Joka a écrit:Tiguor est comme moi a écrit:Bon, j'ai du retard mais je commence à avoir l'habitude, alors o/
Qu’est-ce que je dois dire, moi, avec mes 300 trains de retard à chaque fois... J'ai toujours cette fâcheuse
Many de tout remettre à plus tard, c’est d’un frustrant ! T-T Mais vas-y, tope-moi un high five quand même, buddy ! En tant que
frère-commentateur-retardataire, on doit se serrer les coudes ! 0/
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Bueno, vuego, zueno* ! Avant d’attaquer le plat de résistance je m’attarde dix secondes sur ton
WARNING initiative : Perso ta façon de faire actuelle ne me dérangeait pas, mais si pour toi c’est plus simple de gérer les choses en procédant de cette manière, go ahead !
*Il n'y a aucun sens caché, laissez vos neurones respirer. :pSinon, dans l’ensemble, j'ai bien aimé ton dernier chapitre !
L’histoire est toujours aussi attrayante et la réintroduction surprise de Kakarotto était une agréable surprise. Je trouve d’ailleurs qu’il se dégage de lui un certain charisme qui le rend vachement plus intéressant. J’ai bien aimé cette personnalité que tu lui as attribuée qui, accessoirement, contraste beaucoup avec celle de son jumeau de DBM bien plus sauvage, instable et rentre-dedans. Ton Kakarotto semble plus réfléchi mais conserve néanmoins un côté imprévisible, presque dément ; c'était bien cool d'avoir greffé ces caractéristiques pour ce genre de personnage.
Aussi, j'ai trouvé les sentiments et l'appréhension des terriens bien retranscrits. On sent la tension qui émane de l’atmosphère et la haine viscérale qu’ils ressentent vis-à-vis de Kakarotto. De même, les petits détails distillés dans la narration sur leur passé ont aussi été un point que j'ai bien aimé ; on ignore encore comment l’affrontement s’est déroulé, mais on a déjà une liste de ceux tombés au front, c'est sympa.
Bref, c'était un bon chapitre !
Dans la forme, bien que j’apprécie le caractère de ton Kakarotto, je trouve parfois ses réactions trop surjoué, notamment sur ce passage :
Kakarotto le Despote a écrit:- Mais j’y compte bien ! Que ceux qui ne se sentent pas prêt dégagent, je déclare cet endroit propriété Kakarotienne !
Le « propriété Kakarotienne » par exemple m’a fait buguer sur le moment. Que Kakarotto décide de s’imposer en leader n’est pas gênant mais la tournure de la phrase - ou du moins cette expression à la fin - m’empêche de le prendre au sérieux, même si je conçois qu’il y a eu une volonté de rajouter une pointe de sarcasme dans cette tirade. A mon humble avis, un « Je déclare cet endroit ma propriété ! » aurait tout aussi bien collé, c’est sobre, simple et en même temps le message menaçant est passé.
Autre remarque d’ordre générale : j'ai personnellement trouvé qu’il manquait à certains endroits quelques « didascalies » dans les dialogues pour développer les ressentis des personnages. Les interactions sont présentes mais je me suis parfois un peu perdu en me demandant qui parlait à qui à un moment.
Voilà, voilà ! Mise à part ces quelques points (c'est juste des détails qui m'ont fait tiquer :p), c’est toujours aussi intéressant ! Je me réjouis de voir la suite des événements !
*S’apprête à quitter le topic mais s’aperçoit - comme de par Salazar Serpentard hasard - au tout dernier moment que la date d’aujourd’hui coïncide avec celle du premier post du topic*
HA ! Tu croyais que cela allait être Bushido ou Tiguor qui posteraient en premier pour te le souhaiter, et bien non !
Joyeux anniversaire, AVS ! 0/ Un an de persévérance, de travail régulier et de progrès fulgurants ! Encore bravo pour cette histoire des plus originale et pour cette consistance dans ton rythme de parution ! Ne te décourage surtout pas et poursuis dans la même voie (non, en fait, surpasse-toi) !
Bon courage pour la suite et très bonne continuation !
Merci pour ton commentaire et le joyeux anniversaire a AVS !
Je vous ai concocté une journée pleine de surprises et de bonus qui seront posté au fur et a mesure du topics !
Pour les dialogues entre les persos, je compte bien améliorer ça ! En effet, je voulais ajouter une petite pointe de folie a notre chère Kakarotto, et content que le personnage t'ai plu ! Pour les infos, le chapitre si bas va de ce pas montrer une parcelle de la vie de Kakarotto ainsi que le chaleureux Alsé !
