Le bonheur est à portée de fin

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Le bonheur est à portée de fin

Messagepar Batroux le Ven Août 12, 2011 14:57

Bon bah je re-postes ma petite Fic sur Goten. C'est marrant je pensais pas qu'elle rentrerait dans un post ^^


Chapitre I


"-Trunks ! cria Goten dans son téléphone, Je suis amoureux ! Je suis raide dingue !
-Hein ? Mais que racontes tu ? demanda Trunks un peu sonné par tant de gémissements.
-Laisses tombé j'arrive !"

Trunks, faisait les 100 pas dans le parc ou il se trouvait. Il était entouré d'une aura verte,
tout un dégradé de vert en fait. Des chants d'oiseaux, des rires d'enfants, d'adultes, une belle après-midi en somme.
Puis soudainement des cris d'affolement, des onomatopées monosyllabiques résonnaient dans tout l'espace vert.
Rien d'inquiétant, ce n'était que la population qui s'effrayait à la vue d'un homme volant venant d'atterrir devant eux.
Trunks voyait Goten au loin, et commença à se demander "Qu'est-ce qu'il va me sortir aujourd'hui, encore ?".
En effet Goten avait beau avoir passé la puberté, il restait toujours assez immature, toujours à l'affut d'une nouvelle aventure dans les montagnes rocheuses, pour dénicher un dinosaure, ou un trésor laissé par les pirates du désert, comme lorsqu'ils avaient 6 et 7 ans.

Goten arriva en courant vers son ami, et posa ses mains sur les épaules de Trunks. Son visage irradiait totalement Trunks, tellement il débordait de joie, de foi. Le jeune homme a la coupe au bol s'en trouvait d'ailleurs assez gêné.
On aurait dit, une mauvaise comédie romantique, ou le héros allait faire la demande en mariage, ou autre niaiserie du genre.
Puis, Goten prit la parole.
"- J'ai rencontré une fille, et elle est extraordinaire !
- Ouais, ça j'avais cru comprendre au téléphone, rétorqua Trunks.
- Cette fois ci, c'est la bonne ! dès que je la vois, j'ai des papillons dans le ventre, je ne tiens plus en place.
- Eh bien, tu attends quoi pour l'aborder ?
- Bah le truc, c'est que ça fait maintenant deux mois qu'on est ensemble ! répondit Goten tout enjoué.
- DEUX MOIS ?! Mais... Mais..."
Trunks était pris de sérieux troubles, comment cela se faisait-il que son cher ami, si bavard, ai pu lui cacher un tel truc pendant aussi longtemps.
"- Mais tu ne me le dis que maintenant ?
- Oui mais parce que, maintenant, je sens que c'est important, je sens que c'est sérieux, je te le jure sur ce que j'ai de plus cher, Cette fille, je tuerais pour elle."
Trunks comprit alors, que c'était cela qui avait manqué à son ami pour parfaire son manque de maturité, d'un but, et visiblement, cette demoiselle, lui en donnait un.
"-Eh bien Goten, je suis super content pour toi ! Comment s'appelle-t-elle ?"

S'ensuivit alors un long échange entre les deux jeunes hommes sur la demoiselle.
Elle s'appelait Michiyo, elle était blonde aux yeux bleus, selon la luminosité du jour ou d'une pièce, ses cheveux pouvaient virer au roux, elle avait des taches de rousseurs, elle portait des lunettes aux branches noires et rouges.
Ils s'étaient rencontrés sur le net, ou Goten lui avait, après plusieurs et longs échanges, envoyé de la musique de "loveur".
Puis ils s'étaient rencontrés à Satan city, pour une après midi ciné... Enfin toute la parfaite panoplie, du film à l'eau de rose.

C'est ainsi, qu'après plusieurs heures d'échanges, coupées par des pauses glaces, hotdogs, et autre malbouffe, que la journée s'acheva. Goten heureux d'avoir enfin mis au courant son ami et Trunks enthousiaste à l'idée de voir Goten si jovial.


Chapitre II


Il n'était que 8 heures du matin dans la maison des Son, quand des sifflotements se faisaient entendre. Une porte qui s'ouvre, une autre qui se ferme, et le bruit d'un jet d'eau qui masque en partie, des chants atroces pour les oreilles.
Chichi devant son café, enrage « quand est-ce que ce vacarme va cesser ! ».
Puis, elle commençait à se demander pourquoi Goten était d’aussi bonne humeur ces temps-ci.
Et comme toute bonne mère aux tendances autoritaires qui se rendait compte qu’elle n’avait plus le contrôle de la vie de son fils, elle décida d’abandonner son café sur la table du séjour et de jouer les espionnes pour le compte de sa simple curiosité. Elle se leva, le regard noir, et fila à toute vitesse, sans un bruit dans la chambre de son fils, pour fouiller dans son téléphone portable.
Intérieurement, Chichi pensa d’abord « Mais comment ça fonctionne ce machin ? », puis quelques secondes après se demanda « Qui est cette Michiyo ? ». Elle venait de repérer l’icône « lire » en dessous de « nouveau message ». Elle appuya dessus.
Goten qui sortait de la douche, se séchait les cheveux entendit un cri, un cri d’horreur mélangé à une rage que seuls certains élus comme les Sayiens pouvaient ressentir.
« - JE QUOI… ???!!! GOTEN, VIENS ICI !!! » Hurla la mère hystérique.
Goten sortit de la salle de bain illico presto, la serviette autour de la taille
- Maman, que se passe t-il ? demanda le jeune homme.
- C’est qui cette Michiyo ? C’est quoi ces messages ?
- Euh eh bien, c’est ma copine. répondit Goten un peu Penot.
- Ta copine ? Depuis quand ?
Goten comprenant qu’il ne se débarrasserait pas de sa mère en un clin d’œil, bredouilla d’abord, puis pris la posture habituelle de Goku, la main dans les cheveux, la tête en arrière avec un sourire de gros beta, et en un vif mouvement piqua le portable des mains de sa mère et partit s’enfermer dans la salle de bain. « Je crois que cette ruse ne fonctionnera plus » pensa t-il pendant qu’il s’habillait en 4ème vitesse. Il était sur le rebord de la fenêtre quand Chichi défonça la porte, avec une haine collée au visage, mais il fallut moins de temps à Goten pour s’envoler et lancer à sa mère un « ne m’attends pas pour manger je rentrerais tard ! ». Chichi, continua de s’égosiller sur le bord de sa fenêtre pendant de longues minutes, avant de se résigner.


Quelques heures plus tard, Goten était sur un banc avec sa petite amie. Aujourd’hui cela faisait 5 mois et 28 jours qu’ils étaient ensembles. Et les deux jeunes tourtereaux, s’adonnaient à leurs passes temps favoris, le french kiss. Michiyo n’était pas farouche, elle aimait bien mettre Goten dans des états pas possibles, et l’endroit importait peu. Seulement une sonnerie venait un peu chambouler leurs programmes. C’était la mère de Michiyo. Celle-ci lui demandait de bien vouloir la rejoindre pour rentrer chez elle. Goten grommela qu’il n’était que 17 h, que c’était tôt encore. Il ne connaissait pas encore « sa belle mère » mais elle l’énervait déjà. Michiyo répondit qu’elle serait là dans quelques minutes. Raccrochant son téléphone, elle regarda Goten avec des yeux de biche, et lui proposa de rencontrer sa mère, et si ça l’intéressait de venir manger chez elle, Elle pourrait alors lui présenter sa famille. Goten acquiesça avec joie. Le jeune couple se dirigea alors main dans la main dans le centre ville là ou la mère les attendaient.
A peine rentrés dans la voiture, un climat froid se faisait ressentir.
« -Bonjour, lança discrètement Goten
-Et bien vous savez vous faire attendre jeune homme ! » Et se fut les seuls paroles que Goten entendit sortir de la bouche de sa « belle mère ». Cette femme le mettait plus que mal à l’aise.

Arrivés chez Michiyo, elle fit rapidement les présentations.
« -Je te présente Nana, ma grande sœur, Yanuko mon grand frère, Hajime mon père »
Puis la voix rauque de la marâtre se fit entendre, « les filles j’ai besoin de vous ! ».

Michiyo baisa la joue de Goten et rejoignit sa mère en cuisine, suivant sa sœur, le père lui s’en alla vaquer à ses occupations, tandis que Yanuko resta avec Goten, il lui proposa de faire le tour de la propriété, et en profita pour lui parler.
« -Ecoutes Goten, à première vue tu as l’air d’être un bon gars, mais je tiens à te dire ça, sans vouloir t’effrayer. Mes sœurs et ma famille, c’est tout pour moi, et je ne tolèrerais pas que tu nous manques de respect, et que tu fasses souffrir ma petite sœur.
Goten souri, et hocha la tête pour montrer qu’il avait compris.

