Dragon niais (parodie)

Après le monde merveilleux des Oav j'ai décidé de parodier la série, voici le premier chapitre.
La genèse de la niaiserie, partie 1
- Bonjour docteur Brief, vous allez bien ?
- Très bien, merci.
- Je n'ai pas vu votre fille en arrivant.
- Elle est partie en voyage à la recherche de dragon balls, un truc dans le genre.
- Les voyages forment la jeunesse, qui l'accompagne ?
- Personne.
- Hein ? Je vous rappelle qu'elle n'a que quinze ans.
- Et alors ?
- Elle pourrait être en danger, le monde n'est pas tendre.
- Ne vous inquiétez pas, elle a pris un flingue avec elle.
- Purée... Vous avez donné une arme à feu à une adolescente caractérielle et impulsive, je n'ose pas imaginer le carnage. Et elle se déplace comment ?
- En voiture.
- Ça explique le carambolage monstre de ce matin. Donnez moi une bonne raison de ne pas vous dénoncer aux services sociaux.
- Une augmentation ?
- C'est une bonne raison.
Pendant ce temps, Bulma, la fille du docteur Brief, roulait sur un chemin forestier en renversant tous les animaux qui croisaient son chemin.
- Encore ? Ils ne savent pas que j'ai la priorité ces connes de bestioles ?
- Bong !
- Un poisson maintenant ! Abrutis d'animaux ! Heu, depuis quand les poissons marchent ? En y réfléchissant, je crois que j'ai vu qu'il y avait aussi un petit garçon qui le trainait... Merde ! Cria Bulma qui freina brusquement. Je suis une meurtrière, je vais faire marche arrière au cas où il est toujours vivant.
La voiture roula en arrière et...
- Bong !
- Pitié, faites que ce soit le poisson... Hé non, il est sur ma gauche. Bon, il ne reste qu'à enterrer le cadavre.
- Tu ne voleras pas mon poisson sale monstre ! Dit une voix enfantine.
La voiture bascula sur le coté.
- Qu'est ce qui s'est passé ? Le mioche est vivant, super ! Une minute, comment a-t-il survécu ?
- C'est la première fois que je vois une bestiole pareille, ça se mange ?
- Manger ? Pourquoi il parle de manger ? A moins que... C'est un mort vivant ! Il veut mon cerveau !
Bulma surgit de son véhicule et pointa son arme sur le mioche.
- Go in hell motherfucker ! Dit la fille en tirant sur la tête.
L'éditeur de Shonen Jump regarda les planches de Toriyama avec perplexité.
- L'héroïne a donc tiré sur le gamin.
- Ouaip. Répondit le dessinateur.
- Sans poser de question, de sang froid.
- Ouaip.
- Ce n'est pas un peu extrême pour un shonen ? J'ai un peu peur de ce que cette folle pourrait faire après. Il n'est pas trop tard pour changer d'héroïne.
- Dans un ou deux chapitres, vous la verrez les fesses à l'air.
- On la garde !
- Aille ! Ça fait mal ! Tu vas payer monstre.
- Ne me fais pas de mal ! Je suis une frêle jeune fille sans défense !
- Tu es une fille ?
- A ton avis ? Les cheveux longs, le beau visage, la robe rose, ça te mets pas la puce à l'oreille ?
- Tu es Shun d'Andromède ?
- Ok.... Je suis tombé sur un arriéré... Oui, je suis une fille.
- Grand père m'a dit que je devais être gentil avec les filles.
- C'est un homme sage, comme tu dois être gentil, hé ! Qu'est ce que tu fais ? Pourquoi tu te déshabilles ?
- Je fais comme dans les magazines que grand père cachait sous son matelas.
- Heu non, c'est pas comme ça qu'on fait.
- Ha bon ? Dans ce cas suis moi à la maison, tu m'expliqueras comment faire. C'est quoi ton nom ?
- C'est écrit.
- Enchanté Cétécri.