Pour le nouveau format, c'est surtout une façon d'avancer plus rapidement dans l'intrigue, mais aussi d'éviter les contraste trop violent, si vous voyez ce que je veux dire ^^ !
Et maintenant, surprise number One :
Chapitre spécial : Déchéance.Chapitre spécial :
Flottant paisiblement à travers l’obscurité pesante du vide spatial, brillant d’un éclat qui tranchait radicalement avec son environnement, la planète Valshé était le joyau de son système solaire. Recouverte en permanence d’une épaisse couche de neige, les habitants de cette planètes avaient su s’adapter ; certains mammifères survivaient emmitouflés sous plusieurs kilos de graisse, tandis que la forme de vie intelligente de cette planète avait su développer un don quasiment unique dans l’univers : le Ki du froid. Leurs organismes avaient évolué pour parvenir à non seulement survivre aux températures glaciales, mais aussi à s’en imprégner pour le manipuler.
Les scientifiques s’évertuaient à tenter d’expliquer l’apparition de la vie dans un environnement aussi hostile et leurs théories allaient des plus cohérentes aux plus fantaisistes.
Passionné par les légendes, Alsé préférait nettement l’explication qui avait été unanimement considérée comme la plus improbable, mais qui était pourtant répandue auprès de plusieurs peuples a travers l’univers ; la légende du destructeur.
Elle racontait l’histoire de Buu, une créature apparue cinq millions d’années plus tôt. Personne ne savait d’où il venait, mais il s’était lancé dans une vague de destructions impitoyable. Les dégâts avaient été sans précédent dans l’histoire de l’univers ; planètes détruites, soleils explosés, et bien d’autres catastrophes qui changèrent le cours de l’évolution d’innombrables races à travers toutes les galaxies.
Tandis qu'il feuilletait le vieux recueil qui narrait cette légende, les doigts du jeunes Valshé passèrent sur l’une des nombreuses illustrations de Buu ; celle-ci montrait une créature aux muscles surdimensionnés, dotés de multiples bras. L’enfant s’étonna de la différence des versions qui décrivaient le destructeur : un éclair qui transforme en nourriture, un enfant rose torse nue avec un pantalon bouffon et une crête sur la tête, ou encore une simple fumée meurtrière.
- Alsé, ce genre d’histoire, ce n’est pas pour les enfants.
- Mais Maman..
- S’il te plait…
Les deux regards si semblables, d’un or pur, se fixèrent. La jeune mère avait l’impression de se revoir plus jeune quand elle regardait son petit trésor. Ses cheveux d’un bleu si clair, et ses yeux brillants d’intelligence. Alsé était sa petite fierté. Il deviendra sûrement un magnifique jeune homme qui ferait tourner plus d’une tête.
Alsé n’insista pas plus longtemps, déposant le livre sur la table de nuit. Par sa voix, sa mère savait se faire obéir tout en restant d’une douceur sans égale. La main de sa maman vint frotter la chevelure de son fils avec une tendresse infinie, puis elle lui embrassa le front. Elle était le pilier de son petit monde, celle qui le soutenait. Oui, elle était son soleil, car si elle s’éteignait, alors il s’éteindrait avec elle.
- Viens, c’est l’heure de manger.
Malgré la présence de son soleil, l’enfant sentait que les nuages commençaient à recouvrir le ciel. Car IL serait là.
******************
Kakarotto sentait le feu de la haine brûler dans ses veines. Ses yeux brillaient d’une rage peu commune, au point qu'on avait l’impression que ses yeux prenaient une couleur différente. Le gouvernement était tombé bas au point d’engager un tueur à gage pour le faire taire, il n’en avait rien à faire, mais cet enfoiré avait osé tuer Gyumao.
Depuis la mort de son grand père, Gyumao avait été pour lui comme un père de substitution, s’occupant de lui et l’élevant comme s’il était son fils alors qu’il n’était même pas de son sang.
- Le gamin ? Toujours vivant ?... Mhh alors le vieux aussi, peut-être…
La voix de Taopaipai ne trahissait aucune émotion. Il faisait son travail avec rigueur et professionnalisme, mais un mince sourire sous sa fine moustache trahissait le plaisir qu’il tirait de son métier macabre. Il releva lentement le bras en direction du corps du gros Gyumao au sol, recouvert de sang. Et sans aucun respect pour l’ancien élève de Tortue Géniale, il pointa son doigt osseux,s'apprêtant a relâcher un rayon jaune filiforme qui lui traverserait le cœur. S’il survivait, il n’aurait jamais pu à nouveau se regarder dans le miroir tant son CV aurait été entaché par ce manque de rigueur.