Le soir venu, Yanuko avait gracieusement prêté sa chambre à Goten, pour qu’il puisse dormir et passer quelques jours chez eux. Il ne pouvait pas dormir avec Michiyo, car ses parents refusaient, de plus Michiyo partageait sa chambre avec sa sœur.
Goten et Michiyo étaient confortablement installés dans le lit, ils s’embrassaient, et s’embrasaient fougueusement. Ils n’étaient éclairés que par la lumière de l’ordinateur, qui rejouait pour la 3ème fois le même film.
Michiyo avait déjà repéré quelques zones sensibles de Goten. Elle en profita un maximum. Elle le caressait dans le bas du dos, et au niveau du nombril. Goten, qui avait la force de détruire des planètes, était complètement désarmé face aux sensations que sa partenaire lui procurait. Des sensations qu’il n’avait jamais connu auparavant. C’était à la fois délectable et extrêmement frustrant. En effet, à chaque fois que Goten tentait de caresser sa tendre et chère, elle le repoussait,
Gentiment bien entendu, mais visiblement elle souhaitait garder le contrôle. Ce petit jeu dura une très longue partie de la nuit, et finalement, en bonne joueuse, elle laissa Goten renverser la situation. A ce moment précis, ce n’était plus un jeu, les regards, et expressions changèrent. Michiyo allait se donner à lui, et lui se donner à elle. La perception sentimentale et émotionnelle de cet échange semblait ne troubler que Goten. Comme pour se donner du courage, il monta chercher les lèvres de Michiyo, et une fois le baiser rendu, il descendit doucement, tendrement, embrassant avec ses lèvres toutes les parties du corps dénudé de Michiyo. Le cœur de la donzelle battait de plus en plus fort, et se stabilisa, quand Goten arrive au niveau du nombril. Il se releva, et déboutonna le jean, bouton par bouton. Il prenait, à chaque geste, beaucoup plus d’assurance, du moins en apparence.
Il s’arreta et regarda sa partenaire, appuyé sur les genoux, au dessus des cuisses de Michiyo, allongée sur le dos, elle se releva, pour effleurer ses lèvres. Et elle commença à déboutonner son chemisier, et se rallongea. Michiyo n’était plus qu’en sous –vêtements. Goten contemplait son corps, un corps magnifique, un corps parfait à ses yeux. Les deux bouts de tissus qui le recouvraient encore étaient rouge sang, et manifestement, ils mettaient encore plus en valeurs les formes généreuses et voluptueuses de Michiyo. Elle se releva encore une fois, mordilla l’oreille de Goten, et lui susurra
« Qu’est-ce que tu attends ? »


Chapitre III

Michiyo enleva la chemise de Goten, la repoussant des épaules, la chemise glissa le long du corps en ébullition du jeune homme. Le jeu reprit alors. Avec affection, elle baisa le corps musclé, partant de l’épaule, descendant progressivement le long de son torse. Elle le poussa pour qu’il se retrouve allongé sur le dos, et continua de descendre, jusqu’au niveau de son pantalon.

Goten était surpris. Il avait conscience de sa force, et de ses capacités extraordinaires. Il résistait aux balles des armes à feu humaines, il était capable de nuire à des flux énergétiques qui bruleraient une partie de l’environnement terrestre, mais il sollicitait son intellect pour comprendre comment des effleurements de lèvres si doux, si tendres, si agréables parvenaient à le rendre aussi inoffensif, enfin peut-être pas inoffensif, mais aussi vulnérable. Et c’est en se posant cette question qu’il comprit. Cela venait de ses sentiments positifs. Cette douceur, cette tendresse étaient en mesure d’abattre le plus fort des guerriers, alors qui n’était pas le plus puissant, n’a pas pu résister.
Quand il mit fin à sa réflexion, il se surprenait d’être déjà en caleçon.

Michiyo se coucha sur lui, cherchant ses lèvres. Elle commença à lui caresser l’entre jambe, toujours avec tendresses et douceur. Goten lui ne savait pas où placer ses mains, il tenta de les poser dans le bas du dos, et de descendre progressivement sur les fesses de sa chère. Et là, surprise, elle ne les repoussa pas. Un peu nigaud, il ne comprenait pas, mais au vue de la situation, il profitait des plaisirs de la chair. Une gambade, et Goten se retrouvait au dessus. Il prit le temps de relever Michiyo de la mettre assise, pour lui défaire le soutien-gorge. Michiyo posa sa tête contre l’épaule de Goten, et le cajola de ses mains dans le bas du dos, ce qui le fit frémir, et le déconcentra. Il sentit le sourire de sa belle à chaques tressaillements qu’il ne pouvait contrôler. Après de longues secondes, pour comprendre le fonctionnement d’un soutien-gorge, il le retira. La demoiselle se rallongea. Goten descendit ses mains le long de ses hanches pour arriver au niveau de la dernière lingerie. Il commença à la descendre. Une jambe se plia, pour que le bout de tissu puisse passer le genou, et une seconde. Sa tendre était maintenant nue. La communion des deux êtres allait avoir lieu…

Cela faisait maintenant 3 mois, que Michiyo et Goten roucoulaient. Le bonheur montait crescendo chaque jour. Certain couple s’essouffle bien vite, tandis que eux, se trouvaient toujours plus d’atomes crochus, que ce soit une musique, un film, un paysage, un délire, ou le plus important leurs amours réciproques.
Ce jour là, Goten était une fois de plus invité à passer du temps dans la famille de sa petite amie. Une réunion un peu spéciale, puisque toute la famille de Michiyo était là, cousins, cousines, 1er, 2ème, 3ème degré, oncles, tantes...

La fête ponctuée de repas, d’apéritifs, et de veillés, ou se discutait politique, programmes télévisuels, surtout pour les plus anciens, tandis que les jeunes squattaient le grenier, et la chambre de Yanuko.
Michiyo et Goten se permirent une petite escapade, dans un coin sombre du grenier.
Depuis qu’ils avaient connu les joies du sexe, une dépendance s’était créée entre eux. Michiyo aimait d’ailleurs beaucoup allumer le feu de Goten, cette fougue animale, dont il avait déjà fait preuve à plusieurs reprises. Mais l’absence de préservatif les frustrait souvent. Et ce soir là, allait être une de ses soirées… Michiyo assise sur une table, Goten entre ses jambes, s’embrassaient à pleine bouche, mélangeant leurs fluides buccaux, se caressaient plus que de nécessaire. La tension sexuelle se faisait de plus en plus pesante, et surtout frustrante. Goten outrepassa, la jupe de Michiyo pour la câliner à cet endroit. Pendant que Michiyo tentait de lui faire retirer sa main, Goten murmura à son oreille
« J’ai envie de toi. »
Michiyo, bien excitée, avait bien du mal à dire non. Mais quand Goten devint plus entreprenant, La demoiselle reprit ses esprits, et essaya de le calmer. En lui expliquant que ce soir ce n’était pas possible, déjà par l’absence de précaution, et aussi par peur de se faire attraper par la famille.

Goten, comme sourd, animée par cette dominance animale, se faisait de plus en plus oppressant, Michiyo souhaitait ardemment se laisser aller, mais elle avait peur, peur de tomber enceinte, peur d’être prise sur le fait, les peurs que le sexe peut engendrer.

« Goten, arretes, Goten, Goten… » Plusieurs de ces murmures ne furent pas écouter.
Un « Goten » plus insistant lui ramena les pieds sur Terre, et le « S’il te plait » de Michiyo lui fit comprendre qu’il était entrain de dépasser les bornes.

Il tourna les talons, et disparu avec pour seul bruit un « je suis désolé » furtif.
Michiyo courut, descendit les escaliers, et alla dehors, elle retrouva Goten, dans le champ qui longeait sa propriété. Il était en position fœtale, mais à la verticale, se tenant le front de ses mains.
Le regard surpris, plein d’incompréhension. Elle s’approcha de lui, apposa sa main gauche sur son épaule droite, il la regarda. Son regard en disait beaucoup, même beaucoup trop. Elle pouvait voir, de la tristesse, de la honte, de la colère.
« -Je suis vraiment désolé. Dit-il en tournant la tête.
- Ce n’est rien, je t’ai quand même beaucoup poussé ce soir. répondit-Michiyo avec un petit sourire réconfortant.
- Oui, mais, je n’ai pas su me contrôler, et cela me fait peur.
- J’ai quand même réussi à te ramener parmi nous, puis cela prouve à quel point tu me désires. Mais si tu veux, nous pouvons faire un marché. Goten releva la tête, et l’observa interrogatif.
- Eh bien je te promets que je resterais sage quand nous ne pourrons pas le faire. ça te va ?
- Oui, cela me rassure…»

Ils rentrèrent, main dans la main comme si de rien n’était.
Mais, cette forte émotion que venait de ressentir Goten, le laissait timoré.
« Comment ai-je pu aller aussi loin ? Pourquoi je n’ai pas pu me contrôler ? Mais qu’est-ce qui a bien pu m’arriver ? ».


Chapitre IV

Un mois plus tard.
« D’accord, je t’attends pas de soucis ^^ »
Goten, attendait Michiyo au Puddy Mullins, un Pub branché de Satan City. Le jeune homme sirote un Panaché, puis vit arriver sa moitié. Un petit bisou pour dire bonjour.
« -On y va ? » demanda la jeune fille
-Oui, parce que ce n’est pas la porte à côté. » répondit le jeune homme.
-J’ai hâte de rencontrer ta mère, mais je suis aussi un peu effrayé, avec tout ce que tu m’as dit…
-Ne t’inquiète pas, ce n’est pas la plus effrayante que tu connaitras dans mon entourage, quoi que… haha. »
Goten sortit une capsule, la lança, et une voiture en sortit, ils grimpèrent tout deux dedans.

« Allez en route ! »
Goten n’avait toujours pas dit à Michiyo, que lui et son entourage avaient des capacités assez exceptionnelles. Elle était au courant que son monde avait subi de graves traumatismes, que ce soit avec Piccolo Daimao, Cell, ou encore Majin Buu, par le biais des médias, et certains cours d’histoires.

