Fratricide

Bon, bon, bon...
J'en aurais pris du temps pour publier ma fan fiction, mais maintenant, c'est fait ! Je remercie évidement la team star pour m'avoir aidé pendant tout ce temps et les membres du chat.
Le souffle court, il retint son bras pour empêcher son frère de devenir un amas de chaire sanguinolentes et plongea son regard dans ses yeux vitreux. Son Gokû était méconnaissable. Sa mâchoire était brisée, son nez cassé, son visage tuméfié rougit par le sang de ses multiples blessures et son œil avait tellement gonflé qu'il était maintenant presque fermé. Sa respiration était lente et douloureuse, son souffle rauque, ses poumons en feu et sa vue commençait à se brouiller au fur et à mesure que la vie quittait son corps. « C'était idiot de se mesurer à moi avec un niveau de puissance aussi bas… Je t'ai donné une bonne leçon, Kakarotto : il est inutile de défier son frère... »
Le « mystérieux guerrier extraterrestre » se redressa, le sang de sa victime maculant encore son visage, formant deux longs gants rouges des doigts aux coudes d'où émanaient deux halos améthystes. « Tu n'as plus qu'à mourir », dit-il avec un petit sourire narquois, affichant une décontraction sereine. Sa supériorité ne faisait aucun doute.
« Qu'est-ce qu… » Ses poings se serrèrent, son visage se crispa, et tous les muscles de son corps se tétanisèrent en lisant les chiffres qu'affichait son détecteur. « 1490 ?! » Il en avait presque honte d'avoir négligé la présence de son second adversaire, absorbé qu'il était par son règlement de compte avec son frère cadet. « Tu crois pouvoir me tromper une seconde fois avec la même technique ???
-Makankosappo !!! S'écria Piccolo.
- La même attaque ne fonctionnera pas par deux fois sur un même Saiyan ! »
Raditz bondit, évitant le faisceau d'énergie par une brusque embardée avec une aisance tout à fait irritante, jetant un regard vers le Makankosappo qui alla s'écraser avec fracas contre la montagne. Si il l'avait encaissé, il serait déjà hors jeu. Furieux d'avoir dû échapper à une mort certaine pour la deuxième fois de la journée, il relâcha l'énergie qui était au préalable destinée à en finir avec son frère sur Piccolo.
Épuisé, celui-ci n'eut même pas la force de hurler quand la vague d’énergie l'emporta, explosant au loin en créant un cratère où un tas de débris vinrent s'entasser les uns sur les autres.
« Hmpf… Facile… »
Il demeura immobile pendant une seconde, s'attendant à ce que l'un de ses deux faibles adversaires se relève puis, tourna les talons. Ils étaient visiblement tout deux morts et il n'avait pas besoin de détecteur pour le savoir. Il ne restait plus qu'un détail à régler et il pourrait rentrer à la base.
« OUIIIIN ! PAPA TU ES OÙ ?! PAPAAA !!! »



