L'Héritier des Nameks

Bonjour, je vous présente une nouvelle idée de fic que j'ai eu, qui me parait être un très bon sujet. J'espère que vous serrez nombreux à la suivre et à l'apprécier.
PROLOGUE :
Année 261, dans un système solaire très éloigné, sur une planète isolée.
« Fuyez ! Rassemblez-vous tous au sommet ! Ne restez pas là ! »
La mer venait de se soulevait, elle se déroulait avec voracité vers la base du village, au pied de la montagne. De nombreuses silhouettes détallaient à travers la fumée, se précipitant vers le sommet du mont Kôbé, en quête d'une potentiel survie. L'immense mur d'eau commençait tout juste à rouler sur les bâtiments cornues, que des cris atroces se faisaient entendre dans la vallée. Ils se piétinaient les uns les autres, agglutinaient tous sans réfléchir dans le petit sentier qui menait aux escaliers. Là, compressé entre les deux murs de roches, l'air se faisait rare et la fumée noire qui flottait au dessus des crânes verts y était pour beaucoup. Cette épaisse brume noire venait des champs en flammes non loin du village, qui commençait déjà à se faire dévorer par le rouleau de l'océan. La fourmilière grimper les escaliers dans un attroupement colossal, laissant parfois un enfant tomber ou un vieillard s'écraser sous le poids de ses congénères.
Certains avaient accepté leur sort, ouvrant leur bras face à l'impact fracassant du mur d'eau qui s’apprêtait à leur tomber dessus. Ils restaient assis, en tailleur, tenant leurs fils dans leurs bras, ou implorant le ciel de leur laisser la vie. D'autres s'obstinaient à construire des navires de bois, espérant être ainsi sauvés. Mais la survie était au sommet, alors la plupart y courraient. Sauf un groupe. Un groupe de grand guerrier qui s'étaient fièrement placés dans le creux de la vague en arc de cercle. Ils étaient cinq à se dresser face à ce démon aquatique qui leur crachait au visage. Dernier guerrier, dernier combattant du dernier village du dernier continent qui n'avait pas encore était avalé par la mer. Ils devaient accomplir leur devoir.
- Que fais Kattats ? Demanda calmement le plus grand des hommes verts, observant la mort qui lui fondait dessus.
- Il va arriver. Faisons-lui confiance. Répondit un autre, sur le même ton.
- Tu parles, il a du s'enfuir. Encore une fois ! Ajouta le troisième, d'une voix remplie de sarcasmes.
- Il suffit. Préparez-vous à affronter votre mort, plutôt que de le blâmer, mon frère.
- Bien parlé Elder ! Kattats, ne nous à jamais abandonné, il ne le fera pas aujourd'hui ! Hurla le dernier pour se faire entendre par dessus le cri de la vague.
Le fameux Kattats, dont parlaient les combattants, étaient le dernier chef de la planète encore debout, mais aussi un incroyable combattant. Sans aucun doute le plus puissant de la planète. Cependant, à ce moment précis, il ne pouvait être avec ses camarades guerrier, car il avait une mission à accomplir : sauver son fils. Il volait au dessus d'un champs en feu, évitant les rochers de lave qui tombaient depuis le ciel, en direction d'une espèce d'étrange maison. Il tenait dans ses bras un petit garçon à la peau verte lui aussi, surmontée de deux petites antennes au dessus de son crâne. Ils semblait apeuré et gardait les yeux fermés pour ne pas voir les projections de lave, et la terrible vague. Soudain son père s'arrêta et posa les pieds à terre sous l'étrange maisonnette. Il s'approcha du « ventre » de la maison, qui ressemblait à un insecte à quatre pattes, et prononça un mots dans une étrange langue :
- Piccolo.
Une cercle en lévitation descendit de la maison, se posant sur le sol. Le père prit son fils par la taille et le posa sur le socle. Il posa ses mains sur ses épaules et se força à sourire.
- Deviens quelqu'un de bon, mon fils.
- Père, viens avec moi, supplia le garçon. Ne m'abandonnes pas, je t'en supplies.