- Hé non, pourquoi j'ai dit ça ? Je m'appelle c'est écrit. Rah ! Encore ? Pourquoi je n'arrive pas à dire mon nom ?
- T'es bizarre, moi mon nom est biiip ! Hein ? Pourquoi je peux je peux pas dire biiip ?
- Ahem, je peux vous fournir une explication. Intervint un homme en costume noir.
- Qui êtes vous ? D'où sortez vous ? Cria Bulma effrayée.
- Je suis un employé de la Toeï, la firme qui produit votre animé. Nous sommes en version française et pour une raison qui nous échappe, les traducteurs n'ont pas encore choisi quel nom vous donner.
- Quel bande d'amateurs, j'espère que ça ne va pas durer longtemps, c'est bizarre de parler à quelqu'un dont on ne connait pas le nom. J'ai trouvé : on passe rapidement en version japonaise pour se présenter. Buruma.
- Son Goku.
- Voilà, c'est mieux comme ça, c'est ta maison ?
En entrant, Bulma vit une boule de cristal orange.
- Je l'ai trouvé, super !
- Hé, pas touche, c'est tout ce qui me reste de mon grand père !
- Oups, désolée, c'est ce que je cherchais, un dragon ball.
- Beurk ! Dire que je l'ai embrassé il y a deux jours. C'est dégoutant et c'est vraiment cruel d'avoir fait ça à ce pauvre dragon.
- De quoi tu parles ? Bref il existe en tout sept dragon balls.
- Sept ? Les dragons sont vraiment des animaux étranges.
- C'est fini de m'interrompre ? Une fois qu'elles sont réunies, le dragon apparaît et...
- Il récupère ses couilles ! Aille !
- Et il réalise le vœu de celui qui a réuni les dragon balls. Bon, j'ai été ravi de parler avec toi simplet mais je voudrais voir tes parents.
- J'en ai pas, je suis tout seul depuis la mort de grand père.
- Ah... Je voudrais t'acheter la dragon ball. J'ai beaucoup d'argent.
- C'est quoi l'argent ? Et tu m'as toujours pas dit comment il faut faire pour être gentil avec les filles.
- Tu ne sais même pas ce qu'est l'argent ? Un gamin aussi fort que stupide et résistant aux balles... Hé petit, je suppose que tu ne sais pas non plus ce qu'est l'esclavage.
- Non, c'est quoi ?
- Parfait, pour être gentil avec moi tu vas devoir venir avec moi et me servir de garde du corps.
- D'accord.
- Oui ! Avec ce simplet, les dragon balls seront à moi muah ha ha ha !
Et c'est ainsi que Bulma obtenu son esclave personnel, il voyagèrent jusqu'au soir et s'installèrent dans un clairière. Après avoir fait découvrir à Goku les capsules, l'électricité et la télévision, Bulma dut échapper à une condamnation au bucher pour sorcellerie de la part du niais. Il ne restait plus qu'une chose à découvrir : l'hygiène.
- Tu empestes, il te faut un bain, déshabille toi.
- Tu es un peu vieille pour moi mais j'aime ton style. Montre à cet enfant des plaisirs interdits. Dit Pedobear.
Un pistolet se colla sur la truffe de l'ours.
- Je ne sais pas comment tu as fait pour rentrer mais tu as intérêt à déguerpir !
L'ours s'enfuit mais revint le matin, il présentait que quelque chose allait se passer, il entra par effraction. Il vit Goku qui dormait sur le ventre de Bulma, l'enfant parut intrigué et regarda la culotte de la jeune fille, il tendit ses mains...
- Fais le, tu vas découvrir un monde qui t'es inconnu.
Les mains touchèrent la culotte, Pedobear bava, et puis rien du tout.
- Non !!!!!! Maudite censure !
- Tiens ? Tu es là toi, tu es bien un ours ?
- Oui.
- Super, c'est bon l'ours à la broche.
- Quoi ? Non, pas question ! Cria Pedobear en s'enfuyant.
- Reviens, tu es mon petit déjeuner !
Goku revint essoufflé.
