Baddack le sayan déchu

[kouki]

Super chapitre pleins de rebondissement

[Sniffle]

Merci , j'essaye de faire au mieux. Ce n'est pas évident de bien retranscrire ce que l’on a en tête ( c'est toujours génial dans notre esprits mais quant on écrit ce n'est plus pareil ). Je ferai tout pour amélioré la qualité du texte, les fic's d'ici sont un bon entrainement.

[kouki]

Bonne chance pour la suite

[Sniffle]

Bonsoir,

Merci Kouki :D


****la suite****


Ses oreilles sifflaient. Il ouvrit légèrement ses yeux, mais tout était trouble. Que s'était-il passé ? Petit à petit l'environnement se fit plus distinct, sa vision un peu plus claire. Au fur et à mesure qu'il reprenait conscience, son corps lui faisait de plus en plus mal. Tout était confus dans sa tête. Enfin, après quelques minutes, tout ce stabilisa. La première chose qui lui vint à l'esprit était qu'il fallait absolument quitter les lieux. Il fallait partir d'ici le plus vite possible. Freezer. Freezer venait, apportant la destruction. Baddack essaya de se levé, où au moins de bouger un muscle. En vint. Pourtant, il y mettait toute sa volonté, mais son corps était comme paralysé. Une vague de désespoir l'envahit. C'était fini.
_ Papa ....
Qui est ce ? Quelqu'un toussa. Baddack entendit un bruit métallique. Il voulut regarder aux alentours, mais son regard restait fixé au plafond.
_ Papa !
Cette fois Baddack entendit clairement son fils. Radditz ! Le sayan essaya de nouveau de se lever. Il n'y arrivait toujours pas.
_ Radditz , souffla-t-il dans un murmure.
Il entendit quelqu'un ramper vers lui. Bientôt il finit par apercevoir le visage de son fils. Il avait l'air mal en point, du sang coulait de ses lèvres.
_ Le vaisseau a été détruit, je suis désolé.
Des larmes lui coulaient le long de ses joues. Baddack gaspilla quelques restes insignifiants de force pour parler.
_ Arrête de pleurer salle gamin.
Radditz cracha du sang, ses yeux semblaient perdre de leurs lumières. Son père vit une entaille au niveau du ventre, qui saignait abondamment. Pour la première fois de sa vie Baddack avait peur, peur pour son fils. Il n'avait jamais ressenti quoi que ce soit envers lui hormis de la honte. Radditz le lut dans son regard. Il sentit une boule chaude le réchauffer. Son père avait peur pour lui. D'une certaine manière cela signifiait qu'il l'aimait ? Le jeune sayan se sentit de nouvelle force. Il y a encore une minute son corps se vidait peu à peu de tout forces mais étrangement, il se passait l'effet inverse. Avec un effort sur humain Radditz se releva, chancelant.
_ Ce... ce n'est pas encore terminé père doit vivre, dit-il à voix haute, mais plus à lui-même.
Il y avait bien quelque chose qui pouvait le faire quitter la planète ? Il le fallait ! Malheureusement il n'y avait plus de vaisseau. Radditz marcha tant bien que mal vers l'ordinateur central, sa main droite plaquer sur sa blessure. Il cligna des yeux, car il commençait à voir flou. Il devait tenir encore un peu. Il ne savait pas pourquoi l'ordinateur pouvait lui donner une solution, mais sa volonté de sauver son père le poussait vers cette machine, comme si par magie elle allait résoudre tous les problèmes. Enfin, il arriva devant le clavier. Avec difficulté il chercha dans la base de donné quelques choses, n'importe