Une Etoile Oubliée

Bon bon bon, suite à une remarque pertinente de Niic "Une fic c'est fait pour être postée!", je me lance
Cette fic est pas terminée mais je sais ou je vais, j'ai le scénar en tête, reste qu'à trouver du temps pour l'écrire. Ca sera un "OS", assez long je pense, enfin ça on verra bien par la suite. ^^
Je poste le prologue, en espérant que ça vous plaise
Une Etoile Oubliée
Loin, très loin de notre Terre, perdue dans l’immensité de l’univers, aux confins de la galaxie, entourée de ses trois soleils, se trouvait une planète singulière. Vue de l’espace, l’astre était presque entièrement vert, un vert émeraude pur, qui recouvrait la quasi-totalité de la cette planète. Son atmosphère, elle aussi de la même couleur que ses eaux, comportait des traces blanchâtres laiteuses : des nuages, d’énormes nuages, créant un voile opaque, bien visible depuis l’espace. Une planète, délaissée par beaucoup, mais pourtant accueillante. Une planète abritant la vie, et jusqu’à il y a quelques heures, le peuple du même nom, à la peau aussi verte que ses océans. La planète verte. Namek.
Ses plaines verdoyantes, ses eaux calmes, de la même teinte que son ciel, sa trinité de soleils, tout sur Namek laissait croire qu’l s’agissait là d’un petit paradis perdu dans cet univers torturé. Généralement, pas un son ne venait troubler la quiétude de son sol. La nature était la seule véritable maitresse de la planète. Un nombre incroyable d’espèces, aussi bien animales que végétales, s’étaient développées et prospéraient en toute tranquillité. Sans personne pour les chasser, ni pour les manger. Des dinosaures, des oiseaux, des poissons, des sortes de félins, chevaux et autres crabes géants difformes et dotés de singularités physiques étranges, ainsi qu’un pléthore d’autres, telle était la faune et la flore de Namek. A cela, l’on pouvait en ajouter une autre, une qui s’était démarquée de la masse : le peuple des Nameks.
Ce peuple, doté comme tous les êtres vivants de cette planète de caractéristiques physiques particulières, était composé de créatures bipèdes et intelligentes, à l’apparence vaguement humanoïde. De tailles diverses, dépourvus de cheveux, tous arboraient une peau verte pomme, à l’instar de leur terre natale, sur laquelle se remarquait leurs muscles saillants, couleur rose vif. Mi-homme, mi- plante, les nameks ne vivaient que d’eau et d’air, et étaient tous sans exception dotés d’un caractère gentil et aimable, malgré leur allure.
Ces êtres pacifiques avaient toujours vécu en autarcie, restant volontairement à l’écart des autres civilisations. Cultivant leurs immenses champs d’ajissas, une plante locale bleutée, regroupés dans de petits villages rustiques. Une existence simple et tranquille.
Pourtant, il y a peu, un fléau s’abattit sur Namek. Un fléau qui décima sans scrupules et sans distinctions aucune la quasi-totalité de ses habitants. Un fléau en quête de leur trésor le plus précieux : les Dragon Balls, capables d’exaucer n’importe quel souhait. Un fléau sans vergognes et impitoyable. Un fléau connu et redouté de l’univers tout entier. Un fléau nommé Freezer.
Freezer. Ce simple nom, ce simple mot, suffisait à glacer d’effroi presque n’importe qui dans l’immensité de cet univers. Ceux qui ne tremblaient pas à l’évocation de ce nom étaient tous soit fous, soit morts. Personne ne pouvait lui échapper, à lui et à son influence interplanétaire.
