Dragon Ball Timeline : Vegeta [fanfic terminée]

[Pensyves]

bah pour moi les voyages dans le temps c'est dr who, timeline, FAQ about time travel, retour vers le futur, la patrouille du temps, le voyageur imprudent, etc etc et malgré tout, dans cette fic, je perd mes repères parfois

[Lyne]

Bon, ça fait un petit moment que je zieute cette fic! j'ai lu le début, j'en suis pour le moment qu'à la 2 partie du chapitre2! Mes premières impreesions? J'aime beaucoup! ( oui je sais, c'est pas très original mais bon...)

Pour le moment les chapitres sont courts et on pourrait penser au premier abord que le faits qu'ils soient concentrés nous donne pas énormément d'informations mais c'est pas du tout le cas! Les dialogues sint vraiment bien. Ni trop long, ni trop courts. Les descriptions même si tu ne fait pas des tonnes de pavés pour décrire en long et en large, on comprends tout car tu donnes ce qu'il faut!

J'aimw beaucoup ton style d'écriture, il est vraiment plaisant! En clair une bonne surprise pour moi et un bon début!0 ( pour ce que j'ai lu, bien évidemment) je lirai la suite plus tard!

Mon commentaire n'est peut-être pas si constructif que les autres, mais en tout cas, j'aime beaucoup! ^^

[niicfromlozane]

@Pensyves: Je ne suis pas sûr de comprendre ton souci. Si tu peux me donner quelques précisions c'est volontiers.

Là, tout se passe -à-peu près- en même temps, mais à des années-lumières de distance. La dernière scène avec Gerò a lieu peu après celle entre Freezèr et ses conseillers.
Il n'y a eu qu'un seul saut temporel. Vegeta était simplement en stase durant l'entrainement sur terre, dans la capsule qui l'emmenait sur Yardrat. Au départ, je voulais le faire arriver plus tôt, durant le chap 4, mais à l'écriture je me suis rendu compte que c'était trop lourd, vu qu'il se passe déjà énormément de choses différentesdans ce chapitre. Du coup, je l'ai fait arriver en même temps que Freezèr, ou presque. Il y a quelques décalages narratifs, mais rien qui nuise à la lisibilité, je crois.

Je vais réfléchir à une manière de partager mon schéma temporel. Je ne pensais pas à devoir faire ça si tôt.

N'empêche, merci pour cette remarque constructive qui stimule mon imagination pour faciliter la lecture de manière originale et qui tire parti du format.

pour moi les voyages dans le temps c'est dr who, timeline, FAQ about time travel, retour vers le futur, la patrouille du temps, le voyageur imprudent, etc etc

Jolie liste. je trouve qu'en cmparaison à ces références j'y vais pourtant tranquille. On n'a même pas encore vu Végeta, débarqué de la Timeline n°27 pour avertir Vegéta de la Timeline n°9 que la bUlmA de la Timeline 16 est en danger. Tout ça dans la Timeline originelle, où Bulma se demande si son mari est vraiment le sien, vu qu'elle ne peut pas voir les accents. Là, ça deviendra complexe.

Au passage c'est l'univers ou l'univèrs et c'est la terre ou la tèrre?

C'est la Time line n°1. Seuls les noms des persos -jusqu'ici- ont l'apostrophe. D'ailleurs, j'ai remarqué que certains variaient entre les chapitres -genre kakarottò/kakaròtto. Je mettrai de l'ordre à l'occasion.

@Lamantin, je comprends pas le "généralissime". Tu veux dire que ça manque d'originalité? Que ma Yardrat ou mes dialogues sont trop générique? Je trouvais les différentes interactions et points de vue intéressants On peut pas gagner à tous les coups.

Sinon, seule erreur à mes yeux : Comment les Yadrats connaissent-ils les humains ?

Les humains sont une race générique dans l'univers, même si leur puissance ou morphologie peut varier de planète en planète.
Pour moi, Reacum est un humain, particulièrement puissant. Il en a en tout cas les caractéristiques physiques. Les yardrats le connaissent. Je pars du principe qu'humain est un type d'humanoïde relativement répandu.
Bref. Voilà. De toute manière c'est un détail. Limite je pourrais l'enlever…

@Lyne: bienvenue sur le topic
Ravi que le style te plaise! Ça s'étoffe un peu avec le temps, mais au début c'est en effet particulièrement épuré.
Le but était de laisser le plus de place possible à l'imagination du lecteur, mais je me suis rendu compte que ça manquait un peu de mise en situation.

Mon commentaire n'est peut-être pas si constructif que les autres, mais en tout cas, j'aime beaucoup! ^^

Une simple ligne est déjà constructive. J'aime à rappeler que chaque com est un pas vers la fin de la fic.


++

[xela26]

Un Bon chapitre .

Il est certes un peu moins captivant que le précédent, mais la situation se met en place suite à l'arrivée de Freezèr.

Pas grand chose à dire, si ce n'est que j'attends avec impatience que l'on entre dans le cœur de la confrontation.

