nouveau chapitre.
pour tout dire, je ne suis pas satisfait du combat, mais basta. autant avancer plutôt que de le réécrire une troisième fois.( sans certitude que ça me plaira plus)
- Chapitre 109 - Premier tour— Baddack et Végéta au premier tour ? Ça va être chaud, fit Yamcha.
— Et Nappa contre Kakarotto aussi, ajouta Raditz.
— Il n’a aucune chance. Même s’il passe, il sera contre Goku au deuxième tour, dit Tortue Géniale.
— Et papa, il se bat en premier ?
— Oui, mais ne t’inquiète pas, ma puce, il gagnera. Ce match-là, au moins.
Dans la salle de préparation, les estimations étaient assez proches de celle des spectateurs avertis.
— Ha… Enfin.
Végéta murmura ces paroles assez ostensiblement pour que tout le monde entende, surtout l’intéressé auquel il adressa un grand sourire. Un sourire carnassier.
Baddack lui répondit d’un sourire en coin.
De son côté, Piccolo observait le dénommé Shin. Il avait une drole d’impression. Comme un souvenir qui refusait de se manifester.
— Ne t’inquiète pas, Nappa, j’irais doucement, on est là pour s’amuser, dit Kakarotto en toute innocence.
— Oh, mais tu peux y aller à fond. Va pas croire que je me suis reposé sur mes lauriers ces dernières années. » Il regarda l’assemblée. « Je suis là pour gagner, moi.
— Ah oui ? Alors laisse-moi te dire une chose, Nappa, commença Goku.
Mais Nappa leva une main pour le faire taire.
— Plus tard, ça va commencer.
— Quoi ? Mais on a encore cinq minutes.
— Pas ça. Chut maintenant.
Le commentateur se plaça au centre du ring pour faire une annonce.
— Mesdames et messieurs, pour ce tournoi, nous avons la chance et l’immense honneur de recevoir Lady Lilith, qui va nous interpréter l’hymne international des arts martiaux.
Elle fut accueillit par des vivats qui ne cessèrent que quand elle commença à chanter.— Ouah, elle chante bien ta mère, fit Kakarotto.
— Chhhhut !, siffla Nappa entre ses dents. Il suivait avec attention Lilith, qui chantait dans une langue inconnue à un rythme rapide.
— Houzra nouh, koul do ôhd, oah ahan boc limgra vôhd
Arc fhinn teï, bojihic foun, dôh finn geïnn!
Who lost fronn oah neï dôhv
harc finn reïlihic dôh joul
voz ahan souleic oah rôhnith fahal crein— Elle chante en quelle langue ? Murmura Goku à Videl.
— Je sais pas. Elle a répété pendant des jours pour l’apprendre phonétiquement.
— C’est une ancienne langue oubliée, précisa Piccolo. Je doute que quiconque se souvienne du sens de ces paroles désormais, ce qui n’est pas plus mal.
— Ah ? Ça veut dire quoi ?
Avant que le namek ait eu le temps de répondre, l’hymne était terminé, et le stade entier applaudit dans un vacarme assourdissant. Nappa aussi.
Puis le commentateur repris, après les remerciements quand le public se fut calmé.
— Nous allons donc commencer. Le premier match verra s’affronter Punter et Krilin.Krilin a déjà participé plusieurs fois et à toujours obtenu de bons résultats. Punter est connu pour sa brutalité. Il a perdu au dernier championnat par sorti de ring. Il ne peut qu’ambitionner la victoire cette fois ci.Les combattant partirent vers le ring et les autres dans l’embrasure de la porte pour voir.
Sauf Baddack. Il regardait pas le combat. Il était resté en retrait dans la pièce, et il observait Shin, qui, lui, observait le match d’un air distrait, derrière les autres et à côté de son camarade.
— Montre-moi ce que tu caches, murmura le saiyan. Il se concentra.
Baddack était resté en retrait dans la pièce, et il observait Shin, qui, lui, regardait le match d’un air distrait, derrière les autres et à côté de son camarade.
— Montre-moi ce que tu caches.
Shin tourna la tête vers le saiyan.
— Navré, Baddack, mais mon destin est confidentiel.— Hein ?