- Attends moi, je reviendrai te chercher. Répondit le père en tournant le dos à son fils, pour cacher ses larmes.
- Père. Non ! Ne me laisses pas. Je ne veux pas y aller !
- Piccolo.
Le socle remonta, laissant au petit garçon quelques secondes pour regarder une dernière fois son père. Ce dernier ne pu se retourner pour voir son fils, la douleur était trop forte. Une fois le socle refermé, il n'entendait plus qu'un son étouffé dans le vaisseau : la voix de son fils qui l'appelait à travers le métal froid. Les larmes coulant sur ses joues, il regarda une dernière fois le vaisseau, posa sa main sur une des pattes en fer, comme s'il caressait une dernière fois son fils.
- Trouve une planète paisible pour mon garçon. Sanglota-t-il dans la même langue étrange qu'auparavant.
Le vaisseau décolla en un instant, et disparut aussitôt. Kattats se redressa, sécha ses larmes, et prit son envole en direction du dernier village.
Une fois arrivé là-bas, il eut envie de rebrousser son chemin mais se retint. Des cadavres s'empilait à la base des escaliers vers le sommet de la montagne, où des semblables à lui poussaient les arrivants dans le vide pour conserver la place sur l’abri. Un gros humanoïde vert était allongé à terre sur le sommet de la montagne, assassiné. Kattats se retint d'intervenir et alla se plaçait aux cotés de ses camarades.
- Te voilà enfin, s'exclama Elder. Où étais-tu ?
- T'occupes. Répondit froidement Kattats. Deux hommes ont tué le grand chef, ils ont pris le contrôle de la montagne du chef et empêche leurs frères de grimper. C'est de la folie.
- Nous sommes au courant mon frère, affirma un des combattants, le grand chef à voulu faire monter le maximum d'habitants, alors ils l'ont assassiné pour se préserver eux-même.
- Pauvres déments. Murmura Kattats. Nous ne pourrons plus appeler Porunga. Grand chef, ayez pitié de nous.
- Porunga lui-même est impuissant face à ce désastre. S'écria le troisième. Seul la chance peu nous sauver.
- Elle arrive. S'écria un autre, montrant l'apogée de la vague face à eux.
- Alors il est trop tard pour solliciter la chance ! Hurla Kattats. Tous ensemble mes frères ! Pour Namek !
- Pour Namek ! Reprirent-ils tous en cœur.
Simultanément, ils placèrent chacun leurs bras face à eux et firent exploser un immense rayon de lumière qui produisit une immense globe au dessus du village et de la montagne. Leurs veines se contractées autour de leur crâne, témoignant de la puissance de l'énergie qu'ils projetaient dans leurs mains. Le dôme de lumière s'éleva très hauts au dessus de la montagne pour se refermer sur le sol derrière elle. Les six combattant se regardèrent plein d'espoirs pensant éviter enfin leur cruel destin. Sur les escaliers de la montagne, tout le monde étaient figés, regardant l'eau qui passait au dessus du dôme, qui l'enveloppait de manière menaçante. Même les deux assassins sur le sommet cessèrent de se battre sous ce ciel aquatique. La vie avait reprit espoir dans le cœur des Nameks pendant quelques secondes. Malheureusement, ça dura guère plus.
Le troisième combattant à court d'énergie s'écroula sur le sol, laissant son poids d'eau se répartir entre les cinq autres sauveurs. Un irrémédiablement trop lourd.
Alors que le jeune fils s'envolait vers une destination inconnue à l'abri, loin de ce terrible cataclysme, le dôme de protection céda, sous les yeux brillant de Kattats. Ce dernier, prêt à affronter sa mort, repensa une dernière fois à son fils, qui avait cru à l'abandon de son père.
- Un jour, tu comprendras. Souria-t-il.
La vague pénétra la partie protégée du continent encore émergé, détruisant toute vie sur son passage. Tout être vivant. Tous, sauf un.
L'HÉRITIER DU PEUPLE NAMEKS
ou la vie du Tout-puissant
Voilà c'était l'introduction. J'attends quelques commentaires pour savoir si l'histoire intéresse ou pas du tout. MErci !
