Faîtes-nous partager votre fibre littéraire en écrivant votre propre histoire mettant en scène les personnages de Dragon Ball et, pourquoi pas, de nouveaux ! Seules les fanfictions textes figurent ici.
"Meilleur" seulement? Mmmmmh… Pas encore assez bien, donc…
Tu emploie aussi le mot gageur ? Tu voulais dire gageure ?
Complètement; j'étais certain que ça s'écrivait comme ça… Merci beaucoup, j vais aller corriger !
Et il manque effectivement des virgules. Par contre, dans la phrase que tu cites, je ne trouve pas que ce soit le cas. Tu la mettrais où? Tu entourerais "paume en avant"?
En tout cas gohan a revelé sa colére, je suis impatient de lire la suite du combat
Et moi de l'écrire. La prochaine partie signera la fin du chapitre, comme celle du combat contre Nappa; enfin, c'est en tout cas ce que j'ai prévu, après, on verra bien ce que les persos décident de faire, ce ne serait pas la première fois que je séparerais une partie en deux. C 'est la première fois que je publie en cours d'écriture, et force est de constater qu'il y a d'importantes différences entre ce que j'avais prévu et ce qui se retrouve sur le forum…
J'ai un peu la flemme de faire une critique détaillée, alors je signalerai juste deux choses: primo, j'aime beaucoup ce que tu as fais du personnage de Tenshinhan. Premièrement, parce que c'est un de mes persos préférés, et deuxièmement parce que son entêtement et sa lenteur à pardonner sont parfaitement exploités, chose peu fréquente. Par contre, de manière prévisible, on se heurte à un manque criant de descriptions plus détaillées quand on sort du cadre connu. J'ai eu du mal à me représenter la scène avec Jim, au centre scientifique... Les derniers chapitres sont plus longs. C'est bien.
Voilà, sinon, comme d'hab' : c'est super bien fait, scénario aux petits oignons, pas trop d'ooc... Et surtout un excellent rythme de parution.
"Dorenavant votre rage me parviendra comme un sketch de Gad Elmaleh" Many, 12 juin 2016
J'ai un peu la flemme de faire une critique détaillée,
Comme je te comprends ^^
j'aime beaucoup ce que tu as fait du personnage de Tenshinhan
Merci. Pour moi, Ten Shin Han est un personnage sombre et torturé. Tout le calme dont il fait preuve par la suite, c'est à mon sens une manière de maîtriser ses démons. C'est pour ça que j'ai laissé des senzus à Yamcha. D'abord parce que le manga original rend parfaitement ça possible. Ensuite parce que je trouve ce choix ("qui soigner?") absolument immonde dans le contexte. Pour être honnête, ce n'était absolument pas prévu, et ça risque bien de m'obliger à rebooter la forme des chapitres. Le chapitre onze risque fort de devenir, à terme, le 13 ou le 14. Parce que j'aime bien aussi, et que je n'ai pas envie de m'arrêter là dans le developpement du perso. En gros, je pensais "sauter" tout un arc avec une bonne vieille ellipse des familles, mais je vais surement plutot rajouter les 2-3 chapitres nécessaires. je verrai une fois au bout du chapitre 7.
Par contre, de manière prévisible, on se heurte à un manque criant de descriptions plus détaillées quand on sort du cadre connu. J'ai eu du mal à me représenter la scène avec Jim, au centre scientifique...
C'est noté. J'ai pourtant fait un effort, mais visiblement pas assez. Je reprendrai ces scènes, car, comme tu t'en doutes peut-être, la ligne de Jim n'est pas terminée. Il aurait peut-être mérité un meilleur traitement. J'y ai pensé hier soir, et peut-être qu'il aurait fallu que je fasse une scène introductive, du genre de celle de Max. Ou alors, c'est effectivement un défaut d'écriture. En tout cas, c'est noté.
Les derniers chapitres sont plus longs. C'est bien.
A peine, en fait. Par contre, si tu aimes les longs chapitres, le prochain ne te décevra pas
Voilà, sinon, comme d'hab' : c'est super bien fait, scénario aux petits oignons, pas trop d'ooc... Et surtout un excellent rythme de parution.
Merci. Ravi que le scénar plaise, j'ai l'impression d'avancer tellement lentement… Pas en terme de mots, mais j'aurais jamais cru que le combat contre Nappa durerait aussi longtemps. Je voulais poster la suite hier, mais comme je l'ai dit, la dernière partie sera vraiment longue (genre le ch 5, voire plus), et ces chapitres sont bcp plus durs à écrire car ils requièrent beaucoup plus d'énergie à la relecture et donc de temps. Et il y a un moment ou je devrai ralentir, mais je veux au moins terminer les deux premiers sauts avant, histoire d'avoir vraiment installé l'univers. Si j'avais été vraiment malin, j'aurais en fait commencé à publier à ce moment-là, ça m'aurait évité de devoir renuméroter des chapitres…
Sinon, j'ai ajouté une table des matières, revu le titre de certains chapitres et effectué pas mal de corrections (mineures: des tournures de phrases, orthographe, mise en page,…)
Enfin merci a toi d avoir pris le temps d ecrire un com, c est motivant.
Bon, finalement, je ferai un partie de plus. De toute manière, comme je l'ai dit hier, il faudra, à un moment, que je reprenne l'organisation des chapitres.
Bref:
Chapitre troisième – Le Chant des Saiyans
Partie III - Fuite
Nappà racla le sol sur une bonne dizaine de mètres mais parvint à se rétablir sur les pieds, en position de garde. Il fut soulagé de constater que son adversaire ne l'avait pas suivi.
Ça allait mal. Le namek n'avait pas bluffé : il était désormais parfaitement capable de rivaliser avec lui. Comment est-ce que ça avait pu arriver ? Même après leur attaque en traître, il leur restait largement supérieur ! Il l'avait étalé en un coup, ce mec tout vert ! Et maintenant, chaque échange se terminait à son avantage. Si ça continuait comme ça, il allait y laisser sa peau…
« Bon… »
C'était le moment de sortir son joker.
Le saiyan se redressa.
À quelques mètres de lui, Piccolò le nargua :
— Alors ? On dirait que les minables ont finalement réussi leur coup ! Mais il est maintenant temps d'en finir.
— En effet, finissons-en !
Nappà leva les bras, et deux sphères d'énergie apparurent dans ses mains. D'un rapide mouvement du buste en avant, il les propulsa sur Piccolò.