Après plusieurs longues heures de route, les deux jeunes amants étaient enfin arrivés chez Goten. Le calme de la campagne était apaisant, les gazouillis des oiseaux, le bruit du vent dans les branches. Ce calme fut de courtes durées.
Chichi sorti de la maison.
« - Alors c’est vous Michiyo ?
- Oui, Madame Son, enchanté.
- Oui, bonjour…
- euh...
- Donc voici ma mère Chichi, derrière c’est mon frère Gohan, sa femme Videl, et tu verras surement ce soir ma nièce, Pan. »
Chichi rentra dans la maison, Goten la suivit.

« - Maman tu n’as pas honte ? C’est quoi cette entrée ?
- Son GOTEN !!! Tu vas me parler autrement ! Je suis ta mère, et tu n’as pas à me manquer de respect !
- JE te manque de respect ? Et toi tu viens de faire quoi là, à Michiyo ? C’est quoi ce comportement puéril ?
- Je n’ai pas à te donner de raisons. Je suis chez moi je fais ce que je veux ! »


Tandis que Gohan et Videl prirent Michiyo pour lui parler.

« -Tu sais Michiyo, ma mère est brute, mais elle n’est pas méchante, je suis sûre qu’elle n’a rien contre toi, elle est juste démoralisée que son petit Goten grandisse.
- Videl ajouta : Tu sais, j’ai eu droit au même traitement, quand j’ai commencé à fréquenter Gohan.
- Non mais ce n’est pas grave, ma mère est aussi brute de décoffrage quand elle ne connait pas, et je vois qu’aujourd’hui Goten est bien intégré puisqu’elle lui parle.

Tous retournèrent à leurs occupations. Gohan à ses copies à corriger, Chichi préparait le repas, Videl l’aidait. Et Goten et Michiyo, se promenèrent à pied.

La nuit commençait à tomber, et Goten entendit son frère qui l’appelait pour le repas.
Une atmosphère de mort régnait à table, un silence lourd et pesant. Gohan tenta de détendre l’ambiance bien plombée, en vain.
« - Bon vous savez quoi ? Puisque visiblement, on vous emmerde, nous allons partir. Lança un Goten excédé.
- Quoi ? Tu te rassoies et tu finis ton …
- Je ne finis rien ! Et tu n’as rien à me dire, vu ton comportement. Cela me faisait plaisir de vous présenter ma petite amie et je vois que ce plaisir n’est pas partagé, nous partons !
Goten se leva de table assez violemment, Michiyo, elle, était très mal à l’aise, mais accompagna Goten. Gohan tenta encore de calmer le jeu « Goten, ne le prend pas comme ça ! » Goten ne se retourna même pas, ils sortirent de la maison et ils montèrent tout deux dans la voiture et reprenait la direction de Satan City.

« - Cet enfant, si doux, si gai habituellement, mais qu’est-ce qu’elle lui a fait… » Pleura Chichi à table.

Dans la voiture, Michiyo gronda Goten :
« - Tu te rends compte de comment tu as parlé à ta mère ?
- Ecoutes, si dès le départ, elle avait au moins été accueillante avec toi, je n’aurais pas réagi ainsi ! Je n’ai pas supporté son dédain, son air hautain, non mais elle se prend pour qui sérieusement ? Au lieu d’être contente, de rencontrer la femme qui me rend heureux, elle sabote tout, elle a toujours tout saboté, tu crois que mon père s’en va pourquoi ? Enfin, je réglerais ça bientôt avec elle !


Chapitre V

Après une longue nuit de route, Goten avait raccompagné Michiyo chez elle, et bien qu’elle le supplia de rester la nuit, à cause de la route et de ses dangers. Goten refusa et rentra chez lui. Il fit quelques kilomètres, avant de ranger sa voiture dans sa capsule, et repartit en volant, pour arriver plus rapidement. Visiblement il voulait en découdre avec sa mère, puisqu’il passa en Super Sayien.
En quelques minutes, il était chez lui.
Chichi l’attendait de pied ferme, et Goten était extrêmement remonté contre celle-ci.
A l’unisson, ils dirent « Il faut qu’on parle », sur un ton ferme, et revanchard.
Chichi commença d’abord :
« - Je ne veux plus que tu revoies cette fille, elle n’est pas faite pour toi !
- Je te l’ai dit tout à l’heure, mais je vois que tu es un peu dure de la feuille, tu n’as plus rien à me dire, ou à m’ordonner, je verrais qui je veux quand je le veux.
- Je t’en empêcherais Goten ! grailla Chichi
- Et comment Maman ? hein dit moi comment ?
- Je vais appeler Gohan !
- Gohan ? ne me fait pas rire, s’il te plait … Il n’aime pas les conflits, et je ne crois pas qu’il souhaite en avoir avec toi ou avec moi.
- Je vais appeler ton père alors
- Papa ? Mais arrêtes de te leurrer bon sang ! Tu crois quoi ? qu’il va revenir parce que son fils fréquente, et que sa femme ne supporte pas sa copine ? Il n’est revenu depuis sa mort que pour un maudit tournoi, même pas pour ma naissance ! Et les 10 ans où on a vécu ensemble, il n’a semblé s’intéresser à moi que parce que j’aimais bien me battre à l’époque… Alors tu crois qu’il va revenir parce que tu piques la crise de la cinquantaine ? Non mais franchement, tu es désespérante…
- Goten, tu… tu… tu vas trop loin ! A peine, Chichi finissait-elle sa phrase qu’elle le gifla de toutes ses forces.
Goten surpris par la violence du mouvement prit la correction de plein fouet, sa tête fit un quart de tour. Il retourna sa tête doucement, soutenait le regard de sa mère, et frappa du poing sur la table.
La table explosa littéralement. Il se releva, s’approcha de sa mère. Chichi était soudainement exténuée, elle n’était plus en colère, elle commençait à ressentir de la peur, à la vue de son fils qui manifestement allait étaler son courroux. Goten leva la main pour rendre le coup que sa mère lui avait infligé. Chichi s’était déjà protégée le visage, mais le coup n’eu pas le temps de partir.
Gohan était intervenu, et avait retenu l’avant bras de son petit frère. « Mais qu’est-ce que tu fais BORDEL !? » rugissait Gohan, Goten se défit de l’emprise de Gohan, fit explosé son aura, en hurlant « MAIS FOUTEZ MOI LA PAIX PUTAIN ! LACHEZ MOI ! ». Et il explosa le mur de la cuisine en passant à travers, volant à toute vitesse.
« - Maman, ça va ?
-Ou… Oui… je crois, mais qu’est-ce qui lui arrive Gohan ? Hein qu’est-ce qui lui arrive ? »
Réclama Chichi, encore sous le choc de la colère de son jeune fils.
Elle poursuivit, « Lui qui était si gentil… »
Gohan répondit « Je ne sais pas Maman, je ne sais vraiment pas… »


Le lendemain, Gohan se leva tôt, mis une tenu plus confortable que son costume 3 pièces habituel, et chercha l’aura de Goten. Une fois trouvée, il partit immédiatement le rejoindre.
Goten était dans les montagnes rocheuses, entrain de dormir dans une immense grotte avec un immense dinosaure couleur rouge.

« -Hey, Goten, réveilles toi, faut qu’on parle
-Hum ? Gohan ? » Goten Bailla, se frotta les yeux, s’étira, et sortit de la grotte rejoindre son frère à l’extérieur.


Chapitre VI


Goten sortit de la grotte encore un peu sonné, par la nuit peu confortable. Il leva ses yeux,
se les frottas encore un peu, cette maudite lumière du jour ! Et dit à Gohan :
« -Je crois qu’il faut qu’on parle de hier so… »
La parole lui fut coupée par une violente droite, qui fit glisser Goten sur une bonne dizaine de mètres !
Il resta au sol quelques secondes, mis le revers de sa main sur sa joue, et le passa jusqu’au coin de ses lèvres. Il saignait, et il avait une grande douleur au niveau de sa blessure, Gohan n’y était pas allé de main morte. Il se rapprocha de Goten, le saisissant par le col de son t-shirt le souleva et prit la parole, furieux :
« -Ce que tu as fait hier soir, est inadmissible Goten ! Tu as failli Frapper ta propre mère ! T’as vraiment aucune dignité, frapper quelqu’un de plus faible que soit, et sa propre mère ! Je ne compre….
- Ca a l’air d’être de famille visiblement… coupa Goten
- Pardon !?
- Tu ne t’es pas gêné pour m’en coller une à l’instant… Et je suis, moi aussi, plus faible que toi…
Et ton petit frère qui plus est… Goten était fier de sa petite pic.
- C’est quoi ton problème ?!
- Mais enfin, tu l’as bien vu, tu étais là hier soir ! Tu as vu son comportement envers Michiyo, c’était juste rageant ! Et quand j’ai voulu en discuter avec elle, elle l’a encore pris de haut, Non mais elle croit quoi ! Ca m’énerve.
- Le plus qui m’inquiète dans ton discours, c’est que tu n’as aucun remord, de ce que tu as failli faire ! Et je t’avertis, que si jamais tu nous pètes encore une durite, je n’attendrais pas que tu te calmes, je viendrais te calmer !
- Mais Gohan mets toi à ma place bon sang ! Elle manque de respect à la personne que j’aime le plus au monde, et quand j’essaie de lui faire prendre conscience de ce qu’elle a fait, elle réagit d’une manière encore plus puérile !
- Mais Goten, ce n’était pas une raison pour lui parler comme tu l’as fait, et encore moins, le geste que tu as failli avoir à son égard, Maman est comme ça, on le sait, on la connait tous assez pour savoir comment elle réagit. Tu te souviens de comment elle a réagit, lorsqu’elle a cru que j’ étais mort, et qu’elle est allée « affronter » Buu… Elle a un caractère spécial, mais ça n’est pas une raison ! Tu sais qu’elle a passé la nuit entière à pleurer, elle ne comprend pas ton geste, ton comportement, et à vrai dire moi non plus... Alors, je te l’ai déjà dit, et je vais te le répéter encore une fois, si tu oses, ne serait-ce que élever la voix, sur maman, je te jure, que tu ne pourras plus parler pendant des mois entiers… C’est compris ?
- Mais… Mais… Compris, je suis vraiment désolé, ça a vraiment été plus fort que moi, je me suis emporté, et je me suis vraiment comporté comme un con.
- Ce n’est pas auprès de moi qu’il faut s’excuser, mais auprès de Maman. Va, on rentre.


