Bien, après avoir passé un mois à poutrer du dragon, me voilà de retour.
le chapitre qui suis est un chapitre de transition, histoire de me remettre dans le bain.
pour me faire pardonner mon absence, il y'aura un petit bonus prochainement.
edit: j'en profite aussi pour changer mon avatar.Chapitre 44 – Les plans« Bon, ils ont filé, mais ça sent le piège. Dit Baddack.
— Ils ont eu peur de nous, oui ! Répondit Végéta.
— Merde ! Dit Kakarotto.
— Papa ? Maman, Natchi et Papi sont en danger.
— Je sais bien. C’est ma faute.
— C’est quoi, cette armée du ruban rouge ? Demanda Baddack.
— Une armée de bandits qui voulaient conquérir le monde. Tortue Géniale t’expliquerait mieux que moi.
— Mais qu’est-ce qui se passe ? Demanda Chichi
— Vous êtes en danger. À cause de moi.»
Kakarotto eu un sursaut.
« Mais ! Ils peuvent s’en prendre à Tortue Géniale ! Et à Krilin ! Il faut les avertir.
— Il a dit que tu mourras quand tu auras tout perdu, alors tous les gens que tu connais sont en danger. »Dit Piccolo.
Kakarotto eu un air terrifié. Il s’approcha de sa femme.
« Chichi, prend des affaires, on va aller… Je ne sais pas, chez Bulma pour commencer.
— Ça ne te ressemble pas de paniquer comme ça, Kakarotto. Dit le namek
— Je… Commença le saiyan.
— Tout ça n’a aucun intérêt. Je m’en vais. » Le coupa Végéta avant de s’envoler.
Tous le regardèrent partir.
« L’idiot, il risque d’être attaqué. Dit Baddack
— Je ne pense pas. Dit Piccolo. Je pense que le cyborg a déjà un plan en tête.
— Alors raison de plus pour se dépêcher. Goku, emmène Chichi, Natchi et Gyumaô chez Bulma. Ensuite va chercher Tortue Géniale et Krilin.
— D’accord.
— Je dois prendre au moins quelques affaires pour Natchi. Dit Chichi.
— Très bien, fait vite. Papa, j’emmène Raditz, Piccolo et Nappa et je reviens t’aider, on doit aussi protéger Yon, Solas et les autres.
— Très bien, je file au dojo et je leur explique.
— Attend, je viens avec toi. Dit Raditz.
— Ça ira, je peux me débrouiller.
— En fait… Je voudrais aller avertir Ryoko. Le frère ainé de Kakarotto semblait gêné.
— La libraire ? Pourquoi ? » Demanda Son Goku.
Mais les autres regardaient son oncle, l’air entendu.
« Bon, alors j’y vais. » Dit le garçon. Puis il prit la main de sa mère qui portait sa sœur et de son grand-père maternel avant de disparaitre.
Une heure plus tard, une trentaine de personnes se trouvaient dans l’immense salle à manger de la Capsule corp.
Madame Brief, un sourire radieux aux lèvres, servait des rafraichissements.
Tout le monde ou presque écoutait Tortue Géniale faire le récit de leur rencontre avec l’armée du ruban rouge, bien des années auparavant.
Piccolo se tenait à l’écart mais écoutait en silence, alors que Végéta mangeait mais ne s’intéressait pas à l’histoire. Kakarotto était reparti après avoir amené Ten Shin Han, Chaozu, Lunch, Yamcha et Plume.
Bulma était parti dans son labo après avoir entendu ce qui s’était passé à la maison de Kakarotto et avait confié son fils, Trunks, à Chichi. Les deux bébés jouaient dans le parc du garçon.
« Donc, cette armée était un peu comme celle des démons du froid, mais à l’échelle de la Terre. Dit Nappa.
— On peut dire ça, oui. Dit Krilin. Ils terrorisaient tout le monde.
— En même temps, ces cyborgs n’auraient fait qu’une bouchée de Freezer et Cold. Fit remarquer Baddack.
— C’est vrai qu’ils sont forts, mais bon, là, on est assez en sécurité. Dit Raditz.
— Non, nous ne le sommes pas. » Dit Piccolo.
Tous se tournèrent vers lui.
« Nous n’avons fait que déplacer le problème, et même le rendre pire. Si les cyborgs attaquent, il y’aura trop de non-combattants qui nous gêneront. »
Chacun digérait ces paroles quand Kakarotto se matérialisa.
« Hé, ça y’est, je sais où aller pour protéger tout le monde, on a qu’à…
— Silence ! »
Le cri de Bulma, qui venait d’accourir, surpris tout le monde.
« Mais, Bulma…
— Tais-toi, Kakarotto. Je suis la seule à réfléchir ou quoi ? Ne dites plus rien. »
Elle alluma l’appareil qu’elle portait, une sorte d’écran bidouillé, avec une antenne en forme de batteur à œufs. Il émit un bip. Bulma balaya l’ensemble de la pièce puis pointa quelque chose du doigt.
« Là ! »
Personne ne semblait comprendre, puis Baddack se leva et attrapa ce que l’amie d’enfance de son fils désignait, une sorte de gros insecte. Il le broya dans sa main.
« Qu’est-ce que c’est ? Demanda le professeur Brief.
— Un robot espion de Gero. Dit Baddack.