- Il m'a échappé, j'ai les nerfs, je vais casser du caillou pour me défouler. Hya ! Allez encore un.
- Non, pas moi. Cria une tortue de mer.
- Tu en fais du boucan. Dit Bulma.
- Bonjour mademoiselle, pourriez vous m'indiquer où se trouve la mer ?
- C'est dans la direction opposée.
- C'est quoi la mer ? Demanda Goku.
- C'est une grande étendue d'eau.
- Il doit y avoir plein de poissons là dedans, manger ! Je t'y amène. Dit Goku en emportant la tortue sur son dos.
- Esclave, reviens ! Je t'interdis de perdre du temps, esclave ! Et merde, je suis obligée de le suivre.
Bulma prit sa moto pour suivre l'enfant et la tortue nommée Umigame, ils furent bientôt arrêtés par un gigantesque homme ours.
- La bourse ou la vie, tiens ? Une tortue ? Donne...
- Oh super, un autre ours, je ne le laisse pas filer celui là ! Dit Goku en salivant.
- Incroyable il l'a mis KO en un coup. Dit Umigame.
- Il est plus fort que je le pensais. Heu pourquoi il abat cet arbre, on dirait qu'il fabrique une sorte de broche. Attends Goku, ne fais pas ça !
Une demi heure plus tard :
- J'ai bien mangé ! Pourquoi vous tremblez tous les deux ?
- Plus d'excursions avec les copines, plus jamais. Dit Umigame
- Vingt ans de psychothérapie, il me faudra au moins ça pour tout oublier. Dit Bulma.
Le trio parvint enfin à atteindre la mer.
- Attendez moi là, je reviens avec un ami. Dit Umigame.
- Super, comme si on n'avait pas perdu assez de temps.
La tortue revint avec un vieil homme.
- Bonjour je suis Kame Sennin, le maitre des tortues, ainsi jeune homme tu m'as ramené ma tortue. Je vais te donner le don d'immortalité. Viens à moi phénix ! Petit petit petit !
- Combien de fois je devrais te le rappeler vieux gâteux, je suis Ikki du phenix, un saint au service d'Athena, pas un piaf !
- Tu es grincheux aujourd'hui, voilà un biscuit. Dit le vieil homme en enfonçant un cracker dans la bouche du jeune homme.
La paupière droite d'Ikki trembla, il serra les poings et recracha le biscuit.
- Par l'illusion du phénix !
- Hein ? Ou suis je ? Demanda Kame Sennin. Un bar, des tables, une barre de pole danse, c'est un club de striptease !
- Messieurs, veuillez accueillir notre nouvelle danseuse, Raymonde, 90 ans, dans son numéro de striptease intégral !
- Argh !
Ikki s'éloigna, laissant Kame Sennin pleurer en position fœtale.
- Ça va papy ? Demanda Goku.
- Oui, je pense que je finirais par oublier ce que j'ai vu, un des rares avantages de la vieillesse. Il faut donc que je te trouve un autre cadeau, nuage magique !
Un nuage jaune apparut et s'arrêta au ras du sol.
- Il pourra te transporter où tu veux mais il faudra que tu aies le cœur pur ou que tu sois d'une grande stupidité.
Goku sauta sur le nuage et tint dessus sous le regard ébahi du vieillard.
- Oh ? Bulma, regarde, papy tortue a une couille de dragon autours du cou. Aille !
- Une dragon ball abruti !
- Une grande stupidité donc.
- Monsieur je peux avoir votre collier s'il vous plait ?
- A une seule condition, tu dois me montrer ta culotte.
- D'accord !
- Voilà ta dragon ball.
- Merci monsieur.
Kame Sennin regarda les deux jeunes gens s'éloigner.
- Mais, mais ! J'ai rien vu ! Pourquoi je lui ai donner mon collier ?
- La scène a été censurée en occident. Expliqua Umigame.
- Non ! Maudit censeurs, priver un vieil homme de ce plaisir, c'est cruel !
- Elle ne portait pas de culotte en plus.
