Bien le bonjour.
après une longue absence et pas mal de galère, je suis de retour.
comme l'année a été assez difficile pour moi, mon ton d'écriture a peut-être changé.
Che sera sera.Chapitre 86 – les mercenaires de l’espace, troisième partieTen Shin Han attaqua du tranchant de la main d’un coup descendant que Baddack para de son bras gauche. D’un geste vif, le saiyan frappa vers le bas, déviant le second coup de l’homme aux trois yeux, puis enchaîna d’un coup de pied que Ten évita en reculant.
— Je ne pensais pas te battre d’un premier coup, de toute façon. Dit Ten Shin Han.
— Manquerait plus que ça! Répondit Baddack, un grand sourire aux lèvres.
Les deux adversaires se foncèrent dessus. Ils s’attrapèrent mutuellement les mains, annulant leurs prises respectives.
Le troisième œil de Ten s’écarquilla et Baddack se baissa in extremis vers l’arrière pour éviter le rayon laser.
Il riposta en frappant des deux pieds vers le torse de l’humain qui rompit immédiatement sa prise pour parer. Le coup ne le blessa pas mais il fut projeté en l’air.
Le saiyan enchaîna avec un kikoha, mais Ten fit le signe du tigre et se concentra. La boule d’énergie rebondit sur lui sans heurt et retourna à l’envoyeur.
Surprit, Baddack eu juste le temps de l’envoyer au loin d’un revers du poing.
Mais alors que la sphère explosait en mer, au loin, il se crispa et sera les dents. Il venait de ressentir une douleur aiguë dans le bras.
Son Goku évita le gros poing de Nappa, et se retourna pour parer la jambe de Raditz. Il l’attrapa et jeta son oncle vers le colosse qui revenait à la charge.
Nappa dévia l’autre saiyan d’un violent revers du poing qui le fit s’écraser sur le sol et continua sur sa lancée. Le métis évita le gros poing qui fonçait sur lui mais Nappa pivota sur lui même et fit un fauchage de la jambe que le garçon évita en sautant.
Mais le géant avait prévu cette esquive et prit violemment appuis sur le ring, si fort que son pied fendit le sol, et relança un coup de poing de toutes ses forces en direction du métis.
Le garçon mis ses bras en croix, prêt à parer le coup.
Mais celui-ci ne vint pas, Nappa ayant reçu un coup de genou dans la tête qui le fit tomber au sol.
Le géant saiyan se releva en hurlant.
— Nan mais ça va bien? Qu'est-ce qui te prend?
— Ça, c'est à toi que je le demande!» Répondit Raditz. «Tu veux que l'on s’allie et à la première occasion, tu m'attaques?
— Mais je t'ai pas attaqué, je t'ai dévié pour pouvoir finir mon attaque! Je savais très bien que c'était rien pour toi, un coup comme ça Et j’allais l’éjecter du ring, merde!
— Euh, dites... Commença Goku.
— Comme si tu en étais capable!
— Tu me vexes, là.
— Mais réfléchis un peu. Nous sommes sur une plate-forme à cent mètres du niveau de la mer, même si tu l'avais sortit du ring, ça n'aurait pas signifié sa défaite.
— Je suis là, vous savez?
— Parce que t'as une meilleure idée, toi?
— Oui! on ne peut pas le battre en force pure, alors avec une bonne stratégie, on peut...
— Hé!
Les deux saiyans furent violemment poussés par Goku qui venait d’apparaître entre les deux,
— Arrêtez de faire comme si je n'était pas là.
Ils regardèrent le garçon, puis se regardèrent avant de se remettre en garde.
— T'as p'têt par tord, sur ce coup là, Raditz.
Kakarotto franchit la ligne d'arrivé.
Quelques secondes après, Kaio de l'est passa à son tour.
— Bien, Kakarotto a gagné. Explique-lui. Dit Kaio du nord.
— Attendez, maître Kaio, courir, ça m'a donner un petit creux.
Kaio du nord regarda le ciel d'un air désespéré.
Le saiyan avait englouti la moitié du repas qui lui avait été apporté et son maître estima qu'il pouvait commencer les explications.
— Bon, sois attentif, Kaio de l'est va t'expliquer.
— Bien. Alors, hier, je me suis rendu compte que ma planète avait été détruite.
— Umm pamè omm elle euh mai kao?
— Hein?
Kakarotto avala d'un coup tout ce qu'il avait dans la bouche.
— Une planète comme celle de maître Kaio?
— Nous sommes tous des kaio, et oui, nous avons des planètes similaires.
— Mais elle elle n'y est jamais, elle préfère rester ici a martyriser ses élèves. Se moqua Kaio du sud.
— Comment c'est possible? Ça doit être un endroit plutôt calme.
