[Fanfic] Piccolo: Last Son of Namek

[Majin-vegeto89]

Hello tout le monde^^. Je m'étais juré de jamais remettre les pieds sur la partie fanfic avant d'avoir un truc décent à y poster, et c'est maintenant chose faite. Bon, pour ceux qui ne me connaissent pas, un paquet je suppose vu la quantité ahurissante de Fanfic apparut depuis quelques années, je postais des fics ici il y a quelques siècles, avec la particularité que je suis certainement le recordman du nombre de fanfic commencées et jamais fini. ajoutez à ça un syndrome de la page blanche de plusieurs années, et vous obtenez un écrivain amateur pourri: moi :p

alors, concernant le sujet d'aujourd'hui, il s'agit d'une fanfic, certainement assez courte (je me connais, si c'est trop long, je vais arrêter avant la fin) centrée sur ma vision de la vie de piccolo, l'original. alors ne connaissant pas tout sur cette période de l'histoire de DB, j'ai fait de mon mieux pour rester cohérent. alors OUI, cette fanfic aura une fin, contrairement aux autres, je m'en sers autant pour écrire sur un sujet qui me plait que pour me prouver que je peux battre ce foutu syndrome a deux roubles.*3615 mylife off* j'espère que ça vous plaira et que je n'ai pas trop rouillé avec le temps^^'. en tout les cas, bonne lecture à tous, amusez vous bien (j'espère)

ps: ne m'en voulez pour le titre c'était trop tentant :p superman/piccolo, même combat.



Chapitre 1 : Perte
Ce n’était encore qu’une vague rumeur quand le jeune Namek la perçut. Un murmure à l’extérieur qui tira l’enfant d’un sommeil agité par l’infernale chaleur de la pièce. Digne membre de son peuple, l’enfant se concentra sur le murmure qui bien vite se transforma en un son parfaitement compréhensible, dont les notes chantantes ne laissaient que peu de doute sur l’origine. Et effectivement, après une brève interruption, la conversation entre les deux adultes reprit :

- Tu ne peux pas faire ça Katats !
- Nous en avons déjà discuté, ma décision est prise, je ne vois pas d’autre moyen.

L’enfant s’était raidi sur sa couche minérale. Katats ? C’était donc son père qui parlait avec cette teinte d’urgence et de tension dans la voix ? Mais que se passait-il ?

- Le grand chef ne t’as pas autorisé à l’envoyer là bas, tu n’as pas le droit de prendre cette décision tout seul !

Les voix se rapprochaient, d’une seconde à l’autre, elles seraient à sa porte. La voix douce et profonde de son père répliqua alors d’un exaspéré :

- C’est pour cela que j’ai convoqué le conseil. Je dois convaincre nos frères de me laisser sauver mon fils.

Et la porte s’ouvrit à la volée, laissant entrer un flot d’une lumière aveuglante accompagnée d’une onde de chaleur épouvantable. Surpris, le jeune Namek se releva en sursaut pour faire face à son père, Katats, accompagné d’un autre Namek qu’il savait être l’un de ses plus proches amis, même s’il affichait à présent un air hostile sur son visage vert pomme. Un sourire aimant sur les lèvres, Katats approcha de son fils qu’il aida à se relever tout à fait, puis posant une main sur son épaule, il dit :

- Fils, j’ai besoin que tu m’accompagnes au conseil, nous avons beaucoup à faire et les anciens doivent te rencontrer.
- Moi ? Mais père… pourquoi ?