Shin tourna la tête vers Baddack et lui adressa un léger signe de tête, un sourire satisfait aux lèvres.
Puis il alla vers le ring alors que l’arbitre annonçait le deuxième match.
— C’est vrai que ce tournoi promet d’être intéressant, dit-il pour lui-même.
La surprise laissa le saiyan figé un instant, mais il se reprit et fonça vers Piccolo qui sortait à son tour et le héla.
— Piccolo, écoute, il faut absolument savoir ce que vaut ce type. Il cache des choses. C’est à toi de jouer.
Piccolo acquiesça vaguement, et monta sur le ring.
— C’est la première participation de Shin. Ma Junior, quant à lui, est déjà allé en finale où il nous avait fait une très belle démonstration.
Il ajouta quelques mots à l’attention du namek.
— Euh, ne détruisez pas tout, cette fois, s’il vous plait.
— Qu’est-ce que vous avez ? c’est à cause de ce Shin ? Demanda Krilin.
— Euh, oui, fit Kakarotto.
— On va voir ce qu’il vaut, ajouta Végéta.
Sur le ring, Piccolo hésitait. Il n’arrivait pas à se décider d’attaquer.
Mais qui est-il ?
— Vous n’allez pas tarder à comprendre. Pour l’instant, amusons-nous un peu.
Il avait lu dans ses pensées. Ça n’était pas difficile en soi. Lui-même y arrivait assez facilement.
Mais il y avait autre chose. Un doute.
Non.
Une certitude.
Cet être était un dieu. Le grand Kaio. Celui qui gouvernait l’univers.
Il ne pouvait pas l’affronter.
— Désolé. J’ab…
Il ne finit pas sa phrase.
Baddack l’avait averti. Et avec raison. Dieu ou pas, il fallait être sûr. Il hurla.
— AAAAAAAAAAAAAH !
Puis il fonça, lançant le tranchant de sa main vers la tête de son adversaire, verticalement.
Shin para, les bras en croix. Ses pieds s’enfoncèrent de cinq centimètres dans le sol.
— Bien, vous avez réussi à mettre de côté vos hésitations.
Surpris, Piccolo recula vivement. Il se concentra une fraction de seconde et bloqua son esprit.
— Joli, fit Shin dans un sourire. Ça ne rendra le combat que plus intéressant.
Sans autre avertissement, il frappa Piccolo au visage sans que celui-ci ne puisse voir venir.
Mais le coup poing n’était pas assez fort pour le blesser vraiment. Il se baissa pour éviter un deuxième et répliqua en envoya un uppercut, que Shin dévia d’un mouvement simple et sans effort. Il recula pour prendre du champ, et le namek en profita.
Allongeant son bras, il toucha son adversaire en pleine face, mais il sentit que son coup avait été amorti par un recul rapide.
L’inconnu savait se battre, mais ne semblait pas habitué à le faire, et il n’était pas si fort au final.
Le match paraissait beaucoup plus équitable au namek qu’il ne lui avait semblé de prime abord.
— C’est bizarre, fit Kakarotto. Piccolo ne se bat pas à fond, mais Shin, on ne le sent pas du tout.
— Il cache bien son énergie, alors, fit Goku.
— Ou alors c’est un cyborg aussi, dit Nappa en jetant un œil sur Mary, qui lui rendit un regard offusqué.
— Non. Il dégage de l’énergie, j’en suis sûr, simplement, on peut pas la sentir. Il veut pas qu’on la sente, asséna Baddack.
Il attaqua plus franchement. Shin évitait tous ses coups, mais restait clairement sur la défensive. Son sourire satisfait disparu rapidement, remplacé par un air d’intense concentration.
Le poing de Piccolo le toucha à la joue. Shin pivota sur son pied gauche et envoya le droit dans la figure de son adversaire.
Ils rompirent à nouveau le contact. Le namek avait une idée.
Se concentrant, il fit affluer son énergie dans ses muscles, et tripla de taille.
Ignorant les cris du commentateur, il fut satisfait de voir la surprise se lire sur le visage de Shin.
Il tenta de l’attraper, mais ses doigts ne firent que s’enfoncer dans le sol.
Le guerrier inconnu était sous son torse, et il fonça entre les jambes géantes tout en frappant les tibias du namek qui perdit l’équilibre et s’effondra contre le ring, fissurant la surface.