« Mais qu'est-ce qu'il fait ? », se demanda le namek en évitant facilement l'attaque d'un bond en arrière. L'impact fut cependant important, et une partie du paysage vola en éclat tandis qu'une épaisse fumée envahissait l'espace. Ce fut Krilìn qui répondit à son questionnement en hurlant :
— Attention !! Il s'enfuit !!
Piccolò ne l'avait pas remarqué tout de suite, concentré sur une potentielle attaque du saiyan à travers la fumée, mais en effet : le ki du saiyan s'éloignait. Instantanément, il traversa le nuage et se rua à sa poursuite, Krilìn sur ses talons.
« Merde ! », pensa le démon, « Si cet enfoiré s'en sort et qu'il récupère, on n'aura pas de deuxième chance ! L'occasion est trop belle d'en éliminer déjà un avant l'arrivée de Son Gokù ! »
À l'idée de devoir compter sur son ennemi de toujours, le namek enragea.
Son aura explosa tandis qu'il se focalisait sur sa vitesse.
C'est ainsi qu'il ne sentit qu'au dernier moment la présence d'un sixième saibaiman qui lui fondait dessus la jambe en avant, à pleine puissance. Le namek eut à peine le temps de l'apercevoir et de réaliser ce qui allait arriver que déjà la créature enfonçait largement sa patte dans sa joue, déformant son visage et déviant sa trajectoire jusqu'à ce qu'il emboutisse un pan de colline à pleine vitesse, s'enfonçant largement dans des décombres…
Krilìn arrêta net sa course et resta une seconde indécis. Que faire ? Sans appui, ses chances face au saiyan seraient faibles, voire carrément nulles. Il ne pouvait pas continuer seul. Il avait besoin d'aide.
« Bordel ! Mais où sont Tèn Shin Han et Yamchà ? Et Gòhan ? »
Il sentit leur ki, au loin. Ils n'avaient pas bougé. Celui de Yamchà était même étonnamment faible !
« Mais… mais qu'est-ce qui se passe ? Ce serait le second saiyan qui réapparaîtrait maintenant ? »
Ils étaient en train de tomber dans un piège ! La priorité, c'était de protéger Piccolò et de rester groupés. Krilìn se concentra pour vérifier qu'il n'y avait pas une autre de ces créatures tapie dans les bois. Rien à des kilomètres.
Puis il fondit sur le saibaiman.
Celui-ci le reçut d'un coup de pied vertical qu'il évita de justesse en se penchant en arrière. Ce faisant, il ramena ses mains vers l'avant, dans lesquelles il avait discrètement préparé deux kikohas, que le saibaiman évita in extremis en se déséquilibrant sur le côté. Krilìn en profita et plaça un coup de pied en plein dans le visage, qui envoya voler la créature au loin. Mais il manqua de puissance et le saibaiman arrêta sa course en l'air, et se prépara à recevoir un adversaire qui lui arrivait dessus à pleine vitesse, les poings en avant.
Le Saibaiman sourit. Il se pencha en avant et propulsa par son crâne un jet de cet acide mortel qui avait dissout le pied de Piccolò.
Krilin n'eut pas le temps d'esquiver.
Le jet l'atteignit en pleine course, de face, et le saibaiman s'esclaffa de manière sadique et irréelle. Mais soudain, son rire s'arrêta net. La créature ouvrit de grands yeux. Quelque chose n'allait pas. Au lieu de se tordre de douleur, l'humain disparaissait simplement. Ce n'était pas lui : simplement son reflet !
Derrière elle, la créature entendit :
— Kienzan !
Le temps qu'il se retourne, le saibaiman ressentit une douleur à l'estomac tandis qu'un disque énergétique tranchant s'enfonçait à travers son abdomen, cautérisant instantanément les chaires. Incrédule, il regarda ses jambes chuter au loin tandis que son propre visage se rapprochait dangereusement du sol.
Krilìn atterrit à proximité de l'amas de roches où avait disparu Piccolo.
A l'instant où il entreprit de les dégager, des rais d'énergie surgirent des interstices entre les pierres, accompagnés d'un son sourd et persistant. Krilìn bondit en arrière juste avant que l'amas n'explose. Le namek se tenait à l'épicentre.
— Piccolò, ça va ?
— Tais-toi, j'essaie de le repérer.
— Piccolò, on a un problème, l'énergie de Yamcha…
— Tais-toi, j'ai dit !!
Le namek jeta un regard sévère à Krilìn. Regard qui changea en l'espace d'une fraction de seconde pour afficher la stupeur.
— Attention !!
Trop tard.
Déjà, le tronc du dernier saibaiman se précipitait sur Krilìn par derrière, les bras écartés. Il l'enserra.
En tournant la tête, le jeune humain n'eut que le temps de remarquer un regard vitreux, presque transparent, et un sourire de satisfaction sur le visage de son ennemi.
Puis, ce dernier explosa.
Yamchà gisait à terre, inconscient, le visage tuméfié.
A côté de lui, Tèn Shin Han était à quatre pattes, les mains crispées sur deux mottes d'herbes.
Tout son corps tremblait.
Les images s'enchainaient à un rythme endiablé dans sa tête. Chaozù. Le Saiyan. Chaozù .
Yamchà.
Tèn Shin Han leva la main droite et la regarda. Ses phalanges étaient en sang. Lentement, il tourna la tête vers Yamchà. Une larme apparut dans son œil unique, qui lui coula lentement sur l'arrête du nez.
Yamchà se leva brusquement et lui fit face, le regard sombre et déterminé. Il eut un sourire mauvais.
— Je préfère le donner à Piccolò.
Quel genre de monstre laisse mourir un ami pour sauver un ennemi ?
— … à Piccolò. Piccolò Piccolò PiccolòPiccolòPiccolòPiccolòPiccolòPiccolòPiccolòPiccolò
Yamchà le saisit à la gorge.
— Je suis désolé. Il est mort en héros.
Chaozù lui sourit.
Les yeux de Tèn Shin Han étaient quasiment révulsés
— Monsieur ?
Il sursauta. Il était assis dans l'herbe. Yamchà gisait toujours à ses côtés.
Le fils de Gokù.
— Il ne faut pas être triste, Monsieur. Ce n'est pas votre faute.
— Pas ma faute ?