Goten remercia le dinosaure de lui avoir prêté sa tanière pour la nuit et les deux frères s’envolèrent pour rentrer chez eux.

Pendant le vol, Gohan regardait son frère, il pensait à la répartie de son petit frère « ça a l’air d’être, de famille… » . Cette bosse qu’il lui avait infligée sur la joue, le faisait culpabiliser, peut-être y était-il allé un peu fort… Donner des leçons, c’est nécessaire par moment, mais, ce coup de poing, était-il vraiment pédagogique. Finalement est-ce qu’il n’avait pas fait, ce qu’il avait empêché la veille ?

Goten était pensif lui aussi, Il se rendait compte de son comportement, mais quand même, sa mère avait abusé. Bref, il décida de présenter ses excuses, une mère reste une mère, et la sienne reste la sienne avec ses défauts et ses qualités.

Gohan, rentra dans sa maison, et Goten rentra avec beaucoup d’appréhension chez lui. Faire le coq, et partir du poulailler, en claquant une porte, c’est facile, mais revenir, pour s’excuser… C’est d’une autre paire de manches ! Il ouvrit la porte et se dirigea vers la cuisine, sachant que sa mère y serait entrain de boire son café. Puisqu’il l’avait vu à travers le trou béant qu’il avait laissé la veille.

« - Maman, je voulais, te dire, euh, pour hier soir, je suis… »
Chichi, ne leva qu’un doigt, elle sortit de sa robe de chambre, un papier, qu’elle donna à Goten. C’était un petit mot.

« Mon fils,
Le comportement dont tu as fait preuve hier soir, est une honte, je ne t’adresserais plus la parole jusqu’à nouvel ordre. Tu m’as d’abord beaucoup peinée, et tu m’as fait extrêmement peur. Et ce soudain changement de comportement est dû à ta relation avec Michiyo. Que tu sois amoureux, et heureux de vivre, est une magnifique chose, mais que tu puisses te mettre dans ce genre d’état pour une fille, je ne le tolère pas. Je te conseille de m’adresser la parole, une fois que tu auras rompu avec elle, pas avant. Sache que je t’aime quand même.»

« -Pfff… ah oui c’est vachement mature ce genre de comportement, hein Maman ! »
Chichi ne daigna même pas répondre, et monta l’escalier en direction de la salle de bain.
« -Elle m’énerve ! » grogna Goten

Après plusieurs semaines, après plusieurs mois, Goten n’avait que pour seul compagnie chez lui, son ordinateur, son téléphone portable, les gazouillis des oiseaux et Le dinosaure rouge. Mais bon peu importait, il était plus souvent chez sa belle famille que chez lui.
Ce jour là alors qu’il s’apprêtait à partir de chez lui, Videl l’interrompit :
« - Goten tu peux me rendre un service, s’il te plait ?
- Euh oui dis toujours
- Tu peux me garder Pan, s’il te plait ? Gohan est au travail, et j’ai un entretien d’embauche à la capitale de l’ouest !
- Euh… et bien… bon ok, pas de soucis.
- Merci, je file, la petite dort, ne la réveilles pas trop tard !

Goten appela Michiyo, pour lui dire, qu’il ne viendrait que ce soir, qu’il devait garder sa nièce. Michiyo n’était pas gênée par la situation, du moment qu’ils se voyaient c’était l’essentiel.

Toute la journée, Goten n’eut pas le temps de s’ennuyer. Pan avait un don pour monopoliser l’attention, séance de combats, chasse aux dinosaures, et émerveillements devant des papillons plus gros qu’un poing adulte, gouters copieux. Non vraiment Goten ne s’était pas ennuyé une seule seconde, cette journée le rendait même nostalgique de sa propre enfance.

« Bon, ça fait déjà 4 textos que j’envois à Michiyo, et elle ne répond toujours pas. » pensa t’il, « je vais l’appeler. Messagerie…»

« -Oui, mon ange, comme tu ne réponds pas, c’était pour te dire que je serais là dans 3 heures environ, j’espère que tout va bien, bisous, Je t’aime » derrière se faisait entendre Pan « Tonton appelle sa chérie, il est amoureux, lalalala »
« - Pan, Cours, ou envoles toi !
- Euh, Pourquoi ?
- Parce que si je t’attrape je te mange toute crue
- AAAAAAAAAAAH.
- Attends, deux secondes Pan !


- Aaah Mon cœur ! Oui […] Pourquoi tu pleures ? qu’est-ce qu’il se passe ? […] QUOI ? […]
- Ma mère a eu un accident de voitures, elle n’a rien, mais… mais… ma sœur est morte.


Chapitre VII

« -Goten réveilles toi, mon chéri, c’est l’heure.
-Maman ? Tu me reparles maintenant ?
-Bien que tu te sois très mal comporté, tu es mon Fils, et quel genre de mère je serais, si je te laissais traverser cette épreuve tout seul ! Allez habilles toi, il ne faut pas que tu sois en retard, Michiyo a besoin de toi.
- Maman, merci…


Chichi avait beau ne pas porter Michiyo dans son cœur, elle était maman avant tout, et surtout profondément humaine. Perdre un être cher était une épreuve que l’on ne pouvait traverser seul ou seule. Cette triste nouvelle, lui rappelait, les deux fois ou son mari était mort, le « kidnapping » de Gohan par Piccolo, et l’escapade de Goku pour s’occuper de ce jeune garçon. Et bien que Goten fut un Sayien, il était aussi un humain, et il avait besoin de sa mère.

Cela faisait maintenant 4 jours, que le décès de Nana, avait secoué les familles Son et Haleato.
Une jeune fille de l’âge de Goten à peine, avait été victime, d’un homme ivre sur la route.

A la réception de la terrible nouvelle, Goten voulu rejoindre Michiyo à l’hôpital de Satan City, mais celle-ci, lui avait dit que ce n’était pas la peine, cela ne servait à rien qu’il vienne pour le moment.
Goten, piétinait en attendant que Videl rentre, car il souhaitait plus que tout savoir s’il pouvait faire quelque chose, et le seul apte à y répondre, c’était Dendé.
Videl fut à peine arrivée, que Goten s’envola au palais. Videl ne comprenait pas, et Pan ne pouvait lui dire, car Goten avait tenu secret, aussi bien qu’il le pouvait, le contenu de son appel.
Arrivé chez Dendé, Goten oublia les formules de politesses habituelles.
Il se rua sur Dendé, le prenant par le col de ses deux poings fermes.
« - Pourquoi n’as-tu pas empêché ça Dendé ? POURQUOI ???
- Goten, Calmes toi, je ne pouvais rien faire, je ne pouvais pas prévoir que…
- Goten, lâches le ! Un ton strict, autoritaire, un ton de Maître, Piccolo venait de sortir du palais.
- Mais Piccolo !
- Je sais, c’est dur, mais nous ne pouvions le prévoir…
- Et les dragons balls, enchérissait Goten.
- Shenron ne peut exaucer un tel souhait, la demoiselle est morte à l’hôpital, car son cœur refusait de repartir, si elle avait été tuée sur le coup, peut-être que… expliqua Dendé avant d’être coupé par Goten
- Mais vous vous rendez compte de ce que vous dites ? Nous avons pu ressusciter une planète, et tous ses habitants, et il est impossible de ressusciter une unique victime de la route ?
- Je suis désolé, répondit honteusement Dendé.
- Etre désolé ne suffit pas ! Il faut que je fasse quelque chose n’importe quoi !
- Il n’y a rien à faire, à part accepter la dure réalité Goten. Répondit Piccolo.
- Vous me dégoutez, TOUS autant que vous êtes !

Goten s’envola fou de rage, les larmes aux yeux. Les deux Nameks se regardèrent interrogatifs. Il n’avait jamais vu le métis Sayien aussi tourmenté.


