Paternité - Baddack et Kakarotto [Terminé]

Faîtes-nous partager votre fibre littéraire en écrivant votre propre histoire mettant en scène les personnages de Dragon Ball et, pourquoi pas, de nouveaux ! Seules les fanfictions textes figurent ici.

Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar biskus le Dim Nov 16, 2014 1:47

Jaime les X quand ils sont pas choquant a lire quand a la différence de style. Et je dois dire que la sa passe crème. Jaime beaucoup ta fic dans sa globalité mais le coup du cross over et sympa aussi. Sauf que si c'est la litchy aussi puissante que celle de l'univers de vica baddak va pas comprendre ce qu'il se passe lol
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Kid_Goten le Dim Nov 16, 2014 20:30

magnifique fanfic :D je te félicite, j'ai tellement aimé que j'ai tout lu d'un coup !
Goten ❤️
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Slyver-Bejita le Lun Nov 17, 2014 1:29

*Ah oui c'est vrai on vera quand meme Vegetto vu qu'il y a les potalas
*Par contre ce que t'as dis avec Gotenks m'interrese je vais voir comment évolue cette histoire.

Sinon j'ai fort apprécié le double chapitre cross over ou on raconte l'histoire selon 2 monde different en meme temps c'était une bonne idée de faire ça. :)
"L'homme raisonable s'adapte au monde et l'homme deraisonable fait en sorte que le monde s'adapte à lui. Donc tout changement viens de l'homme déraisonable." À méditer...
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Rebel O'Conner le Dim Nov 23, 2014 19:24

ça demande pas mal de coordination, c'est sûr. :)

voici la suite


— Chapitre spécial : Paternité X Lichti la cinquième survivante, deuxième partie

— Cette brèche dans la réalité est dangereuse. Dit Dendé.
— Oui, mais je peux la fermer. » Dit Piccolo. « Par contre, je vais avoir besoin d'aide pour stopper les intrus. Je vais avertir Kakarotto et les autres. 
Dendé, qui s'était focalisé sur la déchirure, n'avait pas pris le temps de regarder ceux qui en étaient sortis.
— Eux ? Mais, Piccolo, ce ne sont pas des ennemis !
Mais il était trop tard, le guerrier namek était déjà loin.

— Ta mère ? Mais qu’est-ce que tu rac... » Commença Baddack. Puis il réalisa pourquoi cette femme lui paraissait familière. C'était le portrait craché de Basilik. « Oh ! » Le passé le rattrapait une fois de plus. « Écoute, si j’avais pu faire autrement, crois-moi...
Un coup de poing l’interrompit.
— Autrement ? Tu te fous de moi ?
Un deuxième coup fusa, mais cette fois, Baddack l'avait prévu, et, bien que légèrement groggy, l'esquiva. Il se reprit et profita du déséquilibre de la saiyanne pour l'attraper par l'épaule, puis il la plaqua violemment au sol.
— Tu vas te calmer, maintenant !
Elle se débattit, mais il la maintenait fermement. 
— Lache-moi, connard!
— J'ai pas envie de te faire mal, t'es la fille de To... Ough !
Il recula, plié en deux et le souffle coupé à cause d'un coup de genou dans les parties.
La saiyanne se releva tout en reculant alors que Baddack tentait de reprendre son souffle.
— Rien à faire de tes excuses ! 
Reprenant son souffle, Baddack parla d'une voix rauque.
— D'ac-cord. si tu veux pas te calmer toute seule, je vais te calmer moi-même. Puis il se transforma.
Il vit avec satisfaction un grande stupeur apparaître sur le visage de son adversaire.
Mais il eut la même réaction quand elle se transforma à son tour. Il ne s'attendait pas à ce qu'elle connaisse la transformation en super-saiyan.
Mais il eut un léger sourire. Après tout, c'était bien la digne fille de ses parents.
Il se mit en garde, il valait mieux se défendre pour le moment, histoire de savoir ce qu'elle valait au combat. Surtout qu'elle avait l'air passablement furieuse.
Elle passa à l'attaque, et sa vitesse surprit Baddack qui se prit le coup de point en plein visage.
À gauche !
Il se baissa pour éviter le deuxième coup de poing.
En haut !
Il croisa les bras au-dessus de sa tête pour bloque le coup de pied qui venait.
Derrière !
Il donna un coup de coude anticipé qui heurta la saiyanne à la tête. Par réflexe, elle plaqua les mains sur son visage, et Baddack en profita pour frapper au ventre.
Elle recula sous le choc, pliée en deux.
« Parfait, elle est rapide, mais manque un peu de force, si je la malmène assez, elle finira par lâcher l'affaire et elle m'écoutera. » Pensa-t-il.
Il s'envola, histoire d'épargner les montagnes.

Le combat faisait rage dans le désert de sable rouge, sous un ciel noir.
Kakarotto et Végéta se battaient avec hargne sous une gravité cinquante fois supérieure à celle de la terre, mais au final, ils s'amusaient beaucoup.
L'écran, dans la salle de contrôle, suivait les déplacements des deux saiyans.
— Ça à l'air vraiment grand. C'est une autre dimension, comme la salle du palais ? Demanda Krilin.
— Pas du tout. En fait, c'est plus une illusion, un mélange d'hologrammes et de champs de force, mais le résultat est le même. Dans la salle, on a l'impression d'un espace illimité. Dit Bulma.
— Et donc on peut recréer le paysage que l'on veut ? Impressionnant. Dit Raditz.
— Et j'espère bien ajouter des adversaires virtuels. Mais ça, ça prendra un peu plus de temps.
L'intercom sonna.
— Ma chérie, monsieur Piccolo est là.
— Fais-le entrer, maman.
— Je vais le chercher ! » Dit Goku en se précipitant vers la porte. Il ouvrit la porte et salua son ancien mentor. « Tu viens voir la salle, finalement ?
— Non, je viens parce que l'heure est grave. Baddack est en train de se battre, cinq étrangers sont arrivés sur Terre, à cause d'une anomalie dimensionnelle, semble-t-il.
Tout le monde le regarda.
— Des étrangers ? Comment ça ? Demanda Yamcha.
— Quatre personnes de la race de Bojack. Et celui, enfin, celle qui se bat contre Baddack est une saiyanne.
Tout le monde fut surprit, mais Raditz et Nappa encore plus que les autres. Ils pensaient être les seuls survivants purs de leur race, avec Baddack, Kakarotto et Végéta.
Piccolo reprit.
— Ils se sont dispersés, j'aurais besoin de vous pour les retrouver.
— On aura besoin de l'aide de Papa et de Végéta.
— Tu peux couper la cession ? Demanda Nappa ?
— Alors qu'ils sont en train de se battre ? Surtout pas, il y aurait surcharge d'énergie.
— Tu peux me laisser entrer dedans ? Demanda Raditz.
— Le temps de dégager un passage.
— Alors je vais les chercher et on vous rejoint.

Ils sortirent à la suite du namek. Dehors, ils sentirent en effet des forces puissantes et assez inhabituelles.
— La saiyanne. C'est une super-saiyanne. » Dit Nappa en regardant dans la direction des deux forces qui se battaient. « On devrait aller là-bas.
— Grand-père pourra se débrouiller. On devrait d’abord aller voir les autres.
— Oui, ils sont séparés en trois groupes. Un force élevée accompagnée d'une force relativement faible, et deux forces, séparées, de niveau moyen. Moi, je dois aller voir la singularité et la contenir pour empêcher d'autres personnes de passer. Il faudra que vous m’ameniez ces gens, et ensuite, une fois qu'ils seront renvoyés, je pourrais fermer.
— D'accord, je vais vers les deux forces ensemble. Dit Goku.
— Je t'accompagne. Dit Nappa.
— Pourquoi ?
— Si on aide pas Baddack, alors j'aime autant avoir une chance d'affronter le plus fort du lot. Y a pas de raison que tu t'amuses tout seul.
Le garçon lui lança un regard de reproche, il n'avait pas saisit la gravité de la situation, mais ça n'était pas la peine de perdre du temps.
— Pose ta main sur mon épaule. Dit-il en posant deux doigts sur son front, juste avant de disparaître avec le colosse.
— Bien, on se sépare, alors. » Dit Ten. « Chaozu, tu viens avec moi vers celle-ci et Krilin et Yamcha, vous allez vers celle-là.
— Hé, j'existe. » Protesta Mary. « Je vais avec Krilin. Je sais me battre à nouveau.
Les autres hésitèrent. Il n’y avait pas si longtemps, cette femme était leur ennemie. Mais Ils avaient confiance en Krilin.
— On fait comme ça, alors. C'est parti. Dit Ten en s'envolant, suivit de Chaozu et de Yamcha.

Baddack esquivait et paraît les coups, comptant sur sa prescience.
Et quand son adversaire s'éloignait, il envoyait des kikoha pour l'intercepter. Pas des gros, mais de quoi lui faire comprendre qu'elle ne gagnera pas le combat.
C'était quoi, son nom, déjà ? Toma lui avait dit, il en était sûr.
Elle ne bougeait plus, regardant le saiyan avec un mélange de frustration et de colère.
Baddack sourit. Il allait lui demander son nom, il était sûr que ça la calmerait. Il ouvrit la bouche pour parler, mais ses paroles moururent au fond de sa gorge.
Ses cheveux étaient bien plus dressés sur sa tête, et des éclairs parcouraient son aura. Elle venait de passer au niveau deux.
« Alors là, je vais regretter mon année sans entraînement. » Pensa Baddack.

