DBEM CHRONICLES

Faîtes-nous partager votre fibre littéraire en écrivant votre propre histoire mettant en scène les personnages de Dragon Ball et, pourquoi pas, de nouveaux ! Seules les fanfictions textes figurent ici.

DBEM CHRONICLES

Messagepar Radji le Dim Oct 14, 2012 22:44

yo,
faites pas attention a ce qui était écrit avant l'édit. Cette fic se déroule dans l'univers de DB Ex Machina. Trois ans avant la destruction du Ruban Rouge

DBEM CHRONICLES

partie 1

L’homme qui rit. (Fic courte)
premiere partie.


Lundi 25 novembre. Quartier général du Ruban Rouge, section scientifique, cabinet psychologique. 16h.


Le docteur Merahn lisait un rapport sur la mission des soldats qu’il allait recevoir. C’était un homme de taille moyenne, proche de la quarantaine, aux cheveux poivre et sel gominés. Son visage parfaitement rasé, sérieux et sévère lui donnait un air concentré et ses lunettes rondes renforçaient cette impression. Il portait toujours un veston noir par dessus une chemise blanche et un pantalon noir, maintenu par une ceinture, noire elle aussi, tout comme ses chaussures impeccablement cirées. La cravate qu’il réajustait de temps en temps était rouge, arborant le sigle RR. Il buvait un verre d’eau près du distributeur du couloir qui menait à sa salle d’attente. Il entendit les bruits de pas caractéristiques des rangers sur la moquette et leva le regard sur l’homme qui arriva à sa hauteur.

« Alors doc’ ? »
Cette phrase avait le don d’énerver le docteur Merahn. Il était le psychologue de l’armée du Ruban Rouge depuis assez longtemps pour constater que les hommes lui étaient bien inférieurs en culture et en éducation. Ces gradés... quel langage simpliste et grossier. Le général devrait prendre l’initiative de faire éduquer un tant soit peu ses troupes.

Il soupira.
« Ils sont tous aptes à parler. Je vais les recevoir. Et tâcher d’en savoir plus sur ce qui s’est passé. »
« Ouais. Mais faites gaffe, y’en a un qu’a l’air agité. J’ai disposé deux gardes d’vant le cabinet, au cas où... »
« Je vous en remercie. »


Quelques minutes plus tard, le docteur Merahn était assis derrière son bureau.
Le soir commençait déjà à arriver, une lumière pâlotte filtrait à travers les stores. Il alluma sa lampe de bureau. Il sortit un stylo, de quoi noter, consulta sa montre à gousset, et expira fort. Il était temps de commencer.
« Faites entrer le premier, je vous prie. »
La porte s’ouvrit. Un homme chauve entra. Il était très grand et large d’épaules, vêtu simplement d’un débardeur blanc qui trahissait sa musculature impressionnante, et d’un treillis. La chaise craqua un peu lorsqu’il s’assit.
Merahn sortit la fiche du soldat qu’il lu à haute voix.
« Soldat première classe Alexander Srovski, section du colonel Brown. A servi pendant cinq ans en tant que seconde classe avant de monter en grade. Homme volontaire et faisant montre d’un grand sang froid et professionnalisme. Si j’en crois aussi cette fiche, vous n’avez jamais été suivi par une aide psychologique. »
Il regarda le soldat. Son visage était impassible.
« Qu’est-ce qui vous pousse aujourd’hui à découvrir mon cabinet, Alexander ? »
Le colosse ne dit rien. Il baissa ses yeux pâles sur le docteur et soupira.
« Vous savez docteur, je me suis engagé par nécessité. Pour subvenir aux besoins de mes proches. Je suis un soldat, et je fais mon boulot, rien de plus. Quand on m’envoie dans une opération, tuer, c’est aussi par obligation que je le fais. Je ne le fais pas par plaisir. Je suis un soldat, pas un assassin. J’ai tâché de faire profil bas et d’essayer de fermer les yeux sur les ...exactions que mes camarades commettent.
La dernière mission que j’ai effectuée fait partie de celles que j’aime le moins. »
« En effet, il s’agissait de prendre d’assaut un quartier défavorisé de la ville de SantaNochte. Vous deviez déloger la mara locale... » dit le docteur en lisant cette fois le rapport.