PROLOGUE :
Année 261, dans un système solaire très éloigné, sur une planète isolée.
« Fuyez ! Rassemblez-vous tous au sommet ! Ne restez pas là ! »
La mer venait de se soulevait, elle se déroulait avec voracité vers la base du village, au pied de la montagne. De nombreuses silhouettes détallaient à travers la fumée, se précipitant vers le sommet du mont Kôbé, en quête d'une potentiel survie. L'immense mur d'eau commençait tout juste à rouler sur les bâtiments cornues, que des cris atroces se faisaient entendre dans la vallée. Ils se piétinaient les uns les autres, agglutinaient tous sans réfléchir dans le petit sentier qui menait aux escaliers. Là, compressé entre les deux murs de roches, l'air se faisait rare et la fumée noire qui flottait au dessus des crânes verts y était pour beaucoup. Cette épaisse brume noire venait des champs en flammes non loin du village, qui commençait déjà à se faire dévorer par le rouleau de l'océan. La fourmilière grimper les escaliers dans un attroupement colossal, laissant parfois un enfant tomber ou un vieillard s'écraser sous le poids de ses congénères.
Certains avaient accepté leur sort, ouvrant leur bras face à l'impact fracassant du mur d'eau qui s’apprêtait à leur tomber dessus. Ils restaient assis, en tailleur, tenant leurs fils dans leurs bras, ou implorant le ciel de leur laisser la vie. D'autres s'obstinaient à construire des navires de bois, espérant être ainsi sauvés. Mais la survie était au sommet, alors la plupart y courraient. Sauf un groupe. Un groupe de grand guerrier qui s'étaient fièrement placés dans le creux de la vague en arc de cercle. Ils étaient cinq à se dresser face à ce démon aquatique qui leur crachait au visage. Dernier guerrier, dernier combattant du dernier village du dernier continent qui n'avait pas encore était avalé par la mer. Ils devaient accomplir leur devoir.
- Que fais Kattats ? Demanda calmement le plus grand des hommes verts, observant la mort qui lui fondait dessus.
- Il va arriver. Faisons-lui confiance. Répondit un autre, sur le même ton.
- Tu parles, il a du s'enfuir. Encore une fois ! Ajouta le troisième, d'une voix remplie de sarcasmes.
- Il suffit. Préparez-vous à affronter votre mort, plutôt que de le blâmer, mon frère.
- Bien parlé Elder ! Kattats, ne nous à jamais abandonné, il ne le fera pas aujourd'hui ! Hurla le dernier pour se faire entendre par dessus le cri de la vague.
Le fameux Kattats, dont parlaient les combattants, étaient le dernier chef de la planète encore debout, mais aussi un incroyable combattant. Sans aucun doute le plus puissant de la planète. Cependant, à ce moment précis, il ne pouvait être avec ses camarades guerrier, car il avait une mission à accomplir : sauver son fils. Il volait au dessus d'un champs en feu, évitant les rochers de lave qui tombaient depuis le ciel, en direction d'une espèce d'étrange maison. Il tenait dans ses bras un petit garçon à la peau verte lui aussi, surmontée de deux petites antennes au dessus de son crâne. Ils semblait apeuré et gardait les yeux fermés pour ne pas voir les projections de lave, et la terrible vague. Soudain son père s'arrêta et posa les pieds à terre sous l'étrange maisonnette. Il s'approcha du « ventre » de la maison, qui ressemblait à un insecte à quatre pattes, et prononça un mots dans une étrange langue :
- Piccolo.
Une cercle en lévitation descendit de la maison, se posant sur le sol. Le père prit son fils par la taille et le posa sur le socle. Il posa ses mains sur ses épaules et se força à sourire.
- Deviens quelqu'un de bon, mon fils.
- Père, viens avec moi, supplia le garçon. Ne m'abandonnes pas, je t'en supplies.
- Attends moi, je reviendrai te chercher. Répondit le père en tournant le dos à son fils, pour cacher ses larmes.