Le vénérable Namek réfléchit un instant, puis répondit :

- Pour l’avenir, mon fils, pour l’avenir…

A l’extérieur, tout semblait encore pire que le jour d’avant. La terre desséchée craquait sous les pas de Nameks hagard, abruti par la fatigue induite par la chaleur. Les arbres séchaient sur pieds, et les Ajissas ne seraient bientôt plus qu’un lointain souvenir. Et nul abri possible, hormis les maisons de pierre offrant une brève isolation contre les terrifiants rayons des deux soleils de la planète. Et c’était dans ce paysage de cauchemar que se mouvaient à présent le trio, aussi vite que possible, droit vers le plus grand bâtiment de la ville. Haut de dix étages et large de plusieurs centaine de mètres, tout en rondeurs et formes douces, le siège du conseil Namek fourmillait d’activité, et ce n’est qu’à grand peine que le petit groupe fini par rejoindre la salle centrale. Il s’agissait d’une grande cuvette garnie de gradins ou tous avaient le droit, à toute heure et en toute circonstance, de venir prendre un peu de repos, écouter les sages débats des anciens ou faire valoir sa voix au sein du grand conseil des Namek. Et aujourd'hui, chaque place était comble pour ce conseil exceptionnel. D’innombrables visages vert pommes fixaient leur attention sur le conseil composé des dix chefs des principales villes de la planète, et bien sur, vénérable parmi les vénérables, de l’illustre Grand Chef en personne. Ce dernier était bien plus grand que ses semblables, et s’il était déjà un peu marqué par le temps, du moins tout le monde s’accordaient sur la sagesse absolue du grand homme. Le conseil des chefs était réuni en demi-cercle sur des sièges de pierre arrondis à la façon Namek, et chaque membre regarda approcher le trio d’un regard ferme, mais non sévère. Quand ils arrivèrent enfin en vu de tout le monde, bien au centre de la scène, le Grand Chef ouvrit la bouche, et aussitôt un silence total s’établit.

- Soyez les bienvenus, mes chers enfants. Nous sommes réunis aujourd’hui à la demande de Katats, notre éminent explorateur et frère en toute chose. Je crois savoir que tu as une requête à nous adresser, mon fils. Parle sans crainte, nous t’écoutons.

Alors, dans le silence de tombeau qui suivit, Katats avança d’un pas au milieu de la scène. Tous les regards fixés sur lui, il était impressionnant, plus grand que la plupart de ses frères, et auréolé du mystère de ses innombrables aventures spatiales. Car de tout les Namek, aucun n’avait autant exploré l’univers que lui, et nul ne pouvait prétendre en savoir autant sur l’Extérieur.

- Grand Chef… Sages membres du conseil… Mes frères… Nous le savons tous, Namek se meurt.

Un silence encore plus profond, et tous les visages qui se durcissent. Oui, tout le peuple de Namek savait déjà, ne serait-ce que par instinct, que la fin approchait.

- Par un phénomène que je suis bien incapable d’expliquer, notre bien aimée planète à changée d’orbite. Ce faisant, elle s’est rapprochée de nos deux soleils, jadis si bienfaisants. La température ne cesse d’augmenter, de jour en jour. Bientôt, nos océans vont s’assécher, et nous mourrons, tous.

Rien, hormis un sentiment de deuil silencieux.

- Notre technologie, pour sa plus grande partie, a déjà cessée de fonctionner… aujourd’hui, il ne reste que mon vaisseau qui soit encore relativement en état de marche.

Cette fois, l’un des conseillers releva la tête :

- Tu souhaites que nous t’autorisions à quitter la planète avant sa destruction ?

Katats porta un regard à ses cotés, puis secoua la tête :

- Non, vénérable. Ce que je souhaite, c’est que vous m’autorisiez à envoyer mon fils sur une planète suffisamment viable pour l’accueillir.

Stupeur générale dans l’assemblée, et aussitôt, de nombreux murmures s’élevèrent dans la foule et même au sein du conseil, mais Katats ne se laissa pas décourager :

- Je connais les sentiments de mon peuple pour sa planète, et je sais aussi qu’aucun d’entre nous n’est près à quitter sa maison. « Tous unis », c’est notre devise, notre règle de vie. Nous préférons tous mourir que de laisser l’un d’entre nous derrière. Cependant…

L’orateur reprit son souffle, et quand il réussit à parler à nouveau, son public ne put qu’être déconcerté par la nervosité de cet explorateur que jamais personne auparavant n’avait vu perdre sa confiance en lui :

- Cependant, mon fils ici présent est le plus jeune des Nameks, et je veux lui donner une chance de vivre, et pourquoi pas, de donner naissance à la prochaine génération de Nameks, ailleurs, quand le temps sera venu.
- Je proteste !