Il remarqua que le soldat avait baissé le regard et qu’il fronçait les sourcils.
« Alexander... j’imagine que vous n’avez pas spécialement envie d’en parler. Mais je dois comprendre... »
Il prit une autre feuille.
« Vous étiez cinquante. La mara ne comptait qu’une quinzaine de membres et vous aviez l’avantage de l’effet de surprise... »
Le soldat commença à suer. le jeu d’ombres et de lumières sur son visage soulignait ses traits qui se tendaient.
« Trois. C’est le nombre de soldats qui sont revenus. Vous et vos deux camarades... Trois soldats sur cinquante »
Il posa la fiche.
« Alexander...Que s’est-il passé là-bas ? »

Le colosse se pencha un peu. Son visage affichait un mélange d’incompréhension et de colère.
« Nous les avions eu docteur. La mara ne nous avait pas vu venir, mais les combats ont été violents et nous avons perdu dix soldats. Une partie des civils s’étaient ralliés à nos ennemis. »
Il marqua un temps de pause.
« Face à ça, notre supérieur a décrété que les civils étaient des ennemis potentiels. Et vous savez ce que ça signifie...n’est-ce pas ? »
Merahn hocha la tête.
« Le colonel Brown n’avait pas exactement une bonne réputation. Je ne compte plus les fois où il fût réprimandé pour excès de violence. Chose assez exceptionnel, même pour le Ruban Rouge. »
Le soldat acquiesça.
« Ça a duré une heure environ. Les autres soldats pillaient les baraques. On entendait des cris et des coups de feu. Je m’étais écarté volontairement dès le début à la limite du quartier, mais j’entendais tout et ça me donnait la nausée... »
Un autre temps de pause.
« Tout d’un coup, j’ai remarqué que les bruits changeaient. Les coups de feu doublèrent, triplèrent. Les cris des innocents ont cessé pour laisser place à des cris d’agonie. Et puis c’est là que je l’ai entendu... »
Il déglutit.
« J’ai entendu un rire... »
Il regarda le docteur droit dans les yeux. Quelque chose venait d’apparaître dans son regard. Et Merahn savait ce que c’était.
La terreur.
« Ce rire... jamais je n’avais entendu quelque chose de semblable... Et pourtant j’en ai entendu des choses, là d’où je viens... »
Il frissonna.
« Ça faisait... comme un cauchemar dont on ne parvient pas à se réveiller. Ça résonnait dans ma tête... je n’entendait plus que ça et tout mon corps a commencé a trembler. Je n’avais jamais tremblé docteur... ni de froid ni de rien d’autre. Jamais. Et j’ai tremblé... j’ai tremblé... »
Le docteur nota immédiatement cette répétition. Son patient commençait à craquer.

Il décida de radoucir le jeu en posant une autre question.
« Comment vous êtes-vous échappé ? »
Le grand soldat sembla se calmer quelque peu. Il se redressa sur sa chaise.
« J’été déjà en bordure de la ville, je me suis simplement dirigé vers le lieu où nous avions laissé nos véhicules. Dans une impasse. »
L’expression que Merahn vit apparaître sur son visage le surpris. En effet, il s’attendait à revoir de l’angoisse, et au lieu de ça, c’était une rage à l’état pur.
« Quand je suis arrivé, il y avait deux de mes... ‘‘camarades’’, qui étaient là... je me suis approché...et là... »
Il regarda le docteur droit dans les yeux.
« Ils riaient, eux aussi... ils s’amusaient... »
Son regard devint bestial.
« Ils tiraient sur un enfant... un enfant docteur. Il était recroquevillé contre un mur.
Ils lui tiraient dessus avec leurs armes, les yeux fermés, comme les lanceurs de poignards au cirque... Le gamin n’osait pas bouger. Il pleurait... et criait de peur quand les balles pulvérisaient le béton, à quelques centimètres de lui. Et ils riaient... ils riaient....Je suis père docteur, j’ai une fille de six ans...et ils riaient...
ils riaient en tirant sur un enfant qui avait l’âge de ma fille...et le rire continuait à résonner dans ma tête. »

Merahn sentit que le colosse était de nouveau au bord de la rupture...

« J’ai regardé le gamin, je les ai regardés eux... le rire repris de plus belle, il se mêlait au leur dans ma tête... l’image de ma fille... ma fille de six ans... la rage... le dégoût...tout se brouille. Et je cesse de lutter...
...
J’ai levé mon bras. J’ai visé. Et je les ai tués. »
Il marqua une pause. Le docteur Merahn ne dit rien.
« Je me suis approché du gamin. Il était terrorisé et continuait de pleurer. Je me suis assuré qu’il n’était pas blessé et...j’ai entendu un bruit derrière moi...suivit du claquement d’une culasse
...
Il était là...
...
Il était là et il me regardai......il m’a laissé partir... »
« Qui Alexander ? Qui était là ? »
« ... »