Un immense cri de désespoir retentit.
A suivre...
La genèse de la niaiserie, partie 1
- Bonjour docteur Brief, vous allez bien ?
- Très bien, merci.
- Je n'ai pas vu votre fille en arrivant.
- Elle est partie en voyage à la recherche de dragon balls, un truc dans le genre.
- Les voyages forment la jeunesse, qui l'accompagne ?
- Personne.
- Hein ? Je vous rappelle qu'elle n'a que quinze ans.
- Et alors ?
- Elle pourrait être en danger, le monde n'est pas tendre.
- Ne vous inquiétez pas, elle a pris un flingue avec elle.
- Purée... Vous avez donné une arme à feu à une adolescente caractérielle et impulsive, je n'ose pas imaginer le carnage. Et elle se déplace comment ?
- En voiture.
- Ça explique le carambolage monstre de ce matin. Donnez moi une bonne raison de ne pas vous dénoncer aux services sociaux.
- Une augmentation ?
- C'est une bonne raison.
Pendant ce temps, Bulma, la fille du docteur Brief, roulait sur un chemin forestier en renversant tous les animaux qui croisaient son chemin.
- Encore ? Ils ne savent pas que j'ai la priorité ces connes de bestioles ?
- Bong !
- Un poisson maintenant ! Abrutis d'animaux ! Heu, depuis quand les poissons marchent ? En y réfléchissant, je crois que j'ai vu qu'il y avait aussi un petit garçon qui le trainait... Merde ! Cria Bulma qui freina brusquement. Je suis une meurtrière, je vais faire marche arrière au cas où il est toujours vivant.
La voiture roula en arrière et...
- Bong !
- Pitié, faites que ce soit le poisson... Hé non, il est sur ma gauche. Bon, il ne reste qu'à enterrer le cadavre.
- Tu ne voleras pas mon poisson sale monstre ! Dit une voix enfantine.
La voiture bascula sur le coté.
- Qu'est ce qui s'est passé ? Le mioche est vivant, super ! Une minute, comment a-t-il survécu ?
- C'est la première fois que je vois une bestiole pareille, ça se mange ?
- Manger ? Pourquoi il parle de manger ? A moins que... C'est un mort vivant ! Il veut mon cerveau !
Bulma surgit de son véhicule et pointa son arme sur le mioche.
- Go in hell motherfucker ! Dit la fille en tirant sur la tête.
L'éditeur de Shonen Jump regarda les planches de Toriyama avec perplexité.
- L'héroïne a donc tiré sur le gamin.
- Ouaip. Répondit le dessinateur.
- Sans poser de question, de sang froid.
- Ouaip.
- Ce n'est pas un peu extrême pour un shonen ? J'ai un peu peur de ce que cette folle pourrait faire après. Il n'est pas trop tard pour changer d'héroïne.
- Dans un ou deux chapitres, vous la verrez les fesses à l'air.
- On la garde !
- Aille ! Ça fait mal ! Tu vas payer monstre.
- Ne me fais pas de mal ! Je suis une frêle jeune fille sans défense !
- Tu es une fille ?
- A ton avis ? Les cheveux longs, le beau visage, la robe rose, ça te mets pas la puce à l'oreille ?
- Tu es Shun d'Andromède ?
- Ok.... Je suis tombé sur un arriéré... Oui, je suis une fille.
- Grand père m'a dit que je devais être gentil avec les filles.
- C'est un homme sage, comme tu dois être gentil, hé ! Qu'est ce que tu fais ? Pourquoi tu te déshabilles ?
- Je fais comme dans les magazines que grand père cachait sous son matelas.
- Heu non, c'est pas comme ça qu'on fait.
- Ha bon ? Dans ce cas suis moi à la maison, tu m'expliqueras comment faire. C'est quoi ton nom ?
- C'est écrit.
- Enchanté Cétécri.
- Hé non, pourquoi j'ai dit ça ? Je m'appelle c'est écrit. Rah ! Encore ? Pourquoi je n'arrive pas à dire mon nom ?