Gokû ouvrit la bouche pour respirer et hurla, jusqu'à ce que le bruit remplisse son crâne, qu'il soit prêt à éclater. Il hurla jusqu'à ce que sa poitrine lui fasse mal, que sa gorge soit en feu. Il ne pouvait plus supporter la douleur ; ses cris commencèrent à s'affaiblir puis s'arrêtèrent. Il reprit son souffle. Son cœur frappait avec violence contre sa cage thoracique.
La douleur qui transperçait sa poitrine n'était rien face à la rage qui montait en lui. Alors, il s'efforça de retrouver une respiration et un pouls normal. Il lui fallut plusieurs minutes, marquées par une angoisse indicible. Il contracta ses muscles, s'aida de ses coudes pour se redresser, pâle et effaré, ne réalisant pas qu'aucun être humain n'aurait dû tenir debout après de telles blessures, puis tourna la tête d'un côté puis de l'autre. Son cœur hurlait le nom de son fils, mais sa bouche restait muette.
Un peu plus loin, on pouvait voir une main sortir de terre. Elle traînait derrière un corps détruit, dans une combinaison en lambeaux, un visage couvert de sang et de terre se releva vers le ciel et grommela quelque chose d'incompréhensible en crachant un peu de sang mélangé à de la salive. Piccolo était vivant et il s'en était sorti de justesse.
« Mon fils ! Il m'a pris mon fils ! »
J'en aurais pris du temps pour publier ma fan fiction, mais maintenant, c'est fait ! Je remercie évidement la team star pour m'avoir aidé pendant tout ce temps et les membres du chat.
FRATRICIDE
Prologue
Cinq ans après la lutte implacable contre le roi démon Piccolo…
Raditz frappait encore et encore.
Sans relâche.
Aveuglé par les jets sombres qui s'échappaient du corps de Son Gokû comme autant de petites fontaines de vie qui retombaient en engluant son armure de combat.
Un flot de sang éclaboussait et tachait les herbes à leurs pieds, formant une hideuse marre bilieuse.
Sans relâche.
Aveuglé par les jets sombres qui s'échappaient du corps de Son Gokû comme autant de petites fontaines de vie qui retombaient en engluant son armure de combat.
Un flot de sang éclaboussait et tachait les herbes à leurs pieds, formant une hideuse marre bilieuse.
Le souffle court, il retint son bras pour empêcher son frère de devenir un amas de chaire sanguinolentes et plongea son regard dans ses yeux vitreux. Son Gokû était méconnaissable. Sa mâchoire était brisée, son nez cassé, son visage tuméfié rougit par le sang de ses multiples blessures et son œil avait tellement gonflé qu'il était maintenant presque fermé. Sa respiration était lente et douloureuse, son souffle rauque, ses poumons en feu et sa vue commençait à se brouiller au fur et à mesure que la vie quittait son corps. « C'était idiot de se mesurer à moi avec un niveau de puissance aussi bas… Je t'ai donné une bonne leçon, Kakarotto : il est inutile de défier son frère... »
Le « mystérieux guerrier extraterrestre » se redressa, le sang de sa victime maculant encore son visage, formant deux longs gants rouges des doigts aux coudes d'où émanaient deux halos améthystes. « Tu n'as plus qu'à mourir », dit-il avec un petit sourire narquois, affichant une décontraction sereine. Sa supériorité ne faisait aucun doute.
BIP BIP BIP
« Qu'est-ce qu… » Ses poings se serrèrent, son visage se crispa, et tous les muscles de son corps se tétanisèrent en lisant les chiffres qu'affichait son détecteur. « 1490 ?! » Il en avait presque honte d'avoir négligé la présence de son second adversaire, absorbé qu'il était par son règlement de compte avec son frère cadet. « Tu crois pouvoir me tromper une seconde fois avec la même technique ???
-Makankosappo !!! S'écria Piccolo.
- La même attaque ne fonctionnera pas par deux fois sur un même Saiyan ! »
Raditz bondit, évitant le faisceau d'énergie par une brusque embardée avec une aisance tout à fait irritante, jetant un regard vers le Makankosappo qui alla s'écraser avec fracas contre la montagne. Si il l'avait encaissé, il serait déjà hors jeu. Furieux d'avoir dû échapper à une mort certaine pour la deuxième fois de la journée, il relâcha l'énergie qui était au préalable destinée à en finir avec son frère sur Piccolo.
Épuisé, celui-ci n'eut même pas la force de hurler quand la vague d’énergie l'emporta, explosant au loin en créant un cratère où un tas de débris vinrent s'entasser les uns sur les autres.
« Hmpf… Facile… »
Il demeura immobile pendant une seconde, s'attendant à ce que l'un de ses deux faibles adversaires se relève puis, tourna les talons. Ils étaient visiblement tout deux morts et il n'avait pas besoin de détecteur pour le savoir. Il ne restait plus qu'un détail à régler et il pourrait rentrer à la base.
« OUIIIIN ! PAPA TU ES OÙ ?! PAPAAA !!! »



Gokû ouvrit la bouche pour respirer et hurla, jusqu'à ce que le bruit remplisse son crâne, qu'il soit prêt à éclater. Il hurla jusqu'à ce que sa poitrine lui fasse mal, que sa gorge soit en feu. Il ne pouvait plus supporter la douleur ; ses cris commencèrent à s'affaiblir puis s'arrêtèrent. Il reprit son souffle. Son cœur frappait avec violence contre sa cage thoracique.
La douleur qui transperçait sa poitrine n'était rien face à la rage qui montait en lui. Alors, il s'efforça de retrouver une respiration et un pouls normal. Il lui fallut plusieurs minutes, marquées par une angoisse indicible. Il contracta ses muscles, s'aida de ses coudes pour se redresser, pâle et effaré, ne réalisant pas qu'aucun être humain n'aurait dû tenir debout après de telles blessures, puis tourna la tête d'un côté puis de l'autre. Son cœur hurlait le nom de son fils, mais sa bouche restait muette.
Un peu plus loin, on pouvait voir une main sortir de terre. Elle traînait derrière un corps détruit, dans une combinaison en lambeaux, un visage couvert de sang et de terre se releva vers le ciel et grommela quelque chose d'incompréhensible en crachant un peu de sang mélangé à de la salive. Piccolo était vivant et il s'en était sorti de justesse.
« Mon fils ! Il m'a pris mon fils ! »
Spoiler