- Père. Non ! Ne me laisses pas. Je ne veux pas y aller !
- Piccolo.
Le socle remonta, laissant au petit garçon quelques secondes pour regarder une dernière fois son père. Ce dernier ne pu se retourner pour voir son fils, la douleur était trop forte. Une fois le socle refermé, il n'entendait plus qu'un son étouffé dans le vaisseau : la voix de son fils qui l'appelait à travers le métal froid. Les larmes coulant sur ses joues, il regarda une dernière fois le vaisseau, posa sa main sur une des pattes en fer, comme s'il caressait une dernière fois son fils.
- Trouve une planète paisible pour mon garçon. Sanglota-t-il dans la même langue étrange qu'auparavant.
Le vaisseau décolla en un instant, et disparut aussitôt. Kattats se redressa, sécha ses larmes, et prit son envole en direction du dernier village.
Une fois arrivé là-bas, il eut envie de rebrousser son chemin mais se retint. Des cadavres s'empilait à la base des escaliers vers le sommet de la montagne, où des semblables à lui poussaient les arrivants dans le vide pour conserver la place sur l’abri. Un gros humanoïde vert était allongé à terre sur le sommet de la montagne, assassiné. Kattats se retint d'intervenir et alla se plaçait aux cotés de ses camarades.
- Te voilà enfin, s'exclama Elder. Où étais-tu ?
- T'occupes. Répondit froidement Kattats. Deux hommes ont tué le grand chef, ils ont pris le contrôle de la montagne du chef et empêche leurs frères de grimper. C'est de la folie.
- Nous sommes au courant mon frère, affirma un des combattants, le grand chef à voulu faire monter le maximum d'habitants, alors ils l'ont assassiné pour se préserver eux-même.
- Pauvres déments. Murmura Kattats. Nous ne pourrons plus appeler Porunga. Grand chef, ayez pitié de nous.
- Porunga lui-même est impuissant face à ce désastre. S'écria le troisième. Seul la chance peu nous sauver.
- Elle arrive. S'écria un autre, montrant l'apogée de la vague face à eux.
- Alors il est trop tard pour solliciter la chance ! Hurla Kattats. Tous ensemble mes frères ! Pour Namek !
- Pour Namek ! Reprirent-ils tous en cœur.
Simultanément, ils placèrent chacun leurs bras face à eux et firent exploser un immense rayon de lumière qui produisit une immense globe au dessus du village et de la montagne. Leurs veines se contractées autour de leur crâne, témoignant de la puissance de l'énergie qu'ils projetaient dans leurs mains. Le dôme de lumière s'éleva très hauts au dessus de la montagne pour se refermer sur le sol derrière elle. Les six combattant se regardèrent plein d'espoirs pensant éviter enfin leur cruel destin. Sur les escaliers de la montagne, tout le monde étaient figés, regardant l'eau qui passait au dessus du dôme, qui l'enveloppait de manière menaçante. Même les deux assassins sur le sommet cessèrent de se battre sous ce ciel aquatique. La vie avait reprit espoir dans le cœur des Nameks pendant quelques secondes. Malheureusement, ça dura guère plus.
Le troisième combattant à court d'énergie s'écroula sur le sol, laissant son poids d'eau se répartir entre les cinq autres sauveurs. Un irrémédiablement trop lourd.
Alors que le jeune fils s'envolait vers une destination inconnue à l'abri, loin de ce terrible cataclysme, le dôme de protection céda, sous les yeux brillant de Kattats. Ce dernier, prêt à affronter sa mort, repensa une dernière fois à son fils, qui avait cru à l'abandon de son père.
- Un jour, tu comprendras. Souria-t-il.
La vague pénétra la partie protégée du continent encore émergé, détruisant toute vie sur son passage. Tout être vivant. Tous, sauf un.
L'HÉRITIER DU PEUPLE NAMEKS
ou la vie du Tout-puissant
Voilà c'était l'introduction. J'attends quelques commentaires pour savoir si l'histoire intéresse ou pas du tout. MErci !