Goku et Nappa apparurent devant les deux personnes, un homme et une femme.
Nappa jaugea l'homme. Un guerrier, sans aucun doute. Parfait.
— On va vous apprendre à envahir la planète qui est sous notre protection. Je m'charge de lui, Goku ! Hurla Nappa.
— Dame Alawen, restez à l'abri ! Dit Le guerrier à la peau bleue à la femme alors que Nappa s'avança vers lui.
Mais il n'alla pas loin, Son Goku s'interposa entre les deux.
— Nappa, arrête !
— Mais qu'est-ce qui te prend, Goku?
Sans répondre, le garçon s'approcha de la femme.
— Je reconnais cette femme, c'est l'amie de grand-père.

Krilin et Mary volaient dans la direction de la grande force. Ils s’arrêtèrent quand Krilin sentit celle-ci approcher à grande vitesse.
— Il arrive. Tiens-toi prête !
Mais au grand dam de Krilin, leur adversaire était une femme.
— Excusez moi, pourriez-vous m'aider ?
Krilin, surpris, répondit sans réfléchir.
— Euh, bien sûr, de quoi avez-vous besoin ? » Il secoua la tête, et parla d'une voie plus affirmée. « Mais laissez-moi vous dire que si vous voulez venger Bojack, vous êtes mal tombée !
— Bojack ? Attendez, je n'ai rien à voir avec lui !


Ça se passait mal pour Baddack. Il était surclassé, désormais. C'était à peine s'il arrivait à amortir les coups grace à son pouvoir de divination.
Il augmenta sa masse musculaire, histoire de tenir un peu plus longtemps, mais sa défaite était inévitable. La prescience permettait de battre un adversaire plus fort, mais ne servait à rien contre un adversaire beaucoup plus fort.
Il fallait ruser.
Il tira un kikoha vers la femme, qui l’arrêta d'un revers de la main. Mais il avait fait ça exprès et ferma les yeux avant que la boule n'explose dans un éclair aveuglant. Il n'aurait pas eu le temps de faire un taioken, mais Gero avait montré qu'il était possible de faire autrement.
Son adversaire était aveuglée, et se mis en défense.
Il en profita pour s'éloigner le plus vite possible.
Il savait qu'elle le rattraperait vite, mais c'était le but.
Au moment où il la sentit bouger, il fit demi-tour et concentra tout ce qui lui restait d'énergie dans son poing.
Il vit qu'elle s’arrêta, prête à le recevoir.
Coup de pied latéral !
Comme il s'y attendait. Mais il la prit de vitesse en utilisant le transfert instantané à une centaine de mètres d'elle.
Elle ne put éviter l'impact, et le poing de Baddack la cueillit en pleine tête, toujours à pleine vitesse.
Elle fut projetée à grande vitesse vers la plaine.
— Merde ! Hurla Baddack.
Elle fonça droit sur une des fermes isolée.
Il se téléporta de nouveau juste sous elle et la repoussa vers le haut avec son ki.
Mais ça avait été trop pour lui, il perdit sa transformation et s'écroula au sol, lessivé.
Il réussit tant bien que mal à se relever en titubant, mais il voyait flou, et ne ressentait même plus l'énergie de la femme.
Reichi.
C'était ça, il se souvenait du nom qu'avait choisi Basilik. Trop tard, hélas.
Attaque dans le dos.
Mu par un dernier réflexe de survie, et guidé par sa prescience, il frappa.
Il toucha et au même moment, se prit un coup de poing au menton.
Il s'écroula, assommé.


À suivre...>>>
Dernière édition par Rebel O'Conner le Sam Jan 14, 2017 10:30, édité 4 fois.
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar vicabouc le Dim Nov 23, 2014 19:27

Pour voir ce qu'il se passe du coté de Lichti la cinquième survivante, c'est ICI.
Ma liste de fanfics :
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Rebel O'Conner le Dim Déc 14, 2014 21:07

— Chapitre spécial : Paternité X Lichti la cinquième survivante, troisième partie

Goku regardait la femme intensément.
— Vous êtes vivante ?
Alawen sentait, malgré l'absence de ses pouvoirs, qu'il valait mieux clarifier la situation le plus vite possible.
— Je ne suis pas Alawen telle que tu l'as connue, nous venons d'une autre réalité.
— Vraiment ? Dit Nappa, sceptique.
Mais Goku avait compris.
— La faille dimensionnelle ! Vous êtes arrivé par là ! Pourquoi ? Comment ?
— On ne sait pas, justement.
— Hé, gamin, la force de Baddack. Elle a disparu. Dit Nappa.
— Zut ! J'avais pourtant senti qu'il pouvait se débrouiller. Mais sa force est toujours là, juste faible. Il est inconscient.
— Dame Alawen, la force de Lichti aussi a disparu. S'inquiéta Alatorn.
— Je vais voir. Reste ici, Nappa. Dit Goku en mettant ses doigts sur son front.
— Attend, s'il te plaît. Je voudrais venir avec toi. Dit Alawen.
— Pourquoi ?
— Parce que son adversaire était ma fille.
— Comment ça ? » Cria Nappa. « C'était clairement l'énergie d'un super-saiyan !
— Je vous expliquerais. S'il te plaît, Goku.
— Très bien, autant tous y aller.

Ten Shin Han regardait le désert qui s'étendait à ses pieds.
— Bizarre, l'énergie à disparue.
— il se cache. Étrange. Dit Piccolo.
— Et l'énergie de Baddack aussi, et celle de son adversaire, pareil. Dit Yamcha.
— Je vous laisse chercher ici, je vais voir cette faille et la contenir.

— Tu pense qu'on peut la croire ? Demanda Mary à l'oreille de Krilin.
— Heu... Oui, je pense que oui. Si elle avait été avec Bojack, elle n'aurait même pas cherché à discuter. » Murmura le petit homme. « Bon, je suppose qu'on peut vous faire confiance.
— Bojack a vraiment attaqué cette planète ?
Krilin acquiésa.
— Oui, et on a été à la limite de perdre. Vous le connaissez ?
— Seulement de réputation. Il ravageait la galaxie il y a cinq-cent ans. Nos dirigeants de l'époque ont même changé le nom de notre peuple pour qu'on ne puisse plus être relié à eux.
— J'imagine. Bon, autant se présenter. Voici Mary, et je suis Krilin.
— Je suis Éolin, et je... Lichti !
— Pardon ?
— Son énergie a disparu !
Krilin regarda dans la direction du combat.
— Est-ce celui qui se battait contre Baddack ?
— Celle, pas celui. Mais oui, bien que j'ignore qui est Baddack. Qu'est-ce que cette idiote à fait ?
— On ferait mieux d'aller voir.

— Ah, ça y est, tu émerges.
— Nappa ? Qu'est-ce que tu fais là ?
— Nous sommes au palais, Baddack.
— Dendé ! D'accord, je... Où est Reishi?
— Reishi? Alors là, elle va adorer, cette idiote. Dit une voix féminine.
Baddack regarda qui avait parlé. Il s'agissait d'une femme à la peau bleue, une irulienne. Un homme se tenait à côté d'elle, et une autre femme était dos à lui, agenouillée devant la saiyanne que Dendé commençait à soigner.
— Qui êtes-vous ?
La deuxième femme se leva et se tourna.
— Voici Éolin et Alathorn. Puis ma fille Lichti – et non Reichi – que vous avez combattue. Moi, je suis Alawen, oracle d'Irul.
Baddack la regardait, bouche bée, paralysé par la surprise.