- T'es bizarre, moi mon nom est biiip ! Hein ? Pourquoi je peux je peux pas dire biiip ?
- Ahem, je peux vous fournir une explication. Intervint un homme en costume noir.
- Qui êtes vous ? D'où sortez vous ? Cria Bulma effrayée.
- Je suis un employé de la Toeï, la firme qui produit votre animé. Nous sommes en version française et pour une raison qui nous échappe, les traducteurs n'ont pas encore choisi quel nom vous donner.
- Quel bande d'amateurs, j'espère que ça ne va pas durer longtemps, c'est bizarre de parler à quelqu'un dont on ne connait pas le nom. J'ai trouvé : on passe rapidement en version japonaise pour se présenter. Buruma.
- Son Goku.
- Voilà, c'est mieux comme ça, c'est ta maison ?
En entrant, Bulma vit une boule de cristal orange.
- Je l'ai trouvé, super !
- Hé, pas touche, c'est tout ce qui me reste de mon grand père !
- Oups, désolée, c'est ce que je cherchais, un dragon ball.
- Beurk ! Dire que je l'ai embrassé il y a deux jours. C'est dégoutant et c'est vraiment cruel d'avoir fait ça à ce pauvre dragon.
- De quoi tu parles ? Bref il existe en tout sept dragon balls.
- Sept ? Les dragons sont vraiment des animaux étranges.
- C'est fini de m'interrompre ? Une fois qu'elles sont réunies, le dragon apparaît et...
- Il récupère ses couilles ! Aille !
- Et il réalise le vœu de celui qui a réuni les dragon balls. Bon, j'ai été ravi de parler avec toi simplet mais je voudrais voir tes parents.
- J'en ai pas, je suis tout seul depuis la mort de grand père.
- Ah... Je voudrais t'acheter la dragon ball. J'ai beaucoup d'argent.
- C'est quoi l'argent ? Et tu m'as toujours pas dit comment il faut faire pour être gentil avec les filles.
- Tu ne sais même pas ce qu'est l'argent ? Un gamin aussi fort que stupide et résistant aux balles... Hé petit, je suppose que tu ne sais pas non plus ce qu'est l'esclavage.
- Non, c'est quoi ?
- Parfait, pour être gentil avec moi tu vas devoir venir avec moi et me servir de garde du corps.
- D'accord.
- Oui ! Avec ce simplet, les dragon balls seront à moi muah ha ha ha !
Et c'est ainsi que Bulma obtenu son esclave personnel, il voyagèrent jusqu'au soir et s'installèrent dans un clairière. Après avoir fait découvrir à Goku les capsules, l'électricité et la télévision, Bulma dut échapper à une condamnation au bucher pour sorcellerie de la part du niais. Il ne restait plus qu'une chose à découvrir : l'hygiène.
- Tu empestes, il te faut un bain, déshabille toi.
- Tu es un peu vieille pour moi mais j'aime ton style. Montre à cet enfant des plaisirs interdits. Dit Pedobear.
Un pistolet se colla sur la truffe de l'ours.
- Je ne sais pas comment tu as fait pour rentrer mais tu as intérêt à déguerpir !
L'ours s'enfuit mais revint le matin, il présentait que quelque chose allait se passer, il entra par effraction. Il vit Goku qui dormait sur le ventre de Bulma, l'enfant parut intrigué et regarda la culotte de la jeune fille, il tendit ses mains...
- Fais le, tu vas découvrir un monde qui t'es inconnu.
Les mains touchèrent la culotte, Pedobear bava, et puis rien du tout.
- Non !!!!!! Maudite censure !
- Tiens ? Tu es là toi, tu es bien un ours ?
- Oui.
- Super, c'est bon l'ours à la broche.
- Quoi ? Non, pas question ! Cria Pedobear en s'enfuyant.
- Reviens, tu es mon petit déjeuner !
Goku revint essoufflé.
- Il m'a échappé, j'ai les nerfs, je vais casser du caillou pour me défouler. Hya ! Allez encore un.
