Re: DB ExMachina
Publié: Dim Déc 02, 2012 15:23Mmhh... j'espère que cela veut dire qu'ils vont rejoindre la Z-team.... 
@ pensyve: je prevoie le scenario toujours logtemps a l' avance. c' est pareil pour les peuples que je cree
@vegeta53: on verra!
Nouveau chapitre, Je vais me concentré un peu sur cet épisode la vie de Végéta et de son équipe.
Chapitre 13 Le Successeur part 1
Planète Freezer 65. L’équipe de Végéta était rentrée depuis plusieurs heures et s’était retirée dans ses quartiers a l’approche de la nuit.
Du fait du statut de guerrier d’élite de Végéta, la suite de son équipe était assez spacieuse en comparaison aux dortoirs exigus de la piétaille.
Elle était séparée en quatre parties : la “chambre“ de Végéta, celle de Nappa et Raditz, une salle de bain et enfin la salle commune.
Elle servait tour à tour de bureau et de chambre pour Miyaji qui dormait sur une sorte de canapé-lit, et de salle de vidéo-conférence.
Miyaji était occupée à taper les données d’Hyra II sur un clavier digital quand Nappa et Raditz entrèrent, habillés de combinaisons noires semblables a celles qu’ils portaient habituellement sous leurs armures.
Nappa s’affala sur un sofa. Raditz remarqua la sekyet, qui portait toujours la même tenue que lorsqu’ils étaient arrivés
« Miyaji, la salle de bain est libre si tu veux... »
L’adolescente sembla sortir de transe. Elle avait l’air épuisée
« Je...je n’ai pas terminé de remplir la base de données... »
« Tu y a passé trois heures !? » Raditz se frappa le front avec la paume.
« Miyaji, tu as deux jours pour terminer ça. Alors repose-toi. »
« Mais je... » commença Miyaji
« Arrête tes conneries ! Dans ton état, tu ne finira jamais, alors tu te stoppes et tu reprendras plus tard ! »
Quelque peu intimidée par le ton ferme de Raditz, et aussi a cause de la fatigue, Miyaji resta immobile quelques secondes avant de réagir.
Raditz regarda Miyaji se levait et se diriger vers la salle de bain avant de s’asseoir sur un autre sofa en soupirant
« Bon sang... Elle me tuera... »
« Ha ha ha, vous êtes mignons tout les deux ! » rigola Nappa
« Ta gueule Nappa... » lui dit Raditz, passablement agacé
« Allez, on vois bien que tu t’en fait pour elle. » dit Nappa en souriant
« Evidemment pauvre tâche ! Elle se tue au travail, elle en oublie de bouffer et de dormir ! A ce train, elle finira par ne même plus savoir marcher. »
« Je me chargerai d’elle avant que ça n’arrive. » dit Végéta, qui venait d’entrer dans la salle.
Il avait l’air contrarié.
« J’ai entendus des choses qui ne me plaisent absolument pas, dans les couloirs. »
« Du genre ? » demanda Nappa en ouvrant une canette d’alcool
« Freezer vient d’envoyer des troupes dans la baronnie. »
Nappa faillit s’étrangler avec l’alcool qu’il venait juste de boire et Raditz mit un temps a réaliser ce que son chef avait dit.
« Quoi ? Il... Il a déclaré la guerre au baron !? » bégaya-t-il
« Non. » répondit simplement Végéta. « Il croit que la baronnie a perdu son chef. »
Nappa toussota avant de demander
« M’enfin, ça n’as pas de sens. Tu nous avais bien dit que son gamin avait repris le titre ? »
Végéta leva les yeux au ciel
« Nappa, je ne suis même pas sensé l’avoir rencontré. Et sachant que toutes communications diplomatiques avec le précédent baron ont cessées il y a de ça presque 16 ans, je ne voit pas comment Freezer pourrait être au courant. »
Les saiyens restèrent silencieux quelques minutes avant que Végéta ne reprenne :
« On vas parler ensemble des nouvelles mesures à prendre. Quand Freezer tombera sur le nouveau baron, la crise diplomatique sera trop importante pour manquer de prudence.