— Nous avons regarder le passé, et c'était un attentat. Un nommé Gorrum, le serviteur d'un magicien dément a fait sauter ma planète.
— Et vous voulez que je l'attrape?
— Non, il n'est pas dangereux. enfin, pas trop.
— Le problème vient de ce qu'il a libéré. Dit le doyen des Kaio, Daï Kaio.
Le vieux dieu, habillé d'un jean et d'un blouson sans manches, s’assit devant Kakarotto.
— Il y a des siècles un gang de criminels parcourait l'univers,volant, tuant, pillant tout sur son passage. Ils étaient très forts alors les plus grand guerriers de l'univers se sont ligués contre eux, et ils furent presque tous éliminés. De la troupe de plus de vingt personnes, n'en restait plus que cinq, en fuite et désespérés. Alors ils firent une chose à la laquelle nous ne nous attendions pas du tout. ils firent un pacte avec les forces des ténèbres et devinrent des démons.
— Des démons? Comme Piccolo?
— En quelque sorte, mais à un tout autre niveau. Dit Kaio du nord.
Daï Kaio s'éclaircit la gorge avant de continuer.
— Une fois devenus des démons, personne ne pouvait les battre, et ils décimèrent la coalition du bien. La plupart sont ici, d'ailleurs.
— Dont Paikuan. Et maintenant, il serait en mesure de les battre. Dit Kaio de l'ouest.
Daï Kaio ignora l’interruption.
— Ils continuèrent ensuite à ravager l'univers, mais de façon pire, car les âmes de leurs victimes alimentaient la puissance de leur maître démoniaque.
— Mais comment les avez vous battu? Demanda Kakarotto, qui commençait à être passionné par l'histoire.
— Nous ne pouvions pas les tuer, mais nous pouvions les enfermer. Grâce à une puissante magie divine, nous avons réussit à les bloquer au cœur d'une étoile. Ça ne pouvait pas les tuer, mais ça pouvait les retenir. Mais pour ça, il fallait quatre sceaux placés aux quatre points cardinaux de la galaxie. Un sur chacune des planètes des Kaio.
Kakarotto compris subitement.
— Alors quand sa planète a explosé... Dit-il en montrant Kaio de l'est.
— Oui, le sceau à été détruit, et ils ont été libérés.
Le saiyan se leva.
— D'accord, j'ai compris, je m'en occupe! Où sont-ils?
— Leurs pouvoirs démoniaques leur permettent de se cacher des mortels, mais je peux te montrer où ils sont, viens.
Les Kaio, suivis de Kakarotto et d'un groupe de combattants, allèrent vers un grand puits. Mais celui-ci ne contenait pas d'eau, on y voyait les étoiles.
— Voici le puis de l'infini, d'ici, on peut voir tout l'univers, du moins si on sait où chercher.
— Et comment je les vois?
— Je vais le faire, pose ta main sur mon dos, que je partage ma vue avec toi.
— Et n’appuie pas fort. Souffla Kaio du nord, qui se souvenait d'avoir été à moitié écrabouillé dans une situation similaire.
Kakarotto sourit et posa doucement sa main sur le doyen des Kaio. Il fut immédiatement comme projeté hors de son corps. Il voyait le noir de l'univers, parsemé de points lumineux, à l'infini.
— Ouaaah!
Sa vision fonça soudain vers un de ces points qui grandit pour devenir une galaxie, puis vers un bras sur le bord de la galaxie, puis se focalisa sur un autre point qui grandit pour devenir un soleil. Il vit ensuite grossir une planète aux reflets bleus et blancs.
Au milieu d'une mer, se trouvait une île, avec de nombreuses constructions.
— Voilà, il sont là. C'est sur une planète qui s'appelle...
Kakarotto rompit le lien.
— Hé! Mais c'est l'île du tournoi! Ils sont sur Terre!
— L'île du tournoi?
— J'y étais quand maître Kaio m'a appelé. Vous auriez eu meilleur temps de me laisser là bas.
— Mais on ne savait pas qu'il était sur Terre avant que Daï Kaio ne vérifie.
— Il faut que j'y retourne, vite!
Il mit deux doigts sur son front et se concentra.
— Mince, je ne sens personne.
— Tu ne peux pas, d'ici. Ce lieu est à l'écart de l'univers. Il faut que tu retournes sur ma planète.
— Par ou c'est?
— Olibu, guide-le!
Le grand guerrier blond acquiesça.
— Suis-moi. Je viens de la Terre aussi, j'espère que tu pourra arriver à temps.
Dans la salle su puis de l'Infini, Daï Kaio s'assit sur le bord.
— Observons, ça risque d'être intéressant.
À suivre...>>>