L'Union Sacrée

- Bonjour et bienvenue sur le premier chapitre de "Terre, un inconnu". C'est là première fois que je poste ma fiction sur ce site
Commençons déjà par expliquer le titre. Après une longue réflexion, j'ai voulu tenté un jeux de mot.
-La terre est le lieu de l'histoire et est inconnu de Végéta
-Si vous lisez le mot Terre avec le deuxième, vous pouvez lire "terrain" et "iconnu" soit, terrain inconnu ! Car c'est exactement là que vont nos deux héros ! Judicieux? j'espère que vous le prendrez comme ça c'est le but.

Le chapitre 1 restera le prologue, car il faut bien introduire l'histoire, alors pourquoi ne pas commencer par le début à proprement parler?

Bonne lecture !

******************************************************************************************************************************************
Prologue

Leur planète Namek était méconnaissable. Des fissures, des cratères tout autour d'eux malgré la distance qui les séparaient tous. La végétation avait disparue, le sol flamboyant libérait des crachats de feu surmonté de terribles tremblements de terre.
Que c'était-il passé ? Ils étaient pourtant morts, assassinés sauvagement par les troupes de Freezer.

- Son Gohan ! Où étiez-vous passés ? J'ai failli mourir d'ennui ! Et la terre qui n'arrête pas de trembler ? Et quand Son Goku doit arriver ?

Bulma avait échappé de peu à un mort lente et douloureuse. Un énorme rocher c'était détaché, la menaçant d'un fin certaine quand elle se retrouva sous le bras du demi saiyen qui l'avait sauvée de justesse.

- Je t'expliquera plus tard ! Il faut faire vite !

- Mais où va-t-on ?

La terrienne ne comprenait rien à ce qui pouvait bien se passer sur Namek. Elle n'avait pas assisté à la mort de leur ennemi Végéta, ni à son désespoir. Elle n'avait pas non plus apprit la mort de son ami Krillin, ni les conséquences que cela avait engendrées sur Son Goku dont elle ignorait son arrivée il y maintenant plusieurs heures. Elle ne savait pas que les Nameks venaient tous de ressusciter grâce aux Dragon Ball de la terre. Elle n'était au courant de rien, et cela l’agaçait particulièrement.

Sa colère ne se fit long feu lorsque le sol de ce paysage désolé disparaissait de dessous ses pieds.


- Co... Comment ? Je suis vivant ?

Végéta venait de s'extirper d'un amas de terre qui le recouvré totalement. Il savait pourtant que le T
tyran lui avait transpercé le cœur, entraînant sa mort. Mais à présent, il était vivant et en possession de tout ses moyens. Le saiyen regarda autour de lui et tout n'était que désolation. Quelque chose c'était passé mais il n'en avait pas la moindre idée. La puissance de Freezer était toujours présente, palpable et encore plus puissante qu'avant sa mort.

Son observation ne se fit pas plus longue lorsqu'il se sentit transporté, comme téléporté. Le paysage s’effaça soudainement.


Les arbres les entouraient, laissant place à une atmosphère calme, loin des combat effrénés et du danger qu'ils avait tous risqué.

- Hein ? Quoi ? Que se passe-t-il ? S'étonna Son Gohan.

Comment avait il pu, ainsi que tout les autres, se retrouver dans un endroit si calme.

- Où sommes nous ? Demanda à son tour Bulma, abasourdie par ce changement radical.

Regardant à chacun les alentours, sans comprendre où ils pouvaient bien se trouver, les nameks, dans une totale fraternité, s’aidèrent à se relever et à reprendre leur esprit.
Le petit Dendé quand à lui, ayant assisté au début du combat contre l'affreux Freezer, se dépêcha de soigner Piccolo, encore allongé sur le sol, inconscient.

-Grand chef ! S’écrièrent les nameks à la vu de celui qui leurs avait tous donné la vie.

- Écoutez moi tous ! Dit il de sa voix grave, mais essoufflée. Nous sommes sur Terre.

- Sur terre ? Demanda Bulma qui s'était retournée d'un coup vers ce namek imposant.

- Il ne me reste plus beaucoup de temps à vivre. rajouta-t-il, dans une respiration lourde et saccadée, je vais vous expliquer avant de mourir.

Et c'est ainsi que le chef des namek entreprit le long récit des événements qui les avait tous conduit sur Terre. Que ce soit le souhait formulé par le Tout puissant à Shenron, ou celui énoncé par Dendé au dragon sacré de leur planète natale.
Tout le monde, y comprit Végéta, qui c'était déjà mit à l'écart du groupe, écoutaient avec un grand intérêt les paroles du chef.

- C'est ainsi que nous avons ressuscités et que nous sommes venus sur Terre.

- Mais, les habitants du village de Tuno ne sont pas là... S'inquiéta un des nameks, cherchant au alentour s'il n'avais pas fais d'erreur.

- C'est moi qui ai anéanti le village.

Un voix grave et froide se fit entendre en direction d'un arbre, un peu plus loin. Tous se retournèrent pour voir Végéta, adossé et les bras croisés.

- Vous avez demandé à Shenron de ressusciter les victimes de Freezer et son groupe, mais je n'étais pas avec eux ! Quelle gaffe !

Végéta souriait sournoisement, comme il savait si bien le faire. Cela le faisait toujours rire de constater les erreurs des autres, surtout quand il en était la cause. Cependant, son humour n'était pas au goût des autres qui le regardaient avec dégoûts et haine. A cause de ce monstre, une partie de leurs amis se reviendront jamais à la vie. Cependant, les boules de cristal, qui était redevenu des pierres, avait atterrit avec fracas dans le sol ce qui eut pour effet d'oublier pour un instant les paroles cruelles de ce monstre.

- Les dragon Balls de Namek nous ont suivis. Comme je vous l'ai expliqué, je vais bientôt mourir. Muri, je te nomme Grand chef. Utilise les boules avec sagesse quand elles agiront de nouveau... Je compte sur toi. Que la paix éternelle soit avec les nameks.

Dans un dernier souffle, le Grand chef disparu devant ses enfants, ses amis et son ennemis.

- Au fait... Pourquoi Son Goku et Krillin ne sont-il pas là ? Demanda Bulma à Son Gohan qui était à coté d'elle.

- Krillin c'est fait tué par Freezer et mon papa est resté sur Namek pour le combattre, mais je sais qu'il reviendra ! J'en suis certain !

- Il est toujours là-bas à se battre contre ce monstre ?

Piccolo, qui écoutait la conversation, c'était retourné vers son disciple, étonné par ce qu'il venait d'entendre.

- Oui, c'est lui qui l'a voulu, certainement pour venger Krillin...

- Attends un peu ! Freezer à tué Krillin hein ? Alors...Pourquoi n'est il pas ressusciter aussi ?

Décidément, même en étant la femme la plus intelligente de la Terre, Bulma ne comprenait pas toujours tout en ce qui concernait les combats de Son Goku et les Dragon Balls.

- Il l'a déjà était une fois alors...

- Ah oui, c'est vrai... Soupira Bulma

- Comment ? On ne peut pas ressusciter les gens plus d'une fois avec vos Dragon Balls ? S'étonna Dendé qui avait également suivit la discussion.

- Hein ? Tu veux dire que... ?

Son Gohan avait compris ce que sous-entendait son ami.

- Oui ! Les nôtres marchent sans limites, sauf pour les morts naturelles.

- Super ! Quand on pourra utiliser vos Dragon Balls on pourra ressusciter Krillin, ainsi que Chaozu !

Le fils de Son Goku était aux anges. Ses amis reviendront tous à la vie grâce aux Dragon Balls de Namek. Cependant, Piccolo avait autre chose en tête et ne fut pas particulièrement enchanté de cette nouvelles. Après tout, ce n'était pas vraiment ses amis.

- Pour en revenir à Son Goku... Il agit sans réfléchir, il est trop audacieux... Il y avait une trop grande différence de puissance entre Son Goku et Freezer. Son Goku n'avait aucune chance. Avait-il envie de mourir ?

Piccolo montrait les dents, trop énervé pour garder son calme qui pourtant le caractérisé si bien d'habitude.

- Tu te trompes Piccolo. Papa va gagner !

Son Gohan c'était interposé contre son maître. Il était vrai que Piccolo avait était grièvement blessé et n’avait pas pu assister à la suite du combat, ainsi que de la transformation de son père.

- Quoi ?

- Je l'ai vu ! Papa est devenu... Un super saiyen !! Dit il.

Le jeune garçon était empli de fierté, le regard levé vers le ciel où l'image de son père, enveloppé d'une aura doré, le regard émeraude et ses cheveux d'or, se dessina devant lui. Il était fier d'être son fils et avait une très grande confiance en ses nouvelles capacités. Son Gohan avait ressentit l'incroyable puissance émanant de son père.

Cependant, la joie de cette nouvelle ne fit pas l'unanimité. Le guerrier aux cheveux de jais et aux regard froid eut un sursaut.

- Co... Comment ? Balbutia-t-il.

Il avait malgré lui suivit la conversation des terriens, sans vraiment grande attention. Il n'était pas concerné et n'écoutait que d'une oreille. Cependant, la tournure des discussions avait vite captée son attention. Entendre ce demi-saiyen dire que Kakarotto était devenu un super saiyen, il ne pouvait y croire. Cela était un honneur qui devait lui revenir. Sa destinée était de devenir le super saiyen de la légende de son peuple.
Comment ce Kakarotto, qui n'avait il y a encore peu de temps, aucune idée de ce qu'était sa race avec ses origines et ses légendes, pouvait-il être justement ce saiyen dont le prince avait tant entendu parlé durant toute son enfance.