- Sale monstre… Tu n’as pas le droit….
- Oh, mais j’ai tous les droits. Le gouvernement lui-même qui m’engage, je ne peux que difficilement être plus légitime.
Non…. Il ne pouvait pas finir comme ça… Gyumao était un homme bien, il avait fait des erreurs certes… mais il voulait se racheter, permettre un monde meilleur et que son maître soit fier de lui, que son co-disciple puisse se vanter d’avoir appris avec lui les arts-martiaux de là où il était. Le sang dans les veines du petit fils de Gohan pulsait, et lui donnait la sensation de brûler de l’intérieur et ne faisant que nourrir le feu de sa haine.
Un puissant vent se dégageait de lui, redressant ses cheveux et laissant entrevoir ses yeux. Taopaipai recula, pointant son doigt vers Kakarotto. Il ne savait pas quel était cet étrange phénomène mais il devait y mettre fin dès maintenant. Son instinct lui hurlait de fuir, de courir sans plus jamais se retourner, car qu’importe où il irait, ce maelstrom de haine continuerai de le suivre jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de lui.
- Dodom….
- Dodom-RIEN !
Il était arrivé devant lui sans qu’il n’ait pu distinguer un mouvement, lui attrapant le doigt et le lui arrachant. Encore choqué, Taopaipai ne sentit la douleur qu'après-coup.
La douleur. Lui. Le frère de Tsuru sennin. L’assassin le plus craint dans ce bas monde.
Son honneur bafoué sembla le revitaliser, et par représailles, il lança son pied à l’horizontale pour faucher la tête de ce salopard, mais Kakarotto, dont la haine ne s’était pas apaisée, jeta son poing en avant pour le bloquer, frappant au niveau du genou.
Un craquement se fit entendre, tandis que les hurlements de Taopaipai résonnaient à travers les couloirs du château.
Le gosse lui avait complètement arraché la jambe dans ce coup de poing. Il devait partir, sortir de ce château, fuir le plus loin possible. Comme s’il avait lu dans ses pensées, un long sourire malsain traversa le visage de Kakarotto qui s’approchait de lui en marchant.
- Par pitié ! Laissez-moi partir et vous ne me verrez plus ! Je me rachèterai !
- Oh, tu veux partir ?... Il n’y a aucun problème.
La lueur d’espoir s’éteignit bien vite lorsque le poing de Kakarotto décolla vers le visage de Taopaipai, lui faisant traverser les murs du château de Gyumao, et l’expulsant de celui-ci.
La douleur fut presque insupportable quand le dos de Taopaipai retomba sur le sol calciné qui environnait le palais, comme une cicatrice pour rappeler le grand incendie qui avait empêché Gyumao de rejoindre son palais deux ans plus tôt.
Pourtant, la douleur ne fut rien par rapport à celle qui suivit. Kakarotto, genou vers l’avant, était retombé sur son estomac, générant une véritable fontaine de sang de la bouche du tueur à gage.
- Ça, c’était pour ce que tu m’avais fait tout a l’heure…
- Pi…pi…pitié…. Je….pardon…
- Je t’accorde la pitié…. Tu pourras demander le pardon à tes victimes quand tu les rejoindras !
- Non…NON !
L’attrapant par son unique jambe, il le jeta en l’air, le mitraillant de coups de poing et déversa un véritable torrent de haine.
- TANANANANANANANANANANA !!!!! YEAH !
Le cri fut suivi d’un coup de poing qui projeta le frère de Tsuru Sennin. Se retournant, il n’accorda même pas un regard à l’amas de chaire qu’était devenu le tueur à gage. S’il était mort, grand bien lui fasse, et s’il était encore vivant, il allait le laisser agoniser. Il n’avait pas le temps de se salir les mains à achever cette râclure.
Son objectif suivant était toute désignée ; le King castle.
……………………….
Alsé gardait la tête baissée, guère en mesure de regarder son père. Le repas se faisait dans le silence, et le moindre mot pouvait être suivi de coup de fouet. La main tremblante du jeune homme s’empara de la cuillère, ramena la soupe à ses lèvres, puis il souffla silencieusement sur le breuvage. Pourtant cela suffit à attirer le regard sévère de son père.
- Quelles sont les nouvelles ?
Alsé sentit un profond soulagement quand sa mère posa cette question. Les Valshé affrontaient en ce moment ceux qu’ils appelaient « les crânes allongés », des parasites venus des cieux, et son père était souvent absent pour leur régler leur compte quand ils apparaissaient en masse. Et quand il revenait, il était d’une humeur bien massacrante.