quoi qui pouvait faire office de vaisseau. Il ne restait plus rien. Sa capsule était la dernière machine capable de voler dans le garage. Avec désespoir il frappa le clavier de bord, comme pour tenter une ultime fois quelque chose pour protéger son père de la mort. Mais il en fut autrement. L'écran afficha une sorte de cage de taille moyenne, mais Radditz s'en moquais clairement. Protéger, il devait le protéger... Protéger ? Mais oui ! Là voilà la solution. Si Baddack ne pouvait quitter Végéta, il fallait faire en sorte qu'il soit protégé par l'explosion de la planète. Le jeune sayan regarda plus attentivement la cage sur l'écran. Apparemment, quand on l'utilisait, celle-ci entourait le vaisseaux entrain d'être réparé. Le mécanicien ce chargent du vaisseau en question était « enfermé » dans cette cage d'énergie par le biais d'une tierce personne. Le but étant de protéger la salle et les autres mécaniciens. Cela évitait surtout une éventuelle explosion en chaine, car si un vaisseau explosait au milieu des machines et autres vaisseaux cela aurait été dramatique. Au final, grâce à ce procéder, seul un des mécaniciens mettait sa vieen jeu. Pourquoi ne pas faire l'effet inverse, se protéger d'une attaque extérieure ? Radditz pria pour que cela marche, seule la chance pourrait faire en sorte que le bouclier tienne face à une explosion planétaire. En tout cas c'était l'ultime échappatoire. Le jeune sayan regarda son père. Son regard se posa ensuite vers l'ordinateur et il le programma pour entourer non pas un vaisseau, mais Baddack de cette fameuse cage. Quatre petits appareils gris sortir alors d'un mur et vinrent l'éviter autour du père de Radditz. La disposition de ces petits triangles métalliques étaient tel qu'ils formaient les sommets d'un tétraèdre. C'est alors que tous s'ouvrirent, telle une main à trois doigts et un mur d'énergie s'en libéra formant en effet un tétraèdre bleu transparent. Le plafond que regardait Baddack prit tout d'un coup une teinte bleuté.
_ Radditz, qu'est ce... Mais le sayan balafré se tut. Il comprit bien vite ce que manigançait son fils.
Celui se dirigea vers son père. Cette fois plus faible qu'il ne l'a jamais été. Etant donner qu'il avait trouvé par miracle un moyen de sauver son paternel, l'effet de l'adrénaline s'estompait petit à petit.
Le jeune sayan tremblait de tout son être, mais lentement, il parvint tout de te même à revenir et tomba à genou près du sayan à la cicatrice. Sa peau était devenue blanc pâle, sa blessure continuait de saigner, mais le plus incroyable dans tout ça, c'est que Radditz souriait. Il souriait à son père. Il était heureux d'avoir servit à quelque chose. Tout deux se dévisagèrent, comme si c'était la première fois. Après un moment de silence,Baddack articula ces mots.
_ Pardonne moi ... mon fils...
Radditz leva sa main lentement, la dirigeant vers le mur qui le séparait de son père. Peu après, ses yeux perdirent de leur lumière, tout s'assombrit très vite autour de lui, mais il ne voulait pas fermer les yeux. Il voulait voir son père le plus longtemps possible. Enfin, le corps sans vie du jeune sayan tomba dans un faible bruit, son visage toujours souriant. Tout devint calme. Baddack regarda son fils. Des larmes lui coulaient sans qu'il puisse les arrêter.