Le visage contre les dalles, Piccolo entendit un sifflement au-dessus de lui. Il reprit sa taille normale en urgence juste à temps pour voir Shin frapper là ou il avait sa tête une fraction de seconde auparavant. Il se releva dans la foulée.
— Très bien, finit de jouer, dans ce cas.
Il retira les épaulettes et sa cape, les lançant au-dehors du ring. Le sol trembla quand les poids de plusieurs tonnes s’enfoncèrent dans l’herbe.
Shin regardait le matériel d’entrainement d’un air stupéfait.
Piccolo serra les poings pour concentrer son énergie.
— Et maintenant…
— J’abandonne.
Le namek resta trois secondes immobile avant de comprendre les paroles de son adversaire.
— Vous… vous abandonnez ? Demanda l’arbitre.
— Oui. Je me rends compte que je ne peux pas gagner.
— Heu, très bien, dans ce cas. Vainqueur, Ma junior !
— Et je pense qu’un combat à fond entre nous deux aurait causé beaucoup trop de ravages, n’est-ce pas ? Ajouta le perdant à voix basse.
Surpris, Piccolo le regarda.
— Nous, nous allons prendre quelques minutes de pose le temps de réparer sommairement le ring. Annonça l’arbitre.
— Vous pourriez le faire, non ? Demanda Shin à Piccolo.
— Quoi ? Bien sûr que non.
— Allons, je sais que vous avez été le dieu de cette planète par le passé. Ça n’est surement rien pour vous.
— Mais... »Piccolo hésitait. Tout ceci renforçait l’impression qu’il avait sur l’identité de Shin. « Les gens vont remarquer...
— Non, croyez-moi, ils ne verront rien. Vous pouvez y aller.
Le namek regarda encore l’inconnu dans les yeux et comprit. Il fit un mouvement de la main et le ring se répara instantanément.
— Pourquoi tu as fait ça, Piccolo ? Demanda Goku.
— Hé bien…
— Parce que je lui ai demandé.
— Ah oui ? Fit Végéta. Et qui tu es pour oser nous demander quelque chose ?
— Végéta, arrête ! C’est Daï Kaio, le roi des quatre Kaios.
— Mais pas du tout.
Un silence s’installa, et Piccolo sentit la honte monter en lui.
À l’extérieur, l’arbitre annonça le match suivant, Videl contre Spopovitch.
Ce fut Kibito qui mit fin au mystère.
— Mon maître n’est autre que Kaioshin.
Le namek pâlit.
— Bon, vous m’expliquerez, je vais voir le match, dit Goku en sortant à la suite de la jeune fille.
— Et c’est quoi, un Kaioshin ? demanda Kakarotto.
— C’est… C’est le dieu suprême de l’univers, idiot ! Cria le namek.
Moyennement impressionnés par la révélation, les saiyans regardèrent le dieu.
— Ça expliquerait pourquoi l’avenir est bloqué. C’est toi, c’est ça ?
— Oui. Je comptais me servir de vous comme appâts, en vérité.
— Maître !
Kaioshin sourit devant l’inquiétude de son serviteur, mais il lisait uniquement de la curiosité dans l’esprit des combattants.
— Tout ira bien, Kibito. Je comptais me servir de vous pour piéger Yamu et Spopovitch, mais je vois maintenant à quel point vous êtes forts. Alors, je vous demande plutôt : Acceptez-vous de m’aider à éliminer mon ennemi, l’ennemi de l’univers entier ?
Spopovitch monta sur le ring et regarda Videl. Il lança ensuite un regard à Yamu qui se tenait sur l’estrade. Ce dernier hocha négativement la tête en regardant un appareil de mesure qu’il pointait vers elle.
Le lutteur sur le ring sourit. Si elle ne servait à rien, il allait pouvoir s’amuser.
Lilith entra dans la loge de son mari.
— Nounours, tu viens ? Videl a son premier match.
— Contre qui, pupuce ?
— Spopovitch.
— Ce nul ? Ha, c’est joué d’avance. Pas la peine que j‘y aille.
— Pff ! Père indigne, fit Lilith d’un ton faussement méchant avant de sortir.
À suivre...>>>PS
PSS