Comme le colosse ne disait plus rien depuis quelques minutes, Merahn s’apprêtait à demander au soldat suivant d’entrer que le grand soldat dit soudain
« Il n’existe aucun homme que je craigne docteur... Mais ce...truc... »
Il se pencha en avant. Un masque d’horreur se dessinait sur son visage.
« ...Ce truc...m’a fait ressentir la peur que l’on éprouve lorsque la mort vous enveloppe dans ces bras... »
Il se redressa. Inutile de l’interroger plus que ça.
« Je vous remercie Alexander... Vous pouvez sortir. »
« Merci docteur »
Il se leva et sortit. Merahn nettoya ses lunettes et finit de prendre quelques notes.
La soirée allait être longue.
si on considere que qqchose est impossible, c'est qu'on est assez con pour ne pas avoir essayer ^^


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Re: DBEM CHRONICLES

Messagepar Pensyves le Lun Oct 15, 2012 16:48

etrange, j'ai l'impression de déja lu ? C'est un nouveau chapitre, une réedition ou encore un bug?
Pensyves
 

Re: DBEM CHRONICLES

Messagepar Radji le Lun Oct 15, 2012 17:04

Pensyves a écrit:etrange, j'ai l'impression de déja lu ? C'est un nouveau chapitre, une réedition ou encore un bug?

en fait comme le format ne convenait pas a ce que je projetai de faire, je l'ai réedité...
si on considere que qqchose est impossible, c'est qu'on est assez con pour ne pas avoir essayer ^^


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Re: DBEM CHRONICLES

Messagepar végéta53 le Lun Oct 22, 2012 16:04

L'homme qui rit est aussi un titre de victor hugo ou de maupassant nan?
Si tu considère qu'une histoire Dragon Ball remplie de guerre et de combat ne peut exister, excuse moi de te contre dire mais en voici une:

Dragon Ball, Sayajîns conquêste:http://www.lunionsacre.net/viewtopic.php?f=42&t=6767
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Re: DBEM CHRONICLES

Messagepar SuperIdle le Lun Oct 22, 2012 16:05

végéta53 a écrit:L'homme qui rit est aussi un titre de victor hugo ou de maupassant nan?

Victor Hugo
Le livre 2 est enfin achevé, Carnis attaque le livre 3.
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Re: DBEM CHRONICLES

Messagepar Radji le Lun Oct 22, 2012 17:01

SuperIdle a écrit:Victor Hugo

exacte. C'est lá que l'on reconnait les gens cultivés :lol:
C'est une référence a l'un de mes hommes de lettres préférés.
si on considere que qqchose est impossible, c'est qu'on est assez con pour ne pas avoir essayer ^^


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Re: DBEM CHRONICLES

Messagepar SuperIdle le Lun Oct 22, 2012 17:08

J'ai demandé à un vieil ami beaucoup plus cultivé que moi de confirmer mes soupçons, Walter ikipedia.
Le livre 2 est enfin achevé, Carnis attaque le livre 3.
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Re: DBEM CHRONICLES

Messagepar Radji le Jeu Nov 08, 2012 0:06

SuperIdle a écrit:J'ai demandé à un vieil ami beaucoup plus cultivé que moi de confirmer mes soupçons, Walter ikipedia.

ce bon vieux W. Ikipedia !! Toujouws le mot pouw wiwe !

nouveaux chap. Je précise au passage que DBEM chronicles retrace la vie de personnages qui ont apparu ou apparaitrons dans DB ex machina. J'essaierai d'éviter au max les trops gros spoil.


SECONDE PARTIE

Merahn ne savait plus quoi penser.
Le second soldat qu’il reçus était en plein délire paranoïaque, aussi dut-il faire appel aux gardes pour le ramener au calme.
Le troisième, en revanche, était lucide et son état psychologique stable. Toutefois, ses propos, plus détaillés que celui du soldat Alexander, ressemblaient plus à un récit horrifique qu’autre chose.
Mais il rejoignait les paroles du colosse sur un point : Le rire.