Ce tyran galactique régnait en maitre absolu sur plusieurs galaxies entières, et il avait entrepris d’étendre son royaume à d’autres. Il dirigeait un vaste empire intergalactique d’une main de fer, réduisant au silence ceux qui dans un élan de folie osaient remettre en cause son autorité. Freezer ne tolérait pas l’insoumission, comme il aimait à le rappeler. Ses terribles exploits et sautes d’humeur, comme par exemple de tuer un de ses propres hommes car il ne lui plaisait pas, étaient relatés et connus sur un nombre incroyable de planètes, si bien que le simple fait de prononcer son nom suffisait à évoquer la terreur que sa puissance effrayante inspiraient.
Car ce petit être chétif n’avait pas conquis autant de planètes par la seule force de ses mots ou de ses alliances politiques. Ça, il n’en avait que peu. Quelques une notables avec d’autres empires, voire des républiques spatiales, avec lesquelles il faisait commerce des planètes qu’il capturait. Sans oublier les pactes de non-agression, en particulier ceux signés avec les autres membres de sa famille. Car ce monstre n’était pas unique. Deux autres créatures tout aussi effrayantes que lui existaient : son père, le roi Cold, et son frère, l’empereur Cooler. Et tous avaient au moins une chose en commun : une puissance incommensurable. Une force de combat inégalée, qui leur permettait d‘écraser n’importe quel adversaire sans le moindre problème. Une force brute sans égale.
L’empereur Freezer était en effet capable de réduire à néant des planètes entières. D’un simple geste de sa part, un monde pouvait disparaitre subitement, comme s’il éclatait une bulle de savon. C’était cette force qui faisait la clé de son succès, ne laissant aucune place à d’éventuels rivaux.
Cependant, tout a une fin. Même les règnes les plus longs doivent se terminer un jour. Et le tyran venait de comprendre cela, à ses dépens.
Il avait recherché l’immortalité sur Namek. Au travers de boules de cristal orangées comme un soleil, Freezer avait voulu atteindre le rêve de tout être vivant : celui de ne jamais pouvoir mourir. Dans ce but, il s’était rendu en personne sur la planète verte, accompagné du fleuron de son armée, y compris le commando Ginue, célèbre quinto de guerriers aussi redoutables qu’excentriques. Mais, c’est en espérant tout gagner que l’on finit parfois par tout perdre.
Car, un fois ses hommes décimés par un saiyen renégat, aidé de quelques misérables terriens, un peuple dont il n’avait même jamais entendu parler avant, Freezer avait dû faire face à quelque chose de bien plus terrible encore. Il avait dû affronter son pire cauchemar. Un cauchemar qui s’était incarné en un formidable guerrier auréolé d’or, à la chevelure brillante comme une étoile. Le Super Saiyen.
Namek avait alors été le théâtre du plus titanesque des affrontements ayant jamais eu lieu depuis des millions d’années. Sur son sol si paisible, des forces colossales avaient livré un combat si terrible qu’il restera dans les annales, et pour longtemps. Le pouvoir gigantesque du tyran Freezer avait dû faire face à la puissance sans limite des saiyens, à la puissance du Super Saiyen.
Les deux combattants s’étaient déchainés, faisant pleuvoir les boules de feu, se rendant coup pour coup, détruisant des continents et asséchant des océans entiers, durant de longues heures. Finalement, l’invincible empereur galactique, que tous croyaient éternel et indestructible, avait fini par plier devant la puissance extraordinaire de son adversaire auréolé d’or.
Pour la première fois de sa vie, Freezer connu la défaite. Pour la première fois, Freezer eut peur pour sa vie. Pour la première fois, un démon du froid avait été vaincu. Ce jour-là restera dans les mémoires. Comme la preuve que ces monstres sont comme tous les autres. De simples mortels. Et qu’il est possible de les abattre. Car ce jour-là, Freezer avait ressenti toute la rage, toute la détermination de la légende qu’il affrontait. Dans son regard, il avait pu apercevoir une immense colère, et une volonté de vaincre sans pareille. Dans ces yeux émeraudes, il avait vu sa fin.
La fin de son règne. La fin d’une époque.
