Merci pour le commentaire
Voila un chapitre écrit par Max, Bonne lecture :
Les deux jeunes gens venaient de placer le blessé dans une cuve régénératrice. Déjà, ses griffures se résorbaient pour laisser place à des égratignures, qui s’effaçaient déjà. Pour la morsure et le trou béant laissé par dard, cela prendrait plus de temps, mais rien n’était irréparable.
Le médecin, un extra-terrestre ressemblant à un gros pigeon avait suspecté une parasitassions, mais comme le saiyajin inconnu avait été retrouvé sans moindre trace de monstre pour le maintenir en vie et que les embryons se développent, cette théorie fut abandonnée.
Après quelques minutes à regarder l’inconnu qui flottait dans le liquide régénérant, les autres partirent. De toute façon, la machine emmétrait un bip à quelques minutes de la fin.
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La chose a fini de se développer. Elle se presse pour sortir de cet être si puissant. Sa chair est dure comme l’acier, et s’extirper de son abdomen n’est pas aisé. Mais la larve parvient quand même à sortir, à se glisser dehors grâce à un minuscule trou.
Le sang présent dans le liquide commence déjà à disparaître, sous l’action de la machine. La larve sera elle-aussi détectée comme impure et aspirée dans les canalisations. Voulant éviter ça, la chose commence à griffer la barrière de verre renforcé. Mais à peine réussit-elle à l’entamer que la porte s’ouvre.
Voulant éviter d’être découverte, son instinct de survie prédominant déjà, l’enfant du Prétorien se laisse engloutir par le système de canalisation.
Les égouts de Végéta. Un endroit peu recommandable. Entre les alligators de 1000 unités et les gaz toxiques, il est impossible d’y survivre longtemps. Pourtant, la larve respire le poison sans problème, et se niche actuellement dans le cadavre d’un saurien.
Elle expulse un gel vert.
Elle mute.
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La porte s’ouvre avec violence, laissant passer le directeur des soins, accompagné d’un saiyajin d’assez grande taille, probablement un haut gradé, vu le nombre de galons sur ses épaules.
Sous un ordre du militaire, l’autre tapota sur quelques boutons, déclenchant l’ouverture de la cuve. Le garçon endormit papillonna des yeux, avant de poser un genou à terre.
-Voici…Des vêtements décents. Marmonna le chef docteur en tendant une armure de combat « Basse Classe » au jeune saiyajin.
Ce dernier les enfila sans faire d’histoire, encore trop faible pour protester.
-Je suis le chef des soins, et voici le général Jagaimo. Continua le docteur. Quel est ton nom ?
-Je suis Kira. Répondit ce dernier, la voix sèche.
-Nous t’avons retrouvé dans le désert. D’où viens-tu ? Quelle est ta puissance ?
-D’où je viens, pas besoin de vous le dire. Quand à ma puissance, vous ne pourrez de toute façon pas la calculer.
-Petit impertinent. Faisons un marché : Si ma force de combat est plus élevée que la tienne, tu cracheras tout. Fit le général, parlant pour la première fois.
-Bien. Dit Kira, entamant une ébauche de sourire.
L’homme qui commandait aux troupes royales sortit un scouteur, et l’installa sur son œil.
-Voyons…225 unités ? C’est pathétique…Et tu te vantes de ça ?
-Pfff…Tu n’as rien vu. Rétorqua Kira, en augmentant progressivement sa puissance.
-1500 unités…Pas si mal…4000…Comment fais-tu pour augmenter ta puissance ? 9000…15 000 unités ! Tu fais partie de l’élite… 25 000 unit…
Le détecteur bipa, et explosa.
-Hum…J’estime ta puissance totale à 35 000…Tu ferais un bon gradé. Mais ma force de combat atteint les 60 000. Tu ne fais pas le poids.
-N’as-tu pas un engin pouvant monter plu haut ? Qui ne grille pas ?
Jagaimo sortit une autre machine de son armure, et l’installa. Elle portait une petite étoile, signe d’appartenance à une élite.
-C’est parti ! 30 000… Oh, joli ! 45 000 unités ! C’est ton maximum, je suppose ?
-… Répondit Kira en matérialisant une petite aura.
-58 000…. Non… 70 000 unités…Et ça augmente encore… 125 000…366 000 unités de force… Non…
Le détecteur, programmé pour ne pas exploser, se mit automatiquement en veille.
-Il…Il est monté jusqu’à 530 000… Impossible. Il… C’est le super-saiyajin ! Dit le général, pâle.
-Ecoutez-moi bien. Je suis très loin de ma force maximale. Et non, je ne peux pas atteindre ce stade.
-Et pourtant…
C’est avec une lueur d’appréhension que le chef des armées donna l’ordre de rassemblement.