Peu de temps après, Goku était revenu avec Piccolo, Ten, Yamcha et Chaozu, tandis que Kakarotto, Raditz et Végéta étaient arrivés aussi.
— Ta fille ? Et comment peux-tu être en vie ? Je n’y comprends rien !
Kakarotto leva la main comme un écolier
— Moi non plus.
— On en a discuté un peu. » Commença Goku. « Ils viennent d'un univers parallèle, grâce à la brèche que Piccolo a détecté.
— Un... univers parallèle ?
— Un monde qui ressemble au nôtre, mais avec de petites différences, généralement issue d'un changement mineur. » Dit Raditz. Comme tout le monde le regardait bizarrement, il ajouta. « Quoi ? Je vis avec une bibliothécaire, j’apprends beaucoup de chose grâce à elle.
— Et quel est le changement chez vous par rapport à nous ? Demanda Kakarotto, curieux.
— Pour autant que je sache, c'est Baddack. Dans notre univers, tu es mort en combattant Freezer au moment où celui-ci attaquait la planète Végéta.
Le saiyan secoua la tête.
— Je n'avais aucune chance, à ce moment-là, même si je l'ai compris que longtemps après. Mais en tout cas, c'est bien à cause de moi que tu es morte ici, alors.
— Il n'y avait aucun moyen de le savoir. Et puis, Les autres sont en vie grâce à toi. Chez nous, Raditz et Nappa n'ont pas survécus à la guerre quand ils sont arrivés sur Terre, et Kakarotto est mort contre Cell. Végéta est le dernier saiyan pur, et il est moralement diminué.
— Et on peut savoir pourquoi ? Demanda l’intéressé.
— Tu n'as pas supporté que d'autres soient plus fort que toi, et surtout que Go... Kakarotto se sacrifie. Il est mort sans que tu puisses le défier.
— N'importe quoi.
— Et vous nous avez rencontré ? Demanda Kakarotto.
— non, jamais. Nous avons eu notre lot de problème, nous aussi, et nous n'avons jamais eu le temps d'aller sur Terre.
— J'aurais aimé vous aider à combattre Cell, mais j’étais enceinte à l'époque.
— Et vous aviez aussi été pétrifiée ? Demanda Dendé.
— Ici aussi c'est arrivé ?
— Comme sais-tu ça, Dendé ?
— Dame Alawen est venue sur la nouvelle Namek demander d'utiliser les dragon balls, un an ou deux avant que Kakarotto vienne me chercher pour devenir le nouveau Kami.
— C'est ça. Et on a combattu Cooler.
— Qui ?
— Ça n'est pas arrivé ici ?
Dendé secoua négativement la tête.
— Qui est Cooler ? Demanda Kakarotto.
— Le frère de Freezer. Dit Végéta.
— Hum. On avait jamais pensé à ça. Les démons du froid sont encore un danger. Dit Baddack.
— Ouais, faudrait faire quelque chose. Dit Nappa.
— Votre univers semble vraiment différent du nôtre. Si seulement j'arrivais à utiliser mes pouvoirs.
— Quoi ? Tu n'y arrives plus ? S'étonna Lichti.
— Je peux peut-être t'aider. Dit Baddack.
— Comment ?
— Je sais pas. Mais quand je t’ai rencontré, tu m'a aidé à contrôler mes visions, je peux au moins essayer de faire la même chose pour toi, même si c'est pas vraiment toi qui m'avais aidé à l'époque.
— Ça n'engage à rien d'essayer.
Ils allèrent un peu à l'écart et s'assirent en tailleur, l'un en face de l'autre.
— Attendez ! Baddack a des visions du futur ? Demanda Lichti.
— oui, c'est une malédiction qu'il a apprise à contrôler. Répondit Goku.
— D'accord ! Je comprends mieux pourquoi il prévoyait toutes mes actions.
— C'est pas si pratique que ça non plus. C'est épuisant, à la longue, de devoir voir deux actions en même temps.
— Excuse, mais je voudrais te demander un truc. Dit Nappa en s'approchant de Lichti.
— Oui ?
— T'as une queue. Ça fait comment, quand tu te transformes en oozaru ? Tu peux te transformer en super-saiyan en même temps ?
Lichti regarda un peu autour.
— Tiens, c'est vrai, aucun de vous n'a de queue, comment ça se fait ? Enfin bon, de toutes façons, je n'arrive plus à me transformer en oozaru depuis que j'ai trouvé le secret du super-saiyan.
— Ah ? Bon, comme ça, pas de regret de m'être fait opérer.
— Tu t'es fait opéré, Nappa ? Demanda Raditz.
Lichti enroula sa queue autour de sa taille. Elle se sentait mal à l'aise à l'idée que les autres s'étaient mutilés volontairement.
— Ouais, vaut mieux être sérieux, dans les affaires. Y paraît que porter une queue de singe, c'est ringard, d'après Yajirobé. Elle pousse encore, la tienne ?
— Non, plus depuis que Végéta m'a brûlé le dos.
— Moi, c'est Kami Sama qui me l'a enlevé, et celle de papa aussi, et de Goku et Natchi. » Dit Kakarotto. « Et Dendé s'est occupé de Gohan.
— C'est ça ! Dit Végéta.
— Pardon ?
— La queue. C'est pour ça qu'elle est si puissante. Si je n'avais pas écouté Bulma, j'aurais été pareil.
Tout le monde regarda le prince de saiyans, interloqué.
— On n'en sait rien, Végéta. Dit Raditz.
— Si j'ai réussi à passer au niveau supérieur, c'est grâce à mon entraînement, et rien d'autre.
Elle n'aimait pas du tout le ton de Végéta. Il était aussi arrogant que dans l'illusion créée par Sanguine. Pire, même.
— C'était à moi de battre Baddack avec le niveau supérieur du super-saiyan.
— Alors commence d'abord par te transformer avant de faire des plans sur la comète. Ironisa la saiyanne.
L'énergie du prince explosa littéralement.
— Comme ça, ça te va ? J'attendais qu'il soit remis de ses blessures.
— Des blessures ? Et tu crois que toi, tu le battrais quand moi j'ai eu du mal ? Elle se transforma à son tour, et sa puissance dépassait légèrement celle de l'autre.
— Hé, calmez-vous. Dit Piccolo.
Mais ils l'ignorèrent.
— C'est la seule explication. C'est grâce à cette queue Qu'une vulgaire femelle a pu atteindre un tel niveau.
— Végéta, tu es fou ! Hurla Kakarotto.
Lichti se raidit, regardant Végéta, les yeux écarquillés.
— Hé bien je crois que la vulgaire femelle va donner une leçon d'humilité à l’arrogante princesse des saiyans.
— Holà, Lichti ! Cria Éolin.
Mais avant que quiconque ait pu réagir, les deux super-saiyans s'attaquèrent.
Leurs coups ne portèrent pas, cependant. Les deux poings étaient stoppés à quelques centimètres de la figure de l'autre, maintenus par une poigne de fer.
Goku les écarta sans douceur.
— Assez ! Si vous voulez vous battre, allez ailleurs ! Vous auriez détruit le palais si je vous avais laissé faire !
Lichti était toujours furieuse contre Végéta à cause de l'insulte, mais La pression était retombée, grâce à ce garçon. Lichti sentait qu'il ne faisait pas d'efforts particuliers et pourtant, il était plus puissant qu’elle et Végéta réunis.
Elle reçu un coup derrière la tête.
— Non mais ça va pas, tête creuse ? Hurla Éolin.
Alawen s'approchait d'elle, l'air furieux.
— Je m'attendais à mieux de ta part, jeune fille.
Lichti rougit de honte en entendant ça, qui plus est devant tout le monde..
Baddack, lui, arrivait prêt de Végéta.
— Si tu veux te battre, Végéta, je te prends quand tu veux.
— Pff ! Quel plaisir j'aurais à battre un éclopé. J'attendrai que tu reviennes à ton meilleur niveau, et là, je t'écraserai. En attendant, je vous laisse faire mumuse ici.
Il tourna les talons et s'envola.
— Bordel, qu'est-ce qui lui prend ? S’interrogea Nappa, résumant la question que tout le monde se posait.
Lichti regrettait maintenant ce qui venait de se passer, pas pour Végéta, mais pour les autres.
— Excusez-moi, mais il m'énervait vraiment.
— Il énerve tout le monde, depuis quelque temps. Depuis le combat contre Broly, il est vraiment insupportable. Dit Baddack.
Lichti se raidit.
— Broly ?
L'attention des iruliens se reporta sur leur amie saiyanne.
— Le soit disant super saiyan légendaire. Juste un rat de labo, en fait. Tu connais ?
Lichti hésita. La douleur était encore trop récente.
— De nom. Qu'est-ce qui s'est passé ?
— Oh, ben, je cherchais de l'aide pour battre Cell, et je suis tombé sur Paragus. Il m'a dit qu'il avait fait des expériences in-vitro sur son fils pour le rendre plus puissant, mais ça l'a rendu fou, et Paragus n'était pas très net non plus. J'ai essayé de m'en débarrasser en faisait sauter la planète où ils étaient, mais Broly a survécu et est arrivé sur Terre pour se venger.
— C'était un peu plus compliqué que ça, non ? Dit Kakarotto.
— Je résume. Donc, quand il est arrivé ici, je m'en suis occupé, avec Goku.
— Je l'ai juste contenu le temps qu'il succombe aux blessures que tu lui avais faites.
— Il a souffert ?
— Hein ? J'imagine, oui. D'habitude, si je dois tuer, j'essaye de le faire le plus proprement possible, mais là, j'ai pas eu trop le choix.
— Baddack, est-ce que ça te dérange si je vois ça avec ma boule de cristal ? Ça permettra aussi de voir si je suis bien harmonisé avec cet univers.
Baddack haussa les épaules.
— Si tu veux.

Pendant quelques minutes, Alawen montra les événements qui s'était déroulés un an auparavant.
Les yeux rivés sur la boule, Lichti jubilait intérieurement. C'était... génial. Même si ça n'était pas celui de son univers, voir Broly souffrir autant la soulageait.
— Tu... n'y es pas allé de main morte. Végéta est vraiment idiot s'il pense pouvoir te battre aussi facilement.
— Je serais sûrement pas aussi extrême contre lui.
— Oui, sans doute. Mais, et ton bras ? Tu as utilisé les dragon balls ?
— Non, une invention à Bulma, la compagne de Végéta. Grâce à la technologie de Freezer, elle à fait plein de truc pour soigner, y compris pour faire repousser un bras. Mais ça à pris un an.
— D'accord, je comprends. » Elle se souvint soudainement de quelque chose. « Oh, maman, si tu peux voir à nouveau le passé, qui c'était, cet irulien que j'ai rencontré ? C'est lui qui m'a dit que Baddack t'avais tué.
— En fait, c'est le cas.
— Quoi ?
— Mais ce n'est pas aussi simple. Laisse-moi t'expliquer.

