L'autre saga Buu

[rodjackie]

Ah? Hasard uniquement mdrrrr

[Pensyves]

Enfin le chapitre! Et à une heure raisonable en prime. Le grand retour de Vegeta sur terre, qui s'est d'ailleurs adouci. J'adore cette relation et ce role que tu donnes à piccolo dans ta fiction. Il est, je trouve, un personnage clef à ton scenario. J'espère que le chapitre suivant ne se fera pas autant attendre que celui ci!

[rodjackie]

Non non, le prochain chapitre dès mercredi logiquement ^^

[Bushido]

Tant mieux alors, ta situation familial s'améliore.

[rodjackie]

Partie 02 : Une vie nouvelle

Chapitre 12 : Il se dévoile enfin

Le soleil brillait haut dans le ciel, comme souvent d’ailleurs. La femme aux cheveux blonds et bouclés chantonnait, tout en arrosant ses fleurs, comme souvent d’ailleurs. Son mari, un vieillard à blouse blanche, lunettes et grosse moustache était lui bien occupé à réparer des machines, comme souvent d’ailleurs.

La jeune fille aux cheveux bleus se tenait à la fenêtre, son bébé dans ses bras, fixant le ciel, pensive et rêveuse, comme souvent ces derniers temps…

Et puis elle entendit ce bruit, qu’elle n’avait pas entendu depuis longtemps, ce bruit qu’elle attendait, ce bruit dans l’air d’une aura perçant les nuages. Soudainement, ce bruit s’interrompit pour laisser place à un soudain choc au sol.

Végéta se dressa devant la mère de Bulma. Yamcha et Plume, également présents, restaient fixés, voyant le prince s’avancer sans dire le moindre mot. Arrivé au niveau du balcon où se tenaient la mère et son fils, Végéta s’envola pour se retrouver face à eux.

-Il faut qu’on parle, lança-t-il sèchement sans un son de plus.

Bulma ne souriait pas, attendant le discours auquel elle aurait le droit. Après tout, elle ne s’attendait pas à ce que ce soit lui qui lance la discussion.

Le couple se retrouva seul dans la maison, bien sur personne n’aurait osé les déranger. Végéta se tenait de profil, comme s’il avait du mal à regarder Bulma en face, elle bien sur ne cessa de fixer le guerrier qui, comme à son habitude quand il partait durant de longues périodes, revenait sale, la tenue abîmée, et l’air fatigué et affamé.

-Alors… tu vas bien ? débuta Bulma pour briser la glace.
-Il faut qu’on parle.
-Oui…

Bulma proposa à manger et à boire au guerrier qui refusa. C’est là qu’elle se rendit compte que l’attitude colérique habituelle de Végéta avait laissé place à de la tristesse.

-Je ne suis pas sur…
-Pas sur de quoi Végéta ?
-Pas sur d’être fait pour être père…

Bulma écarquilla des yeux. C’est bien la première fois que le saïyen abordait le sujet. Quelque part ça la ravissait, mais c’est l’inquiétude qui dominait à ce moment là, quand Végéta poursuivit, elle tenta de le rassurer :

-Tu sais, n’importe qui peut être un bon père, et puis si tu crois que c’est facile pour moi… Moi aussi ça me fait peur d’élever ce petit, mais je l’aime et c’est ce qui me donne la force de m’occuper de lui.
-Kof ! C’est facile pour une terrienne ! Et puis ta vie a été simple, tu as du en avoir toi de l’amour dans ta famille, il suffit de regarder cette maison…

Bulma se sentait d’abord insultée, il n’avait qu’à la traiter de bourgeoise tant qu’il y était ! Mais elle réalisa ensuite que Végéta n’avait plus ses parents lui…

Végéta commença à ressasser de lointains souvenirs, ceux où il était sur sa planète natale.

Il y a une trentaine d’années :

-Papa, tu sais où est maman ?
-Silence ! Tu vois bien que je suis occupé !
-Mais Papa…
-Tu n’as qu’à chercher ! Je ne suis même pas sur qu’elle soit sur la planète.

Le petit garçon aux cheveux hérissés, à l’armure sur laquelle était posée une cape rouge, quitta ainsi le grand homme, également les cheveux en pics, qui portait un gros bouc et un visage on ne peut plus agressif. Le petit avait l’air triste, mais il croisa sur son chemin des soldats qui s’inclinaient à son passage en criant « Bonjour Prince Végéta ».

Il retrouva alors un sourire fier. Le garçon croisa alors un grand homme, il devait faire à peu près 2 mètres 30 ! Un grand chauve avec une fine moustache.

-Vous voilà mon Prince, avez-vous réussi à parler à votre père ?
-Non… ce sale…
-Je vous avais pourtant déconseillé d’aller le voir. Votre père est un homme trop occupé pour vous accorder de l’importance.
-Kof, il me prend pour un de ces gosses faibles. Qu’il en profite et un jour je m’en occuperais… je pourrais même le faire maintenant !
-Oui mais je vous le déconseille. Bon sinon j’ai été me renseigner pour vous au QG, et votre mère est en mission secrète, elle rentrera demain.

Le lendemain, la femme du Roi Végéta était effectivement de retour et son fils s’était précipité à l’aire d’atterrissage pour ne pas manquer le retour de sa mère.

-Maman, cria le gosse voulant se jeter dans les bras de sa mère.
-La ferme ! Le repoussa la femme d’une grande claque au visage qui fit tomber le prince.

L’assemblée était choquée par la scène. La femme du Roi Végéta était pourtant reconnue pour être beaucoup plus tendre que ça avec son fils, bien plus en tout cas que ne l’était le Roi, qui avait toujours été exigeant, et donc dur, avec ce prince, annoncé dès sa naissance comme un prodige.

Le gamin se relevait, la main sur le visage tentant de cacher un début de pleurs. Il se demandait bien pourquoi sa mère avait réagi comme ça, mais la femme n’eut qu’une seule phrase comme réponse.

-Je dois aller voir le Roi !

La femme se dirigea lentement vers la salle du trône où son mari allait (peut-être) l’attendre, assis tranquillement.

-Nappa, couvre-moi, je vais essayer de m’introduire dans cette salle.
-Non désolé, mais je ne peux pas vous laisser faire ça ! Je désobéirais au Roi et… je ne peux pas désobéir au Roi !
-Je suis le prince !! Tu me dois autant obéissance à moi qu’à mon père !!
-Niiiih, je ne peux pas vous laisser vous introduire dans le palais, mais nous pouvons entendre leur conversation si vous voulez.

Nappa expliqua comment il pouvait avoir accès aux informations via les scouters. Il suffisait de pirater le réseau d’écoute pour que, grâce à son scouter, il puisse avoir accès à celui du Roi, un système que Nappa avait par ailleurs déjà utilisé.

Dans le palais, le Roi et sa femme se faisait face :

-Alors, tu as pu te rendre sur cette planète ? Qu’as-tu découvert ?
-J’ai découvert que vous alliez être déçu mon Roi.
-Ne me dis quand même pas que ce Paragus avait raison !
-Non, bien sur que non. La vérité est pire que cela.

Le prince entendait toute la conversation. Qui était ce Paragus ? Et que manigançait donc ses parents ? Il ne semblait y avoir personne d’autre dans la grande salle, ce qui était rarissime. Cette conversation devait avoir une importance capitale…

-Je ne comprends pas… si Paragus a tort, alors notre fils est bien le guerrier légendaire !?
-Et bien non plus… figurez-vous que d’après ce que Paragus a découvert, le guerrier légendaire n’existe pas !
-C’est n’importe quoi ! Il est simplement jaloux car son fils est soit disant mort d’une crise cardiaque car il avait une puissance collossale à la naissance… mais notre Végéta est né avec une puissance de 1100 unités, et il est déjà à plus de 8000… à 15 ans il devrait avoir facile le double, et de manière exponentielle… il sera même, j’en suis sur un jour, de dépasser le pouvoir de Freeza !
-Mais je sais tout ça ! Seulement d’après lui, et après toutes les recherches qu’il a mené, le prince, ni même aucun autre saïyen ne pourra un jour atteindre cette puissance dont vous parlez.
-Qu’est-ce que tu veux dire…
-Notre fils est comme les autres… un raté !

Sur ces mots, Végéta coupa la conversation. Il brisa le scouter de Nappa et lui tourna le dos. Il ordonna à son soldat de le laisser tranquille et il s’envola.

Ses mots allaient rester gravés en lui pendant des années. Végéta n’y croira jamais, lui un raté ? Certainement pas non, il était le fameux guerrier légendaire, et il allait le prouver à ses parents !

Le lendemain, il se rendit dans le palais de Freeza. Ce dernier lui avait déjà proposé de partir en mission spéciale. D’abord réticent, le prince fini par accepter, par orgueil, et contre l’avis de son père, le Roi.

Il ne reverrait jamais ses parents, la planète Végéta étant détruite par une météorite quelques jours plus tard…

-Je comprends Végéta, ce n’est pas facile de se sentir détesté par ses propres parents… mais tu sais ça ne fera pas forcément de toi un mauvais père !
-Ce n’est pas réellement la question tu vois ?
-Comment ça ?
-Je suis sur que Trunks aura une bonne mère, mais moi… je vais devoir repartir. Et c’est ce que je suis venu te dire !

Végéta annonça en effet qu’il allait repartir en voyage dans l’espace. Il avait besoin de faire le point sur tout. Goku, la Terre, les saïyens, Freeza, sa défaite contre Cell, Bulma, leur fils, …

Il prit Bulma dans ses bras et lui dit dans l’oreille :

-Je reviendrais…

Puis Végéta disparu, s’envola dans le désert où se trouvait sa capsule. Il parti en trombe vers une destination bien loin dans l’espace. Nul ne sait quand le prince des saïyen allait refoulé le sol de la Terre…

[Pensyves]

hum une faute :

Je comprends Végéta, ce n’est pas facile de se sentir détester

Chapitre sympa, qui montre ici une divergence avec la version du film de Broly mais qui en intègre malgré tout certains éléments. Mais où a t'il été enquêter au juste?