Entre temps, personnes n'étaient au courant de la finalité du combat et les discussions furent bon-train. Elles furent cependant coupées par la voix de Yamcha, qui se fit entendre dans la tête de Bulma, qui d'ailleurs ne comprenait pas du tout ce qui était en train d'arriver.

Après quelques explications, Yamcha décida d'en venir dans le bref du sujet.

- Je veux te parler de Son Goku. Il a tué Freezer et...

Bulma ne lui laissa cependant pas le temps de continuer.

- Écoutez, tout le monde ! Son Goku a tué Freezer !

- C'est vrai ? Bravo ! S'exclama le fils du héros, heureux de savoir que le tyran soit enfin vaincu.

- Ka... Kakarotto a tué...Freezer...?!

Végéta sursauta devant cette nouvelle, qui était pour lui, il y a quelques heures, inimaginable. Ce misérable combattante de basse classe avait réussi à tuer freezer ? Alors que depuis toutes ces années de servitude, il s'était persuadé qu'en tant que prince des saiyens, il était de son devoir de venger son peuple. C'était son honneur qui était en jeux et il était maintenant bafoué.
Végéta se sentit tomber dans un abyme de rage et de désespoir. Envers ce Kakarotto, qui avait osé prendre sa place mais surtout contre lui et contre sa propre faiblesse.
Le seul moyen qu'il avait était de se venger maintenant de ce troisième classe qui l'avait ridiculisé.

-Calme toi et écoute bien ! Ce n'est pas tout !

Yamcha avait coupé Bulma dans son élan alors qu'il n'avait pas finit. Malgré tout ce qu'elle avait subit, elle restait la même. Aussi impulsive que d'habitude. Décidément, elle ne le laissait jamais finir ses phrases.

- Son Goku a essayé de se sauver de Namek mais... Elle a explosée avant qu'il ne puisse partir et il est mort.

Il avait prit un ton dure mais triste et se demandé comment Bulma annoncerait cette nouvelle aux autres, et surtout à Son Gohan.

- Hé ! Son Goku est mort dans l'explosion de Namek ! Quel choc !

Bulma venait d'annoncer cela comme si cela n'était pas si terrible. Yamcha en tomba à la renverse devant l’indélicatesse dont elle faisait preuve.

- Tu es folle ?! Pense un peu à Son Gohan! Tu ne pouvais pas lui annoncer autrement! Hurla l'homme à la cicatrice.

Cette dernière se mit à rire fièrement.

- Tu n'es pas au courant ? Les nameks sont sur Terre avec leur Dragon Balls! Et tu sais quoi ? On peut ressusciter les morts à autant de reprises que l'ont veut avec leur Dragon Balls !! Son Goku, Krillin et Chaozu seront ressuscités.

Bulma venait de lui annoncer une incroyable nouvelle à laquelle il ne s'attendait pas. Finalement, tout se présentait bien.

Cependant, le visage de Maître Kaïo, qui était de dos à Yamcha, ne souriait pas. Il avait le visage lourd, triste et désemparé.

- C'est toi qui n'est pas au courant Chaozu sera ressuscité ici, mais Son Goku et Krillin seront ressuscités sur Namek et... Comme il n'y a plus de planète...

Il hésita à un moment. Ses paroles allaient être dur de sens pour tout le monde.

- Ils seront ressuscités dans l'espace et mourront aussitôt à nouveau ! Et je ne peux rien y faire, ce n'est pas mon territoire.

Le silence devint alors pesant. Bulma avait baissé les yeux, sans osait à présent dire ce qu'elle venait d'apprendre.

- Son Goku et Krillin ne pourront jamais être ressuscités...

- Ni papa ni Krillin ne seront ressuscité ?

- Ça aurait pu marcher si leur corps avait était reconstitué par Dieux et étaient restée chez Maître Kaïo. Comme Chaozu... Mais ils seront ressuscités sur Namek qui n'existe plus...

Ainsi donc, Kakarotto était mort dans l'explosion de Namek ? Quelle fin pitoyable pour le soit-disant super saiyen. Cependant, il y avais bien un moyen de le faire revenir, mais il se rendait compte que ni les terriens, ni les nameks envisageait cette possibilité. Ils étaient vraiment des créatures bien stupides.

- Et si vous utilisiez un peu votre tête?

Bulma tourna vivement la tête en entendant la voix de Végéta. Il n'avais pas bougé depuis tout à l'heure et n'était jamais intervenu dans la conversation, mais il avait tout suivit depuis le début.

- Je n'y connais pas grand chose en âme, mais pourquoi ne pas les ramener d'abord sur Terre, et ensuite les ressusciter ?

- Mais oui c'est vrai ! Tu voit que tu peux en dire des choses intelligentes !

Bulma avait retrouvé son air ravie. Il était finalement possible de ressusciter ses amis.

La seule réponse que lui donna Végéta ne fut qu'un simple grognement en baissant les yeux mais devant lui se posta le demi saiyen, le sourire aux lèvres.

- Merci beaucoup !

Son Gohan lui tendit une main que le saiyen repoussa fermement et sans hésitation. Ce genre de geste, venant en plus d'un bâtard, ne lui plaisait pas du tout.

- Ne te méprends pas ! Dit il sèchement.

Tout ce qu'il voulait, c'était de voir le super saiyen et le vaincre un jour. Là était le but qu'il s'était à présent fixé. Un problème survint cependant. Comment allait-il faire pour vivre sur cette planète peuplée d'être faible et inutile et dont il ne connaissait rien ?
En pleine concertation, il ne remarquait pas que la terrienne l'observait depuis quelques minutes. Elle était intriguée par cet homme qui les avait aidé à finalement sauver leurs amis.

La jeune femme fut cependant coupée dans son observation par le nouveau chef des nameks.

- Excusez moi madame la terrienne. Entreprit il timidement. Lorsque les Dragon Balls de Namek seront réactivées, nous envisageons de trouver une nouvelles planète pour nous y installer. En attendant, pourriez vous nous indiquer un bon endroit où nous pourrions rester ?

- Je vois. Dans ce cas, pourquoi ne pas venir chez moi ?

- Ça ne vous dérange pas ?

- C'est vraiment très spacieux ! En plus, de notre côté, nous souhaiterions encore utiliser un peu vos Dragon Balls.

Bulma était définitivement fière d'elle. Elle avait réussit à faire d'une pierre deux coups.

- Et vous êtes si nombreux que si on vous trouvait, vous risqueriez d'avoir quelques ennuis.

Tout les nameks se regardèrent. Ils étaient dans un premier temps surpris par l'invitation de la jeune terrienne mais après tout, elle avait raison sur le fait que se cacher était la meilleure solution qui se présentée à eux.

- En effet, c'est possible. Répliqua le chef des Nameks. Nous vous remercions de votre aide.

Puis, Bulma pensa que puisqu'elle ne pouvait pas lâcher dans la nature tout un peuple, pourquoi ne pas s'occuper en même temps d'un autre, ou plutôt de son représentant, un peu plus difficile cette fois.

Elle se pencha alors vers Végéta, les mains posées sur ses hanches.

- Et si tu venais aussi ? Après tout, tu n'as pas d'argent non plus n'est ce pas ?

Le prince des saiyens, tout d'abord surpris de la proposition, ne répondit cependant rien, l'ignorant par un grognement, tournant sa tête sur le côté.

- Je te cuisinerai plein de plats ! Tu dois sûrement beaucoup manger comme Son Goku, n'est ce pas ?

Bulma laissa échapper un petit rire mais sans gêne, continua son monologue.

- Par contre, je sais que je suis super excitante, mais ne tente rien de pervers !

Végéta fixa, choqué et une goutte perlant sur son front, la terrienne. Jamais une femme ne lui avait parlé aussi ouvertement et honteusement.

- Qu... Qu'elle femme vulgaire ! Dire ça si fort !

Le guerrier, honteux, serra les dents de colère mais définitivement déstabilisé sans ne plus savoir vraiment quoi dire.
Il ne refusa cependant pas, sachant pertinemment qu'il n'avait pas vraiment le choix et que cette option était la plus sage à prendre. Même s'il savait qu'il le regrettait sans doute plus tard.
Bulma n'attendit pourtant pas l'approbation de Végéta et décida qu'il était grand temps de retourner chez elle, ce qu'elle attendait depuis le début de ce périple éreintant.

- Bien, tout le monde ! Patientez un peu ! Je part chercher un téléphone, et mon père viendra nous chercher !

Après quelques minutes d'attentes, le docteur Brief arriva à bord d'un énorme vaisseaux prévu pour transporter toute la population de Namek, accompagné par Chichi qui n'en pouvait plus d'attendre le retour de son fils. C'est ainsi que les habitants de Namek furent transportés à Capsule Corporation ainsi que Végéta.

Bon, pour l'instant, c'est très proche de la trame originale. Je lirai donc la suite pour donner mon avis. Le style n'est pas mauvais, c'est plaisant à lire. Reste à voir comment ça évolue, je ne peux pas trop critiquer ou féliciter pour le moment.

Un début fidèle au manga et à l'animé mais l'écriture est bonne, les personnages respectés et je sens que vous aller bien traiter les périodes passés sous silence dans le manga comme les 3 années avant les cyborgs.
Pour l'instant, j'attends la suite, j'espère être agréablement surpris.

Je me souviens avoir lu cette fic !
Et en peut dire que c'est un superbe fic qui respecte bien le caractère des personnage ^^ !

Un bon début avec une retranscription fidèle et imagée des événements du manga, avec un recentrage sur les pensées de Végéta sur cette scène qui rendent vraiment bien ! Bonne continuation !