Miyaji est de loin la meilleure ambassadrice et négociatrice présente actuellement ici, elle sera d’une aide vitale pour éviter que tout dérape. On la mettra au courant de ce qui se passe quand... »
« Tu peut commencer Végéta, je suis là. » coupa l’adolescente en sortant de la salle de bain
Elle était vêtue de ce qui ressemblait a un yukata qui s’arrêtait a mi-cuisse, ceinturé part une étoffe de tissus blanc et portait une sorte de leggins noir de la même matière que les combinaisons des saiyens.
Raditz regarda Miyaji passer devant lui, la détaillant du regard.
Depuis le temps qu’elle faisait équipe avec eux, Raditz avait appris à se faire au caractère de Miyaji.
Mais s’il y avait une chose qui avait le don de l’agacer, c’est l’habitude de la sekyet de travailler sans se reposer.
Non pas que son implication n’était pas louable, mais ce genre d’attitude lui était déraisonnée.
Et le plus étrange, c’est qu’il ne pouvait s’empêcher de s’inquiéter de l’état de santé de Miyaji. De même qu’il ne pouvait s’empêcher de la regardée dans ces habits qui, á son goût, lui allait plutôt bien...
Raditz se cogna la tête
« Grmf... pensées impures... » pensa-t-il
Loin, très loin de là...
La galaxie de l’est était, dans sa grande majorité, sous l’influence de la famille Cold.
L’empire dirigé par cette famille était immense et rares étaient les factions qui osaient leur résister.
Mais parmi toutes ces factions, fédérations ou ligues, il y en avait une, une seule, qui s’opposait ouvertement à l’empire.
Un territoire d’a peine une dizaine de systèmes solaires, au fin fond de la galaxie de l’est, a l’extrémité d’un de ses quatre bras.
Un territoire dirigé et protégé par des individus hors du commun, qui selon la légende auraient hérité d’une force incomparable auprès des dieux eux-mêmes.
Ces individus étaient connus sous un nom.
Les barons.
Seigneurs incontestés de la baronnie. Aussi appelé Marh’Kasta, qui pourrait se traduire par “notre univers“.
De tout temps, les barons ont entretenus le mystère autour d’eux. Bien qu’il soit évident qu’ils étaient issus d’une race humanoïde, personne ne pouvait affirmer avec certitude quelle était leur espèce.
Seul filtrait sur eux des rumeurs sur leurs rituels d’apprentissages, leurs coutumes.
La plus connue, car fait avéré, était qu’il ne pouvait n’y avoir qu’un seul baron a la fois, et que seul son premier, et souvent unique héritier mâle pouvait lui succédé.
Le premier contact de l’empire du froid fût extrêmement brutal. Car les démons du froid, ou nihiliens, ne croyait pas facilement aux légendes, mais croyaient sans problème aux faits. Surtout s’ils ont l’occasion d’y assister.
C’est Cold, bien avant la naissance de son premier fils, qui vit de ses yeux de quoi était capable le mythique baron de Marh’Kasta.
Nul ne sait vraiment aujourd’hui ce qu’il se passa, car seul Cold revint de la baronnie, sans blessures, indemne, et tenant dans la main un authentique parchemin.
Celui-ci contenait les conditions de paix entre la baronnie et son empire.
Un accord en trois règles.
La première étant l’interdiction de l’empire d’empiéter sur le territoire du baron.
La seconde l’autorisation pour l’empire d’effectuer des études sur le territoire du baron, aussi longtemps que le baron l’autorise.
La troisième, l’autorisation pour l’empire d’extraire des ressources de planètes inhabitées, en payant un pourcentage raisonnable.
Enfin, il y avait une condition pour que l’accord soit valide. Que le baron soit vivant, et officiellement détenteur de son titre.