Après une autre séance de visions du passé, Lichti avait compris, et tous les autres aussi, car ils ne savaient pas ce qui s'était passé.
— Je comprends. Et l'autre, donc, c'est qui ?
— Je pensais qu'il était avec vous. Dit Piccolo.
— Non, il est d'ici. » Une image se forma dans la boule de cristal de l'oracle. « Voilà. Il s'appelle... Gorrum. Et c'est... Non ! C'est un serviteur de Saulon.
— Qui est Saulon ? Demanda Baddack.
— Le pire mégalomane qui puisse exister. Nous l’avons vaincu difficilement dans notre univers, et ici, il semble avoir tué la moitié d'entre nous avant de succomber.
— Attendez ! Gorrum, c'est le type qui a libéré Bojack ! S'écria Kakarotto.
— Qu'est-ce qu'il veut ?
— Je pense... Qu'il cherche les dragon balls.
— Dans ce cas, il n'y a aucun risque. » Dit Dendé. « Baddack les a utilisées il y a une semaine. Il faudra attendre un an avant qu'elles ne soient actives de nouveau.
Au même moment, le ciel devint intégralement noir.
— Je crains qu'il n'ai résolu le problème. Dit Piccolo.


À suivre...>>>
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar vicabouc le Dim Déc 14, 2014 21:14

Qu'est-ce qui se passe de l'autre coté ? La réponse est ICI
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Slyver-Bejita le Dim Déc 21, 2014 3:37

Très bon chapitre!! :)
(Petite erreur tu as à un moment remplacé un pas par un "par". La phrase était moins compréhensible.) Sinon ça allait!! :D
"L'homme raisonable s'adapte au monde et l'homme deraisonable fait en sorte que le monde s'adapte à lui. Donc tout changement viens de l'homme déraisonable." À méditer...
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Rebel O'Conner le Dim Fév 22, 2015 20:36

— Chapitre spécial : Paternité X Lichti la cinquième survivante, quatrième partie

Cinq milliards d'années auparavant.
Daï Kaioshin, un homme mince, au crâne chauve et au visage triangulaire, observait, de loin, le système stellaire contaminé, en bordure de la galaxie, dans le bras nord de celle-ci.
— C'est pas beau à voir, hein ? Dit une voix derrière lui. C'était un homme de petite taille mais large d'épaules, au visage carré et aux cheveux ras.
— Bonjour, Ouest. Non, en effet. As-tu mené ta mission à bien ?
— Oui, pas de problème. Tous les systèmes ensemencés de la zone ouest ont été détruits et relancés. Ils évolueront à nouveau, et j'ai insufflé un peu d'énergie vitale, comme prévu. Ils pourront porter de la vie dans quelques milliards d'années.
Le chef des kaioshins reprit son observation. Toute vie avait disparu de ce système, à cause de l'immense créature qui y avait tissé sa toile, une toile de fils d'énergie de plusieurs dizaines de parsec de diamètre.
Elle trônait au centre, entre les deux étoile blanches, absorbant leur énergie, et grossissant sans fin.
Il la regarda avec dégoût. On aurait dit une araignée à neuf pattes, de loin. Mais il l'avait vu de près, et en vérité, hormis sa forme globale, elle ne ressemblait à rien que les Dieux aient pu créer, et pour cause. Elle était la dernière survivante des créatures du chaos primordial que les Créateurs avaient combattus, dix milliards d'années auparavant, et que les dix générations suivantes de Kaioshin avaient exterminé.
Elle était la dernière en vie, et Daï Kaioshin regrettait de ne pas s'en être occupé plus tôt.
Elle était maintenant de la taille d'une géante gazeuse, bien trop grosse et puissante pour être tuée. Et elle grossissait de façon exponentielle en se nourrissant de l'énergie des deux étoiles. Si rien n'était fait, dans un million d'années, l'univers entier aura été absorbé par cette chose.
Le bruit d'une dispute le tira de ses réflexions.
— Tu as fait n'importe quoi, Est.
— Ça va, Sud, j'ai dit que je suis désolé.
—Que se passe-t-il, vous deux ?
Le Kaioshin du Sud, une grande femme balafrée à l'allure athlétique et aux cheveux courts, désigna son collègue, un homme de taille moyenne, avec une crête de cheveux et une moustache maniérée.
— Est a insufflé beaucoup trop d'énergie dans le dernier système, si de la vie apparaît, elle sera beaucoup trop puissante. Pire, je suis même sûr que si des êtres intelligents apparaissent un jour, les plus puissants d'entre eux pourront atteindre le statut divin par leurs propres moyens.
— Tu exagères. Il y a une chance sur un million que ça arrive.
— Suffit ! » Dit Dai Kaioshin d'une voix ferme. « Les générations suivantes surveilleront ce système dans l'avenir, mais pour l'instant, nous devons faire en sorte que l'univers ait un avenir, justement.
— Oui, excusez-nous.
— Bon, il ne reste plus que Nord.
— Je suis là.
Tous se retournèrent. Kaioshin du nord était le plus discret d'entre eux. D'apparence juvénile, il semblait constamment timide et emprunté. Voûté, ses longs cheveux lui cachait les yeux, mais il ne regardait que rarement ses interlocuteurs en face de toutes façons.
— La comète arrive, je l'ai chargé en énergie vitale.
— Bien, attendons que le piège se referme, alors.
Ils attendirent des semaines, des mois, des années pour que tout s’enchaîne. Mais pour des êtres éternels, ce n'était rien.
La comète toucha finalement la toile au large de la quatrième planète, jadis doté d'une vie luxuriante et désormais vide, et y resta accroché. L'énergie se diffusa lentement dans les fils, mais ils n'étaient pas capables de transférer toute l'énergie, comme prévu, et le monstre se déplaça pour se nourrir directement.
Il lui fallut des semaines pour atteindre l'orbite, et quand les kaioshins eurent la certitude qu'elle ne pourrait pas faire demi-tour à temps, ils s'attaquèrent aux soleils.
Utilisant leur puissance divine, ils les rapprochèrent, changèrent leurs masses, leurs gravités, leur énergie.
Le monstre senti le danger et tenta de retourner défendre son nid, mais il était trop tard.
Il n'y avait plus qu'une super-nova qui explosa.
Elle tenta de s'accrocher à ses fils, mais la puissance brute était trop grande et elle fut blessée.
Longtemps après, alors que le système n'était plus que poussière, les kaioshins revinrent.
La taille de la créature avait diminuée de moitié. Elle était toujours trop grosse pour être détruite, mais elle pouvait être bannie.
Ils l'encerclèrent, formant un double tétraèdre d'énergie, et créèrent un demi-plan carcéral.
— Il n'y aura rien pour qu'elle se nourrisse, elle finira par disparaître. Dit le chef des kaioshins.
— Ça prendra du temps. Dit Est.
— Des milliards d'années, oui. Dit Daï.
— Et si elle se libérait ?Demanda Nord.
— Elle ne peut pas sortir, il n'y a rien d'autre que l'entropie dans sa prison.
— Et si quelqu'un ouvre une brèche pour la faire sortir ? S'inquiéta Sud.
— C'est possible ? Demanda Ouest.
— Oui, si un portail dimensionnel suffisamment puissant est ouvert à l'endroit du demi-plan et le vise précisément. Les probabilités sont quasi-nulles.
— Mais pas nulles. Un système se formera bien un jour, et si des êtres... Commença Sud
— Un système se formera, oui, mais nous n'y insuffleront pas d'énergie. Si la vie apparaît, elle sera faible, il n'y aura aucune chance qu'un hypothétique être réussisse créer un portail qui demanderait l'énergie d'un dieu pour s'ouvrir.
— Oui. » Dit Est. « Une chance sur un million pour que ça arrive. Rentrons, maintenant.
Et ils repartirent pour le kaioshinkai.


De nos jours.
Bulma entendit le bruit caractéristique de l'aura de vol des saiyans.
— Déjà de retour ? Alors, c'était quoi ?
— Rien. Répondit Végéta d'un ton cassant.
Bulma préféra ne rien dire, ça s'était mal passé, vraisemblablement.
Elle pensait que Végéta retournerait à la salle d’entraînement, comme d'habitude, mais elle fut surprise en le voyant aller vers la chambre de Trunks.
Elle s'approcha de la porte sans faire trop de bruit. Elle l'entendait parler à son fils. Étonnant.
Elle plaqua l'oreille sur la porte, le plus silencieusement possible. Elle n'entendit que la fin d'une phrase qui la laissa perplexe.
— … beaucoup de défauts, mais je n'aurais pas celui-là, je le jure sur mon honneur.
Si Végéta avait l'intention de dire autre chose, ça n'arriva pas, car l'alarme sonna.
Bulma eu juste le temps de s'écarter de la porte avant que son compagnon ne sorte.
— Qu'est-ce qui se passe ?
— C'est l'alarme des dragon balls. Quelqu'un les a rassemblées.
— Mais cet idiot de Kakarotto les a utilisées y a pas une semaine.
— Oui, c'est impossible. Sauf...
— Sauf quoi ?
— Sauf si Dendé les a rechargées. Je vais voir.
Elle alla dans le labo et alluma un écran sur le mur. Après quelques manipulations, une carte du monde apparu.
— Au milieu du désert continental. Au même endroit que la dernière fois.
— Hmm. Et ils sont encore au palais, je les sens.
Par la fenêtre, ils virent le ciel devenir noir.
— C'est louche. Je vais voir ça.
— Végéta, attends !
Mais il était trop tard, le prince était déjà loin.
Mais la curiosité titillait Bulma. D'un pas rapide, elle se dirigea vers le hangar.
— Maman, tu peux surveiller Trunks, s'il te plaît ?