Tèn Shin Han se sentit comme absorbé dans un vortex. La réalité l'enroba. Il resta un instant interdit. Les formes reprirent leur apparence normal. Les couleurs se stabilisèrent autour de lui. Le vent recommença à souffler par intermittences sur son corps. Il perçut à nouveau les énergies alentour. Yamchà, très faible; Gòhan, à côté de lui. Plus loin, une énergie puissante laissa exploser son aura. Instinctivement, il sonda la zone. Une seconde force se trouvait à proximité.
Soudain, l'une d'entre elles disparut dans un nouveau déferlement d'énergie.
« Mais qu'est-ce que… ? »
Tèn Shin Han réalisa soudain la gravité de la situation.
Il attrapa Son Gòhan par la main et décolla.
Marta n'avait jamais aimé Gingertown.
La ville était trop paisible, trop calme. Il ne s'y passait rien. Jamais. Elle était, selon ses propres termes, « d'un ennui mortel ». Bien sûr, quand Jim lui en avait parlé pour la première fois, ça avait tout du rêve ; promotion, aventure, vie commune. Et puis, le Centre scientifique royal leur mettait à disposition cette fantastique petite maison dernier cri, avec un système de mise en capsule. Une jolie petite maison à deux dômes, comprenant une terrasse et une tour en spirale. De quoi loger six personnes, au bas mot ! Ses amies avaient pâli quand elle leur avait montré les photos !
Une maison dans laquelle Marta passait désormais presque toutes ses journées. Elle avait bien essayé de trouver différents jobs et de s'intégrer dans diverses associations locales, mais tout, dans ce patelin, semblait lui signifier qu'elle n'était pas la bienvenue. Et maintenant, elle n'essayait même plus.
Elle avait pourtant fait des efforts.
Mais ce n'était pas tant le mépris des voisines, les refus des patrons ou le manque d'animation qui la minait que l'absence perpétuelle de son homme, complètement absorbé par son travail. C'était devenu une obsession. Une passion. Jamais elle n'avait été jalouse des autres femmes. Elle avait une parfaite confiance en Jim. Mais il était maintenant tellement absorbé qu'il ne semblait même plus la voir… Maintenant, elle se rendait compte qu'elle était jalouse du travail de son mari. Marta savait que c'était important pour lui. Mais devait-elle vraiment supporter la solitude au nom de l'amour ?
Elle se posait de sérieuses questions. À dire vrai, elle avait déjà consulté des annonces pour un appartement dans la capitale de l'ouest. Il fallait qu'ils aient une discussion. Mais ce n'était jamais le bon moment.
Ainsi, ce soir-là, comme presque tous les soirs, Marta regardait l'assiette de Jim refroidir en buvant un verre de vin rouge, assise à la table de leur salle à manger. D'habitude, la télévision était allumée derrière elle, histoire de donner l'illusion d'une compagnie, mais ce soir, au lieu des informations, c'est une musique classique douce qui accompagnait ses pensées.
Ce soir serait le soir. Celui où se jouerait l'avenir de leur couple.
Déjà deux heures de retard. Ce n'était pas inhabituel.
Qui plus est, pour une fois, Marta n'avait pas envie de s'en plaindre. En fait, elle ne savait pas vraiment par où commencer. Elle ressassait des phrases depuis plusieurs heures, mais aucune ne lui semblait idéale. Tout semblait tellement clair dans sa tête ! Mais au moment de mettre des mots sur ses pensées, ceux-ci lui échappaient, comme si son esprit refusait de concrétiser ses émotions.
Elle était encore en train de chercher la bonne approche quand, finalement, Jim entra dans la pièce. Il avait la trentaine, mais faisait dix ans de moins. Ses abondants cheveux châtains, coupés courts, sa peau mat et lisse ainsi que son rasage impeccable le rajeunissaient sensiblement. Sa tenue allait dans le même sens : un sweat-shirt délavé frappé du sigle de l'équipe de baseball de Gingertown, une paire de jeans usés jusqu'à l'os et des baskets basses dont la semelle se décollait à moitié. On aurait dit un ado.
Il lança sa besace sous le porte-manteau et se dirigea instantanément vers la table.
— Désolé pour le retard, on a eu pas mal de choses à régler avec ce qui s'est passé à la Capitale de l'est. Tu vas bien ? », demanda-t'il en prenant place en face de Marta. Aaaaaah, je meurs de faim !
— Ça va…
— Bon, il va falloir qu'on prenne des dispositions. Je ne suis pas encore sûr de l'origine exacte du phénomène, mais une chose est sûre, ça sent mauvais. Je pense qu'il faut qu'on quitte la ville.
— Quoi ? Mais… ton boulot ?
Jim regarda sa femme d'un air grave tout en avalant une large bouchée de purée froide.
— Ta chécurité pache avant tout, bafouilla-t-il avant de déglutir. Et puis, ça a été une telle panique ! Figure-toi que peu de temps après le "séisme", comme ils disent à la radio, j'ai réussi à stabiliser une image. Une image d'une personne. Tu ne devineras jamais de qui il s'agissait ! Du démon Piccolò !
— …Jim…
— Oui, je sais, ça semble incroyable, mais c'est pourtant la vérité. Et il y a mieux !
— Jim…
— Attends ! En fait, quand j'ai eu l'image, ça a été une panique totale. Le Centre est… »
Marta avait jusqu'ici parlé d'une voix timide. Elle l'interrompit cette fois fermement.
— JIM ! De quoi est-ce que tu parles ? Qu'est-ce qui s'est passé à la Capitale est ? »
Jim arrêta de manger, et un silence de plusieurs secondes s'installa, si l'on omettait le menuet qui égrainait toujours ses harmonies en arrière-fond.
— Tu veux dire que tu ne sais rien ?
— Savoir quoi ?
— Bon, je termine le repas. Pendant ce temps, prépare la maison pour une mise en capsule. On part pour la campagne ce soir. Je t'expliquerai en route.
++
Dernière édition par niicfromlozane le Jeu Nov 24, 2022 0:45, édité 9 fois.
Ravi que le chapitre t'ait plu! Pour le couple, il faudra attendre que le soleil se couche, dans le prochain chapitre, pour connaître la suite de leurs aventures.
Sinon, à la suite d'un énième remaniement de scénario, j'ai décidé de reprendre tous les noms des persos en y ajoutant l'accent caractéristique des Goku et Vegeta de cette Timeline. Ça me laissera une meilleure marge de manœuvre. Le chapitre 11 devient également le chapitre 14. Je le regrette, mais c'est pour le mieux, du moins j'espère. J'effectuerai ces changements dans la semaine, et comme elle est chargée, le chapitre 8 ne paraîtra certainement pas avant la semaine prochaine. Mais comme la dernière partie du sept est assez longue, je pense que vous saurez patienter.
