DB ExMachina

bonjour, voici ma fanfic Dragon Ball ExMachina. Elle se base sur un tres, tres controversé What if : et si Aralé avait rejoins la z team ? je l'avais envisagé en 2008, et ce n'est que maintenant que je la sort du placard...
ceci dit en passant, c'est ma premiere fan fic, n' hésitez pas a commenter ! enjoy
(Certains chapitre sont/vont être réécrits.)
Dragon Ball ExMachina (fanfic by Radji)
Introduction:
Le professeur Senbei Norimaki rentrait chez lui d’une nouvelle journée épuisante et sans grands intérêts pour le savant. Depuis qu’il était revenu au village, il y a environ un an après avoir obtenu son doctorat, sa vie lui semblait monotone et triste. Le village Pingouin ne lui donnait pas de grandes chances de faire reconnaître son talent, et il se sentait seul. Seul et inutile. Il ne vivait que de petits travaux et réparations que quelques villageois lui demandaient, de temps a autres...
Alors que Senbei versait l’eau bouillante sur ses nouilles instantanées, celui-ci resongeait aux sept années qu’il passé a étudier, rechercher, s’amuser parfois-même...il souriait en se remémorant les bons moments passés avec ses camarades d’études, ses premiers travaux en groupes, ses premiers échecs, ses premiers succès... sa première vraie invention, celle qui lui valut le prix de l’inventeur de sa promotion. Quelle fierté il a ressenti, ce jour-là, quand il reçue son prix des mains du professeur Tema, l’un des plus grands scientifiques du monde. Il se souvenait des conseils des grands chercheurs qu’il avait eu l’occasion de rencontrer...le professeur Moubal, Herr Frankenheim, le docteur Jekhyde...Tous reconnaissaient son énorme potentiel, et ses théories sur l’intelligence artificielle lui ont même valu des encouragements de la part de ses ainés. L’intelligence artificielle, justement, c’était la spécialité de Senbei. Et plus encore : c’était sa raison de vivre. Créer des machines intelligentes, des robots de plus en plus performants, ça, c’était la vie dont il rêvait... Et dont il rêve encore aujourd’hui d’ailleurs...Car pour l’instant, on peut pas dire que ce soit brillant, comme situation...la seule invention qu’il ait achevé jusqu’ici est ce stupide appareil photo, celui qui photographie l’avenir. Il s’était photographié lui-même pour faire une démonstration aux villageois, lorsqu’il voulut présenter sa trouvaille. Tout ce qu’il récolta, ce fut un grand éclat de rire quand la moitié du village vit la calvitie de son lui du futur...
Un cri épouvantable retentit dans le village, poussé par Senbei qui, perdu dans ses pensées, venait de verser de l’eau bouillante sur ses pieds.
Senbei regardait d’un œil distrait le soleil qui se levait. Il s’était levé de bonne heure pour faire du rangement dans le bric-à-brac qu’était devenue sa maison. Seul, cela allait lui prendre pas mal de temps. Seul. Ce mot résonnait incessamment dans sa tête depuis des mois. Et il savait que ce n’était pas la peine d’essayer de le nier. Il était seul. Et c’était le plus dur à supporter. Distrait, il ne remarqua pas tout de suite qu’une énorme pile de ferraille déjà bancale commençait à pencher dangereusement sur lui...Et ce qui devait arriver arriva : dans un fracas de tous les diables, la pile s’écroula sur le pauvre professeur, qui n’émergea qu’au bout d’une bonne minute, une clé anglaise dans la bouche...
_RAAAARG !! MARRE !! MARRE DE CE FOUTU BORDEL !!
Grommelant son mécontentement et sa frustration, Senbei commença à remettre de l’ordre dans l’apocalypse qu’était sa maison. Alors qu’il ramassait un vieux dossier, il remarqua une feuille volante jaunie par l’humidité. Il la ramassa pour la mettre dans le dossier qu’il tenait, et se figea en la reconnaissant. C’était un vieux dessin qu’il avait fait à son père, juste avant que celui-ci ne décède, ainsi que sa mère. Senbei s’assit par terre, posant son dossier. Il regarda, nostalgique, les deux personnages gribouillés au gros feutre noir, leur formes simples et grossières arrachèrent même un rire au professeur. Il se rappela soudain de la signification du dessin : il s’était représenté, plus grand (avec une blouse blanche) venant d’inventer un robot ressemblant a un humain. Créer l’androïde parfait...c’était décidemment le plus vieux rêve de Senbei. Et l’un des plus irréalisables en fait. Car pour créer un tel androïde, une machine capable d’imiter l’humain à la perfection, il faudrait le doter d’un sens logique, d’une intuition, une intelligence lui permettant de prendre des initiatives, une dextérité lui assurant l’autonomie d’avoir une volonté propre, des sentiments...bref, transformer la machine en être pensant, en un véritable être humain. Un défi scientifique...
Senbei avait glissé le dessin dans une de ses poches, il s’était relevé et commençait a déblayer le fatras qui rester par terre, en vue de laisser le champs libre pour installer le plan de travail dans ce qui fut le laboratoire de son père. Il avait enfin ce qu’il lui manquait, un vrai défi. Une motivation. Pour la première fois depuis des mois, il se sentait heureux.
