L’ascension d’une légende

[Jiruresu]

Voici ma première Fic, excusez moi d'avance pour l'orthographe c'est un véritable problème chez moi...
Ce premier chapitre est court, mais se n'est que le lancement de ce projet

Épilogue :
Cette histoire commence bien des années avant la naissance du héros que vous connaissez tous Kakarotto. Aux confins de la galaxie, loin de notre bonne vielle planète Terre, les évènements débutants notre histoire sont sur le point de commencer. Ceux eux ci, se déroule sur une planète d’un rouge sinistre un rouge sang ! Le nom de cette planète est : Végéta. Cette planète était naguère peuplé par deux races bien distinguent la première appelé Tsufuls fortement avancé technologiquement et la seconde, le Saiyens qui eux possédaient une agressivité et un force peu commune dans l’ensemble de l’univers. Cette seconde race a conquis la planète entière il y a de cela plusieurs années maintenant et c’est approprié la technologie des Tsufuls. Le roi nommé Végéta mit en place une monarchie absolue, tous dépendaient de ses décisions. La planète était gouvernée sous certaine règle, l’accès au trône n’est réservé qu’aux héritiers et le peuple est classé en deux catégories, les guerriers d’élite et les secondes classes, guerriers de faible force et c’est justement une guerrière de cette catégorie que nous retrouvons maintenant…

Chapitre 1 : Le commencement d’une vie.
Le ciel était sombre cette nuit-là, plus que d’habitude, zébré d’éclairs. Une pluie assez forte tombe sans discontinuer depuis plusieurs heures et c’est dans ce climat sombre et froid que nous retrouvons notre guerrière, dans une petite chambre d’un quartier délabré des bas fond de la capitale de Végéta. Elle se trouvait couché sur le lit, en sueur et poussait des gémissements stridents, ce qui n’était pas le propre de la race saiyens, même lors d’un accouchement comme c’était le cas pour le moment. Une autre personne se trouvait dans cette chambre avec elle, une femme, saiyens elle aussi, elle avait de courts cheveux noirs, le regard sévère, elle arborait une cicatrice fine et perpendiculaire qui barrait son œil gauche, séquelle de la guerre contre les Tsufuls. Elle portait par-dessus ca combinaison vert foncé une armure de combat traditionnelle, sans épaulette ni protège cuisses qui était noire et blanche. Elle dit à notre « héroïne » :

- Tu n’as pas bientôt fini de brailler comme ça Yasai ?!! Tu n’es pas digne d’être une Saiyens, tu me fais honte à moi ta propre sœur !

Cette dernière lui répondit entre deux respirations :

- T… tu penses vraiment que je le fais exprès Sarada ?
- On dirait bien !

Sarada était en colère, comment ses parents avaient-ils pu donner naissance à deux enfants si différents ! Elle, elle est une guerrière de première classe fière et puissante alors que sa sœur n’était qu’une faible guerrière de seconde classe sans force et même raillée parmi les faibles. Mais bon, que faire, elle avait promis à ses parents de prendre soin de sa sœur et sa fierté la poussait à tenir sa promesse alors qu’elle n’avait envie que d’une chose partir sans se retourne. Et pour couronner le tout, l’accouchement ne se déroulait pas bien !

- Tu vas pousser oui ! je peux voir le sommet de son crâne.

Dans un ultime effort, Yasai poussa le plus qu’elle pouvait, sa sœur en profita pour attraper l’enfant par les épaules et tira d’un coup sec. Il sortit dans coup mais avec lui un flot de sang, qui coulaient sans discontinuer. Sarada tenait l’enfant dans ses bras, c’était un garçon, coiffé les cheveux en batailles, alors qu’elle le regardait d’un air absent son détecteur se mit en route afin de calculer la nouvelle force de combat qui venait d’apparaitre a porté.

- 37 unités… pathétiques !

Elle fit alors de nouveau attention à sa sœur mourante et la regarda d’un air méprisant, celle-ci était pâle et faible, elle était couverte de sang et sa respiration n’était plus que très faible.

- Alors ma sœur, tu es si faible que tu ne résiste même pas à un accouchement ! tu mourras comme tu l’as toujours été dans l’ignorance et la honte. Mais tu peux être
rassurée, je placerai ton fils dans l’académie pour orphelin, je ne le laisserais pas mourir. Et peut-être qu’il deviendra moins misérable que sa mère.

Alors, elle tourna les talons et ouvrit la porte afin de partir avec l’enfant, elle entendit tout de même sa sœur dire derrière elle dans un dernier souffle.

- A… App… Appel le BADDACK !

Et elle partit sans se retourner.



Comme vous l'avez sans doute tous compris, le héros principale de cette fic sera Baddack. Mais l'histoire ne sera pas comme dans le manga.
Pour ce qui est de la parution, je ferais au minimum un chapitre par semaine voir deux si le temps me le permet.

[kouki]

ca a du potentiel