Bonne lecture!
Niic
Chapitre troisième – Le Chant des Saiyans
Partie IV - Le Retour des Saiyans
Tèn Shin Han et Son Gòhan rejoignirent enfin Piccolò. Celui-ci flottait, immobile, à une cinquantaine de mètres du sol, à l'endroit-même où il avait été repéré quelques minutes auparavant. Il semblait en pleine concentration.
Mais lorsqu'ils s'arrêtèrent à ses côtés, le namek interrompit sa méditation et ouvrit les yeux.
— Je ne parviens pas à le repérer ! fulmina-t-il.
— Où est Krilìn ? Où est passé le Saiyan ? s'enquit Tèn Shin Han d'un ton autoritaire.
— Je viens de te dire que je n'arrivais pas à le repérer. Quant à ton pote, il a subi le sort réservé aux faibles, répondit Piccolò froidement, tout en désignant d'un geste du menton la dépouille du terrien, qui gisait au sol, au centre d'un cercle d'herbes calcinées.
Lui aussi avait déjà été ressuscité… Lui aussi tué par Piccolò la première fois…
Ten Shin Hàn n'en revenait pas. Ce monstre ne laissait transparaître aucune émotion, aucun regret. Et c'était pour sauver un être aussi immonde qu'on avait sacrifié son ami ? Il serra les poings mais maîtrisa sa colère.
— Et la suite du programme, c'est quoi ?
— Je ne sais pas encore, mais ça implique de foutre la lattée de sa vie à ce connard. Et cette fois, il ne s'enfuira pas ! Qu'est-ce qui est arrivé à ton pote, le chevelu ? Je ne sens presque plus son énergie. Il s'est aussi fait avoir par une de ces bestioles explosives ?
Tèn Shin Han serra les dents. Il baissa le regard et répondit :
— Les choses ont mal tourné, mais il va s'en sortir.
— Tant mieux. On aura besoin de son pouvoir. On ne peut pas compter sur celui-là ! cracha le namek en regardant Son Gòhan.
Le jeune garçon baissa les yeux. La déception qu'il dégagea eut raison de Tèn Shin Han.
— Tu n'as vraiment aucune limite dans l'exercice du mal et du vice. Tu frappes le monde du sceau de la déception et du désespoir. Autour de toi, tout se fane, tout souffre, tout dépérit ! Tu es une aberration, une abomination, une insulte à l'univers et tu ne sèmes que la douleur dans ton sillage. Tu es abjecte…
— Merci, mais ces flatteries ne m'aident pas à me concentrer.
Piccolò ferma à nouveau les yeux et plaça ses index sur ses tempes. Une légère aura blanche l'entoura.
Il resta ainsi de longues minutes tandis que son esprit scrutait les kis dans toutes les directions.
Puis il sourit et murmura pour lui même :
— Je te vois.
À la même seconde, il s'élança vers l'est dans une débauche d'énergie. Gòhan le suivit.
Tèn Shin Han resta quelques secondes dans les airs à observer les traînées de ki qui s'éloignaient.
— Et voilà. Une fois de plus, je pactise avec le diable…
Puis il s'élança à son tour.
Le Tòut-Puissant et Mr Pòpo se matérialisèrent soudainement, debout sur le tapis, quelques mètres au-dessus des dalles blanches du sanctuaire céleste.
— Quel désastre. Ces humains m'ont vu. Ils m'ont filmé !
Son serviteur ne répondit pas. Ni l'un, ni l'autre ne comprenait ce qui avait bien pu se passer. On les avait frappés par derrière, puis ils étaient restés enfermés… deux heures ? Peut-être un peu plus…. Etait-ce le fait des saiyans ?
— En tout cas, ils ont débarqué, poursuivit le Tòut-Puissant en se penchant par-dessus le rebord. Mr Pòpo, allez donc faire un tour dans le palais pour vérifier que toute menace est écartée. Je vais essayer de faire le point sur la situation. Au moindre problème, quel qu'il soit, appelez-moi sans hésiter.
Il s'exécuta sans attendre.
Mmmmmmmmh
Visiblement, Chaozù et Krilìn étaient morts, et Yamchà blessé. Mais où étaient les saiyans ? Là ! Il y en avait un. Il était blessé et semblait cacher sa puissance, même s'il était encore maladroit dans l'exercice. Pas de trace de l'autre. Ils avaient dû l'av…
Mais ?
Kàmi ressentit une douleur terrible et diffuse sur l'ensemble de sa planète. Ses enfants souffraient moralement. Ses enfants avaient peur !
Ces enfoirés ont fait sauter la Capitale est !
Tous ces morts. Toute cette peine ! Il serra son bâton divin avec nettement plus de force. La colère l'envahit.
Soudain, l'aura de Pòpo augmenta brusquement. Le Tòut-Puissant se retourna et se propulsa en direction du palais. Une seconde aura, absolument monstrueuse y fit brusquement son apparition. Il s'arrêta. Son premier réflexe avait été de porter secours à son serviteur, mais dans ce cas concret, il ne pouvait rien faire en attaquant de front. Il devait ruser.
— Qui es-tu ? Où sommes-nous ?
Dans un couloir du palais, Vegetà, en loques mais en pleine forme, tenait Mr Pòpo par le col.
— Vous… Vous êtes sur une Terre sacrée. Le recours à la violence y est interdit.
Le saiyan resta un instant circonspect. C'était bien la première fois qu'il entendait une ânerie pareille ! Mais il se reprit rapidement :
— Interdit, dis-tu ? Et par qui ?
Il afficha un sourire carnassier et rapprocha son visage de celui de Pòpo avant de compléter :
— Pas par moi, en tout cas ! Bon ! Sur quelle planète sommes nous ?
— Sur… Sur quelle planète ? Mais la Terre !
Ainsi, le Super Saiyan avait dit vrai. Le mois qui venait de s'écouler n'avait donc bien duré que quelques heures. Trois, tout au plus…
— Bien. Où est Nappà ?
— Qui ?
— Arrête de te foutre de ma gueule. Si Nappà est resté seul sur cette planète plusieurs heures, alors tu sais forcément qui c'est !