Or, aujourd’hui, les troupes de Freezer, fils de Cold, avaient investi la frontière de la baronnie.
le baron Tehenauhil, celui-là même qui fût à l’origine de cet accord, était mort, et les espions du froid n’ont pas trainé à en informer leur maître.
La première planète à subir l’invasion fût une petite planète tellurique, répondant au nom de Valma.
Sa population, les valmiens, étaient assujettis aux barons depuis le temps du premier d’entre.
Ces êtres d’apparence elfique et aux cheveux généralement rouges ou noirs n’étaient pas des combattants d’exception, aussi l’attaque des troupes du froid fit des ravages dés les premiers débarquements. Rien ne semblait pouvoir les arrêtés.
Dans les ruines d’une grande ville ravagée par les bombardements de kikohas, une lutte acharnée et inégale opposait les habitants aux soldats impériaux. Ces derniers, plus nombreux, avançaient inexorablement vers les quartiers relativement épargnés qui abritaient les civils.
Les soldats valmiens, épuisés, tentaient de déplacer les civils au couvert de ruines, tout en essayant de retenir les assaillants.
A l’arrière du groupe, deux soldats couraient tout en mitraillant l’ennemi de kikoha. Devant eux, une femme courait, en tenant sa fille par la main.
« Maman, je n’en peux plus. » gémis la petite
« Courage ma chérie, encore un effort, nous sommes presque à l’abri. » lui répondit sa mère. Celle-ci avait du mal à ne pas pleurer. Tout son corps tremblait de peur. Elle vivait un vrai cauchemar.
Après plusieurs minutes de course, le groupe s’arrêta prés de ce qui restait d’une rue très large.
La peur, la fatigue, le désespoir se lisait sur les visages, parfois marqués par des larmes de rage et de frustration.
La femme reprit son souffle. Elle savait qu’ils étaient condamnés. Les systèmes voisins n’arriveraient jamais a temps pour les secourir et sans le baron, les troupes impériales n’avaient plus aucune raisons de ne pas les attaqués.
Sa fille leva sur elle des yeux remplis de larmes et d’incompréhension
« Maman... Pourquoi les méchants nous attaquent ? » demanda-t-elle en reniflant.
La femme regarda son enfant, ne sachant quoi répondre.
« Pourquoi le baron, il ne vient pas ? »
La petite était au bord des larmes. Elle s’accrocha désespérément à la robe de sa mère, se blottissant contre elle.
« j’ai peur...j’ai peur... » pleura-t-elle
La femme se mit a genoux en l’enlaçant.
« Je suis là, ma chérie. Je suis là... »
Une explosion arracha un cri à l’enfant. La femme se retourna.
Un groupe de soldats impériaux venait d’apparaître derrière eux, et un second arrivait déjà.
Mais cette fois, les soldats valmiens ne tentèrent pas de faire feu. C’était inutile. Trop nombreux.
Les soldats impériaux mirent les valmiens en joue.
La femme n’osait plus bouger. Elle pleurait de rage.
« Quelqu’un... A l’aide... » murmura-t-elle
Trois soldats s’avancèrent vers elle. Le premier, un insecte humanoide, se mit à ricaner
« Hssss Hssss, mais regardez ce que nous avons là... »
Le second, un homme lézard aux yeux rouge vif, siffla entre ses dents
« Un sacré beau morceau... »
le troisième, un humanoïde a la peau mauve et écailleuse, saisie la femme par le bras, un souri sadique au visage.
« Il serait dommage de ne pas en profiter...Hein, les gars ? »
Il plaqua violemment la femme au sol.
Voyant sa mère par terre, l’enfant se mit à marteler l’insecte de coups de poings inutiles. Celui-ci l’envoya au sol d’une gifle, lui faisant saigner du nez.
« Dégages moustique. »
L’enfant se releva sur ses coudes. Sa mère se débattait en vain contre le soldat à la peau mauve qui lui arrachait sa robe, sous le regard impuissant des valmiens.
Les larmes aux yeux, l’enfant ne tint plus en entendant sa mère crier lorsque le soldat l’obligea à écarter les jambes...