Végéta en difficulté face à des "politiciens", c'était pas mal. Pas mal aussi la façon dont il s'en est sorti, un peu trop rapidement quand même. Vu qu'il fait le terrien depuis un bon moment, il aurait du galérer un peu plus avant de reprendre le dessus et de se rattacher à des bribes de ses anciennes habitudes (les yardrats lui opposant leur intelligence collective face à sa force)
Je me demandais pourquoi les yadrats étaient si méfiants, limite pas très amicaux, jusqu'à ce que je me dise que dans cet univers, ils n'ont pas eu une année pour faire confiance au super sayan qui a vaincu Freezer...

Bref, vivement la suite.

Sinon petite coquille : chauderon -> chaudron

[Lamantin_Furtif]

@Lamantin, je comprends pas le "généralissime". Tu veux dire que ça manque d'originalité? Que ma Yardrat ou mes dialogues sont trop générique? Je trouvais les différentes interactions et points de vue intéressants On peut pas gagner à tous les coups.

Guh, j'arrive pas à écrire ! Nan, en fait, c'est une coquille, je voulais écrire "génialissime" et mon doigt a rippé (ou le correcteur orthographique m'a trahi)

Bah, pour moi, en tout cas, la mention "humain" es clairement gênante.

bah pour moi les voyages dans le temps c'est dr who, timeline, FAQ about time travel, retour vers le futur, la patrouille du temps, le voyageur imprudent, etc etc et malgré tout, dans cette fic, je perd mes repères parfois

Bon, je note ceux que je connaissais pas (j'aime bien les voyages dans le temps). Mais ce n'est pas parce qu'une oeuvre parle de voyage dans le temps qu'elle les aborde de manière complexe ou même pertinente. Par exemple, "retour vers le futur" est d'une simplicité enfantine dans son scénar, et traite les paradoxes d'une manière que je trouve exceptionnellement absurde (les gens disparaissent dans le vide petit à petit... Sérieux ?). J'aime quand même beaucoup ces films, mais pas pour la manière dont le voyage temporel est traité.
Pour ma part, je me réfère plus à "procrastination" de Terry Pratchett, ou carrément à ma bible ultime: "Homestuck" (oui, c'est pas connu, je sais), et là, on a des intrigues qui ridiculisent DBtimeline sur le plan de la complexité (en fait, c'est tellement compliqué et wtf que ça en devient drôle).

[niicfromlozane]

Rapidement Pke suis sur tel:

T Pratchett = amen

on a des intrigues qui ridiculisent DBtimeline sur le plan de la complexité (en fait, c'est tellement compliqué et wtf que ça en devient drôle).

Je me réjouis d'en reparler au terme du chapitre 10 Mais là, c'est vrai que la réaction de Pensyves me laisse perplexe. Je me demande si ce n'est pas plus mon style minimaliste que la complexité de la fic qui le (te) trouble…

Guh, j'arrive pas à écrire ! Nan, en fait, c'est une coquille, je voulais écrire "génialissime" et mon doigt a rippé (ou le correcteur orthographique m'a trahi)

Oh! Ben merci! Je suis aussi très content de cette partie -plus que de la précédente-, suis ravi qu'elle t'ait plue!

Bah, pour moi, en tout cas, la mention "humain" es clairement gênante.

Ok. J'ai tiqué au moment d'écrire ça avant de me dire "nan, mais ça passe", et visiblement, ça crée un souci. Je modifierai ça, car c'est purement annecdotique. Merci


Et perso, ma référence en matière de Time Story, ça reste "Le Maître des Montagnes", par Van Hamme. Un bijou. Même si Pratchett est, avec Asimov et Werber, mon auteur de fiction favori.

Il est certes un peu moins captivant que le précédent, mais la situation se met en place suite à l'arrivée de Freezèr.

Je suis assez surpris de ça. Je trouvais ce chapitre loin en-dessus de celui d'avant. Peut etre que mes dialogues ne sont pas aussi bons que ce que je pensais… Ou que ca manque de mouvement. Je voulais rajouter une scène au vaisseau en plan rapproché, mais le chapitre est deja l'un des trois plus longs en l'état, malgré ses 3 pauvres scènes.

il aurait du galérer un peu plus avant de reprendre le dessus

C'est vrai. Je m'en rends compte maintenant. C'était incompatible avec ce que je voulais faire du perso, mais en me permettant ce petit luxe, j'aurais pu faire qque chose de bien plus intéressant… Je n'avais pas vu les choses comme ça…
Mais parfois, j'ai peur d'emmerder mes lecteurs avec mes développements. C'est dur à gérer.

Je pense que je vais reprendre ça, même, en fait… Dans la version originale, les conseillers avaient effectivement droit à plus de place.

Perso, ce que je trouvais intéressant, c'était de développer l'arrivée impromptue de Vegeta au milieu de la salle. Après, je sais qu'il y a des incohérences, mais je n'avais vraiment pas envie de perdre du temps à décrire les gardes qui débarquent dans la salle, etc…, alors que Vegeta est si puissant qu'il peut tous les atomiser.
Ce que je voulais rendre, surtout, c'est le caractère exceptionnel que revêt, dans l'univers, l'accès aux connaissances yardrat. Je me suis peut etre un peu eloigné du sujet, en cuttant pas mal de passages sur les trois conseillers -qui en ont même perdu leur nom, devenu superfétatoire AMHA.

j'attends avec impatience que l'on entre dans le cœur de la confrontation.