Une voix dans son dos interrompis l'interrogatoire :
— Mr Pòpo ne sait rien de toutes ces histoires. Je suis le seul à pouvoir vous renseigner.
Vegetà se retourna.
Face à lui se tenait le Tòut-Puissant. Son attitude transpirait l'assurance et la détermination. Mais Vegetà n'était pas du genre à se laisser impressionner. Tout en maintenant sa prise sur le serviteur divin, il observait et jaugeait le nouvel arrivant dans les moindres détails.
— … Un namek. Ici. Comme c'est intéressant… Je vois ! C'est certainement à toi qu'on doit ces boules qui exaucent les souhaits.
— Oui, et si vous le tuez elles disparaîtront ! précisa Pòpo
Vegetà lui lança un regard noir.
— Merci pour l'info, mais maintenant, tu laisses parler les grandes personnes.
Il reporta son attention sur le Très-Haut.
— Bon, c'est donc à toi que je pose la question : où est Nappà ?
— Vous avez déjà eu une information. C'est à votre tour de faire preuve de bonne volonté. Relâchez mon serviteur.
Le saiyan partit d'un grand rire.
— Mettons tout de suite les choses au point, vieillard : tu n'es pas en position de négocier. Ta puissance est ridicule et je pourrais t'écraser d'un seul coup.
— C'est vrai. Quel intérêt, dans ce cas, de prolonger cette conversation et de retarder le moment où je vous dirai ce que vous voulez savoir ? Relâchez-le.
Vegetà resta un moment indécis. La situation l'amusait beaucoup.
— Bien, puisque tu tiens tant à récupérer ton déchet, le voici !
D'un geste du bras, il lança Mr Pòpo en direction de Kàmi. Il atterrit durement sur le sol carrelé. Son maître lui porta assistance pour l'aider à se relever.
— Bien, parle, maintenant. Sans quoi, je vous réduis en poussière tous les deux avant même que tu n'aies eu le temps de regretter ton silence.
Le dieu de la Terre lui jeta un regard sombre. Puis il disparut instantanément avec son serviteur, sous le regard médusé de Vegetà.
Assis contre le tronc d'un arbre sous le soleil couchant, Nappà tentait tant bien que mal de cacher ses pouvoirs. Ces êtres pouvaient sentir l'énergie. Il l'avait constaté lors du combat des saibaimans. Du coup, il essayait de masquer la sienne. Mais il n'avait encore jamais été contraint à cet exercice, et il éprouvait toutes les peines du monde à le pratiquer. Jamais il n'aurait pensé en être réduit à ça ! Encore une fois, il remercia le ciel que Vegetà ne soit pas là.
Mais cette humiliation n'allait pas durer. Déjà, il récupérait des forces. Et la gêne qu'il ressentait commençait elle aussi à s'estomper. Quand il serait rétabli, les choses se passeraient différemment ; cette fois, il ne se laisserait pas surprendre, et ces terriens allaient subir la terrible colère des saiyans !
Il essaya de se détendre.
Tiens ?
Quelque chose venait d'apparaître dans son champ de vision. Il plissa les yeux et concentra légèrement son pouvoir pour augmenter son acuité visuelle.
— C'est pas vrai !! s'exclama-t-il.
Ils l'avaient retrouvé.
Bon, finalement, ça n'était pas plus mal. Il allait en finir et récupérer sa fierté. Il cessa de masquer son énergie et, au contraire, accéléra la concentration de ses pouvoirs.
Une minute plus tard, Piccolò, Gòhan et Tèn Shin Han se tenaient face à lui.
— Alors, tu avais des courses à faire ? ironisa le namek.
Pour toute réponse, le saiyan se rua sur lui le poing en avant. Instantanément, Piccolò réalisa que le saiyan avait déjà récupéré une bonne partie de sa force et qu'il ne pourrait pas parer comme la dernière fois. Il parvint cependant à esquiver le coup d'un saut périlleux par-dessus son ennemi, et se rétablit en position de défense. Mais le saiyan ne l'avait pas enchainé.
C'était Tèn Shin Han qui était maintenant sa cible. Il parait comme il le pouvait les terribles coups de Nappà, mais il était clair qu'il n'allait pas prendre le dessus.
Son Gòhan tenta d'attaquer, mais l'ennemi le repoussa d'un rapide revers de main, sans même le regarder, et continua de presser le terrien pour le forcer à ouvrir sa garde.
Piccolò ne se contenta pas d'observer et chargea. Une chorégraphie mortelle se mit en place tandis que les combattants alternaient coups de poing, de pied, parades et esquives. Mais les rares coups qui faisaient mouche n'étaient pas suffisamment décisifs pour faire pencher la balance.
Chacun faisait attention à ne pas gaspiller inutilement son énergie, conscient que ce serait certainement la clef du combat.
Soudain, Tèn Shin Han se replia d'un bon en arrière. Piccolò ragea. Cet humain était décidément peu fiable ! Il était déjà à bout de forces ? Quelle faiblesse ! Mais il ne se laissa pas déconcentrer et continua de se battre en redoublant d'efforts pour tenir le rythme du saiyan. Rapidement, il réalisa que ça ne suffirait pas. Ce monstre prenait gentiment le dessus. Il allait devoir…
Au même instant, Tèn Shin Han revint dans le corps-à-corps. Ses coups étaient plus vifs, plus rapides, plus précis. Et pour cause : il disposait maintenant de quatre bras ! Les terriens élevèrent encore leur niveau, atteignant alors leur paroxysme, et suite à un enchainement ravageur, l'humain parvint à frapper Nappà au torse de ses quatre poings simultanément, l'envoyant voler au loin.
Instantanément, Piccolò s'élança pour suivre le saiyan et lui porter un nouveau coup.
Mais alors qu'il allait le cogner des deux mains réunies, un bras saisit un des siens et arrêta son mouvement.
Tout à sa concentration, il n'avait rien senti venir. Il prépara déjà un nouvelle attaque pour frapper ce qui était certainement une de ces créatures vertes avant qu'elle n'explose, mais son coup fut paré à nouveau. Par un petit homme dans un costume bleu déchiré de toute part. Ses abondants cheveux bruns se dressaient sur sa tête et son regard dur ne présageait rien de bon.
— Fini de jouer, maintenant. Il faut qu'on parle.
Le Tòut-Puissant et Mr Pòpo apparurent brusquement dans le bureau du Roi Enmà. Ce dernier le regarda, étonné :
— Que fais-tu là, dieu de la Terre ? Mais ? Celui qui t'accompagne n'est pas mort ! Tu n'as pas le droit de l'amener ici ! gronda le maître des lieux en fronçant les sourcils.