Bon style d'écriture, fidel au manga.
on attend la suite et les futures divergences

Joliment écris, tu retranscris très bien le manga.
Maintenant j'aimerai bien voir comment tu vas faire pour y rester fidéle tout en y apportant de nouvelles choses.
En tout cas, bon courage.

Bonne idée a creuser je suivrais

par contre j'ai repérer 3 erreur

1- quand Gohan imagine son père avec les cheveux doré et les yeux bleu les super sayan on le regard qu'on qualifie en général de vert ou éméraude
2- songoku n'est pas soldat 3ième classe ca n'existais pas il y avait élite et basse classe et vu la tôle que ce dernier lui a collé je voit mal vegeta le qualifier de soldat
3- "posture qu'elle adoptée lorsqu'elle se voulait sûre d'elle. " adoptée dans la phrase ne sonne pas très français

Bonne continuation
Ps. j'aime beaucoup ton avatar ainsi que ta signature

Bonjour ou bonsoir à tous et bienvenue pour le chapitre 2 de ma fiction !
Gros travail mais je suis à peu prés satisfaite du résultat. J'espère que vous le serez aussi !
Je mettrai également un commentaire à la fin du chapitre pour expliquer certains choix que j'ai fais et si vous avez des critiques à faire, je les acceptes avec grand plaisir alors n'hésitez pas! Je me sentirai moins seule ! Haha c'est triste...

Bonne lecture !

**************************************************************************************************************************

Chapitre 1

Tout était calme et madame Brief profitait du beau temps accompagnée de quelques gâteaux crémeux à souhait. Elle avait assisté au départ de son mari, il y a maintenant quelques dizaines de minutes avec le vaisseau de transport en la prévenant en coup de vent que leur fille était enfin rentrée de Namek en compagnie de toute une peuplade d'extraterrestre. Sans n'avoir pas vraiment compris tout ce qu'il lui avait dit, elle attendait patiemment son retour.
Une bourrasque, faisant vibrer l'herbe de la pelouse, détourna la maîtresse de maison de sa dégustation et fut rapidement suivi d'un énorme véhicule, qui ne c'était finalement pas fait attendre. Bulma revenait enfin chez elle après de longs mois d’absence. Mais elle ne rentrait pas seule.

Lorsqu'elle descendit du vaisseau, la jeune femme prit une grande bouffée d'air frais, suivit d'un soupir de bien-être. Elle fit alors geste à ses nouveaux amis que la voie était libre et qu'ils n'avaient aucune raison d'hésiter.

- Nous voici chez moi. Qu'en pensez-vous ? Plutôt cool, hein ?

Bulma était particulièrement fière de sa grande maison, symbole de la richesse et de la puissance de sa famille. Les réactions ne se firent pas attendre et tous les nouveaux habitants regardaient avec étonnement l'immense propriété qui s'offrait devant eux. Quelle immense demeure. Décidément, les terriens étaient des êtres bien différents des nameks.

Une nouvelle silhouette s'approcha d'un pas rapide, sortant les nouveaux venus de leur admiration. La mère de Bulma, heureuse de recevoir de nouveaux invités, gesticulait dans tous les sens, le sourire aux lèvres.
Bulma, souriante, soupira malgré elle. Sa mère lui avait certes manquée, mais elle savait exactement ce qui allait se passer entre elle et ses invités, et particulièrement avec un.

Bunny regarda avec stupéfaction l'incroyable nombre de personnes vertes sortir du vaisseau, tous aussi perdus les uns que les autres, sans se rendre compte qu'elle était le nouveau centre d'attention des Nameks. Excitée par cette nouvelle expérience de cohabitation qui se présentait à elle, son regard, qui parcourait rapidement toute cette assemblée, se posa sur quelqu'un de fort différent des autres mais ô combien séduisant. C'était un homme particulièrement musclé, aux yeux d'un noir profond, surmonté de cheveux de jais dressé sur la tête.

- Oh là là ! Comme c'est gentil d'être venu ! Est-ce que ce gentleman est ton petit ami Bulma ? Quel jeune homme charmant, et tellement dans le vent ! S'exclama-t-elle.

La mère de famille c'était effectivement rapidement rapprochée de Végéta, celui-ci étant totalement désarmé face à cette créature fort bruyante et dotée d'un sans-gêne inouïe. Elle c'était, à son goût, un peu trop rapproché de lui.

- Dans...Dans le vent ? Bafouilla-t-il.

Sans vraiment comprendre ce qui était en train de se passer, et sans vouloir en savoir plus d'ailleurs, ses yeux se posèrent sur une machine ronde qui reposait sur la pelouse. Oubliant rapidement la fontaine verbale qui semblait ne plus vouloir lui laissé un semblant d'espace vitale, il se dirigea vers cet appareil qui ressemblait vaguement aux capsules saiyens, quoique beaucoup plus grande. Il décida de l'examiner de plus près.

- Est-ce que...

- C'est un vaisseaux capsule que j'ai réparé ! C'est la quatrième fois que le répare, il est parfait. Toutefois, je n'ai pas encore décidé où j'allais mettre la stéréo.

Le professeur Brief s'était mis à côté de Végéta et regardait avec admiration et fierté sa machine totalement rénovée. Le saiyen pénétra dans le vaisseau, intrigué et curieux de ce que ces terriens avaient pu faire d'une capsule individuelle saiyen.
Examinant d'un coup d’œil l'environnement, il posa une main sur le tableau de commande.

- Alors c'est dans une navette comme ça que Kakarotto est arrivé sur Namek...

Observant les différentes fonctions dont la machine disposait, une image apparue sur le petit écran, il y a peu encore silencieux. L'être blond et bruyant arborait un grand sourire et portait un plateau rempli de verre.

- Mr Végéta ! J'ai préparé des rafraîchissements ! Venez donc trinquer avec nous ! dit-elle.

Elle souriait en brandissant son plateau à la hauteur de son visage, laissant échapper quelques gouttes.

Décidément, les femmes de cette planète étaient bien étranges et aucunes d'elles n'avaient l'air d'avoir peur de lui. Mais cela changera bientôt.
Ne répondant cependant pas à l'appel de cette femelle, il décida de tout de même sortir de cette capsule, plongé dans ses réflexions. Qu'allait-il faire maintenant ? Rester sur cette planète ? Cela semblait le plus logique. Attendre la résurrection de Kakarotto était sa priorité et d’après ce qu'il avait compris, les boules de cristal resteraient ici. C'est dans cette demeure que le super saiyen reviendra et c'est à ce moment-là qu'il prendra sa revanche.

- Voulez-vous une pâtisserie mon cher? Celle-ci est fourrée au chocolat et celle là à la vanille. A moins que vous ne préfériez celui au café. J’ai découvert ces petits gâteaux dans une nouvelle pâtisserie absolument superbe !

Encore elle. Végéta, l'esprit inondé d'un tel flot inépuisable de paroles, qui n'avait pour lui, aucun sens, tenta de se concentrer sur autre chose afin d'éviter le massacre. Son estomac en profita pour le rappeler à l'ordre et son odorat se joint à lui pour repérer un parfum sucrée qui lui était jusque-là, inconnue. Malheureusement, il se rendit vite compte que ceci provenait du contenu du plateau que portait cette femme. Après un millième de seconde de réflexion, il attrapa un gâteau, qu’il enfourna dans la bouche.
Cette chose était moelleuse, sucrée et faisait réagir ses papilles comme jamais. Comment résister à en prendre un deuxième ? Un troisième ?
Ses mains agrippèrent cette nourriture et que ne fut pas sa joie quand il se rendit compte que cela avait également réussi à faire taire cette boite à parole qui désormais le regardait, émanant de joie.

- Vous appréciez mes gâteaux ? Ne sont-ils pas délicieux ? Comme je suis ravie qu'un tel homme comme vous mangiez d'aussi bon cœur ! Cela fait vraiment plaisir à voir !

Finalement cela n'avait servi à rien. Une veine commençait à naître sur la tempe du saiyen, qui se disait qu'il n'était peut-être pas trop tard pour la tuer.

****************************************************************

Bulma, qui s'occupait pour le moment de montrer aux nameks leur nouveau lieu d'habitation, accourait vers le jardin. Elle s'était rendu compte qu'il manquait une personne, et pas des moindres, à l'appel. Piccolo le lui avait fait remarquer par un toussotement tout lançant un coup de tête en direction du jardin.
Même s'il ne s'en préoccupait pas vraiment, il avait jugé bon de lui rappeler qu'ayant accueilli dans sa demeure sûrement un des pires monstres de la galaxie, il aurait été préférable d'éviter de le laisser sans surveillance et pire, seul en compagnie de madame Brief.
Piccolo, connaissant un minimum le prince des saiyens, estimait qu'il serait dangereux de laisser les géniteurs de la terrienne seuls à proximité, ne sait-on jamais les réactions de Végéta face à eux.

Bulma avait rapidement demandé au Namek de ne pas bouger, lui et ses semblables avant d'accourir, essoufflée vers le vaisseau.

Elle assista alors à la scène.

Végéta engloutissant les derniers gâteaux du plateau et sa mère, comme à son habitude, aussi bavarde qu'exubérante.
La jeune femme ne manqua cependant pas de remarquer la veine grossièrement développée sur la tempe du saiyen. Sa mère ne fera sûrement pas long feu si elle continuait dans cette voix. Même pour Bulma, elle pouvait se montrer très exaspérante.

- Maman ! Hurla la jeune femme.

Cela eut l'effet escompté. Sa mère, toujours le sourire aux lèvres, se retourna.

- Laisses le tranquille bon sang! Ce n’est pas le moment de jouer à la parfaite maîtresse de maison !