Car, quelques temps plus tard, bien loin de la planète verdâtre, l’équilibre universel était en train de changer.

Cette fic est pas terminée mais je sais ou je vais, j'ai le scénar en tête, reste qu'à trouver du temps pour l'écrire. Ca sera un "OS", assez long je pense, enfin ça on verra bien par la suite. ^^
Je poste le prologue, en espérant que ça vous plaise

Une Etoile Oubliée
Loin, très loin de notre Terre, perdue dans l’immensité de l’univers, aux confins de la galaxie, entourée de ses trois soleils, se trouvait une planète singulière. Vue de l’espace, l’astre était presque entièrement vert, un vert émeraude pur, qui recouvrait la quasi-totalité de la cette planète. Son atmosphère, elle aussi de la même couleur que ses eaux, comportait des traces blanchâtres laiteuses : des nuages, d’énormes nuages, créant un voile opaque, bien visible depuis l’espace. Une planète, délaissée par beaucoup, mais pourtant accueillante. Une planète abritant la vie, et jusqu’à il y a quelques heures, le peuple du même nom, à la peau aussi verte que ses océans. La planète verte. Namek.
Ses plaines verdoyantes, ses eaux calmes, de la même teinte que son ciel, sa trinité de soleils, tout sur Namek laissait croire qu’l s’agissait là d’un petit paradis perdu dans cet univers torturé. Généralement, pas un son ne venait troubler la quiétude de son sol. La nature était la seule véritable maitresse de la planète. Un nombre incroyable d’espèces, aussi bien animales que végétales, s’étaient développées et prospéraient en toute tranquillité. Sans personne pour les chasser, ni pour les manger. Des dinosaures, des oiseaux, des poissons, des sortes de félins, chevaux et autres crabes géants difformes et dotés de singularités physiques étranges, ainsi qu’un pléthore d’autres, telle était la faune et la flore de Namek. A cela, l’on pouvait en ajouter une autre, une qui s’était démarquée de la masse : le peuple des Nameks.
Ce peuple, doté comme tous les êtres vivants de cette planète de caractéristiques physiques particulières, était composé de créatures bipèdes et intelligentes, à l’apparence vaguement humanoïde. De tailles diverses, dépourvus de cheveux, tous arboraient une peau verte pomme, à l’instar de leur terre natale, sur laquelle se remarquait leurs muscles saillants, couleur rose vif. Mi-homme, mi- plante, les nameks ne vivaient que d’eau et d’air, et étaient tous sans exception dotés d’un caractère gentil et aimable, malgré leur allure.
Ces êtres pacifiques avaient toujours vécu en autarcie, restant volontairement à l’écart des autres civilisations. Cultivant leurs immenses champs d’ajissas, une plante locale bleutée, regroupés dans de petits villages rustiques. Une existence simple et tranquille.
Pourtant, il y a peu, un fléau s’abattit sur Namek. Un fléau qui décima sans scrupules et sans distinctions aucune la quasi-totalité de ses habitants. Un fléau en quête de leur trésor le plus précieux : les Dragon Balls, capables d’exaucer n’importe quel souhait. Un fléau sans vergognes et impitoyable. Un fléau connu et redouté de l’univers tout entier. Un fléau nommé Freezer.
Freezer. Ce simple nom, ce simple mot, suffisait à glacer d’effroi presque n’importe qui dans l’immensité de cet univers. Ceux qui ne tremblaient pas à l’évocation de ce nom étaient tous soit fous, soit morts. Personne ne pouvait lui échapper, à lui et à son influence interplanétaire.
Ce tyran galactique régnait en maitre absolu sur plusieurs galaxies entières, et il avait entrepris d’étendre son royaume à d’autres. Il dirigeait un vaste empire intergalactique d’une main de fer, réduisant au silence ceux qui dans un élan de folie osaient remettre en cause son autorité. Freezer ne tolérait pas l’insoumission, comme il aimait à le rappeler. Ses terribles exploits et sautes d’humeur, comme par exemple de tuer un de ses propres hommes car il ne lui plaisait pas, étaient relatés et connus sur un nombre incroyable de planètes, si bien que le simple fait de prononcer son nom suffisait à évoquer la terreur que sa puissance effrayante inspiraient.