Cette fois, c’était le compagnon récalcitrant de Katats qui avait parlé, incapable de se retenir plus longtemps :

- Katats nous demande d’abandonner le plus jeune d’entre nous sur une planète étrangère, alors qu’il omet délibérément que tout n’est pas perdu pour notre peuple !

L’attention de toute l’assemblée était à présent fixée sur le jeune Namek plein de fougue :

- Les Dragon Ball ! Grand Chef, nous pouvons utiliser l’ancienne magie de notre peuple pour sauver Namek ! Et si nous exilons notre jeune frère, il sera peut être perdu à tout jamais ! Nous n’avons pas le droit d’utiliser les Dragon Ball pour le bien d’un seul, et il se peut que nous ne puissions plus jamais le rejoindre !

Les rumeurs avaient reprise, encore plus forte cette fois. Seul le Grand Chef gardait le silence, visiblement en pleine réflexion. Katats se tourna vers son frère et répliqua :

- Je n’omets rien, mon jeune et insolent ami. Certes, notre Grand Chef pourrait recréer les Dragon Ball, l’héritage de toute notre civilisation, mais…

Il se tourna vers le père de toute sa race :

- Grand Chef, je ne doute pas que vous n’ayez déjà commencer la fabrication. Pouvez vous nous dire combien de temps sera encore nécessaire pour achever les boules ?

D’une voix grave, le grand ancien répondit :

- La fabrication de ces artefacts est un processus long et minutieux. Il me faudra encore plusieurs mois, au bas mot.

Et Katats conclut :

- Plusieurs mois, alors que notre planète se réchauffe d’heure en heure. Dans plusieurs mois, restera-t-il seulement un Namek en vie pour invoquer Porunga ? Je n’en suis pas si sur… Et si nous nous éteignons, la race des Nameks s’éteindra pour toujours.

Le grand explorateur posa un genou à terre et une main sur l’épaule de son tout jeune fils, à peine âgé de quelques années et dit pour toute l’assemblée :

- Mon fils possède le pouvoir de la tribu du dragon, et le potentiel d’incarner la quintessence de notre race. Sa puissance lorsqu’il sera adulte dépassera l’entendement, et ses pouvoirs comme ses capacités physique seront sans égal. Qu'il décide d'être un guérisseur ou un combattant, et il en sera le fleuron de la galaxie. J'ai confiance en lui, et je l'aime autant que vous aimez chacun d'entre nous, Grand Chef. S'il m'en est donné la force, alors une fois la crise actuelle passée, j'irai le chercher, dusse-je consacrer le restant de mon existence a construire le vaisseau qui me permettra de le retrouver. Et, si le pire doit arriver, au moins aurais-je la quiétude de savoir que notre race ne s'éteindra pas ici. C'est pourquoi je vous en conjure, Grand Chef, vénérés anciens. Laissez moi envoyer mon enfant en en lieu sur...

Et ce fut tout. Il se tint là, un genou à terre et la tête baissée en une silencieuse supplique, jusqu'à ce qu'enfin ne se fasse entendre la voix du patriarche de toute la planète :

- Si j'accède à ta demande, ou enverra tu cet enfant ?
- Sur une petite planète située à l'autre bout de la galaxie que l'on nomme la Terre. Elle se trouve très loin, hors de l'influence de l'empire du froid, ou de tout autre peuple belliqueux que j'ai pu rencontrer dans mes voyages. Là bas vit une jeune espèce bipède appelée Terrien. Ils font montre d'une grande intelligence, et s'il ne sont pas dénués de vice, du moins sont-ils capable de grandeur.
- N'est ce pas dangereux ? Ton enfant n'a même pas encore fêté sa troisième année.
- J'y ai pensé Grand Chef, indiqua l'explorateur d'une voix rendue de plus en plus assurée par l'espoir. Sur cette planète se trouve nombre de lieux très isolés, mais riches en eau. Mon vaisseau prodiguera sécurité et enseignement à mon fils en attendant qu'il ait gagné en force, et quand cela sera chose faite, il n'aura plus rien à craindre des Terriens. De plus...