Elle s'était approchée rapidement pour lui attraper le bras qui ne soutenait plus le plateau, en faisant attention de ne pas la bousculer et ainsi de stopper net le festin du saiyen.

- Qu'est ce qui t’arrive ma chérie ? Tu en voulais aussi c'est ça ? Mais comment voulais-tu que j'arrête cet homme ? Il est tout ce qu’il y a de plus délicat et gentleman.

Elle le regarda quelques secondes, silencieusement, avant de se retourner à nouveau vers sa fille, tout sourire.

- Il est si irrésistible tu ne trouves pas ?

Elle soupira longuement et reprit de plus belle.

- Si je n'étais pas mariée à ton père, je crois que…

Bulma écarquilla les yeux. Végéta délicat? Gentleman ? Décidément, sa mère ne voyait que ce qu'elle voulait voir. Si seulement elle savait tout ce dont il a été capable et tout ce qu'il était capable de faire, cela rendrait les choses peut-être plus simples. Quoi que, connaissant sa mère, cela ne lui poserait sûrement aucun problème.
La jeune femme se rappela alors qu'il était effectivement le coupable de la mort de ses amis et du calvaire qu'elle avait connu sur namek. Et Yamcha ? Qu’allait-il penser de tout ça ? Il lui dirait sûrement qu’elle était folle et complètement irresponsable. Elle l'avait, en plus, accueilli sous son toit d'une manière bien ridicule.
Il était cruel, froid et malgré tout, elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'il y avait une chance qu'il ne soit pas que cela et qu'il deviendra peut-être un allié de poids, tout comme Piccolo à présent.

Pour le moment, elle devait surtout le surveiller et réussir d'une certaine manière à le garder un minimum sous contrôle. Elle lui donnait, en espérant qu'il ne s'en rende pas compte, de la marge pour réfléchir à ce qu’il fera plus tard. Tuer Son Goku était son but ultime, elle le savait très bien. Il avait sûrement accepté de venir chez elle sachant que le premier endroit où son ennemi juré reviendrait serait la Capsule Corporation.
Voilà ce qu'elle s'imaginant comme étant les raisons les plus probables afin de comprendre les décisions du prince. Cependant, au fond d'elle-même, la curiosité et une sympathie inexplicable venaient à germer petit à petit.

Mais là, il n'était pas question d'analyser le saiyen mais bel et bien de sauver sa mère d'une probable catastrophe.

- Maintenant ça suffit maman !

- Ma fille est jalouse ? Comme c'est adorable ! S'exclama-t-elle.

Bunny ne semblait pas vouloir lâcher des yeux le nouvel invité qui continuait à mâcher machinalement les derniers gâteaux contenus dans ses mains.

- Maman !

Entre temps, Végéta se retrouva devant le plateau finalement vide et se rendit compte que l'autre terrienne venait d'arriver. Sa voix aiguë ne l'aidait pas à passer inaperçue et encore moins supportable.
Les habitantes de cette planète n’arrêtèrent-elles donc pas de parler ? Il n'était pas sûr qu'une météorite, un incendie ou n’importe quoi d'autres soit capable de les arrêter. Peut-être finirait-elle par mourir d’asphyxie ou de déshydratation bien qu'il ait préféré les tuer sur place, histoire d’en finir rapidement, mais elles pouvaient sûrement lui être utiles plus tard.

Il avala le dernier gâteau qu'il était en train de mâcher puis lécha ses doigts plein de crème, histoire de ne pas en perdre une miette.

- Et puis vous savez, mon mari est lui aussi gourmand, comme vous. J’ai remarqué avec le temps que…

Avant qu'elle ne pût finir sa phrase. Une main gantée venait de se poser sur sa bouche. Elle leva les yeux pour se retrouver nez à nez avec l'homme à la limite de l’explosion.

- Végéta, je vais te montrer ta chambre ! s'interposa Bulma. Pourquoi tu ne m'as pas suivi quand je l'ai demandé à tout le monde ? Tu n'échappes pas aux règles alors tu es prié la prochaine fois de m'écouter.

Bulma avait réussi à écarter le saiyen de sa mère, qui observait la situation avec une grande attention.

- Ne me donnes pas d'ordres femme! Dit il en lâchant prise.

- Je m'appelle Bulma au cas où tu l'aurais déjà oublié et il va falloir t'habituer à t'adresser à moi de cette manière.

- Je n'en vois pas l'utilité.

- Pourtant c'est comme ça. Maintenant suis-moi si tu veux savoir où tu vas dormir. dit elle en se dirigeant vers la maison.

Elle avait avancé de quelques pas puis finit par se retourner vers Végéta, qui n'avait pas bougé d'un pouce. Il la fixait, outré de la façon dont elle venait de lui parler.

- A moins que tu ne veuilles dormir dehors, après tout ça ne me regarde pas.

Bulma arbora un sourire ironique avant de pouffer doucement, étouffé du bout de ses doigts.

Rageant, les poings serrés, Végéta aurait pu la tuer là, tout de suite, mais il était encore trop tôt et il fallait qu'il se contrôle. Son heure viendra, il fallait juste être patient. Donnant un hochement de tête accompagné d'un grognement, il la suivit en laissant une distance de quelques mètres entre eux. Devant lui, la terrienne avait commencé à marcher d'un pas sur en pensant qu'elle ne se laissera pas faire par ce grossier personnage. Elle ne savait pas que Végéta pensait exactement la même chose au même moment.

Ils entrèrent dans la maison, silencieux et, en passant devant l'entrée de la grande serre, ils croisèrent les nameks qui s’arrêtèrent tous de parler au même moment, ignorant s'ils devaient plus avoir peur de la terrienne que du saiyen ou inversement.
Quant à piccolo, il tapait nerveusement du pied et lança un regard noir à Bulma.

- Il y a un problème ? Demanda-t-elle sans grande conviction.

- Tu te moques de moi ? Tu pars comme une furie en nous disant de ne pas bouger et c'est tout ce que tu trouves à dire en revenant ?

- Ah oui c'est vrai ! Finalement non ce n'était pas la peine, vous êtes là où vous devez être. Je me suis dit qu'il vaudrait mieux pour vous de vivre dans ce grand espace de verdure plutôt que de vous donner des chambres à tous. Cela semble plus logique non ? répondit-elle en joignant ses deux mains.

Elle était contente d'avoir fait preuve d'une telle initiative en ayant eu cette brillante idée. Alors que Piccolo allait répliquer et corriger Bulma, un grand rire se fit entendre dans la serre. Végéta s’esclaffait littéralement, observaient par toutes les personnes présentes, intriguées et quelques peu effrayées devant ce ricanement qui leur faisait froid dans le dos.

- Je n'aurai jamais cru voir de toute ma vie un peuple entier se soumettre aux ordres d'une simple terrienne. Quelle pitié !

Tout le monde, muet par la surprise, ne tenta pas de répondre à la provocation du saiyen, trop effrayé par des représailles expéditives, mais ce ne fut pas le cas de tous.

- Peut être, mais notre peuple existe toujours, Végéta. réplique Piccolo.

Les réactions ne se firent pas attendre. Le prince vit rouge. Ses pupilles, inexpressives à l'accoutumée, se dilatèrent, ses sourcils déjà froncés s’enfoncèrent encore plus.
Bulma quand à elle, s'était instinctivement placé devant ce dernier, les bras écartés pour le stopper en lui demandant de bien vouloir se calmer. Geste bien inutile puisque Végéta, sans la regarder, l'avait poussée de sa main droite quelques mètres plus loin.
La terrienne se retrouva par terre, accompagnée de deux nameks qui n'avaient pas eu le temps d'esquiver le projectile.
Piccolo, lui, n'avait pas bougé d'un iota malgré l'aura meurtrière qui émanait de son ennemi. Il avait gardé son calme légendaire. Ils se défièrent ainsi du regard, sans que l'un laisse entrevoir à l'autre ne serait-ce que l'ombre d'un doute.

- Qu'est-ce-qu'il y a Végéta, tu aimerais me tuer ?

- Non... Je vais faire plus que ça en vous exterminant tous !

Liant le geste à la parole, l'aura du saiyen commença à apparaître et se concentrer aux niveaux de ses deux mains. Oubliant ses projets de vengeance, laissant de côté le fait qu'il se trouvait sur terre, tout ce qu'il souhaitait à présent était de laver l'affront qu'on venait de lui faire.

- Végéta non !

Bulma s'était mise à hurler, sa voix résonnant dans la serre. On pouvait y percevoir sa peur mais également sa détermination à stopper net tout cela et, dans un élan de courage aveugle, elle se précipita sur le saiyen en hurlant de plus belle.
Elle se heurta contre le torse bombé de Végéta, la faisant à nouveau rencontrer la pelouse. Tous, sans exception, la dévisagèrent comme si elle était une petite créature étrange. Ce n'était qu'une terrienne sans grande prétention en ce qui concerne ses performances physiques, mais elle n'avait pas l'air de prendre en compte ce détail si important lorsque l'on faisait face à un saiyen. Et il se dressait devant elle un des plus monstrueux.

Ce dernier avait totalement oublié la colère qui le submergé pour observer, interdit, le geste inutile et quelque peu atypique de la terrienne. Comment quelqu'un d'aussi faible trouverait le courage de foncer tête baissée sur un homme aussi puissant que lui.

Pour Bulma, peu importait ce qui pouvait lui arriver à cet instant précis, elle devait arrêter Végéta par n'importe quels moyens. Cela était son principal objectif jusqu'au retour de Son Goku. Elle ne l'avait pas accueilli pour rien et c'était maintenant ou jamais qu'elle devait prouver à tous qu'elle était capable de gérer un tel monstre sous son toit.