Les ténèbres.
La faim.
Rien d'autre depuis des éons.
Rien d'autre qu'attendre une mort inéluctable.
Son énergie s’étiolait lentement dans le néant.
Un point de lumière.
Minuscule.
Mais un point de lumière quand même.
Elle tendit une patte de la taille d'une chaîne de montagne.
Top petit.
Impossible de passer.
Au bout de sa patte, la chair se boursoufla. Elle créa un avatar d'Elle-même, assez petit pour passer le trou.
VA !

Senteurs !
Délices !
Vie !
Vie !
VIE !

Manger, enfin !
Elle cracha des fils d'énergie par la bouche. Pas comme les fils fin et coupants qu'utilisent les iruliens, mais d'épais fils gluants.
Ils capturèrent les trois créatures inférieures qui se tenaient devant Elle. Elles semblaient nourrissantes, et Elle absorba tout ce qu'Elle put, dans une boulimie sans limite, engendrée par des milliards d'années de privation.
Les deux créatures les plus nourrissantes s’échappèrent de sa toile, mais qu'importe. La première suffira pour commencer.
Elle se délecta de sa force vitale jusqu’à la dernière parcelle.
Si Bon. Si Longtemps.

Le contact se rompit,. Dans le néant, Elle regarda le trou. Elle n'était plus de l'autre côté, seulement ici.
Impensable !
Les créatures inférieures étaient dangereuses, finalement. Et le trou trop petit pour qu'elle puisse passer. En un seul morceau, du moins.
Sur l'ensemble de son corps, la chair se mit à bouillonner, des cloques se formèrent avant de prendre sa forme.
Une horrible nuée d'araignée fonça le long de sa patte vers le portail.

Ses avatars sortaient par dizaines par le passage.
Tant de vie !
Une en particulier brillait comme un phare, attirant ses regards.
Elle lança ses toiles pour la capturer, mais elle s'échappait.
Pire, elle détruisait ses morceaux.
D'autres arrivèrent, aussi brillantes que la première.
Le passage se ferma.
NON !
Mais heureusement, il était seulement bloqué, Elle sentait encore ce qui se trouvait derrière, et contrôlait ses morceaux.
Fuir !
Se disperser !
Survivre ! À tout prix.


Elle absorba l'essence de créatures inférieures qu'elle rencontra, mais elles n'étaient pas aussi appétissantes que les autres.
Quand Elle se sera nourrit suffisamment, elle reviendra vers les autres.

Mais tout ne se passait pas comme prévu. Les créatures se mirent à l'attaquer de toutes part, et Elle fut forcée de se regrouper.

Fort, mais pas assez !

Elle fusionna certains morceaux, par quatre ou cinq.
Les coups des créatures ne lui faisait plus autant de dégât. Et Elle pouvait avaler certaines de ces attaques.
Mais elles étaient agiles, et évitaient toujours ses toiles.

Elle se concentra sur une seule de ces créatures, une des plus puissantes. Si elle la dévorait, le gain de pouvoir lui permettrait de venir plus facilement à bout des autres.

QUOI !

La partie d'Elle qui s'attaquait à sa cible désignée fut tranchée en deux, net. Puis chacune des parties fut tranchée à nouveau avant d'être désintégrée.

Elle repéra ce qui avait causé ça.
Un être si faible, comment est-ce possible ?
Elle envoya une toile vers lui. Une autre créature puissante la désintégra, mais Elle Encercla ces deux là avec plusieurs avatars et lança sa toile de tout les côtés. Mais elle fut elle aussi détruite, par quelque chose qu'elle ne sentait pas.

Elle voyait une créature semblable aux autres, mais sans fumet, sans saveur. Elle l'attrapa dans sa toile, mais c'était une enveloppe vide. Pourtant, elle était forte.

Et les autres commençaient à La couper. Il fallait qu'Elle fasse quelque chose.

Tant pis. Si Elle ne pouvait pas absorber la vie de ceux-là, Elle allait étendre sa toile et se nourrir du reste, même si c'était affreusement faible.

Elle commença a se repaître de la vie végétale et animale des alentours. Mais ça n'était pas suffisant, et les créatures inférieures la faisaient régresser.

Soudain, Elle sentit quelque chose. Un frémissement. Le passage changeait. Elle allait se retrouver prisonnière de nouveau.

NON !

Elle n'avait plus d'énergie, mais Elle pouvait encore faire quelque chose.
Dans sa prison, consumant sa chair issue du Chaos primordial, elle se remplit de force à mesure que sa masse diminuait. Ses yeux brillèrent et Elle projeta tout ce qu'elle avait à travers le portail.

Ça ne passait pas, mais l'écran allait cèder, aucun doute.
Il céda. Mais par Elle. Un immense rayon d'énergie contra le sien. Sa taille avait trop diminué pour qu'Elle l'absorbe. Elle transféra toutes ses pensées vers ses morceaux à l'extérieur.

Elle se retrouva sur la planète. Il n'y avait plus qu'une petite partie d'Elle dans la prison. Et Elle était trop faible pour lutter mais elle avait enfin les idées claires.
Mais les créatures ne bougeaient plus, leurs énergies étaient un peu plus faibles.
Il fallait en profiter. Les attaquer comme ça n'apporterait rien, alors Elle rassembla tout ce qui restait d'Elle.
Oui, Voilà !
Elle n'avait pas sa puissance passée, mais Elle ne craignait plus les créatures inférieures. Elle allait dévorer cette planète d'un seul coup, et ensuite, elle sortira de sa prison.

Elle ouvrit sa gueule difforme, bardée d’innombrables mandibules.
Et se figea.

Une minuscule partie d'Elle-même pouvait encore percevoir ce qui se passait. Son corps était paralysé. Non, pas paralysé, figé dans le temps.

Comment des créatures inférieures pouvaient faire ça ? Même les descendants du deuxième ne le pouvaient pas.
Impuissante, elle sentit les inférieurs se rassembler autour d'Elle. Certain dans sa prison, d'autres à l'extérieur. Leurs puissances étaient énormes, et Elle ne pouvait pas s'en nourrir. Pas dans cette situation. Elle recommença à faire fondre sa masse pour les détruire, mais elle n'eu pas le temps de le faire.

Non, je suis la Première. Je suis Celle qui doit détruire l'Univers. Je ne peux pas disparaître !
Non ! NON ! NON !


Le saiyans regardaient l'endroit ou se draissait l'araignée collossale.
C'était fini, ils avait gagné.
Alors que les autres retournaient vers le portail, Baddack regarda le paysage désolé.
— pas tout à fait. Murmura-t-il.

Piccolo se concentra sur le portail. Il entendit, ou plutôt, il sentit, Alawen lui dire qu'ils étaient arrivés à bon port.
Usant de son énergie, il referma le passage, du moins de ce côté.
— Voilà, c'est fini.
Végéta s'approcha de Bulma et regarda Mary.
— Toi !
La cyborg eu un mouvement de recul.
— Végéta... commença Bulma. Mais le prince se contenta d'incliner légèrement la tête avant de parler.
— Merci.
Bulma s'avança vers lui, un peu surprise.
— Bon, tu me ramènes ? Mon avion est détruit.
— Une seconde, Bulma. » Cria Kakarotto en s'approchant. « Tu crois que tu pourrais faire une machine, je sais pas, qui permettrait de voyager entre les univers ? J'aurais bien aimé me battre contre Lichti, comme ça, en match amical.
— Non mais tu plaisantes ? Tu as vu ces machins ?
— Mais c'était juste une coïncidence, non ?
— Non ! Si il existe un nombre infini d'univers, comme les spécialistes le pensent, alors il existe aussi un nombre infini de ces choses ! Alors si tu veux savoir quand je fabriquerais quelque chose pour voyager entre les univers, la réponse est : Jamais !
— Mais, Bulma...
— JA-MAIS !
— T'as entendu, Kakarotto ? La réponse est non. On y va, Bulma. Dit Végéta en prenant dans ses bras une Bulma écarlate.
— Bon, tant pis. Dit Kakarotto après l'envol de Végéta.
— Ou est papa ? » Demanda Raditz. « J'imagine qu'il aurait aimé les revoir aussi.

Pas fini !
Encore là !
Faible.
Mais en vie.
Pas tout perdu.
Forts, mais mortels.
Patience.
Quand ils seront partis, nous pour...


Baddack écrasa soigneusement du pied la petite araignée qu'il avait remarquée dans les pierres.
Il observa les alentours.
Aucun de ses sens ne détectaient de risque, désormais.
— Bien.
Il repartit vers les autres.


Quelques heures plus tard.
— Bien, j'ai les dossiers. Je comprends ton inquiétude, jeune Dieu de la Terre. C'est déjà incroyable qu'une âme arrive à s’échapper de l'enfer.
— Oui, et il n'est n'est pas exclu que ça recommence. C'est pourquoi je sollicite que les âmes des dénommés Gorrum et Saulon soient purifiées de façon rapide, roi Enma.
— Hmmm ! Oui, c'est plus prudent. Je les ferais envoyer dans la zone de traitement spéciale, ça devrait être fait en quelques mois.
— Merci, roi Enma.
— En tout cas, vous cumulez les problèmes, sur Terre.
— J'espère que c'est fini. En tout cas, au revoir, et encore merci. Dit Dendé en repartant sur Terre.
— Voilà une bonne chose de faite. Dit-il, de retour au palais. « Mais j'espère que les problèmes sont finis. » Pensa-t-il.