Le père eut un sourire plein de fierté :

- Mon garçon est déjà si fort que je doute même qu'ils puissent lui faire du mal à l'heure actuelle.

Après un long temps de réflexion, enfin, le grand chef posa son ultime question :

- Tu sembles avoir déjà tout prévu, jeune Katats, mais la question la plus essentielle demeure irrésolue.

Le grand homme porta son regard sur l'enfant, si minuscule face à son immense carrure :

- Souhaites-tu entreprendre ce voyage mon petit ? Désires-tu partir dans l'espace et incarner l'espoir de notre monde, peut être pour ne plus jamais nous revoir ?

Une bien grande question pour un si jeune enfant. Mais comme l'avait dit son père, il était exceptionnel. Il réfléchit comme jamais ne l'aurait du un enfant de cet age, et finalement, emplit de terreur, de fierté et d'espoir, inclina-t-il la tête en un assentiment silencieux et embarrassé.

- Fort bien... Cela me brise le cœur, mais l'urgence et le danger de notre situation me pousse à accepter. Katats, mon enfant, je te donne ma permission. Ton fils partira pour la Terre dès que possible. Si les forces de l'univers sont avec nous, nous irons nous même le rechercher dès qu'une occasion se présentera. Allez, mes enfants, allez avec la bénédiction de Namek.

De ce qu'il se passa ensuite, l'enfant n'en eut que peu conscience. Complètement grisé et terrifié, c'est un vague brouillard fait de conseils, d'embrassades et d'au revoir poignant qui suivirent pendant un temps indéterminé. Puis il reprit enfin conscience, sur la plate forme d'entrée du vaisseau de son père, ce dernier agenouillé face à lui, un sourire plein d'amour sur le visage.

- N'oublie pas, mon fils. Le vaisseau te protégera, mais à ton atterrissage, cherche de l'eau. Étudies mes enregistrements, ils t'apprendront tout ce que tu dois savoir sur la Terre et ses habitants. N'aie pas peur d'eux. Nombre d'entre eux sont des gens formidables. Protège les. Quand tu seras assez grand, guide les, insuffle leur la sagesse de Namek. Tu saura faire face jusqu'à notre arrivée.

Enfin, dans un ultime baiser sur le front, Katats descendit de la plate forme, tentant tant bien que mal de dissimuler ses larmes. Il se voulait encourageant, mais savait parfaitement qu'il était là au seuil de la dernière vision qu'il aurait jamais de son fils.

- Namek soit avec toi mon enfant. N'aie aucune crainte, nous sommes juste derrière toi. Attends nous, on arrive.

Il n'y tenait plus et sentait que d'un moment il s'effondrerait, aussi prononça-t-il le mot qui lancerait toute la séquence de vol vers la Terre :

- Piccolo.

La plate-forme commença alors à remonter, et le tragique survint. Dans une explosion de larmes, le jeune enfant se jeta vers son père. Ce dernier, en une seule seconde et une vision des larmes insupportables, changea complètement d'avis, ouvrant grand les bras pour accueillir la chair de sa chair qu'il ne pourrait jamais laisser partir.

Aucun, de l'adulte ou de l'enfant ne fut assez rapide. La porte se cloisonna sur un horrible cri de détresse simultané et un instant plus tard, l'appareil était déjà loin dans la stratosphère. La vision de la boule brunâtre qu'était devenue Namek fut la dernière chose qu'emporta l'enfant de son monde natal.