— Voilà pourquoi il faut vous taire. Vous donnez des informations à cette fripouille. Je vais scanner toute la maison. »
Ils trouvèrent trois autres robots espions puis Bulma affirma que tout était sécurisé, mais elle laissa l’appareil allumé au milieu d’une table à l’écart, où les guerrier saiyans, namek et terriens ainsi que les Brief s’installèrent pour trouver une marche à suivre.
« Bon, alors je suis allé voir Karine, et il m’a dit que le palais du tout puissant peut être une bonne cachette. Alors je suis allé voir le tout puissant pour lui demander.
— Alors il faut scanner le palais avec mon appareil.
— Non justement. Les machines ne peuvent pas y aller, la magie de Kami-Sama les repousse.
— Il n’est pas question que j’aille là-bas. Cracha Piccolo.
— Oh, ne t’en fais pas. Je pensais rester avec toi, Goku, papa et Végéta, nous sommes les seuls à pourvoir contrer les cyborgs. Le namek se rassit, plus calme.
— Je suis pas d’accord. Dit Nappa. J’ai un compte à régler avec ces tas de ferraille et je suis un saiyan, je me cache pas, Je me bats jusqu’à la mort.
— Ne décide pas pour les autres, Kakarotto. Dit Végéta en se levant. Je n’ai aucune raison de me battre, c’est ton problème, pas le mien.
— Ils voudront te tuer aussi. Dit Baddack
— Qu’ils viennent. Je suis assez fort pour les battre. Mais si vous avez vraiment des difficultés contre eux, je me déplacerais peut-être. En attendant, je retourne à la salle d’entrainement. Ne me dérangez pas. »
Il sortit de la pièce.
« En attendant, je pense que Nappa à raison. Dit Raditz. On est pas des mauviettes. On peut vous aider.
— Je le pense aussi. Dit Ten Shin Han. L’armée du ruban rouge était cliente de l’école de la grue, il est temps d’en finir une bonne fois pour toute, je suis avec vous.
— Il faut se rendre à l’évidence, les gars. Dit Yamcha. On ne fait pas le poids, on manque d’entrainement.
— Parle pour toi. Répliqua Raditz.
— Il y’a bien un moyen. Dit Kakarotto. Dans le palais du tout puissant il y’a une salle qui permet un entrainement en accéléré. Un jour vaut un an d’entrainement.
— Un jour, ça fait beaucoup.
— Oui, mais si vous passez une heure dedans, ça fait…euh…
— Deux semaines. Dit Bulma
— Donc, puisqu’on est six, ça fait six heures. Dit Krilin
— On peut y aller à deux en même temps, donc trois heures.
— Ça me va. Dit Nappa. Ne perdons pas de temps.
— Il y’a quand même un problème. Dit Baddack. On ne peut pas sentir les cyborgs.
— J’y ai pensé, et je pense pouvoir faire quelque chose. Dit Bulma. Donnez-moi une ou deux heures.
— Tu dois aller à l’abri toi aussi.
— Si vous êtes là avec moi, je risque moi, et dans le pire des cas, l’un de vous m’emmène au palais et revient. »
Kakarotto hésita un instant. Ce fut Son Goku qui prit la parole.
« Grand-père, et si tu utilisais ton pouvoir pour prédire leur mouvement.
— Je suis pas sûr, j’ai vu mes limites avec Freezer, mais je peux essayer. »
Baddack se tenait devant une femme aux cheveux violets en tenue militaire. Dans ses paumes se trouvaient les boutons d’absorption caractéristiques des cyborgs.
« Tu es trop lente pour m’attraper. »
La femme sourit.
Soudain, une main attrapa Baddack par la nuque.
Le cyborgs à la peau blanche venait de le saisir.
Baddack sentait sa force disparaitre.« Il y’en a plus de deux. Ils vont surement nous tendre des pièges et nous attaquer par surprise.
— Raison de plus pour que je trouve un moyen de les détecter. Dit Bulma.
— Bulma a raison, papa. Ces adversaires là nous ont bien étudiés, il ne faut pas laisser passer quoi que ce soit. Et si je reste avec monsieur Piccolo, Nous pourrons les contenir en attendant votre retour, à Grand-père et toi.
— Très bien, On emmène tout le monde et on revient vite.
— Mais nous ne pouvons pas abandonner nos animaux. Dit le professeur.
— Euh… Je peux demander au Tout-Puissant, mais je suis sûr que ça ne le dérange pas si on les prend avec nous.
— Ah ? Dans ce cas, ça va. »
Kakarotto et Baddack commencèrent l’exode des gens présent alors que Bulma pris son fils pour aller dans son laboratoire, accompagné de Son Goku et Piccolo.
Gero se trouvait devant un caisson et regardait une jauge.
Numéro 19 arriva derrière lui.
« Bulma Brief a trouvé les robots espions qui se trouvaient à Capsule Corp. Ils ont été détruits. Dois-je en envoyer d’autre ?
— Non, c’est inutile. Nous avons toutes les données qu’il faut. Envoie le signal d’auto destruction aux autres, inutile de lui donner un moyen de remonter le signal.
— Bien. Dit le cyborg en s’éloignant. »
Le scientifique cybernétisé débrancha un câble du caisson.
« Parfait. Il faut 39 minutes pour que la charge soit optimale, donc tous seront chargé dans trois heures et quart. »
Il brancha le câble sur le caisson suivant, qui portait le numéro 22.
Il embrasse du regard les neuf caissons alignés sur le mur. Seul le troisième, qui avait contenu le numéro 19, était ouvert.
Le savant fou éclata de rire.
À suivre…>>>