Moi aussi. Mais mes persos ont encore envie de s'emmerder un peu les uns les autres…


Bon, au terme de ce post, je tire une constatation claire:

Qui serait motivé pour beta-lire mes chapitres?

[Lamantin_Furtif]

Je serai bien tenté, mais je pense que je serai beaucoup trop bon public, et que je soutiendrai tous tes choix, ce serait donc purement orthographique, et éventuellement sur un ou deux détails comme le "humain".

Si personne d'autre ne se présente, je veux bien.

[niicfromlozane]

C'est noté et je prends.

Et tu sais, je ne tiens pas à limiter ça à une seule personne. L'idéal, ce serait 2 ou 3, histoire que quand qqun n'a pas le temps, ben…

[xela26]

dispo aussi si tu veux.

[Tonay]

Je suis également disponible pour une relecture, si tu en as besoin

[niicfromlozane]

Merci les jeunes!

C'est cool!

C'est bien noté. J vous envoie ça au plus vite, mais là j suis un peu compressé. Je vais faire un décalage d'une semaine dans les parutions et vous envoie ça ce week-end.

PS: je renvoie volontiers la pareille

[xela26]

Bah, pour moi, en tout cas, la mention "humain" es clairement gênante.

Ok. J'ai tiqué au moment d'écrire ça avant de me dire "nan, mais ça passe", et visiblement, ça crée un souci. Je modifierai ça, car c'est purement annecdotique. Merci

J'avais oublié de revenir la dessus, mais je suis plutôt d'accord avec toi Niic.
ça ne me gênes pas que tu qualifies Reacum d'humain.
Dans le manga comme dans l'anime, rien ne peut le distinguer des Yamcha ou Yajirobé en tant qu'humain
( j'ai fais exprès de pas prendre Ten ou Krillin comme exemple )
Pour moi, les humains sont une espèce générique dans l'univers, avec différentes variantes locales.
Dans cette optique là, Je qualifierai Jeece d'humain, et la question est ouverte pour Gyniue .

Il est certes un peu moins captivant que le précédent, mais la situation se met en place suite à l'arrivée de Freezèr.

Je suis assez surpris de ça. Je trouvais ce chapitre loin en-dessus de celui d'avant. Peut etre que mes dialogues ne sont pas aussi bons que ce que je pensais… Ou que ca manque de mouvement. Je voulais rajouter une scène au vaisseau en plan rapproché, mais le chapitre est deja l'un des trois plus longs en l'état, malgré ses 3 pauvres scènes.

Je pense que c'est plutôt mon ressenti perso, différent du tiens forcément.
Et puis aussi parfois les chapitre que l'on préfère ne sont pas toujours ceux que le lecteur aime, c'est surprenant je sais.

il aurait du galérer un peu plus avant de reprendre le dessus

C'est vrai. Je m'en rends compte maintenant. C'était incompatible avec ce que je voulais faire du perso, mais en me permettant ce petit luxe, j'aurais pu faire qque chose de bien plus intéressant… Je n'avais pas vu les choses comme ça…
Mais parfois, j'ai peur d'emmerder mes lecteurs avec mes développements. C'est dur à gérer.

Je pense que je vais reprendre ça, même, en fait… Dans la version originale, les conseillers avaient effectivement droit à plus de place.

Perso, ce que je trouvais intéressant, c'était de développer l'arrivée impromptue de Vegeta au milieu de la salle. Après, je sais qu'il y a des incohérences, mais je n'avais vraiment pas envie de perdre du temps à décrire les gardes qui débarquent dans la salle, etc…, alors que Vegeta est si puissant qu'il peut tous les atomiser.
Ce que je voulais rendre, surtout, c'est le caractère exceptionnel que revêt, dans l'univers, l'accès aux connaissances yardrat. Je me suis peut etre un peu eloigné du sujet, en cuttant pas mal de passages sur les trois conseillers -qui en ont même perdu leur nom, devenu superfétatoire AMHA.

La aussi, c'est un ressenti perso. Le passage est bon, mais je l'ai tellement apprécié que j'aurai voulu que le plaisir dure plus longtemps. que le bonbon fonde plus lentement en bouche

[niicfromlozane]

Pour l'histoire de l'humain, je vais gicler la réplique quand même. Elle n'est pas utile à l'intrigue, alors si elle "choque" des gens, autant s'en passer.
Mais je vois aussi les humains comme une race generique. Ca rend plein de choses tres pratiques.

Sinon, oui, ça reste un point de vue, souvent, l'appréciation. On n'est heureusement pas tous pareils

J'apporterai quand même quelques modifications, mais pas tout de suite

Merci pour les coms!

Sinon, comme je me lance en beta lecture et que je veux me laisser un peu de temps, les chapitres seront décalés d'une semaine. Il n'y aura donc pas de DBTimeline ce dimanche, mais le suivant. Mais il y aura quand même une -petite- surprise.