En tout cas sympa.

Par contre cette partie je me suis permis de l’éditer car cela me faisait penser à cela:

Il prit Bulma dans ses bras et lui dit dans l’oreille, après avoir enfilé un blouson de cuir et mis une paire de lunettes noires :

-Je reviendrais…

Spoiler

[rodjackie]

Merci c'est corrigé ^^ par contre pas sympa le truc de Terminator, j'ai écrit ce chapitre il y a longtemps du coup j'ai cru que j'avais vraiment affublé Végéta de cette tenue

Sinon vu que je pensais avoir encore 2 chapitres d'avance mais que je me suis récemment rendu compte que j'en avais en fait... aucun! J'ai fini le chapitre 13 ce soir, pour le mini spoil, ce chapitre concluera la partie 2, voilà ^^

EDIT : Le chapitre 13 enfin!!!!!!!!!!!!!

Partie 02 : Une vie nouvelle

Chapitre 13 : Quand on souhaite quelquechose on l'obtient toujours

3 Mois se sont écoulés, Krilin et C18 semblent vivre le parfait amour. La cyborg se surprend même parfois à sourire. En effet, depuis ces quelques semaines, Krilin la traite comme une princesse. Elle ne pensait pourtant jamais que quelqu’un serait capable de faire ça pour elle, et encore moins qu’elle le supporterait, elle la guerrière si fière, si forte, … Mais il faut croire que le côté humain qui sommeillait en elle n’était pas si endormi que ça. 3 mois se sont écoulés donc, le matin se lève.

-Bonjour toi, tu as bien dormi ?
-Euh… tu sais que je suis une cyborg, je ne dors jamais
-Hahahahaha excuse moi, j’ai parfois tendance à l’oublier, je m’excuse.
-C’est pas grave, au moins c’est la première fois cette semaine que tu fais la gaffe.

En effet, Krilin était très maladroit, oubliant régulièrement que lui et sa conquête étaient différents en bien des points.

Le couple vivait dans une maison capsule implantée sur une île non loin de celle de Muten Roshi. Après tous ces évènements, ils avaient en effet choisi de vivre au calme, loin de tout. Cette maison était parfaite, moderne, une cuisine toute équipée permettant à Krilin de mitonner de bons petits plats à sa chérie. En outre, ils dormaient dans des lits séparés, par soucis de ne pas aller trop vite dans leur relation.

Mais C18 semblait préoccupée. Elle était bien avec Krilin, il faisait plein de bonnes choses pour elle. Mais quand il préparait de bons plats, elle ne pouvait les savourer, un cyborg ça ne mange pas beaucoup… Parfois il venait lui raconter une histoire, voire la border le soir, mais un cyborg ça ne dort pas… Il lui donnait d’ailleurs souvent de l’affection, mais un cyborg c’est froid en général… elle ressentait bien les baisers, mais pas comme il le faudrait. Alors malgré sa timidité apparante, elle choisi ce midi là de mettre les pieds dans le plat et d’amorcer le sujet.

-Krilin, tu m’aimes ?
-Hein ? Euh oui…, répondit Krilin, intimidé par cette question si directe.
-Je veux dire… tu m’aimes comme ça ?
-Oui je t’aime comme tu es

C18 baissa la tête, se leva et se tint devant le petit chauve. Elle lui expliqua son problème, qu’en tant qu’androïde elle ne ressentait pas les choses comme il le faudrait, elle avait peur de décevoir celui qui avait tant de bonnes petites attentions pour elle, et ça la travaillait.

-J’aimerais tant être humaine, ajouta-t-elle en pleurant.

Krilin se leva, et la pris dans ses bras. Il ne le cachait pas, les choses seraient mieux si effectivement leurs anatomies étaient les mêmes, mais il l’avait choisi comme ça, sachant ce que cela impliquait. Et puis les Dragons Balls n’avaient rien pu faire d’autres pour C18 que de retirer la bombe coincée à l’intérieur de son corps, ce qui déjà écartait tout risque de danger pour eux.

Le repas fut bref, et C18 était fatiguée. Krilin voulu la laisser se reposer mais elle tardait bizarrement à aller dans sa chambre. Elle posait sur les yeux du guerrier un regard troublant, qui le fit rougir. Un sourire s’y ajouta, que voulait-elle ? Elle ne bougeait plus, et puis se passant la main dans les cheveux, baissant légèrement la tête, insistant avec son sourire :
-Et si tu venais te reposer avec moi ?

Krilin restait paralysé, stoïque. Que venait-elle de dire ? Elle l’invitait à la rejoindre, que fallait-il faire ? Qu’allaient-ils faire ? Sans terminer sa réflexion, la cyborg s’était rapprochée de lui et lui prit la main droite.

-Allez viens.

La blonde lança Krilin sur le lit, se retrouvant allongé sur le dos. La jeune femme retira sa veste pour se retrouver en petit débardeur blanc. Elle rejoignit le jeune homme sur le lit et commença à le prendre dans ses bras. Elle lui donna quelques baisers dans le cou, auxquels Krilin répondit par un langoureux baiser. Ensuite, elle passa sa main dans la chemise de Krilin, tout en en retirant les boutons un à uns, jusqu’à ce qu’elle soit entièrement ouverte.

Pendant qu’elle lui caressait affectueusement les pectoraux, Krilin passait ses mains sous le débardeur, lui caressant le dos et les côtes. Les positions s’inversèrent, Krilin se retrouvant désormais sur sa partenaire. Cette dernière retira son soutien gorge et l’aggripa pour qu’il vienne tout près de sa poitrine.

Le chauve caressa la poitrine, froide de l’androïde. Oui elle était froide et dure. Et soudain le regard de la blonde changea. Elle semblait effrayée. Elle se retrouvait sur une planche en acier et ne pouvait plus bouger, ses membres attachés. Des larmes coulaient de ses yeux, elle hurlait, se retrouvant désormais face à un vieil homme au regard cruel, une barbe et une chevelure blanche et bouclés, un rire sadique. Des lames lui caressait la peau alors qu’une scie portable électrique lui fendait la peau, entre ses deux seins. Le docteur Gero se mit à hurler de rire, quand soudain les liens qui retenait C18 prisonnière disparurent. Elle se leva donc et frappa Gero. Elle hurlait, les larmes aux yeux, elle fonçait désormais les yeux fermés sur le vieil homme, l’aggripa et alors qu’elle le plaquait contre le mur, la main sur sa gorge, elle se préparait l’achever quand elle entendit :

-Arrête, s’il te plait réveille-toi !!

Et là, stupeur… C18 tenait dans sa main Krilin, qui saignait, pleurait et, voyant son erreur, le lacha, et s’écroula à genoux. Krilin se releva et prit sa compagne dans ses bras, cette dernière fondant encore plus en larmes.

-Je suis désolé Krilin, désolé, je ne peux pas, je n’y arrive pas…
-Ce n’est pas grave, allez pleure, pleure fort, je sais que ce n’est pas facile pour toi, mais ce n’est rien d’accord ? Ce n’est rien…

2 jours passèrent. Krilin et C18 étaient chez Dendé, expliquant la situation au nouveau Dieu. C18 devait redevenir humaine.

-Et tu ne vois pas ce que Shenron pourrait faire ?
-Je suis désolé Krilin, mais tu sais bien qu’il ne peut pas réaliser ce genre de vœu, et moi je ne peux rien faire…
-Ce n’est pas possible… il doit bien y avoir une solution…

C18 était dépitée, de toute la conversation tenue depuis une bonne heure, elle n’avait pas sorti le moindre mot. Krilin était lui énervé alors que Dendé était triste de ne pas pouvoir rendre service à son ami.
Quelques jours passèrent encore, et cette fois Bulma et le Dr Brief avaient été appelés.

-J’aimerais t’aider Krilin, mais très franchement je dois bien admettre que pour une fois, ce cas dépasse mes compétences.
-Il faut dire que ce Dr Gero était un génie, quel dommage qu’il n’ait pas consacré son savoir pour faire le bien… Ah mais oui !!

Brief semblait avoir une idée, il pensa que l’on pourrait ressusciter le Dr Gero. Mais oui ! Puisque lui seul connaît la technologie pour opérer la jeune fille, il fallait le faire revenir, et après l’avoir «convaincu », il pourrait s’occuper de la jeune fille, mais…

-C’est HORS DE QUESTION !!

En effet, C18 refusait catégoriquement de revoir son bourreau, et puis elle se serait chargée de le re-tuer après… Ce que Krilin n’accueillerait que modérément, comme tout acte de violence de sa chère et tendre…

Fallait-il donc se résigner ? C18 était-elle condamnée à souffrir mentalement toute sa vie de son état de cyborg ? Krilin avait beau la prendre dans ses bras et la rassurer, rien n’y faisait. La jeune fille était inconsolable…

Voyant cette scène dramatique se jouer sous ses yeux, l’homme qui se tenait à leurs côtés un peu plus en retrait que les autres ne pouvait laisser durer ce supplice plus longuement.

-Et si on essayait de demander autre chose à Shenron ?

Tous se retournèrent, surpris par l’intervention de Mister Popo qui, comme souvent, était pourtant resté silencieux jusque là. Après une minute de silence de l’assemblée, c’est Dendé qui se dirigea le premier vers la question de son serviteur.

-Tu as une idée Popo ?
-Bien sur, pourquoi ne pas demander à Shenron de doter Bulma du savoir du Docteur Gero ? Avec ces connaissances elle pourrait surement s’occuper de C18, je suppose que ça doit être possible non ?