Freezer, les bras croisés dans son dos, regardait avec joie les sayans, qui paradoxalement, le regardaient avec peur.
_ Tu faisais un discours Végéta ? Dit lord Freezer de sa voix douce et glacée.
_ Ma présence te fais perdre l'usage de la parole peut être, continua t-il.
Les autres sayans firent cependant tous honneurs envers leur seigneur, un bras sur leur torse.
_ Voilà qui est mieux.
Végéta était furieux, il tremblait même de rage. Freezer, ici ? Il voulait lui sauter dessus, lui faire payer tous ses crimes, venger sa famille. Pourquoi était il venue et seul qui plus et ? Pour humilier son peuple une dernière fois ? Il n'en était pas question. Le destin voulut donner une dernière chance au roi de pouvoir se battre jusqu'à la mort. Cette fois il irait jusqu'au bout. En lançant une boule blanche, le tyran n'aurait surement aucune chance face à une horde d'oozarus. Le roi concentra alors son pouvoir dans mains, mais aux moments de tendre son bras, il fut figé. Etrangement, son corps ne voulait plus bouger. Freezer souria de plus belle. Il devait le contrôler grâce à ses pouvoirs psychiques. Quelle merde ! Il ne pouvait n'y bouger n'y prévenir ses frères. Les sayans étaient malheureusement tourné vers Freezer. Celui-ci, sans en montrer le moindre signe, tortura le roi grâce à ses pouvoirs. Le coeur de Végéta commença à se compresser. La douleur était insupportable, mais aucun son ne sortait de sa bouche.
_ Mes amis, voilà vingt ans déjà que vous me servez. Jamais je n'ai eu d'aussi bon et puissant soldats. Que dire, nous formons tous une grande et belle famille.
Tout en disant ces mots, Freezer serrait son emprise sur le roi. Celui-ci pria pour que quelqu'un se retourne et que tous se jette sur le tyran, mais non, il allait mourir comme un déchet, ses frères d'armes lui tournant le dos. La pire mort qu'il aurait pu avoir. Après en, la douleur était à son paroxysme. Végéta tourna ses dernières pensées à Baddack, espèrent de tous son être qu'il survive à Freezer et qu'un jour, il revienne le tuer.
_ Je suis fiers de vous. Vous m'avez été des plus serviables. Mais comme on le dit, les bonnes choses ont une fin. Je regrette...
Un bruit sourd fit sursauter les sayans. Ils étaient tous perturbé par le discours de leur seigneur. Tous se retournèrent et virent avec horreur leur roi à terre. Un grand sayan se précipita vers Végéta.
_ Roi Végéta !! Hurla une dizaine de sujets.
Le plus rapide d'entre eux se mit a genou devant lui. Il plaça son oreille sur la poitrine du roi. Tous se figèrent, attendent son verdict. Les mains du sayan tremblèrent, son visage pris une expression d'épouvante.
_ Le roi est mort !
Tous hurlèrent comme jamais et comprirent trop tard que Freezer était le coupable. En effet quand les sayans regardèrent en direction de la porte, le montre avait disparu. La rage envahit chacun d'entres eux. Ils allaient venger leur roi bien aimé. Un sayan lança une boule blanche et cria « A mort Freezer ! » En quelque instant une armée de géant singes explosèrent le bâtiment et cherchèrent le monstre.
_ Il est là haut !
On pouvait voir au loin, très haut dans le ciel, un petit point plus éclatant que les étoiles. C'était le vaisseau du démon. Les oozarus foncèrent vers le ciel, plus rageur que jamais. Cependant, la lumière n'était pas celle vaisseau, mais celle une boule de feu qui prenait énormément de volume et de plus rapidement. Une lumière rouge aveugla bientôt les sayans. Cette boule de lumière qui promettait une mort certaine était gigantesque ....
_ Tous avec moi !!!!
Les géants singes lancèrent tous une vague déferlante de leur bouche. Les vagues frappèrent la boule de feu géante quelque instant plus tard. Celle-ci ce stoppa. Freezer y avait mis toute sa puissance, craignant en effet ce genre de situation. Il eut raison car sinon il aurait été balayé par sa propre attaque.Il tendit alors ses bras vers sa création et poussa davantage afin dans finir le plus vite possible. La boule feu s'approcha lentement de la planète. Les sayans étaient pourtant à fond, il fallait renvoyer cette boule de feu à tout pris. Après des minutes qui semblaient durer des heures, des sayans commencèrent à s'épuiser. Non pensa Karôshi ne lâcher pas ! Même si c'était lui qui avait légèrement l'avantage, Freezer n'eut jamais aussi peur quand cet instant. S'il n'en finissait pas avec ses singes au plus vite, il allait tomber d'épuisement, car ses forces le quittaient comme chez les sayans. Ce combat était un combat d'usure.
Ces singes étaient coriace et n'abandonnaient pas aussi facilement. Freezer hurla comme un fou, de peur de mourir et poussa sa boule de feu aussi fort que possible. Bientôt, le ciel étoilé fut remplacé par du rouge. Encore un peu et la menace sera exterminer. Une force extrême commença à pousser les sayans vers le sol. Des morceaux énormes de terre se brisaient, des tsunamis se formaient. La planète elle-même vibrait. Chaque guerriers de Végéta mettait leur coeur dans cette attaque. Cette planète qui les a vus naitre, grandir, vieillir, ... Non elle ne pouvait pas finir ainsi. Malheureusement, cette boule de feu avançait inexorablement vers eux. En dépit de tous leurs efforts combinés, après une longue et douloureuse attente, les sayans furent balayés un à un par la puissance du tyran. La boule de feu les désintégra tous, faisant fit du voeu de protection des habitants. Leurs corps étaient l'ultime barrière qui séparait ce monstre de feu de leur chère planète. Maintenant il ne restait plus rien la ralentissent. Enfin, le géant monstre rouge percuta Végéta et tout ne fut plus que lumière...