- Végéta, répéta-t-elle, si tu tue tous les nameks, on ne pourra plus utiliser les Dragon Balls et Son Goku ne reviendra jamais à la vie ! Comment compte tu le battre s'il reste mort ? Tu y as réfléchis avant de vouloir détruire toute ma maison ?

Bulma, qui s'était finalement relevée, avait pointé son index sur le saiyen. Elle tremblait, son souffle était saccadé, mais elle ne cessa de défier le prince du regard.
Elle avait raison. Elle avait d'ailleurs toujours raison et le savait parfaitement. La jeune femme avait trouvé, en quelques secondes, l'argument ultime pour garder un contrôle partiel sur le guerrier.

La réponse de Végéta ne se fit pas attendre. Il repoussa d'un geste contrôlé le bras de la terrienne dirigé vers lui.

- Finalement, vous ne faites pas qu’exécuter les ordres d'une terrienne, vous êtes même sous sa protection. Il n'y a aucune raison que je m'abaisse à tous vous exterminer. Vous en avez de la chance.

Arborant un sourire empli d'ironie et de satisfaction, le saiyen tourna les talons.

- Femme ! Montres moi mes appartements ! Et dépêche-toi !

Il disparut finalement derrière la grande porte.

Bulma posa une main sur sa poitrine afin de retrouver son calme. Elle avait réussi, elle, une simple terrienne et non une combattante comme tous ses amis, à maîtriser Végéta.

- Vous pouvez vous installer tranquillement désormais mes amis. Dit elle aux nameks

Ils étaient encore apeurés et pas vraiment rassurés du départ du saiyen. Un bras retint celui de la jeune femme.

- Bulma, fait attention.

- Je sais ce que je fais Piccolo.

- Ce n'est pas parce que cette fois tu as réussi à l'empêcher cette fois-ci de tout détruire que ça sera le cas la prochaine fois. C'est quelqu'un de dangereux et de malveillant qui ne respecte rien à part sa petite personne.

- Et bien moi j'en serai capable. Merci de t'inquiéter.

Bulma prononça cette dernière phrase avec ironie. Elle n'appréciait pas que quelqu'un remette en question ses actes.

- Si je peux quand même te donner un conseil, évite de trop t'occuper de lui. Laisse le tranquille dans la limite où il ne cause pas de dégâts majeurs. Ne le provoque pas non plus.

Piccolo avait lâché le bras de Bulma tout en la fixant, énonçant distinctement et lentement ses recommandations.

- Je ne suis pas folle. Dit elle en lançant un regard noir à Piccolo.

Sans se retourner, elle partit rejoindre Végéta

- Ce n'est pourtant pas évident de penser le contraire.

Piccolo venait de murmurer cela pour lui-même et Dendé, qui s'était caché derrière lui, l'avait entendu. Il lui lança un regard empli de peur et d'interrogations. Le plus puissant des nameks le regarda avec un sourire et posa sa main sur la tête de son protégé.

- Ne t’inquiète pas Dendé, je ne serai jamais bien loin. Je ne laisserai pas ce monstre vous faire du mal.

Ceux à quoi, le petit Namek répondit par un grand sourire et repartit retrouver ses paires pour lui aussi s'installer dans son habitat provisoire.

*******************************************

Végéta attendait, adossé contre le mur, bras et jambes croisés. Il ne lança pas un seul regard vers la terrienne lorsqu'elle lui passa devant.
Un petit téléphone, accroché à l'entrée de la serre, se mit à retentir dans une bruyante mélodie. Bulma décrocha rapidement, légèrement excédée. Elle voulait en finir vite avec le saiyen pour pouvoir enfin se reposer.

- Oui...?

- Bulma, ma chérie ! J'étais sûr que tu serais encore là . As-tu montré à ce cher monsieur Végéta sa chambre ?

- Pas encore maman... Soupira-t-elle.

- C'est parfait ! Je voulais t'éviter de traverser toute la maison pour rien ma chérie ! Ton père et moi n'avons pas eu le temps de programmer les robots pour préparer les chambres des invités, mais vu que tu as jugé préférable de placer les Niamels...

- Nameks maman.

- Oui oui, ceux-là même, dans la serre, ce qui est une charmante idée d'ailleurs parce que...

- Abrèges maman !

- Je voulais donc te dire que la seule chambre déjà prête est la 46 de l'aile Nord.

- C'est une blague ?! Parce que si c'en est une ce n'est pas du tout drôle ! S'indigna Bulma

Elle avait crié, le combiné dans ses deux mains, collé à ses lèvres. Le hurlement fit sursauter Végéta qui ne comprenait pas comment on pouvait passer de l'état de lassitude extrême à un tel degré d'énervement.

- Bien sûr que non ! Tu sais bien que je ne sais pas en faire... Mais n'est-ce pas merveilleux ma chérie ?

- Non ! Pas du tout !

Bulma raccrocha d'un coup le téléphone. Elle avait une furieuse envie d'arracher le combiné du téléphone et de le jeter sur quelqu'un. En particulier sa mère. Elle resta sans bouger pendant quelques secondes, la main toujours sur le combiné.

- Femme ! Combien de temps vas-tu encore me faire attendre ?

Végéta n'avait pas particulièrement envie d'attendre patiemment que la terrienne se décide à bouger d'elle-même.

- Hein ?

-Je te dis de te dépêcher pour m'emmener jusqu'à mes quartiers.

-Ah oui... Ta chambre... dit elle en lâchant le téléphone.

- Je n'ai pas que ça à faire.

- Et peut-on savoir ce que tu as d'autres à faire ?

Bulma s'était mise à marcher vers les chambres à l'étage, d'un pas rapide, encore excédée.

- Cela ne te regarde pas.

- Oh, je vois.

Bulma se mit à rigoler toute seule. Une image assez cocasse émergea dans son imagination.

- Le prince Végéta a besoin d'être seul avec lui-même dans un moment d'intimité.

La terrienne tourna lentement la tête vers Végéta qui la suivait, une main sur sa bouche qui souriait toujours et les yeux moqueurs pour finir par un rire étouffé.

- Co...Comment oses-tu insinuer de telles choses !

Végéta, le rouge aux joues, mal à l'aise par la désinvolture de cette terrienne, prit cela comme une atteinte à sa pudeur. Il perdit cependant tous ses moyens face à un tel sous-entendu.

- Quelle femme vulgaire...

- Je plaisantais voyons. Dit elle dans une démarche désinvolte.

Après quelques dizaines de secondes de marches, Bulma s'arrêta face à une porte et soupira

- Voilà ta chambre. Je m'excuse d'avance car tu me croiseras souvent par ici, la mienne n'est pas loin.

- Hors de question ! Je ne veux pas te croiser dans mes quartiers !

- Alors premièrement, dit elle en levant son index, ce ne sont pas tes quartiers mais les miens ! Et deuxièmement, les chambres dans la partie réservée aux invités ne sont pas prêtes. Et ça ne me fait pas non plus plaisir figures toi.

- Tout cela est ridicule.

- Ridicule ou pas, c'est comme ça.

Bulma poussa à nouveau un long soupire, suivit d'un moment d'absence. Cela lui arrivait d'avoir d'un seul coup la tête ailleurs en oubliant tout ce qu'il y avait autour d'elle. La jeune femme était épuisée et ne pensait plus qu'à une chose : sa baignoire et son lit.

Elle n’entendait pas le saiyen lui parler.

- Femme !

- Oui quoi ?

Le hurlement de Végéta la fit finalement sortir de sa torpeur dans un sursaut.

- Tu peux disposer, je n 'ai plus besoin de toi. Je dois à présent me reposer.

- Tu fait ce que tu veux tu sais.

Bulma ne remarqua pas qu'elle avait prononcé ces derniers mots dans le vide, car Végéta s'était déjà introduit dans sa chambre.

- Quel mufle. Grogna-t-elle. S'il croit qu'il m'impressionne, c'est raté.

La jeune femme rentra à son tour dans sa chambre, impatiente de se laver et de changer ses vêtements qu'elle avait portés bien trop longtemps à son goût. Sans attendre, elle ouvrit les robinets de sa baignoire et versa abondamment le contenu de son bain moussant.
Elle se délecta lorsqu'elle rentra tout son corps entier, recouvert par une mousse rose à l'odeur de fraise.

- Enfin... Soupira-t-elle en s'immergeant totalement dans l'eau chaude.

Après une bonne heure de relaxation, Bulma décida tout de même de sortir, ses doigts commençant à se friper, ce qu'elle ne supportait pas. Elle enfila son peignoir tout en passant une serviette sur ses cheveux bleus mouillés qu'elle sécha rapidement. Assise devant sa coiffeuse, elle s'observa longuement, sous tous les angles. Sa peau avait bien besoin de soins, ses mains d'une manucure. Seuls ses cheveux avaient réussi à survivre à l'enfer de Namek mais maintenant, elle aurait tout le temps dont elle aura besoin pour se refaire une beauté. Elle appliqua quelques crèmes, qui n'avaient pas été utilisées depuis longtemps, sur sa peau d’albâtre en attendant de prendre rendez-vous chez son institut préféré.

Après avoir coiffé ses cheveux, elle enfila une petite robe légère blanche faisant ressortir la pâleur de sa peau ainsi que de petites sandales à talons de la même couleur.
Un vent frais rentra dans sa chambre par la fenêtre qu'elle venait d'ouvrir. Prenant une grande respiration, Bulma se sentait enfin rentrée chez elle. Elle était heureuse.