Car ce petit être chétif n’avait pas conquis autant de planètes par la seule force de ses mots ou de ses alliances politiques. Ça, il n’en avait que peu. Quelques une notables avec d’autres empires, voire des républiques spatiales, avec lesquelles il faisait commerce des planètes qu’il capturait. Sans oublier les pactes de non-agression, en particulier ceux signés avec les autres membres de sa famille. Car ce monstre n’était pas unique. Deux autres créatures tout aussi effrayantes que lui existaient : son père, le roi Cold, et son frère, l’empereur Cooler. Et tous avaient au moins une chose en commun : une puissance incommensurable. Une force de combat inégalée, qui leur permettait d‘écraser n’importe quel adversaire sans le moindre problème. Une force brute sans égale.
L’empereur Freezer était en effet capable de réduire à néant des planètes entières. D’un simple geste de sa part, un monde pouvait disparaitre subitement, comme s’il éclatait une bulle de savon. C’était cette force qui faisait la clé de son succès, ne laissant aucune place à d’éventuels rivaux.
Cependant, tout a une fin. Même les règnes les plus longs doivent se terminer un jour. Et le tyran venait de comprendre cela, à ses dépens.
Il avait recherché l’immortalité sur Namek. Au travers de boules de cristal orangées comme un soleil, Freezer avait voulu atteindre le rêve de tout être vivant : celui de ne jamais pouvoir mourir. Dans ce but, il s’était rendu en personne sur la planète verte, accompagné du fleuron de son armée, y compris le commando Ginue, célèbre quinto de guerriers aussi redoutables qu’excentriques. Mais, c’est en espérant tout gagner que l’on finit parfois par tout perdre.
Car, un fois ses hommes décimés par un saiyen renégat, aidé de quelques misérables terriens, un peuple dont il n’avait même jamais entendu parler avant, Freezer avait dû faire face à quelque chose de bien plus terrible encore. Il avait dû affronter son pire cauchemar. Un cauchemar qui s’était incarné en un formidable guerrier auréolé d’or, à la chevelure brillante comme une étoile. Le Super Saiyen.
Namek avait alors été le théâtre du plus titanesque des affrontements ayant jamais eu lieu depuis des millions d’années. Sur son sol si paisible, des forces colossales avaient livré un combat si terrible qu’il restera dans les annales, et pour longtemps. Le pouvoir gigantesque du tyran Freezer avait dû faire face à la puissance sans limite des saiyens, à la puissance du Super Saiyen.
Les deux combattants s’étaient déchainés, faisant pleuvoir les boules de feu, se rendant coup pour coup, détruisant des continents et asséchant des océans entiers, durant de longues heures. Finalement, l’invincible empereur galactique, que tous croyaient éternel et indestructible, avait fini par plier devant la puissance extraordinaire de son adversaire auréolé d’or.
Pour la première fois de sa vie, Freezer connu la défaite. Pour la première fois, Freezer eut peur pour sa vie. Pour la première fois, un démon du froid avait été vaincu. Ce jour-là restera dans les mémoires. Comme la preuve que ces monstres sont comme tous les autres. De simples mortels. Et qu’il est possible de les abattre. Car ce jour-là, Freezer avait ressenti toute la rage, toute la détermination de la légende qu’il affrontait. Dans son regard, il avait pu apercevoir une immense colère, et une volonté de vaincre sans pareille. Dans ces yeux émeraudes, il avait vu sa fin.
La fin de son règne. La fin d’une époque.
Car, quelques temps plus tard, bien loin de la planète verdâtre, l’équilibre universel était en train de changer.