Préalablement surprise, la foule fini par s’extasier face à cette idée à laquelle bien évidemment personne n’avait songé.

-Mais oui !! fit Bulma, c’est une excellente idée !! On avait déjà fait le même genre de vœu pour ressusciter Krilin quand il était mort sur Namek, ça doit bien être possible alors !!
-Merci Popo, tu es un génie ! poursuivit Krilin qui prenait le petit homme noir dans ses bras.

Fort de ce nouvel espoir, Krilin se mit immédiatement à la recherche des Dragons Balls. Aidé par Gohan, qui avait insisté pour aider son ami, la mission serait rapidement remplie, et c’est ainsi que moins de vingt-quatre heures plus tard, tous se retrouvaient au palais de Dendé afin d’invoquer Shenron.

-Faites votre vœu, dépêchez-vous, je vous en accorderais trois.
-Ah oui c’est vrai qu’on a le droit à trois souhaits maintenant.
-Il est encore plus impressionnant de près, souffla C18 qui se rappelait bien la première fois qu’elle avait vu Shenron, juste après la mort de Cell.

L’assemblée se décida, il revenait à Krilin de prononcer les vœux.

-Shenron euh… voilà, est-ce que cela serait possible de transmettre à Bulma le savoir du Dr Gero afin qu’elle puisse utiliser son savoir pour rendre C18 humaine ?
-Hum, bien sur c’est comme si c’était fait !

L’œil droit du dragon se mit à briller, et une aura blanche enveloppa la scientifique aux cheveux bleus. Tout un tas de connaissances défilaient dans sa tête, et au bout de même pas une minute.

-Voilà qui est fait, maintenant quel est votre second vœu ?
-Wahou ! Incroyable, c’est comme si je l’avais toujours su ! Ne t’inquiète pas ma belle, je sais exactement comment procéder, je vais bien m’occuper de toi !
-Quel est votre deuxième vœu ?
-Bon… fit Krilin, j’ai autre chose à te demander, serait-il possible que tu effaces des mémoires de C18 et C17 les souvenirs qu’ils ont des expériences que le Dr Gero a pratiqué sur eux ?

C18 fut surprise, elle ne s’attendait pas à ce vœu là, Krilin avait pensé à tout, et même au delà de ses espérances. Il avait même pensé à son frère. Décidément il était parfait cet homme.

L’œil gauche, cette fois, du Dragon brillait. Un flash traversa le crane de C18 et quelques secondes plus tard :

-Et voilà, plus de souvenirs pour vous deux. Il ne vous reste plus qu’un seul vœu à prononcer, c’est quand vous le voulez.
-Euh… par contre je ne sais pas quoi demander d’autre.

Nos héros réfléchissaient. Bien sur, l’idée de ressusciter Goku étaient toujours présente, mais tous savaient très bien qu’il refuserait catégoriquement. Bulma elle pensait à demander où se trouvait Végéta, mais ce serait une mauvaise idée. Il allait bien revenir un jour, autant lui faire confiance, toute autre idée serait néfaste pour leur relation. Je pensais bien moi-même à demander un milliard d’euros, le problême c’est que l’argent ne fait pas le bonheur, et puis les impôts me tomberaient rapidement dessus. En plus je ne suis que l’auteur, je ne dois pas intervenir dans l’histoire…

Au final, il revint à Popo, sans qui rien ne serait arrivé ce jour, de décider du dernier vœu. D’abord réticent (Popo n’aimant pas attiré la couverture à lui), le serviteur de Dendé fini par avoir une idée. Une idée qui plairait à nos amis, quelquechose qui fut oublié depuis 11 années maintenant, et qui reviendrait l’année suivante. Une future nouvelle aventure pour nos amis guerriers, qui pourraient s’y retrouver avec un grand entoushiasme.

[Pensyves]

hum chapitre moins bon que les autres. Le scénario, ok, c’est sympa MAIS : trop de répétitions (3 mois se sont écoulés, deux fois sur 3 lignes, 3 mois c'est un trimestre non?)

Des passages confus (ils vont voir les brief et paf popo est là?)

Un cliffhanger mal présenté avec le dernier paragraphe également...

[rodjackie]

Début de la partie 3!! Comme indiqué, celle-ci se déroule 3 ans après la 2ème partie, et donc environ 4 ans et demi après la mort de Cell

Partie 03 : 3 ans plus tard, que devenez-vous?

Chapitre 14 : Gohan et Piccolo

Le vide, le néant. Voilà à quoi pouvait ressembler la vision que pouvait avoir le grand guerrier de l’extérieur. Mais malgré le fait qu’il passe ses journées prostré, les yeux fermés et le visage immobile, Piccolo voyait bien des choses.

De l’action oui, il y en avait de l’action dans ses pensées. Depuis des années maintenant, le namek avait appris à s’entrainer et développer son potentiel sans même mettre son corps à rude épreuve. Tout se passait dans son esprit.

Il y menait de nombreux combats passés. Nappa lui servait de petit déjeuner. Le cruel saïyen qui l’avait autrefois tué était souvent suivi plus tard dans la journée par Freeza, ce redoutable tyran qu’il avait pensé pouvoir battre avant qu’une simple transformation ne lui permette même plus de l’atteindre. Et puis après avoir vaincu en entracte plusieurs armées, c’est en général des cyborgs, voire Cell qui se dressaient sur son chemin.

En général, rien ne pouvait intervenir afin de sortir Piccolo de son univers. Devant sa détermination, Dendé et Popo avaient depuis longtemps renoncé, et se retrouvaient donc bien seuls à vaquer à leurs occupations diverses. Sauf que ce jour là n’en était pas un comme les autres, et s’il y avait bien une seule personne capable de faire revenir l’ancien ennemi de Goku, c’était bien cette personne.

L’enfant était monté très haut dans le ciel. Il fini par atterrir sur le carrelage du palais, à même pas dix mètres du Dieu de la Terre. L’enfant avait bien grandi. Il avait un visage toujours aussi jeune, seuls ses cheveux avaient poussé puisque désormais ils lui tombaient sur les épaules. Il mesurait un bon mètre soixante et portait une tenue violette, pantalon et t-shirt sans manches laissant apparaître des muscles bien plus développés qu’il n’y a quelques années. Cette tenue était complètée par une cape blanche, la même que celle de son hôte, qui s’approchait doucement de son visiteur.

-Te voici donc Gohan, je suppose que tu es enfin prêt.
-Oui, fit le jeune homme dont la voix muait avec le temps, j’ai hâte de commencer.

Les deux amis se faisaient face, avant de s’asseoir les yeux fermés.

-Très bien Gohan, maintenant tu vas faire le vide dans la tête et on va devoir se concentrer sur la même chose, les mêmes pensées.

Le jeune homme s’exécuta. Il n’était pas évident de se concentrer si intensément d’une part, de rentrer dans les pensées d’une autre personne d’autre part. C’est ainsi que, d’abord, le saïyen manquait successivement ses tentatives.

-Pas facile hein ? C’est bien là le problème avec vous les saïyens, se concentrer ce n’est clairement pas votre truc.
-Oui mais on réessaie, je vais y arriver tu vas voir !!

Une demie heure, et une dizaine d’essais infructueux plus tard ; Gohan fini par se retrouver sur… Namek ! Il se retrouvait debout, en compagnie de son maître qui, debout, l’attendait.

-Nous voici, tu as réussi tu es désormais dans mon esprit.
-Je t’avais dit que je réussirais ! Alors que faisons-nous maintenant ?
-Tu vas voir, allez viens !
Le saïyen et le Namek s’envolèrent. Après avoir parcouru une certaine distance, Gohan fut pris par une drôle de sensation qui le fit tomber viollemment au sol. Se relevant de sa chute, il vit Piccolo se tenir face à lui.

-Alors Gohan ? Le choc n’est pas trop dur ??
-Qu’est-ce qui se passe ? Je me sens si lourd…
-Et oui, tu subis une gravité de 300G, à ta place je me transformer…

Gohan poussa un cri violent. Une aura dorée l’entoura rapidement et ses cheveux blondissants s’élevèrent.

-Puissant, je te félicite Gohan.

Piccolo riait, sachant ce qu’il allait réserver à son jeune élève.

Le namek se transforma soudainement en… Oozaru, grandissant à vue d’œil, il atteignit rapidement une trentaine de mètres de haut.

-Hahahahahaha je suis ton premier adversaire !

Le jeune homme se jeta sur le grand singe. Celui-ci, malgré sa taille était très rapide. Il put ainsi frapper Gohan de plein fouet avec son poing géant.

Le jeune homme alla s’écraser contre le sol… du moins c’est ce que l’on pensait puisqu’il se retrouva rapidement derrière son imposant ennemi, et ce sans égratinure apparante.

De ce fait, il frappa viollemment son ennemi dans le dos, avant de se retrouver instantanément face à lui et le rouer de coups au visage. Il semblait s’amuser avec, si bien qu’il riait et demandait « alors, c’est tout ? C’est trop facile ! »

C’est à ce moment là que Gohan se senti attrappé par la cape, exactement par un autre Oozaru. Celui-ci le lança alors vers… un troisième singe qui le frappa en direction… d’un quatrième ! Gohan n’eut pas le temps de retrouver ses esprits qu’il se retrouva nez à nez avec une dizaine de monstres qui l’entouraient.

-Alors Gohan, tu vas faire quoi désormais ??

Gohan ne répondit pas. Il se lança à l’attaque de ses ennemis qui se mirent à esquiver toutes ses attaques. Ensuite, trois des singes se mirent à marteler de coups le fils de Goku, qui se protégait face aux chocs multiples. Après plusieurs minutes, marqué, il parvint à se dégager en se glissant entre les jambes d’un des macaques. Il s’envola mais quatre autres babouins l’attendaient.