La température était parfaite, le ciel dégagé accompagné d'un soleil rayonnant. Un temps digne d'un milieu de printemps et cela n'étonnait pas Bulma de voir son père déjà assis sur la terrasse du jardin, en train de feuilleter ses magazines d’ingénieures. Elle s'assit à côté de son paternel et était ravis de le voir. Il symbolisait pour elle la tranquillité et le calme de cette maison.

Le Dr Brief leva les yeux de son article pour regarder sa fille, le sourire aux lèvres, qu'elle lui rendit.

- Tout va bien Bulma ?

- Tout va merveilleusement bien papa.

Dit elle en prenant un verre de limonade sur la table. Elle posa son dos sur le dossier de la chaise et observa les nuages flotter au dessus de sa tête.

- Où est maman ?

- Elle est déjà avec les Nameks. Elle a dit qu'elle n'allait pas laisser des pauvres gens qui avaient perdu leur planète s'ennuyer.

- Je vois...

Son regard se posa, sans s'en rendre compte, sur le vaisseau que son père avait construit pour Son Goku et se mit à penser à celui avec lequel elle était partie, désormais disparu. Finalement, son père avait réussi à rendre celui la beaucoup plus rapide que le premier modèle.

- Mais... d'un bond, Bulma se leva de sa chaise, les yeux écarquillés. Qu'est-ce que...

Devant elle, les hublots du vaisseau étaient teintés d'une lumière rouge.

- Ah oui ! S'exclama son père en tapant son poing contre la paume de sa main. J'ai oublié de te dire, ce Végéta est venu me voir tout à l'heure pour me demander comment marche le dispositif de gravité.

Il regarda à son tour sa machine avant de retourner vers Bulma, qui fixait le vaisseau de ses yeux bleus grands ouverts.

- C'est un saiyen n'est ce pas ?

- Hein ?

Bulma regardait son père comme si elle n'avait pas compris le moindre mot.

- C'est un saiyen comme notre cher Son Goku n'est ce pas ? Répéta-t-il calmement.

- Oui. Pas vraiment le même genre de saiyen mais oui, ils viennent de la même planète.

- Intéressant... Murmura son père pour lui-même.

Il observait à son tour sa nouvelle fierté tout en caressant son petit chat noir, toujours perché sur son épaule.

- Je ne vois pas en quoi c'est intéressant papa !

- Ne t'emportes pas ma fille. Je me disais juste que l’entraînement devait vraiment être une histoire de saiyen.

- Heu... Oui sûrement mais je ne voit pas le rapport...

- On ne risque pas de le voir souvent alors. Dommage.

- C'est plutôt une bonne nouvelle non ?

Bulma était assez intriguée par son père qui pouvait se révéler très mystérieux parfois. Certes, Végéta était un monstre sanguinaire mais en l'imaginant là, déjà à s’entraîner comme Son Goku, elle se disait qu'elle aurait finalement bien voulu en savoir plus sur le peuple des saiyen, leurs coutumes, leurs technologies et tellement plus de choses.
Après tout, elle aussi était une scientifique et l'appel de l'inconnu était toujours le plus fort. Elle comprit alors son père.

Bulma n'avait cependant pas l'intention de rester assise à ne rien faire et se leva de sa chaise d'un coup pour se diriger vers le nouveau jouet du saiyen.

- Ma chérie, ne l'embêtes pas. Attendons l'heure du dîner. Je suis certain que nous le verrons.

Bulma se retourna vers son père, un sourcil levé. Il laissa échapper un petit rire tout en lui faisant signe de revenir s’asseoir.

- Si c'est vraiment un saiyen comme Goku, je pense qu'il doit avoir le même appétit. Non ?

Son père avait raison. Ce n'était peut-être pas le moment de le déranger et elle devra patienter avant de pouvoir lui parler. Si cela était vraiment possible.

- Dans ce cas, je vais aller voir comment se débrouille maman avec les Nameks... Si elle ne va pas les transformer en Nameks enragés exterminateur de terriens.

Bulma, en prononçant cette dernière phrase avait lancé un clin d’œil moqueur à son père qui lui répondit par un rire franc.
Et c'est en jetant un dernier coup d’œil vers la salle de gravité fermée que Bulma quitta la terrasse avec son verre en direction de la serre.

************************************************

- Ma chérie ! Je suis contente de te voir ! Ces Nemeks sont des personnes charmantes !

- C'est Namek, maman.

- Ah ? Ce n'est pas ce que j'ai dit ? Qu'importe, tu savais qu'ils ne mangeaient pas de gâteaux ? C'est tellement triste tu ne trouves pas ?!

- C'est normal maman, ils ne se nourrissent que d'eau.

- Mais ce cher Végéta en voudra sûrement. Il n'est pas avec toi ?

- Bien sur que non. Il est déjà en train de s’entraîner dans la salle de gravité.

- Quel homme courageux ! Comme notre cher Goku ! Décidément ma fille, tu n'es entourée que d'homme tout à fait charmant.

- Maman, calme-toi s'il te plaît et arrête de dire n'importe quoi. Végéta n'a rien d'un homme charmant. Et s'il s’entraîne, c'est justement pour tuer Son Goku plus tard...

- Tu as fini de dire de si vilaines choses ! Mais dis-moi, tu ne trouves pas qu'ils sont adorables ?

Sa mére venait d'attraper deux petits nameks, dont Dendé, qu'elle serra entre ses deux bras. Sans opposer la moindre résistance, ils changèrent instantanément de bras pour se retrouver dans ceux de Bulma qui les avait arraché de force à ceux sa mère en lui jetant un regard noir.

- Ce ne sont pas de petits animaux maman !

- Mais ils sont tellement mignons ! Tu sais comme ces petits chiens que j'ai vus..

Bulma n'écoutait plus sa mère qui se remettait à raconter tout ce qu'elle avait fait ou vu dans sa vie. La jeune femme se baissa au niveau de Dendé et lui posa une main sur la tête

- Piccolo n'est plus là ?

- Non il est reparti...mais il a dit qu'il ne serait jamais très loin.

- Ça ne m'étonne pas de lui mais il y a de quoi être rassuré non ? Dit elle en souriant.

Dendé acquiesça énergétiquement avant de repartir se mettre à l'abri de l'autre terrienne. Bulma se releva en époussetant sa robe et retourna voir sa mère qui, au moins, avait l'air de ne jamais s’ennuyer .

La fin de l’après-midi se déroula dans une ambiance bruyante mais très agréable. La présence des nameks réjouissait les Brief, cela rendaient la demeure d'autant plus vivante mais il était l'heure pour tous de retourner à leurs activités premières.

Bunny s'était rapidement mise aux fourneaux car on ne pouvait pas faire attendre un homme aussi délicat que ce cher Végéta. Le Dr Brief lui, s'était replongé dans ses ouvrages, accompagné de sa tasse de café. Quant à Bulma, elle se reposait allègrement sur le sofa du salon devant la télévision, simplement par flânerie. Elle se remettra au travail dès demain mais pour le moment, rien ne pourra la faire bouger.

- Bulma ma chérie ?

Sa mère fit interruption dans le salon, vêtue de son tablier et de sa cuillère en bois dégoulinante de sauce mais elle semblait ne pas y prêter attention.

- Oui maman ? Répondit Bulma excédée.

Décidément, elle n'arrivera jamais à avoir du temps pour elle. Elle était même persuadé que sa mère était capable de la réveiller en pleine nuit.

- Veux-tu bien aller chercher ce cher Végéta ? Il doit avoir faim ! Et, en se tournant vers son maris. Mon chéri, viens m'aider à mettre la table et laisse enfin ce pauvre magazine tranquille.

- Je suis obligé ? Soupirèrent en même temps les deux concernés.

- Eh oui ! Allez allez, chacun à sa tâche.

Dans un élan surhumain, Bulma et son père se levèrent comme si le poids du monde reposait sur leurs épaules. La jeune femme sortit alors de la maison en direction de la salle qui était toujours éclairé d'un rouge vif.

- Et sois gentil avec lui ma chérie ! Lui hurla Bunny à travers la porte.

Bulma marchait rapidement vers le vaisseau et se mit à tambouriner contre la porte.

- Végéta !

Pas de réponse.

- Végéta ! Je sais que tu es là ! Ouvres !

La terrienne croisa les bras et tapait légèrement du pied. Comment le faire sortir?

- Tu as faim ? Le dîner est prêt et il y a un tas de bons petits plats qui n'attendent que d'être mangés...

Les lumières s’éteignirent, accompagné quelques secondes plus tard par l'ouverture de la porte. En haut des marches se tenait le prince des saiyens.

************************************************

Après être rentré dans sa chambre en examinant consciencieusement les alentours et les meubles qui s'y trouvaient, le guerrier en profita pour prendre une douche chaude. Il venait de passer la pire journée de sa vie. Il avait connu en quelques heures la peur, le désespoir, la faiblesse, la mort.
Maintenant, il était condamné à l'exil sur une planète inconnue mais cela n'avait pas d'importance face à la revanche qu'il allait prendre sur Kakarotto. Qu'importe ce qui lui arrivera ici, il le vivra comme une épreuve de plus dans sa vie.
De suite après sa douche, il enfila à nouveau sa combinaison et, regardant par la fenêtre, observa le vaisseau. Comment n'y avait-il pas pensé. C'est certainement grâce à cette machine que ce dernier avait réussi à devenir aussi puissant et atteindre le niveau de super saiyen.

Il sortit par la fenêtre pour se retrouver face à la machine. Le problème qui se posait est qu'il n'avait pas la moindre idée de son utilisation. La solution était pourtant assise sur la terrasse.

- Oh, Végéta c'est ça ? Que puis-je pour vous ? s'interrogea le Dr Brief qui s'était arrêté de lire.