++


Bon, la suite, ENFIN!
Désolé pour le retard, une fois encore. je tiens à dire que cette fic, qui avait commencé comme une petite blague autour d'une idée que je trouvais sympa m'amuse de plus en plus. J'y passe donc de plus en plus de temps, et du coup il m'est de plus en plus difficile de tenir un rythme. Avant, je postais à 85-90% de satisfaction. Maintenant, je suis plus proche du 99%, mais le truc, c'est qu'upgrade de 90 à 99 me prend plus de temps que d'arriver à 90. Du coup…
Si vous trouvez que la différence n'est pas visible, dites-le, et je reverrai mes standards.

Je rappelle également pour les nouveaux venus qu'ils peuvent trouver un résumé des premiers chapitres ainsi qu'un sommaire dans le premier post du topic.

Je tiens enfin à remercier publiquement Lamantin, Xela26 et Tonay pour leurs précieux conseils qui ont largement participé à l'amélioration de cette partie.

Que voici:



Chapitre cinquième – Invasion


Partie III : Antagonismes


— Le moins qu'on puisse dire, Ghoùrd, c'est que tu m'auras donné du mal. Mais je savais bien que tu finirais par essayer de rejoindre ta capsule pour t'enfuir, comme le lâche que tu es !

Le commando sentit le poing de Vegeta se refermer un peu plus sur sa gorge. C'était trop bête. Se faire avoir alors qu'il touchait au but… le pod spatial était si près de lui qu'il aurait pu le toucher en tendant le bras ! Le prince l'avait eu par surprise, et la prise qu'il effectuait l'empêchait d'aspirer suffisamment d'air pour utiliser son pouvoir. Et puis, à quoi bon ? Même si le temps n'avait plus court, il ne pourrait pas se libérer d'une telle étreinte, et comme les coups de Reacùm n'avaient eu aucun effet, il ne pouvait pas espérer blesser le Prince.

Vegeta avait acquis une puissance incroyable et si vite ! Ghoùrd aurait mieux fait de rester planqué en attendant les renforts. Il le savait.
Mais l'occasion avait semblé trop belle et la tentation été trop forte de s'échapper immédiatement. Il allait payer cher son empressement. Ce sale singe n'allait lui passer aucune des remarques acerbes et méprisantes qu'il lui avait décochées par le passé. Il allait probablement le tuer…

Ghoùrd réalisa soudain la valeur d'une vie, et plus précisément de la sienne. Jusqu'ici, il n'avait envisagé sa mort que comme un concept abstrait qui surviendrait, certes, mais pas avant très longtemps. Il faisait partie d'un des groupes de combattants les plus puissants qui soient et il n'avait aucune raison de mourir tant qu'il faisait bien son boulot. La mort avait toujours été de son côté, jamais contre lui.
Mais maintenant, la mort lui faisait face. Elle le regardait fixement de ses yeux noirs ; elle le tenait fermement à la gorge de ses gants blancs. Son sourire mauvais écrasait Ghoùrd sous le poids de l'inexorabilité.

Puis, la mort leva le poing et le maintint un instant relevé à la hauteur de son visage, armé, prêt à partir. Le commando imaginait déjà la sensation des phalanges qui faisaient voler son crâne en éclat !

Il se demanda ce qui se passerait ensuite. D'ailleurs, y aurait-il un “ensuite” ?

Mais l'impact redouté n'eut pas lieu. A la place, Vegeta ouvrit son poing. Un petit objet oblong s'en échappa.

— À plus tard, murmura le saiyan.

Et tout devint noir.


Le Prince ramassa la capsule et la rangea consciencieusement dans sa boîte. Il avait promis à Bulma de faire attention, et les saiyans n'avaient qu'une parole.

Bulma…
Deux grands yeux fiers et décidés.
Un caractère inflexible trempé dans le roc.
Et puis, ce regard transperçant. Un regard qui jamais ne se détournait, comme le sien. Un regard qu'ils pouvaient soutenir l'un l'autre des heures durant, sans jamais broncher. Qu'une humaine aussi faible puisse avoir autant de prise sur lui était tout simplement incroyable. Et il aimait cette volonté inflexible qui lui offrait un challenge permanent.
Et pourtant, tant de douceur, tant de complicité dans leur intimité. Tant de choses qu'il n'avait jamais connues auparavant. Qui l'avaient à la fois adouci et renforcé.

Bulma…

L'amour de sa vie…

Spoiler

Une jeune femme aux cheveux verts et à la peau blanche le regardait de ses grands yeux mauves. La profondeur de son regard, l'harmonie de ses courbes, les traits fins de son visage, la grâce de son cou, tout en elle dessinait la représentation parfaite que le prince se faisait d'une reine, le mince filet de sang à la commissure de ses lèvres et les marques de coups sur ses joues la rendant d'autant plus désirable.
Derrière elle, un paysage fait de volcans, d'explosions, de fumée s'élevant d'une forêt en feu et des corps de leurs ennemis ; un paysage qui contrastait avec la pâleur de sa peau. Le halo d'énergie blanche qui palpitait autour d'elle lui donnait l'air d'un ange descendu dans les enfers. L'odeur du sang brûlé qui les entourait après ce combat endiablé réveillait les instincts les plus profonds de Vegeta. L'ivresse de la puissance, de la destruction et du pouvoir brillaient d'un éclat particulier dans ses yeux de saiyan.
L'image s'anima soudain tandis que, dans ce décors apocalyptique, la jeune femme approcha ses lèvres de celles du prince pour lui donner son premier baiser.