[kouki]

Superbe chapitre
Les dernier moment de Raditz était bien émouvant.

[Sniffle]

Encore merci ^^ Sa fais plaisir de voir que tu reste là.

[kouki]

Bonne chance pour la suite de cette fic qui est toujours aussi bien écrite

[Sniffle]

Merci beaucoup, c'est très gentil J'espère tout de même m'amélioré.

[kouki]

Tu t'es bien amélioré depuis le Prologue

[Max]

J'ai bien aimé les derniers chapitres. Bonne chance.

[Sniffle]

Un nouveau lecteur, merci beaucoup ^^. En plus je suis fan de ta fic, t'a eus une idée très original en passant. En tout cas ça me fait plaisir.

[Max]

Un nouveau lecteur, merci beaucoup ^^. En plus je suis fan de ta fic, t'a eus une idée très original en passant. En tout cas ça me fait plaisir.

Heu, certe, mail laquelle ?

Pour en revenir à la phase de congratulation, votre fiction est peut-être une version de ce qe j'attend depuis longtemps. Alors j'apprécie.

[Sniffle]

Dragon Ball Heroes, par contre je n'ai pas fais attention au fait que tu en ais fait plus d'une

Pour en revenir à la phase de congratulation, votre fiction est peut-être une version de ce qe j'attend depuis longtemps. Alors j'apprécie.

J'espers ne pas te décevoir

PS: On peux se tutoyer

[Eiji-kun]

Les Sayens auront tenté de résisté mais malgré leur bravoure ils ont périr reste a savoir si Baddack a réussi a survire.

[Sniffle]

Bonsoir,
Voici la suite.



Chapitre 10, Asares



C'était magnifique. Jamais ses yeux ne virent quelque chose d'aussi beau. Il se laissa envahir par cette lumière, l'embrassant avec joie. Très vite, Freezer ressentit une intense chaleur. Un fragment de seconde plus tard, il subissait déjà la puissance de la déflagration. Le seigneur de l'univers fut propulsé d'une rare violence. Sur le coup, Freezer ressentit une vive douleur. Mais l'instant d'après, elle n'était plus là. Au contraire, il se sentait bien. Comme si le souffle le lavait de tout mal. Comme si cela effaçait tout ce qui avait un rapport avec les sayans. Il se laissa emporter dans l'espace dans un état second, puis le destructeur de la planète se stabilisa finalement d'une faible projection de son aura. Une fois immobile, Freezer regarda devant lui. La lumière dorée belle et puissante était devenue rouge et se mourait vite. Enfin, après une fraction de seconde, rien. Il n'y avait plus rien. Le néant. Freezer jubila. Ses yeux s'écarquillèrent tandis que sa bouche s'ouvrait comme pour éclater d'un rire machiavélique et il laissa exploser son bonheur. On ne pouvait certes rien entendre, mais il était sûr que Freezer était plus heureux que jamais. Il avait exterminé ces sayans une bonne fois pour toute. Malgré cet immense bonheur, une chose le chagrinait. En y repensant, Le démon du froid avait certes gagné avec facilité. Mais tout de même, ces vermines avaient résisté un peu plus qu'il ne l'aurait pensé. Après tout, n'était-ce pas le but d'une vermine ? Vivre plus longtemps que prévu ? Au moins, ils avaient eu une mort rapide et sans douleur. Cadeau des 20 ans de bons et loyaux services. C'était le moins qu'il puisse faire pour eux. Celui-ci ne manqua pas de se féliciter pour sa preuve de bonté. N'était-il pas le plus merveilleux dictateur de l'univers ?