- Je veux que vous me montrez la façon d'utiliser cette machine.

- De quelle machine parlez-vous ?

- Celle qui a permis à Kakarotto d'obtenir autant de puissance !

- Ah ! Vous parlez de la salle de gravité. Vous voulez également l'utiliser ?

Végéta ne savait pas pourquoi, mais il ne ressentait ni le besoin de s'énerver, ni l'envie de crier sur ce monsieur si calme et tranquille. C'était un simple terrien mais il était l'un des facteurs de l'incroyable puissance de Kakarotto. Il était donc nécessaire qu'il s'en fasse un allié, le temps d'atteindre ses objectifs.

- Bien sur que oui, sinon je ne vous le demanderais pas.

- Très bien, après tout, vous êtes notre invité. N'est-ce pas ?

Le Dr Brief lui souriait gentiment, sans recevoir bien sur ne serait-ce qu'une réaction mais cela n'avait pas particulièrement l'air de le gêner.

- J'ai vraiment eu du mal à modifier la capsule de Son Goku. La technologie saiyen, c'est vraiment quelque chose. Dit-il en regardant tout autour de lui après être rentré dans la capsule.

- Où est l'appareil gravitationnel ? Demanda Végéta sans prêter attention aux bavardages du professeur Brief.

- Il est là. Ça c'est le bouton principal... Vous pouvez contrôler la gravité avec celui-là et vous pouvez monter jusqu'à 100g !Je ne me fais pas de soucis pour vous mais rendez-vous compte, 100g... Si vous pesez 100 kilos vous ferez 10 000 kg ! 10 tonnes c'est énorme !

- Peu importe. Vous pouvez disposer.

- Oh... Et bien, bon entraînement.

- Attendez.

- Oui ?

- En combien de jours Kakarotto était censé arriver sur Namek.

- Environ 6 jours. C'est que j'ai fait du bon travail vu le peu de temps que j'y ai passé.

Sur ces mots, le Dr Brief sortit de la capsule et Végéta se retrouva pour la première fois seul dans la salle de gravité. Sans aucune hésitation, il actionna la gravité à son maximum.
Les lumières passèrent au rouge, emprisonnant le saiyen dans un environnement sous haute pression. Il ne s'était pas attendu au fait qu'une gravité de 100 fois plus importante que celle de la terre serai si désagréable à supporter. Il en avait connu des planètes à forte gravité, celle de ses origines était déjà 10 fois plus forte mais cette fois-ci, c'était la plus puissante gravité qu'il subissait.

Le guerrier stoppa net la machine avant de reprendre son souffle.

- Si Kakarotto a réussi à maîtriser 100g en 6 jours... Je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas y arriver. Et bien plus rapidement !

Et dans un soupire de contentement, il actionna la gravité à 80g.

*****************************************************

Les heures passèrent à une vitesse folle. La nuit était déjà tombée et après des heures d'acharnement pour arriver à se mouvoir à peu près correctement, la faim commençait à le tirailler. Peut-être était-il temps d'aller chasser pour se nourrir.

La terrienne arriva à point nommé en frappant à la porte de la salle pour lui annoncer qu'il était l'heure de manger.

- Qu'est-ce que tu fais là ?

- Je viens te prévenir que le dîner est prêt. Je suppose que tu dois avoir faim. Je me trompe ?

- Occupe-toi de tes affaires.

Mais les grognements de son estomac ne se firent pas attendre et déclencha une légère hilarité chez la jeune femme qui tentait par tous les moyens de la cacher.

- Tu verras que notre nourriture est délicieuse. Tu es notre invité après tout, on ne peut décemment pas te laisser mourir de faim.

- Je t'ai dit de t'occuper de tes affaires !

- D'accord ! Alors tu sais quoi ? Je ne bougerai pas d'ici jusqu'à ce que monsieur daigne venir manger.

- C'est ton problème.

Et il lui claqua la porte au nez.

- Mais... Goujat ! Traiter une dame telle que moi de cette manière ! Très bien, meurs de faim ça m'est égal ! Quand je pense que maman a passé la moitié de l'après-midi pour lui faire de bon plat à la viande, à la volaille ! Toutes les réserves sont parties pour que finalement, Monseigneur Végéta refuse pour je ne sais quelle raison absurde de venir nous honorer de sa présence.

- Va-tu enfin te taire stupide femelle !

Végéta venait d'ouvrir précipitamment la porte de la capsule, la voix stridente de Bulma traversant les parois de métal.

- Tu viens manger ?

- Si tu te tais j'y consentirai peut-être !

Végéta avait une furieuse envie de se cogner la tête contre le mur de sa salle de gravité. Ou bien celle de la terrienne. Cela semblait être une meilleure option. Cependant, la faim le tiraillé et il devait, à regret, accepter la nouvelle invitation des terriens, mais une odeur des plus alléchantes, qui semblait provenir de la maison, le poussa à accepter rapidement.

- Conduit moi à la nourriture ! Dit il en descendant les petits escaliers du vaisseau.

Sans un mot, Bulma l’entraîna vers la cuisine. Sa mère avait décidément des idées bien saugrenues et les corvées désagréables étaient toujours pour elle.

- Inviter ce saiyen à manger avec nous... N'importe quoi. Murmura-t-elle.

- Tu as dit quelque chose femme ?

- Non. Et mon prénom c'est Bulma.

- Cela m'est bien égal.

Bulma se retint, malgré elle, d'échapper un gros mot. Allait-elle réellement réussir à se contenir jusqu'au retour de Goku. Il le fallait pourtant.

Arrivé à destination, la cuisinière se jeta à nouveau sur le saiyen dans un élan de joie.

- Oh monsieur Végéta ! Je suis ravie de vous accueillir à table ! Je vous en pris, prenez place !

La terrienne n'avait pas menti. Sur la table était dressé un immense choix de plats, plus appétissants les uns que les autres. Bulma s'était déjà assise prés de son père, qui lisait à nouveau son magazine que sa femme arracha des mains pour le poser sur le comptoir.

- Mon chéri, ne soit pas impoli envers notre invité voyons. Allez-y mon cher, mangez pendant que c'est chaud ! Vous devez avoir faim !

Végéta s'était installé le plus loin possible de terriens et n'avait pas attendu l'autorisation pour entamer, sans dire un mot, les premiers plats présents devant lui.
Madame Brief regardait, ravie, son invité engloutir à une vitesse ahurissante la nourriture. Bulma et son père, habitués depuis longtemps à son enthousiasme quasi constant, commencèrent à leur tour de manger.

- Qu'est-ce qu'il y a ma chérie ? Tu n'as rien dis du repas alors que tu viens juste de rentrer de l'espace. Tu dois bien avoir des histoires incroyables à nous raconter !

Le repas était à moitié entamé depuis 5 min et en effet, Bulma n'avait pas décoché un mot depuis qu'elle était entrée dans la cuisine. Seuls ses parents discutaient comme d'habitude entre eux, mais ce soir elle était bien trop énervée, et même fatiguée, pour parler de quoi que ce soit. Elle n'attendait qu'une chose, que Végéta ait fini son repas et qu'il reparte dans sa grotte moderne.

- Je mange maman.

- Tu entends ça papa, ma nourriture lui manquait tellement qu'elle en perd la parole !

Son interlocuteur lui sourit agréablement entre deux gorgées de soupe, ce qui suffisait largement comme réponse pour sa femme.
Bulma leva les yeux discrètement au plafond avec un léger soupire et lança quelques coups d’œils au saiyen qui engloutissait toujours à vive allure les mets. Cela ne se voyait pas mais Végéta faisait en ce moment le meilleur repas de sa vie. Il n'avait jamais mangé à sa faim et les goûts épicés s'alliaient aux doux, le moelleux au dur, le salé au sucrée. Il ne faisait aucune distinction et ses papilles s'étaient enfin éveillées à un nouveau niveau. Il devait le reconnaître, la nourriture terrienne battait à plate couture celles des autres planètes, seul la compagnie le dérangeait grandement dans son festin. Les prochaines fois, il tâchera de manger seul.

Une demi-heure après le début du repas, Végéta passa rapidement sa serviette sur sa bouche, la lança nonchalamment sur la table pour finalement se lever et partir sans dire un mot, laissant les deux montagnes de vaisselles qui s'étaient empilées durant le repas.

Alors qu'il allait passer la porte, Bulma ne put se retenir de l'interpeller.

- On dit merci !

Végéta tourna lentement sa tête vers la terrienne, avec le même sourire sarcastique qu'il avait l'habitude d'arborer.

- Et bien, de rien. Lâcha-t-il.

Cela fut suivi d'un rire perçant qui raisonna dans le couloir avant de disparaître dans le jardin.

- Et en plus il a de la repartie ! S'exclama Bunny.

- Quel enfoiré ! Pesta Bulma.

Elle s'était totalement retourner sur sa chaise, ses genoux posaient sur l'assise rembourrée et les mains crispées sur le dossier.

- Allons ma chérie, il as lui aussi du caractère, tu ne peux pas lui en vouloir. Vous vous ressemblez beaucoup tu sais ! Remarqua Bunny.

Son père laissa échapper un petit rire mais n'osa cependant pas regarder sa fille.

- Je ne crois pas non ! Et arrêtez d'être à ses pieds vous deux, ça ne fera qu'empirer son comportement déjà détestable! On dit que moi, je suis inconsciente de l'inviter mais si on me compare à vous, je suis saine d'esprit ! Je suis dans une famille de dingues ! Je le savais !

- Tu as fini de manger ? Tu veux un café ma chérie ? Lui demande Bunny sans faire attention à ce que sa fille venait de dire.