>bon voila, intro un peu longue...mais ce n'est qu'un début
ceci dit en passant, c'est ma premiere fan fic, n' hésitez pas a commenter ! enjoy

(Certains chapitre sont/vont être réécrits.)
Dragon Ball ExMachina (fanfic by Radji)
Introduction:
Le professeur Senbei Norimaki rentrait chez lui d’une nouvelle journée épuisante et sans grands intérêts pour le savant. Depuis qu’il était revenu au village, il y a environ un an après avoir obtenu son doctorat, sa vie lui semblait monotone et triste. Le village Pingouin ne lui donnait pas de grandes chances de faire reconnaître son talent, et il se sentait seul. Seul et inutile. Il ne vivait que de petits travaux et réparations que quelques villageois lui demandaient, de temps a autres...
Alors que Senbei versait l’eau bouillante sur ses nouilles instantanées, celui-ci resongeait aux sept années qu’il passé a étudier, rechercher, s’amuser parfois-même...il souriait en se remémorant les bons moments passés avec ses camarades d’études, ses premiers travaux en groupes, ses premiers échecs, ses premiers succès... sa première vraie invention, celle qui lui valut le prix de l’inventeur de sa promotion. Quelle fierté il a ressenti, ce jour-là, quand il reçue son prix des mains du professeur Tema, l’un des plus grands scientifiques du monde. Il se souvenait des conseils des grands chercheurs qu’il avait eu l’occasion de rencontrer...le professeur Moubal, Herr Frankenheim, le docteur Jekhyde...Tous reconnaissaient son énorme potentiel, et ses théories sur l’intelligence artificielle lui ont même valu des encouragements de la part de ses ainés. L’intelligence artificielle, justement, c’était la spécialité de Senbei. Et plus encore : c’était sa raison de vivre. Créer des machines intelligentes, des robots de plus en plus performants, ça, c’était la vie dont il rêvait... Et dont il rêve encore aujourd’hui d’ailleurs...Car pour l’instant, on peut pas dire que ce soit brillant, comme situation...la seule invention qu’il ait achevé jusqu’ici est ce stupide appareil photo, celui qui photographie l’avenir. Il s’était photographié lui-même pour faire une démonstration aux villageois, lorsqu’il voulut présenter sa trouvaille. Tout ce qu’il récolta, ce fut un grand éclat de rire quand la moitié du village vit la calvitie de son lui du futur...
Un cri épouvantable retentit dans le village, poussé par Senbei qui, perdu dans ses pensées, venait de verser de l’eau bouillante sur ses pieds.
Senbei regardait d’un œil distrait le soleil qui se levait. Il s’était levé de bonne heure pour faire du rangement dans le bric-à-brac qu’était devenue sa maison. Seul, cela allait lui prendre pas mal de temps. Seul. Ce mot résonnait incessamment dans sa tête depuis des mois. Et il savait que ce n’était pas la peine d’essayer de le nier. Il était seul. Et c’était le plus dur à supporter. Distrait, il ne remarqua pas tout de suite qu’une énorme pile de ferraille déjà bancale commençait à pencher dangereusement sur lui...Et ce qui devait arriver arriva : dans un fracas de tous les diables, la pile s’écroula sur le pauvre professeur, qui n’émergea qu’au bout d’une bonne minute, une clé anglaise dans la bouche...
_RAAAARG !! MARRE !! MARRE DE CE FOUTU BORDEL !!
Grommelant son mécontentement et sa frustration, Senbei commença à remettre de l’ordre dans l’apocalypse qu’était sa maison. Alors qu’il ramassait un vieux dossier, il remarqua une feuille volante jaunie par l’humidité. Il la ramassa pour la mettre dans le dossier qu’il tenait, et se figea en la reconnaissant. C’était un vieux dessin qu’il avait fait à son père, juste avant que celui-ci ne décède, ainsi que sa mère. Senbei s’assit par terre, posant son dossier. Il regarda, nostalgique, les deux personnages gribouillés au gros feutre noir, leur formes simples et grossières arrachèrent même un rire au professeur. Il se rappela soudain de la signification du dessin : il s’était représenté, plus grand (avec une blouse blanche) venant d’inventer un robot ressemblant a un humain. Créer l’androïde parfait...c’était décidemment le plus vieux rêve de Senbei. Et l’un des plus irréalisables en fait. Car pour créer un tel androïde, une machine capable d’imiter l’humain à la perfection, il faudrait le doter d’un sens logique, d’une intuition, une intelligence lui permettant de prendre des initiatives, une dextérité lui assurant l’autonomie d’avoir une volonté propre, des sentiments...bref, transformer la machine en être pensant, en un véritable être humain. Un défi scientifique...
Senbei avait glissé le dessin dans une de ses poches, il s’était relevé et commençait a déblayer le fatras qui rester par terre, en vue de laisser le champs libre pour installer le plan de travail dans ce qui fut le laboratoire de son père. Il avait enfin ce qu’il lui manquait, un vrai défi. Une motivation. Pour la première fois depuis des mois, il se sentait heureux.
>bon voila, intro un peu longue...mais ce n'est qu'un début