Alsé frotta la brulure a sa main, et tenta tant bien que mal d’oublier la correction qu’il avait subie pour avoir tenu tête à son père. Il avait seulement voulu rejoindre sa mère au lit, ayant cru voir un « crâne allongé » sous son lit, mais cette frayeur passagère lui avait valu une pluie de coup et de brimades.
- Tout va pour le mieux ; nous pensons bientôt en finir avec les Aliens. D’ici quelques mois.
- C’est une excellente nouvelle !
- Elle l’aurait été d’autant plus si j’avais eu un vrai garçon au lieu d’un faible.
Cela avait été le mot de trop, celui qui avait déclenché les larmes du petit garçon. Pourquoi son père le haïssait-il tant ? Ne voyait-il en lui qu’une déception ?
À leur tour, les larmes engendrèrent la colère du père qui se leva sans prévenir de la table et lança une barre puissante sur son fils, le faisant tomber de la chaise. De génération en génération, les hommes de sa famille avait été de grands combattants, de fiers soldats à la solde de l’armée valshé et tout ce qu’il avait eu, c’était ce faible gamin au potentiel dérisoire.
C’était honteux ! Ce sale gamin avait sali le prestige de sa famille ! Et dans sa rage, le poing qu’il assena à son fils lui creva l’œil, et il continua de frapper, ignorant les cris de l'enfant, plongé dans une abîme de fureur.
- Ça SUFFIT !! TU NE TOUCHERAS PLUS À MON FILS !!
Le père d’Alsé fixa la main de sa femme qui avait arrêté son poing. Elle aussi ?! Après l’insulte qu’elle lui avait faite en donnant naissance à ce déchet, elle lui tenait tête ?! Le coup qu’il asséna à sa femme l'assomma d’un seul coup, mais cela ne suffisait pas.
Elle devait comprendre la leçon. L’attrapant par les cheveux, il lança son poing vers son visage, suivi d’un autre et encore. La pluie de coups sembla ne jamais devoir s'arrêter. Alsé, assistant à cela, se dégoutait intérieurement. Il était trop faible pour la protéger. Elle, la seule personne qui comptait à ses yeux. Pourquoi ?! Pourquoi ne pouvait-il pas être assez fort pour la protéger ?!
Sa seule réponse fut un craquement sinistre. Le seul œil encore valide du jeune homme s’ouvrit, tandis que son corps se soulevait, poussé par l’énergie du désespoir.
- Maman…..
La seule réponse fut les pleurs de son père. Il venait de réaliser ce qu'il avait fait et serrait son épouse contre son cœur.
Non… pas elle… pas son pilier… pas son soleil… Il ne pouvait pas… il n’avait pas le droit de la lui retirer…
Son père se tourna vers lui, une flamme de haine brillant dans les yeux. Non, ce n’était pas sa faute, c’était celle de ce monstre, ce sale gamin ! Il avait retourné sa femme contre lui, il lui avait attiré les regards de honte de son père.
- Sale monstre… c’était ta faute… C’EST TA FAUTE !
Ce fut sans doute la voix, plus que les mots, qui réveilla quelque chose en Alsé. Les cris de son père, les pleurs de sa mère, les brimades qu’il avait subies, les moqueries et maintenant, il mettait la mort de sa mère sur SON Dos ?! L’unique œil d’Alsé irradiait d’une puissante lumière, tandis qu’il relevait son œil valide pour la première fois, défiant la silhouette de son père.
Quelque chose se brisa en lui, comme un verrou. La porte qui s’ouvrit relâcha un véritable torrent de puissance sur son père, déchaînant sa haine, sa rage, ses peines, ses remords et sa tristesse dans une véritable tornade de stalactites. Un pieu de glace perfora le ventre de son père, mais ce n’était pas suffisant, il DEVAIT souffrir.
Un pic lui traversa l’œil.
Agacé par ses cris, il lui perfora la gorge.
Puis les mains.
Les mollets.
Ce salopard avait tué son pilier !!!!
Il avait détruit son soleil !!!
Il avait tué… sa mère..La tempête se calma au fur et à mesure tandis que le jeune homme tombait au sol, épuisé. Lorsqu’il fut retrouvé plusieurs jours plus tard, ce fut blotti dans les bras de sa mère, ne voulant plus la quitter, et même la rejoindre.
À présent, il n’allait plus vivre, il allait compter les jours, en attendant que la mort le laisse la rejoindre.
par goget le Mar Août 25, 2015 16:27 
:http://www.lunionsacre.net/viewtopic.php?f=42&t=7894
Mais d'autres t'attendent pour la fin de la journée !!!