- Rha ! Grogna Bulma en simulant l'arrachage de ses cheveux avant de partir comme une furie de la cuisine.

- Namek ne lui a pas réussi on dirait. Soupira Bunny en posant son visage dans le creux de sa main.

- Elle ira mieux demain après une bonne nuit de sommeil, ne t’inquiète pas.

- Tu dois avoir raison mon chéri.

**************************************************************************************************************************
Merci d'avoir lu ce chapitre ! J'espère que j'arriverai à continuer dans cette voie là. J'essaierai d'éviter les chapitre de quelques pages, mais à la base, j'aime les long chapitres alors je tente. J'espère également m'améliorer dans le style d'écriture. Avec le temps peut-être !

Donc, je vous disais que j'expliquerai certains des choix que j'ai fais pour ce chapitre.
- Je pense que les raisons du choix de Bulma d'inviter Végéta sont assez proches de la réalité (s'il en existe réellement une. Une partie par curiosité, une partie par sympathie car, rappelons le, Bulma est quand même un personnage serviable malgré son mauvais caractère ! Je pensais avant que c'était juste pour le surveiller. Certes, c'est peut être le cas mais ce n'es pas le point le plus important de son raisonnement.
-Je ne sais pas si cela à choqué l'un ou l'une d'entre vous que Végéta accepte de prendre part au repas des Brief. Et pourquoi pas? Un saiyen qui a faim reste un saiyen qui a faim. Certes ce genre d’évènement ne se reproduira pas de sitôt mais je vous rappelle que pour le moment, Végéta est phase d'observation et d'adaptation.
-De plus, j'ai un ENORME doute sur l'utilisation de la capsule et la salle de gravité... J'y ai pensé il y a quelques temps. La capsule de Goku a du rester sur Namek et donc, explosé avec la planète. Pourtant, il est dis dans l'anime qu'il s'agis de la capsule de Goku, or c'était une nouvelle... Donc, bon, désolé je n'ai pas été très consciencieuse dans mes recherches et je n'avais vraiment pas le courage de tout refaire... veuillez me pardonner T_T

Voila, merci de m'avoir lu si c'est le cas et si vous avez une observation, une critique, n'importe quoi qui vous ferai plaisir, n'hésitez pas, je suis là pour faire plaisir et en même temps, apprendre !

Très bon chapitre, très bonne rédaction.

on oscille entre les subjectivités d'un peu tous les protagonistes avec en fil conducteur Bulma et Végéta.
Pour tes interrogations, tout à l'air plus que plausible et réaliste pour moi.

Pour la seconde capsule par contre... je me souvient pas trop mais tu peux t'en sortir facilement en mentionnant que Brieff avait consruit deux capsules et que Goku est parti avec la meilleure (celle qui avait la stéréo )

Migoto, Mikoto !

Les façons de la mère de Bulma (Bunny ??! C'est donc elle qui a fourni a Oolong la seule tenue "à la taille de Bulma" qu'il avait dans son camping-car !) sont excellentes et très fidèles au personnage ! Elle est bien délurée !

Végéta est impayable, que ce soit avec Bulma, Piccolo ou les nameks ! Ses répliques sont excellentes ! Et Bulma est cool aussi, à se dresser comme ça devant lui et à réussir même à le manipuler comme avec le vœu de résurrection de Goku qui dépend des nameks !

Je me suis fait une remarque, et en fait, vous en parlez vous-même dans vos commentaires de conclusion. En effet, le vaisseau de Goku est resté sur Namek, mais ce n'est pas la seule chose qui me surprend.

- C'est un vaisseaux capsule que j'ai réparé ! C'est la quatrième fois déjà, il est parfait. Toutefois, je n'ai pas encore décidé où j'allais mettre la stéréo.

Son regard se posa, sans s'en rendre compte, sur le vaisseau que son père avait construit pour Son Goku et se mit à penser à celui avec lequel elle était partie, désormais disparu. Finalement, son père avait réussi à rendre celui la beaucoup plus rapide que le premier modèle.

Donc, effectivement, il y a la question de savoir comment Goku a pu se rendre sur Namek sans son vaisseau (dans l'anime, en tout cas en VO, le vaisseau que veut utiliser Chichi est une invention complète de Brief, sûrement basée sur les connaissances qu'il a acquises grâce à la capsule avec laquelle Goku fut envoyé sur Terre, donc un deuxième vaisseau mais de technologie entièrement terrienne). Après, ça peut facilement s'arranger en enlevant les références directes au fait que ce soit le vaisseau de Goku et en disant que c'est, comme dans l'anime, un vaisseau neuf qui n'est pas un hybride de technologie saiyenne/terrienne mais qui s'inspire de la technologie saiyenne.

Ensuite, il est question que ce vaisseau soit un deuxième modèle, plus rapide que "le premier modèle" qui semble être celui de Bulma (puisqu'elle y pense juste avant la réflexion sur la vitesse gagnée (et en effet, Bulma met un mois là où Goku met une semaine)). Sauf que le vaisseau de Bulma n'est pas un premier modèle, ce n'est pas un vaisseau hybride saiyen retouché par la Capusle Corp., c'est le vaisseau de Kami-sama (ou, pour être plus juste, du fils de Katatsu qui s'est séparé en Kami-sama et Piccolo Daimao).

Ensuite, pour revenir sur la première citation, il est question de quatre réparations de vaisseaux capsules. Celui de bébé Goku que Goku a utilisé pour aller sur Namek. Quant aux autres, mystère. Celui de Raditz a été détruit par Gohan lors d'une crise de colère, celui de Nappa détruit par une maladresse de Bulma et celui de Végéta est reparti avec Végéta. Ou alors, il est question de vaisseaux créés entièrement par la Capsule Corp. s'inspirant de la technologie saiyenne sans vraiment en avoir, mais dans ce cas, il ne s'agit pas vraiment de réparations ou de retouches, mais plus de conception à part entière. Donc un passage assez obscur (et s'il y en a quatre, un parti sur Namek avec Goku, un actuellement à la Capsule Corp. et que s'approprie Végéta, et éventuellement un parti sur Namek avec Bulma s'il y a vraiment eu un malentendu à ce niveau-là, où est le dernier ?).

Autre chose qui m'a un peu étonné :

- Si Kakarotto a réussi à maîtriser 100g en 6 jours... Je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas y arriver. Et bien plus rapidement !

Il me paraît étrange que Végéta soit en peine à 100G, ce que Goku maîtrisait déjà en arrivant sur Namek. Végéta a dépassé de très loin le Goku qui arrive sur Namek (qui sort 180 000 unités avec un kaiôken contre Ginyû) puisqu'il rivalise avec les premières démonstrations de force de Freeza forme finale avant qu'il n’accélère un peu les choses (ce même Freeza en deuxième forme dépassait déjà 1 000 000 d'unités). Après, on peu supposer que malgré sa puissance, c'est de ne pas avoir l'habitude qui le met en peine, mais il faudrait le préciser je pense.

Ne vous inquiétez pas, tout ceci n'est que chicaneries de fanatique de dragon ball qui scrute chaque détail à la loupe. C'est par ailleurs un excellent chapitre intéressant par les confrontations des différents tempéraments des protagonistes et l'expression de leurs sentiments, le tout bien écrit ! Donc, encore une fois, migoto, Mikoto ! (Oui, quand j'arrive à faire un jeu de mot en japonais, j'exploite !)

comme le chapitre précédent j'aime toujours autant

les points de vue des différent personnage
les réplique du père vegeta

j'ai appris que la mère de bulma s'appelait Bunny a bon mais le personnage me semblait moins agaçant dans la série peu être parcequ'on limitait ses apparitions
Ps. peu être réduire un peu les espaces entre les textes car je trouve que ca fait un peu beaucoup je te conseillerais peu être de passer une ligne lorsque tu change de situation ou de lieux enfin tu voit ou je veux en venir

Bonne continuation

Hihi RMR-san, tu es vraiment impitoyable xD merci de m'avoir éclairé sur ces petites faiblesses
En ce qui concerne les 4 vaisseaux, j'ai simplement repris la version anime des dialogues,il est vrai que je n'ai pas vraiment chercher à compté le nombre de vaisseau créés <<
*se flagelle*

Pour l'histoire du 100g, je t'avoue que je n'ai pas non plus réfléchis ^^" ne m'en tiens pas rigueurs, j'étais jeune et sans expérience et je n'ai pas vraiment changé cette partie.

En tout cas, vraiment, tu as tout compris et j'espère que tu arrivera a voir d'autre erreurs que je puisse corriger pour être le plus fidèle au manga ^^

- A propos du nom de la mére de Bulma, en vrai, on ne le connais pas. Mais j'ai appris en parcourant les nombreuses fictions que ce nom c'est propagé un peu partout alors je me suis dis "je vais m'y mettre aussi, je ne vois pas écrire tout le temps, la mére de Bulma". Pas drole, et je trouve que ce nom lui va bien enfaite ^^

Je ne t'avais jamais lue sur ff.net, le fait de poster ici comblera ma lacune (surtout que ff.net est bloqué au bureau )

La narration est vraiment bien gérée, le style est fluide et se laisse plutôt bien lire. Petite question vu que tu as déjà écrit une bonne partie :Tu a beaucoup changé par rapport à la version d'origine ou c'est surtout une relecture habile ?

Enfaite, j'avais commencé cette fiction en 2008 ! Je l'ai recommencer il y a quelques mois en gardant juste les bases de l'ancienne version et posté sur FFR ^^
Quand aux chapitres que je poste ici, je les ai tout de même relu une fois avant de le poster, et changer quelques mots, corriger quelques erreurs qui restaient, c'est tout