Un nouveau combat commença alors entre les cinq personnages. Cette fois c’est Gohan qui tenta d’esquiver ses adversaires. Il multiplia les trajectoires afin de tenter de semer le doute chez les animaux, mais ceux-ci, trop nombreux, arrivaient toujours à le rattrapper.

-Tu m’as trouver des ennemis redoutables Piccolo-san, je ne pense pas pouvoir gagner en l’état des choses.
-Héhéhé, si tu veux on peut enlever des adversaires si tu ne te sens pas à la hauteur.
-Keuf !

Sur ces mots, Gohan accélerra, fronçant les sourcils, il se jeta dans le thorax d’un de ses ennemis, le mettant KO sur place. Seulement, trois autres étaient déjà prêts à contre-attaquer. Ce qu’ils firent d’ailleurs. Les trois s’amusèrent avec le saïyen, se le renvoyant à coups de pieds comme s’il était un ballon de football.

Le jeu dura quelques minutes avant qu’ils ne mettent fin au supplice du jeune homme en le jetant à terre. A terre, il se releva devant faire face à neuf ennemis qui le fixait d’un air assurant.

-Alors ? Que vas-tu faire maintenant ??

Gohan ne répondit pas, il se releva fièrement et concentra son énergie. Après un bref hurlement, il se retrouva entouré d’éclairs, ses cheveux convergeant vers le ciel. Les muscles grossirent et son regard se noirci, malgré des yeux plus bleus que jamais.

-Je suis prêt, fit le saïyen qui semblait désormais avoir atteint ses limites.

Il se jeta si rapidement sur ses adversaires que ses derniers ne virent même pas trois d’entre eux se faire attaquer, puis neutraliser instantanément. Il ne restait donc plus que six ennemis à vaincre pour le jeune guerrier. Ce dernier se senti à nouveau allourdi.

-Hahahaha tu serais mauvais perdant ?
-Mais non hahaha, seulement on va corser les choses, j’ai simplement doublé la gravité pour toi.

Au bout de cette phrase, les monstres s’attaquèrent à lui, mais il put esquiver les attaques sans difficultés apparantes. Il parvint même à attraper le poing géant de l’un d’entre eux pour jeter le singe sur un de ses compères. Plus que quatre qui entourait le grand frère de Goten. Ces derniers encerclaient leur adversaire et firent sortir une trainée enflammée de leur bouche en sa direction. Gohan ne bougea pas, préfèrant anéantir les attaques en développant un kiah autour de lui.

Il disparut pour frapper un des quatre dans le cou. De suite, un autre Oozaru fini KO à la suite d’une attaque dans le visage de l’animal. Plus que deux, dont Gohan allait se débarrasser sans difficulté : un fauchage et un upercut qui envoya l’adversaire en orbite, suivi d’un coup de pied dans les côtes qui neutralisa le dernier adversaire. Gohan fixa Piccolo, face à lui, avant de se décaler de quelques pas pour éviter l’avant dernier Oozaru qui fini lourdement sa chute.

Piccolo enleva sa cape et disparut. Gohan se retrouva entouré de multiples boules de feu. Ces dernières se jettèrent tour à tour sur lui et il les esquiva une par une. Cela semblait ne pas terminer, au contraire les boules étaient de plus en plus nombreuses, et atterrissaient de plus en plus vite sur le jeune homme.

-T’as fini de jouer oui ? Montre-toi !!

Sur ces mots, Piccolo frappa du pied le visage de son élève, ce dernier n’en ressenti rien, si ce n’est que son nez saignait désormais.

« Il est résistant, pensait le namek »

Quelques secondes plus tard, ce dernier s’écroula face à un coup porté par son adversaire. Piccolo disparut, et le décor autour de Gohan s’écroula, afin qu’ils se retrouvent assis en tailleur, face à face, au palais de Dendé.

Les deux se relevèrent :

-Bravo Gohan, tu as bien tenu le coup, tu as de plus bien maitrisé ton SSJ2.. mais tu as utilisé ton SSJ2 !
-Je sais, je ne maitrise pas encore tout dans ton univers mental, je pense que ça demandera du temps.

Ainsi se termina une bonne séance d’entrainement du maître Piccolo avec son élève Gohan. Après une pause bien méritée, les deux comparses allaient poursuivre cet entrainement avec deux autres voyages dans la tête du namek. Gohan allait rentrer le soir, fatigué, remerciant son maître pour cette excellente journée passée en sa compagnie. Maintenant, l’heure est venue de rentrer à la maison et d’affronter un tout autre adversaire :

« Un train part de Lille et roule à 345 km/h. Ce train s’arrête à 6 stations différentes, subissant à 5 kilomètres avant et après l’arrêt un ralentissement progressif de 15 km/h à la limite. Un autre train partant de Marseille roule lui à 306 km/h, subit lui un ralentissement de 30 km/h mais ne s’arrête que fois. Sachant que Chichon prend le train de Lille à 9h30 et que Guymove prend le train de Marseille à 10h12, lequel des deux arrivera le premier à Orléans ? »

[Pensyves]

pour ton enigme, il me semble qu'aucun de ces deux trains ne soient sur une ligne menant à Orléans, il doit changer de train ton chichon ....

Chapitre court, qui me rapelle un certain filler de la saga namek ^^'

[rodjackie]

Partie 03 : 3 ans plus tard, que devenez-vous?

Chapitre 15 : Coeur de pierre?

La cloche retentit vers 16h. De nombreux parents attendaient devant la grille la sortie de leurs progénitures. Ils finirent par tous rentrer dans le couloir, attendant devant différentes salles de classe.

La belle femme aux cheveux bleus se tenaient parmi les autres mères, quand soudainement un petit garçon aux cheveux violets sorti de la salle à toute vitesse pour aller se réfugier dans les bras de sa mère.

-Trunks !! Je ne t’ai pas encore appelé, rentre dans la classe tout de suite !!
-Nan, c’est pas toi qui décide, na !
-Trunks, reviens quand…
-Nan !

Le jeune garçon s’enfuit en courant dans le couloir vers la sortie, quand un homme imposant l’attrapa par la capuche de son manteau.

-Jeune homme, on vous a déjà interdit de courir dans les couloirs !
-M’en fiche na ! Je fais ce que je veux parce que ma maman est très riche na!

Sur ces mots, le petit garçon frappa l’homme dans le foie et sorti dehors.

-Trunks si je t’attrape !!
-Oui ? Continuez, vous aller faire quoi à mon fils ??
-Oh excusez-moi Madame Brief mais...
-Ecoutez madame, intervint la maitresse, il faut vraiment que l’on parle de votre fils, si vous aviez éventuellement du temps devant vous...
-Allez d’abord le chercher ! Il est encore sous notre responsabilité le temps du trajet...
-Ne vous inquiétez pas, il sait très bien rentrer tout seul, et puis la maison n’est pas loin.

Au bout d’un quart d’heure, le temps que les autres parents récupèrent leurs mômes, Bulma fut invitée à rentrer dans la salle de classe, entourée de la maitresse, du surveillant et de la directrice de l’école.

-Bon écoutez Madame, je suis désolé de vous dire ça mais pour votre fils il va falloir trouver une solution.
-Oui il devient ingérable, se bat contre tous les autres, est insolent
-Arrêtez de crier et de m’interrompre, coupa la directrice exaspérée par le ton violent prit par le surveillant. Je vous disais donc, il va falloir trouver une solution pour votre enfant, car non content de perturber sa propre scolarité, il perturbe celle des autres enfants, et ça ce n’est pas admissible.
-Il faudrait surtout savoir ce qu’en pense le papa, mais comme il ne vient jamais...

Bulma s’énerva alors, elle n’aimait pas que l’on parle de Végéta comme d’un père irresponsable, même si entre père irresponsable et père absent il n’y a peut-être pas tant de différences que ça après tout...

-Je vous ai déjà expliquer à maintes reprises depuis le début de l’année scolaire que le papa de Trunks était en voyage. Il reviendra quand il reviendra...
-Mouais en gros il ne reviendra pas, en même temps je peux le comprendre
-Bon ça suffit, maintenant sortez !! Ragea la directrice envers son surveillant
-Très bien !!

L’homme s’en alla, marmonnant des phrases du genre « de toute manière, cette sale femme toute friquée avec son petit con de gosse gaté... »

-Bon reprenons... pour vous la situation a l’air d’être.. ce qu’elle est mais est-ce que pour le petit ça l’est ? Est-ce qu’il sait si son père va revenir ?
-Oui Madame Brief, c’est classique, un enfant est nerveux et en veut au monde entier quand il voit que les autres enfants ont un papa et une maman et que lui non...
-Et bien je vais essayer de lui parler, encore...
-Oui si au moins il pouvait être moins insolent et moins violent, parce que vous comprenez bien que même s’il s’agit de votre fils, on ne pourra pas laisser faire de tels agissements éternellement...
-Très bien très bien, merci.

Pendant que Bulma se préparait à rentrer chez elle, le surveillant continuait de marmonner dans sa barbe (bien qu’il n’en ait pas, en fait il était grand, chauve et costaux). Un homme s’approchait de lui. Il était crasseux, les cheveux ébourriffés et amaigri par une sous alimentation évidente. Il n’eut pas le temps de placer un seul mot car il reçu une réponse sèche :

-Casse-toi clodo, je n’ai pas de pièce pour un déchet comme toi !!