Le rire. Ce simple mot suffisait à faire trembler d’effroi des hommes de la plus redoutable armée du monde. Fermant les yeux, le psychologue soupira. Il se souvenait de tout ce que ce soldat lui a dit, à la virgule près...
« On a attaqué le soir, pour augmenter nos chances de réussites. Notre organisation nous a permit d’en finir rapidement.
Alex vous l’a déjà dit, hein ? Y’avait des gens qui nous ont lancé des cocktails Molotov depuis les fenêtres de leurs baraques. Certains nous tiraient des bastos avec des p’tites breliques.
Pensez bien qu’le commandant Brown, l’a pas apprécié du tout.
En fait, j’crois qu’il attendait qu’ça, un prétexte pour s’en prendre aux civils. Ce type, c’était un taré. J’veux dire, plus qu’nous tous réunis. Il adorait ça, les tueries. Un sadique. Puis y’en avaient beaucoup a qui ça bottait d’faire ça, à force d’être sous ses ordres.
L’a ordonné d’ouvrir le feu dans les baraques. Les hommes, y étaient abattus tout de suite. Pour c’qui est des femmes...
Vous savez de quoi je parle, docteur ?
Ce genre de chose, j’crois qu’c’était ce qui faisait le plus tripper, le commandant. J’ai vu bon nombres de soldats torturer des gamines avant de les tuées.
Moi, c’est pas mon truc. J’trouve ça inutile et cruel.
Ça m’a souvent valu l’qualificatif de “femmelette“.
Bref, j’ai décidé d’attendre que toute cette merde se termine.
J’ai mis un moment à percuter qu’il y avait un truc pas rond. Les coups de feu s’étaient amplifiés et j’entendait des types brailler des trucs du genre “Butez-le !“ ou juste des cris d’agonie. Les baraques avaient commencées à cramer sans aucune raison.
Et il y avait l’rire.
C’foutue saloperie de rire. Y m’agressait les oreilles. J’avais l’impression de me faire violer le cerveau.
J’suis resté immobile, jusqu'à ce qu’un de mes camarades vienne m’agripper l’épaule pour m’dire de m’tirer. L’instant d’après, sa tête a explosé. J’ai eu du sang partout sur la gueule. Mes jambes m’ont lâché, j’suis tombé a genoux. C’que j’ai vu après ressemblait à un cauchemar. Les hommes ont pris feu. J’veux dire comme des allumettes. Se sont embrasés, là comme ça. Y braillaient et gesticulaient en appelant leurs mères. Des coups de feu ont retentis et y sont tombés comme des mouches.
C’est seulement quand y’en avait plus qu’un debout qu’il s ‘est décidé à s’montrer.
L’a surgis d’nulle part, comme un fantôme. Y s’marrait d’son rire d’taré. L’a pas laisser l’temps à c’pauvre type de réagir qu’il lui fendait le pastèque avec une hache.
Quand l’corps est tombé a genoux, ‘lui a collé un Glock à bout portant et ‘lui a fait péter le caisson. Y riait encore plus fort de son foutu rire de psychopathe.
Après, j’lai vu tendre une main vers lui... j’ai jamais compris c’qui s’est passé à ce moment-là, mais y’a eu un flash. Puis, plus rien. Juste un cratère fumant, comme après une explosion.
Il m’a vu et il s’est dirigé tranquillement vers moi. Il donnait l’impression d’être pas réel. Son corps semblait nimbé des flammes qui dévoraient tout derrière lui.
J’pouvais rien faire. J’avais la trouille à en crever.
Arrivé à un mètre de moi, y s’est accroupis pour mieux m’reluquer. ‘Jamais vu une telle tronche de taré. On aurait dit qu’il était possédé. L’ensemble de son visage était figé dans un rictus malsain. Le pire, c’était ses yeux.
C’est... impossible à décrire. L’avait pas d’yeux. L’avait des flammes qui lui sortaient des orbites.
Un vrai cauchemar.
Y m’a regardé. L’a souris en ricanant. L’a glissé un papelard dans ma poche et il s’est évaporé. Comme de la fumée qu’on souffle.
Son rire dément a continué à résonner dans ma tête jusqu’á c’qu’Alex me trouve et m’aide a me tirer de c’qui restait de c’quartier maudit.
J’vous l’ai dit Doc’, ici, on est tous un peu cinglé. Mais lui... lui, y bat tous les records.
Et j’prie dieu qu’il trouve jamais le QG. Parce que si jamais y nous trouve, on est morts. Nous sommes tous morts. »

Merahn retira ses lunettes. Il se leva et quitta son bureau. Il ne dira rien au général Red. Pas la peine.
Il le connait. Il sait. C’est obligé, il sait qu’il est ici. Cet enfant, enfin, ce jeune homme, car c’est ce qu’il doit être aujourd’hui, a toujours su ce qu’il voulait savoir. S’il a affronté le Ruban Rouge de front, alors c’est qu’il n’est plus sous contrôle.
Mais il ne viendra au Q.G.
Pour la simple et bonne raison que lui, Adolf Merahn, s’y trouvait.


Le bureau est vide depuis quelques minutes.
La lumière de la lampe éclaire toujours la table.
Sur la table, un papier.
Sur le papier, un message.
Dans le message, un nom que Merahn ne connaissait que trop bien.


“N’oubliez pas vos pêchés... Eux ne vous oublieront pas.
Jesus Fuego. »
si on considere que qqchose est impossible, c'est qu'on est assez con pour ne pas avoir essayer ^^


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