Un vaisseau spatial en forme d'araignée s'arrêta non loin de sa position. On pouvait voir dessiner sur le dessus plat du monstre de métal, un cercle noir de diamètre moyen. A l'approche du seigneur de l'univers, celui-ci s'ouvrit. Lorsque Freezer posa pied-à-terre, il fut envahi par une horde de sujets.
_ Seigneur Freezer vous allez bien ? S'empressèrent de dire quelques soldats.
Un homme, plutôt grand et bien sculpté fit son apparition juste après les sujets de son maitre. Avec un geste désinvolte sa longue tresse verte effectua un demi-cercle, ce posant sur sa nuque. Zarbon avait une main sur sa hanche et l'autre sur une mèche de ses cheveux qui n'était pas en place. Une fois sa coiffure de nouveau parfaite il s'exprima avec colère.
_ Bien sûr qu'il va bien bande d'imbécile ! Retournez au travail, tout de suite.
Tous s'exécutèrent sans tarder. C'était la seule chose de bien que pouvait faire ces bons à rien de soldats. S'enfuir vite. Une fois le calme retrouvé, Zarbon pris la parole, mais sur un ton plus doux et mélodieux que précédemment.
_ Vous avez été impressionnant maitre. Décimer une race entière si facilement. Dit-il en s'inclinant légèrement.
_ Cesse tes flatteries, le coupa Freezer sur un ton glacial.
Zarbon eut un frisson dans le dos, mais son visage resta impassible. Il adressa même un légé sourire à son maitre, comme il le faisait si bien. Un autre se serait fait tué, mais le beau guerrier avait sa manière d'apaiser le courroux du maitre. Il avait l'habitude après tout.
Freezer s'installa sur son siège, les doigts de ses mains jointes. Zarbon quant à lui restait debout, attendant que le maitre parle le premier. Celui-ci réfléchissait. C'est à croire que le fait d'avoir éliminé tout un peuple avait créé plus de problèmes qu'il n'en avait résolu. Après un moment de réflexion il s'exprima.
_ Ordonne au pilote de faire cap vers Aegaon. Il faut que j'aille parler à une vielle connaissance.
Zarbon , qui d'habitude n'affichait aucune expression sur son visage de peur d'avoir des rides, ne put cacher sa surprise.
_M-Maitre ?!?
_ Aurait tu peur ? Ironisa Freezer.
_ Non bien sûr que non, je... Ces créatures ma répugnes voilà tout. Réplica Zarbon en reprenant ses émotions._ Voulez vraiment... Faire un marcher avec eux ?
_ Je n'en aurais peut-être pas besoins, mais c'est une mesure préventive. Les sayans étant en enfer, il se peut que mon frère veuille prendre les devants d'ici peu de temps. Il va vite savoir que j'ai tué mes meilleurs guerriers. Cela serait le moment rêver pour lui. Il est donc important que je me trouve une nouvelle armée aussi puissante. Cela le tiendra à l'écart.
Freezer se tut un moment. Ses yeux devinrent plus rouges. Un sourire inquiétant se dessinait sur son visage. Puis, dans un murmure, il dit.
_ Je ne perdrais pas ma place de numéro un.
_ Mais, pardonner moi mon maitre, ce ne serait-il pas imprudent ? Ils ne sont pas si différent des sayans. Comment être certains qu'ils ne se rebellent pas....
_ Il suffit.
Zarbon se tut instantanément et baissa le regard. Il n'avait aucune idée sur la façon dont son maitre allait si prendre avec ces infâmes créatures. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle Freezer s'était tourné vers les sayans à l'époque.
_ Je veillerai à ce qu'ils soient obéissants. J'ai un marcher à leur proposer.
Le beau guerrier attendit un instant, salua son chef puis fit demi-tour. Mais s'approchant de la porte ;
_ Une dernière chose, demanda Freezer.
Son bras droit craignait le pire, mais garda son sang-froid.
_ Oui maitre ? Demanda Zarbon, qui s'était de nouveau retourné.
A sa grande surprise, il vit un sourire sur le visage de son chef. De suite, il se sentit beaucoup plus détendue.
_ Avant d'aller sur cette planète, nous ferons une escale sur Sytrus.
_ La planète des créatures poilue ? Demanda Zarbon qui avait très vite reprit ses manières. Il avait l'air affreusement dérouté par cette destination. En effet, les Sytriens étaient d'une laideur à faire s'évanouir le beau guerrier. Cela étant leurs poiles rouges étaient extrêmement doux et soyeux.
_ Tu n'auras pas à les supporter cette fois. J'ai déjà fait récolter leur précieux minerai. En revanche, l'explosion de la planète des singes ma fait perdre ma cape. J'en veux une nouvelle, dit le tyran en souriant d'avantage.
Le bras droit comprit très vite où son maitre voulait en venir.
_ Je me ferai une joie de remplir cette mission. Doivent-ils tous ?
_ Me connait-on pour être clément ? Le coupa Freezer. _ Et puis cela me fera une bonne réserve. Maintenant va, nous avons suffisamment perdu de temps.
Zarbon acquiesça brièvement et partit pour de bon.