Le Très-Haut avait déjà préparé sa réponse. Il ne pouvait évidemment pas avouer qu'il utilisait l'endroit comme retraite.
— Toutes mes excuses, Seigneur Enmà. Il s'agit de mon serviteur personnel. Il servait déjà les dieux terrestres du temps du prédécesseur de mon prédécesseur. Je n'ai pas pensé à mal en l'emmenant avec moi. Je suis venu recueillir Son Gokù, qui a été ressuscité, pour le ramener avec moi sur sa planète.
— Et où est-il ?
— Il devrait arriver d'un instant à l'autre.
Le Tòut-Puissant ne croyait pas si bien dire. La chance était avec lui. D'ici, il percevait enfin l'énergie de Son Gokù qui se rapprochait rapidement. Il serait là dans quelques minutes…
Yamchà reprit lentement ses esprits… Il sentit d'abord qu'on lui passait une éponge emplie d'un liquide chaud et bienfaisant sur ses hématomes au visage. Puis il distingua une ombre penchée sur lui.
— Bùlma ? Bùlma, c'est toi ?
La biche prit peur et s'enfuit en sautillant.
Yamchà essuya précautionneusement la salive qu'elle avait déposée sur ses plaies. Il avait encore un peu de peine à trouver son équilibre. Il concentra son ki dans son visage afin d'accélérer ses facultés de récupération et diminuer la douleur.
Tèn Shin Han n'y était pas allé de main morte. Mais Yamchà comprenait son ami. Jamais il n'aurait accepté sereinement qu'on sacrifie Bùlma ou Plùme pour sauver Piccolò. Même si ça avait été la meilleure chose à faire…
Son regard se posa sur Chaozù. Le petit homme ne reviendrait pas. Shenròn l'avait déjà ressuscité une fois… Yamchà s'agenouilla péniblement à ses côtés et rendit un hommage prolongé à son compagnon. Il avait pleinement conscience que, sans son intervention, le saiyan les aurait tous tués.
Puis il se redressa et entreprit de rechercher des kis. Il sentit les trois terribles puissances qui se battaient au loin. Une autre, plus faible, se tenait à proximité.
Mais ? Ils ne sont plus que trois contre lui ? Ça voudrait dire que…
C'est alors qu'il sentit une cinquième puissance apparaître à proximité et se diriger vers eux à toute vitesse.
Gokù ? Non… Mais qu'est-ce qu'il fout ? Oh !! Ça veut dire que… que c'est le second saiyan !?
Ça ne pouvait pas tomber plus mal ! Il était faible, et cette fois, ils avaient bien épuisé tous les senzus. Mais qu'importe ! Il saisit la dépouille de Chaozù et entreprit de rejoindre ses compagnons pour aller mourir courageusement à leurs côtés, en vrai guerrier…
Piccolò attaqua Vegetà de son bras libre. Ce dernier para aisément, le déséquilibrant, puis il le faucha d'une balayette rapide ; et quand le namek fut retombé lourdement sur le dos, il lui coupa le souffle en terminant son mouvement par un coup de coude en plein plexus.
Tèn Shin Han était stupéfait. Jamais il n'avait vu de gestes à la fois si rapides, précis, efficaces et puissants. Et ce monstre était encore loin de son maximum, il en était certain ! S'il l'avait voulu, il aurait pu tuer Piccolò rien qu'avec ce coup ! Il s'était retenu exprès… Pourquoi ? Son niveau n'avait rien à voir avec celui de son compagnon. Cette fois, il n'y avait rien à tenter. Ils allaient tous mourir.
Pendant que le namek cherchait à reprendre son souffle dans une série de hoquets bruyants, le prince saiyan se tourna vers l'humain aux trois yeux et demanda calmement :
— C'est vous qui avez fait ça ?
— Fait quoi ?
— Tenir tête à Nappà.
Tèn Shin Han ne répondit pas tout de suite. Il soupesa la question et la réponse qu'il allait y apporter. Nappà se relevait. Son armure était bien amochée.
— Désolé, Vegetà. Ils m'ont pris en traître et…
— Tais-toi. Je me fous de tes excuses minables. C'est à eux que je parle.
Nappà s'exécuta.
— Oui, c'est nous qui avons « fait ça », répondit finalement l'humain en baissant le regard.
Chaozù était mort pour rien. Tout comme il allait mourir vainement…
— Bien ! reprit Vegetà. Ça veut dire que malgré vos forces minables, vous disposez d'un certain potentiel. Vous allez venir vous entraîner avec nous.
Les trois yeux de l'humain s'écarquillèrent.
— Quoi !? Et qu'est-ce qui te fait croire que je vais accepter ?
À l'instant même où il posait la question, Tèn Shin Han ressentit une énergie puissante et familière apparaître au loin. Une énergie qui lui réchauffa le cœur et lui rendit l'espoir. Aussi les menaces que Vegetà s'apprêtait à formuler n'eurent-elles pas l'effet escompté :
— Si vous n'acceptez pas, je vous tue, c'est aussi simple que ça. En commençant par le gosse. Et où est Kakarottò ? On m'a dit que c'était le plus fort d'entre vous.
Kakarottò… Gokù, donc…
— Ne t'inquiète pas. Tu vas le rencontrer bientôt.
++
Dernière édition par niicfromlozane le Jeu Nov 24, 2022 0:58, édité 7 fois.
Je suis ravi que ça vous ait plus. J'ai quand même un peu pris sur mes heures de sommeil pour la suite:
Spoiler
mais j'ai pas encore fini.
Quel troll, ce niic!
Edit du 7 novembre:
Voilà. J'ai renommé les chapitres et mis de l'ordre dans l'ensemble- Je pense qu'à terme, la fic sera plus lisible comme ça. Le moyen le plus simple d'y voir clair consiste à consulter le sommaire dans le premier post de ce topic.
Je me fends quand même d'un commentaire.
Cette réorganisation est la conséquence directe d'une profonde méconnaissance du format de ma part. J'ai présumé beaucoup d'éléments dans ma manière de faire et négligé des points importants. Aujourd'hui, je me rends compte que le format que je propose aujourd'hui apportera plus de cohérence à l'ensemble, ainsi que plus de liberté pour mes personnages. Bref, j'apprends et j'essaie. Dans l'idée de faire le mieux possible. Désolé si ça déplait à quelqu'un.