Aujourd’hui, avait lieu l’enterrement à Satan City, l’une des journées les plus douloureuses que Goten aie vécu avec le jour ou Majin Buu avait tué sa mère.
Toute la famille de Michiyo était présente, Goten collait Michiyo, la réconfortant de ses bras forts.
Les paroles de l’homme de religion, étaient tellement dures à entendre, elle ne faisait que les pousser à accepter, l’inacceptable, la perte d’un être cher. Sorti du cimetière, les gens venues rendre hommage à la défunte, donnaient leurs condoléances à la famille. Quand ce fut au tour de Goten, il tomba nez à nez avec La maman.
« -Goten, merci d’être venue
-Mais ce n’est rien, c’est normal
-Il faut que tu viennes à la maison, Michiyo a besoin de toi
- Mais ce n’est pas ma place, c’est un moment solennel, ou vous devriez vous retrouver juste en famille…
-Goten, s’il te plait, pour Michiyo…
-D’accord… »

Comme d’accoutumé, les plus âgés étaient dans la cuisine, et les plus jeunes, dans la chambre de Yanuko, Michiyo avait trouvé le sommeil dans les bras de Goten. Yanuko lui avait dit que cela faisait 4 jours qu’elle n’avait pas dormis, et que c’était bien qu’il soit venu.
Les jours suivants furent éprouvants le contre coup du décès de la jeune Nana, avait monté les tensions familiales à leurs paroxysmes. En effet, Yanuko et son père Hajime, ne cessaient de se crier dessus, pour tout et rien, les capacités d’un véhicule, une bouteille d’eau vide au freezer. Tandis que la mère errait chez elle, fumant cigarettes sur cigarettes. Michiyo tentait de garder la face, et se retrouvait à diriger la famille, un peu par intérim. Goten, lui tentait de rester impassible, et de calmer les hostilités aussi bien qu’il le pouvait, mais il n’avait pu réellement extérioriser sa colère et sa haine envers le monde entier, il se contenait, pour son amour, pour sa belle famille, qu’il appréciait plus que de raison.
Un soir alors que Michiyo, s’était endormie tôt, il s’était éclipsé quelques heures.
Cette nuit là, il avait un but, retrouver cet homme, cause du malheur de sa bien-aimée.


Chapitre VIII


Goten ne savait que très peu de choses sur cet homme, son patronyme était Shishio, et il habitait en périphérie de Satan City. Et les quartiers pullulaient. Ils devaient y avoir bien une dizaine de quartier sur le coté nord périphérique.
Goten prit le soin, de masquer son aura, et de se déplacer autant que faire ce peut, à pied ou en volant très lentement. Arrivé dans les quartiers résidentiels, il s’arrêta à toutes les boites aux lettres, cherchant le fameux Shishio. Il fit 5 ou 6 quartiers. Il enrageait, il bouillait d’impatience de le retrouver. Il avait de plus en plus de mal à se contenir. Au bout d’une vingtaine de maisons, ça y était enfin, il l’avait trouvé. SHISHIO !

Il plia le portail d’un simple Kiai. La porte d’entrée ne résista pas plus longtemps. Goten était dans la maison.
Shishio, endormi sur son divan, la Télévision allumée, avec sur sa petite table, des cadavres de bouteilles encore frais. Se réveilla précipitamment, ne comprenant pas d’où venait ce bruit.
« - Mais qui êtes vous ? Sortez de chez moi !
- Toi, je vais te…
- Sortez de chez moi !
- TU VAS LA FERMER ! Et tu vas m’écouter attentivement… l’homme fut surpris de voir qu’un jeune homme d’une vingtaine d’années, pouvait avoir autant d’autorité sur lui.
- Tu as tué, une fille il y a de cela quelques jours, et je suis venu te le faire payer au centuple.
- Mais… mais… c’était un accident… si vous saviez, je le regrette tout les jours, je sais que je suis un monstre, je sais que je ne mérite pas de vivre, j’étais déjà une loque, et aujourd’hui je suis encore pire qu’une épave... Même si Goten était jeune, il avait réussi à pousser la terreur de cet humain à un degré, encore inexploré.
- JE T’AI DIT DE LA FERMER !!! c’était à ce moment que Goten avait perdu tout contrôle, tout ceux sur Terre capables de ressentir le ki, ou les auras, ressentaient la puissance négative s’évacuer de Goten. Tous savaient, que Goten n’avait pas encore explosé, et s’attendaient à ressentir une puissante aura, sur une durée plus ou moins aléatoire, dans les quelques jours suivant l’enterrement. Ce fut Vegeta, lors de son combat contre Cell, Gohan contre Radditz ou Cell également, Goku face à la première mort de Krillin, ou face à Freezer, ou Trunks face à Buu, quand Vegeta était dominé dans leurs combats. Et Goten, plus qu’inconsciemment, avait préparé son coup, en ne se laissant pas aller tout de suite.

L’aura avait fait exploser le toit de la maison tout entière, et avait projeté Shishio dans son jardin à travers une vitre. Goten venait de faire apparaître deux kikohas dans ses mains, il jeta la première sur la jambe gauche de Shishio, et la deuxième sur la jambe droite, à la manière de Piccolo Daimao. Il se rapprocha lentement de Shishio. Son aura de Super Sayien, commençait à bruler l’homme à terre, hurlant de toutes ses forces, la douleur que lui infligeaient les kikohas. Goten se rua dessus, l’attrapa par la bouche de sa main droite pour lui éviter de trop crier de douleur. Il le souleva à un mètre quatre vingt du sol. Et avec sa main gauche, son index pour être précis, appuya sur certaines zones du corps de l’humain. Tout d’abord, il appuya comme sur une sonnette, sur la clavicule de Shishio, un crac se fit entendre, Goten venait de lui péter la clavicule. L’homme tentait de se dégager par tout les moyens, il se débattait, en même temps qu’il hurlait d’horreur et de souffrance, mais en vain. Goten achevait son « œuvre » de tortures et de vengeance. A Chaque fois, qu’il sentait un peu de résistance sur la peau de Shishio, qui était du aux os, Goten appuyait toujours un peu plus.
Shishio voyait dans le regard de Goten, un sadisme qu’il n’avait jamais vu auparavant, même dans de très bons films, animés ou mangas. Il ne connaissait pas cette expression, et elle le terrifiait.
Après plusieurs minutes de tortures, Goten ne ressentait plus le cœur de sa victime battre. Il le lâcha comme une pierre qu’on lâcherait du haut d’un pont dans l’eau. Et lui lança un Kikokah qui le désintégra.
Puis il s’envola à toute vitesse. Il était dans une zone désertique. Encore une fois, il se laissa aller. Il faisait exploser son énergie encore et encore, en hurlant, à la manière de son peuple quand il se transformait en Oozaruu. Une fois, calmé, il rentra chez Michiyo. Il était très tôt, le jour se levait à peine. Rentrant sur la pointe des pieds. Il se recoucha comme si de rien n’était.

Le midi, le journal télévisé, faisait état d’un fait divers. Une maison dans la périphérie nord de Satan City avait explosé, suite à une fuite de gaz apparemment, la maison appartenait à un certain M. Shishio et la police menait l’enquête…

Bien que souhaiter la mort d’un homme n’était et n’est pas exprimable, la famille Haleato avait émis l’hypothèse que cela serait peut-être apaisant pour eux. Mais il n’en était rien.
On ne peut compenser la mort d’un être aimé, par celui d’un inconnu, élu objectivement ou subjectivement, responsable.


Chapitre IX

Les jours se suivaient, et ne ressemblaient plus à ce que Goten avaient connus. En effet depuis quelques mois, Michiyo était devenue plus agressive, plus virulente dans ses propos, elle s’intéressait de moins en moins à Goten. Quand il parlait, elle ne lui répondait que par des pics ou des paroles sèches. Les « Je t’aime » devenaient une denrée rare, Les atomes crochus qui se découvraient chaque jour, il y avait quelques mois, se faisaient moindre, les braises qui animaient leur amour, commençaient à s’éteindre petit à petit, et Goten le sentait bien. Il devenait empreint aux doutes, surtout quand elle lui disait, qu’elle sortait avec des copines, et des copains. « Des copains ? Qui sont-ils ? Pourquoi elle veut les voir eux, et moi non ? » La jalousie, ce vilain sentiment, il l’avait déjà ressenti étant enfant, Trunks avait un papa, et lui non. Gohan préférait aller voir Piccolo, alors que Goten ne demandait qu’à passer du temps avec son grand-frère. Seulement, à cette époque la jalousie, était mélangée à la mélancolie, mais ce jour là, il se rajoutait la colère, et une forme de désespoir. Goten se posait des centaines de questions. Il avait conscience que son amour lui échappait, et il ne voulait pas l’étouffer non plus, Michiyo avait perdu sa sœur, et il saisissait qu’elle ait besoin de changer d’air. Mais lui, que devait-il faire pour revenir dans les bonnes grâces de Michiyo, pour raviver cette flamme.
Plusieurs mois passèrent. Le couple avait trouvé une nouvelle routine. Michiyo disait, Goten s’exécutait, Michiyo parlait, Goten se taisait. Michiyo frappait, Goten reçevait. Puis un jour, Goten pris son courage à deux mains, et posa les questions qui le taraudait.
« -Michiyo, est-ce que je peux te demander quelque chose ?
- Oui, quoi ?
- Est-ce que tu m’aimes encore ?
- Mais bien sûr ! Quelle question stupide !
- C'est-à-dire que je te trouve distante ces temps ci, et tu n’as plus aucune retenue avec moi.
- Comment ça je n’ai plus aucune retenue avec toi ?
- Eh bien j’ai vraiment l’impression que tu me traites comme un chien
- C’est n’importe quoi, jamais je ne ferais ça, je t’aime, sincèrement, et je ne veux pas te faire de mal mon ange.
- Merci cela me rassure, je t’aime aussi. Les doutes étaient pourtant, toujours présents.


