? Montrez-vous  !
Il attendit un instant mais rien ni personne ne bougea.
Il commença à arpenter lentement la grande place puis s’arrêta.
— Je n'ai plus rien à faire ici, autant rentrer.
Il prit la capsule dans sa poche et se ravisa. Ce qu'il venait de dire était complètement stupide, le mystère était encore complet.
Il continua à regarder autour le la machine. Il avait plu quelque temps auparavant, et il y avait des traces de pas dans la boue à moitié sèche. Les traces d'une seule personne. Il les suivit jusqu’à une maison. Dedans, un matelas était posé par terre, avec des restes de nourriture autour.
Il n'était pas un détective, seulement un guerrier. Sans doute devrait-il appeler la Terre pour avoir quelques conseils.
À ce moment, il aperçut une poupée sur le lit de fortune. Est-ce un enfant qui est là  ? Non, les pas étaient ceux d'un adulte.
Il se pencha pour la ramasser, histoire de voir si elle pouvait lui apprendre quelque chose.
— C'est une mauvaise idée de prendre sa fille. Mieux vaut m'en aller.
Il fit demi tour et sortit de la maison. Il fit quelques mètres avant de se figer.
Sa fille  ?
Baddack sourit. Il avait compris.
— Tu essayes de me manipuler, pas vrai  ? Montre-toi, je te veux aucun mal.
Il sentit une présence derrière lui et se retourna. Il vit un kikoha d’un bleu intense, lumineux, foncer sur lui et eut juste le temps de se transformer.
— AAAAARGH  !
La douleur était abominable. Il sentait son cœur battre à tout rompre, le sang cognait dans ses tympans. S’il ne s’était pas transformé, il serait mort, c’était une certitude.
Il fallait qu’il trouve son adversaire, coûte que coûte.
— Qui es-tu  ? Le bourreau ou le fossoyeur  ?
Une pensée germa dans l'esprit du saiyan .«  Les deux  !  »
La présence se fit sentir de nouveau. Pas franchement maléfique, mais emplie de folie, aucun doute là-dessus.
Baddack évita le kikoha de justesse. Il n’explosa pas, comme il s’y serait attendu, mais plutôt implosa, faisant disparaître une grande portion du sol.
Celui qui l’attaquait était indétectable la plupart du temps, mais pas au moment de l’attaque, il était obligé d’apparaître.
Baddack se redressa et ferma les yeux. Il concentra son énergie dans chacun de ses poings.
— Comment tu as fait ça ? Et surtout pourquoi ?
«  Bojack, le pouvoir de Bojack, le fléau de Bojack. Mon ancêtre. Tous morts d’un coup.  »
— Bojack ? Ce salopard ? Il est mort  ! On s’en est occupé  !
«  Je sais, je sais.  »
Baddack sentit la présence. Il tira un kikoha assez lent de sa main gauche dans cette direction.
«  Haha  ! Raté  !  »
Le saiyan regarda et vit un kikoha bleu, encore plus gros et d’un éclat aveuglant, foncer sur lui, il venait d’un poil plus à côté du point qu’il avait visé.
Il utilisa le transfert yardrat pour se déplacer juste à côté de son propre kikoha et visa la sphère bleue.
— Flash spirit  !
Il n’avait aucun moyen de savoir si l’autre n’avait pas bougé après avoir tiré.
— Aaaaaaaah  !
— Touché  !
Une silhouette floue apparu, puis se précisa. Une femme vêtue d’une longue robe, noire et sale.
— Merde  ! Non, c’est pas vrai  ! Cria Baddack en fonçant pour la rattraper avant qu’elle ne touche le sol alors que les deux attaques détruisait chacune un côté de la place.
— Oracle, pas toi  !
Le rayon de Baddack avait transpercé l’oracle d’Irul au niveau du ventre. Elle cracha du sang et regarda le saiyan. Son regard redevint plus clair, comme si la raison lui revenait.
— Baddack. Pourquoi es-tu…venu ?
— Pour vous dire que Bojack était mort. Pourquoi tu as fait ça ?
— Je… je n’ai pas voulu… ça. Quand … Bojack est mort… J’ai reçu sa malédiction... Keuh …Keuh  ! Un pouvoir…immense… et malsain.
Baddack sera les dents.
— C’est de notre faute, alors.
— Non… Keuh… keuh  ! Je pouvais … le contenir…apprendre… mais…keuh…keuh  ! Le conseiller… Alastar…a eu peur…Il a… engagé un tueur… pour…m’éliminer… J’ai…keuh…keuh  ! …perdu le contrôle. Ma fille…  » Les larmes commencèrent à couler, son expression se mua en tristesse, la douleur se lisait sur son visage.  «  …morte…la première…ma faute…tous morts …keuh…keuh  ! …par ma faute.
— Tout n’est pas perdu. On a les dragon balls, on peut te sauver, on peut…
— … Non…S’il te plait… Je… Keuh…keuh  !... ne peux pas…vivre avec…un tel fardeau…Laisse-moi…reposer en paix…S’il te plait.
Baddack sera les dents. Il comprenait parfaitement ce qu’elle ressentait.
— Tu as ma parole. Oracle, je connais même pas ton nom.
Elle sourit faiblement.
— Alawen.
— Alawen, je te promets que je ferais tout pour faire revivre ton peuple.
— Mer…ci … Ba…ddack…
La dernière lueur dans ses yeux disparut. Elle était morte.
Baddack resta immobile pendant de longues minutes. Pour la seconde fois de sa vie, il pleura la mort de quelqu’un, mais cette fois, il n’en ressentait aucune honte.