Ton dernier chapitre était bien. L'avant dernier aussi. Mais des choses m'ont gêné.
Dans ton dernier chapitre, je sais pas si c'est moi qui ne me rappel plus très bien, mais je trouve que ton Piccolo est un peu Out of character. Dans le manga, contre Nappa, il s'est sacrifié pour sauver Gohan alors que la, limite si c'est pas de la merde à ses yeux. Pareil pour Krillin et Yamcha. Je sais bien qu'à cette époque ce ne sont pas de grands amis, mais la... son dédain est un peu trop poussé. Ce genre de comportement irait bien a Végéta, mais ça fait bizzare sur Piccolo de l'époque, un peu plus en retenue que le sayan. J'en ai tellement été choqué que j'ai crus un moment qu'on était partis dans un autre monde parallèle. J'ai du relire plusieurs fois pour bien faire le lien avec le chap précédent.
L'avant dernier chapitre était un poil confus au niveau des combats.
Pour terminer sur une note positive, les petits gif de persos à la place des dragons sont beaucoup mieux.
Cell: l'ascension de la terreur- Cell a vaincu Son Gohan lors du Cell game!! Quel sort réserve-t-il à la Terre?? Pour le savoir....viewtopic.php?f=42&t=5990 Chapitre 138: publié Chapitre 139- 145: 90%- relecture, correction
Cell: Damned Souls- Les aventures parallèles de héros de "l’ascension de la terreur". Pour les connaitre: viewtopic.php?f=42&t=6774 abandonnée
J'attendais ton com avec impatience (ce qui est rare est précieux ).
Pour terminer sur une note positive, les petits gif de persos à la place des dragons sont beaucoup mieux.
Maintenant que j'ai le feu vert, je vais changer le dragon pour les persos dans les autres parties. Et mettre un crédit quelque part.
Ton dernier chapitre était bien. L'avant dernier aussi.
Merci. C'est ce que je retiendrai de ton com', principalement
Dans ton dernier chapitre, je sais pas si c'est moi qui ne me rappel plus très bien, mais je trouve que ton Piccolo est un peu Out of character. Dans le manga, contre Nappa, il s'est sacrifié pour sauver Gohan alors que la, limite si c'est pas de la merde à ses yeux. Pareil pour Krillin et Yamcha. Je sais bien qu'à cette époque ce ne sont pas de grands amis, mais la... son dédain est un peu trop poussé. Ce genre de comportement irait bien a Végéta, mais ça fait bizzare sur Piccolo de l'époque, un peu plus en retenue que le sayan.
Ok, je comprends ce que tu veux dire.
A mon avis, la noirceur de Piccolo s'efface justement lors de son sacrifice. Tu sembles au contraire considérer que Piccolo est "déjà mûr" est que le sacrifice n'est qu'un événement déclencheur. A mon sens, les deux avis se valent, mais je tiens à présenter quelques scènes tirées du manga, qui, loin d'invalider ta vision du personnage, tendent cependant à également justifier la mienne. Ca peut nous permettre de nous rejoindre quelque part.
Lors de l'arrivée de Krilin: "Ah c'est toi. Hé hé hé. Qu'est-ce que tu viens faire ici? Tu veux jouer les boulets?" "(…). D'autres minables ont l'intention de venir aussi?"
Pareil quand Yamcha se fait exploser par le saibaiman. Dans le plan large, on constate que toute la Z Team est atterrée, sauf Piccolo qui ne laisse rien paraitre. On sent bien qu il y a un decalage affectif. Il en fait que commenter l'attaque du saibaiman: "Ca alors! Il s'est fait exploser…"
Quand Krilin veut porter secours à Ten Shin Han qui vient de se faire later le bras par Nappa: "Laisse tomber, on peut plus rien faire pour lui."
Quand Chaozu explose, il lui rend hommage, mais il affiche un large sourire! Le sacrifice de Chaozu ne compte pas à ses yeux. Seul compte le résultat.
Quand Gohan a peur d'attaquer nappa, il dit: "Sale gosse de merde!!" "Disparais de ma vue! je n'ai plus rien à faire d'un trouillard de ton espèce. J'ai été stupide d'espérer quoi que ce soit venant de toi."
Enfin, quand ils élaborent le plan pour saisir la queue de nappa, il hésite sur le nom de Krilin. Jusqu'ici, il n'a nommé aucun des autres terriens.
Mon analyse, c'est que Piccolo se fout des terriens. Il les voit comme des pions à déplacer pour atteindre son objectif: éliminer les saiyans. Et même si ce n'est pas le cas, c'est ce qu'il montre. Il ne ménage personne, même pas Gohan.
Contrairement au manga, mon Piccolo n'a pas été confronté au sacrifice ultime. Ses sentiments pour Gohan ne sont, à ce moment, certainement pas différents de ceux qu'il ressent dans le manga, D'ailleurs, à un moment de ma fic, Piccolo est déconcentré parce qu'il pense à Gohan et s'inquiète pour lui. Les sentiments sont donc bien là. On se rejoint donc sur ce point
Mais ma vision, c'est que comme il n'a pas été poussé au sacrifice, il n'y a pas de raison qu'il révèle sa tendresse à l'égard de Gohan.
Du coup, j'ai opté par un Piccolo à l'apparence dure et froide, pragmatique et efficace, qui ne laisse aucune place aux sentiments. Spécialement vis-à-vis de Gohan, qui n'aura eu aucune occasion de briller dans ma vision des événements
Enfin, tu noteras, qu'à ce moment, Piccolo a dépassé Nappa. Il n'a donc, dans son esprit, plus forcément besoin d'eux. Il laisse donc plus facilement libre-court à son caractère naturel.
En mot encore sur ton parallèle avec Végéta qui est intéressant. Le Piccolo dont on parle, c'est celui qui, après avoir sauvé Gohan du saibaiman, lui dira: "Ne crois pas que je l'ai fait pour te sauver. C'était pour m'échauffer pour le formidable combat qui nous attend." Le même type de phrase que Végéta sort à Gohan quand il le sauve du rayon de Freezer. Du coup, je pense qu'à ce moment du manga, Piccolo a une personnalité proche de celle de Végéta à ce moment. Et comme Végéta va tenir un rôle différent dans cette fic, je ne trouve pas inintéressant de traiter de Piccolo dans cet espace, notamment.