Un mois après.

— Pourquoi vouliez-vous me voir, saiyan ?
Baddack regarda l'homme en face de lui. Les discussions avec le conseil d'Irul n'avaient pas été faciles, mais leur résurrection les avait cependant choqués et son explication avait été acceptée. Ils avaient lancé une enquête sur le dénommé Alastar. C'était suffisant.
— Vous êtes le dernier ami d'Alawen en vie, à ce qu'on m'a dit.
— Pff ! Alawen...
Baddack regarda l'homme nommé Mairry Tirith. Il aurait du être jeune, selon les critères de sa race, qui avait une grande longévité. Mais il était maigre, voûte, les yeux cernés. Il ressemblait à un vieillard au regard vide.
— Quoi ?
— C'est à cause d'elle que tout ça est arrivé.
— elle n'était pas responsable.
— Oui, oui, je sais, Saulon la manipulait, et patati, et patata. Mais le résulta est le même. Avez vous seulement une idée de ce qu'on peut ressentir quand on a perdu ses amis et la femme qu'on aime à cause d'une seule et même personne ?
— Oui, je sais exactement ce qu'on ressent.
— Oui mais vous, vous étiez des... Il ne finit pas sa phrase, l'air gêné.
— Des barbares ? Des assassins ? Des monstres ?
— Je ne voulais pas...
— Non, je sais bien ce que tout le monde pense des saiyans, et c'est vrai, enfin, ça l'était. J'espère. C'est aussi pour ça que j'aurais voulu rencontrer Lichti.
— Comment avez-vous entendu parler d'elle ?
— Par hasard, dans des circonstances... étranges. 
Baddack se disait qu'il ne valait mieux pas lui dire qu'il l'avait rencontré un double d'une autre dimension.
— c'est à dire ? Demanda Mairry d'un ton méfiant.
— Dendé nous a raconté quand vous êtes allé sur Namek. Improvisa le saiyan.
— Ah ! » Fit l'iruien. Son intérêt semblait éteint. « Alawen disait que les saiyans étaient contrôlés dès la naissance grâce aux couveuses de Freezer.
Baddack resta bouche bée en entendant ça. Il n'en croyait pas ses oreilles, mais cet homme semblait on ne peut plus sincère, bien qu'apathique. Bulma était-elle au courant ? Et Végéta ? Il se promit d'aller les voir dès son retour.
Il se leva.
— bon, je vais vous laisser, merci de m'avoir reçu. »
Mairry fit un geste vague de la main, qui pouvait dire tout et n'importe quoi.
« Écoutez, je suis sûrement pas le mieux placé pour dire ça, mais vous ne devriez pas vous laisser aller comme ça. Je ne crois pas que si vous vous laissez mourir, vous irez au paradis.
— Quelle importance, elle n'y est pas.
— Comment ? Impossible !
— J'ai peu de souvenirs du mois passé là-bas, mais je sais que je l'ai cherché partout, en vain. Alawen a dû détruire son âme. Ou l'emprisonner. Quelle importance si je vais en enfer, maintenant. L'univers n'a plus aucun intérêt.
— Mais... Attendez ! Vous n'êtes pas un guerrier, pas vrai ?
— J'était professeur. Je m'inquiétais toujours quand Lichti partait en mission, mais maintenant... Ses yeux s'embuèrent.
— Non, ce que je veux dire, c'est que Lichti doit être au paradis des combattants. C'est pour ça que vous ne l'avez pas vue.
Mairry le regarda.
— Vous voulez faire croire ça à qui ?
— Il a raison.
— Lichti ? Où es-tu ? Demanda l'irulien qui sembla avoir repris un peu de vitalité.
— Au paradis des combattants comme l'a dit, euh... Bardock ?
— Baddack. Corrigea le saiyan.
— Oui, je vous parle avec l'aide de Kaio.
— Le Kaio du la galaxie sud pour être plus précis, Irul est sous ma protection.
Précisa le dieu.
— Attendez. Interrompit Baddack confus. Pourquoi es tu toujours morte ? Je pensais que tu étais revenue à la vie en même temps que le reste d'Irul. J'ai... J'ai dû faire une erreur lors de la formulation de mon vœu.
— Oh... Je crois que je peux te fournir une explication. Récemment, j'ai senti une force inconnue qui a essayé de m'arracher d'ici. J'ai mobilisé toute ma puissance pour résister et je suis donc restée au paradis. C'était donc les dragons balls...
— Je comprends à présent, Shenron ne pouvait pas lutter contre ta puissance. Je vais aller tout de suite sur Namek. Ne résiste pas cette fois-ci.
— Non. Dit la saiyanne.
Mairry était choqué, ses lèvres tremblaient.
— Mais, mais, pourquoi ?
On entendit des sanglots.
— Je suis désolée d'être aussi cruelle. J'ai vu que tu n'allais pas bien et c'est pour ça que je t'ai appelé mais... Ma mère est dans un état pire que le tien. Bien qu'elle ait été admise au paradis, elle se sent toujours responsable de ce qui s'est passé. Je dois rester près d'elle pour veiller sur elle.
— Non ! Pourquoi reste tu auprès de ce monstre ?
— Je t'interdis de la haïr ! Hurla Lichti.
Il y eut de nouveaux sanglots.
— Si tu dois détester quelqu'un, reporte ta haine sur Saulon. C'est à cause de lui que tout est arrivé. Déteste-moi pour mon égoïsme mais ne hait pas ma mère. S'il te plais.
— Lichti, je t'aime. Je ne me vois pas vivre sans toi.
— Moi aussi je t'aime mais s'il te plaît, continue à vivre. Je sais que tout te paraît sombre, mais je sais que tu vivras d'autres moments heureux. Aie plein d'amis, une femme, des enfants. Tu es quelqu'un de formidable. Je sais que tu trouveras quelqu'un d'autre. Je ne te demande qu'une seule chose : garde une petite place dans ton cœur pour moi.
— Lichti, je... Lichti ? Lichti !
Mairry pleura. Ne sachant quoi dire, Baddack mit une main sur l'épaule de l'irulien pour le réconforter. Il fut secoué par une vision. Le saiyan sourit. Il avait vu le futur de Mairry. Il vivra vieux et mourra entouré de nombre d'amis. Cependant, l'irulien restera veuf jusqu'à la fin de ses jours.
— Il vaut mieux que Lichti ne sache jamais ce dernier détail. Pensa le saiyan.


Fin du crossover.


À suivre ...>>>

Prochainement dans Paternité
Spoiler
Nappa pris une grande bouffée d'air et arracha son masque à oxygène.
Il plaqua violemment Raditz au sol pour l’empêcher de convulser et le frappa au ventre pour expulser l'air vicié de ses poumons avant de lui fixer le masque.
Il se retourna vers leur adversaire, qui n'avait pas bougé.
— Je t'ai laissé faire parce qu'en un sens, je vous suis redevable.
Nappa se calma. Il pouvait retenir sa respiration pendant dix minutes, ce qui était suffisant pour battre son adversaire, bien plus faible que lui, même dans ces conditions extrêmes.
Mais il déchanta quand son adversaire se transforma, sa puissance décuplant.
— Vous, les saiyans, en tuant mon père et mon imbécile de frère, vous avez fait de moi, Cooler, le chef des démons du froid !
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar vicabouc le Dim Fév 22, 2015 20:37

Pour voir ce qu'il passe de l'autre coté du portail c'est ICI
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Rebel O'Conner le Lun Juil 13, 2015 21:08

bien, après une longue période d'autre chose à faire, voici la suite.( si y'a encore quelqu'un qui lit cette fic)

- Chapitre 98 : Mission.

Raditz ouvrit les yeux. Il émergea de la torpeur. Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas connu cette sensation.
Il sortit du caisson d'hibernation et vit que Nappa faisait de même.
— Ça te dérange si je me lave en premier ? Dit Le colosse.
— Aucun, problème, je vais en profiter pour vérifier la trajectoire.
Il approcha des commandes du vaisseau, le tout dernier modèle mis au point par Bulma.
Il devait admettre qu'il était impressionné. Bien que basé sur la technologie de Freezer, ce modèle était cent fois plus performant. Bulma était un génie de niveau galactique.
Il regarda les écrans. L’obscurité était angoissante. Ce vaisseau était capable de traverser la galaxie en trois jours à peine, et le voyage avait duré un mois et demi. La voie lactée était loin derrière, et aucune étoile n'éclairait les alentours, à par celle, grossissant au centre de l'écran principal, qui était le but de leur voyage.

Il se souvint comment tout avait commencé, deux mois auparavant.