L’homme à l’état pitoyable souri à cette déclaration. Il souriait d’avance, sachant pertinemment la scène qui allait se dérouler maintenant. En effet, il l’attrapa par le cou et l’étrangla si fort qu’alors que sa victime criait, on ne put bientôt ne plus entendre de son sortir de sa bouche. Lui avait-il briser les cordes vocales ? Lachant son sourire pour laisser place à un regard cruel et rageur, il dit simplement :

-Traite encore une fois mon fils de petit con gaté et ma femme de sale friquée et je te retrouve et te brise les os un à uns dans une souffrance que tu ne peux pas imaginer.

Sur ces mots, Végéta jeta le pauvre homme apeuré au sol et marcha tranquillement.

Il se dirigea vers la maison de Bulma, que cette dernière avait rejointe en pleurs. C’est là que sa mère arriva pour la prendre dans ses bras.

-Oh ma chérie, qu’est-ce qui se passe ?
-J’en ai marre maman ! Ils veulent virer Trunks de l’école, je ne sais plus quoi faire avec lui... en plus je ne sais même pas où il est passé.
-Ne t’inquiète pas, il est avec ton père, il a eu son goûter et ils sont en train de jouer avec le train qu’il lui a construit.
-Mais maman !! Trunks doit être puni, il s’en est encore pris à ses camarades, à la maitresse... il faut arrêter de le gater comme ça.
-Ecoute ma chérie, il est jeune, il n’a que 5 ans, il faut le laisser s’épanouir pour que...
-Pour que quoi maman, pour qu’il devienne pourri gaté comme je l’ai été moi étant jeune ? Non il va falloir le reprendre en mains ce n’est plus possible, vous avez été des parents très bien avec moi mais...

La mère de Bulma allait pendant un certain temps devoir encaisser beaucoup de choses que saa fille tenait caché au fond de son coeur et au fond d’elle-même elle le savait. Elle pensait à son mari qui aurait la chance de ne pas subir ça lui, ... enfin pour le moment. On va dire que ça la consolait un petit peu.

Le vieil homme était à l’autre bout de la propriété, c’est à dire à plusieurs centaines de mètres de là, hors de portée de la conversation mère-fille qui se déroulait à ce moment là. Il était avec son petit fils, le regardant jouer avec son train. Un petit train mais un vrai, avec un vrai parcours de rails, qui faisaient une boucle de presque cent mètres.

-Alors tu t’amuses bien mon petit Trunks ?
-Ouiiiiiiiiiiiiiiii, criait l’enfant, insoucient.

Bien sur, Trunks, comme tous les enfants du monde, adorait ses grands parents. Lui en plus était comblé puisqu’ils étaient d’une gentilesse insolente. Quand Bulma essayait, seule, d’avoir de l’autorité sur sin fils, ce dernier savait très bien où aller pour échapper à la punition qui l’attendait. Alors Trunks était heureux, et avait bien évidemment déjà oublier sa sortie remarquée à l’école quelques minutes plus tôt.

Soudain, un bruit se fit entendre. Végéta était arrivé de nulle part. Enfin probablement du ciel vu qu’il avait semblé atterrir. C’est d’abord le père de Bulma qui l’aperçut. Mais alors qu’il se levait pour saluer le guerrier, il n’eut que pour réponse :

-Vas-t-en vieil homme, je veux être seul avec mon fils !

Voyant le regard menaçant de Végéta, il s’exécuta aussitôt, et puis de toute manière ce n’était pas du tout son genre de protester contre Végé... contre quoique ce soit en fait ! Alors il s’en alla, oubliant même de signaler son départ à son petit fils.

Pendant une minute, le petit garçon ne s’aperçut pas de la présence de son père, ce dernier prenant le temps de l’observer jouer. Jusqu’à ce qu’il l’appelle sèchement. Là, le gosse s’arrêta de jouer. Celà faisait des années que Végéta scruttait l’espace, des années qu’il n’avait pas vu son fils. Mais ce dernier le reconnu immédiatement, et tout insoucient il couru vers lui en criant « Papaaaaaaaaaaaaaaa ».

Sautant pour se jeter dans ses bras, il reçu en réponse une gifle, qui le repoussa dix bons mètres au sol. N’ayant pas le temps de se relever, il fut attraper par la capuche et se retrouva pendu par elle. Son visage se retrouva précisément face à son père.

-Alors c’est comme ça ???? Je reviens pour voir comment tu vas et c’est ça que je vois ?? Je vois un petit con qui fait des misères à sa mère et qui n’obéit pas ??

Le jeune homme baissait la tête, il comprenait qu’il allait passer un sale quart d’heure, mais de sa main libre, Végéta lui prit le menton pour replacer son visage pile-poil face au sien. Déjà d’un volume assourdissant, la voix de Végéta allait être encore plus forte sur sa première phrase.

-TU ME REGARDES DANS LES YEUX QUAND JE TE PARLE !!! Tu veux faire ton petit malin parce que tu as plus de force que les autres ? Tu veux faire ton petit con parce que tu as plus d’argent que les autres ? Je vais te dire quelquechose... ARRETE DE PLEURER !!! Tu veux avoir une bonne raison de pleurer ? Tu n’en as pas !!

Sur ces mots, il jeta son fils au sol et reprit aussitôt sa tirade.

-Ta mère elle, elle est en train de pleurer, pourquoi ? Parce que son fils se comporte comme un sale petit con ! Parce que monsieur joue les gros durs, monsieur se croit mieux que les autres, monsieur pense qu’il est grand mais je vais te dire moi ! La seule chose que tu fais c’est de PEINER TA MERE, CELLE QUI T’AS MISE AU MONDE !! Celle qui t’élève, toute seule, qui est malheureuse parce que les efforts qu’elle fait avec toi ne servent à rien, alors je vais te poser une question toute simple.

Végéta prit cette fois son fils par le col, le plaça une nouvelle fois son visage pile face au sien et lui dit d’une voix moins forte mais toute aussi rageuse :

-Tu es content de faire du mal à ta maman ? ... REPONDS !!!!
-Non, pleurait Trunks, non, non
-Dis le que tu es méchant avec elle
-Oui je suis méchant avec maman, oui je suis méchant, oui je lui fais du mal, pardon maman... pardon pardon...

Végéta jeta à nouveau son fils, mais beaucoup moins viollemment cette fois :

-Tu veux être un grand garçon ? Alors ce n’est pas à moi qu’il faut dire ça, mais à ta maman, alors maintenant fiche-moi le camp de là !!

Le petit garçon s’en alla, la tête basse et marchant lentement, quand il se senti à nouveau saisi par la capuche, mais cette fois, Végéta le prit dans ses bras :

-Je t’aime mon fils, je reviendrais te voir quand tu auras grandi, mais sache que je te surveille.

Il reposa son fils, qui avait retrouvé un petit sourire et reprit son chemin.

Bulma et sa mère étaient l’une dans les bras de l’autre, pleurant, l’échange avait du être violent. C’est là que le petit garçon interpella sa maman, qui avait encore les yeux mouillés.

-Maman, je te demande pardon, je sais que je ne suis pas un bon fils, mais à partir de maintenant je vais être sage. Et puis je veux aider à la maison, et puis je veux pas que tu sois triste, alors je vais faire plein d’efforts pour être sage. Et puis mamie, je ne vais pas aller au parc demain, parce que je veux que maman me punisse et c’est elle qui me dira quand j’ai le droit de jouer, je suis désolé maman, je t’aime.

Sur ces mots, Bulma prit son fils dans ses bras. Elle ne l’avait jamais autant aimé qu’à cet instant. Elle l’aimait depuis sa naissance bien sur, et quoiqu’il se passe, mais cet instant de maturité était tout nouveau chez lui, alors elle le serra très fort dans ses bras. Ses yeux se levèrent au ciel, le temps d’apercevoir une trainée de nuages, comme si ces derniers s’étaient fait transpercés. Elle souriait, elle savait, alors elle serrait son fils encore plus fort dans ses bras, jusqu’à presque l’étouffer.

[Pensyves]

Bon chapitre, riche en émotion et qui approfondis grandement la personnalité de la famille brief. Appart quelques fautes de frappe, rien à dire

[rodjackie]

Merci j'avoue que j'ai pris du plaisir à écrire ce chapitre ^^

Du coup je repose ce que j'avais écrit avant vu que pour une raison qui m'échappe encore ça s'est effacé...

Donc je recherche éventuellement un (ou des) dessinateurs pour illustrer un peu ma fic, il s'agira de dessiner du Gohan qui a 13 ans, du Goten qui a 4 ans, ... entre autre.

Voilà ^^

Bon vu que je vais faire la fête, je préfère anticiper pour ce chapitre, je le poste donc exceptionnellement tôt dans la journée (et un mercredi en plus, ça change!! mdrrrr)

Partie 03 : 3 ans plus tard, que devenez-vous?

Chapitre 16 : "Tu es papa"

Un café à la main, le petit homme venait de se lever. Il était encore dans son pyjama à carreau blanc et bleu ciel. Il préparait un plateau avec du café, des pains au chocolat, du jus d’orange et une fleur. Cet opération, Krilin la répétait depuis plusieurs mois.

Il monta à l’étage tranquillement, comme chaque matin, pour voir sa femme, allongée, comme chaque matin, à se reposer.

Mais ce matin là, elle n’était pas là. La fenêtre ouverte, Krilin devinait ce qu’il s’était passé.

Elle marchait dans la forêt, se tenant son gros ventre.

-Je me sens si mal, si faible... je déteste ça !

C18 s’arrêta d’un coup. Elle senti une sensation dans son ventre plein de vie.

-Oui ma fille, je sais je le sens, mais je ne sais pas quoi faire...

La cyborg se remémora, c’était il y a huit mois.

Elle rentrait enfin à la maison et Krilin l’attendait, avec des tas de fleurs. Bulma, qui avait raccompagné la blonde chez elle décidait de rapidement laisser le couple enfin vivre en paix.