Ensuite, comme dans le brouillard, il sortit le vaisseau de sa capsule, et appela Bulma, qui lui passa Kakarotto. Il demanda à son fils d'aller dans une zone déserte et de développer son aura pour qu'il la sente malgré la distance.
Son fils fut surpris quand il vit qu'il rapportait le corps d’Alawen et lui avait demandé qui elle était. Mais Baddack lui avait juste demandé d’aller trouver les dragon balls. Ce qu’il s’était empressé de faire avec l’aide de Goku et de Raditz.
Baddack ne savait pas vraiment pourquoi il avait agis ainsi. Il avait sûrement pensé que son peuple ne lui aurait jamais pardonné et qu’elle n’aurait jamais de sépulture décente.
Au centre du plus haut plateau qu’il avait trouvé dans le désert du centre du continent, il creusa une tombe à même la roche, puis y déposa le corps de l’oracle qu’il avait recouvert avec les gravats. Ne trouvant pas ça très digne, il trouva une grande pierre plate qu’il avait posée par-dessus, et par de petits rayons de ki, il grava «  Alawen, Oracle d’Irul  »
Il resta là des heures, à contempler la tombe.
Ses fils et son petit-fils arrivèrent avec les boules de cristal, alors il invoqua Shenron.
Le premier vœu qu’il fit les surprit.
— Ressuscite tous les êtres vivants tués pas le fléau de Bojack, excepté Alawen.
— Tu… tu ne voulais pas lui rendre la vie ?
— non, elle m’a demandé de ne pas le faire. Par contre…
Il regarda le dragon.
— … Shenron, peux-tu faire en sorte qu’elle repose en paix ?
— Je vais faire mon possible... Oui, je peux. C’est fait.
Puis les boules se dispersèrent.

Quelques jours passèrent.
— Tu ne viens pas, tu es sûr  ? Demanda Kakarotto.
— Oui, tu m'excuseras auprès de Krilin ,mais j'ai besoin de rester seul. Et puis, j'ai déjà rencontré son amie. Et pour la nouvelle salle d’entraînement de Bulma, j'aurais bien le temps de l'essayer une autre fois.
Baddack resta seul dans l'ancienne maison de Son Gohan, qu'il habitait désormais.
Il s'envola pour aller au sommet de la montagne.
De là, il regarda la forêt en contrebas en repensant à tout ça. Il se souvenait des choix qu’il avait faits au cours de sa vie.
Son Gohan avait raison. Il n’était plus le mercenaire meurtrier qu’il avait été. Il n’était plus un vrai saiyan.
Il eut un soupir amusé. C’est ce que lui avait dit Thales des années auparavant.
Il n’était plus un saiyan. Et au final, il en était fier.

Il se releva soudain.
Une grande énergie arrivait sur qui, agressive.
Une femme apparu soudain devant lui, l'air furieux.
Et pas seulement une femme. Une saiyanne, étrangement familière, qui plus est.
— J'ai été vraiment naïve de croire que tu avais un semblant d'honneur...
— Pardon? Demanda Baddack décontenancé.
— Finalement, tu n'es qu'un tueur sans état d'âmes comme le restant de mon peuple.
— Ecoute, je ne comprend pas où tu veux en venir. Si tu as quelque chose à me reprocher, dis le.
— Ma mère est morte à cause de toi !


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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar vicabouc le Sam Nov 15, 2014 23:41

Pour voir ce qu'il s'est passé du point de vue de Lichti la cinquième survivante, c'est ICI
Ma liste de fanfics :
viewtopic.php?f=36&t=4672
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar broly97 le Dim Nov 16, 2014 0:27

Ah ben tien c cool que vous fassiez le même chapitre mais sur des points de vue différents. Très très bonne initiatives.
Seul petit bémol avec ce double chapitre, lorsque Baddack arrive sur Irul, il n'aurait pas dût mourir asphysié ? Vu que tout les arbres sont mort, donc logiquement il n'aurait pas dû y avoir conversion de gaz carbonique en oxygène non ?
Après cela n'enlève rien à la qualité du chapitre, qui est pour le coup un cran au-dessus de d'habitude (ce qui n'est pas mince), car j'aime bien la dernière partie avec Baddack chargé d'émotions.
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Rebel O'Conner le Dim Nov 16, 2014 0:52

broly97 a écrit:Ah ben tien c cool que vous fassiez le même chapitre mais sur des points de vue différents. Très très bonne initiatives.
Seul petit bémol avec ce double chapitre, lorsque Baddack arrive sur Irul, il n'aurait pas dût mourir asphysié ? Vu que tout les arbres sont mort, donc logiquement il n'aurait pas dû y avoir conversion de gaz carbonique en oxygène non ?
Après cela n'enlève rien à la qualité du chapitre, qui est pour le coup un cran au-dessus de d'habitude (ce qui n'est pas mince), car j'aime bien la dernière partie avec Baddack chargé d'émotions.


les arbres qui produisent de l'oxygène sont morts, mais comme les animaux qui consomment de l'oxygène sont morts aussi, ça compense.

il y aurait, disons, moins d'émotion dans le chapitre suivant.
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