— Garde du corps ? Moi ? Pour toi ?
— Oui, c'est ce que j'ai dit.
— Nappa, soyons sérieux, si tu devais affronter quelqu'un de dangereux pour toi, il serait dangereux pour moi aussi, et même dangereux pour l'univers entier.
— C'est pas une question de danger, c'est une question de standing. Un type dans ma position doit avoir un garde du corps. T'auras juste à rester derrière moi l'air sérieux, c'est tout. Pas dur et bien payé.
— Et tu ne peux pas engager des vrais, tout simplement ?
— Me faut quand même quelqu'un d'assez fort. Écoute, tu m'as dis l'autre jour que tu vas avoir un gamin, non ? Et tu fais quoi, maintenant ? Tu travailles dans une casse auto. OK, tu fais des économies, puisque tu fais ça à mains nues, mais ta copine va devoir arrêter de travailler.
— C'est pas pour tout de suite, elle en est au deuxième mois.
— Pas une raison de pas commencer à faire du fric maintenant. Vois ça comme un extra. Y'a qu'à toi que je peux demander.
Raditz soupira.
— Bon, pourquoi pas. C'est d'accord. Donc, c'est pour une réunion diplomatique, c'est ça ?
— Ouais, avec Bulma. Elle m'a demandé de venir, je suis son partenaire commercial, tu vois.
— Et à propos de quoi ?
— Alors là, prépare-toi à une surprise...

Raditz était surpris, en effet.
Debout derrière Nappa, il observait la salle.
Neuf personnes étaient assises autour de la table.
Bulma et Nappa, évidement, ainsi que Mogul, propriétaire du plus grand groupe médiatique mondial. Il y avait aussi le roi du monde, Médor IV, et les quatre gouverneurs des régions mondiales.
Mais le plus incroyable était le dernier personnage.
Un diplomate shamling, de la confédération galactique.
Semblable à une méduse terrienne, il flottait devant la table.
Trois guerriers de races indéterminés se tenait derrière lui, et Raditz estimait leurs forces bien supérieures à l'élite de la défunte armée de Freezer.
Mais leur conversation était encore plus surprenante. Il ne pouvait qu'admirer l'aplomb de Bulma.
— Donc, mademoiselle Brief, Vous estimez que la Terre peut prétendre à entrer dans, comment dites-vous ? La confédération galactique.
— Oui votre majesté. Les progrès de mon entreprise dans le domaine de la recherche spatiale font que l'humanité est prête à prendre la route des étoiles.
— Je comprend, mais je dois admettre que j'aurais aimé être averti avant que vous n'invitiez son excellence. Dit le roi en désignant le diplomate extra terrestre.
— Roi Médor, sèra Brief ne nous a pas contacté. Intervint l'alien. Nos services ont fait le premier pas.
— Avec tout le respect que je lui dois, pourquoi elle, votre excellence ?
— Tout d'abords parce qu'elle est à la tête de la société qui gère la conquête spatiale de votre planète. Et ensuite... il se tourna vers Bulma. … parce qu'elle a déjà rencontré un membre de la patrouille intergalactique.
Toutes les personnes autour de la table en furent surprises.
— Ça c'est un scoop. S'exclama Mogul.
— Il faut relativiser, je n'avais que cinq ans à l'époque. C'est surtout ma sœur qui a été en contact avec Jaco.
— Oui, le patrouilleur Jaco. Il avait dit que la mission était un succès, d’ailleurs, alors qu'à première vue, c'était un échec.
— Je vous demande pardon ?
— Jaco devait éliminer un membre d'une race extrêmement belliqueuse qui avait été envoyé sur la Terre dans le but de la conquérir.
— Ha, il a sauvé la Terre, alors. Dit le roi.
— Non. Son rapport disait que le vaisseau n'était pas arrivé sur Terre.
— Une chance.
— Pourtant, son rapport doit être faux, puisque deux membres de cette race sont ici, autour de cette table.
Raditz eu un choc en entendant ça. Nappa ne se sentit pas à l'aise non plus.
Bulma les regarda un bref instant, et tout les humains de la pièce suivirent son regard.
Elle reporta son attention sur l'ambassadeur.
— Mais la Terre n'a pas été conquise, excellence, car les saiyans sont bien moins belliqueux que vous ne le pensez.
— Vraiment ? Et à part le fait qu'ils ne détruisent pas tout, qu'avez vous comme preuves ?
— Ceci. Elle posa un dossier électronique sur la table. Les archives de Freezer prouvent qu'il utilisait une technologie de lavage de cerveaux pour faire des races conquises des machines à tuer. Sans lui, les saiyans auraient évolué normalement, et serait devenu une race parfaitement civilisée en quelques milliers d'années.
— Hé, on est pas des primitifs non plus. S’exclama Nappa. Et c'est quoi cette histoire de lavage de cerveaux ?
— Nappa, vous viviez à l'age de pierre quand Freezer est arrivé, il aurait fallu au moins dix mille ans avant que votre première société urbaine apparaisse. Au moins. Et d'ailleurs, c'est pour ça que Freezer vous a obliger à mettre vos nouveaux nés dans des incubateurs, soit-disant pour leur donner une instruction complète, ce qui était le cas, mais aussi pour vous obliger à lui obéir.
Le silence s’installa sur la table. L’ambassadeur le brisa par une question.
— Comment avez vous eu ces informations? Même nous, nous n'avons jamais réussi à pirater les bases de données de Freezer ?
— Qui est Freezer ? Demanda Mogul ?
— Un conquérant galactique redouté de tous. Il rase planètes sur planètes. Mais il n'a plus fait parler de lui depuis six ans.
— Et pour cause, il est mort il y a six ans. Tué par des saiyans alors qu'il venait détruire la Terre. C'est ainsi que j'ai pu récupérer les données de son vaisseau.

Bulma raconta tout ce qui était arrivé depuis sa rencontre avec Kakarotto. Le roi fuit particulièrement surpris que le vainqueur de Piccolo ai été un saiyan, et plus encore que Piccolo lui même ait été un extra terrestre. Elle mit cependant sous silence les responsabilité de Nappa et Végéta sur la destruction de la ville du sud.

— Je vois. Dit l'ambassadeur. Donc, Freezer est mort.
— Vous voyez, c'est une bonne chose.
— Je n'en suis pas si sûr. Nous pouvons nous attendre à des représailles massives de son peuple. Un seul nihilien pouvait faire des dégats considérables.
— Nihilien ? Je n'ai jamais trouvé le nom de la race de Freezer. Donc c'est nihilien.
— Non. Il n'ont pas de nom par eux même, c'est nous qui les nommons ainsi. Bien qu'officieusement, ils soient appeléles démons du froid. Mais là n'est pas la question.
— Quelles est-elle ? Demanda le roi ?
— La question est de savoir sir les saiyans sont vraiment dignes de confiance.
— S'il ont sauvé la Terre, alors nous leur en sommes redevable.
— Alors voilà ce que je vous propose. Négociez un traité de paix avec les nihiliens, et non seulement les saiyans seront lavés des tous soupçons, mais la Terre entrera dans la confrérie galactique par la grande porte.


Et c'est ainsi que Raditz et Nappa étaient partis vers la planète natale de Freezer. Baddack et Kakarotto, en tant que meurtriers de Freezer, ne pouvaient pas y aller. Quant à Végéta, ça avait paru une mauvaise idée avant même de le proposer. Mais au moins, ils avaient l'explication des son attitude des dernier mois. Apprendre que son père avait volontairement vendu le peuple saiyan à Freezer n'avait pas dû lui plaire.

La planète était maintenant à porté de communication, et Raditz envoya un message sur toutes les ondes possible.
— Salutations. Nous sommes en mission diplomatique et voulons rencontrer le gouvernement de votre planète. Notre vaisseau n'est pas armé. Nous venons en paix et sollicitons un sauf-conduit.
Il passa le message en boucle puis regarda les données du scanner planétaire.
— Oh bon sang.
— Quoi ? Demanda Nappa qui sortait juste de la douche.
— Regarde un peu cette planète. Pas étonnant que Freezer ait été si fort. Je ne suis même pas sûr qu'on puisse tenir nous même. Je te laisse lire, je vais me doucher.
Nappa regarda l'écran et du admettre que Raditz n'avait pas tord.
La planète faisait deux cent fois la taille de la Terre. La gravité à sa surface était de 327 G. Pas de trace d'oxygène dans l'atmosphère, mais une saturation de composés d’ammoniaque. Période de révolution égale à 42 années terriennes. Période de rotation nulle, elle présentait toujours la même face à une étoile géante mille fois plus massive que le soleil. Température moyenne du coté éclairé : 458 C. température moyenne coté sombre : -175 C. vitesse des vents dans la zone crépusculaire : 500 km/h. De plus, l'atmosphère ne stoppait que très peu les radiations létales de l'étoile.
— Ça va pas être facile. Même Végéta supporterait pas cette gravité sans se transformer.
— Je le pense aussi. Nous allons devoir y aller en super-saiyans.
— Pas top pour une mission diplomatique.
— Tu ne t'es pas entrainer à te transformer sans être énervé ?
— Heu... pas trop.
— Je m'occuperai de la discussion, alors.
La radio grésilla.
— Nous avons reçu votre demande, intrus. Nous acceptons de vous écouter, dirigez vous vers le signal pour atterrir.
— Bon, c'est parti. Dit Nappa.