-Bienvenue chez toi ma chérie, alors comment te sens-tu ?
-Je suis toute barbouillée... mais j’avais vraiment hâte de rentrer, ces trois jours à l’hôpital m’ont épuisé.
-Fatiguée ? Tiens je ne savais pas que tu ressentais ce genre de choses.
-Il faut croire que je change, fit-elle en souriant. Non mais tu sais je n’aime pas ce genre d’endroit, il était vraiment temps que j’en sorte.

En effet, trois jours durant, Bulma avait trouvé le meilleur hôpital de la ville, et s’était occupée elle-même d’opérer C18, avec les compétences qu’elle avait acquis grâce à Shenron.

Elle avait ainsi subit de multiples opérations, essentiellement dû au fait que certaines phases était à traiter mécaniquement, et d’autres chirurgicalement, et ... parfois même les deux !

L’opération finit par être un succès, et une nouvelle vie s’offrait pour C18, enfin débarrassée de ses vieux démons.

A la maison, elle regarda Krilin amoureusement, oui tout ça c’était grâce à lui. Alors elle s’approcha de lui, afin de lui sussurer à l’oreille :

-Allons nous reposer en haut, tu verras que je ne suis pas si fatiguée que ça.

Il réagit au quart de tour et fila dans la chambre, attendant que la blonde se fasse belle. Elle arriva quelques minutes plus tard.

Vétue d’une simple nuisette noire qui lui arrivait au milieu des cuisses et d’un décolleté qui laissait entrevoir une petite partie de sa poitrine, elle avança lentement vers un Krilin médusé. Arrivée sur le lit, avançant à la manière d’une panthère en chasse, elle fit à son amoureux :

-J’attends ce moment depuis longtemps, sache que ça va être très long, car je vais prendre tout mon temps.

Elle embrassa Krilin langoureusement sur ses lèvres, tout en glissant sa main à l’intérieur de sa chemise, lui caressant le torse, jusqu’aux abdos. Les baisers arrivèrent petit à petit sur le cou du petit chauve, en passant parfois par les oreilles.

Elle se trouvait désormais sur lui, allant jusqu’à être allongée complètement dessus à califourchon. Elle se releva pour lui enlever la chemise boutons après boutons. Elle embrassa alors ses pectoraux, tour à tour, puis elle prit sa main droite pour la placer dans son dos, de façon à ce qu’elle l’entoure. Krilin se retrouva en contact directement avec la peau de sa bien aimée, découvrant que le dos de la nuisette était avare en tissu.

Il caressa donc son dos, jusqu’à arriver tout en bas et sentir un string. Il retira donc sa main. C18 le coucha alors et lui dit à l’oreille :

-Attends un peu, je n’ai pas encore fini de commencer.

C18 se recoucha sur Krilin, s’appuyant encore plus sur son corps. Elle l’embrassait encore, lui caressant cette fois ci les jambes, d’abord par dessus le pantalon, ensuite en dessous, quand elle s’occupa de le déboutonner. Krilin se retrouva en caleçon, sur lequel la jeune femme se frotta tout en se relevant.

Elle prit Krilin par la main, tout en s’asseyant, entrainant le jeune homme à se relever. Il était désormais à genoux face à elle qui se retrouva assise en face de lui, le dos soutenu par les oreillers.

-Je t’aime Krilin.

Sur ces mots, elle prit sa main pour l’amener sur son épaule, plus exactement sur la bretelle de la nuisette. Krilin l’enleva de l’épaule de la blonde et se saisit de l’autre et la retira cette fois ci de son bras. Sur cet acte, le haut de la nuisette tomba, laissant apparaître la poitrine de l’androïd.

-Wahou, je ne pensais pas qu’ils...
-Chut, fit C18 en prenant sa main pour la mettre sur ses seins, je sens que tu vas dire une bétise

En effet, Muten Roshi était venu voir C18 à l’hôpital avec Bulma, C18 ayant exigé que Krilin reste à la maison pour se reposer et lui donner du temps par la suite. Muten était entrée dans la chambre avec les autres et avait vu C18 en tenue d’hôpital. Il était alors tombé sur un soutien gorge de la belle.

-Wahou, je ne pensais pas qu’ils étaient aussi gros !! J’aimerais juste vérifier que c’est bien le tien parce que sinon il faudrait rapporter ce sous vêtement à la jeune fille qui doit le chercher, alors attends laisse moi toucher, fit le vieillard en s’approchant, mains tendues, vers elle.

Bien sur, la blonde lui décolla une énorme baffe si bien que l’ancien mentor de Krilin traversa le mur de la chambre pour atterrir dans la chambre voisine.

-Espèce de vieux pervers !! Faire ça à cette jolie fille quand en plus elle redécouvre son corps, tu n’as pas honte !!?

Alors bien sur, cette anecdote est totalement inutile et a pour but de frustrer les lecteurs qui bavent devant la scène en cours. Ne vous inquiétez pas, nous retournons immédiatement suivre les ébats de nos deux amis hahahahahaha.

Krilin caressa les seins de C18 avec grand soin. Il y allait si délicatement que C18 le sentait gêné. Elle l’interrompit alors.

-Ah je vois... pourquoi tu ne m’as rien dit ?
-Je ne sais pas... par honte peut-être ?
-Tu n’as pas à avoir honte, dit-elle d’un sourire amoureux et irresistible. Pour moi aussi c’est la première fois, tu n’as qu’à suivre ton instinct et tout se passera bien.

ALERTE ALERTE ALERTE Par soucis de ne pas heurter les plus jeunes membres du forum et Teen_Gohan, nous allons mettre la suite sous une balise Spoiler. Voilà je sais que ça ne sert à rien et que n’importe quel idiot de même pas huit ans va quand même cliquer pour lire, j’aurais au moins essayé même si c’est un poil hypocrite.

Spoiler

Krilin embrassa les seins de C18. Elle commença alors à ressentir quelquechose qu’elle ne connaissait pas, un sentiment de désir.

-Hum... vas y continue !

Krilin se concentra sur les tétons de sa belle. Cette dernière n’était pas en reste car, prise de désir pour son partenaire, elle glissa sa main dans son caleçon et commença à caresser à l’intérieur. D’abord délicat, Krilin accèlera son rythme, ce qui bien sur fit accélerer l’androïd.

Elle enleva le caleçon du guerrier qui, de son côté, avait désormais retiré la nuisette du reste du corps. Pendant que les mains de C18 parcouraient tout le long du dos de Krilin, ce dernier s’occupait de masser les jambes, allant de plus en plus haut. Arrivées au bout de ce chemin, les mains du guerrier passaient sous le fil qui tenaient les deux parties du string blanc sur ses hanches. Après un passage au niveau de son fessier, Krilin décida de retirer la dernière chose qui cachait la nudité de C18.

Il avait beau être timide et être déjà au delà de ce qu’il était capable d’oser, C18 le regardait avec un tel désir, une telle attente, qu’il ne pouvait que céder à ses charmes. Il s’allongea alors sur elle et, tout en l’embrassant, lui massait la partie la plus intime de son anatomie.

C18 fut si prise de désir qu’elle failli crier, jusqu’à ce que celà arrive. Elle criait le nom de Krilin de plus en plus fort, jusqu’à lui dire dans l’oreille :

-Vas y, j’ai tellement envie de toi !

Krilin prit alors C18 et le couple se mit à faire l’amour. Tout était doux dans leur gestuelle. Il n’était bien sur pas question que leurs forces surhumaines gachent l’instant en, par exemple, détruisant la maison. C’était leur moment. Pendant une dizaine de minutes, ils alternaient les positions, s’échangeant le pilotage de l’action. Le but était simplement de donner du plaisir à l’autre, de le faire craquer. Ce qui fini bien sur par arriver, après avoir fini par accélerer le rythme.

Krilin, pour qui cette situation était inédite, ne savait plus où se mettre. Il était même inquiet, pensant que son corps avait eu une réaction anormale. Mais la cyborg le rassura, tout en se moquant légèrement de lui.

-Tu n’as pas une grande culture de la vie, ce genre de chose est tout à faire normal, c’est ce qui marque la fin d’une relation sexuelle. Mais tu as été très bien.
-Tant mieux, fit-il en souriant.

-C’était génial, firent-ils quasiment en même temps.

Elle était toute seule, dans cette forêt, se rappelant ce très beau moment. Se rappelant de ses vomissements un mois plus tard. Et puis voyant son physique changer. Bulma était venue voir le couple, elle tenait à suivre C18 personnellement depuis son opération, et c’est avec joie que ce jour là elle annonça au couple.

-Et bien je ne pensais pas que ça arriverait si tôt, mais tu es enceinte ma chérie.

C18 n’avait jamais été aussi heureuse, Krilin lui en avait les larmes aux yeux. Ils allaient être parents, ça allait au delà de leurs rêves.

Prises par des doutes, conséquences de l’inconnu de la situation, C18 avait suivi cette évolution, voyant son mari être aux petits soins pour elle, encore plus les derniers mois.

Mais là C18 souffrait, elle ne voulait pas que son amoureux le voit. Elle avait honte de souffrir, il avait déjà tant fait pour elle. C’est à ce moment là qu’elle senti une grande main sur son épaule. Et sans crier gare, elle senti une sensation divine.

Piccolo la téléporta instantanément dans une chambre d’hôpital que Bulma avait spécialement conçu pour ce grand jour. Il y avait en effet une grande salle, un seul lit, équipé spécialement pour un accouchement, un couloir rempli de places assises en guise de salle d’attente.

-Voilà je l’ai retrouvé.
-Merci, fit Dendé à son ami Namek.

Krilin était déjà sur place, lui aussi avait été amené par le grand homme vert. Bulma et son père étaient également présents, ainsi que les amis de Krilin : Yamcha, Plume, Gohan, Goten, Chichi, Trunks, Oolong, Muten Roshi.