A des millions de kilomètres...

Dans une zone encore inconnue du démon du froid, près d'un soleil bleu, se trouvait une belle planète couleur or du nom d'Asares. Elle était la seul à tourner autour de cette jeune boule de feu. Elle-même ne devait pas dépasser un million d'années. Sur cette petite planète, sept fois moins grand que la lune de la terre, on y trouvait un océan et un continent. En y regardant de plus près, ce continent étaient creusé par des milliers de rivières. Grâce à cela, la végétation était abondante. C'est pourquoi le gaz majeur présent dans l'atmosphère était de l'oxygène le reste étant un gaz étrange mais non nocif, qui donnait cette couleur dorée à cette planète. Il y avait environ 400 Asares au sein de la planète. L'un d'entre eux se promenait encore tandis que les autres étaient déjà dans leurs lits, dormants à point fermés. D'habitude, tous allaient dormir deux heures après le coucher du soleil. Cependant, Artemis voulait encore observer le ciel, voulant profiter du temps impeccable de cette soirée. Il avait décidé de prendre son aswok, une sorte de télescope de petite taille, mais d'une technologie très avancé. Le jeune asares marcha une dizaine de minutes avant d'arriver près d'une clairière. L'endroit idéal pour observer les astres. Bien que cette région ne soit pas dangereuse, Artemis avait jugé bon de s'accompagner de son fidèle Celo , une magnifique créature de deux mètres de hauteur. Comparé à la terre, on pouvait dire que c'était un grand lion, bien qu'il soit encore plus puissant et plus rapide que n'importe quel félin de la planète bleue. La seul différence à noter hormis sa taille était ses poiles qui était d'un blanc immaculé, ainsi que le manque d'oreille. D'ailleurs, tout être vivant de cette planète n'en avait pas. En effet l'étrangeté de cette planète résidait dans le fait qu'aucune créature ne communiquait avec des sons. Ni même en utilisant des mots par télépathie. C'était bien plus complexe encore.

Artemis se mit en position de lotus et sortit son aswok de son sac. Quant à son ami, il s'était allongé non loin de lui guettant les moindres perturbations. Une fois son appareil pointé vers le ciel, Artemis regarda avec émerveillement la beauté de l'espace. Il y avait dessiné au loins des cercles multicolores, plus à droite une sorte de nuage rouge lumineux le tout baigner par une multitude de point blanc brillants. C'était un plaisir pour les yeux. Après une vingtaine de minutes à observer l'espace, le jeune asares décida qu'il était temps de retourner chez lui. Il rangea son instrument dans son sac et se leva. Enfin il regarda une derrière fois ce ciel magnifique de ses propres yeux. Il allait détourner son regard et se mettre en route, mais quelque chose dans le ciel lui fit changer d'avis. Il y avait un petit point bleu dans l'espace. Etrange, car quelques instant auparavant il n'y avait rien de tel. Le point bleu grossissait, comme s'il s'approchait de la planète. Effectivement il s'approchait. Vite, trop vite. Artemis fut pétrifié, mais son lion lui sauta dessus pour le protéger de son corps. La lumière passa à quelque mètres au-dessus d'eux. Le sol trembla. Artemis se leva. Curieux de savoir ce que c'était, il se dirigea vers ce corps bleu. Celo le suivit. Là, non loin d'eux, se trouvait un cratère d'au moins cent mètres de diamètres. Les deux habitants d'Asares regardèrent avec intérêt un point lumineux au centre de ce trou. La lumière faiblissait de secondes en secondes. Artemis s'approcha d'avantage. Il glissa et roula jusqu'au centre du cratère. Une fois relevé, Il secoua sa tête pour enlever quelques gravas et regarda. Là, à moins d'un mètre de lui, se trouvait une étrange créature. Elle ressemblait à un adulte de son espèce, mais il y avait une forme bizarre sur les côté de sa tête ainsi qu'une queue marron sortant du bas du dos.