Le vaisseau rond de la Capsule Corp. Se posa près de ce qui ressemblait à un spatioport. Raditz et Nappa avait mis leurs combinaisons. Fines et légères, elles étaient solides et les protégeraient du froid, des radiations et de l'atmosphère empoisonnée. Il s’étaient aussi transformés pour supporter la gravité.
Mais le spatioport, situé dans la bordure crépusculaire, était presque accueillant. Vents de 150 km/h, température -20 C, c'était supportable.
Le vaisseau gémit en se posant, sa structure, même conçu avec un moteur a-gravitationnel, supportait mal l'augmentation de son poids. Raditz le remis dans sa capsule et mis la capsule dans une de ses sacoches de ceinture.
L'esplanade semblait déserte, mais les deux saiyans sentaient facilement de nombreuse forces aux alentours. Des forces puissantes.
Un seul être était visible et semblait les attendre.
Il était nu et avait la peau lisse, et rappelait Freezer dans sa forme finale, bien que sa peau fusse noire et qu'il fut un peu plus petit. Par contre, il n’avait pas de queue, et avait quatre bras.
Sa puissance était correcte, mais les saiyans, et même les terriens, avaient fait de tels progrès qu'il était difficile du l'estimer par rapport à Freezer, surtout après tout ce temps.
Une puissance à mi chemin entre Ginue et Freezer première forme, estima Raditz.
Quand il parla, sa voix fut aiguë, presque juvénile.
— Quel est le motif de votre intrusion, parlez.
Raditz compris que ça n'allait pas être facile.
— Je vous salue. Je suis Raditz et voici Nappa. Nous sommes mandaté par la confédération galactique pour une missions diplomatique, nous venons négociez un traité de paix.
L'être eu un petit rire.
— Seul le clan du froid est à même de négocier un traité avec les races inférieures. Vous auriez mieux fait de voir directement le chef de clan Cold.
— Cold est mort. Et Freezer aussi. Dit Nappa.
L'alien à la peau noire resta stoïque.
— Vraiment ? Ça mérite une vérification. Restez ici.
Puis il s'éloigna vers un batiment.
— Ce type m'énerve. Dit Nappa.
— Il est arrogant, c'est vrai. Mais connaissant Freezer, Il ne fallait pas s'attendre à autre chose. Reste calme, surtout.
— J'vais essayer.
L'alien revint quelques minutes après.
— Le conseil accepte de vous rencontrer. Suivez moi. Oh, et mon nom est Umbra, du clan des ténèbres.
Il s'envola, et les saiyans partirent après lui.
Umbra se posa au centre d'un amphithéâtre immense, qui pouvait facilement contenir des dizaines de milliers de spectateurs. Sur un coté se trouvaient six trônes de très grande taille.
Un être était assis dans celui du milieu, mais il était ridiculement petit pour un siège de cette taille. Il ne faisait pas plus d'un mètre de haut, et sa peau écailleuse était d'un gris sombre taché de blanc. Lui aussi avait quatre bras. Sa puissance, cependant, était d'environ trois fois celle d'Umbra.
— Voici les intrus, doyen Shadow. Dit Umbra en s'inclinant.
Le dénommé Shadow parla d'une voix grave et rauque, une voix de vieillard.
— Le reste du conseil arrive. Que les intrus patientent.
Alors que l’amphithéâtre commençait à se peupler, uniquement de membre du clan des ténèbres, Raditz approcha d'Umbra.
— Excusez-moi, est-ce que je peux vous poser quelques questions, à propos de votre peuple ?
Umbra regarda Shadow, qui fit un vague mouvement de la main.
— Posez vos questions, que vous compreniez la grandeur et la supériorité de notre peuple.
— En vérité, je suis curieux de savoir comment fonctionne votre société. Je déduis qu'elle est composé de six clans, et que chaque clan a une fonction précise.
Les six clans sont le clan du froid, qui gère les relations avec les espèce inférieures, le clan du feu, le s bâtisseurs de notre civilisation, l'arène du jugement dans laquelle nous sommes, par exemple. Puis vient le clan de la foudre, qui cherche la connaissance. Le clan de la terre, qui produit de quoi nourrir notre peuple. Le clan du vent, qui chronique notre histoire. Chaque clan se gère seul, mais en cas de conflit entre clans, l'arbitrage revient à mon clan, le clan des ténèbres, qui applique les coutumes de notre peuple.
— Les doyens sont importants ?
— Chaque clan est commandé par le membre le plus ancien.
— Comme Cold est mort, qui commande le clan du froid ?
— Selon la coutume, le commandement doit revenir au plus âgé, donc Blizzard, son frère.
— Il est fort ? Demanda Nappa.
— Moins fort que Cold, car plus jeune.
— Quel rapport ?
— Ah, j'oubliais, les races inférieures sont limitées. Nous devenons plus fort avec l'age.
— Vraiment ? Fit Raditz en arrêtant Nappa qui s'était crispé en entendant se faire appelé race inférieure une fois de plus. Et quel age avez vous, si je puis me permettre ?
— J'ai quatre ans.
— C'est jeune. Fit Nappa
— Quatre années de cette planète font entre cent-cinquante et deux-cent ans galactiques, Nappa. Et quel age avait Freezer ?
— Cinq ans. Cold en avait dix-sept. Nous sommes considérés adultes à huit ans.
— Freezer n'était qu'un gamin ? Mais il disait être le plus fort de l'univers.
— S'il avait atteint l'age adulte, sa puissance aurait surpassé celle de son père. Mais voilà les premiers membres du conseil. Vous allez bientôt être entendus.
Un être de taille moyenne, rappelant un oiseau au plumage vert se posa sur un des trônes. D'autres de sont clan, d'apparences diverses, mais rappelant les oiseaux, s'assirent dans les gradins.
Un être rouge, de grande taille, aux allures de T-rex, se mis sur un autre trône, alors que les membres de son clan, aux allures de dinosaures arrivèrent dans les gradins.
Un être serpentin bleu arriva, suivit d'un être insectoïde brun.
Les gradins étaient maintenant remplis. Raditz avait la conviction que tout les habitants de la planète se trouvaient ici, désormais.

Il attendirent quelques minutes avant que l'un des doyens, celui de couleur verte, du clan du vent, sans doute, parla.
— Que fait Blizzard, il devrait déjà être là, depuis le temps.
— Blizzard ne viendra pas.
Un nouveau venu se rapprocha, et lui, contrairement aux autres, ressemblait à Freezer, bien que sa peau fusse plus mauve que blanche.
— Et qu'est-ce qui te fait dire ça, Cooler ?
Cooler. Raditz et Nappa se regardèrent. Ils connaissaient ce nom. Celui du frère aîné de Freezer.
Il jeta quelque chose devant le conseil. Une tête tranchée.
— Tu l'as tué. Fit Shadow, sans l'ombre d'un reproche dans sa voix. Mais dans ce cas, la tradition veut que le successeur soit le suivant en age, donc Banquise.
Cooler lança une autre tête.
— Et après lui, c'est moi, n'est-ce pas ? Je peux donc siéger, maintenant.
— Tu peux.
— Alors ça va être rapide. En tant que chef du clan du froid, je refuse que l'on écoute ces saiyans, les meurtriers de mon père. Ah, oui, et de mon frère, aussi. Mais ça, c'est plus une circonstance atténuante.
— Le mépris que tu porte à ton propre clan est répugnant. Dit le chef de clan à la peau rouge.
— Heat, la façon dont mon clan se gère ne te regarde pas.
Raditz s'avança.
— Nous ne sommes pas venu pour nous battre.
Cooler le regarda.
— Moi, si. Et il lui envoya une décharge d'énergie en pleine tête.
— Raditz ! Nappa se tourna vers le fils aîné de Cold. Enfoiré.
Cooler le regarda avec mépris et tira vers lui, mais le colosse renvoya l'attaque d'un revers du point. Il brûlait d'en découdre mais devait s'occuper d'abords de son compagnon, qui suffocait dans l’atmosphère irrespirable de la planète.
Il pris une grande bouffée d'air et arracha son masque à oxygène.
Il plaqua violemment Raditz au sol pour l’empêcher de convulser et le frappa au ventre pour expulser l'air vicié de ses poumons avant de lui fixer le masque.
Il se retourna vers leur adversaire, qui n'avait pas bougé.
— Je t'ai laissé faire parce qu'en un sens, je vous suis redevable.
Nappa se calma un peu. Il pouvait retenir sa respiration pendant dix minutes, ce qui était suffisant pour battre son adversaire, bien plus faible que lui, même dans ces conditions extrêmes.
Mais il déchanta. Les muscles de Cooler gonflèrent, sa taille augmenta, son visage se recouvrit d'une sorte de masque.
— Saiyans, en tuant mon père et mon imbécile de frère, vous avez fait de moi, Cooler, le chef des démons du froid ! Et le futur empereur de l'univers entier.


À suivre...>>>
Dernière édition par Rebel O'Conner le Sam Jan 14, 2017 13:24, édité 1 fois.
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Oméga le Lun Juil 13, 2015 22:21

Transformation de Cooler je suppose ?
Et oui, ta fiction est encore lue. *-*
De retour pour vous jouer un mauvais tour !

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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar goget le Lun Juil 13, 2015 22:33

THE RETOUR \O/


J'y croyais plus. J'adore ton Cooler qui hésite pas à tuer le chef de son village. Mais les anciens peuvent au moins faire semblant d'être étonné quand même. Radditz et Nappa devraient battre Cooler facile. Pourquoi ils sont apeurés alors ?
Tu mets la patrouille galactique dans ta fic hein. Dire que je te suis depuis 2012 et que ta fic est pas fini. J'étais sur qu'on allait entrer dans la saga Buu.

Bonne chance pour la suite.
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar Hercule Satan le Mar Juil 14, 2015 2:54

Le nappa que l'on connait n'aurai jamais enlever son masque pour sauver raditz
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Re: Paternité - Baddack et Kakarotto [Fanfic]

Messagepar goget le Mar Juil 14, 2015 3:33

Petit montage par moi:

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