« MAMAN !!! »
L’excitation, le désir, le sentiment de supériorité.
Tout cessa dans l’esprit du soldat quand la partie supérieure de sa tête se sépara du reste dans un bref sifflement.
L’enfant ne criait plus.
Elle ne comprenait pas ce qui s’était passé.
Elle regarda le soldat tomber, mort, a cotés de sa mère qui était encore au sol.
Elle regarda les deux autres soldats. Eux aussi tombèrent, leurs têtes roulant sur le sol.
Une lumière vive éblouissait la fillette, qui protégea ses yeux. Devant sa mère qui ne se relevait toujours pas, se tenait une personne de la taille d’un adolescent. Il était vêtu d’un très long manteau noir qui flottait au vent. Tout sur lui était noir ou rouge. Son visage était masqué par une cagoule et des verres fumés cachaient ses yeux.
Dans sa main, une fine épée longue comme une jambe, brillait au soleil, laissant du sang vert et violet couler sur le sol.
La personne fit un fluide geste du bras, et la lame de l’épée sembla disparaître dans la poignée. Elle s’avança, et s’agenouilla près de la femme, qui semblait souffrir.
« Pouvez-vous vous lever ? »
La femme regarda son interlocuteur avec stupéfaction. Sa voix n’était pas naturelle. On aurait dit qu’elle était volontairement modifiée.
celui-ci continua un instant à inspecter ses jambes
« Cette brute vous a briser une de vos jambes. Laissez-vous faire... »
Et comme si elle ne pesait pas plus lourd qu’une plume, il la porta jusqu'à un mur et l’y déposa avec douceur.
Les soldats de l’empire assistaient a la scène, paralysés. C’était...simplement irréaliste. Les valmiens n’étaient pas plus puissants que leurs troupes de bases pour les plus forts.
Et ce a quoi ils venaient d’assister les avaient littéralement figés sur place.
La fillette s’approcha, le nez en sang et les larmes aux yeux.
« Ma...Maman ? »
« Ça va aller, ma chérie...AH ! »
« Je vous en prie, ne faites pas de mouvements brusques. Votre fracture va s’aggraver. »
L’enfant regarda l’individu qui venait de sauver sa mère.
Celui-ci se pencha sur elle, sortit un tissu blanc et essuya le sang sur son visage.
« C’est eux qui t’ont fait ça ? » demanda-t-il d’une voix douce
L’enfant fit oui de la tête.
« Ils...ils voulaient faire du mal a ma maman... »
Le guerrier inconnu releva doucement son menton avec sa main libre.
« Ce que tu as fait est très courageux. Ta maman peut être fière de toi. »
L’enfant le regarda d’un regard emplit de gratitude.
« Reste auprès de ta maman, petite. Ne bouge pas. »
La fillette se serra à sa mère, pleurant de soulagement.
La femme regarda le guerrier inconnu s’avancer vers les soldats impériaux. Son manteau flottait dans le vent. Dans le dos, un signe en forme d’ailes blanches.
« Ce signe... » murmura-t-elle
« Maman ? c’est qui ? »
« Tout vas bien ma puce. C’est un gentil. »
Le guerrier s’arrêta. Il n’était plus qu’a cinq mètres du soldat le plus proche. Un gradé.
« Soldats de l’empire, vous n’avez aucun droit à vous trouver sur Valma. Votre présence n’est pas la bienvenue. »
Le gradé s’esclaffa.
« Aucun droit ? La seule personne en mesure de me dire ça est le baron. Mais, oh, j’oubliais....Il est mort ! »
Le guerrier continua, sur un ton calme
« Je vous sommes de quitter cette planète dans l’instant. »
« Ou sinon quoi ? »
« Ça. »
Le gradé regarda a droite. Le guerrier était moins d’un mètre de lui, sa main empoignant le cou d’un soldat, qui s’écroula mort dans un craquement d’os.
Le gradé tira un kikoha par pur réflexe.