-Ca alors, toutes ces personnes sont là juste pour nous ?
-Allonge-toi C18, tu es en train de perdre les os, ne t’inquiète pas je suis là, je vais te guider, tout va bien se passer.

C18 s’allongea sur le lit. Bulma fit sortir toutes les personnes qui devaient aller attendre dans le couloir, ne restaient dans la salle que Bulma, son père, Krilin, C18 et Dendé.

Le jeune Dieu entoura la cyborg d’une aura blanche.
Voilà, comme ça tu ne ressentira rien d’autre qu’une atmosphère apaisante, tu dois te détendre.

C18 suivi toutes les indications de Bulma. Et après quelques efforts, un pleur inconnu se fit entendre. Bulma donna le tout petit être à la blonde qui le prit aussitôt dans ses bras.

-Et voilà les enfants, c’est une très belle petite fille que vous avez là.

Les miracles de l’amour, de la science, et aussi Shenron quand même, avait permis la naissance de Marron, une petite fille qui serait aimée par ses parents, dont l’amour l’un envers l’autre n’allait pas ses diviser en trois, mais bel et bien se multiplier au seing de cette nouvelle petite famille.

[Pensyves]

mwai Sympa, tu décris bien tout ça.

J'ai bien rit avec ça:

Spoiler

tu es en train de perdre les os,

On dit les eaux!! Et on dit au sein aussi au passage ^^'

Ton chapitre était néanmoins un peut court, vite expedié, tu t'es concentré sur la partie en spoiler en ayant négligé le reste dommage

[rodjackie]

Partie 03 : 3 ans plus tard, que devenez-vous?

Chapitre 17 : Le début d'une grande amitié

L’avion se posa devant la maison de campagne. La scientifique, accompagné de son jeune garçon sortirent de l’appareil. Il était vétu d’un jean bleu et d’une veste assortie, sous laquelle se trouvait un t-shirt sans manches noires. Avant de frapper à la porte de la maison, la mère dit à son fils :

-Voilà Trunks, ce sont tes premières vacances à la campagne, j’espère que tu vas être bien sage, je peux te faire confiance ?
-Oui maman promis, je vais être poli et courtois.
-Et tu vas bien écouter ce que te dira madame Son surtout hein ?
-Oui maman, je ferais comme elle me dira de faire.
-Bon allez, je ne vais pas insister avec trop de questions répétitives. Tu peux frapper à la porte si tu veux.

Ce que fit le jeune Trunks. Une femme ouvrit. Habillée d’une robe traditionnelle chinoise violette, elle avait un chignon en guise de coiffure. Elle était souriante, malgré quelques traces de sueur et un tablier horriblement sale.

-Bonjour, alors tu es Trunks c’est ça ? Tu as bien grandit dis donc. Comment vas-tu Bulma ?
-Et bien ça va on a fait bon voyage. Je suis un peu anxieuse de laisser mon petit Trunks pour la première fois mais bon.
-Hahaha comme je te plains.

Chichi se disait égoïstement que Bulma était gonflée. Oh oui que ça va être dur de laisser son enfant tout seul pendant quelques semaines dans une maison pleine d’amour avec de la bonne nourriture et des gens très gentil. C’est pas comme si elle avait eu à se plaindre quand son petit Gohan avait été abandonné six mois dans le désert sans nouvelles, avant de se retrouver six autres mois aux griffes de ce démon Piccolo. Ah oui, pauvre Bulma, ta vie est dure.

-Allez rentre mon garçon ne fait pas ton timide. Bulma tu restes bien pour dîner ? J’ai préparé de quoi nourrir tout un régiment.

Trunks rentra, pensant une chose du genre « c’est ça ? ». Trunks avait toujours vécu dans une énorme maison. Là il se retrouvait dans une petite bicoque dont la plus grande pièce, la sale à manger, ne devait même pas faire le dixième de la superficie de sa chambre.

-Viens Trunks je vais te montrer ta chambre, où tu pourras déposer tes affaires.

Chichi emmena le petit garçon monter quelques marches. Il arriva dans une toute petite chambre qui devait faire à peine cinq mètres sur cinq. Il y avait un lit et un sac de couchage. Là encore la réaction pensive de Trunks ne se fit pas attendre :

« C’est lui qui invite, c’est moi qui aura le lit, non mais ! »

Trunks posa son sac et demanda :

-Madame, où est Goten ? Je voudrais jouer avec lui.
-Oh tu peux m’appeler Chichi mon garçon, Goten est avec son frère, ils s’entrainent dehors, vas les rejoindre si tu veux.

Trunks alla à la rencontre des deux frères. C’était les vacances, alors Chichi laissait à ses deux fils la liberté de s’entrainer dehors toute la journée. Eux ils s’amusaient et elle pouvait vaquer à ses occupations tranquillement, et même se reposer un peu.

Trunks arriva et vit les deux guerriers se battre l’un contre l’autre. Sentant la présence et le regard du fils de Végéta, Gohan stoppa le combat et dit à son frère d’aller voir leur jeune invité.

Gohan avait maintenant 13 ans. Il avait les cheveux plus courts qu’avant, ne dépassant cette fois ci plus sur la nuque. Il y avait en revanche foule de mèches au dessus. Il portait comme à son habitude la même tenue que Piccolo, cette fois-ci la cape en moins. Goten avait maintenant 4 ans, et possédait la même coupe de cheveux que Goku. Il portait un t-shirt et un pantalon bleu, ressemblant à ceux que Goku avaient quand Chichi l’avait connu. Elle avait choisi de lui confectionner ces tenues en hommage à son défunt mari. Goten lui ressemblait tellement...

-Salut, tu dois être Trunks, tu as bien voyagé ?
-Oui très bien merci, qu’est-ce que vous faites ?
-Et bien tu vois on s’entraine avec Goten.
-Oui, mon grand frère est en train de m’apprendre plein de choses, je vais devenir très fort.
-Ah oui ? C’est cool, comme ça on pourra se battre pendant les vacances, je suis sur que tu auras une petite chance de me battre ?
-Une chance ? Mais je suis sur que je suis bien plus fort que toi, hein Gohan ?
-Hein ? Euh je ne sais pas, peut-être mais à mon avis vous avez à peu près la même force.
-Ah bin non ! Moi je suis entrainé par l’homme le plus fort du monde.
-Le plus fort ? Euh... fit Gohan gêné.
-N’importe quoi, l’homme le plus fort c’est mon papa, c’est le prince des Saïyens.
-Et bah non, mon grand frère il est plus fort.
-Euh... et si vous faisiez un petit combat pour le savoir ?
-Ouaiiiiiiiiiiiiiiis, crièrent les deux enfants en choeur.

Les deux petits se mirent face à face, tout en continuant chacun de maugrer leurs discours innargumentés, si ce n’est par des gamineries. Trunks se jeta sur son cadet et tenta de placer un premier coup de poing. Raté, son adversaire l’esquiva. Il retenta alors du gauche cette fois mais rebelote. Trunks enchaina alors plus rapidement mais Goten esquivait tout.

-Hey t’es nul ! Tu veux te battre ou pas ?
-C’est toi qui est nul ! Tu frappes pas pour de vrai.
-Quoi ??

C’était faux, Trunks donnait tout ce qu’il avait, de la force mais très mal utilisée. Goten lui cria alors de se battre sérieusement, c’est pas parce qu’il était plus jeune qu’il fallait faire semblant.

Le fils de Végéta s’énerva, et poursuivait son oeuvre, mais impossible pour lui d’atteindre son adversaire.

« Hum quelle maladresse, observait Gohan au loin. Tu n’arriveras à rien avec si peu de technique mon petit ».

-Bon et bien tant pis pour toi, s’impatienta Goten, moi je veux bagarre !

Goten se rua sur Trunks et commença à l’assommer de coups, divers et variés, impossible à anticiper pour le jeune saïyen. Les coups n’étaient pas forts, mais ils étaient précis. Au bout de quelques uns, Trunks ne résista pas et tomba par terre alors même que Goten continua de le frapper à terre. A ce moment, il fut aggripé par son grand frère.

-On ne frappe pas les gens à terre Goten, même pour jouer.
-Oui d’accord, mais je suis plus fort que lui hahaha
-C’est surtout que notre jeune ami va devoir faire beaucoup de progrès pour devenir un vrai combattant, ajouta Gohan en tendant la main à Trunks afin de l’aider à se relever.

Les trois enfants marchèrent un peu, Trunks se tenant la tête basse depuis sa défaite. Ainsi il ne répondait plus aux provocations de son rival :

-Je suis plus fort que toi, tu es plus nul que moi
-Ca suffit Goten, interrompit brutalement son grand frère.

Gohan n’aimait pas l’arrogance de son petit frère. Il lui expliquait régulièrement que la force ne faisait pas tout, et surtout qu’elle ne servait à rien si la personne ne savait pas s’en servir. Avant d’être fort, il fallait être une personne bien, qui veut le meilleur pour elle et pour les personnes qu’il aime.

-Allez prochain exercice Goten, tu vas aller parler à Trunks.
-Parler ? Mais de quoi ?
-De tout, de lui, de toi, de vous, de moi si tu veux, ... je veux que tu discutes avec lui et que tu apprennes à le connaître.
-Bon d’accord, mais tu m’apprends à voler après hein ?
-Ca... je t’ai dit plus tard quand tu seras prêt, allez fais ce que je te dis.

Goten alla donc voir son camarade, d’abord prenant cette conversation pour une corvée, y prenant goût par la suite.

Il voulu savoir si c’était bien de vivre dans une maison de riche, avec tous les jouets que l’on veut. Trunks répondit que oui, c’était bien, qu’il avait tout ce qu’il voulait, mais qu’à la fin ça n’était plus drôle en fait, parce qu’on avait tellement de jouets qu’on ne savait plus avec lesquels jouer ensuite.