- Non, pas moi. Cria une tortue de mer.
- Tu en fais du boucan. Dit Bulma.
- Bonjour mademoiselle, pourriez vous m'indiquer où se trouve la mer ?
- C'est dans la direction opposée.
- C'est quoi la mer ? Demanda Goku.
- C'est une grande étendue d'eau.
- Il doit y avoir plein de poissons là dedans, manger ! Je t'y amène. Dit Goku en emportant la tortue sur son dos.
- Esclave, reviens ! Je t'interdis de perdre du temps, esclave ! Et merde, je suis obligée de le suivre.
Bulma prit sa moto pour suivre l'enfant et la tortue nommée Umigame, ils furent bientôt arrêtés par un gigantesque homme ours.
- La bourse ou la vie, tiens ? Une tortue ? Donne...
- Oh super, un autre ours, je ne le laisse pas filer celui là ! Dit Goku en salivant.
- Incroyable il l'a mis KO en un coup. Dit Umigame.
- Il est plus fort que je le pensais. Heu pourquoi il abat cet arbre, on dirait qu'il fabrique une sorte de broche. Attends Goku, ne fais pas ça !
Une demi heure plus tard :
- J'ai bien mangé ! Pourquoi vous tremblez tous les deux ?
- Plus d'excursions avec les copines, plus jamais. Dit Umigame
- Vingt ans de psychothérapie, il me faudra au moins ça pour tout oublier. Dit Bulma.
Le trio parvint enfin à atteindre la mer.
- Attendez moi là, je reviens avec un ami. Dit Umigame.
- Super, comme si on n'avait pas perdu assez de temps.
La tortue revint avec un vieil homme.
- Bonjour je suis Kame Sennin, le maitre des tortues, ainsi jeune homme tu m'as ramené ma tortue. Je vais te donner le don d'immortalité. Viens à moi phénix ! Petit petit petit !
- Combien de fois je devrais te le rappeler vieux gâteux, je suis Ikki du phenix, un saint au service d'Athena, pas un piaf !
- Tu es grincheux aujourd'hui, voilà un biscuit. Dit le vieil homme en enfonçant un cracker dans la bouche du jeune homme.
La paupière droite d'Ikki trembla, il serra les poings et recracha le biscuit.
- Par l'illusion du phénix !
- Hein ? Ou suis je ? Demanda Kame Sennin. Un bar, des tables, une barre de pole danse, c'est un club de striptease !
- Messieurs, veuillez accueillir notre nouvelle danseuse, Raymonde, 90 ans, dans son numéro de striptease intégral !
- Argh !
Ikki s'éloigna, laissant Kame Sennin pleurer en position fœtale.
- Ça va papy ? Demanda Goku.
- Oui, je pense que je finirais par oublier ce que j'ai vu, un des rares avantages de la vieillesse. Il faut donc que je te trouve un autre cadeau, nuage magique !
Un nuage jaune apparut et s'arrêta au ras du sol.
- Il pourra te transporter où tu veux mais il faudra que tu aies le cœur pur ou que tu sois d'une grande stupidité.
Goku sauta sur le nuage et tint dessus sous le regard ébahi du vieillard.
- Oh ? Bulma, regarde, papy tortue a une couille de dragon autours du cou. Aille !
- Une dragon ball abruti !
- Une grande stupidité donc.
- Monsieur je peux avoir votre collier s'il vous plait ?
- A une seule condition, tu dois me montrer ta culotte.
- D'accord !
- Voilà ta dragon ball.
- Merci monsieur.
Kame Sennin regarda les deux jeunes gens s'éloigner.
- Mais, mais ! J'ai rien vu ! Pourquoi je lui ai donner mon collier ?
- La scène a été censurée en occident. Expliqua Umigame.
- Non ! Maudit censeurs, priver un vieil homme de ce plaisir, c'est cruel !
- Elle ne portait pas de culotte en plus.
Un immense cri de désespoir retentit.
A suivre...