Alors oui, j'aurais pu traiter un Piccolo déjà sur le chemin de la rédemption. Quelque chose de plus proche de ce que tu imagines.
Mais je n'ai pas fait ce choix-là.
M'enfin, peut-être que cet éclairage qui montre qu'on est d'accord sur ses sentiments, mais pas sur la façon dont il les gère, te permettra de mieux rentrer dans ma vision du perso, d'être moins frustré à la lecture et profiter de la fic au max.
J'en ai tellement été choqué que j'ai crus un moment qu'on était partis dans un autre monde parallèle. J'ai du relire plusieurs fois pour bien faire le lien avec le chap précédent.
On est pourtant bien dans un monde parallèle. Un monde où Piccolo n'a jamais eu à sauver Gohan. Et si ça t'a poussé à relire le chapitre précédent, alors c'est très bien!
L'avant dernier chapitre était un poil confus au niveau des combats.
C'est noté. Tu n'es pas le premier à me faire la remarque. Je l'ai prise au sérieux, mais ce n'est visiblement pas encore assez. J'y travaillerai.
Voilà. J'ai bientôt fini la partie suivante, si ce n'est pas tout-à-l'heure ce sera demain.
J'attendais ton com avec impatience (ce qui est rare est précieux ).
J'ignorais que j'était tant attendu , quel honneur pour moi
niicfromlozane a écrit:A mon avis, la noirceur de Piccolo s'efface justement lors de son sacrifice. Tu sembles au contraire considérer que Piccolo est "déjà mûr" est que le sacrifice n'est qu'un événement déclencheur. A mon sens, les deux avis se valent, mais je tiens à présenter quelques scènes tirées du manga, qui, loin d'invalider ta vision du personnage, tendent cependant à également justifier la mienne. Ca peut nous permettre de nous rejoindre quelque part.
Lors de l'arrivée de Krilin: "Ah c'est toi. Hé hé hé. Qu'est-ce que tu viens faire ici? Tu veux jouer les boulets?" "(…). D'autres minables ont l'intention de venir aussi?"
Pareil quand Yamcha se fait exploser par le saibaiman. Dans le plan large, on constate que toute la Z Team est atterrée, sauf Piccolo qui ne laisse rien paraitre. On sent bien qu il y a un decalage affectif. Il en fait que commenter l'attaque du saibaiman: "Ca alors! Il s'est fait exploser…"
Quand Krilin veut porter secours à Ten Shin Han qui vient de se faire later le bras par Nappa: "Laisse tomber, on peut plus rien faire pour lui."
Quand Chaozu explose, il lui rend hommage, mais il affiche un large sourire! Le sacrifice de Chaozu ne compte pas à ses yeux. Seul compte le résultat.
Quand Gohan a peur d'attaquer nappa, il dit: "Sale gosse de merde!!" "Disparais de ma vue! je n'ai plus rien à faire d'un trouillard de ton espèce. J'ai été stupide d'espérer quoi que ce soit venant de toi."
Enfin, quand ils élaborent le plan pour saisir la queue de nappa, il hésite sur le nom de Krilin. Jusqu'ici, il n'a nommé aucun des autres terriens.
Mon analyse, c'est que Piccolo se fout des terriens. Il les voit comme des pions à déplacer pour atteindre son objectif: éliminer les saiyans. Et même si ce n'est pas le cas, c'est ce qu'il montre. Il ne ménage personne, même pas Gohan.
Contrairement au manga, mon Piccolo n'a pas été confronté au sacrifice ultime. Ses sentiments pour Gohan ne sont, à ce moment, certainement pas différents de ceux qu'il ressent dans le manga, D'ailleurs, à un moment de ma fic, Piccolo est déconcentré parce qu'il pense à Gohan et s'inquiète pour lui. Les sentiments sont donc bien là. On se rejoint donc sur ce point
Mais ma vision, c'est que comme il n'a pas été poussé au sacrifice, il n'y a pas de raison qu'il révèle sa tendresse à l'égard de Gohan.
Du coup, j'ai opté par un Piccolo à l'apparence dure et froide, pragmatique et efficace, qui ne laisse aucune place aux sentiments. Spécialement vis-à-vis de Gohan, qui n'aura eu aucune occasion de briller dans ma vision des événements
Enfin, tu noteras, qu'à ce moment, Piccolo a dépassé Nappa. Il n'a donc, dans son esprit, plus forcément besoin d'eux. Il laisse donc plus facilement libre-court à son caractère naturel.
En mot encore sur ton parallèle avec Végéta qui est intéressant. Le Piccolo dont on parle, c'est celui qui, après avoir sauvé Gohan du saibaiman, lui dira: "Ne crois pas que je l'ai fait pour te sauver. C'était pour m'échauffer pour le formidable combat qui nous attend." Le même type de phrase que Végéta sort à Gohan quand il le sauve du rayon de Freezer. Du coup, je pense qu'à ce moment du manga, Piccolo a une personnalité proche de celle de Végéta à ce moment. Et comme Végéta va tenir un rôle différent dans cette fic, je ne trouve pas inintéressant de traiter de Piccolo dans cet espace, notamment.
Alors oui, j'aurais pu traiter un Piccolo déjà sur le chemin de la rédemption. Quelque chose de plus proche de ce que tu imagines.
Mais je n'ai pas fait ce choix-là.
M'enfin, peut-être que cet éclairage qui montre qu'on est d'accord sur ses sentiments, mais pas sur la façon dont il les gère, te permettra de mieux rentrer dans ma vision du perso, d'être moins frustré à la lecture et profiter de la fic au max.
Ok. je comprends ton choix maintenant. Après, pour les phrases du genre, "je te sauve mais j'en ai rien à foutre de toi", Végéta les a utilisé beaucoup. Même après qu'il n'ai plus vraiment envie de tuer Goku ou autres. La phrase lancée par Piccolo était peut-être une façon de cacher ses sentiments. Ou bien il n'en a effectivement rien à foutre. Les deux interprétations se valent...
Cell: l'ascension de la terreur- Cell a vaincu Son Gohan lors du Cell game!! Quel sort réserve-t-il à la Terre?? Pour le savoir....viewtopic.php?f=42&t=5990 Chapitre 138: publié Chapitre 139- 145: 90%- relecture, correction
Cell: Damned Souls- Les aventures parallèles de héros de "l’ascension de la terreur". Pour les connaitre: viewtopic.php?f=42&t=6774 abandonnée
).