Vegeta secoua la tête.

C'était dommage, il s'était attendu à trouver sur Yardrat le commando au grand complet. Ça lui aurait plu de voir l'air incrédule de Reacùm et Ghoùrd sur le visage de Ginyù. Mais il pourrait faire avec.

Les conseillers allaient jouer le jeu et il tenait Ghoùrd. C'était l'essentiel.

« Maintenant, place à l'entrainement. »

Un large sourire se dessina sur le visage de Vegeta.

Flottant à plusieurs dizaines de mètres du sol sous le ciel rose de la Salle de l'Amour et du Vice, Piccolò devait se rendre l'évidence : il s'était perdu.

Les plaines alentours s'étendaient à l'infini et il n'avait aucune idée de la direction dans laquelle se trouvait la porte. Il avait cru savoir, mais il s'était trompé et il était désormais enfermé dans ce monde sans fin.

Il frissonna.

Piccolò possédait les souvenirs de son père. Cela comprenait chacune des minutes qu'il avait passées dans l'autocuiseur, à redouter d'y rester pour le restant de ses jours. Il supportait mal les espaces clos. L'horizon sembla soudain moins lointain. Le namek inspira profondément pour essayer de dissiper la claustrophobie qui s'emparait de lui. Il était celui qui provoquait la terreur, pas celui qui la subissait !

« Je ne dois pas paniquer. Il y a forcément une solution. »

Il décida de prendre encore un peu de hauteur. Et ce faisant, il décela quelque chose. Une silhouette se découpait, loin, à l'horizon, presque imperceptible. Sans son sens de la vue sur-développé, elle lui aurait échappé.

Le démon s'élança. À mesure qu'il s'en approchait, la silhouette floue prit des contours. Très vite, il constata qu'il s'agissait d'un arbre. Et au pied de cet arbre dormait un jeune enfant : Son Gòhan.

Piccolò atterrit et s'approcha. Son ombre recouvrit le jeune saiyan. Sa queue avait repoussé. Qu'est-ce qu'il faisait là ? Il aurait dû s'entrainer avec son père ! À moins que ce lâche ne l'ait encore abandonné ? Piccolò sentit la rage se saisir de lui et peser dans son cœur. Il avait bien senti que Gokù négligeait l'entrainement de son fils, alors que le potentiel du métis était bien réel ! Il suffisait qu'il apprenne à le maîtriser comme contre Raddìtz et alors…

Gòhan ouvrit les yeux.

• Monsieur Piccolò ? Vous êtes venu me chercher ?

Le ton enjoué et réjoui de son élève fit desserrer les poings du namek, qui réalisa au même moment qu'il s'était crispé sous le coup de la colère.
Ce gosse lui faisait perdre le contrôle de ses émotions, et cette salle n'avait rien arrangé ; au contraire, c'était encore pire ! Il devait garder son calme.

— Non, je ne suis pas venu te chercher. Et toi, qu'est-ce que tu fais là ?

• Je… je…, balbutia timidement le jeune métis tout en fuyant du regard. …je suis venu vous demander de nous aider. Nos ennemis sont trop forts. Il faut que vous veniez aider mon papa.

Piccolò fronça les arcades sourcilières.

— Quoi ? Tu es venu me demander d'aider Son Gokù ?

• Oui. S'il vous plaît, supplia Gòhan en relevant les yeux vers le namek ; deux yeux grand ouverts, brillant de cette innocence toute enfantine qui croit que les adultes peuvent transformer la réalité selon leur bon vouloir.

Piccolò se sentit plus démuni que jamais. Quelque chose se tordit dans son estomac tandis que le jeune métis maintenait son regard fixé sur lui dans l'attente d'une réponse. Les mots s'emmêlaient dans sa tête et les phrases n'avaient aucun sens qu'un enfant de six ans aurait pu saisir. Ses explications étaient trop alambiquées, trop complexes.
Le namek inspira et se prépara à répondre, mais les mots lui faisaient toujours défaut. Il resta là, la bouche ouverte, comme coupé dans son élan, Son Gòhan suspendu à ses lèvres. Soudain, il réalisa quelque chose :

— Pourquoi… Pourquoi n'es-tu pas, toi, en train d'aider ton père ?

• Moi ? Mais je suis trop faible…

— Trop faible ? C'est ça ton excuse ? C'est pour ça que je t'ai appris tout ce que je sais ?

Le regard du namek se durcit. Il fit un pas pour s'approcher de Gòhan et siffla :

— Tu es un couard ! Tu as fui le combat pour aller chercher de l'aide. Tu devrais avoir honte !

La colère de Piccolò grandit et, une fois de plus, ses poings se serrèrent. Il céda à la tentation et frappa. Gohàn fusa et roula au sol un peu plus loin. Le namek s'approcha, le regard noir.