Rien ne se passa. Il lui fallut quelques secondes pour réaliser que le guerrier tenait la boule d’énergie dans une main, comme s’il s’agissait d’une balle.
« Dernière sommation. »
La peur peut amener des êtres à commettre des actes irréfléchis. Comme par exemple tenter vainement d’affronter un ennemi infiniment supérieur a soi.
Cette erreur allait coûter la vie des soldats impériaux.
Le guerrier attendit le tout dernier moment pour lancer la boule d’énergie sur les jambes du gradé.
Ses deux bras se levèrent. Trop vite pour que qui que se soit puisse le voir. La poignée de son épée dans la main droite, une arme ressemblant à un pistolet dans la gauche.
Pour les valmiens, tout ne dura qu’une poignée de secondes. Une poignée de secondes de flashs et de sifflements, une tornade de sang et de morceaux de chaire.
Le guerrier baissa les bras et rangea ses bras. Seul un soldat restait debout. Tremblant.
« Pourquoi ne quitte-tu pas cette planète ? »
« Je...je... » Il trembla de plus belle.
Le guerrier avança tranquillement.
Le soldat impérial se jeta sur lui.
« Je préfères mourir ici qu’affronter la colère de Maîtres Free... »
Le soldat s’étouffa dans son sang. Il avait été empalé par une lame... sortie de l’avant bras du guerrier, qui s’en était servit pour le stopper.
Le soldat s’écroula, agonisant.
Une autre lame surgit du bras du guerrier, transperçant le crâne du soldat.
Le guerrier releva le bras. Les lames se rétractèrent.
Il regarda autour de lui. Les valmiens l’entourait. L’espoir, la gratitude, le soulagement. Voir tout cela dans leurs yeux le remplissait d’un sentiment de soulagement.
Mais il n’entendait pas leurs exclamations, leurs cris de joie. Son attention était focalisée sur la femme et son enfant. Elle semblait souffrir de sa fracture.
Il rejoignit la femme et sortit un petit boitier.
L’enfant le regarda. Avant qu’il n’ait eu le temps de dire quoique ce soit, la fillette se leva d’un bond et l’étreignit.
« Merci monsieur... »
La réaction de l’enfant toucha le guerrier.
« Comment tu t’appelles ? » demanda-t-il
« Kozelle. »
« C’est un joli nom. »
« Et toi monsieur, comment tu t’appelles ? »
« ... Appelles-moi M. »
Il tendit le boitier à la fillette
« Kozelle, peut-tu appuyer sur le bouton bleu, s’il te plait. »
La fillette s’exécuta
Le guerrier prit la femme dans ses bras
« Que...Que faites-vous ? »
« Mon vaisseau possèdes une unité médicale. Elle vous appliquera les premiers soins. » lui répondit-il
Des soldats valmiens s’approchèrent de lui
« Qui êtes-vous ? »
Le guerrier émit un petit rire.
« Qui je suis ? »
Il se tourna vers eux
« Celui qui fait son devoir... »
Un bruit de moteurs anti-grav se fit entendre. Dans un nuage de poussière, un vaisseau noire, de forme effilée et arborant de fines et courtes ailes sur le cotés. L’ensemble ressemblait à une épée.
« Ce vaisseau !! Impossible ! » s’exclama un soldat
« C’est... C’est la Corneille !! » cria un autre.
A l’évocation de ce nom, tous les regards se tournèrent sur le Guerrier.
Il prit la parole
« Allons, peuple de Valma. Ne reconnais pas-tu ton nouveau souverain ? »
Il regarda la fillette qui l’observait avec admiration. Il s’adressa à la foule
« Je suis l’héritier de Tehenauhil, nouveau seigneur de Marh’Kasta !! Je suis M...
Le nouveau baron !!! »
Et comme un seul homme, les valmiens crièrent
« POUR LE BARON !!! HOURRA !!! »
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note de l'auteur: qui a deviner le vibrant hommage a un grand homme de la bd française recemment décédé?
Bonne vacance et bonne année à toi aussi! Ha et un joyeux noël!
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