Une fois dans l'espace, le temps se mit à défiler. Après des jours de pleurs incessants, l'enfant fini par se calmer, et tomba dans une étrange léthargie ou il resta pendant plusieurs semaines. De temps en temps, la voix métallique de l'ordinateur de bord le réveillait pour l'avertir de son manque d'hydratation, avant de lui présenter un petit réservoir plein d'une eau claire bienfaisante. À intervalle régulier, la voix le sortait de son sommeil pour lui enseigner diverses choses utiles sur le monde qui bientôt serait le sien, tout en lui communiquant des bribes de savoir Namek adaptées à un enfant de son age. Tout aurait pu se passer ainsi, si le destin ne s'en était pas mêlé.

Une alarme résonna un jour dans l'habitacle, qui réveilla en sursaut le jeune garçon :

«  ALERTE ! ALRTE ! Anomalie détectée, champ d'astéroïdes sur le parcours de vol ! »

Et l'enfant hurla au diapason de l'ordinateur, courant en tout sens, allant jusqu'à taper sur la console de bord dans l'espoir de provoquer une réaction. Katats avait tout prévu, ou presque.

«  Veuillez rejoindre le siège de pilotage, manœuvre d'évitement engagée, accrochez vous. »

Il n'en eut pas le temps. Le vaisseau partit en vrille à travers le champ d'astéroïde, et sa vitesse était telle que le jeune Namek fut éjecté comme un bouchon de champagne, rebondissant contre les murs avec une violence épouvantable. Très vite, le craquement des os se mêla aux hurlements de douleur alors que la poupée de chiffon prise dans la tempête subissaient des tourments qui jamais ne semblaient vouloir s’interrompre.

CRAC !

Et ce fut tout pour l'enfant quand sa tête se fracassa contre l'ordinateur de bord. Comme par une vilaine ironie du destin, les cabrioles cessèrent dans l'instant pour laisser le moribond atterrir sur le sol dallé, inerte.

« Alerte, Ordinateur de bord endommagé, base de données, endommagées, atterrissage en urgence »

Et comme la tempête était venue, ainsi disparut-elle. Le vaisseau avait atterri. Mais était ce encore utile à quoi que ce soit ? Pour tout autre espèce, pour tout autre Namek, même, il en aurait été fini de cette aventure avant même qu'elle n'ait commencé. Mais lentement, très lentement, les cellules de l'enfant se mirent en action. Avec une infinie patience, une infinie précision, chaque os retourna dans son logement, et se ressouda. La peau cicatrisa. Même la blessure à la tête sembla aller mieux. Mais lorsqu’enfin, plusieurs jours plus tard, l'enfant ouvrit les yeux, tout avait changé.

Il regarda autour de lui, dans cet environnement qu'il n'était pas tout à fait sur de reconnaître. Il... Il se sentait en sécurité ici. C'était sa maison ? Peut être bien... Oui, sûrement... Mais il avait du mal à rassembler ses pensées... Et ça ? Un... Un message ?

Il s'approcha lentement du tableau de bord de l'appareil, sur lequel était inscrit tout ce qu'il restait de l'ancienne base de donnée autrefois
immense de son père :

Attends nous, on arrive. ù^$ùù^$ù:454 Piccolo.

Piccolo ? Qui était-ce ? Était ce lui ? Mais... Mais qui était-il ?

[xela26]

Bon retour à toi, Majin Végéto

Je lirais tranquillement ton travail demain, mais je suis sur que c'est du tout bon!

[Axaca]

Très bon chapitre! En espérant que tout ce que nu nous promettes arrive (si tu ne finis pas cette fiction, on viendra se venger cette fois^^)

[Paulemile]

Le Grand Majin Vegetto de retour Je te croyais disparu pour de bon !
Ca fait plaisir de voir que tu t'es remis au travail. Je t'assure, tu n'es pas rouillé, tout va bien côté écriture

J'ai bien l'impression qu'il n'a pas atterri sur Terre, le gamin. Un petit what-if sur le fils de Katats ? ça sonne bien !