— Tu es misérable ! Déjà contre le saiyan, tu n'as servi à rien ! Et maintenant, tu viens ici avec tes supplications idiotes qui me font perdre mon…

Piccolò s'arrêta net.

Son Gohàn avait disparu.

Le namek regarda autour de lui.

Rien. Pas la moindre trace.

Il était seul.

À nouveau.

Bien sûr, Gòhan n'avait jamais été là. Piccolò l'avait compris immédiatement. Ça n'avait été qu'une hallucination provoquée par la salle, une représentation de l'Amour qui prenait de plus en plus de place dans son cœur.
Un Amour qu'il redoutait.
Un Amour qu'il venait de frapper, révélant ainsi, dans la solitude ambiante, ses aspirations les plus profondes. Il n'avait pas tué Gòhan. Il ne parvenait pas à se débarrasser de son attachement pour le métis. A la seconde où il l'avait aperçu sous l'arbre, Piccolò s'était senti moins seul. Il ne pouvait se résoudre à l'éliminer, même s'il n'était pas réel.

« Suis-je toujours moi-même ? »

Piccolò desserra les poings. Il avait souvent frappé Gòhan. Mais jamais il ne l'avait frappé ainsi. Il l'avait combattu pour lui apprendre. Pas pour passer sa colère ou sa frustration.

Sa colère.

Elle lui appartenait. Elle n'était pas dirigée contre Son Gòhan. Elle était dirigée contre lui-même. Contre son impuissance, sa faiblesse ; sa faiblesse qui l'avait obligé à s'allier à Son Gokù contre Radditz, à entrainer son fils, à combattre aux côtés de ces terriens arrogants et faibles qu'il détestait plus que tout ; et, enfin, humiliation suprême, sa faiblesse qui l'avait poussé à faire confiance à son double et à venir perdre son temps, une fois de plus, dans cette salle inutile.

Son Gòhan avait fait de son mieux.

Tout comme lui, et contrairement à Son Gokù, le métis était contraint de suivre une autre voie que celle à laquelle il aspirait. En ce sens Gòhan et lui s'entendaient. Les premiers soirs de leur entrainement, dans le désert, il avait pu sentir à quel point le jeune saiyan détestait autant que lui l'idée de devoir passer du temps ensemble. Il avait travaillé sur cette rage, sur cette colère. Il l'avait rendu plus puissant, à sa façon, en le poussant à le détester, à le dépasser. ! Mais jamais il n'avait réussi à reproduire un phénomène tel que celui qui s'était produit lorsqu'il avait attaqué Raddìtz…

Lorsqu'il avait attaqué Raddìtz…

Piccolò ouvrit les yeux grands. Il venait de comprendre ! Ce n'était pas la haine que Gòhan ressentait pour Raddìtz qui l'avait rendu si puissant. Ce n'était pas le Vice, l'envie de se surpasser ou celle de se venger qui avait décuplé ses forces.

C'était l'Amour qu'il portait à son père.

• Tu vois, la puissance est dans l'équilibre.

Piccolò se retourna. Kàmi le regardait, un sourire narquois sur le visage. Etait-il vraiment là, ou s'agissait-il à nouveau d'une hallucination ?

• Pourquoi combattre l'évidence ? Si tu te contentes d'être ce que tu es, alors tu ne seras jamais capable de rivaliser avec les saiyans. Mais si tu acceptes l'Amour, si tu décides toi aussi de te battre pour ceux que tu aimes, de les protéger, alors nous pourrons les repousser.

La haine qu'il ressentait pour son double permit à Piccolò de réaliser l'évidence : son Amour prenait ici la forme de Son Gòhan, et son Vice celle du Tòut-Puissant. Il comprit que c'était ses aspirations profondes qui lui parlaient.

Que son Vice voulait le voir accepter l'Amour. Qu'il aspirait à devenir infiniment fort. Le Tòut-Puissant l'avait-il jamais accompagné dans la salle ? Son départ symbolisait-il l'abandon de son Vice ?

Que lui avait dit l'image de Gòhan ?

« Monsieur Piccolò ? Vous êtes venu me chercher ? »

Bien sûr. C'était évident. Il était là pour trouver l'Amour. C'était dans ce but qu'il avait accompagné Kàmi.

« Je suis venu vous demander de nous aider. Nos ennemis sont trop forts. Il faut que vous veniez aider mon papa. »

Ainsi, il aspirait à combattre aux côtés de Gokù et Gòhan. Oui, il voulait sauver les saiyans. Mais aussi les dépasser. Gokù lui avait laissé la vie sauve. Il aurait pu le tuer, après le championnat, mais il ne l'avait pas fait, car leur rivalité le rendait plus fort. C'était l'Amour du saiyan pour le combat qui l'avait poussé à l'épargner. Cet Amour qui faisait la différence entre eux…

Plus tôt, il n'avait pas trouvé les mots pour répondre à Gòhan. Cela voulait-il dire qu'il s'inventait des excuses pour ne pas accepter l'Amour ? Piccolò savait que les vraies réponses étaient toujours simples. La complexité cachait toujours le mensonge…

« Moi ? Mais je suis trop faible… »

L'Amour n'était donc pas une fin en soi. Il était insuffisant. Le Pouvoir venait du Vice et la Force de l'Amour. C'est pour ça que Kàmi avait fait marche arrière. Qu'il avait lui aussi accepté le Vice, mettant en péril son statut divin. S'il l'avait jamais fait… Dans tous les cas, Piccolò devait bien accepter que c'était la manière dont son inconscient voyait les choses.