Quelques jours plus tard.
Goten appela Michyo :
« - Coucou mon cœur, ça va ? On se voit aujourd’hui ?
- Non, je vais avec Sanji au ciné déjà.
- Quoi ?!
- Bien je ne vois pas le problème, c’est un mec sympa avec qui je m’entends bien, on ne peut pas être toujours collé Goten !
- Tu sais quoi laisses tomber, fais ce que tu veux, et rappelles moi quand tu voudras qu’on se voie ! J’en ai marre de courir après du vent !
- Eh bien si tu en as marre, tu n’as qu’à rompre !
- Mais je ne veux pas ! J’essaie de te faire prendre conscience de ce que je ressens ! Enfin bref à plus !

Plus tard dans la journée, sur les coups des 18 heures, Goten était content. Il venait de recevoir un texto de Michiyo. Il s’empressa de l’ouvrir.

« Mon cher Goten, je suis vraiment désolée, mais je crois qu’il faut qu’on arrête maintenant, Nous étions heureux, et aujourd’hui nous ne le sommes plus. Je te fais souffrir, alors que je ne le veux pas.
Je pense que quelque chose s’est brisé en moi le jour ou ma sœur est morte. Et même avec tous les efforts que tu fais, je n’arrive pas à avancer à tes côtés. Je t’en prie ne me déteste pas. »


Le portable se brisa sous la pression des doigts de Goten. Il éclata en sanglots, tomba les genoux au sol, tapant et tapant encore ce maudit sol, créant un cratère de plus en plus profond. « Après tout ce que j’ai fait pour elle, après avoir vendu mon âme en tuant cet homme de sang froid, après lui avoir donner tout ce que j’avais de meilleur en moi, Comment peut-elle ? COMMENT PEUT-ELLE ? »

Chichi sortit de la maison en entendant les bruits sourds que provoquait Goten.
« - Mon chéri, que fais tu, que t’arrive-t-il ?
- Elle me quitte ! »

Goten fut prit dans les bras de sa mère, alors qu’il était en pleurs. Chichi ne disait mot, elle laissait son fils se laissait aller. Mais elle n’en pensait pas moins, elle était soulagée, son fils allait enfin redevenir « normal ».


Chapitre X

Goten, ne s’alimentait plus depuis maintenant plusieurs semaines. Là ou un homme serait décédé en 4 ou 5 jours, lui avec son code génétique spécial tenait, mais contre son gré.
Plusieurs personnes de son entourage venait lui tendre la main et se retrouvait face à un mur,
Ils n’eurent pour réponse qu’un mutisme le plus pur, Ils tentèrent dans le fond et dans la forme de détruire cette carapace, de la guérir, de la rénover, de l’empêcher de céder plus, mais rien n’y faisait, il restait de marbre.
Le jour ou il savait qu’il serait seul à la maison, sans ses voisins, il envoya un message à Michiyo, il devait la voir, mais vu son état de santé, il ne pouvait bouger. Et elle voulu bien lui accorder cette faveur. Et il lui tint à peu près ce langage :


« Quitte à trépasser, je souhaiterais que ce soit de tes mains.
Bien que je sache, que le courage employé ne sera pas mien,
Cela ne me pose que guère d'inconvénients, au contraire,
Ce sera le dernier contact tant espéré, de ma chère contre ma chair
J'entends bien que Cette étreinte ne sera que très peu charnelle,
Mais me permettra-t-elle, peut-être, d'oublier, nos lointaines querelles.
Et qu'a l'aube, à l'aurore, de mon départ,
Les ressentiments s'en iront
Les sentiments nous enivreront
Et un baiser ne sera pas donner au hasard.
Mais que, au contraire, il sera soutenu par nos deux entités,
Que chacun d'entre nous, pourra gouter à ces merveilleux péchés
Que sont, pour moi, nos lèvres, l'une contre l'autre délicatement posées
Que sont, pour moi, l'exquise sensation de nos langues entremêlées.
Peut-être ne mériterais-je plus, cette sensation d’être transporté
Avec ce que j'aime appeler communément, "des papillons dans le ventre".
Cette force qui nous est invisible et qui s'immisce dans nos antres,
Celle ci même qui se nomme Amour, Celle ci qui nous blesse à jamais,
Et qui me pousse aujourd'hui à te demander, une dernière faveur.
J'aurais préféré, en remplacement de ceci, t'offrir des fleurs
Celles que tu aimes tant, et qui m'ont, jadis, fait tant d'honneur
Mais aujourd'hui, j'ai souhaitais te recevoir dans cet état d'horreur.
Que ton geste, soit moins dur, à accomplir. Détruire
Cette âme, que je ai eu tant de plaisir à t'offrir.
Cette tache t'incombe, femme, Toi qui l'a à jamais maudite
Toi, qui aujourd'hui, m’as ôté toute raison de vivre cette vie… »


Il voulait qu’elle l’aide à se suicider, même aller encore plus loin, Il voulait qu’elle le tue physiquement. Elle avait su le détruire moralement, il devrait lui être plus facile de prendre une lame et de le planter.
Les noms d’oiseaux fusèrent, comme des étoiles filantes, comme lorsque, jadis, Buu et Gotenks se bombardèrent de Kikohas.
Michiyo faisant face à tant d’irrationalité, prit ses jambes à son cou, et fuyait aussi vite qu’elle pouvait, en précisant cependant, qu’elle ne voulait plus jamais entendre parler de lui, qu’il fallait qu’il l’oublie et qu’il arrête de se morfondre. Après tout ce n’était pas la fin du monde.



Chapitre XI

Devant l’état accablant de son fils, Chichi ne savait que faire. Personne n’arrivait à réanimait le cœur de Goten. Les blagues foireuses de Trunks, Les discours monotones de Gohan, la joie et l’innocence de Pan, ou même, et ça en était d’ailleurs plus surprenant, la visite de Vegeta (certainement du à une pression de Bulma et de Trunks) et son Laïus plein de vérités, mais tellement cynique. Rien ne fonctionnait. Jusqu’au moment ou elle eut une idée. Elle se souvint de l’échange houleux qu’ils avaient eu, elle et Goten, et de comment Goten avait parlé de son père. Sous la colère de ce jour là, se cachait peut-être un mal-être que seul Goku pourrait résoudre…
Qui ne tente rien, n’a rien !
Elle somma alors Gohan d’aller chercher son père.
Il était facile de repérer, l’un des êtres les plus puissants de l’univers sur Terre.
Quasiment une heure plus tard, Goku était revenu à la maison. Gohan l’avait un peu briefé, mais avait quand même laissé le plus gros du travail à sa mère.
Après de tendres retrouvailles. Chichi tenta d’expliquer la situation à son époux.
Inutile de dire, que Goku ne comprit pas tout, et synthétisa à sa manière « Goten a une peine de cœur, et faut que je le réconforte ? C’est ça ? »

Goku monta les escaliers de sa maison, entra dans la chambre de Goten.
Goten ne bougeait pas, jusqu’à ce que le son de la voix de son père se fasse entendre.
« - Alors Fils, ça va pas fort on dirait ?
- Goten se retourna, surpris, Papa ?
- On m’a dit que tu n’étais pas bien, alors je suis venu voir ce que je pouvais faire pour toi
- C’est gentil, répondit faiblement Goten, mais je ne crois pas que TOI, tu puisses faire grand-chose… Le monstre, ou le démon est intérieur, tu ne pourras pas le désintégrer avec un Genkidama…
- Hum, je vois… Personne n’a de démons ou de monstres d’intérieur, tu as peur de quelque chose, et cela te paralyse, c’est normal. Goten sourcilla. Tu sais Goten, pleurer, c’est bien, ça permet d’évacuer la déprime, mais ce que tu fais là, n’est ni bon pour ton mental ni pour ton physique.
- Papa, je n’ai pas envie, je ne veux pas rester ici, j’ai envie de mourir…
- Ecoutes être mort n’a rien de génial, tu iras devant Enma, et ton enveloppe corporelle sera détruite et tu resteras un petit fantôme pour l’éternité, mais ce qu’il faut que tu saches, c’est que tes souvenirs seront intacts, la peine que tu ressens ici, tu la ressentiras aussi au paradis, alors il vaut mieux que tu te ressaisisses, affrontes tes peurs, combats les, pour rentrer au paradis serein et au moins à l’âge du vieux Muten Roshi ! Avant de venir, j’ai récupéré quelques Senzus chez Maitre Karine, manges en un, même deux vu ton état.
- Crounch crounch… Merci papa… Cela me fait plaisir que tu sois venu.
- C’est normal après tout, je suis ton père.

Après avoir mangé les deux senzus, Goten vit ses forces revenir, et même un peu plus que prévu. Une accolade père fils bien méritée.
La nuit commençait à tomber, Toute la famille Son était à table pour fêter, le retour de Goku, et le retour de Goten! Bien que Goten fut sortit de sa léthargie, il restait toujours dans ses pensées.
Et une phrase lui revenait «affrontes tes peurs, combats les ». Et en sondant son âme, son inconscient, finalement quelle était sa plus grande peur ? Que Michiyo l’oublie, qu’elle oublie ces fabuleux moments, et qu’elle les remplace par d’autres. Et ça, il en était hors de question !