[Pedro]

Dis donc toi, tu ne manques pas d'air de revenir comme ça comme si de rien n'était. C'est comme un type qui revient voir une femme avec un bouquet de fleur après l avoir abandonnée avec un gosse pendant 9 ans.

et en plus tu ne dis même pas que tu ne vas pas recommencer...

Du coup je boycotte cette fic qui a trop de chances de ne pas arriver au bout.

[niicfromlozane]

Salut et re-bienvenue sur le topic !

J'avais vu que tu écrivais d'autres choses — tu avais filé un lien vers un blog une fois sur le chan — qui rendent d'ailleurs plutôt bien (j'ai d'ailleurs perdu le lien, si tu me le MP c'est cool), du coup je ne m'attendais pas à te revoir ici.

Tu as l'air de savoir où tu vas, cette fois, donc je ne pense pas qu'on risque de te retrouver avec ce syndrôme de la page blanche. Du coup, je suis confiant dans le fait que tu vas aller jusqu'au bout, et même si tu ne finis pas, ce n'est finalement pas si grave.

Bref

J'ai trouvé ce chapitre vachement bien écrit.
Non, sérieux.

Le rythme est vraiment bien donné et les ellipses bien senties et efficaces; ça dynamise le tout et on accroche sans problème. T'as un style rapide et en quelques paragraphes c'est bon, on est dans le trip et contrairement à Paulémile, je j'ai l'impression qu'on est bien sur Terre; en effet, dans le manga et dans l'anim, le Tout-Puissant explique bien qu'il est amnésique car "il lui semble avoir pris un coup sur la tête".
J'aime beaucoup l'explication que tu en donnes : simple, crédible et efficace.
En gros, il s'agit surtout là d'un prologue et tu te prépares à nous donner ta version du Tout-Puissant.

Les dialogues sont bons et tu ne t'attardes pas sur tes personnages secondaires tout en donnant déjà le sentiment qu'ils existent. Le découpage du texte est bon et tu ne t'attardes qu'une fois sur un paragraphe central de description plus long qui introduit ces personnages dont on a déjà imaginé les faciès anonymes, puisqu'on sait déjà quel sera leur destin. Leur discussion a du coup des relents dramatiques, à la manière antique, et ça reste puissamment efficace.

Le vocabulaire est plutôt riche et varié, y a (très) peu de fautes, c'est agréable à lire.

Voilà. Ça augure du meilleur.

[Joka]

J'aime beaucoup le thème abordé, ça offre une autre alternative au fan-manga de goten-kun (que je conseille vivement de lire). J'ai aussi bien apprécié la raison qui fait que Namek se meurt, je n'y avais jamais pensé et c'est plutôt bien trouvé.

Pour l'instant, j'accroche totalement ! Bon courage pour la suite !

[biskus]

Pour ce premier chapitre, je me suis dit oua, meme si on sent la référence a jor el avec son fils , la trame se marie bien avec l histoire originale.
Décidément tout les extraterrestres ont vocation à perdre la mémoire suite à un choc à la tete lol.

[Thib64]

Content de te voir reprendre du service

Je ne sais pas si c'est parce que tes fics m'ont manqué, mais perso je trouve que tu écris mieux qu'avant, tout semble plus fluide, facile à imaginer et à lire, tu fais d'ailleurs moins de pavés. Tu fais aussi moins de fautes d'orthographe.

La background semble déjà bien foutu, en à peine quelques mots tu décris déjà quelques personnages, leurs fonction, leur caractère et les grandes lignes de leur histoire sans que ça ne soit trop rapide ni "trop" décrit ( j'ai mis entre parenthèses car vu l'urgence de la situation, trop de description aurait tué l'ambiance. Qui est d'ailleurs bien retranscrite aussi )

Que du bon, j'attends la suite avec impatience.

[desa]

Tiens encore une autre...