Il voulu savoir si c’était bien d’être fils unique. Il répondit que oui c’était bien, tu avais ce que tu veux, ta maman n’aimait que toi, mais aussi que tu n’avais personne avec qui jouer, du coup tu t’ennuyais, tout seul avec tes jouets.

Il voulu savoir si c’était bien d’aller à la grande école l’année prochaine, si c’était bien d’avoir 5 ans. Il lui répondit que oui c’était bien, il allait devenir un grand. Mais il n’avait pas d’amis dans cette grande école. Les autres enfants ne l’aimaient pas parce qu’il était riche, et lui ne les aimaient pas parce qu’ils étaient faibles.

Goten lui demanda enfin si c’était bien d’avoir un papa. Il répondit que oui, c’est bien d’avoir un papa, même si le sien n’était jamais là. Et là il répondit à Goten :

-En fait je commence à comprendre... Je pensais que j’avais tout mais en fait je n’ai rien ! Toi tu as un grand frère, tu as une maman qui te fait à manger et qui est tout le temps à la maison et ... pourtant tu as pas de papa !!!
-Mon papa je ne l’ai jamais connu... bon Gohan est un peu mon papa

Trunks commença à pleurer, Goten le prit alors dans ses bras.

-Tu veux bien être mon copain ?
-Bah oui, mais tu me prêtes tes jouets.

Là, les deux enfants se mirent à rire.

-Et moi si tu veux je veux bien que tu restes avec nous pour t’entrainer
-Ouaiiiiiiiiiiiiiis merci Gohan, et tu m’apprendras à voler ?
-Euh... oui quand tu seras prêt.
-Ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
-Allez maintenant on fait la course jusqu’à la maison, celui qui gagne aura plus de poulet ce soir
-Ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiis, fit Trunks, fou de joie et partant en courant à toute vitesse
-Hey c’est de la triche, pourquoi il part avant ?

En effet, on ne voyait déjà plus le petit aux cheveux mauves. Il courait vite le bougre !

-Hahahaha, première leçon pour Trunks : courir vite c’est bien, aller dans la bonne direction c’est une autre chose.
-Hahahahaha alors je vais juste te battre toi
-Oui mais j’adore le poulet !

Et les deux frères partirent tous les deux comme des fusées. Bien sur, Gohan ira ensuite chercher Trunks avant qu’il ne se retrouve en chute libre sur une falaise. Bien sur il y aurait bien assez de poulet pour tout le monde.

Les jours et le semaines passèrent. Les trois enfants passèrent leurs journées à s’entrainer, Gohan le professeur apprenant quelques bases de la vie à ses deux jeunes élèves. Il leur parlèrent beaucoup de Goku, de Végéta, l’enfance en forêt dans la petite cabane pour l’un, dans l’espace à conquérir des planètes pour l’autre. Il leur apprit les origines des saïyens, ce qui était bon, ce qui était mauvais. Il leur parlait aussi de son enfance dans le désert, son entrainement avec Piccolo « le monstre, le démon » à l’époque. De son voyage sur Namek, de Freeza, ...

Trunks et Goten étaient désormais très complices. Ils dormaient tous les soirs dans la même chambre, non sans quelques crises de nerfs de Chichi qui devaient tonner la nuit à leur porte pour qu’ils arrêtent de jouer. Et puis comme Gohan ne passait pas la journée sur leur dos, ils se battaient souvent ensemble, se promenaient, discutaient, ...

Un jour, Goten proposa à Trunks de l’accompagner voir son père. Goten présenta donc à « Goku » son ami Trunks. Ils restèrent ensemble une bonne demie heure à discuter, comme si Goku était en face d’eux. Il était heureux que Goten partage ce genre de moments avec lui. Il pensait à son propre père, qui allait surement revenir un jour...

C’était le grand jour ! Un grand avion se posait devant la maison de Chichi et Bulma en sortait. Après de folles embrassades, un résumé complet des vacances du fils à sa mère et une bonne collation partagée entre tous, Bulma indiqua à Trunks de remonter dans l’avion pour rentrer à la maison. Mais Trunks resta figé.

-Maman
-Oui mon chéri ?
-Je peux pas rester chez Goten ?
-Tu ne veux pas rentrer à la maison ?
-Si mais... je veux rester avec Goten
-Euh oui... écoute il viendra à la maison quand tu voudras, enfin si Chichi est d’accord
-Ah oui, merci de me demander mon avis, pensa la veuve
-Mais je veux rester avec Goten moi !! Commença à pleurer Trunks
-Euh... bon d’accord !! Chichi, ça te dit qu’on devienne voisines ?
-Hein ?
-Oui Trunks, je voulais te faire la surprise, mais j’avais l’intention qu’on s’installe à la campagne, la grande ville commence à me stresser, alors on pourrait venir emménager dans le coin qu’est-ce que tu en dis ?
-Ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !!

Et c’est ainsi que, le temps d’organiser le déménagement, Bulma et Trunks allaient vivre à même pas un kilomètre de chez Gohan, Goten et Chichi, ce qui permettrait aux enfants de passer du temps ensemble, d’aller à l’école ensemble, et à Bulma et Chichi de devenir avec le temps de grandes copines.

FIN DE LA 3ème PARTIE

.... ou pas !

Et là ils se battaient les 2, Goten et Trunks, avec pour arbitre Gohan et Piccolo.

Pour éviter les assaults de son adversaire, Trunks s’envola dans le ciel.

-Hey c’est de la triche !
-Hey depuis quand il sait voler ? fit Gohan
-Diantre, réagit Piccolo

-C’est complètement nul !! Je peux même pas, ah attends

Et là Goten s’envola, se rappelant... qu’en fait il savait voler, il avait juste oublier comment faire !!

-Goten, t’as vraiment la mémoire d’un poisson rouge !
-Diantre

Les 2 se retrouvaient dans le ciel, montaient haut, très haut...

-Hahahahahaha tu vas voir espèce de... AAAAAAAAAAAAAA

Trunks s’enfuit vers le sol, s’y retrouva en un clin d’oeil, tout essouflé
-Qu’est-ce qu’il y a ? fit Goten revenu vers lui en déplacement instantané
-Rien... j’ai le vertige c’est tout !!
-Diantre
-Hahahahahahahahahaha té tro nul Trunks, un vré boloss !

Trunks s’énerva, il n’aimait pas qu’on se moque de lui, et après avoir hurler « tu veux voir le boloss ? » il se transforma en SSJ.

-Quoi ?? Mais tu triches !
-Incroyable, il sait déjà se transformer
-Diantre

Goten s’énerva alors lui aussi, balançant un « té nul » il se transforma lui en SSJ2

-Quoi ???? Mais comme moi... enfin quand j’suis pas une tappette comme dans la saga Buu, fit Gohan
-Diant... ah non là j’avoue y’a du vrai ! rigola Piccolo
-Toute façon moi aussi, fit Trunks qui se transforma à son tour en SSJ2

Les 2 petits rigolaient, mais Goten avait un tour de plus dans son sac. Il commença à hurler, et là ses cheveux poussèrent, ses sourcils disparrurent, des éclairs apparurent, de plus en plus nombreux et de plus en plus énormes. Les cheveux de Goten poussaient, ils étaient 10 fois plus grands que son propre corps, ils blanchirent, Goten devenait ultra musclé.

-Mais c’est quoi ce bordel ? fit Gohan
-Diantre
-Goten arrête de faire ton intéressant et arrange moi cette coupe de voyou, cria Chichi
-C’est pas un peu abusé la puissance là ? réagit Ginji
-Ouaiiiiiiiiiiiiiiiis, intervint Tinky Dan Dan
-Il est fort, mais Gohan face à Cell est meilleur que lui, rétorqua Teen_Gohan
-Je trouve que les mèches manquent de superficie et de symétrie, de plus comme on peut le voir en comparant la page 5014 avec cette image d’archive... maugra LightLawliet
-Franchement je pense que la puissance au carré de ce Goten est inférieure à l’extrapolation de celle de 15000 jardiniers face à Radditz, de plus :
Goku < Cell < Gohan < Goten
Gohan mystic > Goku SSJ3 si on hypothèse que...
-Oh putain y’a RMR, vient on se casse !!
-Ouais
-Diantre
-Bon allez st...
-Stop ! fit Gast Carcolh
-Hey c’est moi qui dit ça!! Fit... moi-même !

Hahahahahaha vous l’auriez bien compris, les excès de puissance genre un gosse de 7 ans qui peut devenir SSJ2 tout ça c’est n’importe quoi, voilà pourquoi (normalement) ça n’arrivera PAS dans la suite de cette histoire.

On se retrouve prochainement pour la Partie 04, qui se déroulera donc 8 ans après la mort de Cell (oui, 8 ans et non 7 !).

Contrairement aux trois premières parties qui se séparaient par plusieurs années d’écart, les prochaines elles se suivront immédiatement dans le temps. La « Saga Buu » va donc... commencer !!

PS : Est-ce que c’est appelé « saga Buu » parce qu’il s’appelle toujours Buu ? Ou c’est juste pour que les lecteurs se repèrent, mais en fait le méchant va s’appeler Mickey, ou Jafar, ou Marine ? A suivre to be continueted...

Sinon autre surprise avec le tout premier dessin de la fanfic!! Il représente Gohan à 17 ans (comme il sera à partir du prochain chapitre donc...) voilà donc avec la tenue de Piccolo, une coiffure qui oscille entre celle de Gohan ado et Miraï Gohan, et un brassard noir sur le bras gauche en mémoire de son père... j'espère qu'il vous plait, et désolé pour la qualité, il a été fait en 5 minutes au stylo sur une feuille de sopalin ^^