Goten se leva de table, regarda sa famille, et clama avec grandeur, « Je vais affronter mes peurs ! » Il lança un clin d’œil à son père, qui comprit que son fils s’était enfin reprit !
Chichi n’eut pas le temps de l’arrêter de la voix, qu’elle était déjà coupée par Goku :
« Laisses le Chichi, il prend son destin en main ! »


Chapitre XII


Après seulement quelques minutes de vol, Goten était arrivé chez Michiyo.
Il s’était posé dans son jardin, manifestement il y avait beaucoup de monde. A peine avait-il atterri qu’il scandait son nom.
« Michiyo, sors il faut que je te parle ! »
Mais la seule personne qui sorti de la maison, c’était Yanuko :
« - Vas t’en Goten, elle ne veut pas te voir.
- Si elle ne veut pas me voir, c’est moi qui irais !
- Non, reste là !
Yanuko avait attrapé Goten par les épaules, l’immobilisant, du moins croyant l’immobiliser.
« Yanuko, lâche moi, c’est un conseil. » « Je me fous de tes conseils » repris Yanuko sur un ton plus autoritaire « elle ne veut pas te voir alors vas… ». Yanuko n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’il se prit un violent coup de genoux dans le ventre, le faisant s’agenouiller de douleur.
Goten monta les escaliers, direct dans la chambre de Michiyo, qui criait d’effroi face aux spectacles qu’elle venait de voir de sa fenêtre.
« - Goten, vas t’en ! Mon frère ! Qu’as-tu fais !? Meurtrier, Assassin !
Aucun mot n’atteignait Goten, il était là pour une unique chose, et rien ne l’empêcherait d’atteindre son but.
- Je suis venu pour toi, mon ange, mon amour, je ne veux pas que tu m’oublies, je ne veux pas que tu remplaces NOS moments, par d’autres moments avec un autre !
- Mais tu es complètement malade, Lâches moi Ordure !
Soudain, le père rentra avec un fusil dans la chambre de sa fille « Lâches là Goten, ne m’oblige pas à te faire du mal ! », Goten ricana… ce qui déstabilisa quelque peu Hajime. Michiyo cria soudain « Il a tué Yanuko ! ». Hajime n’en croyait pas ses oreilles, le jeune et frêle Goten, tuer Yanuko…
« Je suis désolé Goten, TU NE ME LAISSES PAS LE CHOIX ! » Hajime pris soin de viser le jeune homme et ferma les yeux aux deux détonations du fusil qu’il tira. Michiyo, elle, s’était mis au sol, en boule.
Un grand rire força Hajime à ouvrir les yeux. Et là il regarda Goten, rigolait. « Hey le vieux, toi tu tires des coups de feu, hein ? Eh bien moi, je tire des BOULES DE Feu ! » Le paternel n’en revenait pas, Goten avait deux trous sur son t-shirt au niveau du pectoral droit. Goten forma un Kikoha, Hajime commença sérieusement à douter de ses capacités de mortel, quand il vit Goten avec une boule de feu ardente, brulant le plafonnier en toile. « Ce n’est pas, ce n’est pas possible, ça ne peut exister !»
Soit heureux Hajime, ce sera la dernière chose que tu verras, et c’est extraordinaire, non ? » Goten lança son flux énergétique et brula la partie inférieure du patriarche. La partie supérieure tomba comme une pierre. Avec le bruit d’une pierre qui tombe dans l’eau, à la seule différence prêt, c’est que c’était le sang qui faisait spouitch. Michiyo ne put contenir son horreur, ce qu’elle vivait était une atrocité qui ne pouvait porter de noms.
« -Pa…pa… Pa… PA, PAPA ! » Elle se releva et tapa de toutes ses forces son ancien amour.
- Allons bon ça suffit, viens on va chercher ta mère, et on va s’occuper de tous ceux présents chez toi ! »
- Mais pourquoi fais tu ça Goten, Pourquoi ?
- Je te l’ai dit non, je ne veux pas que tu m’oublies…
- Mais t’es complètement cinglé, espèce de MONSTRE, Assassin !
-tututut, Ce n’est pas très gentil ce que tu me dis là. Ah Madame Haleato ! Vous ne m’avez jamais vraiment aimé hein ? Allons bon, posez ce couteau, vous pourriez vous faire mal !
- Lâches ma fille, espèce de petite sous merde, pourquoi crois tu qu’elle t’a quitté ? Parce qu’elle savait que tu étais complètement demeuré, impuissant, et tout ce qu’on peut trouver de répugnant chez un homme ?
-Comment ?! Qu’osez-vous déblatérer sur moi ? T’as osé raconter ces cracs à ta mère TOI ?
Alors que Goten se retourna pour parler à Michiyo, Madame Haleato se jeta sur lui avec son couteau de cuisine et tenta de le poignarder.
Mais quelle stupeur l’eut prise quand elle vit, que la lame du couteau était totalement émiettée au sol alors que Goten n’avait que son T-shirt de déchiré.
« Ah je vois c’était une ruse ! Bravo bien joué, Pardon d’avoir douté de toi ma chérie. Ma naïveté je la dois à mon père. Oh zut mon T-shirt, c’est ma mère qui ne va pas être contente. »
A cet instant précis, Madame Haleato ne savait que penser, elle était prête à tout pour protéger son cocon familial, et elle venait de perdre son mari, son fils ainé. Quelle était le genre de monstre, qu’elle avait hébergé pendant tout ce temps ? Cette folie ne pouvait être humaine, oui, il existait parmis ce monde des psychopathes, des personnes sans remords, ni reproches, mais Goten explosait tout les records. Elle était en face de quoi ? Un Boogeyman ? Un extra-terrestre à forme humaine ? Non cela n’existait que dans les fictions. Mais il était quoi alors ? Avait-il un point faible ?
Elle n’eut pas le temps d’aller plus loin dans ses pensées que Goten la saisissait par la gorge, serrant petite à petite l’étreinte, déjà extrêmement douloureuse, sur le cou de son ex-belle mère, tout en criant sur Michiyo « TU VOIS CE QUE TU ME FORCES A FAIRE, SI TU NE M’AVAIS PAS QUITTE, JE N’AURAIS JAMAIS FAIT CECI » Michiyo tenu par Goten, détournait la tête, fermait les yeux et en un geste il brisa le coup de Madame Haleato. Michiyo hurla alors
«- NON ! Tu n’as donc aucune pitié ?
- De la pitié ? T’en as eu toi quand tu m’as largué comme une merde, par texto ! T’en as eu toi ?! Réponds, REPONDS ! Michiyo baissa la tête devant tant de rancune, d’animosité, de perversité. Goten en rajoutait une couche : « Quand on fait des conneries, ma chérie, on assume, ALORS ASSUMES ! »

Il la serra par le poignet, et la força à sortir. Michiyo remarqua que le cadavre de son frère avait disparu « ce n’est pas possible, ils seraient plusieurs ? ».
Instantanément, Yanuko qui avait trouvé la force de se relever, et de se cacher se lâcha sur Goten. Malheureusement c’était vain.
Goten lui saisissa, le bras droit et le souleva, à la limite du démembrement.
«- Tu sais je me souviens de ton beau discours, sur ta famille, et tes sœurs, mais tu n’as même pas su protéger tes cadettes, et aujourd’hui tu as vu ce que cela me pousse à faire ? TU AS VU ?
-Tu rejettes sur moi et ma famille ta haine, parce que ma sœur t’a largué, t’es qu’un désaxé !
- Si je suis dingue, ce n’était et n’est que de ta sœur ! Hey Michiyo regardes, je vais faire de la batterie !
-Qu… QUOI ?! Yanuko ne comprenait pas
Goten projeta Yanuko d’un Kiai, seul le son du coup retentit, et il enchaina, une multitude de Kiais, placés à divers endroits du corps de Yanuko. Jambes, Bras, parties intimes, tronc. En lançant le dernier assaut, il tourna le dos à sa victime, et sans sourciller, il bougea son bras vers l’arrière le fit exploser d’un Kikoha. Le sang jaillissait de tous les flancs aériens possibles, retombant comme la pluie, ou comme la foudre, sur les deux personnes encore vivant.
Goten commença à s’envoler tranquillement, Michiyo suivait, obligée. Arrivés à une certaine hauteur, il s’arrêta, et dit :
« -C’est une belle vue qu’on a sur ta maison, et regardes le paysage magnifique non ? »
Il la releva à sa hauteur, lui fit un baiser forcé, et lui demanda de regarder sa maison.
« Au fait, j’espère que vos invités ont pu partir… »
Il envoya alors soudainement un jet énergétique, et fit littéralement explosé la maison. Il approcha sa bouche de l’oreille de Michiyo et lui fit en murmurant « Tu sais, je t’aimais, je t’aime et je t’aimerais mon ange, mais ce soir je suis content, car, je suis sur que, que tu sois au paradis ou en enfer, Tu ne m’oublieras jamais… Et c’est mon souhait le plus cher, Je t’aime.».

Il prit la peine de la forcer à l’embrasser, et il lâcha Michiyo dans le vide. Son regard empli de tristesse, d’incompréhension donnait l’impression qu’elle restait à hauteur de Goten. Mais, il ne fallu que quelques secondes pour qu’elle atteigne le sol. Le bruit de son corps le percutant, fut d’une rare violence.

Goten descendit à son tour, plus épanoui et en meilleure forme que jamais, et se posa à quelques mètres de Michiyo. Il s’approcha, et s’accroupit au dessus de la dépouille ensanglantée, et brisée. Et jeta quelques mots.