Il n'avait pas tué la représentation de Gòhan. Il réalisa ce qu'il désirait vraiment : vivre ses sentiments pour le demi-saiyan. Son demi-fils.

Le namek perçut soudain un tout autre potentiel. Une toute nouvelle manière de dépasser ses limites.

« Bon. Les choses sont claires. Je reprends tout depuis le début. »

Il s'assit en tailleur et ferma les yeux, concentrant son énergie.

Gòhan et Kamì vinrent s'asseoir à ses côtés et sourirent en se regardant.

— Tu sais, le brouilleur fonctionne correctement, tu peux laisser aller ton énergie.

— Tu m'excuseras si je préfère prendre plus de précautions que pas assez, Yamchà. Je ne tiens pas à compromettre les efforts de nos amis par paresse. Je veux qu'ils puissent compter sur moi.

Le guerrier ne répondit pas. Tèn Shin Han commençait à lui taper sérieusement sur le système. Leur expérience dans la Salle les avait rapprochés, mais le triclope restait dur et froid. Et depuis que Kàmi leur avait assignés une mission commune, les choses empiraient à chaque nouvelle phrase qu'il prononçait. Il décida d'aller sur son terrain.

— On ne sait pas combien de temps ça va durer jusqu'à ce que Gohàn puisse passer à l'action. Un entrainement virtuel, en attendant, ça te dit ?

Yamchà savait que Tèn avait pris un goût prononcé pour l'exercice dans la salle. Il pensait donc que cette proposition le stimulerait et permettrait de casser la glace. Mais la réponse de Tèn Shin Han fut toute autre :

— Juste avant le combat qui nous attend ? Si tu veux t'affaiblir bêtement, libre à toi, lança-t'il avant de tourner le dos à son compagnon pour pratiquer quelques étirements.

Yamchà décida de ne pas relever le mépris équivoque qui avait accompagné ces propos et d'aller se coucher contre un rocher, les jambes croisées et les mains derrière la tête. C'est alors qu'il entendit Tèn murmurer :

— Un entrainement virtuel… Tssss… Avec des idées pareilles… Pfff !!

Cette fois, le guerrier du désert ne put s'empêcher de répondre :

— Si ça t'ennuie tellement que je sois là avec toi, tu aurais pu le dire avant ! Tu voudrais que je m'en aille ?

— Si ça peut m'éviter d'avoir à combattre le même ennemi deux fois parce que tu lui auras filé mon senzu, ça n'est peut-être pas plus mal. Et puis, ça évitera qu'on me repère si le brouilleur tombe en panne, répondit le triclope sans se retourner.

Yamchà craqua. Il éleva la voix.

— Bordel, mais qu'est-ce que tu voulais que je fasse ? Sans Piccolò, plus de Dragon Ball, sans Dragon Ball, plus de résurrection ! Je n'allais quand même pas sacrifier tous nos futurs morts pour sauver un unique être humain ! Ça a beau être ton ami, tu dois pouvoir comprendre ça !

— Ce que je comprends, c'est que je ne peux plus te faire confiance. Ce que je comprends, c'est que je ne peux plus combattre à tes côtés sans craindre que tu me sacrifies pour un intérêt supérieur et purement hypothétique, si ça t'arrange.

— Si ça m'arrange ?!

— Oui : si ça t'arrange. Nos futurs morts ne sont pas encore morts. Ils sont bien vivants. Chaozù, lui, est parti pour toujours.

— Comme Krilìn, lança Yamchà. C'est ainsi qu'il avait remis les pendules à l'heure lors de leur dernière conversation sur le sujet. Mais cette fois, la réaction de Tèn fut tout autre :

— Non. Pas comme Krilìn. Krilìn a été victime des circonstances. Il a été tué par un ennemi kamikaze et nous n'avons rien pu faire. Chaozù s'est sacrifié pour nous sauver tous, et tu l'as sciemment abandonné à une mort certaine.

Yamchà baissa le regard. Quelle horreur ! Comme si sa situation n'était pas suffisamment insupportable, il fallait que Tèn vienne lui rappeler cette décision difficile dont il peinait lui-même à se convaincre qu'elle avait été un moindre mal. Et il fallait qu'il le fasse maintenant. Pourquoi ? Pourquoi après tout ce temps , alors qu'il semblait lui avoir pardonné ?

— Tu es vraiment un sale con de me faire payer ça maintenant. 

Yamchà avait voulu dire ces mots d'un ton assuré, mais sa voix tremblait d'indignation et de colère.

— Non. J'ai appris de mes erreurs et je ne compromettrai pas la survie de la terre. C'est toi qui tiens absolument à me parler et à régler une situation qui ne peut plus l'être. Je peux parfaitement faire comme si tu n'étais pas là. Je ne suis pas sentimental, comme toi. J'ai des valeurs et je garde la tête froide.