Comme d'habitude c'est bien écrit et on a hate d'en savoir plus. J'avoue avoir souri en voyant Picollo se faire balloter dans le vaisseau. Je me demande ce qu'il va trouver sur cette planète et quelle sera son importance.

Bien aimé l'astuce pour expliquer l'origine du nom.

J'e\éspère que cette fic signifie une certaine quantité de chapitre avant la future disparition.

[Lenn-Z]

Moi je rejoins Pedro!
Trop de frustration de ne pas connaître la fin de l'ES et de Buu dans tes fan-fics. Je ne lirai donc celle-ci que le jour où elle sera achevée, si elle l'est un jour.

PS : tu veux pas m'envoyer par mp la fin de tes fan-fics d'ailleurs? huhuhu

[Chocoloutre]

Ouais un peu comme Pedro. Je sais que ce n'est pas le sujet mais l'Empereur Saiyen m'a été recommandé plusieurs fois comme une des quelques fics à lire mais le fait qu'elle soit abandonnée avant la fin ne me donne pas envie de m'y mettre.
Du coup là te voir débarquer en mode "salut c'est moi qui ne finit jamais ses fics, encore un autre projet eh oui haha", ben ça donne pas envie non plus parce qu'on sait que tu la termineras pas. T'as l'air d'assumer complètement le truc en plus.

Bon c'est mes deux piasses mais c'est l'occasion de te le dire donc voilà.

[niicfromlozane]

C'est le chemin, on vous dit.

Qu'importe la fin?

Perso, tant que tu me fais rêver, ça me va. Je dis juste ça parce que je comprends parfaitement la frustration de ceux qui n'ont pas eu la fin de tes fics (j'en fais partie, même si je regrette plus Buu que l'ES que j'ai -hérésie!- pas trop kiffé), mais je tenais à dire qu'il y avait aussi dans le public des gens qui se réjouissaient d'avoir celle-là à défaut de la fin des autres, d'autant que tu sembles savoir où tu vas, cette fois (ce qui est très différent de la manière dont tu as démarré les autres, je crois).

Parce que voilà. Tu écris bien, quoi. Du coup c'est agréable à lire. D'ailleurs, tu devrais mettre le lien vers tes nouvelles hors-DB dans ta page perso, AMHA.

++

[Pan]

J'aime ta fic Majin-Vegeto, j'espère bientôt lire la suite, bon courage tu vas la terminer. =)

[Chocoloutre]

Qu'importe la fin?

Ben pour moi ça compte.
Sur le principe déjà, mais bon ça c'est le problème de majin pas le mien. Mais surtout en tant que lecteur, oui le chemin c'est 90% du plaisir mais s'il manque les 10% où on a les réponses aux questions, le dénouement de tout... Ben ça gâche tout, pour moi. Si Dragon Ball s'était arrêté en plein milieu de Namek, je pense que personne ne se serait dit "ouais mais bon le chemin était cool".

Après faut pas prendre ça comme une attaque. C'est plutôt un... "message", on va dire, à majin : tu t'es lancé dans X fanfics que tu ne finis jamais, au point d'avoir la réputation du mec qui termine pas et que ça décourage de potentiels lecteurs. Tu te lances dans un nouveau projet, c'est peut-être l'occasion de le mener jusqu'au bout et de pouvoir dire la prochaine fois "oui c'est vrai j'ai abandonné plusieurs fois mais c'était avant, la dernière je l'ai terminée".
Dans cette optique, je pense pas que ce soit lui rendre service que de lui dire en substance "c'est pas grave de pas finir on s'en fout" parce que c'est pas vrai. La plupart des gens sont pas aussi coulants que toi, niic.

Enfin voilà, encore une fois majin ne prend pas ça comme une attaque. Mais penses-y, à force de parler de nouveaux projets en faisant les choses à moitié à chaque fois, les gens finiront par ne plus suivre.
Après j'aurais beaucoup de choses à dire sur le sujet, sans forcément la crédibilité qui va avec, mais de toute façon c'est pas l'endroit.