« Je t’aimais tellement, tu étais si belle, tu étais tout pour moi, mais c’était le seul moyen, pour que notre amour soit éternel, et continue de me rendre heureux. Ma ché… »

Une ombre venait altérer le monologue de Goten.
Maintenant une voix : « Mais qu’est ce que tu as fait… »
Goten se retourna finalement et dit : « J’ai combattu mes peurs papa… »


FIN
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Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar Teen_Gohan_757 le Mer Août 17, 2011 18:36

Super ta fic Batroux. J'aime bien Goten qui deviens complétement barge et fait un massacre :twisted:

C'est moins cohérent par rapport au perso originel mais tu a bien fait ca donc ca passe nickel :D

Bref, un grand bravo pour cette histoire original 8)
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Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar ddc le Jeu Août 18, 2011 11:56

mais c'est une histoire de psychopathe là !! :shock:

c'est hallucinant.. bien raconté, amené, décrit mais completement hallucinant..
j'ai kiffé !!
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Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar Batroux le Jeu Août 18, 2011 12:13

Merci Teen_Gohan !
Merci ddc !
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Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar ddc le Jeu Août 18, 2011 13:33

y'aura pas de suite je suppose ??
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Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar Batroux le Jeu Août 18, 2011 16:09

J'avais pensé à une suite, mais pour le moment, j'ai même pas la trame, ou une idée de départ, à part du combat père fils ^^

Donc si suite il y a ce ne sera pas pour tout de suite (Sachant aussi, que je m'attèle une fic à la fois, sinon, je m'en sors pas ^^)
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Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar sonluffy-z le Jeu Août 18, 2011 17:13

Tiens mes commentaires sur ta fic ont disparus, j'avais adoré surtout la chuto finale avec la mort de Michiyo et je ne pense pas qu'une suite serait réussi.
Fic Le tournoi ultime : viewtopic.php?f=42&t=5624 Fiction terminé
Ma seconde fic sur le commando Ginyu depuis sa création à sa fin : viewtopic.php?f=42&t=5702 dernier chapitre en date du 18/01/12
Neko Powaa !!!ImageImageImage
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Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar Teddy le Dim Sep 30, 2012 21:29

J'ai bien aimé ta fic, elle est tellement triste et rend Goten si cruel, ça ma donner une drôle impression, mais Goten qui tue tous les membres de la famille de Michiyo et Goku qui demande à Goten se qu'il a fait, ça ma un peu déçu, sinon très bonne fic !
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Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar Battosai le Dim Sep 30, 2012 22:42

Ouah j'avais complétement oublié cette fanfiction !
En tous cas j'aime beaucoup goten qui devient un vrai psychopathe :shock: :o

On voit vraiment que Goten est raide dingue de cette fille, il n'arrive pas du tout à se maitriser le mauvais garçon :oops: ! T-a fanfic au début commence mais vraiment très joyeusement pour Goten mais ensuite ça devient très triste pour lui et ça pour moi c'est un bon point je n'aime pas les fanfics ou tout est joyeux avec plein de bisous baveux quand tout le monde se voit !
J'adore la façon dont Goten s'enfuit de sa mère quant elle voit le texto ! Après la mère je ne la supporte pas non mais vraiment elle se prend pour qui avec son air hautain :shock:
Pour Chichi je là vois vraiment dire ce qu'elle dit et ensuite se lamenter et dire c'est à cause d'elle c'est bien son caractère ! Goten commence vraiment à pété les plombs contre elle il a même failli la taper et on voit bien que il n'est pas tellement proche avec son père :o heureusement que Gohan était là !
La dispute entre Goten et Gohan est réussi je trouve ! Par contre ce que fait Chichi est je trouve pitoyable pour une mère elle ne tente même pas d'aller vers son fils lui parler en lui expliquant pour elle fait ça :?
En tous cas t-a Pan est adorable comparé à une autre :x Par contre elle a quelle age je sais plus ou je crois avoir vu que Goten a passé la vingtaine donc vu que au tournoi goten en avait 14 et pan 4 elle doit en avoir 11 là ? Car à cet age je ne la vois pas dire tonton goten a une amoureuse tralala ! Après je crois que je me trompe quand je dis a passé la vingtaine je n'arrive plus à retrouver ce passage :( !
Par contre là ça commence à devenir triste avec la mort de la soeur de sa petite amie et que au final Goten énervé aille voir Dendé en lui demandant pourquoi tu n'as pas empêché ça et quand il va démonté le mec qui l'a tué on commence vraiment à voir que il pète les plombs le pauvre !
Puis au final elle le lâche comme une sous merde :( avec un texto ou il y-a je te quitte si ça s'est pas méchant envers lui :o au final le seul truc qui a réconforté Goten c'est son père sauf que au final il a mal compris !
Mais la FIN elle est grandiose il devient un vrai psychopathe exprimant toutes ces pensés enfouit en lui il les tue tous mais les deux dernières phrases sont sublimes avec Goku qui arrive et Goten disant papa j'ai combattu mes peurs :D !

Pfiou ta fanfic certes courte est vraiment bonne (A ne pas comprendre par un autre sens :lol: ) d'ailleurs je ne suis pas vraiment pour une suite la fin est déjà magnifique ! J'aime vraiment les fanfictions triste du genre !
Ps : Ta l'air de bien aimer d'avoir des personnages psychopathes dans tes fanfics ce qui me plait je l'avoue !
Ps deux : Je remercie Teddy d'avoir up le sujet en ayant commenté car sans ça je ne me serai jamais rappelé de cette fanfic !
Dernière édition par Battosai le Dim Sep 30, 2012 23:17, édité 1 fois.
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Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar Teddy le Dim Sep 30, 2012 22:50

Y'a pas de quoi ! Puis si j'ai lu cette fic, c'est parce qu’elle est centré sur Goten, et moi j'adore Goten !
Sinon, des fics avec des psychopathes, j'adore, mais perso, je ne vois pas trop Goten faire se genre de trucs.
Comme je l'ai dit, la fic est génial !
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Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar Battosai le Dim Sep 30, 2012 22:56

Teddy a écrit:Y'a pas de quoi ! Puis si j'ai lu cette fic, c'est parce qu’elle est centré sur Goten, et moi j'adore Goten !
Sinon, des fics avec des psychopathes, j'adore, mais perso, je ne vois pas trop Goten faire se genre de trucs.
Comme je l'ai dit, la fic est génial !


Personnellement je le vois bien faire ça car dans la fic de Batroux il est toujours autant naif et donc il ne voit pas la différence entre le bien et le mal ! Et en étant vraiment amoureux (pas comme ceux qui après une heure ensemble casse au collège :lol: ) il le devient encore plus il ne voit plus rien à part sa petite amie et il ne pense qu'a elle :( (Moi aussi j'adore Goten ^^)

Vaut mieux qu'on ne débatte par sur le topic de la fanfiction de Batroux !
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Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar Batroux le Lun Oct 01, 2012 7:25

Je comprend Teddy.
J'ai écrit cette fic avec l'idée de la fin en tête.
Faire de Goten un psychopathe me plaisait bien. Le personnage que l'on voit dans Dragon Ball est tellement aux antipodes de ça que je trouvais l'idée fun.
Maintenant avec le recul, je sais que je m'y suis mal pris, mon récit n'est pas structuré, j'ai avancé avec un seul fil conducteur, sans plan toussa.
Pour Pan, j'avoue ne pas y avoir réfléchit, comme je l'ai dit mon récit n'était pas structuré, mon but étant d'arriver à la fin le plus rapidement possible.

En tout cas merci les garçons !

(Il me semble que vous pouvez débattre du moment que ça ait un rapport avec la fic. à confirmer.)
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Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar Pensyves le Lun Oct 01, 2012 18:36

Hum, enfin tu as su faire de Goten quelque chose de valable (tu aimes faire des Son des psychopathes on dirait?)

Le début est romantique et rose à souhait, puis d'une tristesse bleutée et chamarrée qui rend ton texte et sa lecture attrayante et un final noir de fumée qui montre un véritable développement de ton personnage (loin du gamin de fin de dragon ball). Au début j'ai cru à un truc de hentai je dois t'avouer mais tu as su rester dans l'acceptable sans choquer et tout en sous entendus ^^. Y a t'il une part d'influence de ton expérience personnelle (je demande ça comme ça ^^, je suppose que tu n'a pas jeté d'ex du haut d'un toit :p).

Un seul trait dommage, le peu de suivit des autres personnages, mais ton récit ce rapproche assez de la nouvelle que pour que cela passe inaperçu .
Pensyves
 

Re: Le bonheur est à portée de fin

Messagepar Batroux le Mar Oct 02, 2012 7:28

Pensyves a écrit:Hum, enfin tu as su faire de Goten quelque chose de valable (tu aimes faire des Son des psychopathes on dirait?)


Ouais je trouve cela marrant à écrire. ^^
Les origines Sayiennes se prêtent bien à ce genre d'exercice je trouve.

Pensyves a écrit:Le début est romantique et rose à souhait, puis d'une tristesse bleutée et chamarrée qui rend ton texte et sa lecture attrayante et un final noir de fumée qui montre un véritable développement de ton personnage (loin du gamin de fin de dragon ball).


C'est exactement ce que je voulais faire et tu es la première personne à le remarquer et à le dire. Cool !

Pensyves a écrit:Y a t'il une part d'influence de ton expérience personnelle (je demande ça comme ça ^^, je suppose que tu n'a pas jeté d'ex du haut d'un toit :p).


Ouais beaucoup même.

Pensyves a écrit:Un seul trait dommage, le peu de suivit des autres personnages, mais ton récit ce rapproche assez de la nouvelle que pour que cela passe inaperçu .


Bah comme je l'ai dit plus haut, avec le recul, c'est vrai que je suis allé trop vite faute de méthodes, structures et de travail préparatoire. J'ai beaucoup écrit au feeling.
Et puis, seule l'évolution de Goten m'intéressait.

En tout cas merci.
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