— Mais alors dans la salle, qu'est-ce que tu…

— Je te l'ai dit. J'ai compris que j'avais aussi fait une erreur. Mais mon erreur n'efface pas la tienne.

Yamchà sentit une larme couler le long de sa joue.

— Tu n'es qu'un…

Tèn Shin Han l'interrompit d'un geste et son regard se fit grave :

— Tu chouineras plus tard ! Gohàn a fait vite : voilà le signal !

Un kikoha venait effectivement de transpercer un mur du vaisseau.


++

Niic

PS: la prochaine partie, "escarmouches", nous fera enfin entrer dans le vif du sujet, avec un retour à pas mal de baston Yeah!

[Pensyves]

je vais être très critique vu que tu es satisfait à 99%.

Orthographe et grammaire: rien à dire

Partie avec Vegeta: Ok, quoi que trop "mystérieuse" pas assez développée j'ai un amer gout de trop peu ...
Partie avec Picolo: là on est dans du bon avec une superbe maîtrise de l'ensemble psychologique, quelques références et allusions sympathique.

La partie avec Yamchà et Tèn: Une horreur. Aucune description, quelques dialogues trop courts, on a l'impression qu'elle est bâclée. Tu ne resitue même pas temporellement où en est la situation (Et tu viens de me rappeler que Krillin est mort, il deviens quoi d'ailleur?)

Enfin bon voilà il y a bien deux parties satisfaisante mais la dernière où tu est à peine à 50% de ce que tu nous as fait de part le passé ...

[niicfromlozane]

Merci pour ton com', Pensyves.

maintenant que je lis ton message, je me rends compte de certaines choses:

- d'abord, le temps étendu entre la dernière partie fait qu'on en a oublié la fin de la précédente, où Gero constate la présence d'un brouilleur et de deux individus près du vaisseau de Freezer. Mais je me rends aussi compte de l'importance de resituer les choses d'une fois à l'autre; les lecteurs ne sont pas autant impliqués que moi dans l'histoire. J'en tiendrai compte. J'aurais aussi dû commencer avec cette partie, et inclure la partie avec Gohn directement dans ce chapitre. J'y avais pensé, mais pas vu les choses ainsi et fait un mauvais choix…

- c'est vrai que la partie était assez "creuse". les relecteurs pourront témoigner du gros travail qui a été fait pour faire avancer la situation de Piccolo, entre ce que je leur avais filé et le résultat final. En gros, j'ai réuni deux scènes. Il est aussi vrai que j'ai passé énormément de temps sur cette scène, car c'est clairement l'événement le plus important de cette partie, là où les deux autres servent à préparer la suite. J'ai trop négligé le reste.

- Je comprends ta frustration sur la scène avec Vegeta. Au final, tout ce qui se "passe", c'est que Ghourdh est enfermé et qu'on introduit le premier amour de Vegeta. Je comptais faire qque chose de plus long, et à l'origine, il y avait une scène supplémentaire où l'on voyait ce dernier infiltrer le hangar à vaisseau en utilisant ses pouvoirs, que j'ai finalement retirée pour alléger le texte.

- Ça fait plusieurs fois que tu me demandes de mieux situer l'action, et que je n'en tiens pas (assez) compte, visiblement. J'avais eu une idée que je n'ai pas encore développée, mais je vais sérieusement travailler là-dessus pour la partie V.

Bref, merci beaucoup pour tes remarques constructives. Là, je n'en ai pas le temps, mais je reprendrai certainement ce chapitre mardi ou mercredi en effectuant des modifications.

Et si tu veux rejoindre l'équipe des beta-lecteurs, c'est volontiers. Comme je l'ai deja dit, ton avis m'est précieux et j en demanderai pas plus que ce que tu viens de faire. Par contre, ça me serait très utile de l'avoir avant de poster.

Edit:

Et tu viens de me rappeler que Krillin est mort, il deviens quoi d'ailleur?

Chap 4, partie 1:

Carnets de Mr Pòpo n°10'724

Le saiyan nommé Vegetà et Son Gokù ont combattu. Son Gokù a perdu.
Ils sont partis s'entrainer avec le troisième saiyan, Nappà, et le fils de Son Gokù sur une île du sud. Ils ont d'abord voulu utiliser la Salle de l'Esprit et du Temps, mais quand nous leur avons parlé de la limite de deux ans, ils ont renoncé. Ou plutôt, Vegetà a renoncé… Il semble avoir sur Gokù une influence malsaine.

Yamcha a bénéficié de soins conventionnels, en attendant que Karine récolte de nouveaux senzus. Ça ne devrait pas tarder. Tèn Shin Han, lui, a préféré aller s'entrainer de son côté. Le Tòut-Puissant a mené Krilin et Chaozu dans l'autre-monde. Ils vont eux aussi suivre les enseignements de Kaïo.

Quant au démon Piccolo, il a récupéré rapidement, puis il a disparu. Le Tòut-Puissant m'a chargé de le retrouver, mais jusqu'ici, nulle trace du démon…

Je meurs d'envie d'en dire plus, mais je m'abstiendrai.